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Sex and Roses

# 21 Alice : une phrase qui éclaire

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11min |15/04/2025
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Je voulais te parler d’une patiente, Alice, qui m’a profondément marquée. Elle venait pour une consultation pédiatrique avec son bébé de deux mois, et en lui demandant comment elle allait, j’ai senti qu’un mal-être se cachait derrière ses mots.

Lors d’un second rendez-vous, elle m’a confié qu’elle souffrait encore physiquement depuis l’accouchement, mais qu’elle avait déjà repris une vie sexuelle, non par envie, mais par culpabilité et pression implicite : "il faut bien faire un effort", m’a-t-elle dit. Elle prenait même des antidouleurs avant les rapports.

J’ai été bouleversée. Ce qu’elle décrivait, c’était des rapports non désirés, mais qu’elle pensait « normaux ». Alors je lui ai dit cette phrase, lue lors d’une manif : « Céder n’est pas consentir ». Et je crois que cette phrase a résonné profondément en elle. On s’est vues, on a pleuré, on a parlé de body shaming, de charge mentale, de consentement.

C'est fou ces phrases qui provoquent des révélations comme ça.

Et toi, c’est quoi la dernière phrase qui t’a provoqué un déclic ?


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Je voulais te parler d’une patiente, Alice, qui m’a profondément marquée. Elle venait pour une consultation pédiatrique avec son bébé de deux mois, et en lui demandant comment elle allait, j’ai senti qu’un mal-être se cachait derrière ses mots.

Lors d’un second rendez-vous, elle m’a confié qu’elle souffrait encore physiquement depuis l’accouchement, mais qu’elle avait déjà repris une vie sexuelle, non par envie, mais par culpabilité et pression implicite : "il faut bien faire un effort", m’a-t-elle dit. Elle prenait même des antidouleurs avant les rapports.

J’ai été bouleversée. Ce qu’elle décrivait, c’était des rapports non désirés, mais qu’elle pensait « normaux ». Alors je lui ai dit cette phrase, lue lors d’une manif : « Céder n’est pas consentir ». Et je crois que cette phrase a résonné profondément en elle. On s’est vues, on a pleuré, on a parlé de body shaming, de charge mentale, de consentement.

C'est fou ces phrases qui provoquent des révélations comme ça.

Et toi, c’est quoi la dernière phrase qui t’a provoqué un déclic ?


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Lors d’un second rendez-vous, elle m’a confié qu’elle souffrait encore physiquement depuis l’accouchement, mais qu’elle avait déjà repris une vie sexuelle, non par envie, mais par culpabilité et pression implicite : "il faut bien faire un effort", m’a-t-elle dit. Elle prenait même des antidouleurs avant les rapports.

J’ai été bouleversée. Ce qu’elle décrivait, c’était des rapports non désirés, mais qu’elle pensait « normaux ». Alors je lui ai dit cette phrase, lue lors d’une manif : « Céder n’est pas consentir ». Et je crois que cette phrase a résonné profondément en elle. On s’est vues, on a pleuré, on a parlé de body shaming, de charge mentale, de consentement.

C'est fou ces phrases qui provoquent des révélations comme ça.

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Lors d’un second rendez-vous, elle m’a confié qu’elle souffrait encore physiquement depuis l’accouchement, mais qu’elle avait déjà repris une vie sexuelle, non par envie, mais par culpabilité et pression implicite : "il faut bien faire un effort", m’a-t-elle dit. Elle prenait même des antidouleurs avant les rapports.

J’ai été bouleversée. Ce qu’elle décrivait, c’était des rapports non désirés, mais qu’elle pensait « normaux ». Alors je lui ai dit cette phrase, lue lors d’une manif : « Céder n’est pas consentir ». Et je crois que cette phrase a résonné profondément en elle. On s’est vues, on a pleuré, on a parlé de body shaming, de charge mentale, de consentement.

C'est fou ces phrases qui provoquent des révélations comme ça.

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