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Les secrets pour sortir de l'opérationnel et processiser son business

Les secrets pour sortir de l'opérationnel et processiser son business

46min |30/03/2025
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46min |30/03/2025
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Description

Dans ce 2ème épisode de SKALE PODCAST, nous accueillons Lucas Perrin , leader de l'onboarding, de structuration de business et d'agences. Lucas va nous dévoiler les secrets pour sortir de l'opérationnel et processiser son business. Bon visionnage !


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Transcription

  • Speaker #0

    Ça te permet d'aller vite, de comprendre comment marche le monde. Tu as beaucoup de pression, tu n'as pas le choix. Et après, quand tu dépasses ces palais-là, je pense que c'est mieux de se retrouver ailleurs. Si tu as plus besoin, tu travailles moins. Le plus tôt est forcément le mieux, parce que le plus tôt, tu vas pouvoir capitaliser sur ta structure pour te livrer plus de clients, tu vas pouvoir optimiser la manière dont tu travailles. Si personne n'a rien sur le marché, ce n'est pas dramatique, soit tu ne l'as pas. Quand il a payé ou signé ton devis, il faut que tu sois directement redirigé vers une plateforme sur laquelle tu vas centraliser ta relation avec lui. L'expérience client c'est essentiel pour augmenter la LDV de ton client, lier vraiment la pérennité de ton activité. Aussi pour augmenter ton acquisition indirecte par le bouche-à-oreille. Donc à la fois pour le court terme, à la fois pour le long terme, c'est essentiel. T'as beau avoir un service de fonds, si derrière le client il n'est pas content, il peut te demander un refund. Le principe il est très simple, maintenant dans la réalité c'est très compliqué à mettre en place pour vraiment atteindre un niveau. Et ça, ça passe par les process qui vont tout le temps être les mêmes, par cadrer les prestations que tu as. opérationnel de délivrabilité choisir ses clients avoir une seule presse à et pas 50 bien connaître aussi ce que tu vends tu vois yes what's up bro comment ça va lucas ça va et toi la forme bon merci beaucoup d'être présent aujourd'hui avec avec nous donc le

  • Speaker #1

    deuxième invité aujourd'hui sur ce podcast ça fait vraiment plaisir de pouvoir ta voir on a tous envie de savoir voilà qui est le leader de de l'onboarding de la structuration de de business, d'agence, etc. Est-ce que tu peux peut-être te présenter en quelques mots, nous dire qui tu es, quel parcours, ce que tu fais ?

  • Speaker #0

    Ouais, avec plaisir. Je m'appelle Lucas Perrin, j'habite à Dubaï. J'ai commencé il y a pas mal de temps. Il y avait des TikTok à l'époque qui expliquaient mon parcours et ce par quoi j'étais passé. Mais j'ai commencé quand j'avais 15 ans par tous les petits trucs que tout le monde a globalement fait. Je suis né dans un village, un très petit village, des petits villages de campagne que personne ne connaît. Il y a 200 mecs. C'est le côté storytelling, mais en vrai, c'est la vérité. J'ai commencé par du sport. J'ai fait sport et études foot. Je suis arrivé en STMG. L'école, ce n'était pas trop fait pour moi. Un peu comme tout le monde, globalement, qui a lancé son business. Et puis après, je suis arrivé à Paris pour faire une école de commerce. En parallèle, je montais plein de petits trucs. Toujours un petit peu plus ambitieux. Au début, c'était la petite marque. Puis après, c'était la petite marketplace, les sites internet. J'ai même fait de l'e-commerce pendant quelques semaines. A 17 ans, je voulais monter une... Ça, c'était la première chose qui a été un peu grosse, même si ça n'a pas abouti. Je voulais faire de l'import-export de caisses accidentées. Je ne sais pas si tu connais, mais il y a un truc aux Etats-Unis qui s'appelle les assurances de personnes très très jeunes, qui viennent d'avoir leur jeune permis, qui sont spécialisés là-dedans, parce qu'il y a des gros risques. Quand les mecs achètent des grosses caisses et qu'ils se plantent parce qu'ils ne savent pas conduire, derrière les caisses elles sont revendues aux enchères tu vois et tout le monde dans le monde peut les acheter du coup je voulais racheter des voitures les réparer en france les mettre en location etc à 17 ans lever des fonds c'est un peu compliqué et voilà j'ai testé plein plein de trucs pour comprendre un peu comment marcher comment marcher les choses j'ai monté un genre d'incubateur pour pour aider un peu les jeunes à monter leur premier business puis après au bout d'un an et demi je suis plus allé du côté b2b pour bosser dans la structuration, l'organisation des cabinets de conseil corporate avec les techniques organisationnelles des business à cash flow un peu comme nous tous, ce qui est quand même deux mondes complètement différents. Et on a fait ça pendant un an, on a bossé avec des très beaux acteurs, des gros cabinets de conseil, et après le corporate ça m'a saoulé, donc je suis revenu dans le monde du cash flow et j'ai appliqué cette fois-ci tout ce que je savais du monde corporate et dans la structuration qu'on avait faite pour les petites agences comme nous. ce que je continue depuis six mois là actuellement.

  • Speaker #1

    Ok, écoute, congrats, tu as commencé assez tôt, 15 ans, c'est vrai que tu as commencé assez tôt. Ça t'est venu comment ? Tu as eu un déclic ou un truc comme ça ? Je ne sais pas,

  • Speaker #0

    en vrai, ça allait très très progressivement. Au début, je voulais juste, je ne sais pas, m'acheter ce que je voulais, tu vois, classique. Donc je suis allé faire les champs de maïs, je suis allé faire les campings pour nettoyer les toilettes et tout. Et à un moment donné, j'ai mis toute la paye que j'avais eue en deux mois dans un Mac. J'ai commencé à voir que je pouvais vendre des services en ligne. Du coup, j'ai testé deux, trois trucs. Vendre des sites, vendre des logos. Bon, j'avais 15, 16 ans, donc ce n'était pas fameux. Et après, en fait, ça s'est fait progressivement. Toujours essayer de faire un truc différent, un peu plus gros, avec un peu plus de visibilité. Et après, ce qui a un peu tout propulsé, ça a été TikTok. J'ai fait, quand j'avais un incubateur, ça s'appelait enterprendre.com. j'ai fait des TikTok, en fait c'est parti viral extrêmement vite et ça a permis d'avoir une grosse visibilité et de pouvoir lancer des trucs un peu plus sérieux et tout donc en vrai pas forcément de déclic de mon côté mais plutôt un truc progressif qui après fait que Tu l'as en toi en vrai le coup d'entreprendre, que du coup ça s'est plus révélé.

  • Speaker #1

    Ok, ok. Eh bien écoute, complètement suite progressive, suite logique. École de commerce également, ça a été avec les parents la transition, parce que du coup ça coûte assez cher une école de commerce. Quand tu t'as dit écoute, papa, maman, j'arrête l'école de commerce pour lancer mes propres bises, ça n'a pas été trop compliqué la transition ?

  • Speaker #0

    Sacrée période. En fait si tu veux... L'école de commerce, j'avais pris un prêt à mon nom pour la payer. Je me suis arrêté au bout de trois mois, mais j'avais quand même la première année qui était partie. Il y avait genre 13 000 euros qui étaient partis en fumée. Donc oui, du côté parents, même si ce n'était pas eux qui payaient, c'était un peu chiant. Mais il y a deux choses qui ont joué entre guillemets en ma faveur. Un, le fait que j'étais très loin, parce que le village dans lequel je suis, c'est à côté d'Avignon. Donc c'est vraiment dans le sud de la France. C'est très très loin. Pour aller à Paris, il faut 6 heures. C'est chiant. Donc le fait d'être pas à proximité, ça fait que t'as moins quand même de contact à la réalité, tu vois. Deuxième chose, j'avais déjà un business qui tournait, je faisais quelques milliers d'euros à 18 ans, tu vois, voire 10, 12 cas par mois, donc j'avais un peu une situation qui me permettait de pouvoir prendre ce risque-là. Et après, en parallèle, j'avais ma mère qui avait des petits soucis de santé, en fait, elle était pas très aware de ce qui passait, donc en fait, ils sont pas rendus compte vraiment que j'ai quitté l'école, genre ça s'est fait... rapidement et progressivement mais ils n'ont pas vu venir quoi. Donc après ouais c'est plus parce que tu vois j'ai je suis arrivé quoi fin août j'étais à l'école Novembre je quitte mars je crois je pars à Dubaï pour m'installer à 18 ans ça ça a été plus le choc tu vois partir à l'autre bout du monde

  • Speaker #1

    T'en as combien aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Là je préfère pas donner mon âge en vrai.

  • Speaker #1

    Ah ok ok ok.

  • Speaker #0

    C'est à cause de ma portée de préjudice.

  • Speaker #1

    Faites souci, ça marche. Ok, ok, ouais, 8 ans à Dubaï,

  • Speaker #0

    c'est beau, belle transition. Après, tu as de plus en plus de mecs qui ont des états qui viennent à Dubaï pour tester. Je suis reparti assez vite, je suis resté 6 mois, après je suis reparti parce que c'était trop cher. Je suis revenu en France et après ça est parti dans d'autres échelles. Parce que même quand tu fais 30 000 euros par mois de chiffre d'affaires, mec, la vie à Dubaï, ça coûte tellement cher que tu ne mets pas de côté ou c'est compliqué de te créer un vrai patrimoine ou quoi que ce soit. Donc je suis rentré en France, après je suis revenu quand je pouvais.

  • Speaker #1

    Ça peut être intéressant. C'est vrai que ça arrive à beaucoup de monde, ça, des personnes qui y vont, qui y reviennent. Tu vois, même moi, ça m'est arrivé, janvier 2021, j'y suis resté trois mois, je suis reparti. Et pour toi, il faut combien, on va dire, en moyenne, pour pouvoir vivre à Dubaï, pour pouvoir envisager de s'expatrier à Dubaï ? Pour faire combien pour toi ?

  • Speaker #0

    Bah mec, c'est simple, mon loyer c'est 5000 euros. Rien que la nourriture... tous les jours tu te fais livrer ton apport minimum 2000 euros en plus chaque mois tu comptes les services annexes les sorties tu prends une heure de tennis et 450 dirhams 120 euros donc en fait tu as tout qui est super cher au final tu t'en sors avec 10 12 cas spend en perso en perso donc si tu as ta boîte en france faut que tu te verses les salaires qu'il faut pour estimer ça c'est encore plus compliqué donc ça dépend si tu as ta boîte ici en dessous de je te dis On va parler en profit, en dessous de 20-25K de profit, ça n'a aucune utilité de venir ici parce que tu ne pourras pas mettre assez de côté. Et après en France, je ne vais pas les ordiner, mais il faut au moins avoir 20K qui rentrent en perso tous les mois.

  • Speaker #1

    Donc toi tu es plus de la team d'avoir une réserve de côté plutôt que de partir à l'aventure. Et de, comment dire, c'est pas que ça passe ou ça casse mais... Moi, je suis un peu partisan du truc où je vois ça, tu vois, Sexpatria Dubaï comme un investissement dans le sens où tu arrives, ce n'est pas la même énergie, tu es entouré de personnes qui font 10, 15 fois, 100 fois plus que toi. Et forcément, ça te met dans une énergie où tu fais plus d'argent, même si tu en dépenses plus.

  • Speaker #0

    Ouais, après, plus le temps passe et moins c'est le cas. C'est-à-dire que là, moi, Dubaï, ça commence à me saouler parce que... justement il y a trop de mecs qui viennent avec zéro et qui un qui viennent avec zéro c'est cool tu vois je trouve qu'ils ont le courage mais deux qui mentent du coup sur ce qu'ils font vraiment des postes linkedin à Dubaï ouais j'ai 17 ans je viens de m'exprimer à Dubaï je fais 100 000 euros par mois je suis millionnaire alors que le mec tu vois il a genre 1000 euros sur son compte et il est dans le fake it until you make it mais fois mille donc en fait Dubaï ça se remplit de plus en plus de plus en plus de plus en plus de personnes comme ça qui fait qu'au final bah tu trouves pas forcément dans ce que tu veux atteindre après battal côté caché dubaï ou latawi tu as les vrais vrais gros noms et les personnes que tu connais même pas qui sont milliardaires mais t'es pas forcément avec eux parce que t'es pas non plus à ce niveau là donc en fait c'est tu te retrouves au final avec tes potes juste à l'autre bout du monde tu vois Dans une ville qui coûte très cher. Donc autant être ailleurs.

  • Speaker #1

    Ok, ok, ok, je vois ce que tu veux dire. Et toi, du coup, tu fais pas mal d'allers-retours avec la Géorgie. C'est vrai que ça c'est... Comment dire, je connais pas énormément de monde qui sont là-bas. C'est...

  • Speaker #0

    Bah j'y suis allé qu'une fois, en vrai.

  • Speaker #1

    Ah, tu y as été qu'une fois.

  • Speaker #0

    Ouais, j'y suis allé qu'une fois, donc Géorgie c'est pas trop mon... J'adore le pays, je suis vraiment amoureux du pays, mais j'y vais pas souvent, non. J'ai plus mon ami Louiski qui, lui, a ses bureaux, son équipe là-bas, sa vie là-bas. mais sinon je reste beaucoup ici quand même.

  • Speaker #1

    Ok, et du coup tu envisages de bouger quelque part peut-être ?

  • Speaker #0

    Ouais, bah Dubaï en fait c'est plus une passerelle, tu vois, comme tu le disais. Je pense pas que c'est la passerelle entre le 0 et le 1, je pense plus que c'est la passerelle entre, allez, on va dire, 40 000 euros par mois et 150 000 euros par mois, tu vois, t'es bien ici, ça te permet d'aller vite, de comprendre comment marche le monde, t'as beaucoup de pression, t'as pas le choix. Et après, quand tu dépasses ces palais-là, je pense que c'est mieux de se retrouver ailleurs, parce que tu as plus besoin, tu travailles moins, donc tu as plus besoin de te retrouver avec toi-même, plus besoin d'avoir ta vraie routine et tout, que d'être dans une ville où c'est que argent, argent, argent, et tout le temps, quoi, tu vois. C'est plus trop l'objectif.

  • Speaker #1

    Ok, ok, ok. Bon, après, c'est vrai que c'est les goûts et les couleurs. Il y a beaucoup d'avis divergents, mais ok, complètement, je vois ce que tu veux dire. Est-ce que tu peux nous dire un petit peu plus en détail ce que tu fais ? C'est vrai que nous, on a eu la chance de pouvoir faire l'onboarding avec toi. Est-ce que tu pourrais nous en dire un petit peu plus ? Qui est-ce que tu aides et ce que tu fais exactement de A à Z ? Oui.

  • Speaker #0

    Alors, on a lancé l'agence pour les agences, enfin, c'est loué, lancé sur le marché pour les agences, on va dire à cashflow, entre les agences 5 et 80 000 euros par mois. de CA en juin. Au début on est arrivé sur le marché on faisait que des onboarding clients donc les gens n'avaient pas l'habitude il y en avait la plupart qui ne savaient même pas ce qu'était un onboarding client tu vois donc ça a fait un petit choc ce qui nous a permis de partir très très rapidement je crois que le premier mois on a fait 25, le deuxième on a fait 40, le troisième on a fait 60 donc ça y est très très vite quand on était voilà deux mois et demi trois mois on s'est rendu compte que les gens n'avaient pas uniquement besoin d'avoir un onboarding client automatisé mais d'avoir toutes leurs activités automatisées, tu vois, c'était ce que le marché nous demandait, et à ce moment-là on avait bossé avec je pense à peu près 50-60 agences, donc on avait quand même un bon sample. Là on s'est mis à automatiser tout le parcours client des agences, c'est-à-dire de l'onboarding jusqu'à l'offboarding, jusqu'à la livraison des services, de manière à ce que l'entrepreneur n'ait plus rien à gérer, sa team soit coordonnée pour lui, la relation client soit gérée pour lui, la gestion des projets soit gérée pour lui, tout en automatique. Et là depuis septembre, ça fait quatre mois, on est en novembre, on rentre en décembre, on observe de plus en plus de choses, on a 150 clients, donc on observe de plus en plus l'évolution de ce qu'ont vraiment besoin les gens. Parce que tu sais, tu as ce que les gens demandent et ce que les gens ont vraiment besoin. Tout le monde veut l'automatisation, ça fait kiffer, tu ne bosses plus et tout, mais les gens le font trop pour les mauvaises raisons et pas au bon moment. Donc en fait, on s'est rendu compte que ce que les gens avaient besoin avant d'automatiser leur business, c'était vraiment l'organiser et le structurer. Savoir exactement comment le parcours de délivrabilité va être construit, qu'il y ait des process qui régissent ce parcours de délivrabilité pour que ce soit vraiment la même chose tout le temps. Consister à exactement quoi dire, à quel client, à quel moment, avec quelles informations, par quelle personne, en suivant quel tram, etc. D'avoir une infrastructure outil qui permet d'héberger tout ça de manière vraiment stricte, rigide et cadrée. Et tout ça fait que du coup, on est en train de totalement basculer ce qu'on faisait auparavant en Done For You, donc les automatisations, en un programme complet de restructuration de son agence. Donc de vraiment build l'infrastructure complète en délivrabilité, opérationnelle, en automatisation, pour pouvoir aller chercher un M par an de CA facile à délivrer avec son activité. Et donc du coup, ce qu'on a fait au lieu d'être en Done For You, parce que tu plafonnes quand même pas mal en Done For You, J'ai pas envie d'avoir une équipe de 20 personnes, ça m'intéresse pas, tu vois. Et 3-4, ça me suffit largement. Et on bloquait à 70-80 cas par mois pour 20 clients et 4 personnes, tu vois, full time. Donc, c'est bien, t'es content, mais t'as quand même envie d'aller plus loin. Et donc là, ce qu'on a fait, c'est qu'on a vraiment build pendant plusieurs mois tout ce qu'on avait fait. Tu vois, l'onboarding client, on a fait un framework. L'automatisation de toute l'activité, on en a fait un framework, on a construit plus d'une cinquantaine de SOPI et plus d'une cinquantaine d'automatisations. On a construit un SaaS complet pour gérer ton activité, ta sales structure, ta deliverability structure, ta staffing structure, tout. Et on va le release à tous ceux qui ont besoin de cette structure pour aller chercher un M par an. Donc ce sera du plugin.

  • Speaker #1

    Donc là, tu es en train de transiter sur une offre plutôt hybride. Avant, tu étais en full done for you, tu faisais tout pour tes clients. Là, tu as créé vraiment toute une infrastructure où les gens vont pouvoir, entre guillemets, la templétariser. Et donc, du coup, même la comprendre et se l'approprier de manière autonome. Ce qui va rendre ton activité beaucoup plus scalable.

  • Speaker #0

    C'est ça, tu vois. Le rapport au temps que tu as avec ton client est cadré, est défini, il ne change pas. C'est-à-dire que quand tu es du done for you, les besoins de ton client varient, ses demandes varient, les retakes varient. Donc tu peux dire, voilà, un client prend 10 heures, au final, il t'en prend 30. Et quand tu as déjà build quelque chose que tu vas relâcher à ton client et que lui le personnalise pour lui, tu vois, tu es quand même là pour l'accompagner, tu fais des calls, mais tu sais que tu as 4 calls d'une heure, ça te fait 4 heures ton client, pas plus, tiens. Lui, il le fait à son rythme. Il gère aussi les problèmes que lui a parce que quand tu fais l'automatisation et que tu gères ça pour le client, tu as les aléas du client. Il a copié-collé le mauvais truc, il a pas suivi dans l'ordre, etc. Après, il vient te voir. Ouais, il y a un problème dans mon process. J'ai bien vu. Du coup, de plus responsabiliser les gens et de le permettre de le faire en beaucoup plus de volume sans être une formation non plus parce que ça, ça m'intéresse pas.

  • Speaker #1

    Complètement, Donc là aujourd'hui, tu as une team de combien de personnes toi ? Et si on devait les citer, tu travailles avec des développeurs ? Avec quel type d'experts aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Trois personnes, moi, et deux opérateurs. Un qui avant avait une activité freelance en automatisation, et qui du coup est OR et en capacité de pouvoir faire n'importe quel automne. Et un ancien dev, qui a d'ailleurs travaillé sur notre SaaS, qui lui s'occupe plus côté CSM, conseil client, ce truc.

  • Speaker #1

    organisation tu vois le côté très cadré des devs pour un luxe ok ok ok super intéressant et du coup comment tu as attiré à toi du coup par exemple des players vraiment des acteurs qui sont le battement de coeur de ton business du coup comment tu vas les sources et c'est player du coup le

  • Speaker #0

    tout c'est d'avoir un funnel de recrutement qui soit vraiment vraiment cadré ça tu vois j'ai fait un Ça fait du coup trois ans que je recrute et que je bosse avec des gens. En tout, j'ai dû bosser avec une cinquantaine de personnes, j'ai dû faire je ne sais pas combien d'entretiens, 500, 600 candidats qui postulent à chaque fois, tu vois. Et donc à terme, tu arrives à quand même construire ta propre méthode de recrutement, tu vois. Et donc ouais, j'ai réussi à construire un bon funnel pour aller tester assez de volume, donc tester 500, 600 personnes à chaque fois, le faire de manière automatique pour ne pas y passer de temps. Les sensibiliser sur qui je suis, quelle est mon expérience, quel est mon parcours, qu'est-ce que l'agence, donc un peu de personal branding quand même pour créer ce pilier là qui attire les gens. Les former pendant le process de recrutement pour qu'ils puissent un maximum être, comment dire, pas forcément formés parce que j'attends pas des mecs qui soient déjà formés à chaque fois que je recrute, mais des personnes qui soient assez aware de ce qu'on va faire, qui puissent déjà s'y intéresser. et se renseigner à la veille de passer les mises en situation sur YouTube ou quoi que ce soit sur qu'est-ce que sont les métiers et de pouvoir un minimum l'apprendre. Donc ça, ça se fait par trois choses, des formulaires, récupérer en volume toutes les réponses, tu vois. Un formulaire où on va aller faire la segmentation des profils des personnes, un formulaire où on va aller faire une mise en situation. Comme ça, tu vois, tu as 600 réponses à chaque fois, tu peux tout automatiser pour traiter même avec GPT, tu vois. tu as tout ta staffing structure qui permet de gérer les candidatures donc tu as un grand tableau cambans où j'ai tous les candidats à quels étapes ils sont, une note sur 20 en fonction de ce que moi je recherche fait par GPT et ce que la personne m'a mis comme réponse tu vois. J'ai une VA qui va aller checker toutes les réponses pour organiser les calls avec les personnes les plus pertinentes et donc en fait en 15 jours tu passes de tu as des marchés soit par des ads soit par un funnel où ads web formulaire soit par fiverr upwork, math, linkedin tu démarches les gens tu trouves de 600 personnes contactées à

  • Speaker #1

    5 calls tu vois mais c'est 5 calls extrêmement qualifiés et du coup à la fin on t'en recrute un ou deux tu vois et t'en as d'autres que tu peux garder en base de données au cas ou quoi c'est vrai qu'en fait c'est vrai qu'on prend un petit peu de recul pour sourcer des players c'est un petit peu les mêmes systèmes d'acquisition pour aller chercher des clients en fait peut être boosté en ads tu peux prospecter faire de l'outreach pour pour aller chercher les meilleurs. Donc, ouais, complètement.

  • Speaker #0

    Et c'est plus toi qui dois te vendre pour que le mec vienne que le mec, tu vois, doit se vendre pour être recruté. Quand le mec est vraiment bon, il sait se faire, comment dire, désirer, quoi.

  • Speaker #1

    Ouais, c'est toi qui dois le closer, quoi. C'est sûr. C'est sûr, c'est sûr, c'est sûr. Ok, bah écoute, super intéressant de ce côté-là. Aujourd'hui, est-ce que toi, tu parles un peu chiffres, juste pour que les gens se rendent compte aussi de où tu en es, toi, dans ton parcours ? parcours, etc. Est-ce que tu partages un petit peu des chiffres ou pas du tout ?

  • Speaker #0

    Ouais. Non, mais du coup, je disais, c'est ce qui fait à peu près 5 clients par semaine, un client du lundi au vendredi que tu vas réaliser en done for you, donc un bon turnover. On a mis un pricing qui était assez attractif sur nos anciennes prestations, on tournait globalement entre 3 500 et 6 000.

  • Speaker #1

    et voilà quoi ok ok ça marche écoute on va pouvoir rentrer un petit peu plus dans la vision micro juste après je voulais te poser une question avant selon toi comment devenir le numéro 1 sur son marché, comment se démarquer de sa concurrence parce que c'est vrai que tu vois même on l'a vu avec ton modèle d'affaires, t'as changé plusieurs fois d'offres ton offre a évolué et c'est quelque chose de très positif et en très peu de temps Donc forcément tu as su t'adapter, je pense un peu comme un caméléon, à ce que voulaient tes clients, à ce que demandait le marché. Donc ouais, si tu avais un feedback à faire, d'après ton expérience, est-ce que tu as pu du coup appliquer toi dans ton business ? Comment devenir, en fait avoir une offre qui se démarque de la concurrence et devenir le numéro 1 de son marché ?

  • Speaker #0

    Ouais, après, bon j'ai pas la prétention de dire qu'on est numéro 1 non plus, c'est vrai qu'il y a... personne qui fait de la structuration, mais en termes d'échelle, tu vois, 80 cas par mois, c'est pas c'est pas oufissime. Mais sinon, surtout d'un point de vue visibilité, ce qui te permet de prendre beaucoup, beaucoup d'un coup, c'est juste d'être à la pointe des informations et des produits que tu partages à ton client. Ce qui a fait que moi, j'ai changé d'offre beaucoup de fois, c'est pas le fait que ça marchait pas, mais c'est le fait que ça allait marcher plus. Donc ça va plus apporter, tu vois. J'aurais plus de stabilité, j'aurais fait un peu plus de chiffre d'affaires si peut-être j'étais resté sur les onboarding, que j'avais vendu que des onboarding, que j'avais augmenté le prix à 2K l'onboarding, tu vois. Bon, cool, moi c'est pas ce qui m'intéresse. Ce qui m'intéresse, c'est vraiment, là tu vois, on monte un SaaS dans notre prestat qui est no code. En parallèle, on dévore un SaaS qui est codé. Et dans un an, on va release un software qui va être valorisable, qui va aller conclure un certable, tu vois. Donc en fait, le but, c'est de commencer petit. sur un truc très très simple qui n'a jamais été vraiment optimisé sur un marché. On parlait de sales structure tout à l'heure. Aujourd'hui, tu n'as personne qui propose sales structure. Tu en auras peut-être avec ce podcast qu'ils le feront, même si nous, du coup, on l'a implémenté. Mais tu prends un truc très très simple qui n'a pas été optimisé. Tu essaies de le pousser un maximum dans ce que tu peux faire d'un point de vue tech. Tu le proposes sur le marché, tu fais un petit peu de contenu. Si ton produit est excellent, les gens parleront de toi. Nous, le premier mois, on n'a pas fait d'acquisition. Ça a été juste du bouche-à-oreille. On a eu 20 clients, donc c'était très cool. Et puis après, c'est toujours écouter, enfin vraiment, pas forcément écouter, mais vraiment comprendre quel est le réel besoin de ton client et moduler ton offre, moduler ton produit. En général, les gens, pourquoi est-ce qu'ils ne changent pas d'offre ? C'est parce que du coup, ils ont cette linéarité. Ils préfèrent toujours faire 30K par mois toute l'année que faire 30K, 40K, 50K, 10K, 5K, tu vois, parce qu'ils changent d'offre. Moi, ça ne m'a jamais fait peur, je m'en fous complètement. Et voilà, toujours aller plus loin dans la tech. se rapprocher de la vision finale si tu la définis. Et tout ça fait que du coup, au final, ton produit, il est quand même bon. Et ça, les gens, ils le communiquent, ils le partagent. Et tu as beaucoup de bouche-oreille et ça va très vite.

  • Speaker #1

    Ouais, complètement. Je te rejoins beaucoup là-dessus. C'est quoi déjà la phrase ? Tu vas peut-être pouvoir m'aider. Je trouve que ça résume exactement ce que tu dis. Et le syndrome qu'ont la plupart des gens aussi. Des fois, les gens, ils savent qu'il y a un truc à améliorer, mais ils continuent de... C'est quoi la phrase d'Einstein ? La folie, c'est de répéter les mêmes choses.

  • Speaker #0

    Oui, en attendant un résultat différent.

  • Speaker #1

    Voilà, c'est ça exactement. Et ça, je pense que c'est le problème de beaucoup de personnes. Ils ont conscience qu'il y a un problème, mais ils ont soit la flemme de le changer, soit la peur de prendre des risques et de ne pas avoir la certitude qu'en changeant quelque chose, ça va améliorer ou faire évoluer ton business. Mais je pense que c'est l'une des principales problématiques aujourd'hui. s'adapter au marché, prendre des feedbacks et je pense que c'est vraiment la solution complètement.

  • Speaker #0

    De toute façon quand tu regardes le marché français t'as extrêmement de copycat et toutes les offres sont les mêmes tous les produits sont les mêmes les gens ils n'offrent pas forcément c'est drôle parce que les mecs qui font pas d'argent et qui sont à zéro et qui veulent lancer leur business ils cherchent à innover parce que sinon ils pensent qu'ils vendront pas et les mecs qui font de l'argent ils ne cherchent pas à innover parce que je

  • Speaker #1

    sais pas c'est un peu contradictoire Pour toi aujourd'hui, est-ce que tu pourrais peut-être nous partager les bénéfices d'avoir une bonne expérience client ? Et puis après, on va voir comment on va faire un playbook, on va faire une masterclass, voir comment on peut mettre ça un petit peu en place. Mais dans un premier temps, si on parle des bénéfices aujourd'hui d'avoir une bonne expérience client.

  • Speaker #0

    Si tu veux, ton client, quand tu vas le closer, donc imaginons que tu rentres sur un marché ou que tu es déjà sur un marché, le mec que tu vas closer, il te dit... Tu connais pas forcément, soit tu fais des ads, il t'a jamais vu, soit il te dépose sur une vidéo YouTube où il entend parler de toi. Quand tu vas le closer une première fois, tu vas le closer sur son niveau de confiance actuel, sur ce qui c'est toi, et les informations qu'il a eues, mais pas sur le travail que t'as déjà fait avec lui. Donc tu vas peut-être prendre par 1, 2, 3, 4, 5, 6 cas. Mais ça, c'est que... 10% de ce qu'il pourrait te payer tu vois dans un premier temps et ce que tu vas lui apporter par ta première prestat c'est 10% dans ce que tu peux lui apporter au final donc quand tu closes un mec pour la première fois le seul enjeu que tu as c'est avoir la meilleure impression la meilleure qualité pour que derrière il y ait une vraie relation avec lui et qu'il parte sur d'autres prestats donc l'expérience client c'est un essentiel pour augmenter la ldv de ton client ce qui est vraiment la pérennité de ton activité et deux aussi pour augmenter ta comment dire ton acquisition indirecte par le bouche-oreille. Tu vois, ce qu'on faisait dans notre onboarding, c'est que quand le mec était onboardé, à la fin, on lui envoyait directement un petit message. Quand il avait le pic de dopamine, parce qu'il avait eu toutes les interactions de l'onboarding, les vidéos, un message, etc. Quand il a le pic de dopamine dans l'onboarding, on lui envoie un message pour lui dire d'ailleurs qui est-ce que tu connais qui a une agence comme la tienne et qui aurait peut-être besoin de ce qu'on fait. On a une offre où on peut vous mettre tous les deux au prix d'un onboarding pour le prix d'eux. Enfin bref, tu te débrouilles mais... Dans ton expérience client, si ça se passe bien, il a de la dopamine et quand il a de la dopamine, il parlera à toi. Donc ça te permet d'avoir une acquisition extrêmement rapide. Tu n'as même pas délivré ta prestat, tu as déjà d'autres mecs. Donc à la fois pour le court terme, à la fois pour le long terme, c'est essentiel. Et puis, tu as beau avoir un service de fou, si derrière le client, il n'est pas content, il peut te demander un refund. Parce qu'il a eu peur, parce qu'il n'a pas senti le truc avec toi, il regrette, il refund. Donc, extrêmement important de créer un lien et de la confiance. Ça, ça passe par la relation avec l'expérience que tu as avec lui.

  • Speaker #1

    Ok, ok, ok. Donc là, première étape d'une bonne expérience client, l'onboarding. Quand le client achète chez toi, il y a des premières étapes pour délivrer tes services à ce fameux client. Pourquoi il a payé ? Quelles sont, selon toi, les étapes d'un bon onboarding client ?

  • Speaker #0

    Un onboarding client, le mec, il a la phase de closing, donc tu as l'appel avec lui. S'il paye ou qu'il signe un devis, donc l'acte de closer dans l'appel, tant mieux, tu l'unboards directement après. Quand il a payé ou signé ton devis, il faut qu'il soit directement redirigé vers derrière une plateforme sur laquelle tu vas centraliser ta relation avec lui. Il y en a certains qui le font par mail, plus pour les côtés corporate ou le BTP, etc. Slack, c'est ce qui est le mieux pour des niches beaucoup plus jeunes, tu vois. Si ton client a moins de 40 ans, tu le mets sur Slack, tu gères toute la relation avec lui. Sur Slack, derrière, il faut que tu aies le côté privé avec ce client-là, donc un canal privé qui est créé où tu gères toute la prestation. Un premier message de la team pour lui montrer qu'il y a quelqu'un derrière qui l'accueille et pas justement un bot. Même si c'est des automatisations, le mec ne le saura pas forcément. Nous, il le savait quand on les onboardait parce qu'on vendait ça, mais un mec qui onboarde quelqu'un, il reçoit un message une minute après, il ne se dit pas, tiens... C'est une automatisation. Donc lui envoyer un message pour humaniser la chose, l'accueillir. Lui envoyer une vidéo pour expliquer en détail comment ça va se passer. Lui envoyer la roadmap de comment tu vas travailler pour qu'il se projette sur les semaines à venir, sur ce qui va se passer. Le rassurer, extrêmement important. Donc ça, tu vois, nous ce qu'on met c'est un Google Drive, tu mets 2-3 testimonials dedans. Le mec il clique sur le premier, il voit ce que c'est, il voit qu'il y en a 2-3-4. Il ne regardera pas mais il sera rassuré, il se dira ok j'ai quand même pris la bonne décision. Tu lui envoies un contrat qui a été généré, qu'il va pouvoir signer selon son prénom et son nom. Le canal, il faut qu'il soit à son nom aussi, évidemment, ça tu le fais en l'automatisant. Tu lui envoies un formulaire pour qu'il puisse directement avoir un input de sa part. En fait, ce qui est important, c'est que le mec ne soit pas en latente de toi, mais que lui ait un mini investissement à mettre. Donc tu lui fais un formulaire dans lequel il va te poser toutes ses questions, il va répondre à toutes tes questions pour travailler. Dès qu'il l'a envoyé, il y a une automatisation qui va lui renvoyer un message pour lui dire merci on a bien reçu, tu peux lui envoyer le lien pour qu'il puisse booker son call, et après il sera dans l'attente d'un call mais il aura déjà donné des informations, donc il saura que tu travailleras dessus. Donc globalement un onboarding aujourd'hui c'est composé de ça, après c'est le côté front-end, donc le côté relationnel client, après tu as derrière tout l'enjeu back-end pour aller centraliser toutes les données que tu as récupérées du client, son adresse email, le contrat qui a été signé, les réponses du formulaire.

  • Speaker #1

    etc etc flouter ta fiche client ton pipeline enfin bref toute une structure derrière ça en fait des choses et donc du coup toi tu centrales tout ça sur sur Airtable aujourd'hui toi tu trouves il n'y a pas de concurrence à Airtable en termes d'outils pour ça ?

  • Speaker #0

    t'as de la concurrence parce que tu as plein d'outils qui te permettent d'avoir les features que fait Airtable mais surtout plein d'outils qui te permettent trop de choses tu vois C'est pour ça que moi j'ai envie d'aller concurrencer Airtable, même si aujourd'hui je l'utilise. C'est parce qu'aujourd'hui comment ça a été réfléchi ces outils ? C'est une boîte qui dit écoutez le marché, nous on a toutes ces features possibles, ça va vous permettre de faire ça, ça, ça, ça, débrouillez-vous, faites ce que vous voulez. Et au final tu vois donc tu as la plateforme qui met ses features, les users qui vont essayer de bidouiller un peu, qui vont faire tout et n'importe quoi et vont voir qu'il y a énormément de choses à faire comme avec Notion, que tu as forcément l'expérience de je fais plein de trucs, au final je suis perdu, je ne sais plus où sont mes datas. Et tu n'as pas d'entremetteur pour configurer le tout et vraiment faire en sorte qu'il y ait une structure cadrée. Et du coup, nous, c'est ce qu'on a fait avec Airtable en configurant complètement l'espace. Et c'est ce qu'on va faire avec un SaaS en disant, écoutez, nous, on sait ce dont vous avez besoin. On l'a construit, vous y accédez, vous l'utilisez, mais vous ne pouvez pas avoir le choix de ce que vous pouvez construire parce qu'il n'y a pas d'intérêt à faire ça, on sait ce dont vous avez besoin. Donc, Airtable, c'est ce qui est le plus simple, le plus intuitif, le plus rapide. et le plus connectable avec tous les outils externes.

  • Speaker #1

    Ok, ok, je vois. C'est vrai que les gens, je pense, sous-estiment l'importance d'avoir une bonne expérience client, dans le sens où même si tu parles de... même si tu es dans une optique de scaler ton business, de faire plus de CA, de toucher plus de personnes, etc., on dit tout le temps que c'est plus facile de revendre quelque chose à un client plutôt que d'aller en chercher de nouveau. Et aujourd'hui, quelqu'un qui a eu une bonne expérience chez toi, il va te prier de prendre son argent pour aller plus loin si tu as une proposition de valeur qui lui permet d'aller plus loin. Donc, complètement d'où l'importance d'avoir une bonne structuration de business, une bonne délivrabilité et un bon onboarding.

  • Speaker #0

    Tu as tous tes clients, je te coupe, mais pour appuyer sur ça, imagine que tu as ton Slack où tu as tous tes clients, tu as 100 clients dessus, tu lances un nouveau produit, une feature. quoi que ce soit, t'envoies un loom à chacun en one to one, le même loom à tout le monde, en leur disant voilà on vient de créer ça t'as déjà 20% des gens qui vont prendre ton offre t'as une offre par mille euros, 100 clients t'as fait 20k en une soirée, tout ça parce que t'as envoyé un loom

  • Speaker #1

    100 fois donc ouais ça peut aller très vite complètement je sais que tu parles beaucoup aussi de productisation, je sais pas si je dis bien le terme ... Est-ce que tu pourrais nous en dire un peu plus à ce sujet-là ? Comment vraiment créer des infrastructures dans son business ?

  • Speaker #0

    Si tu veux, la productisation, je ne sais pas si c'est un vrai terme ou pas, mais globalement, c'est juste faire en sorte que ton service devienne un produit. Donc, ce que tu crées normalement en done-for-you pour quelqu'un, tu puisses l'industrialiser, le faire à la chaîne, parce que la manière dont tu le fais a été processisée, automatisée, accélérée. de manière à ce que ça prenne beaucoup moins de temps, que tu puisses en faire beaucoup plus. Donc le principe, il est très simple. Maintenant, dans la réalité, c'est très compliqué à mettre en place pour vraiment atteindre un niveau. Et ça, ça passe par les process qui vont tout le temps être les mêmes, par cadrer les prestations que tu as, ton parcours opérationnel de délivrabilité, choisir tes clients, avoir une seule prestation et pas 50, bien connaître aussi ce que tu vends, tu vois. Tu ne peux pas te dire, je fais zéro de CA, le premier business que je vais lancer, je vais le productiser parce que tu ne sais pas comment tu vas pouvoir le faire tout le temps que tu es un sample de client. Mais ouais, industrialisation de qualité quand même.

  • Speaker #1

    Ouais, complètement. Écoute, regarde, ce que je te propose, c'est pourquoi pas qu'on mette des images sur des mots. Est-ce que peut-être en live, tu pourrais nous montrer peut-être un cas concret, un cas d'exemple pour que les gens se rendent compte parce que c'est vrai que ça fait beaucoup de temps. de termes compliqués, beaucoup de choses beaucoup de choses en fait concrètement, peut-être de nouvelles choses même pour des personnes qui nous écoutent et c'est vrai que de le voir en application, les gens pourraient se rendre compte je pense de l'importance et des bénéfices en fait vraiment, d'avoir une bonne structure de son business.

  • Speaker #0

    Alors je vais te montrer pour revenir sur ce que tu me dis, je vais te partager mon écran et te montrer le parcours opérationnel d'une agence d'ads

  • Speaker #1

    Allez let's go !

  • Speaker #0

    Comment est-ce qu'il faut réfléchir et cadrer la manière dont tu travailles ? Tu as deux choses à prévoir. La première, c'est quelles sont les grandes étapes qui régissent la manière dont je vais réaliser ma prestat. L'onboarding, l'appel de kick-off, l'opérationnel, la phase de délivrabilité et de modification, et puis l'offboarding. Ça, c'est les grands steps. Dans ces grands steps, à chaque fois, tu as les mêmes étapes qui doivent être présentes. D'après ça, si par exemple, je te donne un truc tout con, le truc à surtout pas faire, c'est par exemple, vendre le fait que tu es dev. Je suis dev, je fais ce que vous voulez. Tu vas avoir plein de boîtes qui vont venir avec plein de sujets différents, donc la manière dont tu travailleras sera tout le temps différente. Tu ne pourras pas l'anticiper, l'appréhender, l'optimiser, et c'est là qu'en fait, tu as des délais qui sont mauvais, une qualité qui est mauvaise, et tu ne peux pas se caler. A l'inverse, si tu dis, je ne fais que des applications mobiles pour, je ne sais pas, gérer la base de données de votre entreprise, tu feras tout le temps la même chose, de la même manière, avec les mêmes étapes pour les mêmes clients. Donc tu pourras faire beaucoup plus de volume, beaucoup plus de résultats. Donc déjà première étape, définir, et là je vous le montre pour une agence d'ad, définir l'ensemble des étapes qui composent, enfin c'est une agence d'ad plutôt, une agence de funnel building, toutes les étapes qui composent votre prestat. Pour cette agence de funnel building, à chaque fois il y a l'onboarding du client, Il y a la phase d'appel de kick-off où on va récupérer l'information, on va créer pour le funnel la landing page, on va créer les créatifs pour la séquence d'ad, les séquences email, les postes organiques pour appuyer du coup le travail qui sera fait lors du lancement de la campagne, la campagne de media buy, on délivre le tout au client, et puis après on fait du tracking. Donc on a défini ces premières étapes. Ensuite à chaque étape, il va se passer plusieurs choses. Le contact avec le client, pour récupérer de l'information, pour lui partager les avancements, pour lui demander des feedbacks. Le contact avec l'équipe. la coordination de l'équipe, qui doit faire quoi, quand, comment, de quelle manière, pour quel client, avec quelles informations, et les validations hiérarchiques, le CSM envoie les infos à l'opérateur, l'opérateur envoie au manager pour qu'il valide, le manager valide et ça s'envoie au client, et le côté opérationnel pur, c'est-à-dire la manière dont on fait la mission en particulier. Ce qu'on va pouvoir vraiment productiser et perfectionner, enfin oui, optimiser, ça ne va pas être l'opérationnel pur, c'est-à-dire l'étape que l'on fait, la mission pure. mais plus tout ce qu'il y a autour c'est à dire quand est-ce qu'on va récupérer les informations dans l'onboarding on a récupéré tous les accès du client ses besoins ses volontés pour derrière les centraliser sur une plateforme et que ce soit automatiquement envoyé à l'opérateur pour qu'il ait toutes les informations pour travailler quand il a à faire la landing page le nom de domaine les accès les différentes étapes qu'il veut mettre dans la landing page pour cet exemple là le style de copywriting des exemples de pages qu'il a aimé donc tu vois déjà centralisé toutes ces informations là et à chaque fois tu as les mêmes étapes L'étape est validée, donc l'onboarding est terminée, l'appel de kick-off est terminé, on lance l'opérationnel. Tu as une personne qui est attribuée dans l'équipe, cette personne-là va recevoir un message avec un brief pour dire voilà tu as ça à faire pour telle personne, voici les infos sur lesquelles te baser, voici le process à suivre. Donc il y a la coordination de l'équipe, de la personne qui travaille, le briefing sur tout ce qu'il y a à faire qui peut être fait par des IA ou des messages qui sont tout le temps les mêmes et un process qui doit tout le temps être le même à suivre pour ne pas se tromper dans les étapes. Process, comment faire le hero d'une landing page, que mettre dans le hero. Dans le hero, il faut mettre tel bouton, tel bouton d'une référence à telle ressource qui permettra tout le temps d'avoir les mêmes styles de boutons. Tu vois ce que je veux dire ? Tu as le côté relationnel, informationnel et opérationnel. Et tous ces box-là, tu vas les drag and drop pour organiser ton parcours de délivrerie durant tout son parcours. Donc le mec répond au form d'onboarding, la team est notifiée de la réception, va être briefée sur le travail, va pouvoir réaliser sa mission. Dès qu'il a réalisé sa mission, il change un statut sur la fiche du client sur le airtable. Dès que c'est fait, il y a un workflow qui va se lancer. qui va aller envoyer une notification au client pour lui dire qu'on a terminé, lui envoyer le travail qui aura été fait puisqu'on l'aura recensé dans la fiche du client, le manager qui reçoit la notif, le portail client qui s'actualise avec l'avancement de où on en est, et ça à chaque étape. Ce qui fait qu'en fait, la communication, tu peux complètement l'automatiser. La manière dont tu fais le travail, vu qu'il y a des process, tu n'auras pas d'aléas sur en combien de temps je ferai par exemple telle étape, enfin telle landing page ou telle campagne d'ad. Le client, lui, il a une bonne expérience parce qu'il est notifié à chaque étape. Et tout ça fait que tu peux drastiquement accélérer tes délais de livraison, aussi contrôler la qualité de l'output. Beaucoup de mecs disent « mais je n'ai pas envie de recruter, beaucoup de freelance surtout, je n'ai pas envie de recruter, je veux rester seul parce que je ne sais pas, je ne trouve personne qui soit assez qualifié que moi. » Mais le problème n'est pas dans qui est-ce que tu trouveras qui aura ton niveau, ça c'est ta formation, donc personne n'aura ton niveau. Il y en a qui sont peut-être trop… au-dessus, mais qui ne feront pas de la manière dont toi tu le fais, donc ça ne t'ira pas, c'est comment est-ce que cette personne travaille en suivant toi, la manière dont toi tu travailles, pour répliquer le même résultat. Donc tout ça n'est qu'au final que cadrer les choses, rigidifier les choses, mettre en place des process, des automatisations, et pas laisser le choix, entre guillemets, aux décisions sur qu'est-ce qui doit se passer. Je ne sais pas si c'était assez clair.

  • Speaker #1

    Par moi, de mon côté, c'est très clair. Je pense que c'est bien que tu aies montré aussi un petit peu de manière concrète ce qu'il en est. C'est vrai que de l'extérieur, je pense que ça peut être des termes des fois où on a du mal à productiser. On a du mal peut-être à imaginer les choses dans les faits. Et c'est top que tu aies pu montrer ça. Selon toi, quand est-ce qu'il faut commencer à structurer son business ?

  • Speaker #0

    et à être sympa ouais il y a plusieurs choses le plus tôt est forcément le mieux parce que le plus tôt tu vas pouvoir capitaliser sur cette structure pour délivrer plus de clients pouvoir recruter des personnes sur de bonnes bases toi pouvoir optimiser la manière dont tu travailles mais maintenant c'est toujours une question de budget pour payer des gens qui vont mettre ça en place ça coûte de l'argent donc il faut avoir le cash pour y remédier enfin y subvenir plutôt donc euh là où tu en as, c'est surtout là où tu n'en as pas besoin jusqu'à 10k par mois en vrai c'est pas obligatoire à partir de 10k par mois ça devient quand même un must have parce que la compétition que tu as en face est préparée à ça et toi tu l'as pas tu vois si personne n'a rien sur le marché c'est pas dramatique si toi tu l'as pas, par contre plus les personnes et les concurrents ont ce que toi tu n'as pas plus ça devient problématique donc à partir de 10k par mois tu commences à avoir une petite compétition qui se crée et il faut quand même être compétitif là dedans donc ce que je recommande maintenant Il y a des personnes qui se lancent dans un business qui en ont déjà eu avant, qui comprennent l'importance, qui vont le faire le plus rapidement possible parce que du coup, ils n'auront pas de dépendance par le futur. Beaucoup de personnes qui disent « je le ferai quand je le devrais » . Si par exemple, elles ont 10 clients, elles ne sont pas débordées, elles disent « je vais me restructurer quand j'aurai 30 clients que j'aurai percés » . Sauf que quand tu auras 30 clients, tu auras 30 prestat à délivrer, tu auras une équipe de 5 personnes à gérer, tu auras tout sauf le temps de te structurer. Donc ouais, le palier à partir duquel il faut commencer à vraiment y réfléchir sérieusement, c'est 10K par mois. Sauf si tu as déjà un business et que tu peux le faire le plus tôt possible parce que tu as du cash, tu vois.

  • Speaker #1

    Ouais, complètement. C'est vrai que des fois, tu sais, il vaut mieux reculer pour mieux sauter. Parce que comme tu l'as dit, quand tu te retrouves avec 30 prestas à délivrer en même temps, en réalité, ça revient à mettre de la poussière sous le tapis en attendant de faire le grand ménage, quoi. Et ça peut ralentir aussi ta progression. Donc des fois... Peut-être maintenir l'activité, restructurer ton agence pour pouvoir accueillir plus de volume par la suite. Et donc du coup, scale encore plus fort. Donc, ouais, ouais.

  • Speaker #0

    La ligne de croissance d'une agence, il y en a pour qui c'est comme ça rarement, mais dans tous les cas, elle est croissante. Après, ce ne sera pas linéaire. Tu auras toujours un pic. Tu auras une phase de descente, de stagnation. Tu comprends ce qui permet de passer au next step. Tu le mets en place. Donc, tu vas descendre parce que tu bosseras un petit peu moins. et d'un seul coup tu exploses au palier suivant. Je connais très peu de mecs qui ont eu une croissance linéaire. C'est vraiment des gros pics, des gros pics, des gros pics. Ouais,

  • Speaker #1

    complètement. Je suis d'accord avec ça. Complètement, complètement. Est-ce que tu veux peut-être parler un petit peu plus de ta nouvelle offre ? C'est vrai que ça peut être intéressant de la mettre en avant et d'en parler un petit peu.

  • Speaker #0

    Globalement, c'est la synthèse de tout ce qu'on a fait depuis six mois. On a fait de l'onboarding, on a fait de l'automatisation, j'ai dû conseiller des clients sur comment productiser leur offre. Et comme je le disais, pour passer de 80 à 150, 200 cas par mois, il faut avoir beaucoup plus de volume, et en done for, ce n'est pas possible. Du coup, on a créé un SaaS en marque blanche que tout le monde peut s'approprier pour avoir sa cell structure, sa délivrabilité structure, la gestion de son équipe, etc. Recruter des gens, tout gérer dans l'activité. On a créé un onboarding que chacun va pouvoir personnaliser selon ses besoins. On a créé une automatisation durant tout le parcours client. Une fois que le mec qui bossera avec nous, par une vidéo, il aura optimisé son parcours de délivrabilité. Il pourra travailler sur les automatisations associées. Il les aura, il les duplique et il change juste les messages. On a placé aussi plus d'une cinquante de SOP qui sont issus de tout ce qu'on a créé pour nos clients sur les mois passés. On a créé une cinquantaine d'automatisations. dans toute la gestion day to day de l'activité. On a placé 2-3 calls de coaching aussi sur l'optimisation de l'offre. On en parlait en offre sur comment voir une offre et vraiment pouvoir la scaler, comment la présenter correctement au marché. Il faut forcément le prendre, c'est les bases. Donc on a mis un call de coaching sur l'offre, un call de coaching sur l'optimisation du parcours de délivrabilité, un call à la fin de questions plutôt général. Et entre-temps, il peut reprendre l'ensemble de sa structure, l'ensemble des automatisations, les process. Et derrière, avoir une inforab pour aller chercher... 800 AM par an pour l'année qui arrive.

  • Speaker #1

    Ok super intéressant. Dans l'idée tu aimerais arrêter complètement le done for you du coup ?

  • Speaker #0

    Ouais ouais ouais après on il y a quand même deux trois trucs sur lesquels on travaille pour le client tu vois quand il fait son onboarding on doit forcément passer derrière pour le vérifier et lui dire voilà on va revoir deux trois bugs on s'assure que c'est bon pour toi donc il y aura des choses qu'on fera évidemment pour le client mais oui travailler à 100% pour le client même c'est un modèle qui est cool que moi je trouvais cool au début parce que je me disais mais il y a personne au final qui fait du done for us sur le marché qui est vraiment dedicated pour le client et j'ai compris pourquoi c'est parce qu'en fait quand tu bosses vraiment que toi pour le client surtout dans du service le client il te considère pas enfin il te prend vraiment comme son esclave tu vois c'est vraiment alors pas avec tous les clients tu vois nous on a travaillé ensemble ça n'a pas été le cas mais Il y a des mecs qui abusent fois mille de ce que tu dois faire pour eux. Ah, tu pourrais me faire ci, tu pourrais me faire ça, il faut faire ci, il faut faire ça. Mais sans fin, tu vois.

  • Speaker #1

    Ouais, je peux comprendre.

  • Speaker #0

    Parce qu'eux aussi n'ont pas idée de ce que ça représente de devoir créer ce que c'est, tu vois. Une automatisation ou configurer un artable, tu vois. Ça fait deux mois que je suis dessus, entre une et deux heures par jour, sauf sur les deux semaines dernières où j'ai bossé dix heures par jour. pour pouvoir arriver à quelque chose de parfait tu vois ça prend pas 5 minutes et les gens peuvent pas le voir parce que du coup c'est pas leur métier

  • Speaker #1

    L'importance de bien définir quand c'est down tu vois quand c'est délivré à 100%

  • Speaker #0

    Exactement avoir des cahiers des charges c'est au début je le faisais pas à la fin j'ai du le faire

  • Speaker #1

    Ok ok ça marche bien, en tout cas merci beaucoup Lucas pour toute la valeur que tu as pu partager. Où est-ce qu'on peut te retrouver ? Peut-être si tu as des réseaux, des liens que tu aimerais partager ou quoi ? Le moment de faire ta petite pub et puis...

  • Speaker #0

    J'ai majoritairement ma chaîne YouTube, Lucas Perrin, que vous pouvez trouver. Il y a toutes les vidéos sur les systèmes, sur le workflow d'agence, sur les structures d'agence, sur les automatisations. Tout le monde pourra prendre un max d'infos pour commencer à se structurer dès ce soir. gratuitement.

  • Speaker #1

    Ça marche. En tout cas, merci Boss pour la valeur que tu as pu partager. Je pense que ça va parler à beaucoup de monde et aider beaucoup de personnes. Et puis, en tout cas, merci pour le temps. Et puis, on se dit à la prochaine pour un prochain épisode, les amis.

  • Speaker #0

    Ciao, ciao, Evan.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup, Lucas. Ciao.

Description

Dans ce 2ème épisode de SKALE PODCAST, nous accueillons Lucas Perrin , leader de l'onboarding, de structuration de business et d'agences. Lucas va nous dévoiler les secrets pour sortir de l'opérationnel et processiser son business. Bon visionnage !


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Transcription

  • Speaker #0

    Ça te permet d'aller vite, de comprendre comment marche le monde. Tu as beaucoup de pression, tu n'as pas le choix. Et après, quand tu dépasses ces palais-là, je pense que c'est mieux de se retrouver ailleurs. Si tu as plus besoin, tu travailles moins. Le plus tôt est forcément le mieux, parce que le plus tôt, tu vas pouvoir capitaliser sur ta structure pour te livrer plus de clients, tu vas pouvoir optimiser la manière dont tu travailles. Si personne n'a rien sur le marché, ce n'est pas dramatique, soit tu ne l'as pas. Quand il a payé ou signé ton devis, il faut que tu sois directement redirigé vers une plateforme sur laquelle tu vas centraliser ta relation avec lui. L'expérience client c'est essentiel pour augmenter la LDV de ton client, lier vraiment la pérennité de ton activité. Aussi pour augmenter ton acquisition indirecte par le bouche-à-oreille. Donc à la fois pour le court terme, à la fois pour le long terme, c'est essentiel. T'as beau avoir un service de fonds, si derrière le client il n'est pas content, il peut te demander un refund. Le principe il est très simple, maintenant dans la réalité c'est très compliqué à mettre en place pour vraiment atteindre un niveau. Et ça, ça passe par les process qui vont tout le temps être les mêmes, par cadrer les prestations que tu as. opérationnel de délivrabilité choisir ses clients avoir une seule presse à et pas 50 bien connaître aussi ce que tu vends tu vois yes what's up bro comment ça va lucas ça va et toi la forme bon merci beaucoup d'être présent aujourd'hui avec avec nous donc le

  • Speaker #1

    deuxième invité aujourd'hui sur ce podcast ça fait vraiment plaisir de pouvoir ta voir on a tous envie de savoir voilà qui est le leader de de l'onboarding de la structuration de de business, d'agence, etc. Est-ce que tu peux peut-être te présenter en quelques mots, nous dire qui tu es, quel parcours, ce que tu fais ?

  • Speaker #0

    Ouais, avec plaisir. Je m'appelle Lucas Perrin, j'habite à Dubaï. J'ai commencé il y a pas mal de temps. Il y avait des TikTok à l'époque qui expliquaient mon parcours et ce par quoi j'étais passé. Mais j'ai commencé quand j'avais 15 ans par tous les petits trucs que tout le monde a globalement fait. Je suis né dans un village, un très petit village, des petits villages de campagne que personne ne connaît. Il y a 200 mecs. C'est le côté storytelling, mais en vrai, c'est la vérité. J'ai commencé par du sport. J'ai fait sport et études foot. Je suis arrivé en STMG. L'école, ce n'était pas trop fait pour moi. Un peu comme tout le monde, globalement, qui a lancé son business. Et puis après, je suis arrivé à Paris pour faire une école de commerce. En parallèle, je montais plein de petits trucs. Toujours un petit peu plus ambitieux. Au début, c'était la petite marque. Puis après, c'était la petite marketplace, les sites internet. J'ai même fait de l'e-commerce pendant quelques semaines. A 17 ans, je voulais monter une... Ça, c'était la première chose qui a été un peu grosse, même si ça n'a pas abouti. Je voulais faire de l'import-export de caisses accidentées. Je ne sais pas si tu connais, mais il y a un truc aux Etats-Unis qui s'appelle les assurances de personnes très très jeunes, qui viennent d'avoir leur jeune permis, qui sont spécialisés là-dedans, parce qu'il y a des gros risques. Quand les mecs achètent des grosses caisses et qu'ils se plantent parce qu'ils ne savent pas conduire, derrière les caisses elles sont revendues aux enchères tu vois et tout le monde dans le monde peut les acheter du coup je voulais racheter des voitures les réparer en france les mettre en location etc à 17 ans lever des fonds c'est un peu compliqué et voilà j'ai testé plein plein de trucs pour comprendre un peu comment marcher comment marcher les choses j'ai monté un genre d'incubateur pour pour aider un peu les jeunes à monter leur premier business puis après au bout d'un an et demi je suis plus allé du côté b2b pour bosser dans la structuration, l'organisation des cabinets de conseil corporate avec les techniques organisationnelles des business à cash flow un peu comme nous tous, ce qui est quand même deux mondes complètement différents. Et on a fait ça pendant un an, on a bossé avec des très beaux acteurs, des gros cabinets de conseil, et après le corporate ça m'a saoulé, donc je suis revenu dans le monde du cash flow et j'ai appliqué cette fois-ci tout ce que je savais du monde corporate et dans la structuration qu'on avait faite pour les petites agences comme nous. ce que je continue depuis six mois là actuellement.

  • Speaker #1

    Ok, écoute, congrats, tu as commencé assez tôt, 15 ans, c'est vrai que tu as commencé assez tôt. Ça t'est venu comment ? Tu as eu un déclic ou un truc comme ça ? Je ne sais pas,

  • Speaker #0

    en vrai, ça allait très très progressivement. Au début, je voulais juste, je ne sais pas, m'acheter ce que je voulais, tu vois, classique. Donc je suis allé faire les champs de maïs, je suis allé faire les campings pour nettoyer les toilettes et tout. Et à un moment donné, j'ai mis toute la paye que j'avais eue en deux mois dans un Mac. J'ai commencé à voir que je pouvais vendre des services en ligne. Du coup, j'ai testé deux, trois trucs. Vendre des sites, vendre des logos. Bon, j'avais 15, 16 ans, donc ce n'était pas fameux. Et après, en fait, ça s'est fait progressivement. Toujours essayer de faire un truc différent, un peu plus gros, avec un peu plus de visibilité. Et après, ce qui a un peu tout propulsé, ça a été TikTok. J'ai fait, quand j'avais un incubateur, ça s'appelait enterprendre.com. j'ai fait des TikTok, en fait c'est parti viral extrêmement vite et ça a permis d'avoir une grosse visibilité et de pouvoir lancer des trucs un peu plus sérieux et tout donc en vrai pas forcément de déclic de mon côté mais plutôt un truc progressif qui après fait que Tu l'as en toi en vrai le coup d'entreprendre, que du coup ça s'est plus révélé.

  • Speaker #1

    Ok, ok. Eh bien écoute, complètement suite progressive, suite logique. École de commerce également, ça a été avec les parents la transition, parce que du coup ça coûte assez cher une école de commerce. Quand tu t'as dit écoute, papa, maman, j'arrête l'école de commerce pour lancer mes propres bises, ça n'a pas été trop compliqué la transition ?

  • Speaker #0

    Sacrée période. En fait si tu veux... L'école de commerce, j'avais pris un prêt à mon nom pour la payer. Je me suis arrêté au bout de trois mois, mais j'avais quand même la première année qui était partie. Il y avait genre 13 000 euros qui étaient partis en fumée. Donc oui, du côté parents, même si ce n'était pas eux qui payaient, c'était un peu chiant. Mais il y a deux choses qui ont joué entre guillemets en ma faveur. Un, le fait que j'étais très loin, parce que le village dans lequel je suis, c'est à côté d'Avignon. Donc c'est vraiment dans le sud de la France. C'est très très loin. Pour aller à Paris, il faut 6 heures. C'est chiant. Donc le fait d'être pas à proximité, ça fait que t'as moins quand même de contact à la réalité, tu vois. Deuxième chose, j'avais déjà un business qui tournait, je faisais quelques milliers d'euros à 18 ans, tu vois, voire 10, 12 cas par mois, donc j'avais un peu une situation qui me permettait de pouvoir prendre ce risque-là. Et après, en parallèle, j'avais ma mère qui avait des petits soucis de santé, en fait, elle était pas très aware de ce qui passait, donc en fait, ils sont pas rendus compte vraiment que j'ai quitté l'école, genre ça s'est fait... rapidement et progressivement mais ils n'ont pas vu venir quoi. Donc après ouais c'est plus parce que tu vois j'ai je suis arrivé quoi fin août j'étais à l'école Novembre je quitte mars je crois je pars à Dubaï pour m'installer à 18 ans ça ça a été plus le choc tu vois partir à l'autre bout du monde

  • Speaker #1

    T'en as combien aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Là je préfère pas donner mon âge en vrai.

  • Speaker #1

    Ah ok ok ok.

  • Speaker #0

    C'est à cause de ma portée de préjudice.

  • Speaker #1

    Faites souci, ça marche. Ok, ok, ouais, 8 ans à Dubaï,

  • Speaker #0

    c'est beau, belle transition. Après, tu as de plus en plus de mecs qui ont des états qui viennent à Dubaï pour tester. Je suis reparti assez vite, je suis resté 6 mois, après je suis reparti parce que c'était trop cher. Je suis revenu en France et après ça est parti dans d'autres échelles. Parce que même quand tu fais 30 000 euros par mois de chiffre d'affaires, mec, la vie à Dubaï, ça coûte tellement cher que tu ne mets pas de côté ou c'est compliqué de te créer un vrai patrimoine ou quoi que ce soit. Donc je suis rentré en France, après je suis revenu quand je pouvais.

  • Speaker #1

    Ça peut être intéressant. C'est vrai que ça arrive à beaucoup de monde, ça, des personnes qui y vont, qui y reviennent. Tu vois, même moi, ça m'est arrivé, janvier 2021, j'y suis resté trois mois, je suis reparti. Et pour toi, il faut combien, on va dire, en moyenne, pour pouvoir vivre à Dubaï, pour pouvoir envisager de s'expatrier à Dubaï ? Pour faire combien pour toi ?

  • Speaker #0

    Bah mec, c'est simple, mon loyer c'est 5000 euros. Rien que la nourriture... tous les jours tu te fais livrer ton apport minimum 2000 euros en plus chaque mois tu comptes les services annexes les sorties tu prends une heure de tennis et 450 dirhams 120 euros donc en fait tu as tout qui est super cher au final tu t'en sors avec 10 12 cas spend en perso en perso donc si tu as ta boîte en france faut que tu te verses les salaires qu'il faut pour estimer ça c'est encore plus compliqué donc ça dépend si tu as ta boîte ici en dessous de je te dis On va parler en profit, en dessous de 20-25K de profit, ça n'a aucune utilité de venir ici parce que tu ne pourras pas mettre assez de côté. Et après en France, je ne vais pas les ordiner, mais il faut au moins avoir 20K qui rentrent en perso tous les mois.

  • Speaker #1

    Donc toi tu es plus de la team d'avoir une réserve de côté plutôt que de partir à l'aventure. Et de, comment dire, c'est pas que ça passe ou ça casse mais... Moi, je suis un peu partisan du truc où je vois ça, tu vois, Sexpatria Dubaï comme un investissement dans le sens où tu arrives, ce n'est pas la même énergie, tu es entouré de personnes qui font 10, 15 fois, 100 fois plus que toi. Et forcément, ça te met dans une énergie où tu fais plus d'argent, même si tu en dépenses plus.

  • Speaker #0

    Ouais, après, plus le temps passe et moins c'est le cas. C'est-à-dire que là, moi, Dubaï, ça commence à me saouler parce que... justement il y a trop de mecs qui viennent avec zéro et qui un qui viennent avec zéro c'est cool tu vois je trouve qu'ils ont le courage mais deux qui mentent du coup sur ce qu'ils font vraiment des postes linkedin à Dubaï ouais j'ai 17 ans je viens de m'exprimer à Dubaï je fais 100 000 euros par mois je suis millionnaire alors que le mec tu vois il a genre 1000 euros sur son compte et il est dans le fake it until you make it mais fois mille donc en fait Dubaï ça se remplit de plus en plus de plus en plus de plus en plus de personnes comme ça qui fait qu'au final bah tu trouves pas forcément dans ce que tu veux atteindre après battal côté caché dubaï ou latawi tu as les vrais vrais gros noms et les personnes que tu connais même pas qui sont milliardaires mais t'es pas forcément avec eux parce que t'es pas non plus à ce niveau là donc en fait c'est tu te retrouves au final avec tes potes juste à l'autre bout du monde tu vois Dans une ville qui coûte très cher. Donc autant être ailleurs.

  • Speaker #1

    Ok, ok, ok, je vois ce que tu veux dire. Et toi, du coup, tu fais pas mal d'allers-retours avec la Géorgie. C'est vrai que ça c'est... Comment dire, je connais pas énormément de monde qui sont là-bas. C'est...

  • Speaker #0

    Bah j'y suis allé qu'une fois, en vrai.

  • Speaker #1

    Ah, tu y as été qu'une fois.

  • Speaker #0

    Ouais, j'y suis allé qu'une fois, donc Géorgie c'est pas trop mon... J'adore le pays, je suis vraiment amoureux du pays, mais j'y vais pas souvent, non. J'ai plus mon ami Louiski qui, lui, a ses bureaux, son équipe là-bas, sa vie là-bas. mais sinon je reste beaucoup ici quand même.

  • Speaker #1

    Ok, et du coup tu envisages de bouger quelque part peut-être ?

  • Speaker #0

    Ouais, bah Dubaï en fait c'est plus une passerelle, tu vois, comme tu le disais. Je pense pas que c'est la passerelle entre le 0 et le 1, je pense plus que c'est la passerelle entre, allez, on va dire, 40 000 euros par mois et 150 000 euros par mois, tu vois, t'es bien ici, ça te permet d'aller vite, de comprendre comment marche le monde, t'as beaucoup de pression, t'as pas le choix. Et après, quand tu dépasses ces palais-là, je pense que c'est mieux de se retrouver ailleurs, parce que tu as plus besoin, tu travailles moins, donc tu as plus besoin de te retrouver avec toi-même, plus besoin d'avoir ta vraie routine et tout, que d'être dans une ville où c'est que argent, argent, argent, et tout le temps, quoi, tu vois. C'est plus trop l'objectif.

  • Speaker #1

    Ok, ok, ok. Bon, après, c'est vrai que c'est les goûts et les couleurs. Il y a beaucoup d'avis divergents, mais ok, complètement, je vois ce que tu veux dire. Est-ce que tu peux nous dire un petit peu plus en détail ce que tu fais ? C'est vrai que nous, on a eu la chance de pouvoir faire l'onboarding avec toi. Est-ce que tu pourrais nous en dire un petit peu plus ? Qui est-ce que tu aides et ce que tu fais exactement de A à Z ? Oui.

  • Speaker #0

    Alors, on a lancé l'agence pour les agences, enfin, c'est loué, lancé sur le marché pour les agences, on va dire à cashflow, entre les agences 5 et 80 000 euros par mois. de CA en juin. Au début on est arrivé sur le marché on faisait que des onboarding clients donc les gens n'avaient pas l'habitude il y en avait la plupart qui ne savaient même pas ce qu'était un onboarding client tu vois donc ça a fait un petit choc ce qui nous a permis de partir très très rapidement je crois que le premier mois on a fait 25, le deuxième on a fait 40, le troisième on a fait 60 donc ça y est très très vite quand on était voilà deux mois et demi trois mois on s'est rendu compte que les gens n'avaient pas uniquement besoin d'avoir un onboarding client automatisé mais d'avoir toutes leurs activités automatisées, tu vois, c'était ce que le marché nous demandait, et à ce moment-là on avait bossé avec je pense à peu près 50-60 agences, donc on avait quand même un bon sample. Là on s'est mis à automatiser tout le parcours client des agences, c'est-à-dire de l'onboarding jusqu'à l'offboarding, jusqu'à la livraison des services, de manière à ce que l'entrepreneur n'ait plus rien à gérer, sa team soit coordonnée pour lui, la relation client soit gérée pour lui, la gestion des projets soit gérée pour lui, tout en automatique. Et là depuis septembre, ça fait quatre mois, on est en novembre, on rentre en décembre, on observe de plus en plus de choses, on a 150 clients, donc on observe de plus en plus l'évolution de ce qu'ont vraiment besoin les gens. Parce que tu sais, tu as ce que les gens demandent et ce que les gens ont vraiment besoin. Tout le monde veut l'automatisation, ça fait kiffer, tu ne bosses plus et tout, mais les gens le font trop pour les mauvaises raisons et pas au bon moment. Donc en fait, on s'est rendu compte que ce que les gens avaient besoin avant d'automatiser leur business, c'était vraiment l'organiser et le structurer. Savoir exactement comment le parcours de délivrabilité va être construit, qu'il y ait des process qui régissent ce parcours de délivrabilité pour que ce soit vraiment la même chose tout le temps. Consister à exactement quoi dire, à quel client, à quel moment, avec quelles informations, par quelle personne, en suivant quel tram, etc. D'avoir une infrastructure outil qui permet d'héberger tout ça de manière vraiment stricte, rigide et cadrée. Et tout ça fait que du coup, on est en train de totalement basculer ce qu'on faisait auparavant en Done For You, donc les automatisations, en un programme complet de restructuration de son agence. Donc de vraiment build l'infrastructure complète en délivrabilité, opérationnelle, en automatisation, pour pouvoir aller chercher un M par an de CA facile à délivrer avec son activité. Et donc du coup, ce qu'on a fait au lieu d'être en Done For You, parce que tu plafonnes quand même pas mal en Done For You, J'ai pas envie d'avoir une équipe de 20 personnes, ça m'intéresse pas, tu vois. Et 3-4, ça me suffit largement. Et on bloquait à 70-80 cas par mois pour 20 clients et 4 personnes, tu vois, full time. Donc, c'est bien, t'es content, mais t'as quand même envie d'aller plus loin. Et donc là, ce qu'on a fait, c'est qu'on a vraiment build pendant plusieurs mois tout ce qu'on avait fait. Tu vois, l'onboarding client, on a fait un framework. L'automatisation de toute l'activité, on en a fait un framework, on a construit plus d'une cinquantaine de SOPI et plus d'une cinquantaine d'automatisations. On a construit un SaaS complet pour gérer ton activité, ta sales structure, ta deliverability structure, ta staffing structure, tout. Et on va le release à tous ceux qui ont besoin de cette structure pour aller chercher un M par an. Donc ce sera du plugin.

  • Speaker #1

    Donc là, tu es en train de transiter sur une offre plutôt hybride. Avant, tu étais en full done for you, tu faisais tout pour tes clients. Là, tu as créé vraiment toute une infrastructure où les gens vont pouvoir, entre guillemets, la templétariser. Et donc, du coup, même la comprendre et se l'approprier de manière autonome. Ce qui va rendre ton activité beaucoup plus scalable.

  • Speaker #0

    C'est ça, tu vois. Le rapport au temps que tu as avec ton client est cadré, est défini, il ne change pas. C'est-à-dire que quand tu es du done for you, les besoins de ton client varient, ses demandes varient, les retakes varient. Donc tu peux dire, voilà, un client prend 10 heures, au final, il t'en prend 30. Et quand tu as déjà build quelque chose que tu vas relâcher à ton client et que lui le personnalise pour lui, tu vois, tu es quand même là pour l'accompagner, tu fais des calls, mais tu sais que tu as 4 calls d'une heure, ça te fait 4 heures ton client, pas plus, tiens. Lui, il le fait à son rythme. Il gère aussi les problèmes que lui a parce que quand tu fais l'automatisation et que tu gères ça pour le client, tu as les aléas du client. Il a copié-collé le mauvais truc, il a pas suivi dans l'ordre, etc. Après, il vient te voir. Ouais, il y a un problème dans mon process. J'ai bien vu. Du coup, de plus responsabiliser les gens et de le permettre de le faire en beaucoup plus de volume sans être une formation non plus parce que ça, ça m'intéresse pas.

  • Speaker #1

    Complètement, Donc là aujourd'hui, tu as une team de combien de personnes toi ? Et si on devait les citer, tu travailles avec des développeurs ? Avec quel type d'experts aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Trois personnes, moi, et deux opérateurs. Un qui avant avait une activité freelance en automatisation, et qui du coup est OR et en capacité de pouvoir faire n'importe quel automne. Et un ancien dev, qui a d'ailleurs travaillé sur notre SaaS, qui lui s'occupe plus côté CSM, conseil client, ce truc.

  • Speaker #1

    organisation tu vois le côté très cadré des devs pour un luxe ok ok ok super intéressant et du coup comment tu as attiré à toi du coup par exemple des players vraiment des acteurs qui sont le battement de coeur de ton business du coup comment tu vas les sources et c'est player du coup le

  • Speaker #0

    tout c'est d'avoir un funnel de recrutement qui soit vraiment vraiment cadré ça tu vois j'ai fait un Ça fait du coup trois ans que je recrute et que je bosse avec des gens. En tout, j'ai dû bosser avec une cinquantaine de personnes, j'ai dû faire je ne sais pas combien d'entretiens, 500, 600 candidats qui postulent à chaque fois, tu vois. Et donc à terme, tu arrives à quand même construire ta propre méthode de recrutement, tu vois. Et donc ouais, j'ai réussi à construire un bon funnel pour aller tester assez de volume, donc tester 500, 600 personnes à chaque fois, le faire de manière automatique pour ne pas y passer de temps. Les sensibiliser sur qui je suis, quelle est mon expérience, quel est mon parcours, qu'est-ce que l'agence, donc un peu de personal branding quand même pour créer ce pilier là qui attire les gens. Les former pendant le process de recrutement pour qu'ils puissent un maximum être, comment dire, pas forcément formés parce que j'attends pas des mecs qui soient déjà formés à chaque fois que je recrute, mais des personnes qui soient assez aware de ce qu'on va faire, qui puissent déjà s'y intéresser. et se renseigner à la veille de passer les mises en situation sur YouTube ou quoi que ce soit sur qu'est-ce que sont les métiers et de pouvoir un minimum l'apprendre. Donc ça, ça se fait par trois choses, des formulaires, récupérer en volume toutes les réponses, tu vois. Un formulaire où on va aller faire la segmentation des profils des personnes, un formulaire où on va aller faire une mise en situation. Comme ça, tu vois, tu as 600 réponses à chaque fois, tu peux tout automatiser pour traiter même avec GPT, tu vois. tu as tout ta staffing structure qui permet de gérer les candidatures donc tu as un grand tableau cambans où j'ai tous les candidats à quels étapes ils sont, une note sur 20 en fonction de ce que moi je recherche fait par GPT et ce que la personne m'a mis comme réponse tu vois. J'ai une VA qui va aller checker toutes les réponses pour organiser les calls avec les personnes les plus pertinentes et donc en fait en 15 jours tu passes de tu as des marchés soit par des ads soit par un funnel où ads web formulaire soit par fiverr upwork, math, linkedin tu démarches les gens tu trouves de 600 personnes contactées à

  • Speaker #1

    5 calls tu vois mais c'est 5 calls extrêmement qualifiés et du coup à la fin on t'en recrute un ou deux tu vois et t'en as d'autres que tu peux garder en base de données au cas ou quoi c'est vrai qu'en fait c'est vrai qu'on prend un petit peu de recul pour sourcer des players c'est un petit peu les mêmes systèmes d'acquisition pour aller chercher des clients en fait peut être boosté en ads tu peux prospecter faire de l'outreach pour pour aller chercher les meilleurs. Donc, ouais, complètement.

  • Speaker #0

    Et c'est plus toi qui dois te vendre pour que le mec vienne que le mec, tu vois, doit se vendre pour être recruté. Quand le mec est vraiment bon, il sait se faire, comment dire, désirer, quoi.

  • Speaker #1

    Ouais, c'est toi qui dois le closer, quoi. C'est sûr. C'est sûr, c'est sûr, c'est sûr. Ok, bah écoute, super intéressant de ce côté-là. Aujourd'hui, est-ce que toi, tu parles un peu chiffres, juste pour que les gens se rendent compte aussi de où tu en es, toi, dans ton parcours ? parcours, etc. Est-ce que tu partages un petit peu des chiffres ou pas du tout ?

  • Speaker #0

    Ouais. Non, mais du coup, je disais, c'est ce qui fait à peu près 5 clients par semaine, un client du lundi au vendredi que tu vas réaliser en done for you, donc un bon turnover. On a mis un pricing qui était assez attractif sur nos anciennes prestations, on tournait globalement entre 3 500 et 6 000.

  • Speaker #1

    et voilà quoi ok ok ça marche écoute on va pouvoir rentrer un petit peu plus dans la vision micro juste après je voulais te poser une question avant selon toi comment devenir le numéro 1 sur son marché, comment se démarquer de sa concurrence parce que c'est vrai que tu vois même on l'a vu avec ton modèle d'affaires, t'as changé plusieurs fois d'offres ton offre a évolué et c'est quelque chose de très positif et en très peu de temps Donc forcément tu as su t'adapter, je pense un peu comme un caméléon, à ce que voulaient tes clients, à ce que demandait le marché. Donc ouais, si tu avais un feedback à faire, d'après ton expérience, est-ce que tu as pu du coup appliquer toi dans ton business ? Comment devenir, en fait avoir une offre qui se démarque de la concurrence et devenir le numéro 1 de son marché ?

  • Speaker #0

    Ouais, après, bon j'ai pas la prétention de dire qu'on est numéro 1 non plus, c'est vrai qu'il y a... personne qui fait de la structuration, mais en termes d'échelle, tu vois, 80 cas par mois, c'est pas c'est pas oufissime. Mais sinon, surtout d'un point de vue visibilité, ce qui te permet de prendre beaucoup, beaucoup d'un coup, c'est juste d'être à la pointe des informations et des produits que tu partages à ton client. Ce qui a fait que moi, j'ai changé d'offre beaucoup de fois, c'est pas le fait que ça marchait pas, mais c'est le fait que ça allait marcher plus. Donc ça va plus apporter, tu vois. J'aurais plus de stabilité, j'aurais fait un peu plus de chiffre d'affaires si peut-être j'étais resté sur les onboarding, que j'avais vendu que des onboarding, que j'avais augmenté le prix à 2K l'onboarding, tu vois. Bon, cool, moi c'est pas ce qui m'intéresse. Ce qui m'intéresse, c'est vraiment, là tu vois, on monte un SaaS dans notre prestat qui est no code. En parallèle, on dévore un SaaS qui est codé. Et dans un an, on va release un software qui va être valorisable, qui va aller conclure un certable, tu vois. Donc en fait, le but, c'est de commencer petit. sur un truc très très simple qui n'a jamais été vraiment optimisé sur un marché. On parlait de sales structure tout à l'heure. Aujourd'hui, tu n'as personne qui propose sales structure. Tu en auras peut-être avec ce podcast qu'ils le feront, même si nous, du coup, on l'a implémenté. Mais tu prends un truc très très simple qui n'a pas été optimisé. Tu essaies de le pousser un maximum dans ce que tu peux faire d'un point de vue tech. Tu le proposes sur le marché, tu fais un petit peu de contenu. Si ton produit est excellent, les gens parleront de toi. Nous, le premier mois, on n'a pas fait d'acquisition. Ça a été juste du bouche-à-oreille. On a eu 20 clients, donc c'était très cool. Et puis après, c'est toujours écouter, enfin vraiment, pas forcément écouter, mais vraiment comprendre quel est le réel besoin de ton client et moduler ton offre, moduler ton produit. En général, les gens, pourquoi est-ce qu'ils ne changent pas d'offre ? C'est parce que du coup, ils ont cette linéarité. Ils préfèrent toujours faire 30K par mois toute l'année que faire 30K, 40K, 50K, 10K, 5K, tu vois, parce qu'ils changent d'offre. Moi, ça ne m'a jamais fait peur, je m'en fous complètement. Et voilà, toujours aller plus loin dans la tech. se rapprocher de la vision finale si tu la définis. Et tout ça fait que du coup, au final, ton produit, il est quand même bon. Et ça, les gens, ils le communiquent, ils le partagent. Et tu as beaucoup de bouche-oreille et ça va très vite.

  • Speaker #1

    Ouais, complètement. Je te rejoins beaucoup là-dessus. C'est quoi déjà la phrase ? Tu vas peut-être pouvoir m'aider. Je trouve que ça résume exactement ce que tu dis. Et le syndrome qu'ont la plupart des gens aussi. Des fois, les gens, ils savent qu'il y a un truc à améliorer, mais ils continuent de... C'est quoi la phrase d'Einstein ? La folie, c'est de répéter les mêmes choses.

  • Speaker #0

    Oui, en attendant un résultat différent.

  • Speaker #1

    Voilà, c'est ça exactement. Et ça, je pense que c'est le problème de beaucoup de personnes. Ils ont conscience qu'il y a un problème, mais ils ont soit la flemme de le changer, soit la peur de prendre des risques et de ne pas avoir la certitude qu'en changeant quelque chose, ça va améliorer ou faire évoluer ton business. Mais je pense que c'est l'une des principales problématiques aujourd'hui. s'adapter au marché, prendre des feedbacks et je pense que c'est vraiment la solution complètement.

  • Speaker #0

    De toute façon quand tu regardes le marché français t'as extrêmement de copycat et toutes les offres sont les mêmes tous les produits sont les mêmes les gens ils n'offrent pas forcément c'est drôle parce que les mecs qui font pas d'argent et qui sont à zéro et qui veulent lancer leur business ils cherchent à innover parce que sinon ils pensent qu'ils vendront pas et les mecs qui font de l'argent ils ne cherchent pas à innover parce que je

  • Speaker #1

    sais pas c'est un peu contradictoire Pour toi aujourd'hui, est-ce que tu pourrais peut-être nous partager les bénéfices d'avoir une bonne expérience client ? Et puis après, on va voir comment on va faire un playbook, on va faire une masterclass, voir comment on peut mettre ça un petit peu en place. Mais dans un premier temps, si on parle des bénéfices aujourd'hui d'avoir une bonne expérience client.

  • Speaker #0

    Si tu veux, ton client, quand tu vas le closer, donc imaginons que tu rentres sur un marché ou que tu es déjà sur un marché, le mec que tu vas closer, il te dit... Tu connais pas forcément, soit tu fais des ads, il t'a jamais vu, soit il te dépose sur une vidéo YouTube où il entend parler de toi. Quand tu vas le closer une première fois, tu vas le closer sur son niveau de confiance actuel, sur ce qui c'est toi, et les informations qu'il a eues, mais pas sur le travail que t'as déjà fait avec lui. Donc tu vas peut-être prendre par 1, 2, 3, 4, 5, 6 cas. Mais ça, c'est que... 10% de ce qu'il pourrait te payer tu vois dans un premier temps et ce que tu vas lui apporter par ta première prestat c'est 10% dans ce que tu peux lui apporter au final donc quand tu closes un mec pour la première fois le seul enjeu que tu as c'est avoir la meilleure impression la meilleure qualité pour que derrière il y ait une vraie relation avec lui et qu'il parte sur d'autres prestats donc l'expérience client c'est un essentiel pour augmenter la ldv de ton client ce qui est vraiment la pérennité de ton activité et deux aussi pour augmenter ta comment dire ton acquisition indirecte par le bouche-oreille. Tu vois, ce qu'on faisait dans notre onboarding, c'est que quand le mec était onboardé, à la fin, on lui envoyait directement un petit message. Quand il avait le pic de dopamine, parce qu'il avait eu toutes les interactions de l'onboarding, les vidéos, un message, etc. Quand il a le pic de dopamine dans l'onboarding, on lui envoie un message pour lui dire d'ailleurs qui est-ce que tu connais qui a une agence comme la tienne et qui aurait peut-être besoin de ce qu'on fait. On a une offre où on peut vous mettre tous les deux au prix d'un onboarding pour le prix d'eux. Enfin bref, tu te débrouilles mais... Dans ton expérience client, si ça se passe bien, il a de la dopamine et quand il a de la dopamine, il parlera à toi. Donc ça te permet d'avoir une acquisition extrêmement rapide. Tu n'as même pas délivré ta prestat, tu as déjà d'autres mecs. Donc à la fois pour le court terme, à la fois pour le long terme, c'est essentiel. Et puis, tu as beau avoir un service de fou, si derrière le client, il n'est pas content, il peut te demander un refund. Parce qu'il a eu peur, parce qu'il n'a pas senti le truc avec toi, il regrette, il refund. Donc, extrêmement important de créer un lien et de la confiance. Ça, ça passe par la relation avec l'expérience que tu as avec lui.

  • Speaker #1

    Ok, ok, ok. Donc là, première étape d'une bonne expérience client, l'onboarding. Quand le client achète chez toi, il y a des premières étapes pour délivrer tes services à ce fameux client. Pourquoi il a payé ? Quelles sont, selon toi, les étapes d'un bon onboarding client ?

  • Speaker #0

    Un onboarding client, le mec, il a la phase de closing, donc tu as l'appel avec lui. S'il paye ou qu'il signe un devis, donc l'acte de closer dans l'appel, tant mieux, tu l'unboards directement après. Quand il a payé ou signé ton devis, il faut qu'il soit directement redirigé vers derrière une plateforme sur laquelle tu vas centraliser ta relation avec lui. Il y en a certains qui le font par mail, plus pour les côtés corporate ou le BTP, etc. Slack, c'est ce qui est le mieux pour des niches beaucoup plus jeunes, tu vois. Si ton client a moins de 40 ans, tu le mets sur Slack, tu gères toute la relation avec lui. Sur Slack, derrière, il faut que tu aies le côté privé avec ce client-là, donc un canal privé qui est créé où tu gères toute la prestation. Un premier message de la team pour lui montrer qu'il y a quelqu'un derrière qui l'accueille et pas justement un bot. Même si c'est des automatisations, le mec ne le saura pas forcément. Nous, il le savait quand on les onboardait parce qu'on vendait ça, mais un mec qui onboarde quelqu'un, il reçoit un message une minute après, il ne se dit pas, tiens... C'est une automatisation. Donc lui envoyer un message pour humaniser la chose, l'accueillir. Lui envoyer une vidéo pour expliquer en détail comment ça va se passer. Lui envoyer la roadmap de comment tu vas travailler pour qu'il se projette sur les semaines à venir, sur ce qui va se passer. Le rassurer, extrêmement important. Donc ça, tu vois, nous ce qu'on met c'est un Google Drive, tu mets 2-3 testimonials dedans. Le mec il clique sur le premier, il voit ce que c'est, il voit qu'il y en a 2-3-4. Il ne regardera pas mais il sera rassuré, il se dira ok j'ai quand même pris la bonne décision. Tu lui envoies un contrat qui a été généré, qu'il va pouvoir signer selon son prénom et son nom. Le canal, il faut qu'il soit à son nom aussi, évidemment, ça tu le fais en l'automatisant. Tu lui envoies un formulaire pour qu'il puisse directement avoir un input de sa part. En fait, ce qui est important, c'est que le mec ne soit pas en latente de toi, mais que lui ait un mini investissement à mettre. Donc tu lui fais un formulaire dans lequel il va te poser toutes ses questions, il va répondre à toutes tes questions pour travailler. Dès qu'il l'a envoyé, il y a une automatisation qui va lui renvoyer un message pour lui dire merci on a bien reçu, tu peux lui envoyer le lien pour qu'il puisse booker son call, et après il sera dans l'attente d'un call mais il aura déjà donné des informations, donc il saura que tu travailleras dessus. Donc globalement un onboarding aujourd'hui c'est composé de ça, après c'est le côté front-end, donc le côté relationnel client, après tu as derrière tout l'enjeu back-end pour aller centraliser toutes les données que tu as récupérées du client, son adresse email, le contrat qui a été signé, les réponses du formulaire.

  • Speaker #1

    etc etc flouter ta fiche client ton pipeline enfin bref toute une structure derrière ça en fait des choses et donc du coup toi tu centrales tout ça sur sur Airtable aujourd'hui toi tu trouves il n'y a pas de concurrence à Airtable en termes d'outils pour ça ?

  • Speaker #0

    t'as de la concurrence parce que tu as plein d'outils qui te permettent d'avoir les features que fait Airtable mais surtout plein d'outils qui te permettent trop de choses tu vois C'est pour ça que moi j'ai envie d'aller concurrencer Airtable, même si aujourd'hui je l'utilise. C'est parce qu'aujourd'hui comment ça a été réfléchi ces outils ? C'est une boîte qui dit écoutez le marché, nous on a toutes ces features possibles, ça va vous permettre de faire ça, ça, ça, ça, débrouillez-vous, faites ce que vous voulez. Et au final tu vois donc tu as la plateforme qui met ses features, les users qui vont essayer de bidouiller un peu, qui vont faire tout et n'importe quoi et vont voir qu'il y a énormément de choses à faire comme avec Notion, que tu as forcément l'expérience de je fais plein de trucs, au final je suis perdu, je ne sais plus où sont mes datas. Et tu n'as pas d'entremetteur pour configurer le tout et vraiment faire en sorte qu'il y ait une structure cadrée. Et du coup, nous, c'est ce qu'on a fait avec Airtable en configurant complètement l'espace. Et c'est ce qu'on va faire avec un SaaS en disant, écoutez, nous, on sait ce dont vous avez besoin. On l'a construit, vous y accédez, vous l'utilisez, mais vous ne pouvez pas avoir le choix de ce que vous pouvez construire parce qu'il n'y a pas d'intérêt à faire ça, on sait ce dont vous avez besoin. Donc, Airtable, c'est ce qui est le plus simple, le plus intuitif, le plus rapide. et le plus connectable avec tous les outils externes.

  • Speaker #1

    Ok, ok, je vois. C'est vrai que les gens, je pense, sous-estiment l'importance d'avoir une bonne expérience client, dans le sens où même si tu parles de... même si tu es dans une optique de scaler ton business, de faire plus de CA, de toucher plus de personnes, etc., on dit tout le temps que c'est plus facile de revendre quelque chose à un client plutôt que d'aller en chercher de nouveau. Et aujourd'hui, quelqu'un qui a eu une bonne expérience chez toi, il va te prier de prendre son argent pour aller plus loin si tu as une proposition de valeur qui lui permet d'aller plus loin. Donc, complètement d'où l'importance d'avoir une bonne structuration de business, une bonne délivrabilité et un bon onboarding.

  • Speaker #0

    Tu as tous tes clients, je te coupe, mais pour appuyer sur ça, imagine que tu as ton Slack où tu as tous tes clients, tu as 100 clients dessus, tu lances un nouveau produit, une feature. quoi que ce soit, t'envoies un loom à chacun en one to one, le même loom à tout le monde, en leur disant voilà on vient de créer ça t'as déjà 20% des gens qui vont prendre ton offre t'as une offre par mille euros, 100 clients t'as fait 20k en une soirée, tout ça parce que t'as envoyé un loom

  • Speaker #1

    100 fois donc ouais ça peut aller très vite complètement je sais que tu parles beaucoup aussi de productisation, je sais pas si je dis bien le terme ... Est-ce que tu pourrais nous en dire un peu plus à ce sujet-là ? Comment vraiment créer des infrastructures dans son business ?

  • Speaker #0

    Si tu veux, la productisation, je ne sais pas si c'est un vrai terme ou pas, mais globalement, c'est juste faire en sorte que ton service devienne un produit. Donc, ce que tu crées normalement en done-for-you pour quelqu'un, tu puisses l'industrialiser, le faire à la chaîne, parce que la manière dont tu le fais a été processisée, automatisée, accélérée. de manière à ce que ça prenne beaucoup moins de temps, que tu puisses en faire beaucoup plus. Donc le principe, il est très simple. Maintenant, dans la réalité, c'est très compliqué à mettre en place pour vraiment atteindre un niveau. Et ça, ça passe par les process qui vont tout le temps être les mêmes, par cadrer les prestations que tu as, ton parcours opérationnel de délivrabilité, choisir tes clients, avoir une seule prestation et pas 50, bien connaître aussi ce que tu vends, tu vois. Tu ne peux pas te dire, je fais zéro de CA, le premier business que je vais lancer, je vais le productiser parce que tu ne sais pas comment tu vas pouvoir le faire tout le temps que tu es un sample de client. Mais ouais, industrialisation de qualité quand même.

  • Speaker #1

    Ouais, complètement. Écoute, regarde, ce que je te propose, c'est pourquoi pas qu'on mette des images sur des mots. Est-ce que peut-être en live, tu pourrais nous montrer peut-être un cas concret, un cas d'exemple pour que les gens se rendent compte parce que c'est vrai que ça fait beaucoup de temps. de termes compliqués, beaucoup de choses beaucoup de choses en fait concrètement, peut-être de nouvelles choses même pour des personnes qui nous écoutent et c'est vrai que de le voir en application, les gens pourraient se rendre compte je pense de l'importance et des bénéfices en fait vraiment, d'avoir une bonne structure de son business.

  • Speaker #0

    Alors je vais te montrer pour revenir sur ce que tu me dis, je vais te partager mon écran et te montrer le parcours opérationnel d'une agence d'ads

  • Speaker #1

    Allez let's go !

  • Speaker #0

    Comment est-ce qu'il faut réfléchir et cadrer la manière dont tu travailles ? Tu as deux choses à prévoir. La première, c'est quelles sont les grandes étapes qui régissent la manière dont je vais réaliser ma prestat. L'onboarding, l'appel de kick-off, l'opérationnel, la phase de délivrabilité et de modification, et puis l'offboarding. Ça, c'est les grands steps. Dans ces grands steps, à chaque fois, tu as les mêmes étapes qui doivent être présentes. D'après ça, si par exemple, je te donne un truc tout con, le truc à surtout pas faire, c'est par exemple, vendre le fait que tu es dev. Je suis dev, je fais ce que vous voulez. Tu vas avoir plein de boîtes qui vont venir avec plein de sujets différents, donc la manière dont tu travailleras sera tout le temps différente. Tu ne pourras pas l'anticiper, l'appréhender, l'optimiser, et c'est là qu'en fait, tu as des délais qui sont mauvais, une qualité qui est mauvaise, et tu ne peux pas se caler. A l'inverse, si tu dis, je ne fais que des applications mobiles pour, je ne sais pas, gérer la base de données de votre entreprise, tu feras tout le temps la même chose, de la même manière, avec les mêmes étapes pour les mêmes clients. Donc tu pourras faire beaucoup plus de volume, beaucoup plus de résultats. Donc déjà première étape, définir, et là je vous le montre pour une agence d'ad, définir l'ensemble des étapes qui composent, enfin c'est une agence d'ad plutôt, une agence de funnel building, toutes les étapes qui composent votre prestat. Pour cette agence de funnel building, à chaque fois il y a l'onboarding du client, Il y a la phase d'appel de kick-off où on va récupérer l'information, on va créer pour le funnel la landing page, on va créer les créatifs pour la séquence d'ad, les séquences email, les postes organiques pour appuyer du coup le travail qui sera fait lors du lancement de la campagne, la campagne de media buy, on délivre le tout au client, et puis après on fait du tracking. Donc on a défini ces premières étapes. Ensuite à chaque étape, il va se passer plusieurs choses. Le contact avec le client, pour récupérer de l'information, pour lui partager les avancements, pour lui demander des feedbacks. Le contact avec l'équipe. la coordination de l'équipe, qui doit faire quoi, quand, comment, de quelle manière, pour quel client, avec quelles informations, et les validations hiérarchiques, le CSM envoie les infos à l'opérateur, l'opérateur envoie au manager pour qu'il valide, le manager valide et ça s'envoie au client, et le côté opérationnel pur, c'est-à-dire la manière dont on fait la mission en particulier. Ce qu'on va pouvoir vraiment productiser et perfectionner, enfin oui, optimiser, ça ne va pas être l'opérationnel pur, c'est-à-dire l'étape que l'on fait, la mission pure. mais plus tout ce qu'il y a autour c'est à dire quand est-ce qu'on va récupérer les informations dans l'onboarding on a récupéré tous les accès du client ses besoins ses volontés pour derrière les centraliser sur une plateforme et que ce soit automatiquement envoyé à l'opérateur pour qu'il ait toutes les informations pour travailler quand il a à faire la landing page le nom de domaine les accès les différentes étapes qu'il veut mettre dans la landing page pour cet exemple là le style de copywriting des exemples de pages qu'il a aimé donc tu vois déjà centralisé toutes ces informations là et à chaque fois tu as les mêmes étapes L'étape est validée, donc l'onboarding est terminée, l'appel de kick-off est terminé, on lance l'opérationnel. Tu as une personne qui est attribuée dans l'équipe, cette personne-là va recevoir un message avec un brief pour dire voilà tu as ça à faire pour telle personne, voici les infos sur lesquelles te baser, voici le process à suivre. Donc il y a la coordination de l'équipe, de la personne qui travaille, le briefing sur tout ce qu'il y a à faire qui peut être fait par des IA ou des messages qui sont tout le temps les mêmes et un process qui doit tout le temps être le même à suivre pour ne pas se tromper dans les étapes. Process, comment faire le hero d'une landing page, que mettre dans le hero. Dans le hero, il faut mettre tel bouton, tel bouton d'une référence à telle ressource qui permettra tout le temps d'avoir les mêmes styles de boutons. Tu vois ce que je veux dire ? Tu as le côté relationnel, informationnel et opérationnel. Et tous ces box-là, tu vas les drag and drop pour organiser ton parcours de délivrerie durant tout son parcours. Donc le mec répond au form d'onboarding, la team est notifiée de la réception, va être briefée sur le travail, va pouvoir réaliser sa mission. Dès qu'il a réalisé sa mission, il change un statut sur la fiche du client sur le airtable. Dès que c'est fait, il y a un workflow qui va se lancer. qui va aller envoyer une notification au client pour lui dire qu'on a terminé, lui envoyer le travail qui aura été fait puisqu'on l'aura recensé dans la fiche du client, le manager qui reçoit la notif, le portail client qui s'actualise avec l'avancement de où on en est, et ça à chaque étape. Ce qui fait qu'en fait, la communication, tu peux complètement l'automatiser. La manière dont tu fais le travail, vu qu'il y a des process, tu n'auras pas d'aléas sur en combien de temps je ferai par exemple telle étape, enfin telle landing page ou telle campagne d'ad. Le client, lui, il a une bonne expérience parce qu'il est notifié à chaque étape. Et tout ça fait que tu peux drastiquement accélérer tes délais de livraison, aussi contrôler la qualité de l'output. Beaucoup de mecs disent « mais je n'ai pas envie de recruter, beaucoup de freelance surtout, je n'ai pas envie de recruter, je veux rester seul parce que je ne sais pas, je ne trouve personne qui soit assez qualifié que moi. » Mais le problème n'est pas dans qui est-ce que tu trouveras qui aura ton niveau, ça c'est ta formation, donc personne n'aura ton niveau. Il y en a qui sont peut-être trop… au-dessus, mais qui ne feront pas de la manière dont toi tu le fais, donc ça ne t'ira pas, c'est comment est-ce que cette personne travaille en suivant toi, la manière dont toi tu travailles, pour répliquer le même résultat. Donc tout ça n'est qu'au final que cadrer les choses, rigidifier les choses, mettre en place des process, des automatisations, et pas laisser le choix, entre guillemets, aux décisions sur qu'est-ce qui doit se passer. Je ne sais pas si c'était assez clair.

  • Speaker #1

    Par moi, de mon côté, c'est très clair. Je pense que c'est bien que tu aies montré aussi un petit peu de manière concrète ce qu'il en est. C'est vrai que de l'extérieur, je pense que ça peut être des termes des fois où on a du mal à productiser. On a du mal peut-être à imaginer les choses dans les faits. Et c'est top que tu aies pu montrer ça. Selon toi, quand est-ce qu'il faut commencer à structurer son business ?

  • Speaker #0

    et à être sympa ouais il y a plusieurs choses le plus tôt est forcément le mieux parce que le plus tôt tu vas pouvoir capitaliser sur cette structure pour délivrer plus de clients pouvoir recruter des personnes sur de bonnes bases toi pouvoir optimiser la manière dont tu travailles mais maintenant c'est toujours une question de budget pour payer des gens qui vont mettre ça en place ça coûte de l'argent donc il faut avoir le cash pour y remédier enfin y subvenir plutôt donc euh là où tu en as, c'est surtout là où tu n'en as pas besoin jusqu'à 10k par mois en vrai c'est pas obligatoire à partir de 10k par mois ça devient quand même un must have parce que la compétition que tu as en face est préparée à ça et toi tu l'as pas tu vois si personne n'a rien sur le marché c'est pas dramatique si toi tu l'as pas, par contre plus les personnes et les concurrents ont ce que toi tu n'as pas plus ça devient problématique donc à partir de 10k par mois tu commences à avoir une petite compétition qui se crée et il faut quand même être compétitif là dedans donc ce que je recommande maintenant Il y a des personnes qui se lancent dans un business qui en ont déjà eu avant, qui comprennent l'importance, qui vont le faire le plus rapidement possible parce que du coup, ils n'auront pas de dépendance par le futur. Beaucoup de personnes qui disent « je le ferai quand je le devrais » . Si par exemple, elles ont 10 clients, elles ne sont pas débordées, elles disent « je vais me restructurer quand j'aurai 30 clients que j'aurai percés » . Sauf que quand tu auras 30 clients, tu auras 30 prestat à délivrer, tu auras une équipe de 5 personnes à gérer, tu auras tout sauf le temps de te structurer. Donc ouais, le palier à partir duquel il faut commencer à vraiment y réfléchir sérieusement, c'est 10K par mois. Sauf si tu as déjà un business et que tu peux le faire le plus tôt possible parce que tu as du cash, tu vois.

  • Speaker #1

    Ouais, complètement. C'est vrai que des fois, tu sais, il vaut mieux reculer pour mieux sauter. Parce que comme tu l'as dit, quand tu te retrouves avec 30 prestas à délivrer en même temps, en réalité, ça revient à mettre de la poussière sous le tapis en attendant de faire le grand ménage, quoi. Et ça peut ralentir aussi ta progression. Donc des fois... Peut-être maintenir l'activité, restructurer ton agence pour pouvoir accueillir plus de volume par la suite. Et donc du coup, scale encore plus fort. Donc, ouais, ouais.

  • Speaker #0

    La ligne de croissance d'une agence, il y en a pour qui c'est comme ça rarement, mais dans tous les cas, elle est croissante. Après, ce ne sera pas linéaire. Tu auras toujours un pic. Tu auras une phase de descente, de stagnation. Tu comprends ce qui permet de passer au next step. Tu le mets en place. Donc, tu vas descendre parce que tu bosseras un petit peu moins. et d'un seul coup tu exploses au palier suivant. Je connais très peu de mecs qui ont eu une croissance linéaire. C'est vraiment des gros pics, des gros pics, des gros pics. Ouais,

  • Speaker #1

    complètement. Je suis d'accord avec ça. Complètement, complètement. Est-ce que tu veux peut-être parler un petit peu plus de ta nouvelle offre ? C'est vrai que ça peut être intéressant de la mettre en avant et d'en parler un petit peu.

  • Speaker #0

    Globalement, c'est la synthèse de tout ce qu'on a fait depuis six mois. On a fait de l'onboarding, on a fait de l'automatisation, j'ai dû conseiller des clients sur comment productiser leur offre. Et comme je le disais, pour passer de 80 à 150, 200 cas par mois, il faut avoir beaucoup plus de volume, et en done for, ce n'est pas possible. Du coup, on a créé un SaaS en marque blanche que tout le monde peut s'approprier pour avoir sa cell structure, sa délivrabilité structure, la gestion de son équipe, etc. Recruter des gens, tout gérer dans l'activité. On a créé un onboarding que chacun va pouvoir personnaliser selon ses besoins. On a créé une automatisation durant tout le parcours client. Une fois que le mec qui bossera avec nous, par une vidéo, il aura optimisé son parcours de délivrabilité. Il pourra travailler sur les automatisations associées. Il les aura, il les duplique et il change juste les messages. On a placé aussi plus d'une cinquante de SOP qui sont issus de tout ce qu'on a créé pour nos clients sur les mois passés. On a créé une cinquantaine d'automatisations. dans toute la gestion day to day de l'activité. On a placé 2-3 calls de coaching aussi sur l'optimisation de l'offre. On en parlait en offre sur comment voir une offre et vraiment pouvoir la scaler, comment la présenter correctement au marché. Il faut forcément le prendre, c'est les bases. Donc on a mis un call de coaching sur l'offre, un call de coaching sur l'optimisation du parcours de délivrabilité, un call à la fin de questions plutôt général. Et entre-temps, il peut reprendre l'ensemble de sa structure, l'ensemble des automatisations, les process. Et derrière, avoir une inforab pour aller chercher... 800 AM par an pour l'année qui arrive.

  • Speaker #1

    Ok super intéressant. Dans l'idée tu aimerais arrêter complètement le done for you du coup ?

  • Speaker #0

    Ouais ouais ouais après on il y a quand même deux trois trucs sur lesquels on travaille pour le client tu vois quand il fait son onboarding on doit forcément passer derrière pour le vérifier et lui dire voilà on va revoir deux trois bugs on s'assure que c'est bon pour toi donc il y aura des choses qu'on fera évidemment pour le client mais oui travailler à 100% pour le client même c'est un modèle qui est cool que moi je trouvais cool au début parce que je me disais mais il y a personne au final qui fait du done for us sur le marché qui est vraiment dedicated pour le client et j'ai compris pourquoi c'est parce qu'en fait quand tu bosses vraiment que toi pour le client surtout dans du service le client il te considère pas enfin il te prend vraiment comme son esclave tu vois c'est vraiment alors pas avec tous les clients tu vois nous on a travaillé ensemble ça n'a pas été le cas mais Il y a des mecs qui abusent fois mille de ce que tu dois faire pour eux. Ah, tu pourrais me faire ci, tu pourrais me faire ça, il faut faire ci, il faut faire ça. Mais sans fin, tu vois.

  • Speaker #1

    Ouais, je peux comprendre.

  • Speaker #0

    Parce qu'eux aussi n'ont pas idée de ce que ça représente de devoir créer ce que c'est, tu vois. Une automatisation ou configurer un artable, tu vois. Ça fait deux mois que je suis dessus, entre une et deux heures par jour, sauf sur les deux semaines dernières où j'ai bossé dix heures par jour. pour pouvoir arriver à quelque chose de parfait tu vois ça prend pas 5 minutes et les gens peuvent pas le voir parce que du coup c'est pas leur métier

  • Speaker #1

    L'importance de bien définir quand c'est down tu vois quand c'est délivré à 100%

  • Speaker #0

    Exactement avoir des cahiers des charges c'est au début je le faisais pas à la fin j'ai du le faire

  • Speaker #1

    Ok ok ça marche bien, en tout cas merci beaucoup Lucas pour toute la valeur que tu as pu partager. Où est-ce qu'on peut te retrouver ? Peut-être si tu as des réseaux, des liens que tu aimerais partager ou quoi ? Le moment de faire ta petite pub et puis...

  • Speaker #0

    J'ai majoritairement ma chaîne YouTube, Lucas Perrin, que vous pouvez trouver. Il y a toutes les vidéos sur les systèmes, sur le workflow d'agence, sur les structures d'agence, sur les automatisations. Tout le monde pourra prendre un max d'infos pour commencer à se structurer dès ce soir. gratuitement.

  • Speaker #1

    Ça marche. En tout cas, merci Boss pour la valeur que tu as pu partager. Je pense que ça va parler à beaucoup de monde et aider beaucoup de personnes. Et puis, en tout cas, merci pour le temps. Et puis, on se dit à la prochaine pour un prochain épisode, les amis.

  • Speaker #0

    Ciao, ciao, Evan.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup, Lucas. Ciao.

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Description

Dans ce 2ème épisode de SKALE PODCAST, nous accueillons Lucas Perrin , leader de l'onboarding, de structuration de business et d'agences. Lucas va nous dévoiler les secrets pour sortir de l'opérationnel et processiser son business. Bon visionnage !


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➜ Instagram de Lucas : https://www.instagram.com/thestructureguy/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ça te permet d'aller vite, de comprendre comment marche le monde. Tu as beaucoup de pression, tu n'as pas le choix. Et après, quand tu dépasses ces palais-là, je pense que c'est mieux de se retrouver ailleurs. Si tu as plus besoin, tu travailles moins. Le plus tôt est forcément le mieux, parce que le plus tôt, tu vas pouvoir capitaliser sur ta structure pour te livrer plus de clients, tu vas pouvoir optimiser la manière dont tu travailles. Si personne n'a rien sur le marché, ce n'est pas dramatique, soit tu ne l'as pas. Quand il a payé ou signé ton devis, il faut que tu sois directement redirigé vers une plateforme sur laquelle tu vas centraliser ta relation avec lui. L'expérience client c'est essentiel pour augmenter la LDV de ton client, lier vraiment la pérennité de ton activité. Aussi pour augmenter ton acquisition indirecte par le bouche-à-oreille. Donc à la fois pour le court terme, à la fois pour le long terme, c'est essentiel. T'as beau avoir un service de fonds, si derrière le client il n'est pas content, il peut te demander un refund. Le principe il est très simple, maintenant dans la réalité c'est très compliqué à mettre en place pour vraiment atteindre un niveau. Et ça, ça passe par les process qui vont tout le temps être les mêmes, par cadrer les prestations que tu as. opérationnel de délivrabilité choisir ses clients avoir une seule presse à et pas 50 bien connaître aussi ce que tu vends tu vois yes what's up bro comment ça va lucas ça va et toi la forme bon merci beaucoup d'être présent aujourd'hui avec avec nous donc le

  • Speaker #1

    deuxième invité aujourd'hui sur ce podcast ça fait vraiment plaisir de pouvoir ta voir on a tous envie de savoir voilà qui est le leader de de l'onboarding de la structuration de de business, d'agence, etc. Est-ce que tu peux peut-être te présenter en quelques mots, nous dire qui tu es, quel parcours, ce que tu fais ?

  • Speaker #0

    Ouais, avec plaisir. Je m'appelle Lucas Perrin, j'habite à Dubaï. J'ai commencé il y a pas mal de temps. Il y avait des TikTok à l'époque qui expliquaient mon parcours et ce par quoi j'étais passé. Mais j'ai commencé quand j'avais 15 ans par tous les petits trucs que tout le monde a globalement fait. Je suis né dans un village, un très petit village, des petits villages de campagne que personne ne connaît. Il y a 200 mecs. C'est le côté storytelling, mais en vrai, c'est la vérité. J'ai commencé par du sport. J'ai fait sport et études foot. Je suis arrivé en STMG. L'école, ce n'était pas trop fait pour moi. Un peu comme tout le monde, globalement, qui a lancé son business. Et puis après, je suis arrivé à Paris pour faire une école de commerce. En parallèle, je montais plein de petits trucs. Toujours un petit peu plus ambitieux. Au début, c'était la petite marque. Puis après, c'était la petite marketplace, les sites internet. J'ai même fait de l'e-commerce pendant quelques semaines. A 17 ans, je voulais monter une... Ça, c'était la première chose qui a été un peu grosse, même si ça n'a pas abouti. Je voulais faire de l'import-export de caisses accidentées. Je ne sais pas si tu connais, mais il y a un truc aux Etats-Unis qui s'appelle les assurances de personnes très très jeunes, qui viennent d'avoir leur jeune permis, qui sont spécialisés là-dedans, parce qu'il y a des gros risques. Quand les mecs achètent des grosses caisses et qu'ils se plantent parce qu'ils ne savent pas conduire, derrière les caisses elles sont revendues aux enchères tu vois et tout le monde dans le monde peut les acheter du coup je voulais racheter des voitures les réparer en france les mettre en location etc à 17 ans lever des fonds c'est un peu compliqué et voilà j'ai testé plein plein de trucs pour comprendre un peu comment marcher comment marcher les choses j'ai monté un genre d'incubateur pour pour aider un peu les jeunes à monter leur premier business puis après au bout d'un an et demi je suis plus allé du côté b2b pour bosser dans la structuration, l'organisation des cabinets de conseil corporate avec les techniques organisationnelles des business à cash flow un peu comme nous tous, ce qui est quand même deux mondes complètement différents. Et on a fait ça pendant un an, on a bossé avec des très beaux acteurs, des gros cabinets de conseil, et après le corporate ça m'a saoulé, donc je suis revenu dans le monde du cash flow et j'ai appliqué cette fois-ci tout ce que je savais du monde corporate et dans la structuration qu'on avait faite pour les petites agences comme nous. ce que je continue depuis six mois là actuellement.

  • Speaker #1

    Ok, écoute, congrats, tu as commencé assez tôt, 15 ans, c'est vrai que tu as commencé assez tôt. Ça t'est venu comment ? Tu as eu un déclic ou un truc comme ça ? Je ne sais pas,

  • Speaker #0

    en vrai, ça allait très très progressivement. Au début, je voulais juste, je ne sais pas, m'acheter ce que je voulais, tu vois, classique. Donc je suis allé faire les champs de maïs, je suis allé faire les campings pour nettoyer les toilettes et tout. Et à un moment donné, j'ai mis toute la paye que j'avais eue en deux mois dans un Mac. J'ai commencé à voir que je pouvais vendre des services en ligne. Du coup, j'ai testé deux, trois trucs. Vendre des sites, vendre des logos. Bon, j'avais 15, 16 ans, donc ce n'était pas fameux. Et après, en fait, ça s'est fait progressivement. Toujours essayer de faire un truc différent, un peu plus gros, avec un peu plus de visibilité. Et après, ce qui a un peu tout propulsé, ça a été TikTok. J'ai fait, quand j'avais un incubateur, ça s'appelait enterprendre.com. j'ai fait des TikTok, en fait c'est parti viral extrêmement vite et ça a permis d'avoir une grosse visibilité et de pouvoir lancer des trucs un peu plus sérieux et tout donc en vrai pas forcément de déclic de mon côté mais plutôt un truc progressif qui après fait que Tu l'as en toi en vrai le coup d'entreprendre, que du coup ça s'est plus révélé.

  • Speaker #1

    Ok, ok. Eh bien écoute, complètement suite progressive, suite logique. École de commerce également, ça a été avec les parents la transition, parce que du coup ça coûte assez cher une école de commerce. Quand tu t'as dit écoute, papa, maman, j'arrête l'école de commerce pour lancer mes propres bises, ça n'a pas été trop compliqué la transition ?

  • Speaker #0

    Sacrée période. En fait si tu veux... L'école de commerce, j'avais pris un prêt à mon nom pour la payer. Je me suis arrêté au bout de trois mois, mais j'avais quand même la première année qui était partie. Il y avait genre 13 000 euros qui étaient partis en fumée. Donc oui, du côté parents, même si ce n'était pas eux qui payaient, c'était un peu chiant. Mais il y a deux choses qui ont joué entre guillemets en ma faveur. Un, le fait que j'étais très loin, parce que le village dans lequel je suis, c'est à côté d'Avignon. Donc c'est vraiment dans le sud de la France. C'est très très loin. Pour aller à Paris, il faut 6 heures. C'est chiant. Donc le fait d'être pas à proximité, ça fait que t'as moins quand même de contact à la réalité, tu vois. Deuxième chose, j'avais déjà un business qui tournait, je faisais quelques milliers d'euros à 18 ans, tu vois, voire 10, 12 cas par mois, donc j'avais un peu une situation qui me permettait de pouvoir prendre ce risque-là. Et après, en parallèle, j'avais ma mère qui avait des petits soucis de santé, en fait, elle était pas très aware de ce qui passait, donc en fait, ils sont pas rendus compte vraiment que j'ai quitté l'école, genre ça s'est fait... rapidement et progressivement mais ils n'ont pas vu venir quoi. Donc après ouais c'est plus parce que tu vois j'ai je suis arrivé quoi fin août j'étais à l'école Novembre je quitte mars je crois je pars à Dubaï pour m'installer à 18 ans ça ça a été plus le choc tu vois partir à l'autre bout du monde

  • Speaker #1

    T'en as combien aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Là je préfère pas donner mon âge en vrai.

  • Speaker #1

    Ah ok ok ok.

  • Speaker #0

    C'est à cause de ma portée de préjudice.

  • Speaker #1

    Faites souci, ça marche. Ok, ok, ouais, 8 ans à Dubaï,

  • Speaker #0

    c'est beau, belle transition. Après, tu as de plus en plus de mecs qui ont des états qui viennent à Dubaï pour tester. Je suis reparti assez vite, je suis resté 6 mois, après je suis reparti parce que c'était trop cher. Je suis revenu en France et après ça est parti dans d'autres échelles. Parce que même quand tu fais 30 000 euros par mois de chiffre d'affaires, mec, la vie à Dubaï, ça coûte tellement cher que tu ne mets pas de côté ou c'est compliqué de te créer un vrai patrimoine ou quoi que ce soit. Donc je suis rentré en France, après je suis revenu quand je pouvais.

  • Speaker #1

    Ça peut être intéressant. C'est vrai que ça arrive à beaucoup de monde, ça, des personnes qui y vont, qui y reviennent. Tu vois, même moi, ça m'est arrivé, janvier 2021, j'y suis resté trois mois, je suis reparti. Et pour toi, il faut combien, on va dire, en moyenne, pour pouvoir vivre à Dubaï, pour pouvoir envisager de s'expatrier à Dubaï ? Pour faire combien pour toi ?

  • Speaker #0

    Bah mec, c'est simple, mon loyer c'est 5000 euros. Rien que la nourriture... tous les jours tu te fais livrer ton apport minimum 2000 euros en plus chaque mois tu comptes les services annexes les sorties tu prends une heure de tennis et 450 dirhams 120 euros donc en fait tu as tout qui est super cher au final tu t'en sors avec 10 12 cas spend en perso en perso donc si tu as ta boîte en france faut que tu te verses les salaires qu'il faut pour estimer ça c'est encore plus compliqué donc ça dépend si tu as ta boîte ici en dessous de je te dis On va parler en profit, en dessous de 20-25K de profit, ça n'a aucune utilité de venir ici parce que tu ne pourras pas mettre assez de côté. Et après en France, je ne vais pas les ordiner, mais il faut au moins avoir 20K qui rentrent en perso tous les mois.

  • Speaker #1

    Donc toi tu es plus de la team d'avoir une réserve de côté plutôt que de partir à l'aventure. Et de, comment dire, c'est pas que ça passe ou ça casse mais... Moi, je suis un peu partisan du truc où je vois ça, tu vois, Sexpatria Dubaï comme un investissement dans le sens où tu arrives, ce n'est pas la même énergie, tu es entouré de personnes qui font 10, 15 fois, 100 fois plus que toi. Et forcément, ça te met dans une énergie où tu fais plus d'argent, même si tu en dépenses plus.

  • Speaker #0

    Ouais, après, plus le temps passe et moins c'est le cas. C'est-à-dire que là, moi, Dubaï, ça commence à me saouler parce que... justement il y a trop de mecs qui viennent avec zéro et qui un qui viennent avec zéro c'est cool tu vois je trouve qu'ils ont le courage mais deux qui mentent du coup sur ce qu'ils font vraiment des postes linkedin à Dubaï ouais j'ai 17 ans je viens de m'exprimer à Dubaï je fais 100 000 euros par mois je suis millionnaire alors que le mec tu vois il a genre 1000 euros sur son compte et il est dans le fake it until you make it mais fois mille donc en fait Dubaï ça se remplit de plus en plus de plus en plus de plus en plus de personnes comme ça qui fait qu'au final bah tu trouves pas forcément dans ce que tu veux atteindre après battal côté caché dubaï ou latawi tu as les vrais vrais gros noms et les personnes que tu connais même pas qui sont milliardaires mais t'es pas forcément avec eux parce que t'es pas non plus à ce niveau là donc en fait c'est tu te retrouves au final avec tes potes juste à l'autre bout du monde tu vois Dans une ville qui coûte très cher. Donc autant être ailleurs.

  • Speaker #1

    Ok, ok, ok, je vois ce que tu veux dire. Et toi, du coup, tu fais pas mal d'allers-retours avec la Géorgie. C'est vrai que ça c'est... Comment dire, je connais pas énormément de monde qui sont là-bas. C'est...

  • Speaker #0

    Bah j'y suis allé qu'une fois, en vrai.

  • Speaker #1

    Ah, tu y as été qu'une fois.

  • Speaker #0

    Ouais, j'y suis allé qu'une fois, donc Géorgie c'est pas trop mon... J'adore le pays, je suis vraiment amoureux du pays, mais j'y vais pas souvent, non. J'ai plus mon ami Louiski qui, lui, a ses bureaux, son équipe là-bas, sa vie là-bas. mais sinon je reste beaucoup ici quand même.

  • Speaker #1

    Ok, et du coup tu envisages de bouger quelque part peut-être ?

  • Speaker #0

    Ouais, bah Dubaï en fait c'est plus une passerelle, tu vois, comme tu le disais. Je pense pas que c'est la passerelle entre le 0 et le 1, je pense plus que c'est la passerelle entre, allez, on va dire, 40 000 euros par mois et 150 000 euros par mois, tu vois, t'es bien ici, ça te permet d'aller vite, de comprendre comment marche le monde, t'as beaucoup de pression, t'as pas le choix. Et après, quand tu dépasses ces palais-là, je pense que c'est mieux de se retrouver ailleurs, parce que tu as plus besoin, tu travailles moins, donc tu as plus besoin de te retrouver avec toi-même, plus besoin d'avoir ta vraie routine et tout, que d'être dans une ville où c'est que argent, argent, argent, et tout le temps, quoi, tu vois. C'est plus trop l'objectif.

  • Speaker #1

    Ok, ok, ok. Bon, après, c'est vrai que c'est les goûts et les couleurs. Il y a beaucoup d'avis divergents, mais ok, complètement, je vois ce que tu veux dire. Est-ce que tu peux nous dire un petit peu plus en détail ce que tu fais ? C'est vrai que nous, on a eu la chance de pouvoir faire l'onboarding avec toi. Est-ce que tu pourrais nous en dire un petit peu plus ? Qui est-ce que tu aides et ce que tu fais exactement de A à Z ? Oui.

  • Speaker #0

    Alors, on a lancé l'agence pour les agences, enfin, c'est loué, lancé sur le marché pour les agences, on va dire à cashflow, entre les agences 5 et 80 000 euros par mois. de CA en juin. Au début on est arrivé sur le marché on faisait que des onboarding clients donc les gens n'avaient pas l'habitude il y en avait la plupart qui ne savaient même pas ce qu'était un onboarding client tu vois donc ça a fait un petit choc ce qui nous a permis de partir très très rapidement je crois que le premier mois on a fait 25, le deuxième on a fait 40, le troisième on a fait 60 donc ça y est très très vite quand on était voilà deux mois et demi trois mois on s'est rendu compte que les gens n'avaient pas uniquement besoin d'avoir un onboarding client automatisé mais d'avoir toutes leurs activités automatisées, tu vois, c'était ce que le marché nous demandait, et à ce moment-là on avait bossé avec je pense à peu près 50-60 agences, donc on avait quand même un bon sample. Là on s'est mis à automatiser tout le parcours client des agences, c'est-à-dire de l'onboarding jusqu'à l'offboarding, jusqu'à la livraison des services, de manière à ce que l'entrepreneur n'ait plus rien à gérer, sa team soit coordonnée pour lui, la relation client soit gérée pour lui, la gestion des projets soit gérée pour lui, tout en automatique. Et là depuis septembre, ça fait quatre mois, on est en novembre, on rentre en décembre, on observe de plus en plus de choses, on a 150 clients, donc on observe de plus en plus l'évolution de ce qu'ont vraiment besoin les gens. Parce que tu sais, tu as ce que les gens demandent et ce que les gens ont vraiment besoin. Tout le monde veut l'automatisation, ça fait kiffer, tu ne bosses plus et tout, mais les gens le font trop pour les mauvaises raisons et pas au bon moment. Donc en fait, on s'est rendu compte que ce que les gens avaient besoin avant d'automatiser leur business, c'était vraiment l'organiser et le structurer. Savoir exactement comment le parcours de délivrabilité va être construit, qu'il y ait des process qui régissent ce parcours de délivrabilité pour que ce soit vraiment la même chose tout le temps. Consister à exactement quoi dire, à quel client, à quel moment, avec quelles informations, par quelle personne, en suivant quel tram, etc. D'avoir une infrastructure outil qui permet d'héberger tout ça de manière vraiment stricte, rigide et cadrée. Et tout ça fait que du coup, on est en train de totalement basculer ce qu'on faisait auparavant en Done For You, donc les automatisations, en un programme complet de restructuration de son agence. Donc de vraiment build l'infrastructure complète en délivrabilité, opérationnelle, en automatisation, pour pouvoir aller chercher un M par an de CA facile à délivrer avec son activité. Et donc du coup, ce qu'on a fait au lieu d'être en Done For You, parce que tu plafonnes quand même pas mal en Done For You, J'ai pas envie d'avoir une équipe de 20 personnes, ça m'intéresse pas, tu vois. Et 3-4, ça me suffit largement. Et on bloquait à 70-80 cas par mois pour 20 clients et 4 personnes, tu vois, full time. Donc, c'est bien, t'es content, mais t'as quand même envie d'aller plus loin. Et donc là, ce qu'on a fait, c'est qu'on a vraiment build pendant plusieurs mois tout ce qu'on avait fait. Tu vois, l'onboarding client, on a fait un framework. L'automatisation de toute l'activité, on en a fait un framework, on a construit plus d'une cinquantaine de SOPI et plus d'une cinquantaine d'automatisations. On a construit un SaaS complet pour gérer ton activité, ta sales structure, ta deliverability structure, ta staffing structure, tout. Et on va le release à tous ceux qui ont besoin de cette structure pour aller chercher un M par an. Donc ce sera du plugin.

  • Speaker #1

    Donc là, tu es en train de transiter sur une offre plutôt hybride. Avant, tu étais en full done for you, tu faisais tout pour tes clients. Là, tu as créé vraiment toute une infrastructure où les gens vont pouvoir, entre guillemets, la templétariser. Et donc, du coup, même la comprendre et se l'approprier de manière autonome. Ce qui va rendre ton activité beaucoup plus scalable.

  • Speaker #0

    C'est ça, tu vois. Le rapport au temps que tu as avec ton client est cadré, est défini, il ne change pas. C'est-à-dire que quand tu es du done for you, les besoins de ton client varient, ses demandes varient, les retakes varient. Donc tu peux dire, voilà, un client prend 10 heures, au final, il t'en prend 30. Et quand tu as déjà build quelque chose que tu vas relâcher à ton client et que lui le personnalise pour lui, tu vois, tu es quand même là pour l'accompagner, tu fais des calls, mais tu sais que tu as 4 calls d'une heure, ça te fait 4 heures ton client, pas plus, tiens. Lui, il le fait à son rythme. Il gère aussi les problèmes que lui a parce que quand tu fais l'automatisation et que tu gères ça pour le client, tu as les aléas du client. Il a copié-collé le mauvais truc, il a pas suivi dans l'ordre, etc. Après, il vient te voir. Ouais, il y a un problème dans mon process. J'ai bien vu. Du coup, de plus responsabiliser les gens et de le permettre de le faire en beaucoup plus de volume sans être une formation non plus parce que ça, ça m'intéresse pas.

  • Speaker #1

    Complètement, Donc là aujourd'hui, tu as une team de combien de personnes toi ? Et si on devait les citer, tu travailles avec des développeurs ? Avec quel type d'experts aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Trois personnes, moi, et deux opérateurs. Un qui avant avait une activité freelance en automatisation, et qui du coup est OR et en capacité de pouvoir faire n'importe quel automne. Et un ancien dev, qui a d'ailleurs travaillé sur notre SaaS, qui lui s'occupe plus côté CSM, conseil client, ce truc.

  • Speaker #1

    organisation tu vois le côté très cadré des devs pour un luxe ok ok ok super intéressant et du coup comment tu as attiré à toi du coup par exemple des players vraiment des acteurs qui sont le battement de coeur de ton business du coup comment tu vas les sources et c'est player du coup le

  • Speaker #0

    tout c'est d'avoir un funnel de recrutement qui soit vraiment vraiment cadré ça tu vois j'ai fait un Ça fait du coup trois ans que je recrute et que je bosse avec des gens. En tout, j'ai dû bosser avec une cinquantaine de personnes, j'ai dû faire je ne sais pas combien d'entretiens, 500, 600 candidats qui postulent à chaque fois, tu vois. Et donc à terme, tu arrives à quand même construire ta propre méthode de recrutement, tu vois. Et donc ouais, j'ai réussi à construire un bon funnel pour aller tester assez de volume, donc tester 500, 600 personnes à chaque fois, le faire de manière automatique pour ne pas y passer de temps. Les sensibiliser sur qui je suis, quelle est mon expérience, quel est mon parcours, qu'est-ce que l'agence, donc un peu de personal branding quand même pour créer ce pilier là qui attire les gens. Les former pendant le process de recrutement pour qu'ils puissent un maximum être, comment dire, pas forcément formés parce que j'attends pas des mecs qui soient déjà formés à chaque fois que je recrute, mais des personnes qui soient assez aware de ce qu'on va faire, qui puissent déjà s'y intéresser. et se renseigner à la veille de passer les mises en situation sur YouTube ou quoi que ce soit sur qu'est-ce que sont les métiers et de pouvoir un minimum l'apprendre. Donc ça, ça se fait par trois choses, des formulaires, récupérer en volume toutes les réponses, tu vois. Un formulaire où on va aller faire la segmentation des profils des personnes, un formulaire où on va aller faire une mise en situation. Comme ça, tu vois, tu as 600 réponses à chaque fois, tu peux tout automatiser pour traiter même avec GPT, tu vois. tu as tout ta staffing structure qui permet de gérer les candidatures donc tu as un grand tableau cambans où j'ai tous les candidats à quels étapes ils sont, une note sur 20 en fonction de ce que moi je recherche fait par GPT et ce que la personne m'a mis comme réponse tu vois. J'ai une VA qui va aller checker toutes les réponses pour organiser les calls avec les personnes les plus pertinentes et donc en fait en 15 jours tu passes de tu as des marchés soit par des ads soit par un funnel où ads web formulaire soit par fiverr upwork, math, linkedin tu démarches les gens tu trouves de 600 personnes contactées à

  • Speaker #1

    5 calls tu vois mais c'est 5 calls extrêmement qualifiés et du coup à la fin on t'en recrute un ou deux tu vois et t'en as d'autres que tu peux garder en base de données au cas ou quoi c'est vrai qu'en fait c'est vrai qu'on prend un petit peu de recul pour sourcer des players c'est un petit peu les mêmes systèmes d'acquisition pour aller chercher des clients en fait peut être boosté en ads tu peux prospecter faire de l'outreach pour pour aller chercher les meilleurs. Donc, ouais, complètement.

  • Speaker #0

    Et c'est plus toi qui dois te vendre pour que le mec vienne que le mec, tu vois, doit se vendre pour être recruté. Quand le mec est vraiment bon, il sait se faire, comment dire, désirer, quoi.

  • Speaker #1

    Ouais, c'est toi qui dois le closer, quoi. C'est sûr. C'est sûr, c'est sûr, c'est sûr. Ok, bah écoute, super intéressant de ce côté-là. Aujourd'hui, est-ce que toi, tu parles un peu chiffres, juste pour que les gens se rendent compte aussi de où tu en es, toi, dans ton parcours ? parcours, etc. Est-ce que tu partages un petit peu des chiffres ou pas du tout ?

  • Speaker #0

    Ouais. Non, mais du coup, je disais, c'est ce qui fait à peu près 5 clients par semaine, un client du lundi au vendredi que tu vas réaliser en done for you, donc un bon turnover. On a mis un pricing qui était assez attractif sur nos anciennes prestations, on tournait globalement entre 3 500 et 6 000.

  • Speaker #1

    et voilà quoi ok ok ça marche écoute on va pouvoir rentrer un petit peu plus dans la vision micro juste après je voulais te poser une question avant selon toi comment devenir le numéro 1 sur son marché, comment se démarquer de sa concurrence parce que c'est vrai que tu vois même on l'a vu avec ton modèle d'affaires, t'as changé plusieurs fois d'offres ton offre a évolué et c'est quelque chose de très positif et en très peu de temps Donc forcément tu as su t'adapter, je pense un peu comme un caméléon, à ce que voulaient tes clients, à ce que demandait le marché. Donc ouais, si tu avais un feedback à faire, d'après ton expérience, est-ce que tu as pu du coup appliquer toi dans ton business ? Comment devenir, en fait avoir une offre qui se démarque de la concurrence et devenir le numéro 1 de son marché ?

  • Speaker #0

    Ouais, après, bon j'ai pas la prétention de dire qu'on est numéro 1 non plus, c'est vrai qu'il y a... personne qui fait de la structuration, mais en termes d'échelle, tu vois, 80 cas par mois, c'est pas c'est pas oufissime. Mais sinon, surtout d'un point de vue visibilité, ce qui te permet de prendre beaucoup, beaucoup d'un coup, c'est juste d'être à la pointe des informations et des produits que tu partages à ton client. Ce qui a fait que moi, j'ai changé d'offre beaucoup de fois, c'est pas le fait que ça marchait pas, mais c'est le fait que ça allait marcher plus. Donc ça va plus apporter, tu vois. J'aurais plus de stabilité, j'aurais fait un peu plus de chiffre d'affaires si peut-être j'étais resté sur les onboarding, que j'avais vendu que des onboarding, que j'avais augmenté le prix à 2K l'onboarding, tu vois. Bon, cool, moi c'est pas ce qui m'intéresse. Ce qui m'intéresse, c'est vraiment, là tu vois, on monte un SaaS dans notre prestat qui est no code. En parallèle, on dévore un SaaS qui est codé. Et dans un an, on va release un software qui va être valorisable, qui va aller conclure un certable, tu vois. Donc en fait, le but, c'est de commencer petit. sur un truc très très simple qui n'a jamais été vraiment optimisé sur un marché. On parlait de sales structure tout à l'heure. Aujourd'hui, tu n'as personne qui propose sales structure. Tu en auras peut-être avec ce podcast qu'ils le feront, même si nous, du coup, on l'a implémenté. Mais tu prends un truc très très simple qui n'a pas été optimisé. Tu essaies de le pousser un maximum dans ce que tu peux faire d'un point de vue tech. Tu le proposes sur le marché, tu fais un petit peu de contenu. Si ton produit est excellent, les gens parleront de toi. Nous, le premier mois, on n'a pas fait d'acquisition. Ça a été juste du bouche-à-oreille. On a eu 20 clients, donc c'était très cool. Et puis après, c'est toujours écouter, enfin vraiment, pas forcément écouter, mais vraiment comprendre quel est le réel besoin de ton client et moduler ton offre, moduler ton produit. En général, les gens, pourquoi est-ce qu'ils ne changent pas d'offre ? C'est parce que du coup, ils ont cette linéarité. Ils préfèrent toujours faire 30K par mois toute l'année que faire 30K, 40K, 50K, 10K, 5K, tu vois, parce qu'ils changent d'offre. Moi, ça ne m'a jamais fait peur, je m'en fous complètement. Et voilà, toujours aller plus loin dans la tech. se rapprocher de la vision finale si tu la définis. Et tout ça fait que du coup, au final, ton produit, il est quand même bon. Et ça, les gens, ils le communiquent, ils le partagent. Et tu as beaucoup de bouche-oreille et ça va très vite.

  • Speaker #1

    Ouais, complètement. Je te rejoins beaucoup là-dessus. C'est quoi déjà la phrase ? Tu vas peut-être pouvoir m'aider. Je trouve que ça résume exactement ce que tu dis. Et le syndrome qu'ont la plupart des gens aussi. Des fois, les gens, ils savent qu'il y a un truc à améliorer, mais ils continuent de... C'est quoi la phrase d'Einstein ? La folie, c'est de répéter les mêmes choses.

  • Speaker #0

    Oui, en attendant un résultat différent.

  • Speaker #1

    Voilà, c'est ça exactement. Et ça, je pense que c'est le problème de beaucoup de personnes. Ils ont conscience qu'il y a un problème, mais ils ont soit la flemme de le changer, soit la peur de prendre des risques et de ne pas avoir la certitude qu'en changeant quelque chose, ça va améliorer ou faire évoluer ton business. Mais je pense que c'est l'une des principales problématiques aujourd'hui. s'adapter au marché, prendre des feedbacks et je pense que c'est vraiment la solution complètement.

  • Speaker #0

    De toute façon quand tu regardes le marché français t'as extrêmement de copycat et toutes les offres sont les mêmes tous les produits sont les mêmes les gens ils n'offrent pas forcément c'est drôle parce que les mecs qui font pas d'argent et qui sont à zéro et qui veulent lancer leur business ils cherchent à innover parce que sinon ils pensent qu'ils vendront pas et les mecs qui font de l'argent ils ne cherchent pas à innover parce que je

  • Speaker #1

    sais pas c'est un peu contradictoire Pour toi aujourd'hui, est-ce que tu pourrais peut-être nous partager les bénéfices d'avoir une bonne expérience client ? Et puis après, on va voir comment on va faire un playbook, on va faire une masterclass, voir comment on peut mettre ça un petit peu en place. Mais dans un premier temps, si on parle des bénéfices aujourd'hui d'avoir une bonne expérience client.

  • Speaker #0

    Si tu veux, ton client, quand tu vas le closer, donc imaginons que tu rentres sur un marché ou que tu es déjà sur un marché, le mec que tu vas closer, il te dit... Tu connais pas forcément, soit tu fais des ads, il t'a jamais vu, soit il te dépose sur une vidéo YouTube où il entend parler de toi. Quand tu vas le closer une première fois, tu vas le closer sur son niveau de confiance actuel, sur ce qui c'est toi, et les informations qu'il a eues, mais pas sur le travail que t'as déjà fait avec lui. Donc tu vas peut-être prendre par 1, 2, 3, 4, 5, 6 cas. Mais ça, c'est que... 10% de ce qu'il pourrait te payer tu vois dans un premier temps et ce que tu vas lui apporter par ta première prestat c'est 10% dans ce que tu peux lui apporter au final donc quand tu closes un mec pour la première fois le seul enjeu que tu as c'est avoir la meilleure impression la meilleure qualité pour que derrière il y ait une vraie relation avec lui et qu'il parte sur d'autres prestats donc l'expérience client c'est un essentiel pour augmenter la ldv de ton client ce qui est vraiment la pérennité de ton activité et deux aussi pour augmenter ta comment dire ton acquisition indirecte par le bouche-oreille. Tu vois, ce qu'on faisait dans notre onboarding, c'est que quand le mec était onboardé, à la fin, on lui envoyait directement un petit message. Quand il avait le pic de dopamine, parce qu'il avait eu toutes les interactions de l'onboarding, les vidéos, un message, etc. Quand il a le pic de dopamine dans l'onboarding, on lui envoie un message pour lui dire d'ailleurs qui est-ce que tu connais qui a une agence comme la tienne et qui aurait peut-être besoin de ce qu'on fait. On a une offre où on peut vous mettre tous les deux au prix d'un onboarding pour le prix d'eux. Enfin bref, tu te débrouilles mais... Dans ton expérience client, si ça se passe bien, il a de la dopamine et quand il a de la dopamine, il parlera à toi. Donc ça te permet d'avoir une acquisition extrêmement rapide. Tu n'as même pas délivré ta prestat, tu as déjà d'autres mecs. Donc à la fois pour le court terme, à la fois pour le long terme, c'est essentiel. Et puis, tu as beau avoir un service de fou, si derrière le client, il n'est pas content, il peut te demander un refund. Parce qu'il a eu peur, parce qu'il n'a pas senti le truc avec toi, il regrette, il refund. Donc, extrêmement important de créer un lien et de la confiance. Ça, ça passe par la relation avec l'expérience que tu as avec lui.

  • Speaker #1

    Ok, ok, ok. Donc là, première étape d'une bonne expérience client, l'onboarding. Quand le client achète chez toi, il y a des premières étapes pour délivrer tes services à ce fameux client. Pourquoi il a payé ? Quelles sont, selon toi, les étapes d'un bon onboarding client ?

  • Speaker #0

    Un onboarding client, le mec, il a la phase de closing, donc tu as l'appel avec lui. S'il paye ou qu'il signe un devis, donc l'acte de closer dans l'appel, tant mieux, tu l'unboards directement après. Quand il a payé ou signé ton devis, il faut qu'il soit directement redirigé vers derrière une plateforme sur laquelle tu vas centraliser ta relation avec lui. Il y en a certains qui le font par mail, plus pour les côtés corporate ou le BTP, etc. Slack, c'est ce qui est le mieux pour des niches beaucoup plus jeunes, tu vois. Si ton client a moins de 40 ans, tu le mets sur Slack, tu gères toute la relation avec lui. Sur Slack, derrière, il faut que tu aies le côté privé avec ce client-là, donc un canal privé qui est créé où tu gères toute la prestation. Un premier message de la team pour lui montrer qu'il y a quelqu'un derrière qui l'accueille et pas justement un bot. Même si c'est des automatisations, le mec ne le saura pas forcément. Nous, il le savait quand on les onboardait parce qu'on vendait ça, mais un mec qui onboarde quelqu'un, il reçoit un message une minute après, il ne se dit pas, tiens... C'est une automatisation. Donc lui envoyer un message pour humaniser la chose, l'accueillir. Lui envoyer une vidéo pour expliquer en détail comment ça va se passer. Lui envoyer la roadmap de comment tu vas travailler pour qu'il se projette sur les semaines à venir, sur ce qui va se passer. Le rassurer, extrêmement important. Donc ça, tu vois, nous ce qu'on met c'est un Google Drive, tu mets 2-3 testimonials dedans. Le mec il clique sur le premier, il voit ce que c'est, il voit qu'il y en a 2-3-4. Il ne regardera pas mais il sera rassuré, il se dira ok j'ai quand même pris la bonne décision. Tu lui envoies un contrat qui a été généré, qu'il va pouvoir signer selon son prénom et son nom. Le canal, il faut qu'il soit à son nom aussi, évidemment, ça tu le fais en l'automatisant. Tu lui envoies un formulaire pour qu'il puisse directement avoir un input de sa part. En fait, ce qui est important, c'est que le mec ne soit pas en latente de toi, mais que lui ait un mini investissement à mettre. Donc tu lui fais un formulaire dans lequel il va te poser toutes ses questions, il va répondre à toutes tes questions pour travailler. Dès qu'il l'a envoyé, il y a une automatisation qui va lui renvoyer un message pour lui dire merci on a bien reçu, tu peux lui envoyer le lien pour qu'il puisse booker son call, et après il sera dans l'attente d'un call mais il aura déjà donné des informations, donc il saura que tu travailleras dessus. Donc globalement un onboarding aujourd'hui c'est composé de ça, après c'est le côté front-end, donc le côté relationnel client, après tu as derrière tout l'enjeu back-end pour aller centraliser toutes les données que tu as récupérées du client, son adresse email, le contrat qui a été signé, les réponses du formulaire.

  • Speaker #1

    etc etc flouter ta fiche client ton pipeline enfin bref toute une structure derrière ça en fait des choses et donc du coup toi tu centrales tout ça sur sur Airtable aujourd'hui toi tu trouves il n'y a pas de concurrence à Airtable en termes d'outils pour ça ?

  • Speaker #0

    t'as de la concurrence parce que tu as plein d'outils qui te permettent d'avoir les features que fait Airtable mais surtout plein d'outils qui te permettent trop de choses tu vois C'est pour ça que moi j'ai envie d'aller concurrencer Airtable, même si aujourd'hui je l'utilise. C'est parce qu'aujourd'hui comment ça a été réfléchi ces outils ? C'est une boîte qui dit écoutez le marché, nous on a toutes ces features possibles, ça va vous permettre de faire ça, ça, ça, ça, débrouillez-vous, faites ce que vous voulez. Et au final tu vois donc tu as la plateforme qui met ses features, les users qui vont essayer de bidouiller un peu, qui vont faire tout et n'importe quoi et vont voir qu'il y a énormément de choses à faire comme avec Notion, que tu as forcément l'expérience de je fais plein de trucs, au final je suis perdu, je ne sais plus où sont mes datas. Et tu n'as pas d'entremetteur pour configurer le tout et vraiment faire en sorte qu'il y ait une structure cadrée. Et du coup, nous, c'est ce qu'on a fait avec Airtable en configurant complètement l'espace. Et c'est ce qu'on va faire avec un SaaS en disant, écoutez, nous, on sait ce dont vous avez besoin. On l'a construit, vous y accédez, vous l'utilisez, mais vous ne pouvez pas avoir le choix de ce que vous pouvez construire parce qu'il n'y a pas d'intérêt à faire ça, on sait ce dont vous avez besoin. Donc, Airtable, c'est ce qui est le plus simple, le plus intuitif, le plus rapide. et le plus connectable avec tous les outils externes.

  • Speaker #1

    Ok, ok, je vois. C'est vrai que les gens, je pense, sous-estiment l'importance d'avoir une bonne expérience client, dans le sens où même si tu parles de... même si tu es dans une optique de scaler ton business, de faire plus de CA, de toucher plus de personnes, etc., on dit tout le temps que c'est plus facile de revendre quelque chose à un client plutôt que d'aller en chercher de nouveau. Et aujourd'hui, quelqu'un qui a eu une bonne expérience chez toi, il va te prier de prendre son argent pour aller plus loin si tu as une proposition de valeur qui lui permet d'aller plus loin. Donc, complètement d'où l'importance d'avoir une bonne structuration de business, une bonne délivrabilité et un bon onboarding.

  • Speaker #0

    Tu as tous tes clients, je te coupe, mais pour appuyer sur ça, imagine que tu as ton Slack où tu as tous tes clients, tu as 100 clients dessus, tu lances un nouveau produit, une feature. quoi que ce soit, t'envoies un loom à chacun en one to one, le même loom à tout le monde, en leur disant voilà on vient de créer ça t'as déjà 20% des gens qui vont prendre ton offre t'as une offre par mille euros, 100 clients t'as fait 20k en une soirée, tout ça parce que t'as envoyé un loom

  • Speaker #1

    100 fois donc ouais ça peut aller très vite complètement je sais que tu parles beaucoup aussi de productisation, je sais pas si je dis bien le terme ... Est-ce que tu pourrais nous en dire un peu plus à ce sujet-là ? Comment vraiment créer des infrastructures dans son business ?

  • Speaker #0

    Si tu veux, la productisation, je ne sais pas si c'est un vrai terme ou pas, mais globalement, c'est juste faire en sorte que ton service devienne un produit. Donc, ce que tu crées normalement en done-for-you pour quelqu'un, tu puisses l'industrialiser, le faire à la chaîne, parce que la manière dont tu le fais a été processisée, automatisée, accélérée. de manière à ce que ça prenne beaucoup moins de temps, que tu puisses en faire beaucoup plus. Donc le principe, il est très simple. Maintenant, dans la réalité, c'est très compliqué à mettre en place pour vraiment atteindre un niveau. Et ça, ça passe par les process qui vont tout le temps être les mêmes, par cadrer les prestations que tu as, ton parcours opérationnel de délivrabilité, choisir tes clients, avoir une seule prestation et pas 50, bien connaître aussi ce que tu vends, tu vois. Tu ne peux pas te dire, je fais zéro de CA, le premier business que je vais lancer, je vais le productiser parce que tu ne sais pas comment tu vas pouvoir le faire tout le temps que tu es un sample de client. Mais ouais, industrialisation de qualité quand même.

  • Speaker #1

    Ouais, complètement. Écoute, regarde, ce que je te propose, c'est pourquoi pas qu'on mette des images sur des mots. Est-ce que peut-être en live, tu pourrais nous montrer peut-être un cas concret, un cas d'exemple pour que les gens se rendent compte parce que c'est vrai que ça fait beaucoup de temps. de termes compliqués, beaucoup de choses beaucoup de choses en fait concrètement, peut-être de nouvelles choses même pour des personnes qui nous écoutent et c'est vrai que de le voir en application, les gens pourraient se rendre compte je pense de l'importance et des bénéfices en fait vraiment, d'avoir une bonne structure de son business.

  • Speaker #0

    Alors je vais te montrer pour revenir sur ce que tu me dis, je vais te partager mon écran et te montrer le parcours opérationnel d'une agence d'ads

  • Speaker #1

    Allez let's go !

  • Speaker #0

    Comment est-ce qu'il faut réfléchir et cadrer la manière dont tu travailles ? Tu as deux choses à prévoir. La première, c'est quelles sont les grandes étapes qui régissent la manière dont je vais réaliser ma prestat. L'onboarding, l'appel de kick-off, l'opérationnel, la phase de délivrabilité et de modification, et puis l'offboarding. Ça, c'est les grands steps. Dans ces grands steps, à chaque fois, tu as les mêmes étapes qui doivent être présentes. D'après ça, si par exemple, je te donne un truc tout con, le truc à surtout pas faire, c'est par exemple, vendre le fait que tu es dev. Je suis dev, je fais ce que vous voulez. Tu vas avoir plein de boîtes qui vont venir avec plein de sujets différents, donc la manière dont tu travailleras sera tout le temps différente. Tu ne pourras pas l'anticiper, l'appréhender, l'optimiser, et c'est là qu'en fait, tu as des délais qui sont mauvais, une qualité qui est mauvaise, et tu ne peux pas se caler. A l'inverse, si tu dis, je ne fais que des applications mobiles pour, je ne sais pas, gérer la base de données de votre entreprise, tu feras tout le temps la même chose, de la même manière, avec les mêmes étapes pour les mêmes clients. Donc tu pourras faire beaucoup plus de volume, beaucoup plus de résultats. Donc déjà première étape, définir, et là je vous le montre pour une agence d'ad, définir l'ensemble des étapes qui composent, enfin c'est une agence d'ad plutôt, une agence de funnel building, toutes les étapes qui composent votre prestat. Pour cette agence de funnel building, à chaque fois il y a l'onboarding du client, Il y a la phase d'appel de kick-off où on va récupérer l'information, on va créer pour le funnel la landing page, on va créer les créatifs pour la séquence d'ad, les séquences email, les postes organiques pour appuyer du coup le travail qui sera fait lors du lancement de la campagne, la campagne de media buy, on délivre le tout au client, et puis après on fait du tracking. Donc on a défini ces premières étapes. Ensuite à chaque étape, il va se passer plusieurs choses. Le contact avec le client, pour récupérer de l'information, pour lui partager les avancements, pour lui demander des feedbacks. Le contact avec l'équipe. la coordination de l'équipe, qui doit faire quoi, quand, comment, de quelle manière, pour quel client, avec quelles informations, et les validations hiérarchiques, le CSM envoie les infos à l'opérateur, l'opérateur envoie au manager pour qu'il valide, le manager valide et ça s'envoie au client, et le côté opérationnel pur, c'est-à-dire la manière dont on fait la mission en particulier. Ce qu'on va pouvoir vraiment productiser et perfectionner, enfin oui, optimiser, ça ne va pas être l'opérationnel pur, c'est-à-dire l'étape que l'on fait, la mission pure. mais plus tout ce qu'il y a autour c'est à dire quand est-ce qu'on va récupérer les informations dans l'onboarding on a récupéré tous les accès du client ses besoins ses volontés pour derrière les centraliser sur une plateforme et que ce soit automatiquement envoyé à l'opérateur pour qu'il ait toutes les informations pour travailler quand il a à faire la landing page le nom de domaine les accès les différentes étapes qu'il veut mettre dans la landing page pour cet exemple là le style de copywriting des exemples de pages qu'il a aimé donc tu vois déjà centralisé toutes ces informations là et à chaque fois tu as les mêmes étapes L'étape est validée, donc l'onboarding est terminée, l'appel de kick-off est terminé, on lance l'opérationnel. Tu as une personne qui est attribuée dans l'équipe, cette personne-là va recevoir un message avec un brief pour dire voilà tu as ça à faire pour telle personne, voici les infos sur lesquelles te baser, voici le process à suivre. Donc il y a la coordination de l'équipe, de la personne qui travaille, le briefing sur tout ce qu'il y a à faire qui peut être fait par des IA ou des messages qui sont tout le temps les mêmes et un process qui doit tout le temps être le même à suivre pour ne pas se tromper dans les étapes. Process, comment faire le hero d'une landing page, que mettre dans le hero. Dans le hero, il faut mettre tel bouton, tel bouton d'une référence à telle ressource qui permettra tout le temps d'avoir les mêmes styles de boutons. Tu vois ce que je veux dire ? Tu as le côté relationnel, informationnel et opérationnel. Et tous ces box-là, tu vas les drag and drop pour organiser ton parcours de délivrerie durant tout son parcours. Donc le mec répond au form d'onboarding, la team est notifiée de la réception, va être briefée sur le travail, va pouvoir réaliser sa mission. Dès qu'il a réalisé sa mission, il change un statut sur la fiche du client sur le airtable. Dès que c'est fait, il y a un workflow qui va se lancer. qui va aller envoyer une notification au client pour lui dire qu'on a terminé, lui envoyer le travail qui aura été fait puisqu'on l'aura recensé dans la fiche du client, le manager qui reçoit la notif, le portail client qui s'actualise avec l'avancement de où on en est, et ça à chaque étape. Ce qui fait qu'en fait, la communication, tu peux complètement l'automatiser. La manière dont tu fais le travail, vu qu'il y a des process, tu n'auras pas d'aléas sur en combien de temps je ferai par exemple telle étape, enfin telle landing page ou telle campagne d'ad. Le client, lui, il a une bonne expérience parce qu'il est notifié à chaque étape. Et tout ça fait que tu peux drastiquement accélérer tes délais de livraison, aussi contrôler la qualité de l'output. Beaucoup de mecs disent « mais je n'ai pas envie de recruter, beaucoup de freelance surtout, je n'ai pas envie de recruter, je veux rester seul parce que je ne sais pas, je ne trouve personne qui soit assez qualifié que moi. » Mais le problème n'est pas dans qui est-ce que tu trouveras qui aura ton niveau, ça c'est ta formation, donc personne n'aura ton niveau. Il y en a qui sont peut-être trop… au-dessus, mais qui ne feront pas de la manière dont toi tu le fais, donc ça ne t'ira pas, c'est comment est-ce que cette personne travaille en suivant toi, la manière dont toi tu travailles, pour répliquer le même résultat. Donc tout ça n'est qu'au final que cadrer les choses, rigidifier les choses, mettre en place des process, des automatisations, et pas laisser le choix, entre guillemets, aux décisions sur qu'est-ce qui doit se passer. Je ne sais pas si c'était assez clair.

  • Speaker #1

    Par moi, de mon côté, c'est très clair. Je pense que c'est bien que tu aies montré aussi un petit peu de manière concrète ce qu'il en est. C'est vrai que de l'extérieur, je pense que ça peut être des termes des fois où on a du mal à productiser. On a du mal peut-être à imaginer les choses dans les faits. Et c'est top que tu aies pu montrer ça. Selon toi, quand est-ce qu'il faut commencer à structurer son business ?

  • Speaker #0

    et à être sympa ouais il y a plusieurs choses le plus tôt est forcément le mieux parce que le plus tôt tu vas pouvoir capitaliser sur cette structure pour délivrer plus de clients pouvoir recruter des personnes sur de bonnes bases toi pouvoir optimiser la manière dont tu travailles mais maintenant c'est toujours une question de budget pour payer des gens qui vont mettre ça en place ça coûte de l'argent donc il faut avoir le cash pour y remédier enfin y subvenir plutôt donc euh là où tu en as, c'est surtout là où tu n'en as pas besoin jusqu'à 10k par mois en vrai c'est pas obligatoire à partir de 10k par mois ça devient quand même un must have parce que la compétition que tu as en face est préparée à ça et toi tu l'as pas tu vois si personne n'a rien sur le marché c'est pas dramatique si toi tu l'as pas, par contre plus les personnes et les concurrents ont ce que toi tu n'as pas plus ça devient problématique donc à partir de 10k par mois tu commences à avoir une petite compétition qui se crée et il faut quand même être compétitif là dedans donc ce que je recommande maintenant Il y a des personnes qui se lancent dans un business qui en ont déjà eu avant, qui comprennent l'importance, qui vont le faire le plus rapidement possible parce que du coup, ils n'auront pas de dépendance par le futur. Beaucoup de personnes qui disent « je le ferai quand je le devrais » . Si par exemple, elles ont 10 clients, elles ne sont pas débordées, elles disent « je vais me restructurer quand j'aurai 30 clients que j'aurai percés » . Sauf que quand tu auras 30 clients, tu auras 30 prestat à délivrer, tu auras une équipe de 5 personnes à gérer, tu auras tout sauf le temps de te structurer. Donc ouais, le palier à partir duquel il faut commencer à vraiment y réfléchir sérieusement, c'est 10K par mois. Sauf si tu as déjà un business et que tu peux le faire le plus tôt possible parce que tu as du cash, tu vois.

  • Speaker #1

    Ouais, complètement. C'est vrai que des fois, tu sais, il vaut mieux reculer pour mieux sauter. Parce que comme tu l'as dit, quand tu te retrouves avec 30 prestas à délivrer en même temps, en réalité, ça revient à mettre de la poussière sous le tapis en attendant de faire le grand ménage, quoi. Et ça peut ralentir aussi ta progression. Donc des fois... Peut-être maintenir l'activité, restructurer ton agence pour pouvoir accueillir plus de volume par la suite. Et donc du coup, scale encore plus fort. Donc, ouais, ouais.

  • Speaker #0

    La ligne de croissance d'une agence, il y en a pour qui c'est comme ça rarement, mais dans tous les cas, elle est croissante. Après, ce ne sera pas linéaire. Tu auras toujours un pic. Tu auras une phase de descente, de stagnation. Tu comprends ce qui permet de passer au next step. Tu le mets en place. Donc, tu vas descendre parce que tu bosseras un petit peu moins. et d'un seul coup tu exploses au palier suivant. Je connais très peu de mecs qui ont eu une croissance linéaire. C'est vraiment des gros pics, des gros pics, des gros pics. Ouais,

  • Speaker #1

    complètement. Je suis d'accord avec ça. Complètement, complètement. Est-ce que tu veux peut-être parler un petit peu plus de ta nouvelle offre ? C'est vrai que ça peut être intéressant de la mettre en avant et d'en parler un petit peu.

  • Speaker #0

    Globalement, c'est la synthèse de tout ce qu'on a fait depuis six mois. On a fait de l'onboarding, on a fait de l'automatisation, j'ai dû conseiller des clients sur comment productiser leur offre. Et comme je le disais, pour passer de 80 à 150, 200 cas par mois, il faut avoir beaucoup plus de volume, et en done for, ce n'est pas possible. Du coup, on a créé un SaaS en marque blanche que tout le monde peut s'approprier pour avoir sa cell structure, sa délivrabilité structure, la gestion de son équipe, etc. Recruter des gens, tout gérer dans l'activité. On a créé un onboarding que chacun va pouvoir personnaliser selon ses besoins. On a créé une automatisation durant tout le parcours client. Une fois que le mec qui bossera avec nous, par une vidéo, il aura optimisé son parcours de délivrabilité. Il pourra travailler sur les automatisations associées. Il les aura, il les duplique et il change juste les messages. On a placé aussi plus d'une cinquante de SOP qui sont issus de tout ce qu'on a créé pour nos clients sur les mois passés. On a créé une cinquantaine d'automatisations. dans toute la gestion day to day de l'activité. On a placé 2-3 calls de coaching aussi sur l'optimisation de l'offre. On en parlait en offre sur comment voir une offre et vraiment pouvoir la scaler, comment la présenter correctement au marché. Il faut forcément le prendre, c'est les bases. Donc on a mis un call de coaching sur l'offre, un call de coaching sur l'optimisation du parcours de délivrabilité, un call à la fin de questions plutôt général. Et entre-temps, il peut reprendre l'ensemble de sa structure, l'ensemble des automatisations, les process. Et derrière, avoir une inforab pour aller chercher... 800 AM par an pour l'année qui arrive.

  • Speaker #1

    Ok super intéressant. Dans l'idée tu aimerais arrêter complètement le done for you du coup ?

  • Speaker #0

    Ouais ouais ouais après on il y a quand même deux trois trucs sur lesquels on travaille pour le client tu vois quand il fait son onboarding on doit forcément passer derrière pour le vérifier et lui dire voilà on va revoir deux trois bugs on s'assure que c'est bon pour toi donc il y aura des choses qu'on fera évidemment pour le client mais oui travailler à 100% pour le client même c'est un modèle qui est cool que moi je trouvais cool au début parce que je me disais mais il y a personne au final qui fait du done for us sur le marché qui est vraiment dedicated pour le client et j'ai compris pourquoi c'est parce qu'en fait quand tu bosses vraiment que toi pour le client surtout dans du service le client il te considère pas enfin il te prend vraiment comme son esclave tu vois c'est vraiment alors pas avec tous les clients tu vois nous on a travaillé ensemble ça n'a pas été le cas mais Il y a des mecs qui abusent fois mille de ce que tu dois faire pour eux. Ah, tu pourrais me faire ci, tu pourrais me faire ça, il faut faire ci, il faut faire ça. Mais sans fin, tu vois.

  • Speaker #1

    Ouais, je peux comprendre.

  • Speaker #0

    Parce qu'eux aussi n'ont pas idée de ce que ça représente de devoir créer ce que c'est, tu vois. Une automatisation ou configurer un artable, tu vois. Ça fait deux mois que je suis dessus, entre une et deux heures par jour, sauf sur les deux semaines dernières où j'ai bossé dix heures par jour. pour pouvoir arriver à quelque chose de parfait tu vois ça prend pas 5 minutes et les gens peuvent pas le voir parce que du coup c'est pas leur métier

  • Speaker #1

    L'importance de bien définir quand c'est down tu vois quand c'est délivré à 100%

  • Speaker #0

    Exactement avoir des cahiers des charges c'est au début je le faisais pas à la fin j'ai du le faire

  • Speaker #1

    Ok ok ça marche bien, en tout cas merci beaucoup Lucas pour toute la valeur que tu as pu partager. Où est-ce qu'on peut te retrouver ? Peut-être si tu as des réseaux, des liens que tu aimerais partager ou quoi ? Le moment de faire ta petite pub et puis...

  • Speaker #0

    J'ai majoritairement ma chaîne YouTube, Lucas Perrin, que vous pouvez trouver. Il y a toutes les vidéos sur les systèmes, sur le workflow d'agence, sur les structures d'agence, sur les automatisations. Tout le monde pourra prendre un max d'infos pour commencer à se structurer dès ce soir. gratuitement.

  • Speaker #1

    Ça marche. En tout cas, merci Boss pour la valeur que tu as pu partager. Je pense que ça va parler à beaucoup de monde et aider beaucoup de personnes. Et puis, en tout cas, merci pour le temps. Et puis, on se dit à la prochaine pour un prochain épisode, les amis.

  • Speaker #0

    Ciao, ciao, Evan.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup, Lucas. Ciao.

Description

Dans ce 2ème épisode de SKALE PODCAST, nous accueillons Lucas Perrin , leader de l'onboarding, de structuration de business et d'agences. Lucas va nous dévoiler les secrets pour sortir de l'opérationnel et processiser son business. Bon visionnage !


➜ Réserve ton appel de consulting offert: https://app.iclosed.io/e/roussiasse-investment-llc/appel-de-consulting-offert-1

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➜ Chaine de Evan : https://www.youtube.com/@evanroussiasse

➜ Chaine de Lucas : https://www.youtube.com/@lucaeperrin


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➜ Instagram de Lucas : https://www.instagram.com/thestructureguy/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ça te permet d'aller vite, de comprendre comment marche le monde. Tu as beaucoup de pression, tu n'as pas le choix. Et après, quand tu dépasses ces palais-là, je pense que c'est mieux de se retrouver ailleurs. Si tu as plus besoin, tu travailles moins. Le plus tôt est forcément le mieux, parce que le plus tôt, tu vas pouvoir capitaliser sur ta structure pour te livrer plus de clients, tu vas pouvoir optimiser la manière dont tu travailles. Si personne n'a rien sur le marché, ce n'est pas dramatique, soit tu ne l'as pas. Quand il a payé ou signé ton devis, il faut que tu sois directement redirigé vers une plateforme sur laquelle tu vas centraliser ta relation avec lui. L'expérience client c'est essentiel pour augmenter la LDV de ton client, lier vraiment la pérennité de ton activité. Aussi pour augmenter ton acquisition indirecte par le bouche-à-oreille. Donc à la fois pour le court terme, à la fois pour le long terme, c'est essentiel. T'as beau avoir un service de fonds, si derrière le client il n'est pas content, il peut te demander un refund. Le principe il est très simple, maintenant dans la réalité c'est très compliqué à mettre en place pour vraiment atteindre un niveau. Et ça, ça passe par les process qui vont tout le temps être les mêmes, par cadrer les prestations que tu as. opérationnel de délivrabilité choisir ses clients avoir une seule presse à et pas 50 bien connaître aussi ce que tu vends tu vois yes what's up bro comment ça va lucas ça va et toi la forme bon merci beaucoup d'être présent aujourd'hui avec avec nous donc le

  • Speaker #1

    deuxième invité aujourd'hui sur ce podcast ça fait vraiment plaisir de pouvoir ta voir on a tous envie de savoir voilà qui est le leader de de l'onboarding de la structuration de de business, d'agence, etc. Est-ce que tu peux peut-être te présenter en quelques mots, nous dire qui tu es, quel parcours, ce que tu fais ?

  • Speaker #0

    Ouais, avec plaisir. Je m'appelle Lucas Perrin, j'habite à Dubaï. J'ai commencé il y a pas mal de temps. Il y avait des TikTok à l'époque qui expliquaient mon parcours et ce par quoi j'étais passé. Mais j'ai commencé quand j'avais 15 ans par tous les petits trucs que tout le monde a globalement fait. Je suis né dans un village, un très petit village, des petits villages de campagne que personne ne connaît. Il y a 200 mecs. C'est le côté storytelling, mais en vrai, c'est la vérité. J'ai commencé par du sport. J'ai fait sport et études foot. Je suis arrivé en STMG. L'école, ce n'était pas trop fait pour moi. Un peu comme tout le monde, globalement, qui a lancé son business. Et puis après, je suis arrivé à Paris pour faire une école de commerce. En parallèle, je montais plein de petits trucs. Toujours un petit peu plus ambitieux. Au début, c'était la petite marque. Puis après, c'était la petite marketplace, les sites internet. J'ai même fait de l'e-commerce pendant quelques semaines. A 17 ans, je voulais monter une... Ça, c'était la première chose qui a été un peu grosse, même si ça n'a pas abouti. Je voulais faire de l'import-export de caisses accidentées. Je ne sais pas si tu connais, mais il y a un truc aux Etats-Unis qui s'appelle les assurances de personnes très très jeunes, qui viennent d'avoir leur jeune permis, qui sont spécialisés là-dedans, parce qu'il y a des gros risques. Quand les mecs achètent des grosses caisses et qu'ils se plantent parce qu'ils ne savent pas conduire, derrière les caisses elles sont revendues aux enchères tu vois et tout le monde dans le monde peut les acheter du coup je voulais racheter des voitures les réparer en france les mettre en location etc à 17 ans lever des fonds c'est un peu compliqué et voilà j'ai testé plein plein de trucs pour comprendre un peu comment marcher comment marcher les choses j'ai monté un genre d'incubateur pour pour aider un peu les jeunes à monter leur premier business puis après au bout d'un an et demi je suis plus allé du côté b2b pour bosser dans la structuration, l'organisation des cabinets de conseil corporate avec les techniques organisationnelles des business à cash flow un peu comme nous tous, ce qui est quand même deux mondes complètement différents. Et on a fait ça pendant un an, on a bossé avec des très beaux acteurs, des gros cabinets de conseil, et après le corporate ça m'a saoulé, donc je suis revenu dans le monde du cash flow et j'ai appliqué cette fois-ci tout ce que je savais du monde corporate et dans la structuration qu'on avait faite pour les petites agences comme nous. ce que je continue depuis six mois là actuellement.

  • Speaker #1

    Ok, écoute, congrats, tu as commencé assez tôt, 15 ans, c'est vrai que tu as commencé assez tôt. Ça t'est venu comment ? Tu as eu un déclic ou un truc comme ça ? Je ne sais pas,

  • Speaker #0

    en vrai, ça allait très très progressivement. Au début, je voulais juste, je ne sais pas, m'acheter ce que je voulais, tu vois, classique. Donc je suis allé faire les champs de maïs, je suis allé faire les campings pour nettoyer les toilettes et tout. Et à un moment donné, j'ai mis toute la paye que j'avais eue en deux mois dans un Mac. J'ai commencé à voir que je pouvais vendre des services en ligne. Du coup, j'ai testé deux, trois trucs. Vendre des sites, vendre des logos. Bon, j'avais 15, 16 ans, donc ce n'était pas fameux. Et après, en fait, ça s'est fait progressivement. Toujours essayer de faire un truc différent, un peu plus gros, avec un peu plus de visibilité. Et après, ce qui a un peu tout propulsé, ça a été TikTok. J'ai fait, quand j'avais un incubateur, ça s'appelait enterprendre.com. j'ai fait des TikTok, en fait c'est parti viral extrêmement vite et ça a permis d'avoir une grosse visibilité et de pouvoir lancer des trucs un peu plus sérieux et tout donc en vrai pas forcément de déclic de mon côté mais plutôt un truc progressif qui après fait que Tu l'as en toi en vrai le coup d'entreprendre, que du coup ça s'est plus révélé.

  • Speaker #1

    Ok, ok. Eh bien écoute, complètement suite progressive, suite logique. École de commerce également, ça a été avec les parents la transition, parce que du coup ça coûte assez cher une école de commerce. Quand tu t'as dit écoute, papa, maman, j'arrête l'école de commerce pour lancer mes propres bises, ça n'a pas été trop compliqué la transition ?

  • Speaker #0

    Sacrée période. En fait si tu veux... L'école de commerce, j'avais pris un prêt à mon nom pour la payer. Je me suis arrêté au bout de trois mois, mais j'avais quand même la première année qui était partie. Il y avait genre 13 000 euros qui étaient partis en fumée. Donc oui, du côté parents, même si ce n'était pas eux qui payaient, c'était un peu chiant. Mais il y a deux choses qui ont joué entre guillemets en ma faveur. Un, le fait que j'étais très loin, parce que le village dans lequel je suis, c'est à côté d'Avignon. Donc c'est vraiment dans le sud de la France. C'est très très loin. Pour aller à Paris, il faut 6 heures. C'est chiant. Donc le fait d'être pas à proximité, ça fait que t'as moins quand même de contact à la réalité, tu vois. Deuxième chose, j'avais déjà un business qui tournait, je faisais quelques milliers d'euros à 18 ans, tu vois, voire 10, 12 cas par mois, donc j'avais un peu une situation qui me permettait de pouvoir prendre ce risque-là. Et après, en parallèle, j'avais ma mère qui avait des petits soucis de santé, en fait, elle était pas très aware de ce qui passait, donc en fait, ils sont pas rendus compte vraiment que j'ai quitté l'école, genre ça s'est fait... rapidement et progressivement mais ils n'ont pas vu venir quoi. Donc après ouais c'est plus parce que tu vois j'ai je suis arrivé quoi fin août j'étais à l'école Novembre je quitte mars je crois je pars à Dubaï pour m'installer à 18 ans ça ça a été plus le choc tu vois partir à l'autre bout du monde

  • Speaker #1

    T'en as combien aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Là je préfère pas donner mon âge en vrai.

  • Speaker #1

    Ah ok ok ok.

  • Speaker #0

    C'est à cause de ma portée de préjudice.

  • Speaker #1

    Faites souci, ça marche. Ok, ok, ouais, 8 ans à Dubaï,

  • Speaker #0

    c'est beau, belle transition. Après, tu as de plus en plus de mecs qui ont des états qui viennent à Dubaï pour tester. Je suis reparti assez vite, je suis resté 6 mois, après je suis reparti parce que c'était trop cher. Je suis revenu en France et après ça est parti dans d'autres échelles. Parce que même quand tu fais 30 000 euros par mois de chiffre d'affaires, mec, la vie à Dubaï, ça coûte tellement cher que tu ne mets pas de côté ou c'est compliqué de te créer un vrai patrimoine ou quoi que ce soit. Donc je suis rentré en France, après je suis revenu quand je pouvais.

  • Speaker #1

    Ça peut être intéressant. C'est vrai que ça arrive à beaucoup de monde, ça, des personnes qui y vont, qui y reviennent. Tu vois, même moi, ça m'est arrivé, janvier 2021, j'y suis resté trois mois, je suis reparti. Et pour toi, il faut combien, on va dire, en moyenne, pour pouvoir vivre à Dubaï, pour pouvoir envisager de s'expatrier à Dubaï ? Pour faire combien pour toi ?

  • Speaker #0

    Bah mec, c'est simple, mon loyer c'est 5000 euros. Rien que la nourriture... tous les jours tu te fais livrer ton apport minimum 2000 euros en plus chaque mois tu comptes les services annexes les sorties tu prends une heure de tennis et 450 dirhams 120 euros donc en fait tu as tout qui est super cher au final tu t'en sors avec 10 12 cas spend en perso en perso donc si tu as ta boîte en france faut que tu te verses les salaires qu'il faut pour estimer ça c'est encore plus compliqué donc ça dépend si tu as ta boîte ici en dessous de je te dis On va parler en profit, en dessous de 20-25K de profit, ça n'a aucune utilité de venir ici parce que tu ne pourras pas mettre assez de côté. Et après en France, je ne vais pas les ordiner, mais il faut au moins avoir 20K qui rentrent en perso tous les mois.

  • Speaker #1

    Donc toi tu es plus de la team d'avoir une réserve de côté plutôt que de partir à l'aventure. Et de, comment dire, c'est pas que ça passe ou ça casse mais... Moi, je suis un peu partisan du truc où je vois ça, tu vois, Sexpatria Dubaï comme un investissement dans le sens où tu arrives, ce n'est pas la même énergie, tu es entouré de personnes qui font 10, 15 fois, 100 fois plus que toi. Et forcément, ça te met dans une énergie où tu fais plus d'argent, même si tu en dépenses plus.

  • Speaker #0

    Ouais, après, plus le temps passe et moins c'est le cas. C'est-à-dire que là, moi, Dubaï, ça commence à me saouler parce que... justement il y a trop de mecs qui viennent avec zéro et qui un qui viennent avec zéro c'est cool tu vois je trouve qu'ils ont le courage mais deux qui mentent du coup sur ce qu'ils font vraiment des postes linkedin à Dubaï ouais j'ai 17 ans je viens de m'exprimer à Dubaï je fais 100 000 euros par mois je suis millionnaire alors que le mec tu vois il a genre 1000 euros sur son compte et il est dans le fake it until you make it mais fois mille donc en fait Dubaï ça se remplit de plus en plus de plus en plus de plus en plus de personnes comme ça qui fait qu'au final bah tu trouves pas forcément dans ce que tu veux atteindre après battal côté caché dubaï ou latawi tu as les vrais vrais gros noms et les personnes que tu connais même pas qui sont milliardaires mais t'es pas forcément avec eux parce que t'es pas non plus à ce niveau là donc en fait c'est tu te retrouves au final avec tes potes juste à l'autre bout du monde tu vois Dans une ville qui coûte très cher. Donc autant être ailleurs.

  • Speaker #1

    Ok, ok, ok, je vois ce que tu veux dire. Et toi, du coup, tu fais pas mal d'allers-retours avec la Géorgie. C'est vrai que ça c'est... Comment dire, je connais pas énormément de monde qui sont là-bas. C'est...

  • Speaker #0

    Bah j'y suis allé qu'une fois, en vrai.

  • Speaker #1

    Ah, tu y as été qu'une fois.

  • Speaker #0

    Ouais, j'y suis allé qu'une fois, donc Géorgie c'est pas trop mon... J'adore le pays, je suis vraiment amoureux du pays, mais j'y vais pas souvent, non. J'ai plus mon ami Louiski qui, lui, a ses bureaux, son équipe là-bas, sa vie là-bas. mais sinon je reste beaucoup ici quand même.

  • Speaker #1

    Ok, et du coup tu envisages de bouger quelque part peut-être ?

  • Speaker #0

    Ouais, bah Dubaï en fait c'est plus une passerelle, tu vois, comme tu le disais. Je pense pas que c'est la passerelle entre le 0 et le 1, je pense plus que c'est la passerelle entre, allez, on va dire, 40 000 euros par mois et 150 000 euros par mois, tu vois, t'es bien ici, ça te permet d'aller vite, de comprendre comment marche le monde, t'as beaucoup de pression, t'as pas le choix. Et après, quand tu dépasses ces palais-là, je pense que c'est mieux de se retrouver ailleurs, parce que tu as plus besoin, tu travailles moins, donc tu as plus besoin de te retrouver avec toi-même, plus besoin d'avoir ta vraie routine et tout, que d'être dans une ville où c'est que argent, argent, argent, et tout le temps, quoi, tu vois. C'est plus trop l'objectif.

  • Speaker #1

    Ok, ok, ok. Bon, après, c'est vrai que c'est les goûts et les couleurs. Il y a beaucoup d'avis divergents, mais ok, complètement, je vois ce que tu veux dire. Est-ce que tu peux nous dire un petit peu plus en détail ce que tu fais ? C'est vrai que nous, on a eu la chance de pouvoir faire l'onboarding avec toi. Est-ce que tu pourrais nous en dire un petit peu plus ? Qui est-ce que tu aides et ce que tu fais exactement de A à Z ? Oui.

  • Speaker #0

    Alors, on a lancé l'agence pour les agences, enfin, c'est loué, lancé sur le marché pour les agences, on va dire à cashflow, entre les agences 5 et 80 000 euros par mois. de CA en juin. Au début on est arrivé sur le marché on faisait que des onboarding clients donc les gens n'avaient pas l'habitude il y en avait la plupart qui ne savaient même pas ce qu'était un onboarding client tu vois donc ça a fait un petit choc ce qui nous a permis de partir très très rapidement je crois que le premier mois on a fait 25, le deuxième on a fait 40, le troisième on a fait 60 donc ça y est très très vite quand on était voilà deux mois et demi trois mois on s'est rendu compte que les gens n'avaient pas uniquement besoin d'avoir un onboarding client automatisé mais d'avoir toutes leurs activités automatisées, tu vois, c'était ce que le marché nous demandait, et à ce moment-là on avait bossé avec je pense à peu près 50-60 agences, donc on avait quand même un bon sample. Là on s'est mis à automatiser tout le parcours client des agences, c'est-à-dire de l'onboarding jusqu'à l'offboarding, jusqu'à la livraison des services, de manière à ce que l'entrepreneur n'ait plus rien à gérer, sa team soit coordonnée pour lui, la relation client soit gérée pour lui, la gestion des projets soit gérée pour lui, tout en automatique. Et là depuis septembre, ça fait quatre mois, on est en novembre, on rentre en décembre, on observe de plus en plus de choses, on a 150 clients, donc on observe de plus en plus l'évolution de ce qu'ont vraiment besoin les gens. Parce que tu sais, tu as ce que les gens demandent et ce que les gens ont vraiment besoin. Tout le monde veut l'automatisation, ça fait kiffer, tu ne bosses plus et tout, mais les gens le font trop pour les mauvaises raisons et pas au bon moment. Donc en fait, on s'est rendu compte que ce que les gens avaient besoin avant d'automatiser leur business, c'était vraiment l'organiser et le structurer. Savoir exactement comment le parcours de délivrabilité va être construit, qu'il y ait des process qui régissent ce parcours de délivrabilité pour que ce soit vraiment la même chose tout le temps. Consister à exactement quoi dire, à quel client, à quel moment, avec quelles informations, par quelle personne, en suivant quel tram, etc. D'avoir une infrastructure outil qui permet d'héberger tout ça de manière vraiment stricte, rigide et cadrée. Et tout ça fait que du coup, on est en train de totalement basculer ce qu'on faisait auparavant en Done For You, donc les automatisations, en un programme complet de restructuration de son agence. Donc de vraiment build l'infrastructure complète en délivrabilité, opérationnelle, en automatisation, pour pouvoir aller chercher un M par an de CA facile à délivrer avec son activité. Et donc du coup, ce qu'on a fait au lieu d'être en Done For You, parce que tu plafonnes quand même pas mal en Done For You, J'ai pas envie d'avoir une équipe de 20 personnes, ça m'intéresse pas, tu vois. Et 3-4, ça me suffit largement. Et on bloquait à 70-80 cas par mois pour 20 clients et 4 personnes, tu vois, full time. Donc, c'est bien, t'es content, mais t'as quand même envie d'aller plus loin. Et donc là, ce qu'on a fait, c'est qu'on a vraiment build pendant plusieurs mois tout ce qu'on avait fait. Tu vois, l'onboarding client, on a fait un framework. L'automatisation de toute l'activité, on en a fait un framework, on a construit plus d'une cinquantaine de SOPI et plus d'une cinquantaine d'automatisations. On a construit un SaaS complet pour gérer ton activité, ta sales structure, ta deliverability structure, ta staffing structure, tout. Et on va le release à tous ceux qui ont besoin de cette structure pour aller chercher un M par an. Donc ce sera du plugin.

  • Speaker #1

    Donc là, tu es en train de transiter sur une offre plutôt hybride. Avant, tu étais en full done for you, tu faisais tout pour tes clients. Là, tu as créé vraiment toute une infrastructure où les gens vont pouvoir, entre guillemets, la templétariser. Et donc, du coup, même la comprendre et se l'approprier de manière autonome. Ce qui va rendre ton activité beaucoup plus scalable.

  • Speaker #0

    C'est ça, tu vois. Le rapport au temps que tu as avec ton client est cadré, est défini, il ne change pas. C'est-à-dire que quand tu es du done for you, les besoins de ton client varient, ses demandes varient, les retakes varient. Donc tu peux dire, voilà, un client prend 10 heures, au final, il t'en prend 30. Et quand tu as déjà build quelque chose que tu vas relâcher à ton client et que lui le personnalise pour lui, tu vois, tu es quand même là pour l'accompagner, tu fais des calls, mais tu sais que tu as 4 calls d'une heure, ça te fait 4 heures ton client, pas plus, tiens. Lui, il le fait à son rythme. Il gère aussi les problèmes que lui a parce que quand tu fais l'automatisation et que tu gères ça pour le client, tu as les aléas du client. Il a copié-collé le mauvais truc, il a pas suivi dans l'ordre, etc. Après, il vient te voir. Ouais, il y a un problème dans mon process. J'ai bien vu. Du coup, de plus responsabiliser les gens et de le permettre de le faire en beaucoup plus de volume sans être une formation non plus parce que ça, ça m'intéresse pas.

  • Speaker #1

    Complètement, Donc là aujourd'hui, tu as une team de combien de personnes toi ? Et si on devait les citer, tu travailles avec des développeurs ? Avec quel type d'experts aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Trois personnes, moi, et deux opérateurs. Un qui avant avait une activité freelance en automatisation, et qui du coup est OR et en capacité de pouvoir faire n'importe quel automne. Et un ancien dev, qui a d'ailleurs travaillé sur notre SaaS, qui lui s'occupe plus côté CSM, conseil client, ce truc.

  • Speaker #1

    organisation tu vois le côté très cadré des devs pour un luxe ok ok ok super intéressant et du coup comment tu as attiré à toi du coup par exemple des players vraiment des acteurs qui sont le battement de coeur de ton business du coup comment tu vas les sources et c'est player du coup le

  • Speaker #0

    tout c'est d'avoir un funnel de recrutement qui soit vraiment vraiment cadré ça tu vois j'ai fait un Ça fait du coup trois ans que je recrute et que je bosse avec des gens. En tout, j'ai dû bosser avec une cinquantaine de personnes, j'ai dû faire je ne sais pas combien d'entretiens, 500, 600 candidats qui postulent à chaque fois, tu vois. Et donc à terme, tu arrives à quand même construire ta propre méthode de recrutement, tu vois. Et donc ouais, j'ai réussi à construire un bon funnel pour aller tester assez de volume, donc tester 500, 600 personnes à chaque fois, le faire de manière automatique pour ne pas y passer de temps. Les sensibiliser sur qui je suis, quelle est mon expérience, quel est mon parcours, qu'est-ce que l'agence, donc un peu de personal branding quand même pour créer ce pilier là qui attire les gens. Les former pendant le process de recrutement pour qu'ils puissent un maximum être, comment dire, pas forcément formés parce que j'attends pas des mecs qui soient déjà formés à chaque fois que je recrute, mais des personnes qui soient assez aware de ce qu'on va faire, qui puissent déjà s'y intéresser. et se renseigner à la veille de passer les mises en situation sur YouTube ou quoi que ce soit sur qu'est-ce que sont les métiers et de pouvoir un minimum l'apprendre. Donc ça, ça se fait par trois choses, des formulaires, récupérer en volume toutes les réponses, tu vois. Un formulaire où on va aller faire la segmentation des profils des personnes, un formulaire où on va aller faire une mise en situation. Comme ça, tu vois, tu as 600 réponses à chaque fois, tu peux tout automatiser pour traiter même avec GPT, tu vois. tu as tout ta staffing structure qui permet de gérer les candidatures donc tu as un grand tableau cambans où j'ai tous les candidats à quels étapes ils sont, une note sur 20 en fonction de ce que moi je recherche fait par GPT et ce que la personne m'a mis comme réponse tu vois. J'ai une VA qui va aller checker toutes les réponses pour organiser les calls avec les personnes les plus pertinentes et donc en fait en 15 jours tu passes de tu as des marchés soit par des ads soit par un funnel où ads web formulaire soit par fiverr upwork, math, linkedin tu démarches les gens tu trouves de 600 personnes contactées à

  • Speaker #1

    5 calls tu vois mais c'est 5 calls extrêmement qualifiés et du coup à la fin on t'en recrute un ou deux tu vois et t'en as d'autres que tu peux garder en base de données au cas ou quoi c'est vrai qu'en fait c'est vrai qu'on prend un petit peu de recul pour sourcer des players c'est un petit peu les mêmes systèmes d'acquisition pour aller chercher des clients en fait peut être boosté en ads tu peux prospecter faire de l'outreach pour pour aller chercher les meilleurs. Donc, ouais, complètement.

  • Speaker #0

    Et c'est plus toi qui dois te vendre pour que le mec vienne que le mec, tu vois, doit se vendre pour être recruté. Quand le mec est vraiment bon, il sait se faire, comment dire, désirer, quoi.

  • Speaker #1

    Ouais, c'est toi qui dois le closer, quoi. C'est sûr. C'est sûr, c'est sûr, c'est sûr. Ok, bah écoute, super intéressant de ce côté-là. Aujourd'hui, est-ce que toi, tu parles un peu chiffres, juste pour que les gens se rendent compte aussi de où tu en es, toi, dans ton parcours ? parcours, etc. Est-ce que tu partages un petit peu des chiffres ou pas du tout ?

  • Speaker #0

    Ouais. Non, mais du coup, je disais, c'est ce qui fait à peu près 5 clients par semaine, un client du lundi au vendredi que tu vas réaliser en done for you, donc un bon turnover. On a mis un pricing qui était assez attractif sur nos anciennes prestations, on tournait globalement entre 3 500 et 6 000.

  • Speaker #1

    et voilà quoi ok ok ça marche écoute on va pouvoir rentrer un petit peu plus dans la vision micro juste après je voulais te poser une question avant selon toi comment devenir le numéro 1 sur son marché, comment se démarquer de sa concurrence parce que c'est vrai que tu vois même on l'a vu avec ton modèle d'affaires, t'as changé plusieurs fois d'offres ton offre a évolué et c'est quelque chose de très positif et en très peu de temps Donc forcément tu as su t'adapter, je pense un peu comme un caméléon, à ce que voulaient tes clients, à ce que demandait le marché. Donc ouais, si tu avais un feedback à faire, d'après ton expérience, est-ce que tu as pu du coup appliquer toi dans ton business ? Comment devenir, en fait avoir une offre qui se démarque de la concurrence et devenir le numéro 1 de son marché ?

  • Speaker #0

    Ouais, après, bon j'ai pas la prétention de dire qu'on est numéro 1 non plus, c'est vrai qu'il y a... personne qui fait de la structuration, mais en termes d'échelle, tu vois, 80 cas par mois, c'est pas c'est pas oufissime. Mais sinon, surtout d'un point de vue visibilité, ce qui te permet de prendre beaucoup, beaucoup d'un coup, c'est juste d'être à la pointe des informations et des produits que tu partages à ton client. Ce qui a fait que moi, j'ai changé d'offre beaucoup de fois, c'est pas le fait que ça marchait pas, mais c'est le fait que ça allait marcher plus. Donc ça va plus apporter, tu vois. J'aurais plus de stabilité, j'aurais fait un peu plus de chiffre d'affaires si peut-être j'étais resté sur les onboarding, que j'avais vendu que des onboarding, que j'avais augmenté le prix à 2K l'onboarding, tu vois. Bon, cool, moi c'est pas ce qui m'intéresse. Ce qui m'intéresse, c'est vraiment, là tu vois, on monte un SaaS dans notre prestat qui est no code. En parallèle, on dévore un SaaS qui est codé. Et dans un an, on va release un software qui va être valorisable, qui va aller conclure un certable, tu vois. Donc en fait, le but, c'est de commencer petit. sur un truc très très simple qui n'a jamais été vraiment optimisé sur un marché. On parlait de sales structure tout à l'heure. Aujourd'hui, tu n'as personne qui propose sales structure. Tu en auras peut-être avec ce podcast qu'ils le feront, même si nous, du coup, on l'a implémenté. Mais tu prends un truc très très simple qui n'a pas été optimisé. Tu essaies de le pousser un maximum dans ce que tu peux faire d'un point de vue tech. Tu le proposes sur le marché, tu fais un petit peu de contenu. Si ton produit est excellent, les gens parleront de toi. Nous, le premier mois, on n'a pas fait d'acquisition. Ça a été juste du bouche-à-oreille. On a eu 20 clients, donc c'était très cool. Et puis après, c'est toujours écouter, enfin vraiment, pas forcément écouter, mais vraiment comprendre quel est le réel besoin de ton client et moduler ton offre, moduler ton produit. En général, les gens, pourquoi est-ce qu'ils ne changent pas d'offre ? C'est parce que du coup, ils ont cette linéarité. Ils préfèrent toujours faire 30K par mois toute l'année que faire 30K, 40K, 50K, 10K, 5K, tu vois, parce qu'ils changent d'offre. Moi, ça ne m'a jamais fait peur, je m'en fous complètement. Et voilà, toujours aller plus loin dans la tech. se rapprocher de la vision finale si tu la définis. Et tout ça fait que du coup, au final, ton produit, il est quand même bon. Et ça, les gens, ils le communiquent, ils le partagent. Et tu as beaucoup de bouche-oreille et ça va très vite.

  • Speaker #1

    Ouais, complètement. Je te rejoins beaucoup là-dessus. C'est quoi déjà la phrase ? Tu vas peut-être pouvoir m'aider. Je trouve que ça résume exactement ce que tu dis. Et le syndrome qu'ont la plupart des gens aussi. Des fois, les gens, ils savent qu'il y a un truc à améliorer, mais ils continuent de... C'est quoi la phrase d'Einstein ? La folie, c'est de répéter les mêmes choses.

  • Speaker #0

    Oui, en attendant un résultat différent.

  • Speaker #1

    Voilà, c'est ça exactement. Et ça, je pense que c'est le problème de beaucoup de personnes. Ils ont conscience qu'il y a un problème, mais ils ont soit la flemme de le changer, soit la peur de prendre des risques et de ne pas avoir la certitude qu'en changeant quelque chose, ça va améliorer ou faire évoluer ton business. Mais je pense que c'est l'une des principales problématiques aujourd'hui. s'adapter au marché, prendre des feedbacks et je pense que c'est vraiment la solution complètement.

  • Speaker #0

    De toute façon quand tu regardes le marché français t'as extrêmement de copycat et toutes les offres sont les mêmes tous les produits sont les mêmes les gens ils n'offrent pas forcément c'est drôle parce que les mecs qui font pas d'argent et qui sont à zéro et qui veulent lancer leur business ils cherchent à innover parce que sinon ils pensent qu'ils vendront pas et les mecs qui font de l'argent ils ne cherchent pas à innover parce que je

  • Speaker #1

    sais pas c'est un peu contradictoire Pour toi aujourd'hui, est-ce que tu pourrais peut-être nous partager les bénéfices d'avoir une bonne expérience client ? Et puis après, on va voir comment on va faire un playbook, on va faire une masterclass, voir comment on peut mettre ça un petit peu en place. Mais dans un premier temps, si on parle des bénéfices aujourd'hui d'avoir une bonne expérience client.

  • Speaker #0

    Si tu veux, ton client, quand tu vas le closer, donc imaginons que tu rentres sur un marché ou que tu es déjà sur un marché, le mec que tu vas closer, il te dit... Tu connais pas forcément, soit tu fais des ads, il t'a jamais vu, soit il te dépose sur une vidéo YouTube où il entend parler de toi. Quand tu vas le closer une première fois, tu vas le closer sur son niveau de confiance actuel, sur ce qui c'est toi, et les informations qu'il a eues, mais pas sur le travail que t'as déjà fait avec lui. Donc tu vas peut-être prendre par 1, 2, 3, 4, 5, 6 cas. Mais ça, c'est que... 10% de ce qu'il pourrait te payer tu vois dans un premier temps et ce que tu vas lui apporter par ta première prestat c'est 10% dans ce que tu peux lui apporter au final donc quand tu closes un mec pour la première fois le seul enjeu que tu as c'est avoir la meilleure impression la meilleure qualité pour que derrière il y ait une vraie relation avec lui et qu'il parte sur d'autres prestats donc l'expérience client c'est un essentiel pour augmenter la ldv de ton client ce qui est vraiment la pérennité de ton activité et deux aussi pour augmenter ta comment dire ton acquisition indirecte par le bouche-oreille. Tu vois, ce qu'on faisait dans notre onboarding, c'est que quand le mec était onboardé, à la fin, on lui envoyait directement un petit message. Quand il avait le pic de dopamine, parce qu'il avait eu toutes les interactions de l'onboarding, les vidéos, un message, etc. Quand il a le pic de dopamine dans l'onboarding, on lui envoie un message pour lui dire d'ailleurs qui est-ce que tu connais qui a une agence comme la tienne et qui aurait peut-être besoin de ce qu'on fait. On a une offre où on peut vous mettre tous les deux au prix d'un onboarding pour le prix d'eux. Enfin bref, tu te débrouilles mais... Dans ton expérience client, si ça se passe bien, il a de la dopamine et quand il a de la dopamine, il parlera à toi. Donc ça te permet d'avoir une acquisition extrêmement rapide. Tu n'as même pas délivré ta prestat, tu as déjà d'autres mecs. Donc à la fois pour le court terme, à la fois pour le long terme, c'est essentiel. Et puis, tu as beau avoir un service de fou, si derrière le client, il n'est pas content, il peut te demander un refund. Parce qu'il a eu peur, parce qu'il n'a pas senti le truc avec toi, il regrette, il refund. Donc, extrêmement important de créer un lien et de la confiance. Ça, ça passe par la relation avec l'expérience que tu as avec lui.

  • Speaker #1

    Ok, ok, ok. Donc là, première étape d'une bonne expérience client, l'onboarding. Quand le client achète chez toi, il y a des premières étapes pour délivrer tes services à ce fameux client. Pourquoi il a payé ? Quelles sont, selon toi, les étapes d'un bon onboarding client ?

  • Speaker #0

    Un onboarding client, le mec, il a la phase de closing, donc tu as l'appel avec lui. S'il paye ou qu'il signe un devis, donc l'acte de closer dans l'appel, tant mieux, tu l'unboards directement après. Quand il a payé ou signé ton devis, il faut qu'il soit directement redirigé vers derrière une plateforme sur laquelle tu vas centraliser ta relation avec lui. Il y en a certains qui le font par mail, plus pour les côtés corporate ou le BTP, etc. Slack, c'est ce qui est le mieux pour des niches beaucoup plus jeunes, tu vois. Si ton client a moins de 40 ans, tu le mets sur Slack, tu gères toute la relation avec lui. Sur Slack, derrière, il faut que tu aies le côté privé avec ce client-là, donc un canal privé qui est créé où tu gères toute la prestation. Un premier message de la team pour lui montrer qu'il y a quelqu'un derrière qui l'accueille et pas justement un bot. Même si c'est des automatisations, le mec ne le saura pas forcément. Nous, il le savait quand on les onboardait parce qu'on vendait ça, mais un mec qui onboarde quelqu'un, il reçoit un message une minute après, il ne se dit pas, tiens... C'est une automatisation. Donc lui envoyer un message pour humaniser la chose, l'accueillir. Lui envoyer une vidéo pour expliquer en détail comment ça va se passer. Lui envoyer la roadmap de comment tu vas travailler pour qu'il se projette sur les semaines à venir, sur ce qui va se passer. Le rassurer, extrêmement important. Donc ça, tu vois, nous ce qu'on met c'est un Google Drive, tu mets 2-3 testimonials dedans. Le mec il clique sur le premier, il voit ce que c'est, il voit qu'il y en a 2-3-4. Il ne regardera pas mais il sera rassuré, il se dira ok j'ai quand même pris la bonne décision. Tu lui envoies un contrat qui a été généré, qu'il va pouvoir signer selon son prénom et son nom. Le canal, il faut qu'il soit à son nom aussi, évidemment, ça tu le fais en l'automatisant. Tu lui envoies un formulaire pour qu'il puisse directement avoir un input de sa part. En fait, ce qui est important, c'est que le mec ne soit pas en latente de toi, mais que lui ait un mini investissement à mettre. Donc tu lui fais un formulaire dans lequel il va te poser toutes ses questions, il va répondre à toutes tes questions pour travailler. Dès qu'il l'a envoyé, il y a une automatisation qui va lui renvoyer un message pour lui dire merci on a bien reçu, tu peux lui envoyer le lien pour qu'il puisse booker son call, et après il sera dans l'attente d'un call mais il aura déjà donné des informations, donc il saura que tu travailleras dessus. Donc globalement un onboarding aujourd'hui c'est composé de ça, après c'est le côté front-end, donc le côté relationnel client, après tu as derrière tout l'enjeu back-end pour aller centraliser toutes les données que tu as récupérées du client, son adresse email, le contrat qui a été signé, les réponses du formulaire.

  • Speaker #1

    etc etc flouter ta fiche client ton pipeline enfin bref toute une structure derrière ça en fait des choses et donc du coup toi tu centrales tout ça sur sur Airtable aujourd'hui toi tu trouves il n'y a pas de concurrence à Airtable en termes d'outils pour ça ?

  • Speaker #0

    t'as de la concurrence parce que tu as plein d'outils qui te permettent d'avoir les features que fait Airtable mais surtout plein d'outils qui te permettent trop de choses tu vois C'est pour ça que moi j'ai envie d'aller concurrencer Airtable, même si aujourd'hui je l'utilise. C'est parce qu'aujourd'hui comment ça a été réfléchi ces outils ? C'est une boîte qui dit écoutez le marché, nous on a toutes ces features possibles, ça va vous permettre de faire ça, ça, ça, ça, débrouillez-vous, faites ce que vous voulez. Et au final tu vois donc tu as la plateforme qui met ses features, les users qui vont essayer de bidouiller un peu, qui vont faire tout et n'importe quoi et vont voir qu'il y a énormément de choses à faire comme avec Notion, que tu as forcément l'expérience de je fais plein de trucs, au final je suis perdu, je ne sais plus où sont mes datas. Et tu n'as pas d'entremetteur pour configurer le tout et vraiment faire en sorte qu'il y ait une structure cadrée. Et du coup, nous, c'est ce qu'on a fait avec Airtable en configurant complètement l'espace. Et c'est ce qu'on va faire avec un SaaS en disant, écoutez, nous, on sait ce dont vous avez besoin. On l'a construit, vous y accédez, vous l'utilisez, mais vous ne pouvez pas avoir le choix de ce que vous pouvez construire parce qu'il n'y a pas d'intérêt à faire ça, on sait ce dont vous avez besoin. Donc, Airtable, c'est ce qui est le plus simple, le plus intuitif, le plus rapide. et le plus connectable avec tous les outils externes.

  • Speaker #1

    Ok, ok, je vois. C'est vrai que les gens, je pense, sous-estiment l'importance d'avoir une bonne expérience client, dans le sens où même si tu parles de... même si tu es dans une optique de scaler ton business, de faire plus de CA, de toucher plus de personnes, etc., on dit tout le temps que c'est plus facile de revendre quelque chose à un client plutôt que d'aller en chercher de nouveau. Et aujourd'hui, quelqu'un qui a eu une bonne expérience chez toi, il va te prier de prendre son argent pour aller plus loin si tu as une proposition de valeur qui lui permet d'aller plus loin. Donc, complètement d'où l'importance d'avoir une bonne structuration de business, une bonne délivrabilité et un bon onboarding.

  • Speaker #0

    Tu as tous tes clients, je te coupe, mais pour appuyer sur ça, imagine que tu as ton Slack où tu as tous tes clients, tu as 100 clients dessus, tu lances un nouveau produit, une feature. quoi que ce soit, t'envoies un loom à chacun en one to one, le même loom à tout le monde, en leur disant voilà on vient de créer ça t'as déjà 20% des gens qui vont prendre ton offre t'as une offre par mille euros, 100 clients t'as fait 20k en une soirée, tout ça parce que t'as envoyé un loom

  • Speaker #1

    100 fois donc ouais ça peut aller très vite complètement je sais que tu parles beaucoup aussi de productisation, je sais pas si je dis bien le terme ... Est-ce que tu pourrais nous en dire un peu plus à ce sujet-là ? Comment vraiment créer des infrastructures dans son business ?

  • Speaker #0

    Si tu veux, la productisation, je ne sais pas si c'est un vrai terme ou pas, mais globalement, c'est juste faire en sorte que ton service devienne un produit. Donc, ce que tu crées normalement en done-for-you pour quelqu'un, tu puisses l'industrialiser, le faire à la chaîne, parce que la manière dont tu le fais a été processisée, automatisée, accélérée. de manière à ce que ça prenne beaucoup moins de temps, que tu puisses en faire beaucoup plus. Donc le principe, il est très simple. Maintenant, dans la réalité, c'est très compliqué à mettre en place pour vraiment atteindre un niveau. Et ça, ça passe par les process qui vont tout le temps être les mêmes, par cadrer les prestations que tu as, ton parcours opérationnel de délivrabilité, choisir tes clients, avoir une seule prestation et pas 50, bien connaître aussi ce que tu vends, tu vois. Tu ne peux pas te dire, je fais zéro de CA, le premier business que je vais lancer, je vais le productiser parce que tu ne sais pas comment tu vas pouvoir le faire tout le temps que tu es un sample de client. Mais ouais, industrialisation de qualité quand même.

  • Speaker #1

    Ouais, complètement. Écoute, regarde, ce que je te propose, c'est pourquoi pas qu'on mette des images sur des mots. Est-ce que peut-être en live, tu pourrais nous montrer peut-être un cas concret, un cas d'exemple pour que les gens se rendent compte parce que c'est vrai que ça fait beaucoup de temps. de termes compliqués, beaucoup de choses beaucoup de choses en fait concrètement, peut-être de nouvelles choses même pour des personnes qui nous écoutent et c'est vrai que de le voir en application, les gens pourraient se rendre compte je pense de l'importance et des bénéfices en fait vraiment, d'avoir une bonne structure de son business.

  • Speaker #0

    Alors je vais te montrer pour revenir sur ce que tu me dis, je vais te partager mon écran et te montrer le parcours opérationnel d'une agence d'ads

  • Speaker #1

    Allez let's go !

  • Speaker #0

    Comment est-ce qu'il faut réfléchir et cadrer la manière dont tu travailles ? Tu as deux choses à prévoir. La première, c'est quelles sont les grandes étapes qui régissent la manière dont je vais réaliser ma prestat. L'onboarding, l'appel de kick-off, l'opérationnel, la phase de délivrabilité et de modification, et puis l'offboarding. Ça, c'est les grands steps. Dans ces grands steps, à chaque fois, tu as les mêmes étapes qui doivent être présentes. D'après ça, si par exemple, je te donne un truc tout con, le truc à surtout pas faire, c'est par exemple, vendre le fait que tu es dev. Je suis dev, je fais ce que vous voulez. Tu vas avoir plein de boîtes qui vont venir avec plein de sujets différents, donc la manière dont tu travailleras sera tout le temps différente. Tu ne pourras pas l'anticiper, l'appréhender, l'optimiser, et c'est là qu'en fait, tu as des délais qui sont mauvais, une qualité qui est mauvaise, et tu ne peux pas se caler. A l'inverse, si tu dis, je ne fais que des applications mobiles pour, je ne sais pas, gérer la base de données de votre entreprise, tu feras tout le temps la même chose, de la même manière, avec les mêmes étapes pour les mêmes clients. Donc tu pourras faire beaucoup plus de volume, beaucoup plus de résultats. Donc déjà première étape, définir, et là je vous le montre pour une agence d'ad, définir l'ensemble des étapes qui composent, enfin c'est une agence d'ad plutôt, une agence de funnel building, toutes les étapes qui composent votre prestat. Pour cette agence de funnel building, à chaque fois il y a l'onboarding du client, Il y a la phase d'appel de kick-off où on va récupérer l'information, on va créer pour le funnel la landing page, on va créer les créatifs pour la séquence d'ad, les séquences email, les postes organiques pour appuyer du coup le travail qui sera fait lors du lancement de la campagne, la campagne de media buy, on délivre le tout au client, et puis après on fait du tracking. Donc on a défini ces premières étapes. Ensuite à chaque étape, il va se passer plusieurs choses. Le contact avec le client, pour récupérer de l'information, pour lui partager les avancements, pour lui demander des feedbacks. Le contact avec l'équipe. la coordination de l'équipe, qui doit faire quoi, quand, comment, de quelle manière, pour quel client, avec quelles informations, et les validations hiérarchiques, le CSM envoie les infos à l'opérateur, l'opérateur envoie au manager pour qu'il valide, le manager valide et ça s'envoie au client, et le côté opérationnel pur, c'est-à-dire la manière dont on fait la mission en particulier. Ce qu'on va pouvoir vraiment productiser et perfectionner, enfin oui, optimiser, ça ne va pas être l'opérationnel pur, c'est-à-dire l'étape que l'on fait, la mission pure. mais plus tout ce qu'il y a autour c'est à dire quand est-ce qu'on va récupérer les informations dans l'onboarding on a récupéré tous les accès du client ses besoins ses volontés pour derrière les centraliser sur une plateforme et que ce soit automatiquement envoyé à l'opérateur pour qu'il ait toutes les informations pour travailler quand il a à faire la landing page le nom de domaine les accès les différentes étapes qu'il veut mettre dans la landing page pour cet exemple là le style de copywriting des exemples de pages qu'il a aimé donc tu vois déjà centralisé toutes ces informations là et à chaque fois tu as les mêmes étapes L'étape est validée, donc l'onboarding est terminée, l'appel de kick-off est terminé, on lance l'opérationnel. Tu as une personne qui est attribuée dans l'équipe, cette personne-là va recevoir un message avec un brief pour dire voilà tu as ça à faire pour telle personne, voici les infos sur lesquelles te baser, voici le process à suivre. Donc il y a la coordination de l'équipe, de la personne qui travaille, le briefing sur tout ce qu'il y a à faire qui peut être fait par des IA ou des messages qui sont tout le temps les mêmes et un process qui doit tout le temps être le même à suivre pour ne pas se tromper dans les étapes. Process, comment faire le hero d'une landing page, que mettre dans le hero. Dans le hero, il faut mettre tel bouton, tel bouton d'une référence à telle ressource qui permettra tout le temps d'avoir les mêmes styles de boutons. Tu vois ce que je veux dire ? Tu as le côté relationnel, informationnel et opérationnel. Et tous ces box-là, tu vas les drag and drop pour organiser ton parcours de délivrerie durant tout son parcours. Donc le mec répond au form d'onboarding, la team est notifiée de la réception, va être briefée sur le travail, va pouvoir réaliser sa mission. Dès qu'il a réalisé sa mission, il change un statut sur la fiche du client sur le airtable. Dès que c'est fait, il y a un workflow qui va se lancer. qui va aller envoyer une notification au client pour lui dire qu'on a terminé, lui envoyer le travail qui aura été fait puisqu'on l'aura recensé dans la fiche du client, le manager qui reçoit la notif, le portail client qui s'actualise avec l'avancement de où on en est, et ça à chaque étape. Ce qui fait qu'en fait, la communication, tu peux complètement l'automatiser. La manière dont tu fais le travail, vu qu'il y a des process, tu n'auras pas d'aléas sur en combien de temps je ferai par exemple telle étape, enfin telle landing page ou telle campagne d'ad. Le client, lui, il a une bonne expérience parce qu'il est notifié à chaque étape. Et tout ça fait que tu peux drastiquement accélérer tes délais de livraison, aussi contrôler la qualité de l'output. Beaucoup de mecs disent « mais je n'ai pas envie de recruter, beaucoup de freelance surtout, je n'ai pas envie de recruter, je veux rester seul parce que je ne sais pas, je ne trouve personne qui soit assez qualifié que moi. » Mais le problème n'est pas dans qui est-ce que tu trouveras qui aura ton niveau, ça c'est ta formation, donc personne n'aura ton niveau. Il y en a qui sont peut-être trop… au-dessus, mais qui ne feront pas de la manière dont toi tu le fais, donc ça ne t'ira pas, c'est comment est-ce que cette personne travaille en suivant toi, la manière dont toi tu travailles, pour répliquer le même résultat. Donc tout ça n'est qu'au final que cadrer les choses, rigidifier les choses, mettre en place des process, des automatisations, et pas laisser le choix, entre guillemets, aux décisions sur qu'est-ce qui doit se passer. Je ne sais pas si c'était assez clair.

  • Speaker #1

    Par moi, de mon côté, c'est très clair. Je pense que c'est bien que tu aies montré aussi un petit peu de manière concrète ce qu'il en est. C'est vrai que de l'extérieur, je pense que ça peut être des termes des fois où on a du mal à productiser. On a du mal peut-être à imaginer les choses dans les faits. Et c'est top que tu aies pu montrer ça. Selon toi, quand est-ce qu'il faut commencer à structurer son business ?

  • Speaker #0

    et à être sympa ouais il y a plusieurs choses le plus tôt est forcément le mieux parce que le plus tôt tu vas pouvoir capitaliser sur cette structure pour délivrer plus de clients pouvoir recruter des personnes sur de bonnes bases toi pouvoir optimiser la manière dont tu travailles mais maintenant c'est toujours une question de budget pour payer des gens qui vont mettre ça en place ça coûte de l'argent donc il faut avoir le cash pour y remédier enfin y subvenir plutôt donc euh là où tu en as, c'est surtout là où tu n'en as pas besoin jusqu'à 10k par mois en vrai c'est pas obligatoire à partir de 10k par mois ça devient quand même un must have parce que la compétition que tu as en face est préparée à ça et toi tu l'as pas tu vois si personne n'a rien sur le marché c'est pas dramatique si toi tu l'as pas, par contre plus les personnes et les concurrents ont ce que toi tu n'as pas plus ça devient problématique donc à partir de 10k par mois tu commences à avoir une petite compétition qui se crée et il faut quand même être compétitif là dedans donc ce que je recommande maintenant Il y a des personnes qui se lancent dans un business qui en ont déjà eu avant, qui comprennent l'importance, qui vont le faire le plus rapidement possible parce que du coup, ils n'auront pas de dépendance par le futur. Beaucoup de personnes qui disent « je le ferai quand je le devrais » . Si par exemple, elles ont 10 clients, elles ne sont pas débordées, elles disent « je vais me restructurer quand j'aurai 30 clients que j'aurai percés » . Sauf que quand tu auras 30 clients, tu auras 30 prestat à délivrer, tu auras une équipe de 5 personnes à gérer, tu auras tout sauf le temps de te structurer. Donc ouais, le palier à partir duquel il faut commencer à vraiment y réfléchir sérieusement, c'est 10K par mois. Sauf si tu as déjà un business et que tu peux le faire le plus tôt possible parce que tu as du cash, tu vois.

  • Speaker #1

    Ouais, complètement. C'est vrai que des fois, tu sais, il vaut mieux reculer pour mieux sauter. Parce que comme tu l'as dit, quand tu te retrouves avec 30 prestas à délivrer en même temps, en réalité, ça revient à mettre de la poussière sous le tapis en attendant de faire le grand ménage, quoi. Et ça peut ralentir aussi ta progression. Donc des fois... Peut-être maintenir l'activité, restructurer ton agence pour pouvoir accueillir plus de volume par la suite. Et donc du coup, scale encore plus fort. Donc, ouais, ouais.

  • Speaker #0

    La ligne de croissance d'une agence, il y en a pour qui c'est comme ça rarement, mais dans tous les cas, elle est croissante. Après, ce ne sera pas linéaire. Tu auras toujours un pic. Tu auras une phase de descente, de stagnation. Tu comprends ce qui permet de passer au next step. Tu le mets en place. Donc, tu vas descendre parce que tu bosseras un petit peu moins. et d'un seul coup tu exploses au palier suivant. Je connais très peu de mecs qui ont eu une croissance linéaire. C'est vraiment des gros pics, des gros pics, des gros pics. Ouais,

  • Speaker #1

    complètement. Je suis d'accord avec ça. Complètement, complètement. Est-ce que tu veux peut-être parler un petit peu plus de ta nouvelle offre ? C'est vrai que ça peut être intéressant de la mettre en avant et d'en parler un petit peu.

  • Speaker #0

    Globalement, c'est la synthèse de tout ce qu'on a fait depuis six mois. On a fait de l'onboarding, on a fait de l'automatisation, j'ai dû conseiller des clients sur comment productiser leur offre. Et comme je le disais, pour passer de 80 à 150, 200 cas par mois, il faut avoir beaucoup plus de volume, et en done for, ce n'est pas possible. Du coup, on a créé un SaaS en marque blanche que tout le monde peut s'approprier pour avoir sa cell structure, sa délivrabilité structure, la gestion de son équipe, etc. Recruter des gens, tout gérer dans l'activité. On a créé un onboarding que chacun va pouvoir personnaliser selon ses besoins. On a créé une automatisation durant tout le parcours client. Une fois que le mec qui bossera avec nous, par une vidéo, il aura optimisé son parcours de délivrabilité. Il pourra travailler sur les automatisations associées. Il les aura, il les duplique et il change juste les messages. On a placé aussi plus d'une cinquante de SOP qui sont issus de tout ce qu'on a créé pour nos clients sur les mois passés. On a créé une cinquantaine d'automatisations. dans toute la gestion day to day de l'activité. On a placé 2-3 calls de coaching aussi sur l'optimisation de l'offre. On en parlait en offre sur comment voir une offre et vraiment pouvoir la scaler, comment la présenter correctement au marché. Il faut forcément le prendre, c'est les bases. Donc on a mis un call de coaching sur l'offre, un call de coaching sur l'optimisation du parcours de délivrabilité, un call à la fin de questions plutôt général. Et entre-temps, il peut reprendre l'ensemble de sa structure, l'ensemble des automatisations, les process. Et derrière, avoir une inforab pour aller chercher... 800 AM par an pour l'année qui arrive.

  • Speaker #1

    Ok super intéressant. Dans l'idée tu aimerais arrêter complètement le done for you du coup ?

  • Speaker #0

    Ouais ouais ouais après on il y a quand même deux trois trucs sur lesquels on travaille pour le client tu vois quand il fait son onboarding on doit forcément passer derrière pour le vérifier et lui dire voilà on va revoir deux trois bugs on s'assure que c'est bon pour toi donc il y aura des choses qu'on fera évidemment pour le client mais oui travailler à 100% pour le client même c'est un modèle qui est cool que moi je trouvais cool au début parce que je me disais mais il y a personne au final qui fait du done for us sur le marché qui est vraiment dedicated pour le client et j'ai compris pourquoi c'est parce qu'en fait quand tu bosses vraiment que toi pour le client surtout dans du service le client il te considère pas enfin il te prend vraiment comme son esclave tu vois c'est vraiment alors pas avec tous les clients tu vois nous on a travaillé ensemble ça n'a pas été le cas mais Il y a des mecs qui abusent fois mille de ce que tu dois faire pour eux. Ah, tu pourrais me faire ci, tu pourrais me faire ça, il faut faire ci, il faut faire ça. Mais sans fin, tu vois.

  • Speaker #1

    Ouais, je peux comprendre.

  • Speaker #0

    Parce qu'eux aussi n'ont pas idée de ce que ça représente de devoir créer ce que c'est, tu vois. Une automatisation ou configurer un artable, tu vois. Ça fait deux mois que je suis dessus, entre une et deux heures par jour, sauf sur les deux semaines dernières où j'ai bossé dix heures par jour. pour pouvoir arriver à quelque chose de parfait tu vois ça prend pas 5 minutes et les gens peuvent pas le voir parce que du coup c'est pas leur métier

  • Speaker #1

    L'importance de bien définir quand c'est down tu vois quand c'est délivré à 100%

  • Speaker #0

    Exactement avoir des cahiers des charges c'est au début je le faisais pas à la fin j'ai du le faire

  • Speaker #1

    Ok ok ça marche bien, en tout cas merci beaucoup Lucas pour toute la valeur que tu as pu partager. Où est-ce qu'on peut te retrouver ? Peut-être si tu as des réseaux, des liens que tu aimerais partager ou quoi ? Le moment de faire ta petite pub et puis...

  • Speaker #0

    J'ai majoritairement ma chaîne YouTube, Lucas Perrin, que vous pouvez trouver. Il y a toutes les vidéos sur les systèmes, sur le workflow d'agence, sur les structures d'agence, sur les automatisations. Tout le monde pourra prendre un max d'infos pour commencer à se structurer dès ce soir. gratuitement.

  • Speaker #1

    Ça marche. En tout cas, merci Boss pour la valeur que tu as pu partager. Je pense que ça va parler à beaucoup de monde et aider beaucoup de personnes. Et puis, en tout cas, merci pour le temps. Et puis, on se dit à la prochaine pour un prochain épisode, les amis.

  • Speaker #0

    Ciao, ciao, Evan.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup, Lucas. Ciao.

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