#7 -Armand Bernoud - Fondateur Maximum Paris - Le Mobilier Nouvelle Génération cover
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SAVOIR-FAIRE_etc

#7 -Armand Bernoud - Fondateur Maximum Paris - Le Mobilier Nouvelle Génération

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24min |25/11/2019
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Description

Dans ce nouvel épisode de SAVOIR-FAIRE etc. - Parole(s) de ceux qui le font, voici un angle qui va très certainement vous surprendre.

Car le savoir-faire, ce n’est pas nécessairement des techniques anciennes, historiques et immuables. En tout cas, ce n’est pas que cela. Le savoir-faire, cela peut être des techniques adaptées à un contexte ou à un nouveau besoin.

Donc, oui, le savoir-faire peut être moderne. Et je vous en donne aujourd’hui un exemple.

Maximum Paris, c’est le mobilier « nouvelle génération ». Armand Bernoud et son équipe sont installés à Ivry sur Seine, en bordure de Marne, dans une ancienne zone industrielle.

Là, ils produisent des meubles au design franc et contemporain. Sauf qu’ils le font grâce à des déchets industriels. Peut-être le savez-vous mais, pour produire ses objets, une usine génère de fait une deuxième production : des déchets. Cela peut être des chutes, des pré-séries, ratés, pièces de calage, marges d'erreur, purges, déclassements, excédents... En France, selon Maximum, l'industrie rejette un tiers de sa production sous la forme de rebus. Soit 65.000 tonnes de matière chaque jour...

C’est un gaspillage énorme. Mais c’est aussi une chance. Avec de tels volumes, cela laisse place à des possibilités de production en petites voire moyennes séries.

Pendant des décennies, ces « déchets », personne n’en faisait rien. Maximum Paris, aujourd’hui, les exploite.

Bien sûr, pour aller au bout de la démarche, Armand met un point d’honneur à ce que ses produits soient durables, donc solides. Et c’est là que le savoir-faire intervient. De manière quasi artisanale, Maximum produit chaque pièce dans les règles de l’art.

Je vous invite vraiment à aller voir leur site, Maximum.Paris, pour vous rendre compte de ce que l’on peut faire pour allier savoir-faire et French Fab dans une démarche circulaire et vertueuse. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans ce nouvel épisode de SAVOIR-FAIRE etc. - Parole(s) de ceux qui le font, voici un angle qui va très certainement vous surprendre.

Car le savoir-faire, ce n’est pas nécessairement des techniques anciennes, historiques et immuables. En tout cas, ce n’est pas que cela. Le savoir-faire, cela peut être des techniques adaptées à un contexte ou à un nouveau besoin.

Donc, oui, le savoir-faire peut être moderne. Et je vous en donne aujourd’hui un exemple.

Maximum Paris, c’est le mobilier « nouvelle génération ». Armand Bernoud et son équipe sont installés à Ivry sur Seine, en bordure de Marne, dans une ancienne zone industrielle.

Là, ils produisent des meubles au design franc et contemporain. Sauf qu’ils le font grâce à des déchets industriels. Peut-être le savez-vous mais, pour produire ses objets, une usine génère de fait une deuxième production : des déchets. Cela peut être des chutes, des pré-séries, ratés, pièces de calage, marges d'erreur, purges, déclassements, excédents... En France, selon Maximum, l'industrie rejette un tiers de sa production sous la forme de rebus. Soit 65.000 tonnes de matière chaque jour...

C’est un gaspillage énorme. Mais c’est aussi une chance. Avec de tels volumes, cela laisse place à des possibilités de production en petites voire moyennes séries.

Pendant des décennies, ces « déchets », personne n’en faisait rien. Maximum Paris, aujourd’hui, les exploite.

Bien sûr, pour aller au bout de la démarche, Armand met un point d’honneur à ce que ses produits soient durables, donc solides. Et c’est là que le savoir-faire intervient. De manière quasi artisanale, Maximum produit chaque pièce dans les règles de l’art.

Je vous invite vraiment à aller voir leur site, Maximum.Paris, pour vous rendre compte de ce que l’on peut faire pour allier savoir-faire et French Fab dans une démarche circulaire et vertueuse. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Dans ce nouvel épisode de SAVOIR-FAIRE etc. - Parole(s) de ceux qui le font, voici un angle qui va très certainement vous surprendre.

Car le savoir-faire, ce n’est pas nécessairement des techniques anciennes, historiques et immuables. En tout cas, ce n’est pas que cela. Le savoir-faire, cela peut être des techniques adaptées à un contexte ou à un nouveau besoin.

Donc, oui, le savoir-faire peut être moderne. Et je vous en donne aujourd’hui un exemple.

Maximum Paris, c’est le mobilier « nouvelle génération ». Armand Bernoud et son équipe sont installés à Ivry sur Seine, en bordure de Marne, dans une ancienne zone industrielle.

Là, ils produisent des meubles au design franc et contemporain. Sauf qu’ils le font grâce à des déchets industriels. Peut-être le savez-vous mais, pour produire ses objets, une usine génère de fait une deuxième production : des déchets. Cela peut être des chutes, des pré-séries, ratés, pièces de calage, marges d'erreur, purges, déclassements, excédents... En France, selon Maximum, l'industrie rejette un tiers de sa production sous la forme de rebus. Soit 65.000 tonnes de matière chaque jour...

C’est un gaspillage énorme. Mais c’est aussi une chance. Avec de tels volumes, cela laisse place à des possibilités de production en petites voire moyennes séries.

Pendant des décennies, ces « déchets », personne n’en faisait rien. Maximum Paris, aujourd’hui, les exploite.

Bien sûr, pour aller au bout de la démarche, Armand met un point d’honneur à ce que ses produits soient durables, donc solides. Et c’est là que le savoir-faire intervient. De manière quasi artisanale, Maximum produit chaque pièce dans les règles de l’art.

Je vous invite vraiment à aller voir leur site, Maximum.Paris, pour vous rendre compte de ce que l’on peut faire pour allier savoir-faire et French Fab dans une démarche circulaire et vertueuse. 


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Car le savoir-faire, ce n’est pas nécessairement des techniques anciennes, historiques et immuables. En tout cas, ce n’est pas que cela. Le savoir-faire, cela peut être des techniques adaptées à un contexte ou à un nouveau besoin.

Donc, oui, le savoir-faire peut être moderne. Et je vous en donne aujourd’hui un exemple.

Maximum Paris, c’est le mobilier « nouvelle génération ». Armand Bernoud et son équipe sont installés à Ivry sur Seine, en bordure de Marne, dans une ancienne zone industrielle.

Là, ils produisent des meubles au design franc et contemporain. Sauf qu’ils le font grâce à des déchets industriels. Peut-être le savez-vous mais, pour produire ses objets, une usine génère de fait une deuxième production : des déchets. Cela peut être des chutes, des pré-séries, ratés, pièces de calage, marges d'erreur, purges, déclassements, excédents... En France, selon Maximum, l'industrie rejette un tiers de sa production sous la forme de rebus. Soit 65.000 tonnes de matière chaque jour...

C’est un gaspillage énorme. Mais c’est aussi une chance. Avec de tels volumes, cela laisse place à des possibilités de production en petites voire moyennes séries.

Pendant des décennies, ces « déchets », personne n’en faisait rien. Maximum Paris, aujourd’hui, les exploite.

Bien sûr, pour aller au bout de la démarche, Armand met un point d’honneur à ce que ses produits soient durables, donc solides. Et c’est là que le savoir-faire intervient. De manière quasi artisanale, Maximum produit chaque pièce dans les règles de l’art.

Je vous invite vraiment à aller voir leur site, Maximum.Paris, pour vous rendre compte de ce que l’on peut faire pour allier savoir-faire et French Fab dans une démarche circulaire et vertueuse. 


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