Transcription

• Speaker #0

  Salut, comment tu vas ? J'espère que tu as passé une belle semaine. J'ai plein de choses à te partager dans ce nouveau journal de bord. Pourquoi ? Parce que j'ai changé de pays, je ne suis plus à Bali, parce que je suis chez un pote qui est absolument intelligent, génial, drôle, avec qui j'ai des conversations qui m'ont apporté plein de valeurs et j'ai vraiment envie de te partager tout ça. Et parce que je m'apprête aussi à faire une immersion et j'ai aussi dans la prépa des choses à dire qui vont, j'espère, beaucoup t'aider et te faire avancer. Alors dans ce nouveau journal de bord, Je vais déjà commencer par un hack ultime, j'en ai même plusieurs mais il y en a un avant que je veux vraiment partager sur de productivité. Vraiment là ça a changé ma courbe de productivité et surtout derrière le plus important pour moi c'est ma charge mentale. Donc je voudrais te partager cette technique là qui change tout selon moi. Ensuite je voudrais te parler aussi du lieu où tu vis, de la puissance des lieux, le pourquoi et quel lieu choisir. Je viens d'arriver dans un lieu incroyable et... Et ça a changé aussi vraiment l'impact sur moi et je vais t'expliquer pourquoi. Je vais enchaîner sur une pépite que je viens de trouver, que mon pote m'a montré sur de l'immobilier. Si tu as envie d'acheter, que ce soit pour investir ou pour toi sur de l'immobilier, je vais te faire économiser beaucoup d'argent. En tout cas, moi, ça m'aurait fait économiser beaucoup quand j'ai acheté mon bien. Donc j'espère que ça te sera utile d'une façon ou d'une autre. Après, je vais te parler d'un sujet, c'est que j'ai fait un petit tournage de B-Roll. C'est-à-dire de plans de coupe, de plans d'illustration avant de partir de Bali. Pour, tu sais, j'ai envie de faire des réels avec des voix off. C'est un format qui marche bien, mais quand tu as des voix off, bon ben il faut des images pour illustrer. Et je me suis fait un tournage, première fois que je fais ça, où je parle pas, où je fais des actions, et du coup si t'as envie d'en faire, que ce soit, et en plus l'avantage c'est que t'es pas obligé de prendre un professionnel, tu peux prendre un pote, tu peux le faire au téléphone. J'ai pas mal de tips à te partager à ce sujet-là, parce que c'est toujours intéressant de pouvoir faire des contenus où t'es pas obligé d'être face caméra et d'être bon et de bien t'exprimer. Tu peux enregistrer ta voix, vraiment peaufiner le texte, et puis après, je dirais, illustrer, mais avec tes vraies images à toi. Et voilà, je voudrais te partager comment créer ce tournage-là, parce que ça pourrait être, j'espère, très utile dans ta création de contenu. Ensuite, je voudrais te parler de quelque chose où, à la base, je suis quand même très mauvais, et que j'ai réussi à faire, et que ça m'a donné plein d'idées, c'est demander de l'aide. Et demander de l'aide sur un truc... très important pour moi, qui était de comment contacter des top managers, des founders de startups, parce que j'essaie vraiment là de me dire que j'ai envie d'aller parler à ces gens-là pour leur faire une immersion pour ce type de profil, parce que moi, mes immersions, je fais vraiment très attention à avoir un casting homogène. Je ne vais pas mettre un entrepreneur débutant avec un mec qui a 200 personnes dans son équipe, mais si je n'en connais qu'une personne qui a 200 personnes dans son équipe, je ne peux pas faire une immersion. et du coup j'ai demandé de l'aide pour ça et je voulais te faire un feedback aussi par rapport à ça parce que ça a été bref je t'en dis pas plus tu verras j'ai un petit conseil par rapport à ça et je voudrais terminer ce journal de bord sur les regrets les regrets et comment gérer les regrets j'ai eu une discussion super avec mon pote chez qui je suis là où je viens d'arriver et franchement ça m'a mis une claque donc je voulais te partager ce mindset là et évidemment la touche finale Ce sera un petit fun fact qui sera mon transit incroyable. Alors pas mon transit intestinal, je sais qu'il y a beaucoup de personnes, d'inturopathes et de personnes dans la nutrition. Mais mon transit, mon trajet de Bali jusque là où je viens d'arriver en Lettonie, ce n'était pas gagné, il m'est arrivé pas mal de péripéties et j'aimerais te le partager dans ce nouveau journal de bord. C'est parti. Alors premier sujet, la productivité avec un hack qui j'espère va changer vraiment... ta charge mentale au quotidien et la quantité de choses que t'arrives à abattre plus facilement, plus rapidement c'est un truc tout bête qui vient d'un livre qui s'appelle Getting Things Done donc Arriver à faire les choses de David Allen et je l'ai vraiment commencé à l'appliquer j'avais entendu ce truc là je sais pas pourquoi je l'appliquais pas vraiment c'est si une tâche te prend moins de deux minutes à faire fais-la sur l'instant tant pis si c'est mal poli, si t'es en train de couper un truc tu le fais ça peut paraître tout con, mais le nombre de trucs que je me dis « Ah, faut que je fasse ça, ah tiens aussi, faut que je fasse ça, potentiellement je le note pas, donc je l'oublie, donc ça me revient, donc je suis en retard, donc c'est une charge mentale. » Ou alors le nombre de trucs que je me dis « Ah, il faut absolument que je fasse ça. » C'est pas ces petites choses, ça fait une pile de trucs qui s'entassent dans ma tête, qui sont dans mon subconscient en tâche de fond en train de tourner parce que c'est pas fini, parce que le subconscient pose l'attention sur les choses qui ne sont pas terminées. et c'est pour ça que des fois c'est important de ne pas... pas toujours terminer les gros trucs que tu es en train de faire pour garder l'attention de ton subconscient dessus. Mais les gros choses importantes, on va dire, qui te permettent d'avancer pour garder cette soif. Mais là, typiquement, tiens, il faudrait que je fasse une mise en relation avec un tel. Tiens, il faut que j'envoie un document à cette personne. Ah, au fait, c'est quoi la date du truc, du machin ? Est-ce que tu as bloqué tel créneau ? Il faudrait que je me fasse ça, il faudrait que j'envoie ce mail, etc. Et maintenant, tu me dis, tu vois, typiquement, là, je viens d'arriver en Lettonie, à Riga, chez mon pote Rémi de Truchy de Varennes, qui est un mec que j'adore, qui est un mec qui est... très intelligent, qui est smart, qui est humble, qui est sympa et qui aussi réussit bien ce qu'il fait. Et c'est ça que j'adore, c'est vraiment un mec qui adore l'excellence. Et du coup on a beaucoup de conversation, comme j'ai pu aussi avoir avec mon pote Sam à Balise, qui suit les gens de bord. Et du coup il y a plein de choses, on était là genre en mode « Ah ouais, faudrait trop que je te présente un tel » et en fait t'es en conversation, tu te dis « Bah faudrait que je te présente un tel » ou que je te mette en relation. Là en fait j'étais en mode « Attends, viens je crée un groupe WhatsApp » et on fait le message et on fait l'audio et c'est fini et on a déjà passé un step et on est passé à l'action et ça c'est ce truc genre ah ouais mais attends mais ce truc faudrait trop que attends mais je t'envoie le lien maintenant en fait y'a pas de plus tard que de toute façon je vais clairement oublier tiens là il faudrait que je réponde à cette personne je vois le mail et ce truc mais je sais que ça me prend deux minutes c'est juste chiant mais ça me prend deux minutes et je t'assure que quand tu le fais en fait t'arrêtes tout pour ce truc là dès que ça te passe en tête en fait c'est une charge mentale en moins Et je sais que je suis tédéâche et je peux avoir plein de trucs qui me passent en tête et c'est ça ça peut être vite relou mais d'une certaine façon il y a une différence entre tiens je pense à un truc je suis un petit écureuil qui m'emmène sur autre chose et des réflexions et ah ça faut que je fasse ça et les ah ça faut que je fasse ça je les fais les ah tiens je pense c'est bizarre ce drapeau laiton tu vois quand je suis en train de regarder je suis en train de travailler je me dis mais qu'est ce que ça signifie oh une petite barque un bateau qui passe ils ont l'air sympa les gens ça effectivement ça n'implique pas une tâche par contre de se dire mince j'ai oublié de mettre un document, un support de cours dans le cercle des solopreneurs ça fait dix jours qu'on me le demande et ça fait dix jours que je me dis putain faut absolument que je le fasse ça va me prendre deux minutes et je le fais pas et là en fait ces derniers temps j'étais en mode je le fais en fait je suis là sur mon tel peu importe j'arrive je boum bam je fais le truc et c'est plié ça c'est ce que mon cerveau il commence à faire maintenant parce que je suis vraiment dans ce truc de de toute façon en fait normalement quand je me lève le matin pendant deux heures au moins au minimum je fais la première tâche la plus importante que j'ai définie de faire, mais quand je commence à être dans de l'opérationnel ou dans ma journée, où tu sais que tu es en transit, en mouvement, tu te dis « putain, il faut que je fasse ça » . Maintenant, je m'arrête de marcher si je suis en train de marcher et je fais le truc. Si je suis dans les transports, peu importe en fait. Je me dis « ah non, je ne vais pas envoyer un audio à un truc pro alors qu'il y a du bordel derrière, de trucs. Je ne vais pas faire une explication à mon équipe en vidéo loom pour expliquer un process si je suis dans un cas. » Non, en fait, je le fais. Terminé. En fait je m'en fous de peut-être... Non c'est maintenant, point barre. Parce que ça aura beaucoup plus d'efficacité, moi ça m'apportera beaucoup plus de paix intérieure que me dire, il faut que je le fasse mieux. Et du coup, le mieux, fait c'est mieux que parfait, comme on dit. Et du coup, je voulais aussi te partager les autres insights, les autres principes qu'il y a dans ce livre qui est quand même un énorme best-seller, Getting Things Done, de David Allen. La première, c'est capturer, collecter. En gros, c'est... Moi j'ai... D'ailleurs, si tu es dans le cercle de solopreneur et que tu écoutes... dans mon propulseur qui est ma matrice qui gère toute ma life sur Notion et que je donne le template pour les membres du cercle des solopreneurs, qui est un truc ultra puissant, j'ai un dossier qui s'appelle Drop. Et le Drop, c'est dès qu'il y a un truc qui me passe dans mon cerveau, je le note là et après je vais repiocher. Comme ça, je le dépose et après je prends un instant pour remettre au bon endroit, appliquer l'action et trucs et machin. Et souvent, là, c'est vraiment pas pour le coup l'action. Parce que des fois, il y a des actions qui prennent plus de deux minutes. Je rappelle que le principe du hack que je t'ai donné juste avant, c'est que ça prend deux minutes. Si ça prend 10-15 minutes, c'est plus pareil. Donc, à part toutes ces actions-là, il ne faut quand même pas les oublier, ce que j'ai tendance à faire. Donc, je le mets dans un fichier. Moi, c'est un drop sur une page Notion où je récapitule tout. Ensuite, derrière, le principe, c'est qu'une fois que tu as tout ça, que ce soit du contenu, que ce soit une idée de contenu, que ce soit une stratégie, un mot, une photo, quelque chose que tu as envie de collecter, Qu'est-ce que tu en fais en fait ? Donc le but c'est de clarifier ça. L'autre principe c'est de clarifier la collecte des infos ou des idées, etc. A chaque fois tu te demandes, qu'est-ce que c'est ? Est-ce que c'est actionnable ? Non, c'est pas actionnable, j'archive, je jette, ciao. Si c'est actionnable, je crée en fait une tâche avec une action précise et une date. Ça c'est important. Derrière, il y a le côté vraiment, l'autre principe c'est d'organiser. chaque tâche, elle doit vraiment te dire une fois que tu as mis ta dépôt, tu as droppé une idée. T'as compris que derrière si c'est actionnable, il faut en faire une action pour créer quelque chose à partir de ça. Donc derrière, si c'est une idée qui est comme un projet, tu vois, un truc tout con, putain, je viens de comprendre qu'en fait il faut que je change de lunettes parce que ma vue a baissé. C'est pas une action, il faut que tu changes de lunettes. En fait, le but, c'est d'arriver facilement et rapidement à ton objectif. Donc, qu'est-ce que tu vas faire ? Tu vas déjà, un, organiser ça, c'est découper dans plein de petites tâches. C'est-à-dire, prise de rendez-vous avec l'ophtalmo, aller caler cet ophtalmo, aller aussi sourcer les opticiens potentiellement après où tu peux aller jeter tes lunettes, etc. Ensuite, il y a toujours mettre, une fois que tu découpes en tâches facilement exécutables, tu mets toujours un échéancier dans ton agenda, donc une deadline, une date butoir pour le faire. Tu rattaches ça aussi à un projet, pour que toutes les actions et les étapes soient bien identifiées, surtout si tu as un UCL de gestion de projet, je ne sais pas, comme Asana ou Notion, etc. Et il doit y avoir des statuts sur chacune des étapes. Parce que là, je te parle d'un truc simple, mais s'il y a des multiples étapes qui sont potentiellement simultanées et en même temps, il faut que tu saches où elles en sont. Donc toujours mettre comme un tag, une étiquette, un statut à chaque tâche. Est-ce qu'elle est en attente d'un retour de quelqu'un ? Est-ce que c'est validé ? Est-ce qu'il manque quelque chose ? Est-ce que c'est bloqué ? Est-ce que ce n'est pas encore démarré, du coup il faudrait peut-être le démarrer ? Bref, et ça après c'est vraiment important. Derrière, il y a l'autre étape qui est ultra importante, c'est réviser. La révision, en anglais il y a un peu ce verbe, « reflect » , c'est qu'en gros, chaque semaine tu te fais un petit review des tâches que tu as accomplies, de mettre à jour les trucs. qui ont été faits et qui n'ont pas été faits, pourquoi ça n'a pas été fait. Et surtout, tu remets le bon baromètre de priorité sur ces tâches-là. Si il y a des trucs que tu n'as pas faits, c'est peut-être qu'il faut les mettre à la poubelle. Si ça n'a pas été fait, pourquoi ça n'a pas été fait ? Et de remettre à chaque fois, de réflexe, de prendre le temps, de bien... Ce n'est pas juste de regarder les tâches que tu as à faire. C'est-à-dire, est-ce qu'elle est vraiment importante ? Oui. À quel moment... C'est quoi la priorité de cette tâche ? et que je la mets au-dessus de la pile et que tant que cette tâche-là n'est pas faite, je ne passe à aucune autre tâche. Donc vraiment, faire des reviews hebdo, c'est le mieux pour savoir vraiment où on en est avec pas avoir des tâches. Et moi, ça m'arrive souvent d'avoir des tâches qui meurent au fond de ta to-do list, tu sais. Et ensuite, c'est clairement quand tu fais après ta réflexion, ton review hebdo, c'est de mettre des nouvelles actions en place avec des engagements vis-à-vis de toi-même, vis-à-vis des gens, etc. avec ton temps et ton niveau d'énergie disponible et tes priorités. et ça vraiment tu verras, ça change mais tout, c'est des petites choses simples en fait, mais là c'est comme un truc en fait j'ai vraiment compris que dans la vie tu vois il y a là c'est dans un autre bouquin qui s'appelle Atomic Habits qui est un autre, donc des habitudes atomiques, qui est un autre énorme best-seller mondial si tu veux en fait changer tes habitudes et en fait tes comportements c'est qu'il faut surtout que tu changes Merci. pas de comment tu fais des petits actes, c'est vraiment de changer ton identité. Typiquement, tu veux arrêter de fumer, un fumeur qui veut arrêter de fumer, c'est dur. Si tout à coup, ta nouvelle identité, c'était un coureur, un futur coureur de marathon, un futur coureur de marathon, il ne fume pas. Et c'est beaucoup plus simple, ça fait du sens et c'est logique. Donc, quand je te dis tout ça, ces tips-là, c'est qu'en fait, la nouvelle identité que tu dois prendre, c'est la personne qui fait les choses, tu vois. La personne qui agit. t'es une personne qui agit et qui get shit done tu vois comme on dit en américain qui fait, qui ne sait même pas, il n'y a même pas vraiment la bonne expression je trouve en français, mais c'est qui se démerde pour faire les choses, tu vois, qui fait les choses, il n'y a pas de taxes, les choses elles sont faites, et ça vraiment ça change tout je trouve dans la productivité, surtout quand tu ne t'essaies pas d'être quelqu'un qui va faire des tâches, non, tu es quelqu'un en fait, tu es quelqu'un qui fait ça, et du coup tout ça, tout ce process, il fait du sens et c'est même dans ton ADN, et dans vraiment ce process là, il y a toujours des questions à se poser, Tu sais, quand tu as... quand tu as des projets vraiment même globaux et quand tu fais ton review hebdo, c'est pourquoi faire ça ? Qu'est-ce que ce serait la réussite de cette tâche ou même de ce projet ? Quelles sont les idées qui sont liées à ça qui peuvent être améliorables ou auxquelles je n'ai pas pensé ? Comment le réorganiser pour que ce soit encore mieux ? Et quelle est la prochaine action concrète ? Donc pourquoi faire ça ? Quelle est la réussite ? Parce que des fois, on pense qu'on a fait un truc et... Et on se dit, merde, on n'est pas content alors que si, c'est fait. Et inversement. Quelle est la réussite ? Quelles sont les idées auxquelles je n'ai pas pensé ? Et se poser cette question-là. Comment l'optimiser dans sa organisation ? Et quelle est la prochaine action concrète ? Franchement, moi, j'ai vraiment... En faisant ce hack-là et de l'implémenter ces dernières semaines, j'ai changé d'identité en arrêtant de me dire, je suis TDA, je pars dans tous les sens. Moi, c'est vraiment compliqué, la productivité. Je mets tous les trucs de productivité possibles en place. maintenant je suis en train de me dire moi je suis un mec Quand j'ai un truc qui me passe en tête parce que j'en ai plein, je le fais. Si ça me prend moins de deux minutes, je l'éclate sur le moment, terminé. Et après, je le drop et je m'en occupe plus tard. Et là, je planifie les tâches, etc. J'espère que ça va t'aider. Essaie de l'appliquer. Je ne sais pas quelle personne tu es, mais tu verras que si tu n'as pas peur de déranger, de t'arrêter de faire un truc par rapport à si tu es avec quelqu'un pour faire quelque chose sur l'instant, parce qu'on se dit, je ne vais pas embêter, je ne vais pas le faire maintenant, etc. Tu verras que les gens seront impressionnés et que toi, ça va t'enlever une charge mentale de fou furieux. Autre sujet, mais toujours un peu sur le thème de la productivité. Donc, j'étais à Bali. Ok ? Bali. fourmilière constante de bruit de mouvement d'action de vraiment de tout de tout en tout genre en fait c'est un truc c'est un bourdonnement permanent tu vois que ce soit les bruits des marteaux des marteaux piqueurs des travaux puisqu'il ya des travaux ça construit dans tous les sens clairement des coques des klaxons des scooters tu vois c'est enfin là où dans la zone C'est un peu là où les expats vivent parce que bon après il y a tout le reste de Bali qui est l'habitation touristique où tu vas le visiter là où on vit on va dire en tant qu'expat c'est plus dans ce qu'on a ça n'arrête jamais jamais jamais et le double vitrage n'est pas encore arrivé là bas c'est du négatif vitrage tu vois genre je pense ça amplifie même les bruits de dehors le vitrage qu'il y a là bas et j'arrive à Riga capitale de la Lettonie que je ne connaissais pas, mon cerveau il a vrillé. Genre il avait... Tu sais genre coucou, coucou, coucou... Mais parce qu'en fait il avait l'impression qu'on n'était pas dans une vraie ville, ou un vrai endroit pour lui. Il y avait plus de... Il y a plein de gens, il y a plein d'arbres, il y a plein de lacs, il y a plein de rivières, il y a de fleuves... T'es beau être dans une ville... Enfin non pour le coup il n'y a pas plein de gens, j'ai dit plein de gens mais... Il y a un calme incroyable. Il y a un calme incroyable avec... peu de bruit, le décor il est, je te dis, c'est des parcs, des arbres la rivière, tu te balades c'est apaisant il y a un espèce même les voitures elles vont doucement et en fait je me suis aperçu l'appart lui il a un super appart qui donne vraiment sur le fleuve sur le vieux centre c'est très agréable et pourquoi je te dis ça ? Parce que justement là Je viens de faire une journée de taf et je me suis dit en fait c'est fou. Je crois que j'ai fait plus en une journée sans me sentir fatigué que limite une grosse semaine à Bali. Parce qu'à Bali j'ai toujours l'impression que je cours après mon temps, que j'ai pas de temps à moi, que je suis en retard, que je fais plein de trucs, mais je fais rien de grand chose, de trucs importants. Alors que là t'es là, t'es posé, y'a pas de bruit. Mon cerveau je sens que, en plus en tant que TDAH, il ne prend pas. d'énergie à rester concentré, puisqu'il n'y a pas à être déconcentré, il n'y a pas de déconcentration, tu vois. Tout est apaisant, tout est calme, tout est agréable. Et pourquoi je te dis ça, c'est que je sais très bien que ton environnement, c'est vraiment le miroir de ta performance ou de ton échec, mais je voulais te le repartager, parce que là, j'ai vraiment pris une claque à quel point je sous-estime les micro-détails qui font que chaque fois... que tu as un élément dans ton habitation, dans ton environnement, qui soit te permet d'être plus au calme, plus productif, plus apaisé, ou soit qui te gratte un petit déconcentration, une petite énergie, où tu es un peu trop chaud, où tu es un peu trop froid, où tu es un peu ceci, où on te dérange. En fait, ça change tout. Surtout si tu es quelqu'un qui a du mal à se concentrer, qui a du mal à rester vraiment sur de la productivité longue. Je me suis dit, mais waouh, déjà en fait, la Lettonie ou l'Estonie, j'ai vu l'Estonie, c'est un peu cet effet-là, pays sous-côté, sous-côté pour se mettre au vert, au calme, en toute détente. D'ailleurs, tout à l'heure, ça fait partie des tâches que j'ai faites, je me suis réservé une cabane dans la forêt au bord d'un lac, parce que t'en as plein là-bas qui restent très raisonnables. Du coup, c'est quand même un peu moins cher que le reste de l'Europe. Et en fait, je me suis dit, mais waouh, c'est presque trop facile. de travailler, d'être productif. Tu m'étonnes que mon pote Rémi, c'est un entrepreneur de fou, parce qu'en fait, il est là. L'environnement est un catalyseur. Et lui, c'est aussi un mec qui se déconcentre facilement, qui a du mal à... Genre lui, il n'écoute pas de musique, c'est trop d'infos. Je me reconnais vachement. Et pourquoi je dis ça, c'est demande-toi en ce moment si tu avances ou pas sur des projets. Est-ce que tu galères à faire certaines choses ? En fait, change d'environnement, si c'est le cas. Une fois que tu l'as trouvé, mais garde-le parce que c'est ultra précieux. Et j'aime bien l'adage qui dit, tu peux pas guérir dans le lieu qui t'a rendu malade. Ben, c'est un peu pareil. En fait, tu peux pas être productif dans un lieu qui te demande de pas l'être, tu vois. Dans le sens où, et je vois Bali, tu peux pas vraiment être productif, tu peux être bien, tu peux te sentir bien, c'est cool, t'as une vie agréable, t'as une vie facile, mais t'es pas apaisé, tu vois. Y'a pas trop cet apaisement, tu se calmes bizarrement, en tout cas, surtout dans la zone, encore une fois, d'expats, avec tous les trucs un peu sympas qui te permettent de vivre, etc. Et là, je m'en suis rendu compte, ça m'a fait un bien fou, et si vraiment... tu es dans un projet, tu sens que tu n'avances pas, tu sens que ces derniers temps, tu procrastines. Putain, mais tu sais quoi ? Prends un petit budget et va dans un lieu calme, en pleine nature, et va dans un lieu, peut-être dans une maison que tu connais, ou chez des potes, ou retourne quelque part où tu sais que tu es au calme, et le calme vraiment, et le côté zen, rend le travail tellement plus simple, je trouve. Après, il faut faire très attention parce qu'effectivement... Trop longtemps, tu peux tomber un peu dans la léthargie parce que tu n'as plus de stimulation, etc. Mais c'est là où je trouve que c'est la puissance du mouvement, c'est de se dire parfois je vais me charger d'énergie, d'interaction sociale, et parfois je me mets en mode deep work, mais sur plusieurs semaines, voire mois, pour éclater des projets. Et c'est pour ça qu'il y en a qui aiment, moi je ne suis jamais allé, mais il y en a qui aiment beaucoup aussi Dubaï, parce qu'en fait c'est un truc assez petit, ultra calme, tu es dans des condos où tout est fait, où tout est dans ton bâtiment, tu n'as pas à sortir, tout est livré, et là pour le coup tu as du calme. Mais je me rends compte à quel point c'est l'apaisement et le calme, et c'est un des meilleurs accélérateurs de productivité. Donc, si tu galères en ce moment à avancer, demande-toi où tu pourrais aller. Peut-être que la Lettonie, c'est une bonne option. Autre sujet maintenant. Alors, je n'ai pas l'habitude de parler de ça, mais ça m'a tellement fait halluciner que je vais le partager, parce qu'ici, c'est un journal de bord. Je parle de tout ce qui me permet d'être libre. que ce soit mentalement, financièrement, physiquement, bref, c'est un tips en immo. En gros, je viens d'arriver en Lettonie, à Riga, chez mon pote Rémi de Truchy de Varennes, qui est un mec que j'adore, très smart, le type plutôt ingénieur, mais qui adore aussi tout ce qui est bourse, tout ce qui est business, il est très très fort. En fait, ce mec est très fort pour voir les leviers et les patterns qui permettent vraiment de... de démultiplier les potentiels en fait par rapport à une action donc tu vois le mec est quand donc un levier c'est le principe c'est de se dire tu es une action quand tu rajoutes un levier potentiellement tu fais x 3 x 4 sur les conséquences positives les bénéfices de cette action et lui il est très fort à voir ça et est en fait il adore faire plein de différents business et encore une fois il a cette partie très technique aussi très ingénieur est ce qu'il avait en business qui est là où j'admire beaucoup c'est que il se disait mais moi je débute potentiellement dans le business ? Qu'est-ce que je vais faire qui peut me faire avoir un effet de levier où je vais tout de suite accéder à des hauts niveaux de rémunération et de chiffre d'affaires si on ne me connaît pas et que je suis encore inconnu ? En fait, tout simplement, il s'est dit, je vais m'associer à des gens qui sont déjà des référents sur leur secteur, qui ont déjà des produits qui se vendent, qui ont déjà fait des gros chiffres d'affaires et je vais leur apporter une brique technique qu'ils n'ont pas encore et qui va simplement leur permettre de faire encore plus de chiffre d'affaires. Mais en m'associant à ces gens-là, je m'assure qu'il y a déjà des clients, une audience, une autorité, de la confiance, et qu'il y a une brique, qu'il y a juste ce qu'on appelle un pain, un problème, une souffrance qui n'a pas été réglée, et que techniquement, je vais arriver. Parce que lui, ce qu'il fait, c'est qu'il a fait ce qu'on appelle entre boîtes des joint ventures. C'est quand même une association, des partenariats, des collabs entre deux boîtes, avec ces gens-là, où il va développer des SaaS. donc des sas C'est typiquement un logiciel comme Notion, Asana, tous les logiciels de montage en ligne, tout ce que tu peux faire en ligne, qui est un logiciel qui n'est pas local, mais sur Internet. Et du coup, il me dit « Hey, regarde, on a développé un nouveau SaaS pour de l'IMO. » Je dis « Ok, cool. » Il me dit « Ça fait quoi ? » Il me dit « En un clic, tu trouves le bien qui va être soit rentable, soit pricé énormément en dessous du marché. » Et je dis, ah, cool. Mais bon, l'immobilier, en ce moment, c'est quand même pas foufou, mon gars. Il me sort un punchline, ce qui est fort. Il me dit, tu trouves le bien en un clic, mais tu le finances en deux clics. Je fais, comment ça ? Il me fait, déjà, regarde. Il me fait une démo. Tu vas voir comment il se le fait financer, c'est assez fou. Mais, premier clic, en gros, il me dit, regarde, on arrive sur le logiciel et tout. Il me dit tu viens d'où, de quel patelin ? Donc je donne mon patelin, voilà, c'est des marnes, tac tac tac, il m'écrit et là en une seconde cinq, je me retrouve avec plusieurs biens. qui effectivement sont bien en dessous du marché, où j'hallucine du prix, je me dis non c'est pas possible, pas ce prix là et truc, et surtout il y a tout un listing en fait de chiffres, le prix, normalement tu as le prix au mètre carré du secteur, mais en fait qui est surtout là du secteur, enfin qui est du bien en question, tu vois la différence, ça te donne aussi, et ça j'ai trouvé ça hallucinant, le taux d'occupation de ce type de biens dans ce secteur sur Airbnb, tu fais de la location courte durée si c'est de l'investissement locatif, Le nombre, surtout le loyer moyen que tu peux espérer, si tu oses, encore une fois, l'investissement locatif, mais là, long terme, que tu peux espérer avec ce type de biens, tu as le taux de remplissage, le taux d'occupation. Ah oui, tu as le taux d'occupation moyen aussi. Le prix de la nuitée moyenne sur Airbnb, mais aussi le taux d'occupation moyen dans ce secteur-là. Et tu as tout plein de chiffres que, en fait, déjà, moi, je ne sais pas, je n'ai pas accès, je ne sais pas comment on les calcule, j'ai la flemme, et en fait, ça a commencé à m'intéresser, Pourquoi je te dis ça ? C'est que moi, quand j'ai acheté mon bien, je me suis dit, mais ça n'existait pas. Mais si ça avait existé, j'aurais économisé quasiment 17 000 euros. Tout simplement. Pourquoi ? Parce que moi, j'ai voulu investir dans l'IMO. J'étais encore influenceur voyage. Je n'avais pas le temps. J'avais surtout la flemme. Les chiffres, ce n'est pas mon truc. Tu sais des fois les chiffres qu'il faut avoir, mais tu ne sais pas forcément les calculer. Tu ne sais pas où les trouver. Je trouve que c'est une tannée, ce truc. Il faut vraiment aimer ça et vouloir passer beaucoup de temps. Ce que moi, je ne voulais pas. Je voulais juste investir et trouver le bon bien. Mais du coup, moi, je suis passé par une agence. Et l'agence, elle m'a demandé 8%. Ça a doublé mes frais de notaire, en gros. Et 8% de l'appart que j'avais acheté, qui devait être à 237 000 euros, ça fait en gros 18 000 balles. 18 000 balles, voilà, tu vois. Donc, lui, son logiciel, il vaut quelques centaines d'euros. Et je me suis dit, putain, si j'avais eu ce logiciel-là, ça m'aurait été quand même... Ça m'aurait bien économisé du temps. du temps, de l'énergie, t'étais sûr d'avoir le bien. Et surtout derrière, il y a un truc qui est génial, c'est que moi j'ai galéré aussi. Parce qu'à côté de ça, moi ça ne m'a pas assuré d'avoir mon financement. D'ailleurs j'ai un peu galéré. Et c'est là où il me dit, mais non mais regarde, en un clic, tu es à peu près sûr de te le faire financer. Comment ça ? Parce qu'on a un courtier à qui en fait quand tu cliques, ça envoie le dossier. Et notre courtier en fait, lui, il a un taux d'acceptation de 80%. Tu vois, quand il accepte de partir avec toi. Donc il y a un moment donné... Je me suis dit que ça fait beaucoup de trucs. Je me suis dit que je pouvais te partager ça. Moi qui pense aussi à l'IMO, je trouve que c'est quelque chose qui est puissant. Ce n'est pas non plus que tu appuies sur un bouton, tu as un taux de rentable, etc. Mais que tu veuilles acheter pour toi aussi, à titre personnel, ta résidence principale, ou pour du cashflow ou de l'investissement locatif, je me suis dit que ça peut être un super tip. D'ailleurs, je t'ai mis le lien de son logiciel en description. check ça parce que je les trouvais encore une fois et il me regarde avec sa petite tête tu sais de mec satisfait je dis franchement il dit franchement c'est fort il dit franchement c'est fort et je suis rarement bluffé et surtout j'étais là en mode plutôt sceptique de l'immo tu vois en ce moment bah en fait bah en fait non il me dit attention la plupart des gens ils vont sur leboncoin ou se loger et en fait là c'est plugé notre logiciel il est plugé à plus de 800 sites d'immo en fait à travers la France que tu connais pas parce que c'est des petites agences locales et que en fait des fois tu sais pas chercher dedans c'est pas listé et nous on fait remonter les petites pépites bref au cas où tu penses à ça je me suis dit que ça pourrait peut-être être utile Alors maintenant, autre sujet qui n'a rien à voir mais qui va être sur la création de contenu. Un sujet qui me tient vraiment à cœur et qui est quand même méga important, qui n'a jamais autant été. J'ai fait un tournage de bi-rôles, de plans d'illustration, vidéos, juste avant de partir de Bali. Et si tu en as envie d'en faire, parce que à quoi ça sert encore une fois, c'est comme je te le disais en intro, c'est vraiment des vidéos où tu vas pouvoir faire des voix-off. ça te permet vraiment de poser ta voix, de prendre le temps d'écrire le scénario, de vraiment choisir tes mots et de pouvoir diffuser vraiment tes valeurs, ton histoire. Tu as un vrai beau storytelling et ça t'évite de le faire face cam où l'exercice est quand même beaucoup plus dur. Là, tu peux lire ton texte, faire la voix et justement mettre des images dessus. Mais au lieu de mettre des images libres de droit comme on voit beaucoup, « Oh, je suis fatigué, il y a une image de quelqu'un qui est fatigué, mais qui ne me ressemble pas, qui est si toi tu es un renoi et que… » et en fait tu vas mettre l'image d'une personne plutôt asiatique qui est fatiguée parce que ça se trouve en shutterstock, dans les images, c'est pas ouf, ça matche pas. Et donc le but c'est d'essayer de se faire sa propre base de vidéos, de banque d'images vidéos pour soi-même, et soit en fait tu vas essayer d'en filmer plein d'un coup, et puis après tu vas les réutiliser en fonction du besoin à ce moment-là, soit tu vas filmer par rapport à ce que tu as besoin, par rapport à une vidéo que tu as déjà écrite. mais alors moi ce que j'ai fait c'est que j'ai pris prestataire extérieur donc un filmmaker d'acheter une fille de makeuse je dis ça mais il était dehors et si tu le fais que ce soit pour toi ou avec un pote ou avec une personne que tu as payé et en vrai en deux heures on fait énormément de plan donc ça coûte pas si cher tu vois ça te coûter je pas 200 balles 300 balles 400 balles en fonction de mais tu peux prendre que deux heures tu vois tout simplement et tu demandes et davantage si tu peux Il ne facture pas le montage, il n'a pas à monter, juste il a besoin de filmer. Ce que tu fais en amont, pour être vraiment prêt, c'est que tu vas vraiment imaginer tous les types d'actions, de mood, d'expression du visage. Même si tu n'es pas acteur ou extrait studio, mais qu'est-ce que tu fais chez toi ? Qu'est-ce que tu fais dans ta vie quotidienne ? Quels sont les plans qui vont illustrer ce que potentiellement tu vas dire dans tes contenus ? Et tu vas prendre soin d'un seul lieu. Moi, c'était dans une villa. un peu sympa, que je peux potentiellement tu vois louer pour moi, qui est un lieu de vie, mais tu peux te dire, tiens moi aussi je vais courir, je vais à la salle, il y a peut-être un ou deux lieux, et le tournage il prend 2-3 heures, ça prend un petit peu plus de temps, mais c'est faire ce qu'on appelle une shooting list, c'est ta liste de tous les plans que tu veux, c'est important de la faire, parce qu'une fois que tu es sur le moment de dire, ben non mais voilà tu me prends là en train de bosser, mais non ça veut dire quoi ? La shot list, ta shot list c'est vraiment de te dire tous les shots, plans que tu veux. Donc, je veux un gros plan sur moi avec, je sais pas, en amorce l'ordinateur, je veux un plan large, je veux un plan où je me passe la main sur le visage parce que j'en peux plus. Encore une fois, t'as pas besoin d'être acteur studio, tu peux être quelqu'un qui te donne la réplique ou t'essaies de... ou t'es en mode naturel, ou t'es en mode concentré sur ton ordi. Ça peut être quand tu fais ton café, ça peut être quand tu fais la sieste, ça peut être quand tu regardes par la fenêtre. Tous ces trucs-là, faut le réfléchir. Si t'as pas assez d'idées... encore une fois, demande à ton meilleur ami de chat GPT qui va te dire tous les trucs que tu peux faire et te donner plein d'idées. Mais c'est vraiment important que tu fasses une shot list parce que sur le moment, tu vas être en mode bon, je crois qu'on a à peu près tout et tu vas être dégoûté parce que t'as pas assez. Il faut également l'envoyer, si tu le fais avec un freelance, un filmmaker, lui envoyer en amont parce que lui, il saura aussi quels objectifs et comment filmer, etc. et à quoi s'attendre. Donc s'il doit faire des gros plans, les objectifs sur sa caméra vont pas être les mêmes que s'il y a que des plans larges, etc. Donc ça, c'est important. La deuxième chose, c'est aussi d'envoyer des intentions. Tiens, voilà ce que j'aime. J'aime bien ce mood-là, j'aime bien ces angles-là sur tel créateur de contenu, sur tel release ou TikTok ou ce que tu veux, et de l'envoyer pour que la personne, elle sache vraiment ce que tu veux essayer d'en faire. Parce que tu dis, moi, le résultat final, je veux que ce soit ça. Ah, OK. Si tu veux que ce soit ça, il faut que je fasse gaffe à comment je te filme, de quelle façon, etc., la vitesse. Peut-être que justement, il faut que je te filme souvent au ralenti. etc etc et ça pour le coup c'est ultra ultra important de vraiment cadrer les choses et même si tu prends un ami en fait si c'est encore plus si c'est quelqu'un qui est pas professionnel si tu lui montres le résultat que tu veux ou la façon d'être filmé même si tu vois le gars est pas un pro il va essayer de leur faire avec son téléphone etc et c'est beaucoup plus simple donc si tu dis je veux ça de cette façon là fois et là tu es sûr que tu vas avoir ta petite shot list et après soit tu essaies de monter ça toi même Soit tu renvoies ça à un monteur, mais le monteur l'avantage, c'est qu'il a à mettre juste les images qu'il voit avec tel mood sur le texte, et c'est quand même beaucoup plus simple. Et comme ça, tu n'as même pas besoin de prendre le même filmmaker, parce que des fois les filmmakers sont plus chers qu'un simple monteur. Ça, ça a été... Je vais te donner d'ailleurs, je ferais que quand j'aurais publié quelques-uns des réels voix-off avec ça, je te donnerais les résultats des stats de ces rilles, si ça a marché ou pas du tout, parce que peut-être que ça va être complètement nul. et je te ferai un feedback sur ce support-là ou ce type de contenu. en toute transparence mais au cas où tu y avais pensé et si tu n'y avais pas pensé je t'invite à le faire parce que c'est vraiment un cool comme contenu et si tu y avais pensé surtout pense à faire ta shot list et vraiment des liens d'intention pour pouvoir toi t'inspirer ou le filmmaker qui puisse savoir quoi filmer maintenant je voudrais partager quelque chose où j'ai été plutôt très content de moi c'est que moi un de mes gros points faibles c'est je pense que je ne suis pas le seul mais c'est de demander de l'aide tu sais j'ai toujours l'impression qu'il faut tout que je fasse tout seul que c'est un peu une honte de demander de l'aide, que je vais déranger aussi, tous ces trucs-là qui sont des pensées limitantes et qui t'empêchent d'aller 100 fois plus vite parce que quand tu demandes de l'aide, tu poses une question à quelqu'un qui a la réponse et qui du coup, tu n'as pas à te prendre la tête à essayer de la trouver, à te planter, etc. Et bref, ça va 100 fois plus vite. Et là, j'étais en mode, ok, j'ai envie d'avoir accès, rentrer en contact, et c'est d'intéresser des top managers, des top entrepreneurs. ou des founders de startups pour créer des immersions. Mais c'est un monde que je ne connais pas, encore une fois. Et j'ai vraiment envie de rentrer en contact avec eux. Et je me suis dit, putain, mais qui sont les mecs que je connais, qui sont les meilleurs en networking et qui connaissent tout le monde ? Et j'en avais deux, et notamment Valran du Crayon Média, qui est un jeune absolument talentueux et incroyable. Le mec, il a deux centrales nucléaires à la place du cœur et il en voit avec sa sœur Sixtine et lui, il connaît tout le monde. Il a quand même interviewé le président. À partir de là, voilà, terminé. Et je lui dis, je lui dis excuse-moi, j'ai vraiment le hack que je veux te donner dans le fait de demander de l'aide, parce que ce n'est pas simplement de demander de l'aide, tu verras qu'elle a été importante, c'est je n'ai pas tant demandé de l'aide, excuse-moi, j'ai besoin d'aide. Ce n'est pas ça que j'ai dit. Je me suis aperçu que ce qui était puissant, c'est que j'ai demandé son avis. Et la plupart des gens, donner de l'aide, En fait tu peux me filer un coup de main Tu sais que ça va te prendre du temps Ça va être chiant, tu as ce truc de jouer, vas-y, c'est un truc négatif. Parce que si tu as besoin d'aide, c'est que tu as un problème, du coup tu m'amènes un problème, du coup c'est chiant. Par contre, les gens adorent donner leur avis. Parce que si tu demandes l'avis avec quelqu'un, c'est que tu veux en fait, tu estimes que son avis, ce qu'il pense, que cette personne la pense, a de la valeur. Donc tu le mets sur un piédestal, tu le valorises, tu le flattes. Tu le flattes mais naturellement en fait. et ça les gens ils adorent, ils se sont donné le ravi sur tout un nombre de fois où tu parles avec des gens et ils disent « Moi je crois que tu connais ce sujet ? » « Non ouais mais ta gueule ! » Donc j'ai demandé son avis et je lui ai dit « Toi qui es un mec que j'admire le plus sur networking, et c'est vrai, comment tu ferais pour avoir accès à justement tous les top entrepreneurs, des founders, etc. » Et le mec, vu qu'il est vraiment très accessible et adorable, franchement je lui fais un bisou, merci Valran, il m'a filé des conseils. Et ce que j'aime aussi... dans les avis justement que tu demandes à quelqu'un, c'est qu'en fait, ce qu'on va te donner comme tips, c'est souvent pas par le chemin que tu imagines. Genre toi, tu es devant la grande porte, tu dis « Comment on fait pour aller à la grande porte ? » Il dit « Attends, regarde, il y a la fenêtre qui est ouverte, on peut rentrer par là. » Elle dit « Ah ouais, j'avais pas pensé, c'est encore plus simple, c'est intéressant. » Un des tips qu'il m'a donné, déjà il m'a dit « Moi, ce que je vois, c'est qu'en fait, tu fais une immersion à 2-3 heures de Paris max pour pas que ça prenne trop de bandes passantes. Parce que ces mecs-là, ils ont vraiment pas le temps. Et moi déjà, c'est con, mais inconsciemment, j'avais jamais pensé à ça. Parce que j'étais tellement en mode immersion, je suis un voyageur, je t'emmène à l'autre bout du monde, des pays, etc. que je trouvais ça pas sexy forcément de me dire on fait une immersion en France, tu vois. Alors que si ces mecs-là, je les connais pas, ou que je veux rentrer en contact, ou que j'essaie de leur donner un petit peu l'envie, etc. Ben, tu vas pas leur dire, viens. je t'invite à gravir l'Everest, c'est plutôt genre, eh, on va faire le tour du parc là ensemble pour voir si ça se passe bien et que t'aimes bien, et puis après on va se chauffer sur une autre rando quoi. Et j'y avais pas pensé, et que en plus, quand il m'a dit ça, j'ai cliqué, ça m'a fait clic sur un pote qui a acheté un domaine à Chantilly, donc qui est juste à côté de Paris, qui avait envie de faire des immersions, je lui ai envoyé un message, il m'a dit ouais, on peut peut-être collab, pourquoi pas, à voir, mais en fait, tout ça c'est parti de clac J'ai demandé de l'aide, mais j'ai surtout demandé un avis. Et franchement, quand tu fais quelque chose, on dit souvent « demande des feedbacks, des conseils, demande de te faire aider » . En fait, demande un avis à la personne. T'en penses quoi de ça ? Tu ferais comment toi ? Et plutôt que « ouais je galère, tu peux pas m'aider » , amène-le différemment. Et tu vas voir que les gens vont t'aider. Et fais-le sur tout ce que tu fais. T'en penses quoi de ça ? Tiens, j'ai fait ça, t'en penses quoi ? Plutôt que « je galère sur ma page de vente, je sais pas trop quoi faire, est-ce que tu peux m'aider ? » Et en fait, quand tu t'amènes ça comme ça, genre « attends, j'ai pas le temps, faudrait que je vois ça, là c'est un peu chaud. » Y'a celui genre, hé regarde, t'en penses quoi de ma page, tu crois qu'elle est cool ? Et là, ils vont dire, ça, c'est pas bien, moi, j'aurais fait ça comme ça. Et vraiment, moi, j'étais épaté, déjà, de l'accessibilité, mais surtout, en fait, des insights que t'as et de cette tournure de phrase que j'ai trouvée, du coup, très puissante en termes de taux de transfo sur les retours que j'avais pu demander à différentes personnes. J'espère que ça pourra t'aider. Demande pas un conseil de l'aide, demande un avis. Maintenant, dernier sujet avant de passer au fun fact qui découle d'une conversation que j'ai eue avec mon pote Rémi. qui a vraiment mis une claque. On était dans un petit bar à cocktail sympa, alors je bois quasiment plus d'alcool, mais justement là on est dans un vrai petit bar mixologie avec un cocktail avec mon alcool préféré au mescal, le Oaxaca Old Fashion que je ne connaissais pas, qui m'a fait découvrir, ce qui a ouvert plein de discussions sympas et philosophiques, et dont une où en fait il me dit, tu sais dans la vie, on est tous proactifs sur nos rêves, on est toujours en train de dire... Je rêve de ça, j'aimerais bien ça, je veux ça, c'est ça mes objectifs. Mais on ne l'est pas sur nos regrets. Je dis comment ça ? On sait ce qu'on veut, mais on ne sait pas ce qu'on est prêt à ne pas vouloir. J'ai beaucoup aimé parce qu'en fait, il dit que quand tu choisis une voix, ça veut dire que forcément tu dis non à toutes les autres. Quand tu dis, je vais me marier, ça c'est la femme de ma vie, moi ça fait déjà 10 ans que je suis avec, j'accepte le « regret » de ne pas avoir de relation sexuelle avec plein de femmes, parce que j'ai une vision traditionnelle, etc. Et d'un côté, le fait d'accepter ce regret, parce que ça peut trotter dans la tête, c'est aussi de l'annuler ce regret, c'est de se dire non. Parce que quand tu veux quelque chose, des fois tu veux quelque chose, tu te dis, c'est vrai que ça aurait été bien ça. Ah oui, là je viens d'acheter ma maison et j'aurais bien aimé voyager, ou alors là justement je pars voyager, mais c'est vrai que j'aurais bien aimé trouver quelqu'un, ou fonder une famille, ou là je lance un business dans les immersions, mais j'aurais pu monter une grosse boîte avec des employés, avoir un truc qui peut se revendre. Et tu sais, des fois tu ne te dis pas en fait, tiens je choisis ça, donc j'arrête de vouloir ça. Et les regrets, ça a vraiment été quand il m'a dit ça, je trouve un truc super beau. Pour le coup, il y a un truc que j'aime bien faire, c'est que quand je ne sais pas ce que je veux, j'essaie de comprendre ce que je ne veux pas. Et là, ce qui est encore plus beau là-dedans, c'est pas de se dire que tu n'en veux pas, parce que c'est potentiellement quelque chose d'attirant, qui peut être cool, et c'est ça le plus dur dans les regrets, c'est de se dire, putain, je regrette de... Ouais, c'est cool, j'ai fait ça, mais je regrette quand même de ne pas avoir fait ça. C'est finalement quand tu choisis intentionnellement tes regrets, c'est dire je choisis que je ne ferai pas ça même si ça a l'air cool sur le papier et je fais la paix avec ça en fait. Et c'est comme si en fait tu prends le temps de fermer les portes parce que la vie plus t'avances, plus t'ouvres des portes. Des portes de... et surtout plus tu sais de choses, plus tu comprends des choses, plus tu connais des gens, plus tu voyages dans le monde, plus en fait tu peux faire plein de choses. Et c'est souvent le problème des gens qui veulent se lancer à je veux lancer un business, je veux lancer... Je ne sais pas dans quoi, il y a tellement de choses, je suis multipotentiel, moi je suis slasher, moi je suis zèbre, moi je peux te faire tellement de choses. Ben oui justement, choisis tes regrets. Si c'est le cas, choisis tes regrets. Choisis en fait que t'es ok de ne pas vouloir faire et que ce sera ok en fait. Et que tu fermes cette porte et que tu te focuses justement sur ce qui à la base peut être justement l'opposé de ce choix et qui aura pu créer ce regret de se dire non. J'ai vraiment aimé parce que je suis quelqu'un qui me dit souvent, moi je veux vivre sans regret, je veux pas avoir de regrets, dès que je veux faire quelque chose, voilà je le fais, etc. Mais je suis aussi quelqu'un qui dit, si tu dis oui à ça, à quoi tu dis non en fait ? Parce que je peux pas, si à un moment donné, moi j'aime voyager, mais j'ai aussi envie de fonder une famille, donc ça veut dire que si j'ai envie de fonder une famille, je dis non aussi à un certain forme de liberté que j'ai aujourd'hui jusqu'à mes 42 ans. Il ne faut pas que ce soit un regret. J'accepte ce regret potentiel de me dire « je ne pourrai plus faire ci, ça, ça. » Et prendre ce temps de faire la paix avec ça. Et que ça n'en soit pas un et de me dire des années plus tard « je choisis de l'avoir, je suis OK, je m'en fous. » J'ai beaucoup aimé. Parce que je n'avais jamais pris le temps, je suis un mec qui passe beaucoup de temps à penser à ses rêves, à comment il les réalise. Je n'ai jamais pris le temps de me dire « quels sont les regrets que je suis OK d'avoir dans ma vie ? » Quels sont les regrets où justement je vais vouloir m'impliquer, je vais vouloir vraiment... aller plus en profondeur sur des sujets et me dire, les autres, non, pas besoin, je veux pas. J'aurais pu, oui, parce que le plus dur dans la vie, c'est pas parce que tu peux que tu dois le faire. Le problème aujourd'hui, c'est qu'on peut faire tellement de choses qu'on a un peu le regret de ne pas tout faire. Du coup, on a cette paralysie décisionnelle, voire même d'être dans la paralysie de l'action, la procrastination folle de se dire, je le fais pas ou je... Ouais, je veux faire ça, mais je veux faire ça. La FOMO, c'est plus de la FOMO, en fait. Je veux tellement être partout que je suis nulle part et que je ne fais rien. Et en acceptant profondément de réfléchir à ses regrets et de les choisir intentionnellement et pas se les prendre finalement dans la gueule à la fin de sa vie, je trouvais ça très beau. Donc, je te pose la question. C'est quoi les regrets que tu choisis d'avoir ? Et maintenant, pour finir ce nouveau journal de bord, je vais finir par le petit fun fact. Petit fun fact qui est mon voyage. de Bali jusqu'en Lettonie. Et je dirais qu'en ce moment, je suis vraiment dans une quête de gestion de mes émotions. D'être capable de les voir, mais de ne pas succomber aux émotions auxquelles je n'ai pas envie de succomber. Et de choisir d'être intentionnel et non pas réactif dans mon émotion. C'est-à-dire, de ne pas juste vivre et de gueuler ou d'être en colère si je ne me suis pas dit que c'était OK. Et d'avoir cette espèce de sas, de contrôle, de conscience en fait, sur mes émotions. De ne pas me laisser envahir. Parce que je veux être vraiment dans cette maîtrise consciente et saine de mes émotions. Ça, c'est ce que j'essaie de faire en ce moment. Et du coup, c'est ce que la vie a voulu tester pour voir où j'en étais en fait. Voilà, c'est bien, donc tu bosses, on va faire un petit test. Devoir surprise. Allez, c'est parti. Sortez une feuille, une feuille de commandienne, une feuille A4. Une double feuille, c'est parti. C'est parti. Alors moi, je devais prendre l'avion à 8h du matin, donc ça devait piquer un peu. Tu te lèves à 5h, truc, machin, mais j'avais 7h de vie à Singapour, je dis bon, l'aéroport il est cool, vas-y, on y va. Sauf que, 3 jours avant, éruption volcanique en Indonésie. Alors ça, chiant. Du coup, je me suis dit qu'ils vont annuler le vol, mais bon, ça va, c'est cool, une petite pression déjà. Donc là, on reste calme. On regarde les news, on est là, on a développé mon vol, faut pas, je peux pas trop. Parce que déjà, c'est chier d'en racheter un. À la dernière minute, ça coûte au moins 1 500 balles. Bon, ça fait un peu chier. Et puis en plus, surtout, je veux pas rester bloqué trop longtemps parce que j'ai une immersion à donner. Donc la petite pression monte. On reste conscient, on respire, on regarde ses émotions, on n'est pas réactif. Ok, je vois que le vol n'est pas annulé, mais il est à 19h. 19h, et il me reste plus que 2h de via. A Singapour. Bon, deux heures de voyage, j'ai déjà fait. Fluide. Je vais m'enregistrer, sauf que j'avais pris un billet pas excessivement cher, que je ne sais pas, que je trouvais cool. Et du coup, je pars avec une compagnie. Mais à Singapour, c'est une autre compagnie. Ça, c'est chiant. Je n'avais jamais fait ça. Donc, en fait, ils me disent, « Ah non, mais nous, on vous emmène à Singapour. Après, il faut récupérer vos bagages, passer la douane, vous réenregistrer avec l'autre compagnie, repasser la sécurité et la douane. » de Singapour pour pouvoir embarquer. Et là je dis en deux heures, parce que là potentiellement, ce enregistrement ferme une heure avant, je dis oui, donc je suis allé quand même. Donc là j'ai une pression, je suis pas bien, en vrai là je suis pas bien, je lui demande mais il n'y a pas moyen, le mec ne peut rien faire. Donc là, voilà, on respire, gestion émotionnelle, la vie me taquine, pas de problème. En avant, je vais aller justement à Singapour Airlines sur l'autre vol pour le long courrier pour aller directement l'asseter à Helsinki. Ah non, Copenhague, ils ont changé du coup avec le volcan. Bref, je m'en foutais, c'était juste ma vie. Et ils me disent, ben non, on peut pas vous enregistrer là, mais bon, je vais faire une petite note, truc. Puis je lui dis, mais attendez, mais les bagages, comment on fait ? Ah non, justement, il faut passer la douane, ils me redisent tout. Donc là, je suffoque un peu. Donc, je me dirige vers la porte d'embarquement et je veux passer la douane, tu vois. La douane, tranquille, je me dépêche parce que je ne veux pas être en retard. Je ne veux surtout pas le louper pour au moins m'assurer le premier vol. Parce qu'après, on ne sait pas ce qui va se passer. Je suis à la douane. Je suis resté un mois. J'ai fait mon extension de visa. Et là, le mec, il me fait, tu as fait une extension de visa ? Je fais oui. Je lui dis, vas-y, montre. Impossible de retrouver la preuve de l'extension de visa. Donc là, je commence à paniquer un petit peu. Donc là, je commence à puer très calme. Là, l'exercice, la vie, je commence à ne pas être très bien noté. genre je me dis là, la petite interro surprise je commence à pas être bon et là en fait il me dit ah j'ai une mauvaise nouvelle j'étais sûr de l'avoir fait, c'est ça qui me rend dingue j'étais là j'arrive pas à retrouver le mail, le truc, j'étais sûr de l'avoir fait et que ça a été validé, je l'ai fait ça c'est sûr mais je pensais que c'était validé pas une bonne nouvelle pour toi dude il me fait dude mais j'ai vu un mec sympa un jeune il fait a pas fait la photo à l'immigration j'étais quoi tu me parles j'ai déjà fait maintenant ça se fait sur internet chez non ça oui mais non en fait parce que maintenant là depuis dix jours il ya une nouvelle loi où faut aller à l'immigration pour faire la photo je dis mais ça c'était il ya deux ans fait non mais on l'a remis il fait non mais le mieux c'est que tu annules ton vol tu fais le truc je ne peux tu me parles j'ai fait l'extension fin genre j'ai J'ai mon vol là. J'ai l'envol et je sais pas si je vais tous avoir mes collègues. Il me fait mes valas vers l'overstay. J'ai déjà allé au bureau qui est à 4 mètres sur le côté. Ils te font payer 80 euros de overstay parce que j'avais mal compté. C'est 30 jours le visa. Et moi j'étais resté un mois. Et un mois ça avait fait 31 jours. J'ai payé 80 balles d'overstay. Chiant. T'es là, tu perds 80 euros comme ça pour rien. Juste comme ça, t'as mal compté. J'y vais et là elle me dit Donnez-moi votre passeport. Et te le rendent pas direct, genre ok on a vérifié. Je fais asseyez-vous là-bas. Je dis non mais je vais pas m'asseoir, j'ai mon vol là. Là je dois embarquer. Je dis asseyez-vous là-bas. Je dis mais combien de temps ? Monsieur, asseyez-vous là-bas. Donc là tu pètes là, zéro, nul. Là j'avoue je commence un peu à m'énerver. Là je commence à paniquer. Là je commence à fail le test. Le test de gestion émotionnelle. Donc vraiment là je suis pas bien tu vois. Je suis en mode, je finis par m'asseoir. Je dis combien de temps ? Il me fait 10 minutes. Oh, 10 minutes. Je vois l'heure qui... passe là je me dis qu'il va pas louper le premier vol j'ai déjà assez suspens sur le reste tu vois elle me dit de venir fait écoute j'ai un deal pour toi je fais ou quoi on est au marché les gars c'est quoi c'est le sou tu vas me dégo tu veux oh comment ça se passe elle me dit bon t'as pas fait la photo chimique et le photo chez mais il ya une nouvelle loi qui fait ok d'accord cette nouvelle loi qui est passé il ya 17 heures là qui est en train de faire passer mais qui apparemment est vrai que j'ai confirmé elle me dit je te conseille d'annuler ton vol et d'aller faire à l'ambassade pour faire ta photo demain. Je lui ai dit, mais non, t'as pas compris, je vais pas juste à Singapour faire un retour pour un visa run. C'est pas un billet que j'ai payé 40 balles. Elle me dit, ok, si tu veux prendre ton vol, il faut que tu payes l'amende d'overstyle du coup. Je lui ai dit, mais j'ai fait la demande d'extension. Oui, mais elle est pas validée puisqu'il n'y a pas la photo. Donc là, on arrive sur des trucs, tu sais, où tu perds ton calme, t'as envie de tous les gifler, tu te fous de ma gueule. je dis vas-y c'est combien ? elle me fait bah là t'as 8 jours Donc 8 fois 1 million, c'est 8 millions, 8 millions, en gros c'est 450 balles. Là, t'as sali, je dis bon vas-y on va payer. Femme, t'as du cash ? J'ai dit mais on est à l'aéroport, on n'est pas sur un poste frontière où t'essaies de m'arnaquer. Je lui dis, c'est quoi ce truc ? De quoi tu me parles ? Non j'ai une carte, j'ai pas de cash, j'ai pas 450 euros en cash. Femme, je t'accompagne au distributeur. j'ai dit mais attends dans ma tête j'ai fait mais c'est quoi c'est une arnaque je me suis dit Je lui dis mais c'est un scam, c'est une arnaque. Elle me regarde et me dit non, c'est la loi. Je me dis on est à l'aéroport. Elle me dit, va chercher le distributeur. Il y a un espèce de shortcut qui te fait passer derrière l'immigration. Franchement, j'ai pensé à essayer de leur dire, je vais faire une photo à l'immigration, rendez-moi mon passeport et de repasser derrière parce qu'en fait ça te faisait passer. C'est une espèce de passage secret qui te fait passer derrière l'immigration, de la douane. Mais j'aurais pas eu mon passeport, mon tampon de sortie, je me suis dit bon, donc j'y vais, je galère à trouver le machine à retrait là, pour le cash, évidemment l'heure elle tourne. Moi je suis là, je suis déjà pas bien, du coup je me dis, je reviens, et je paye 450 balles. 450 balles, comme ça, cadeau, où tu t'attends pas, où tu t'es fait violer en fait. Tu sors un énorme liasse, il compte, j'étais prendre mon vol, et là, donc là je suis pas bien. Donc là j'ai fail le test, je suis même pas au rattrapage Autant te dire que je me suis bien énervé Alors qu'il faut pas C'est vraiment les derniers, il y a pas ça qu'il faut blaguer Ou faire le kéké C'est les douaniers, parce qu'ils peuvent tout faire J'arrive à Singapour et là je suis en speed Là je suis en mode Formule 1 Je suis en mode parcours Je suis en mode, vas-y, clac, clac, clac J'esquive les gens, pam, pam Je regarde ma valise, tac, j'arrive à la voir Je dis, excusez-moi j'ai besoin de refaire, donc là j'arrive à passer la douane le truc, ah oui la douane, incroyable fallait remplir le scan le formulaire de machin ok, super donc je suis en panique, j'ai besoin j'ai mon vol, parce que là on oublie pas on a une heure et demie, j'ai pris mon vol ah oui ce que je t'ai pas dit, c'est que le vol il avait une demi-heure de retard donc il me restait plus qu'une heure et demie donc là en fait je suis en mode panique j'essaie de visualiser visualisation, positif, tout va bien Je suis avec la meuf, je suis devant un espèce de truc, il faut passer un QR, QR, que t'as avec un formulaire, non mais là c'était un sketch, j'enregistre, donc je fais les trucs, la meuf elle me dit « No panic mister, please no panic » . Une petite vieille, une petite vieille, je pense qu'ils ont été à Singapour, ils engagent les seniors pour leur faire des jobs, je pouvais pas lui en vouloir mais j'avais un peu envie de la gifler, mais elle m'aidait donc d'un côté c'était pas elle de prendre la gifle tu vois. J'enregistre, je fais tout le truc. Mais vu que j'étais en panique et que mes doigts étaient un peu fêtés, un peu tremblants d'énervement, de panique, j'arrive, je scanne et ça passe pas. Je dis, mais attendez, madame, ça passe pas. Elle regarde, elle fait, mais c'est pas ton numéro de passeport. Je m'étais trompé d'une lettre. Je refais tout. Mais là, je pète un câble. Je refais tout. Je passe, je cours, je chope mon bagage. Je suis avec mon petit trolley, le petit chariot. J'ai dit bonjour, où est-ce que c'est l'enregistrement de Singapour Airlines ? Et la meuf... Il me dit je sais pas, je revois un autre gars, je vois un plein d'informations, je lui dis écoute, bonjour, il y avait des gens, je passe devant tout le monde, je dis bonjour, j'ai un vol là dans une heure et je dois aller enregistrer. Il me fait c'est quoi le numéro de vol ? Il check, il me dit, il me regarde, c'est le mec qui a une mauvaise nouvelle à t'annoncer, il me fait c'est au terminal 3. Je dis ok, donc il me fait, il faut que tu prennes un taxi. Comment ça un taxi dans l'aéroport ? Je comprends pas ton truc. Il me fait tu peux prendre la navette ? mais là si tu veux avoir ton vol il faut prendre le taxi je fais ok c'est où les taxis ? c'est là-bas je cours évidemment la file de taxi il y avait plein de gens avec les petits trucs les petites lanières qui se rétractent je l'enlève je passe devant tout le monde je fais bonjour j'ai un vol je veux un taxi le gars je n'ai même pas demandé ma permission j'ai dit excuse-moi à personne je dis tac le gars il m'a fait monter dans le premier taxi le gars il est très très cool un autre vieux j'ai l'impression qu'il y a beaucoup de vieux à Singapour mais bon le man les deux ils ont été très aidants ils bombardent Ils vont mettre, parce que c'était super loin, j'ai l'impression qu'on était dans une autre ville, c'était incroyable. J'arrive au terminal, je le paye, là pour le coup c'était pas en cash, j'ai un sans contact. J'arrive, je cours, Singapour Airlines, bonjour, je veux enregistrer mes bagages et tout. Elle me fait, ouais lequel vol ? Ok c'est bon. Ouais mais ça fermait dans 10 minutes. Dans la tête je la regarde, je fais, meuf, arrête d'être décontracte comme ça, t'imagines même pas l'enfer que je viens de vivre. Donc déjà je suis quand même très content de pouvoir enregistrer mon bagage. Là elle me regarde, elle me fait... Donc là je suis quand même en tension, je suis à peine en train de redescendre, je fais « oh mon mal, peut-être je suis trop content » . Donc là encore une fois, n'oublie pas, totalement fail de mon test de gestion émotionnelle. Sauf qu'elle me regarde et elle me dit « par contre le poids de la valise c'est 23 kilos autorisé, là vous êtes à 26, vous avez 3 kilos ça fera 180 euros » . Je me suis dit « putain ma tête, la vie elle m'a ça, c'était la Spartia Trace de l'émotionnel tu vois » . J'avais des obstacles dans tous les sens. Et les obstacles, j'étais un peu le gars, tu sais, quand il faut monter un next stop avec la corde. J'ai glissé de la corde, je suis tombé dans la flaque debout. Je me suis fait marcher dessus par les autres candidats. Là, je me fais humilier dans la course, tu vois. Je la regarde, j'ai fait, je comprends. Je lui ai fait, je suis désolé. Je lui ai dit, je viens de payer des trucs, j'ai peur de louper mon voie, je vous assure. J'ai passé vraiment une journée de merde. Est-ce que vous pouvez faire une exception, s'il vous plaît ? Et je la regarde dans les yeux, elle était avec une autre meuf qui était un peu sa stagiaire. Et je la regarde et je bouge pas. Elle a dit un truc en chinois, je ne parle pas bien chinois, mais c'était à peu près ça. Elle me fait, ok vas-y, et elle imprime le truc. Elle me fait, last time, la prochaine fois je dis, merci beaucoup. Et dans la tête je fais, je suis content de ne pas avoir payé au total à des frais de voyage de 800 balles ou je ne sais pas quoi. Au moins j'ai économisé ça, tu vois. Elle me met le tag, tac, tac, le truc il part. Je vais pour embarquer, j'embarque, tout se passe bien, Singapour Airlines, ils filent des petites lingettes, tu sais, d'eau. pour, tu sais, chaude, tu sais, comme dans les restos chinois, là, tu te la nettoies, ça te fait du bien, ça relaxe. Je dors bien. Ma via, ah oui, j'avais une via à Copenhague aussi pour arriver à Riga, une heure de via. Et là, je me dis, ça va être tendu. Je cours, tout va bien, je l'ai. Donc, dans ma tête, j'ai fait, j'arrive à Riga. Et dans ma tête, je suis décontracté, je dis à mon pote, je l'ai fait, I made it. Tu sais, genre, je me dis, c'est bon. donc je redescends, je dis bon j'ai pas été très bon sur mon test mais au moins, voilà je suis arrivé en sain et sauf moi oui, je vois arriver ma valise, je suis content déjà elle arrive et je prends en foi que ça arrive dans la vie, ma valise est éclatée, tous les zips sont ouverts, ça tient par le petit verrou tu sais où tu peux mettre la fermeture éclair dans des petits claques, des petits loquets avec un cadenas, avec des trucs qui dépassent tu sais quand je l'ai déjà vu ce genre de truc avec les autres J'ai pris plein de vols, tu vois, ça arrive des bagages. Et t'as toujours de la peine quand c'est dit, putain, la bagage est prise dans la gueule, j'aimerais pas que ce soit la mienne. Là, c'était la mienne. J'étais là, j'ai pris le bagage, j'ai dit putain, vraiment, jusqu'au bout, jusqu'au bout. En plus, je m'étais fait une fierté, je me suis porté l'œil. J'avais dit à Camille, mon associée, je lui ai dit, putain, tu vois ce bagage, je suis fier, je l'ai eu il y a deux ans, j'ai acheté à Medellín, pas trop cher, j'en ai mis dans la gueule, on a fait plein de voyages, et là je vais stéter à Medellin, je vais faire faire le tour du monde quoi, genre je vais la ramener au Bercail non, morte fini, défoncé, je vais demander les trucs réparation, je lui dis oh bah envoyer un mail là, je lui fais ok vas-y laisse tomber je suis arrivé voir mon pote, il m'a regardé, je l'ai regardé, il m'a dit ça, je lui dis ouais parce que je sais bien gérer mes émotions je te dis à la semaine prochaine bye