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L'histoire de la Seconde Guerre Mondiale

Emmanuel d'Astier de La Vigerie (1900-1969), fondateur et chef de Libération

Emmanuel d'Astier de La Vigerie (1900-1969), fondateur et chef de Libération

1h30 |09/12/2021|

147

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Description

Par Geoffroy d'Astier de La Vigerie, auteur de Emmanuel d'Astier de La Vigerie, Combattant de la Résistance et de la Liberté (Préface de Raymond Aubrac, Éditions France-Empire, 2008) et de Darlan, la fin d'une énigme (Éditions Jourdan, 2020).

Dès le mois de juillet 1940, Emmanuel d'Astier, indigné par l'armistice franco-allemand, fonde La Dernière Colonne, une organisation destinée à lutter contre l'envahisseur et le régime de Vichy. Des personnalités exceptionnelles se joignent à lui : Édouard Corniglion-Molinier, Lucie et Raymond Aubrac, Jean Cavaillès, Jean Rochon... En mai 1941, Libération succède à La Dernière Colonne et devient l'un des deux plus importants mouvements de résistance en zone libre avec Combat. Premier chef de la Résistance intérieure à se rallier au général de Gaulle, Emmanuel d'Astier effectue plusieurs voyages clandestins à Londres et participe, avec Jean Moulin, à l'unification de la Résistance et à la création du Conseil national de la Résistance. En novembre 1943, il rejoint à Alger le général de Gaulle qui le nomme commissaire à l'Intérieur dans le Comité français de libération nationale. En janvier 1944, ses entretiens avec Winston Churchill aboutissent au parachutage d'importantes quantités d'armes destinées à la Résistance.

Dans le cadre du cycle de conférences À la tête des trois grands mouvements de la zone non-occupée

Dès 1941, les premiers groupes de résistance voient le jour. Ces noyaux se structurent lorsqu’une personnalité s’impose à la tête du groupe encore embryonnaire comme Emmanuel d’Astier de la Vigerie pour Libération-Sud, Henri Frenay pour Combat ou Jean-Pierre Levy pour Franc-Tireur. Ce cycle propose de questionner la personnalité, les influences, le parcours et l’action de ces trois hommes devenus chef de mouvement.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Par Geoffroy d'Astier de La Vigerie, auteur de Emmanuel d'Astier de La Vigerie, Combattant de la Résistance et de la Liberté (Préface de Raymond Aubrac, Éditions France-Empire, 2008) et de Darlan, la fin d'une énigme (Éditions Jourdan, 2020).

Dès le mois de juillet 1940, Emmanuel d'Astier, indigné par l'armistice franco-allemand, fonde La Dernière Colonne, une organisation destinée à lutter contre l'envahisseur et le régime de Vichy. Des personnalités exceptionnelles se joignent à lui : Édouard Corniglion-Molinier, Lucie et Raymond Aubrac, Jean Cavaillès, Jean Rochon... En mai 1941, Libération succède à La Dernière Colonne et devient l'un des deux plus importants mouvements de résistance en zone libre avec Combat. Premier chef de la Résistance intérieure à se rallier au général de Gaulle, Emmanuel d'Astier effectue plusieurs voyages clandestins à Londres et participe, avec Jean Moulin, à l'unification de la Résistance et à la création du Conseil national de la Résistance. En novembre 1943, il rejoint à Alger le général de Gaulle qui le nomme commissaire à l'Intérieur dans le Comité français de libération nationale. En janvier 1944, ses entretiens avec Winston Churchill aboutissent au parachutage d'importantes quantités d'armes destinées à la Résistance.

Dans le cadre du cycle de conférences À la tête des trois grands mouvements de la zone non-occupée

Dès 1941, les premiers groupes de résistance voient le jour. Ces noyaux se structurent lorsqu’une personnalité s’impose à la tête du groupe encore embryonnaire comme Emmanuel d’Astier de la Vigerie pour Libération-Sud, Henri Frenay pour Combat ou Jean-Pierre Levy pour Franc-Tireur. Ce cycle propose de questionner la personnalité, les influences, le parcours et l’action de ces trois hommes devenus chef de mouvement.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Par Geoffroy d'Astier de La Vigerie, auteur de Emmanuel d'Astier de La Vigerie, Combattant de la Résistance et de la Liberté (Préface de Raymond Aubrac, Éditions France-Empire, 2008) et de Darlan, la fin d'une énigme (Éditions Jourdan, 2020).

Dès le mois de juillet 1940, Emmanuel d'Astier, indigné par l'armistice franco-allemand, fonde La Dernière Colonne, une organisation destinée à lutter contre l'envahisseur et le régime de Vichy. Des personnalités exceptionnelles se joignent à lui : Édouard Corniglion-Molinier, Lucie et Raymond Aubrac, Jean Cavaillès, Jean Rochon... En mai 1941, Libération succède à La Dernière Colonne et devient l'un des deux plus importants mouvements de résistance en zone libre avec Combat. Premier chef de la Résistance intérieure à se rallier au général de Gaulle, Emmanuel d'Astier effectue plusieurs voyages clandestins à Londres et participe, avec Jean Moulin, à l'unification de la Résistance et à la création du Conseil national de la Résistance. En novembre 1943, il rejoint à Alger le général de Gaulle qui le nomme commissaire à l'Intérieur dans le Comité français de libération nationale. En janvier 1944, ses entretiens avec Winston Churchill aboutissent au parachutage d'importantes quantités d'armes destinées à la Résistance.

Dans le cadre du cycle de conférences À la tête des trois grands mouvements de la zone non-occupée

Dès 1941, les premiers groupes de résistance voient le jour. Ces noyaux se structurent lorsqu’une personnalité s’impose à la tête du groupe encore embryonnaire comme Emmanuel d’Astier de la Vigerie pour Libération-Sud, Henri Frenay pour Combat ou Jean-Pierre Levy pour Franc-Tireur. Ce cycle propose de questionner la personnalité, les influences, le parcours et l’action de ces trois hommes devenus chef de mouvement.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Par Geoffroy d'Astier de La Vigerie, auteur de Emmanuel d'Astier de La Vigerie, Combattant de la Résistance et de la Liberté (Préface de Raymond Aubrac, Éditions France-Empire, 2008) et de Darlan, la fin d'une énigme (Éditions Jourdan, 2020).

Dès le mois de juillet 1940, Emmanuel d'Astier, indigné par l'armistice franco-allemand, fonde La Dernière Colonne, une organisation destinée à lutter contre l'envahisseur et le régime de Vichy. Des personnalités exceptionnelles se joignent à lui : Édouard Corniglion-Molinier, Lucie et Raymond Aubrac, Jean Cavaillès, Jean Rochon... En mai 1941, Libération succède à La Dernière Colonne et devient l'un des deux plus importants mouvements de résistance en zone libre avec Combat. Premier chef de la Résistance intérieure à se rallier au général de Gaulle, Emmanuel d'Astier effectue plusieurs voyages clandestins à Londres et participe, avec Jean Moulin, à l'unification de la Résistance et à la création du Conseil national de la Résistance. En novembre 1943, il rejoint à Alger le général de Gaulle qui le nomme commissaire à l'Intérieur dans le Comité français de libération nationale. En janvier 1944, ses entretiens avec Winston Churchill aboutissent au parachutage d'importantes quantités d'armes destinées à la Résistance.

Dans le cadre du cycle de conférences À la tête des trois grands mouvements de la zone non-occupée

Dès 1941, les premiers groupes de résistance voient le jour. Ces noyaux se structurent lorsqu’une personnalité s’impose à la tête du groupe encore embryonnaire comme Emmanuel d’Astier de la Vigerie pour Libération-Sud, Henri Frenay pour Combat ou Jean-Pierre Levy pour Franc-Tireur. Ce cycle propose de questionner la personnalité, les influences, le parcours et l’action de ces trois hommes devenus chef de mouvement.

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