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Soit dit en passant

Esther Teillard : du pinceau à la plume, peindre la violence du réel

Esther Teillard : du pinceau à la plume, peindre la violence du réel

23min |14/10/2025
Play
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Description

Dans cet épisode de Soit dit en passant, Emmanuelle de Boysson reçoit Esther Teillard pour son livre Carne, paru aux éditions Pauvert.
Un récit vibrant et charnel, entre art et littérature, qui explore les territoires de Marseille et Belleville, à travers des femmes puissantes, blessées, révoltées, et libres. Dans “Carne”, la chair devient symbole : celui de la lutte, de la survie, et de la sensualité brute. Ensemble, elles évoquent la violence faite aux femmes, la liberté du corps, la tendresse cachée sous la rugosité, et cette Marseille pleine de contradictions, entre soleil et fureur.
Esther Teillard — passée par les Beaux-Arts et chroniqueuse pour l’émission Mauvais Genre sur France Culture — raconte la genèse d’un texte viscéral où les corps parlent, s’affrontent, se transforment.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Dans cet épisode de Soit dit en passant, Emmanuelle de Boysson reçoit Esther Teillard pour son livre Carne, paru aux éditions Pauvert.
Un récit vibrant et charnel, entre art et littérature, qui explore les territoires de Marseille et Belleville, à travers des femmes puissantes, blessées, révoltées, et libres. Dans “Carne”, la chair devient symbole : celui de la lutte, de la survie, et de la sensualité brute. Ensemble, elles évoquent la violence faite aux femmes, la liberté du corps, la tendresse cachée sous la rugosité, et cette Marseille pleine de contradictions, entre soleil et fureur.
Esther Teillard — passée par les Beaux-Arts et chroniqueuse pour l’émission Mauvais Genre sur France Culture — raconte la genèse d’un texte viscéral où les corps parlent, s’affrontent, se transforment.


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Un récit vibrant et charnel, entre art et littérature, qui explore les territoires de Marseille et Belleville, à travers des femmes puissantes, blessées, révoltées, et libres. Dans “Carne”, la chair devient symbole : celui de la lutte, de la survie, et de la sensualité brute. Ensemble, elles évoquent la violence faite aux femmes, la liberté du corps, la tendresse cachée sous la rugosité, et cette Marseille pleine de contradictions, entre soleil et fureur.
Esther Teillard — passée par les Beaux-Arts et chroniqueuse pour l’émission Mauvais Genre sur France Culture — raconte la genèse d’un texte viscéral où les corps parlent, s’affrontent, se transforment.


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