Speaker #0Cité sur cette vidéo, c'est que peut-être que tu cherches un job à faire en freelance, et donc tu te renseignes, et tu es tombé sur le media buying. Bah écoute, t'es bien tombé, parce que moi ça fait plus de 5 ans que j'en fais, et donc je vais te dire exactement ce que c'est concrètement, et en quoi ça consiste. Et est-ce que tu peux en vivre concrètement en freelance, c'est ça aussi l'objectif. Est-ce que c'est stable, etc, etc. Je vais t'expliquer tout ça dans cette vidéo, Ausha bien, il y aura pas mal d'informations, et tu verras à la fin, tu seras certainement en mode « Waouh, j'adore le media buying » . Non, je rigole, tu verras très bien. Mais en tout cas, moi, ça fait longtemps que j'en fais et j'adore ce milieu-là, j'adore ce métier-là. Donc, c'est parti, je vais te présenter tout ça. Alors, avant qu'on attaque, laisse-moi me présenter rapidement. Moi, je m'appelle Nicolas Dorfman, je suis entrepreneur et nomade. Je suis 100% nomade, donc on peut dire sans domicile fixe, si tu veux. J'ai une agence, donc, de media buying, une agence qui s'appelle ShapeAds, dans laquelle on accompagne des clients sur la food bien-être. Donc, on accompagne ce type d'entreprise à se développer sur les réseaux sociaux et à se développer en ligne d'une manière générale grâce aux publicités en ligne. En parallèle de ça, j'ai également un accompagnement qui s'appelle Shape Room. Shape Room, c'est un écosystème dans lequel tu peux retrouver mon bootcamp, que j'ai nommé le Shape Camp, parce que c'est le bootcamp de Shape Room. Et dans ce bootcamp, j'accompagne les salariés, et puis celles et ceux qui veulent se lancer en freelance en tant que médiabayer. Dans Shape Room, tu vas également retrouver une communauté qui s'appelle les Shapers. Et dans cette communauté, tu vas pouvoir trouver de l'entraide, on fait des co-living, on voyage ensemble, on se fait de l'apport d'affaires, on s'échange d'émissions, on se retrouve toutes les semaines pour discuter, pour se coacher, pour s'entraider. Et on a également des présentations chaque mois. donc des masterclasses présentées par nos experts, soit en interne, soit en externe. Voilà, et si tu veux en savoir plus, j'ai aujourd'hui 26 ans, j'ai parcouru plus d'une quinzaine, voire vingtaine de pays en 3 ans depuis que je suis freelance, et depuis que je suis aussi entrepreneur. Ça fait depuis un an et demi que je suis nomade, 100% nomade. Donc si ces sujets t'intéressent, déjà je t'invite à t'abonner à ma chaîne YouTube, à activer la petite cloche, parce que je sors des vidéos toutes les semaines dans lesquelles je t'explique comment te lancer en freelance, qu'est-ce que c'est le media buying, etc. Et je te parle aussi de ma vie de nomade. Et donc si tu es intéressé par cette partie-là, tu peux également aller me suivre sur Instagram, sur TikTok aussi, où je poste pas mal de vidéos. En ce moment, j'ai un challenge où je poste tous les jours jusqu'à atteindre 50 000 euros de chiffre d'affaires avec Shaperoom. Alors la question que tu dois certainement te poser, c'est comment j'ai connu le media buying et comment je l'ai appris ? C'est très simple. Moi, je l'ai découvert en agence à Paris, dans une agence qui s'appelle DataShake. C'est comme ça que je l'ai découvert et c'est comme ça que je l'ai appris. Et ensuite, je me suis lancé en freelance exactement en avril 2021. Et puis j'ai fait un peu plus de trois ans de freelance. jusqu'à lancer ma propre agence et mon accompagnement chez Eprom. Et donc avant de t'expliquer ce que c'est concrètement, qu'est-ce que ce métier m'a permis de créer ? Et bien déjà, il m'a permis de créer de l'argent. Parce que franchement, je ne vais pas te mentir, j'ai bien gagné ma vie avec ce métier-là. J'ai commencé donc environ entre 2000 et 3000 euros à côté de mon job. Donc franchement, un très bon complément de revenu. Alors attention, je travaillais quand même beaucoup. Je travaillais le soir et le week-end. Et ensuite, je me suis lancé à 100% en freelance. Donc c'était en fin 2021, décembre 2021 exactement. Et puis là, quelques mois plus tard, exactement en avril 2022... donc environ 3-4 mois après m'être lancé à 100%, j'ai gagné environ 10 000 euros par mois. Ce que ça m'a permis de créer, c'est de l'argent. Et surtout, moi ce que j'ai adoré et ce que j'adore encore aujourd'hui, c'est la liberté que ça offre. Je peux travailler d'où je veux, quand je veux. Je n'ai pas besoin d'être dans les bureaux des clients. Je n'ai pas besoin d'être sur la time zone française. Voilà, je peux gérer mon temps comme je le souhaite. Je choisis mes projets. Je pars en vacances quand je veux et j'ai le temps pour moi. Bon, je te propose d'attaquer le sujet. Première chose, qu'est-ce que c'est le media buying ? Ensuite, la deuxième chose qu'on va voir ensemble, c'est comment ça se passe concrètement avec une entreprise. Et le troisième point qu'on va aborder ensemble, c'est qu'est-ce que ça peut t'apporter en termes de style de vie. Bon déjà, le media buying, c'est un métier que tu as l'habitude de voir et que tu as l'habitude de côtoyer. Le truc, c'est que tu le vois en fait de l'autre côté. Tu vois la partie immergée de l'iceberg. C'est un métier très peu répandu, pas très connu, et pourtant, il y a des millions d'entreprises qui en raffolent, qui recherchent des personnes qui font ce job-là. À tel point que selon Malte, c'est la plateforme qui met en relation les freelances et les entreprises, ce métier-là est facturé entre 125 euros la journée pour un débutant qui vient de se lancer et 710 euros par jour pour un freelance qui est plus expérimenté. Donc en fait, sur ce métier-là, tu oscies entre 2500 euros par mois, donc quand t'es débutant, quand tu viens de te lancer, donc c'est quand même plutôt cool. Et puis, tu peux aller jusqu'à 14 000 euros par mois de chiffre d'affaires. C'est quand même énorme, je trouve. Moi, si tu veux connaître mon expérience personnelle, je suis déjà allé à peu près à 15 000 euros par mois, mais c'était mon max. Et franchement, je te dis, j'ai quand même pas mal bossé à ce moment-là, quoi. Et toujours est-il que, franchement, les potentiels revenus sont incroyables. Donc les personnes qui font ce métier sont des médias bailleurs, et donc c'est des experts en publicité en ligne. Tu vas créer et gérer des publicités en ligne sur Google, Instagram, Facebook, TikTok, etc. pour des entreprises, tout simplement. Tiens, je vais t'expliquer d'ailleurs l'une de mes premières missions en tant que Media Buyer. C'est assez simple. J'accompagnais un centre de médecine esthétique. Cette entreprise était en train de grandir sur Paris. Il y avait, je crois, deux centres de soins sur Paris. Et l'objectif, c'était d'accroître le nombre de réservations dans les centres de soins. Et donc, derrière, d'ouvrir de nouveaux centres et de pouvoir recruter pour faire grossir l'entreprise. Avec cette entreprise-là, on a lancé des publicités en ligne sur Google et Meta. On a lancé ça, je crois, en mars 2023. L'entreprise faisait environ une vingtaine de réservations par mois. Et en l'espace de trois mois, on est passé à 400. réservations par mois. On a donc augmenté les budgets publicitaires, évidemment, déjà pour atteindre 400 réservations, t'imagines bien, on a augmenté les budgets, on a commencé je crois à 3000 euros par mois de dépenses pubs et après on devait être autour des 10 000 euros par mois. Et donc ce qui veut dire que moi en tant que media buyer, au début je facturais un certain montant et à mesure que le budget augmentait, ma facturation augmentait parce que plus il y a de budget, Plus il y a de campagnes à gérer, plus tu passes de temps, et donc, évidemment, plus tu factures. Et donc, en fait, au final, sur l'ensemble de la collaboration, je suis passé de 1 000 euros par mois à environ 3 300 euros par mois, parce qu'on dépensait quand même beaucoup d'argent à un moment donné. Et donc, tout ça, c'est sur un seul client, en fait. Et ce qui est trop bien en tant que média buyer, c'est qu'en fait, quand tu travailles avec un client, les entreprises, elles recherchent une relation sur le long terme. Donc, en fait, les 1 000 ou 3 300 euros par mois dont je te parlais, c'est tous les mois, et ça, d'une manière stable. Et donc c'est pour ça que ce job est hyper intéressant. C'est parce qu'en fait, tu peux avoir déjà des montants hyper intéressants par client, et surtout, c'est stable en fait, tous les mois. Et donc ça, les entreprises l'ont bien compris, les pubs, ça fonctionne super bien. À tel point que les entreprises en France dépensent à peu près 2,5 milliards d'euros, seulement en France. Et ces 2,5 milliards d'euros en France rapportent 9,3 milliards d'euros. Donc c'est un marché qui est colossal, et en fait, les entreprises ont compris que ça fonctionnait super bien. Et donc chaque année, le budget publicitaire augmente de 10%, en moyenne. Après, ça va dépendre évidemment. Et donc d'ailleurs, si tu ne le savais pas, les entreprises ont compris... Assez rapidement, depuis 2017, l'investissement publicité en ligne a dépassé l'investissement publicité télé. Et puis depuis ce moment-là, les dépenses en publicité en ligne ne cessent d'augmenter évidemment. Donc c'est un métier qui est super prisé et c'est pour ça qu'il est très bien payé. Car le média bailleur occupe un rôle clé. Pourquoi c'est un rôle clé ? Parce qu'en fait, tu vas directement avoir un impact sur les ventes de l'entreprise. Et tu vas générer du cash pour les entreprises. Et ça, c'est super précieux. Donc non seulement tu génères des ventes, et donc ça veut dire que derrière, tu permets d'accroître le chiffre d'affaires. Tu permets derrière à une entreprise de recruter, d'ouvrir des centres, comme je te l'ai dit pour mon exemple. Et au final, tu permets à un projet, à une entreprise de se développer. Bon, on arrive sur le point numéro 2. Comment ça se passe concrètement avec une entreprise ? Parce que c'est bien beau de savoir, ok, le médiabaying, c'est super stylé, c'est bien payé. Voilà, les dépenses augmentent. C'est un métier qui est très prisé aujourd'hui. Et d'ailleurs, à ce propos, je ne te l'ai pas dit, mais aujourd'hui, Malte recense 20 000 médiabayeurs pour un peu plus de 2 millions d'entreprises. Donc, le marché est juste vide, en fait. La France est en pénurie de médiabayeurs. Donc je te le dis, il y a de la place. Mais concrètement... toi, si tu te lances en tant que médiabayer, comment ça se passe ? Eh bien, écoute, on va prendre un cas concret. Un cas concret avec mon agence. On accompagne une entreprise qui s'appelle Chirico. Chirico, ils font de la chicorée, un peu bien-être. Ils sont passés notamment sur « Qui veut être mon associé ? » . Ils avaient une problématique, c'était augmentation des ventes, augmentation du chiffre d'affaires, tout en gardant un bon retour sur investissement. Le problème que rencontrait Chirico, c'est que les publicités, elles ne fonctionnaient pas, ou alors elles fonctionnaient mal, quoi. En plus de ça, Chirico n'avait pas le temps de s'en occuper. Dis-toi que ce que je t'annonce là, c'est des problématiques qui reviennent très souvent. Et donc c'est là que le média bailleur intervient. Donc notre rôle en tant que Mediabayer, c'est 1. Comprendre les besoins et les problématiques du client, ça c'est hyper important. 2. Tu vas proposer une stratégie adaptée au client en fonction de son budget, en fonction de son produit. Est-ce que tu vas plutôt lui recommander Meta, Google, les deux, voire peut-être plus de plateformes ? Tu vas lui recommander aussi un ciblage, donc qui tu vas aller cibler, quel type de personne, quel mot-clé aussi tu peux aller cibler si tu es sur Google Ads par exemple. Et aussi quel type de publicité tu peux utiliser, donc si tu es sur Instagram et Facebook, est-ce que tu vas faire de la vidéo, est-ce que tu vas faire du carousel, est-ce que tu vas faire des images fixes, seulement de la story ? Bref. Ensuite, la troisième étape, donc ça, dès que c'est fait, tu vas mettre en place un tracking. C'est ce qui te permet de suivre les actions d'un utilisateur qui va cliquer sur ta pub sur le site Internet. Donc, par exemple, chez Rico, on fait de la pub. Toi, tu vois une pub de chez Rico, tu vas cliquer dessus et là, tu vas te retrouver sur le site Internet. Et en fait, nous, en tant que médiabayer et l'entreprise aussi, a besoin de savoir ensuite ce que tu fais derrière. Alors, on ne sait pas si tu t'appelles Michel, Pierre, Paul, Jacques, mais en tout cas, on a besoin de savoir ce que tu fais comme action derrière. Donc si tu vas visiter une page, si tu vas ajouter au panier, si tu vas acheter, si tu vas regarder... je sais pas, une vidéo par exemple, bref, c'est ça le tracking. Ça nous permet de suivre ce qui se passe et donc de mesurer, pour ensuite permettre d'analyser les chiffres et donc en déterminer des performances. Ensuite, la quatrième étape, c'est la création de campagne. Quel type de campagne ? Est-ce qu'on fait de la vente ? Est-ce qu'on fait de l'inscription ? Tu vas mettre en place les ciblages, les mots-clés si c'est sur Google, et puis tu vas mettre en place tes publicités ou tes annonces sur Google. Donc tu vas rédiger tes annonces, tu vas mettre en place les vidéos, les images, les carousels si c'est sur Instagram, etc. Et ensuite, la cinquième et dernière étape, c'est 90% du job de médiabayer, finalement, c'est... la gestion et l'optimisation des campagnes. Parce qu'une fois que tu as créé tes campagnes, tu les lances et après, c'est là que le média bailleur intervient et c'est là la plus-value du média bailleur, en fait. Tu vas gérer les publicités tous les jours, toutes les semaines, tous les mois pour les optimiser, analyser ce qui se passe et pouvoir augmenter le budget parce que ton objectif, c'est que les performances augmentent de semaine en semaine. Et donc, pour ça, tu as évidemment des méthodes et des structures préétablies pour savoir gérer tes campagnes et les optimiser. Et c'est pareil, d'ailleurs, pour la création des campagnes. Tu as des méthodes et des structures qui sont préétablies pour ça. Et donc comment ça se passe, cette partie gestion ? C'est important parce que ça occupe, comme je te l'ai dit, 90% de ton temps en tant que médiabayer. Alors déjà, la première chose à savoir, c'est que tu vas gérer et optimiser les campagnes de publicité en fonction des objectifs du client. Donc là, en l'occurrence, je te reprends l'exemple de Sherry Co. Eux, ce qu'ils veulent, c'est augmenter les ventes et avoir un bon retour sur investissement. La deuxième chose, en tant que médiabayer, donc non seulement tu vas gérer les publicités, mais tu vas aussi conseiller ton client sur pas mal de choses. Parce qu'en fait, il faut garder en tête que la publicité en ligne, c'est un carrefour entre plein de choses. C'est un carrefour entre un bon site internet, une bonne page de vente, une bonne page produit, un carrefour avec des bonnes créations visuelles, donc des bonnes publicités sur Meta par exemple. C'est aussi dans un carrefour avec de la bonne donnée, donc un bon tracking qui fonctionne, qui remonte de la bonne data. Et puis le cinquième élément, c'est qu'il y a un aspect stratégique. Il faut que tu puisses avoir une connaissance. de l'écosystème, une connaissance de ton client, du marketing digital, un minimum, tu n'as pas besoin d'être un expert évidemment, mais il faut que tu puisses comprendre en fait comment ça se passe pour diriger tes publicités et pour savoir discuter avec ton client et le conseiller. Et donc le troisième élément, en plus des deux précédents que je viens de te citer, c'est que le média bailleur va organiser des sessions de reporting si tu veux. Donc c'est des appels avec le client pour donner de la visibilité, pour analyser et pour en tirer des conclusions et donc des décisions. Donc pour ça tu peux mettre un bilan chiffré tous les mois par exemple, plus tu peux avoir un appel. toutes les semaines, toutes les deux semaines avec le client pour lui expliquer ce qui se passe, ce que tu fais, quels sont les résultats, quel est l'impact. Il faut aussi que toi, tu puisses recueillir des informations de ton client sur OK, est-ce que le nombre de ventes augmente, quel type de client vous avez, bref, pas mal de choses comme ça. Donc tout ça pour dire que le média bailleur doit être analytique, évidemment, parce que tu analyses de la donnée et après derrière, tu en tires des conclusions. Le média bailleur doit être aussi stratégique, comme je viens de te l'énoncer, comprendre l'écosystème, comprendre le marketing digital pour prendre des choix stratégiques sur de la publicité en ligne, mais également en lien avec la stratégie marketing du client. Le média bailleur doit aussi être créatif, puisque tu dois savoir ce que c'est une bonne publicité en ligne, donc à savoir une bonne vidéo, une bonne image sur Instagram, une bonne image produit par exemple, ça il faut le savoir. Et le quatrième élément, je ne te l'ai pas trop cité, mais il faut savoir être commercial. C'est en même temps être humain et en même temps savoir se vendre, parce que tu as de la relation humaine dans tout ça. Tu vas discuter avec ton client et tu vas devoir te vendre, non seulement pour acquérir ton prospect, pour le transformer en client, mais aussi dans la relation. Et donc, on arrive au troisième et dernier élément, troisième et dernier chapitre, c'est concrètement... Quel est le style de vie d'un médiabayer ? Comment tu peux vivre avec ce job ? C'est ça qui est le plus important, je trouve. Alors déjà, concrètement, sur ce job-là, moi, ce que j'adore, c'est que tu peux le faire en mode asynchrone. Tu ne dépends pas d'un horaire fixe, tu n'es pas obligé d'aller dans des bureaux, et en fait, tu manages ton temps comme tu le veux. Pourquoi ? Parce qu'en fait, au-delà de l'appel régulier que tu peux avoir avec ton client, tu travailles de ton côté. Tu travailles sur les plateformes de publicité, tu fais ta tambouille, tu fais tes analyses, tu fais tes optimisations, tu discutes avec le client par mail ou sur Slack ou WhatsApp ou quoi que ce soit. Et en fait, la seule chose sur laquelle tu dois t'accorder avec ton client... c'est l'appel, c'est le call. Donc ça, je trouve ça super. Ensuite, ce que j'aime beaucoup avec ce job-là, c'est qu'en fait, tu fonctionnes beaucoup par forfait. Et donc ça, c'est super pour de la stabilité financière. Tu n'as pas à te soucier de trouver des clients constamment. Il faut que tu puisses en trouver au début au minimum, aller 2-3 pour que tu puisses te lancer, te faire la main et puis gagner tes premiers 1 000, 2 000, 3 000 euros. Et ensuite, tu peux aller... Moi, en moyenne, j'étais souvent aux alentours de 8 clients. Je trouve que c'est très bien parce que tu gagnes assez. et en plus de ça, tu ne travailles pas trop non plus. Tout ça pour dire que quand tu mets en place un forfait, tu as de la stabilité naturellement et ça, c'est vraiment super. Et en plus, c'est une haute stabilité, comme je te l'ai dit. Tu as, techniquement, tu as un minimum 2 500, 3 000 euros en tant que média bailleur. Et la moyenne en freelance, elle est environ à 5 800 euros par mois. D'ailleurs, en parlant facturation, je pense que tu as des questions là-dessus. Évidemment, quand tu es débutant, donc débutant pour moi, c'est dans les six premiers mois, tu vois. Dans les six premiers mois, tu peux espérer environ gagner 2 500, 3 000 euros. Ce qui est déjà plutôt cool parce que tu viens de te lancer. Et ensuite, après un an, allez, environ 5 000 euros par mois dans ces eaux-là. Moi, je sais qu'après un an, je gagnais déjà beaucoup plus, environ 7000 euros par mois. Donc ça va dépendre des gens, évidemment. Mais sache que tu peux gagner autour de 5 000 euros, voire plus, au bout d'un an. Et techniquement, après, je dirais, un an, deux ans, là, tu deviens un vrai expert. Et puis là, tu gagnes plus de 6 000 euros par mois. Donc, comme tu l'auras compris, moi, ce que j'adore dans ce métier-là, c'est que tu peux travailler où tu veux et quand tu veux. À l'heure où j'enregistre cette vidéo, je suis au Maroc. Malheureusement, il ne fait pas très beau aujourd'hui. Mais il y a assez de lumière pour m'éclairer, c'est le principal. Mais c'est ça que j'adore, en fait, c'est que tu travailles tout en voyageant. pas si compliquée. C'est-à-dire qu'en fait, elle n'est pas non plus accessible à tous, parce que sinon, bon, il y aurait trop de concurrence, il y aurait tout le monde, comme sur du community management, par exemple. Mais d'un autre côté, c'est pas non plus trop dur, trop élevé, tu vois. Donc en fait, si je devais déterminer une échelle entre 1 et 10, pour noter la barrière à l'entrée, la difficulté, en fait, pour devenir médiabayer, elle est de 5 sur 10. Pour moi, elle est pile au milieu. Si tu es encore là dans cette vidéo, c'est qu'à mon avis le métier t'intéresse et tu souhaites vraiment te lancer en freelance. Donc je te conseille une chose, si tu ne connais pas le media buying, prends une formation, prends une formation, fais-toi accompagner, prends un mentor, ce que tu veux, mais ne te lance pas comme ça, parce que sur YouTube, tu as à boire et à manger, tu as de tout et n'importe quoi. Et en fait, tu verras, tu auras tellement de questions, tu auras des questions sur le media buying d'un point de vue technique, d'un point de vue stratégique, d'un point de vue commercial, comment gérer un client, comment trouver des clients, je fais comment pour prospecter, je fais comment pour facturer, je fais comment pour gérer un client, bref, tu as tellement de questions, fais-toi accompagner. Et donc, c'est pour ça que moi, j'ai lancé mon bootcamp. Et donc, dans le shapecamp, tu te lances en tant que media buyer en 90 jours. mais tu vas aussi aller chercher tes clients. On va les chercher ensemble et on va les signer ensemble. Donc dans le Shapecamp, concrètement, si tu veux en savoir un peu plus, qu'est-ce qu'on va travailler ensemble ? On va travailler ta vision, ta confiance en toi, comment te lancer en freelance, comment te démarquer sur le marché. Surtout, il y a un énorme module sur le media buying en fait, comment créer des campagnes, comment faire une stratégie publicitaire, comment gérer des pubs, comment optimiser des pubs, etc. Et l'aspect technique, l'aspect stratégique, l'aspect créatif, pas mal de choses. Et il y a aussi tout l'aspect que j'appelle business. Donc comment trouver des clients, comment les signer ? comment gérer tes appels de vente, comment gérer tes clients pour les fidéliser, etc. En plus de ça, dès que tu as ton premier client, tu rejoins la fameuse communauté dont je t'ai parlé au début, les Shapers. Donc c'est un collectif où on s'entraide, on voyage ensemble, on fait des co-living, on s'échange des missions, il y a des rendez-vous toutes les semaines pour discuter, et puis on a des rendez-vous tous les mois sous forme de masterclass, où en fait il y a des experts qui viennent intervenir pour de la prospection, pour le digital nomadisme, comment gérer des pubs, etc. Si tu es intéressé, il y a le lien de la page juste en dessous, le lien de mon site internet, je peux aller checker tout ça. Et puis écoute, sinon j'espère que la vidéo t'aura plu. Lâche un like, lâche un petit commentaire, tu peux t'abonner et activer la cloche. Si tu le fais, merci beaucoup, ça me donne de la force. Tu peux me retrouver également sur mes réseaux sociaux, Instagram, TikTok, LinkedIn et j'en passe. Et puis d'ici là, on se dit à très bientôt. Ciao