Speaker #0Cet épisode vous est rendu possible par Eneco Formations. Avant de plonger dans l'épisode d'aujourd'hui, je suis très heureux de vous partager ce partenariat. Si comme moi, vous n'avez strictement aucune idée de comment créer des sites web, comment brander du contenu, comment valoriser votre marque, par exemple, comment augmenter votre visibilité, vous allez adorer Eneco Formations. En gros, en deux mots, c'est une école digitale qui vous propose des formations 100% gratuites, 100% en ligne et sans aucun dossier à remplir. Parmi les programmes, vous allez retrouver Marketing Digital, réseaux sociaux, création de sites web ou encore par exemple, intelligence artificielle ou productivité, ce qui me semble être des sujets qui sont quand même d'actualité, même vraiment d'actualité. Pour plus de détails, je vous laisse cliquer sur le lien ci-dessous, c'est eneco-formation.fr. Mais à présent mes petites beautés, on retourne à l'épisode. Hello my beautiful people, j'espère que vous êtes en pleine forme. Bienvenue à nouveau sur un nouvel épisode de Système. Aujourd'hui, un épisode qui me tient vraiment à cœur, qui est vraiment spécial pour moi, que j'ai à vous proposer du coup. les deux ans sans une seule goutte d'alcool, peut-être ou pas, peut-être que oui, peut-être que non, on va voir ça justement tous ensemble. Vous vous demandez peut-être comment j'en suis arrivé là et surtout pourquoi. Si vous vous souvenez, il y a un an, quand vous avez écouté probablement le premier épisode, peut-être pour certains ou peut-être pas, pour d'autres, dans ce cas-là, je vous recommande d'aller le réécouter à nouveau. J'avais pris la décision d'arrêter complètement l'alcool. C'était un test, une sorte de défi personnel. Aujourd'hui, après deux ans, je vais vous dévoiler. comment cette expérience a été transformative et à quel point surtout elle a été transformative. Dans cet épisode, vous allez donc découvrir pourquoi j'ai failli craquer cette année, les moments où j'ai été tenté de boire et surtout ce que j'ai appris en chemin. Est-ce que j'ai vraiment tenu le cap tout au long ou pas ? Et est-ce que je vais continuer après ces deux ans ? Spoiler, c'est plus compliqué que ce que vous croyez. Attendez-vous à apprendre comment arrêter l'alcool a impacté ma santé mentale et physique. ce qui a changé entre la première et la deuxième année, et pourquoi cette deuxième année a été bien plus qu'un simple défi. Vous allez évidemment comprendre pourquoi l'arrêt de l'alcool n'est pas seulement une question de sobriété, mais de redécouverte de soi. Je vais aussi vous partager certains des bénéfices surprenants de cette décision, et comment cette nouvelle habitude s'est ancrée profondément dans ma vie. Alors my beautiful, installez-vous bien, parce que ce voyage de deux ans sans alcool va peut-être vous inspirer à réfléchir différemment votre propre relation à l'alcool. Je vous laisse attraper une tasse de thé ou de café si c'est le matin pour vous, prendre un petit carnet et je vous souhaite une excellente écoute. C'est parti. Alors, pour structurer un petit peu cet épisode qui me semble être un épisode assez capital puisque, pour rappel, l'épisode des 1 an sans alcool, c'est l'épisode qui a été le plus vu ever sur toutes les chaînes parce que, du coup, YouTube, Instagram, etc. Bref, sur les différents plateformes de podcast, je ne vais pas rebaliser tout ça. En fait, c'est vraiment l'épisode qui a été largement le plus cliqué, le plus écouté. Et donc, je me dis que ce sujet du rapport à l'alcool, il est quand même préoccupant. Il est intéressant de le recreuser. Donc, ce que je vous propose, c'est de vous donner l'historique. Alors, pour ceux qui ont été là, présents sur le premier épisode, ça va vous faire une petite piqûre de rappel. Je vais essayer de ramener d'autres éléments de contexte. Je n'avais pas trop creusé la dernière fois. Comment ça s'était passé, effectivement, la soirée qui avait déclenché, le pourquoi j'avais arrêté l'alcool, etc. Je vais vous rebaliser aussi tout le processus de l'arrêt de l'alcool, les bénéfices que j'en ai tirés. Et en deuxième partie, on parlera évidemment des défis que ça a représenté sur cette deuxième année. La différence entre la première et la deuxième année, notamment l'implémentation de ce que j'appelle le SAS de décompression et ce que je vais faire pour la suite, évidemment, avec une belle conclusion pour terminer. Et on sera très, très bien. Je pense que l'épisode va durer une petite quarantaine de minutes, une petite trentaine de minutes, on va voir. Toujours plus long que ce que j'imagine. Donc... Mes petites beautés, je vous laisse prendre votre place et on y va. Ce que je vous propose, c'est de revenir un petit peu en arrière. Je vais vous expliquer vraiment pourquoi j'ai pris cette décision et qu'on revienne un petit peu à l'origine de ce projet de vie finalement. Peut-être votre projet de vie aussi, à vous, parce que je sais que par cet épisode-là, il y a beaucoup qui ont arrêté de boire de l'alcool. Beaucoup, c'est genre plusieurs dizaines de personnes. Donc c'est quand même, à l'échelle du système, beaucoup de personnes. Et donc, je suis très curieux d'ailleurs, si vous voulez m'envoyer des messages pour savoir. Si ça a changé votre vie, d'une quelconque manière que ce soit, si ça vous a permis de mieux conscientiser votre but d'alcool, le fait de boire de l'alcool, si ça vous a permis peut-être de prendre conscience de ça, et peut-être que ça vous a apporté de la sobriété, je ne sais pas si je vous le souhaite, mais en tout cas que vous soyez plus conscient. Pour ceux qui n'étaient pas là il y a deux ans, je vous remets dans le contexte. Le 26 novembre 2021, je me souviens de la date parce que c'était le jour où tout a changé. C'était exactement le jour du salon des artisans de vignerons. J'y étais avec mes amis le midi en gros et c'était un événement annuel qu'on a fait plusieurs années de suite. Et donc c'était évidemment une occasion pour découvrir des vins exceptionnels, de discuter avec des vignerons de manière passionnée. Mais bien sûr, surtout à un moment où... les allées du salon sont remplies donc il faut jouer des coudes pour pouvoir avancer mais surtout un bon moment entre potes pour être très clair évidemment on goûte, on déguste et pour être honnête on n'est pas là pour cracher donc la plupart des gens recrachent vous voyez dans le crachoir quand on fait une dégustation c'est pas ma façon de voir les choses je suis quelqu'un de très gourmand et donc évidemment non je ne crache pas et donc chaque stand est une nouvelle découverte on part vers des horizons différents et variés C'est un nouveau plaisir pour toutes les papilles. Et donc, évidemment, les heures passent, les heures passent, et on termine le salon vers 18h. Et on est, comme j'aime bien le dire si souvent, on est rôti comme des faisans. Mais le problème, c'est que si ça s'était arrêté là, il n'y aurait pas eu de problème, sauf que la journée était loin d'être terminée. Et donc, la soirée, c'est l'anniversaire de ma copine, de ma conjointe. Et donc, on enchaîne sur une fête. qui promet d'être mémorable puisque déjà, à 18h, j'étais déjà sous. Donc évidemment, sachant qu'on a encore une soirée à se mettre dans le cornet, ça promettait d'être mémorable. Alors ça l'a été, évidemment, mais pas forcément pour les bonnes raisons, ou plutôt je dirais qu'elle a été complètement oubliée, ou quasiment oubliée puisque je n'ai pas beaucoup de souvenirs. Je vous passe évidemment les détails, mais en gros, la soirée s'est prolongée jusqu'à 8h du matin et donc j'étais dans un état clairement second, mais... autre étrangement en me couchant j'avais pas envie de dormir et je me disais que j'avais envie de toujours continuer cette soirée je me disais que j'avais pas envie que ça se termine j'avais envie de continuer cette fête interminable parce que globalement en fait et je reparlerai peut-être dans l'épisode mais quand moi je suis quelqu'un vous voyez qui prend la tablette de chocolat qui peut pas manger juste un carré de chocolat et c'est marrant parce qu'en fait c'est exactement ce que je viens de faire juste avant de cet épisode j'aime bien manger un petit carré de chocolat noir Et c'est exactement ce que je viens de faire. Et ça, c'est quelque chose qui a été construit chez moi. C'est quelque chose que j'ai appris à faire. Donc, je digresse déjà dès maintenant. C'est pour vous dire, chers auditeurs, qu'en fait, on peut apprendre à profiter, je crois. Et c'est un peu, j'anticipe un peu, mais c'est un peu le learning de cette deuxième année. Pour revenir à nos histoires, à nos oignons, il se trouve qu'on fait cette soirée, je suis complètement éclaté, on se couche extrêmement tard. D'ailleurs, je suis le dernier à me coucher parce que tout le monde partait à 5h du mat, quelque chose comme ça. Et en fait, on continue la soirée, je suis bleu métal. Le lendemain, et même le jour même, vu l'heure qu'il est, je me réveille vers 18h30, je suis évidemment complètement KO, j'ai extrêmement mal physiquement et mentalement, je vais vomir et je me recouche. Le problème, c'est que c'était plus qu'une gueule de bois, parce que des gueules de bois, j'en ai eu pas mal, et ça, c'était beaucoup plus compliqué qu'une gueule de bois classique. Ça faisait plusieurs gueules de bois à la suite où je me disais putain, là, ça ne va pas. Je n'étais pas bien. Je les vivais très mal, le lendemain notamment. Mais cette gueule de bois-là, je l'avais vraiment mal vécue. Parce que c'était à la fois physique, mental, et puis c'était aussi surtout un sentiment de… Je me sentais vide, en fait. Je me sentais lassé, profondément lassé de me ressentir comme ça. Et je me disais, je me rappelle très bien, je me disais que… ça ne valait pas la chandelle. Je me sentais vraiment vidé, épuisé, et pas seulement à cause de l'alcool, mais aussi émotionnellement. Pour le rappel, c'était à l'époque où j'avais mes 30 ans, du coup je suis un peu plus vieux que ça maintenant, et je me suis dit, en fait, je n'ai pas assez l'âge de me détruire comme ça. Je n'ai pas assez l'âge de me détruire comme ça. Donc en fait, je me disais que c'était plus drôle, que c'était plus anodin, et en fait je réalisais que l'alcool, c'était devenu un poids, un frein dans ma vie. Et comme je le dis tout le temps, ce podcast là n'aurait pas pu exister sans l'alcool en fait, pardon l'absence révélateur, ce podcast là n'aurait pas pu exister sans mon arrêt de l'alcool, parce qu'en fait je vais vous donner un peu plus de détails mais je ne buvais pas énormément mais je buvais assez le week-end je pense pour être dans le brouillard en fait et d'avoir moins d'acuité mentale, moins de précision dans mes pensées, moins d'être vif intellectuellement Et en fait, je n'aurais pas eu la déter, je n'aurais pas eu la motivation parce que ça me implique ce podcast de bosser le week-end, le soir, le matin de bonheur, etc. Vous voyez, donc ça n'aurait pas été possible en fait. Pour vous donner encore plus de contexte, dans l'épisode du SAD, je vais faire une V2, le SAD système anti-dépression, je vais faire une V2 dans quelques semaines, deux ou trois semaines, quatre semaines peut-être. On est donc en 2021, je suis dans une période où en janvier de l'année passée, je suis diagnostiqué en burn-out, je quitte ma boîte, j'intègre une nouvelle boîte. Et en fait, là, je sens que ça y est, on est au mois d'octobre. Depuis le mois d'octobre, je suis à nouveau tiré vers le bas, j'ai à nouveau le moral qui se pète la gueule, je suis mal. mais pas mal de la même manière, pas mal en mode, j'arrive plus à comprendre ce que les gens me disent en réunion, j'arrive plus à me mettre à travailler, je suis avachité dans mon fauteuil, et je pleure le soir sans savoir pourquoi, et je vous dis les trucs de manière très transparente, vous savez que je n'ai pas de langue de bois, et donc je vous dis les choses comme elles le sont, c'est pas pour faire ma pleureuse, entre guillemets, ou mon pleureur, peut-être plutôt, c'est pas pour faire ma victime, et de me faire consoler, c'est pas du tout ça le sujet. C'est plutôt pour vous être le plus authentique possible de comment je me sentais à ce moment-là. Et donc, janvier, c'était plutôt ça comme état que je ressentais. À ce moment-là, je sentais vraiment plutôt un mal-être très profond en moi, un désalignement entre ce que je pense mes parents, mes grands-parents voulaient pour moi, ce que moi j'imaginais en tant qu'adulte, comment je me visionnais en tant que j'ai réussi ma vie, et en fait, ce qu'il se passait le week-end où finalement je buvais de l'alcool. Et je... Je me détruisais en fait. Je me détruisais. Peut-être par une volonté de m'échapper. Peut-être par une volonté d'échapper à ce contexte de vie, à cette période de vie. Donc j'avais 29 ans exactement parce que je sais que quand je suis passé sur le cap de mes 30 ans, ça allait mille fois mieux pour le petit spoiler. Et vous le savez, du coup, depuis, ça va beaucoup mieux. Néanmoins, décembre 2021, après plusieurs mois à faire vraiment le truche, je suis diagnostiqué. médicalement en dépression du coup d'accord et je pense que c'est le fruit de plusieurs années en fait où j'étais sur un peu un entre deux de dépression où j'avais paralysé la revente la co-création de ma feedbox la revente de ma feedbox qui était un side project donc un deuxième temps plein dans le temps plein j'en ai parlé dans l'épisode avec Geoffrey mon frère les investissements publiés, les environnements de haute performance dans des startups en forte croissance où il faut recruter et à tour de bras, virer aussi à tour de bras et en fait quand tu c'est bizarre mais quand tu es obligé de virer des personnes que c'est ton premier vrai job en fait et que eux c'est leur premier vrai job leur premier CDI et que t'es obligé de les sortir parce qu'ils sont pas assez performants, qu'ils sont performants mais ils sont pas assez performants, bah en fait c'est peut-être pas si compliqué que ça pour eux mais en tant que manager c'est hyper dur, c'est hyper dur sur le long terme parce que en fait t'as l'âme t'as l'impression d'abandon et que des personnes qui m'ont supplié me dire non mais je t'en supplie garde moi je vais faire tout ce qu'il faut je vais bosser comme un malade et en fait c'est la limite de la performance vous voyez dans ce podcast et c'est aussi ça dont je voulais vous parler c'est que c'est bien d'être performant mais il faut pas oublier d'être humain et on est humain avant tout on est pas des machines et donc ces trucs là où j'ai dû virer pas mal de personnes pour être très clair pour des raisons tout à fait objectifs et tout à fait légitimes je pense que ça m'a vraiment impacté moralement tout ça pour vous redonner un peu de contexte où donc décembre je suis diagnostiqué en dépression sévère avec aide médicale etc j'en ai jamais parlé dans aucun podcast mais voilà je le dis aujourd'hui parce que je suis assez enfin en tout cas plus à l'aise avec ça et donc il y a évidemment un passage à vide avec des réflexions identitaires professionnelles et avec le recul je pense que ça a été la meilleure chose qui me soit arrivée de ma vie parce que c'est exactement le déclic dont j'avais besoin c'était à cette période là où j'avais j'étais en pro au pilote automatique c'était ce qu'on pourrait appeler une vie par défaut où en fait je faisais métro, boulot, dodo où je subissais en fait ma vie hop hop hop je fais une pause de 30 secondes dans l'épisode pour te parler de système diète tu as l'impression que toutes les informations sur la nutrition se contrôlisent tu as déjà testé plein de diètes paléo, jeûne, keto mais rien n'a fonctionné comme tu voulais tu penses qu'il faut choisir entre profiter de la vie ou avoir un corps qui te plaît et tu te dis sûrement que pour atteindre ton objectif tu dois te priver ou te frustrer ou à l'inverse manger énormément Laisse-moi te dire que c'est faux, le problème ce n'est évidemment pas toi, c'est le système que tu as mis en place. C'est pour ça qu'après des années à galérer, on a créé System Diet. System Diet c'est un accompagnement sur mesure, 100% personnalisé, qui te permet de créer ton propre système. C'est évidemment pas une diète de plus, c'est un nouveau mode de vie en fait qu'on va te proposer de mettre en place, avec une approche qui s'adapte à ton rythme de vie, tes contraintes, tes ambitions, tes objectifs. On n'a pas de recette miracle, pas de régime rigide, on t'aide à optimiser ta nutrition, ton sommeil, ton énergie, ton équilibre. hormonale et mentale. Pour des raisons de qualité, on limite les places à 4 consultations gratuites par mois. On trouvera le lien en description de l'épisode. J'ai hâte de mettre avec toi en place la meilleure diète de ta vie et donc la dernière diète de ta vie. Je suppliciais ma vie. En fait, j'étais épris de liberté mais j'étais renfermé par mon travail. Je m'étais mis moi-même des CDI avec moi-même où je m'enfermais à la fois avec des side projects, à la fois avec des choses que je n'arrivais pas à gérer parce qu'il y avait trop de trucs en fait. Et ça, c'était compliqué. C'était très compliqué pour moi. Et donc, ce que j'ai fait à partir de décembre, j'ai arrêté de boire de l'alcool cette journée-là. Et en parallèle de ça, je suis diagnostiqué en dépression. Et donc, à partir de ce moment-là, où j'ai vraiment le diagnostic qui tombe, je me dis, OK, Pierre-Emmanuel, parce que quand je suis sérieux avec moi-même, je m'appelle Pierre-Emmanuel et pas PE, je vais devenir en fait, je suis un sportif de haut niveau. Je suis un sportif de haut niveau, et donc je vais avoir une vie de sportif de haut niveau. Et du coup, je vais appliquer... tout ce qu'un sportif de haut niveau ferait, optimiser sa vie, optimiser sa santé mentale, physique, hormonale, pour mettre en place ce truc-là, pour optimiser tout mon corps, de sorte à ce que mon esprit puisse être en bonne situation pour guérir. Donner le meilleur setup pour que les médicaments fassent effet, pour que moi je me sente le mieux possible, etc. Et donc, il y a eu un travail qui a été fait pendant plusieurs années, maintenant que je consulte encore aujourd'hui une psychothérapie. thérapeute qui est absolument exceptionnel qui m'a permis de mieux me comprendre de mieux me redécouvrir etc et c'est vrai qu'il y a des fois où je me dis 70 euros ça fait des consultations sur le long terme ça fait des milliers d'euros de consultations sauf que ces trucs là ils sont tellement bien investis que je ne regrette pas un seul centime et donc c'est pour ça qu'on me dit souvent dans telle dépense ça fait cher bah ouais mais en fait si tu mets en regard toute l'économie que j'ai fait avec l'alcool il n'y a pas de sujet quoi donc bon le message derrière ça c'est investissez en vous, priorisez vos allocations de budget etc etc, mais ça c'est pas le sujet de la vidéo d'aujourd'hui, je reviens sur le sujet de l'alcool après cette nuit mémorable du coup plutôt que j'aurais préféré oublier j'ai pris la décision d'arrêter de boire jusqu'à la fin de l'année donc pendant un an, au début c'était un mois j'avais même mis un décompteur de un décompteur de jours que j'ai toujours activé d'ailleurs, que je pourrais vous donner tout à l'heure et en fait le truc que j'avais pas anticipé c'est que cette période là donc en novembre qu'est ce qu'il ya après il ya les fêtes il ya décembre et donc c'est une période qui est compliqué parce que les fêtes ça veut dire repas de famille ça veut dire le bon pinard etc et ça a été compliqué évidemment mais sauf qu'en fait moi je suis très blanc ou noir c'est à dire que si je décide un truc après il ya plus de sujets quoi je n'ai même plus d'hésitation en fait le seul truc compliqué pour moi c'est l'entre-deux c'est à dire si je bois juste un verre ou juste un carré de chocolat ou un petit peu ça j'arrive pas le tenir et c'est très compliqué pour moi parce que c'est pas clair net précis défini si en fait je dis je ne bois pas fait j'ai aucune tentation par contre si je commence à boire un verre d'alcool que je mets le nez dedans après c'est terminé quoi je peux plus m'arrêter et encore aujourd'hui je pense que si je commence à tester un truc je teste un truc j'ai un profit qui est quand même assez addictif quoi je je sais que je peux pas juste manger alors j'ai appris à le faire mais j'allais dire un burger comme ça J'ai appris à le faire, donc ça va de mieux en mieux, effectivement, mais j'ai vraiment un profil blanc ou noir. Je ne peux pas bosser un petit peu, je ne peux pas faire du passager clandestin dans une boîte, par exemple. Je suis obligé de bosser comme un malade ou de ne pas bosser du tout. Je suis assez extrême dans tout ça, et même dans ma manière de penser politiquement, alors pas extrémiste, mais dans ma manière d'apprendre de l'économie, par exemple, où moi je suis assez partisan de pas de taxes, concrètement, en fait c'est assez extrême dans la façon de voir les choses. Et je pense que ça, ce truc-là, se reflète un peu partout, globalement. Parce que je pense que j'aime le côté controversé, enfin pas controversé, mais plutôt contrarien, c'est-à-dire à l'inverse de la doxa. Tous mes parties prises sur, d'ailleurs, la dernière newsletter que je vous recommande, sur la santé mentale masculine, je sais que ça va faire grincer des dents, mais ce n'est pas pour le fait de faire grincer des dents que je le mets en avant, c'est le fait d'aller contre la bien-pensance, en tout cas ce que la doxa, donc la pensée globale, va... la direction de la pensée globale. Et c'est ça qui m'intéresse moi personnellement. Donc, je dis vague, mais grosso modo, l'alcool, on arrête, on emplace la vie d'un sportif de haut niveau à la fois sur la méditation, les machins, l'arrêt de l'alcool, le sommeil de ouf, l'alimentation, du sport tous les jours, du mouvement tous les jours, aller marcher mes 10 000 pas, etc. J'en reparlerai plus en détail dans un autre endroit. Et en fait, du coup, j'avais prévu de le faire jusqu'au mois de janvier. Et puis, en fait, ça faisait... mois de janvier, il s'est passé un truc, c'est qu'en fait, 3 à 4 mois après l'arrêt de l'alcool, j'ai commencé à sentir des changements incroyables. Déjà, 1, j'avais jamais été aussi heureux de ma vie. 2, mon sommeil s'était amélioré de façon drastique. Et je me couchais, je me réveillais frais, j'avais de l'énergie, j'étais en forme, je pouvais prendre du recul sur la vie et les choses, sur mes décisions, sur mes tracas du quotidien. toutes les galères qui se passent au jour le jour je me disais c'est pas grave ça va passer quoi, il n'y a pas de problème il n'y a pas de mal en homme, tout va bien et le plus étonnant dans tout ça et c'est ce que je ressens toujours aujourd'hui d'ailleurs c'est la clarté mentale que j'avais retrouvée c'est comme s'il y avait un voile qui s'était levé que j'étais dans le brouillard tout le temps et que je m'étais réveillé d'une cuite qui m'avait endormi le cerveau plutôt c'est comme si j'avais une brume dans ma tête qui m'empêchait de penser clairement je me sentais plus créatif, plus concentré plus productif et Pour vous donner du contexte, moi j'ai jamais été du matin. Là aujourd'hui, j'arrive à me lever à 5h30 sans aucun problème, et même je suis à l'avant de mon réveil généralement. Et donc j'étais encore moins du lundi matin. Le lundi matin, moi j'avais envie de tuer mes collègues. Enfin mes one-one, je les mettais le lundi matin avec les collègues, enfin en tout cas mes managers pour qui j'avais besoin d'être péchu. Parce que je savais que le lundi matin j'allais les défoncer. Entre guillemets, défoncer, c'est une expression, c'est pas vrai. C'est gentiment, évidemment, je les mettais en... je les remettais sur la droite chemin de la performance c'est ça que je voulais dire de manière très précise c'est marrant que j'ai besoin de justifier sur un média bref c'est un autre sujet on va pas trop se disperser sur ces sujets là sinon on a pas fini mais tout ça pour vous dire que le lundi matin c'était horrible et en fait c'était horrible pourquoi ? notamment parce que j'avais les effets résiduels de l'alcool et que en gros je me levais le dimanche je me couchais en me disant putain le lundi va être chiant Le mardi, il était aussi chiant, et le mercredi aussi, si je me prenais une bonne timbale le week-end. Mais surtout, j'avais une lourdeur qui me suivait jusqu'au mercredi, après une soirée assez costaud. Et donc, physiquement aussi, je me sentais beaucoup mieux. Du coup, c'est le moment où j'ai recommencé à faire une vraie diète, où j'ai fait la meilleure diète dans mes 30 ans, dont j'ai déjà parlé. Et c'est le moment où je me suis senti vraiment mieux, globalement, dans mon corps. globalement et évidemment le fait de tenir une diète est mille fois plus intéressant parce qu'une pinte c'est entre 300 et 400 cal en fonction de l'épaisseur de l'alcool, si c'est une IPA, si c'est une berbe blonde ou autre et donc forcément quand tu t'enlèves, je sais pas, allez au pas moche peut-être que je buvais 4 pintes en semaine minimum plus 3-4 pintes, 5 pintes, 6 pintes mais plus le week-end. Un truc comme ça. Et en fait, ça n'a pas l'air si énorme comme ça, mais quand tu as une tireuse à bière au bureau quand tu vas bosser, ça va vite, une pinte. Une pinte, c'est une bière après le boulot. Tu en bois une, et puis tu en bois deux, parce que tu ne vas pas rester sur une. Et ça, tu le fais deux fois par semaine, même si tu ne le fais qu'une seule fois. Si tu vas en soirée avec des potes, tu bois 4-5 pintes. Ça va vite, 4-5 pintes sur une soirée qui commence à 18h et qui finit à 3h ou 5h du mat. Ça va très très vite. on s'en rend pas compte mais ça va super vite et c'est même pas une bière par heure ça va hyper vite il faut vous imaginer le nombre de calories que ça représente dans toutes les semaines c'est des calories que tu peux pas utiliser pour autre chose c'est des calories vides qui servent pas à grand chose et ça va pas générer d'énergie en toi mais voilà grosso modo je me considérais quand même sur un mode de vie très sain je me suis toujours entraîné tous les jours quasiment, je faisais du sport, je mangeais bien J'étais occupé par mon travail qui était intéressant, stimulant intellectuellement. Mais finalement, tu avais cet alcool qui enrayait la machine, qui faisait que je ne me sentais pas au maximum de maximum. Et surtout, ça m'a impacté énormément sur mon mental et mon bonheur. Et en fait, pour vous donner la conclusion, c'est que maintenant que je connais cet état, c'est absolument impossible que je revienne dans un état où je buvais de l'alcool régulièrement. Parce qu'en fait, c'est comme si... J'avais compris que mon corps ne tournait pas à 100%, comme si j'étais à 50% de mes capacités, et que là, j'étais revenu à 100%. Donc, qui a envie de revenir dans un état où il se sent moins bien ? C'est comme si j'étais redevenu Pierre-Emmanuel Branger. C'était comme si, maintenant, je suis quelqu'un qui ne boit pas. Et pas boit plus, mais boit pas. Dans mon ADN, dans mon identité, c'est ancré le fait que je ne boive pas. Et on va parler dans la deuxième partie, je vais enchaîner avec ça directement, sur le fait que... comment ça se passe maintenant et est-ce que je bois pas du tout. Mais grosso modo, le pire qui se passait dans le lendemain de soirée, et encore une fois, je ramais un peu d'émotion là-dedans, c'est que moi, j'avais des verbatims, des manières de parler de moi-même qui étaient horribles. Je me disais que j'avais envie de me foutre en l'air, je me disais que j'étais qu'une merde, que mes parents ne m'avaient pas élevé pour que je fasse ça. Je pleurais. C'était très dur, en fait. C'était très dur parce que j'avais... Pas l'impression de décevoir ma famille, mes amis, mes potes, mes parents, mes frères. Mais c'était moi, en fait, que je décevais. Parce que je me rappelais de... C'est comme si, en fait, j'arrivais à me visualiser moi-même. Ça me fait monter les larmes, mais c'est comme si je me visualisais moi-même en tant que petit garçon. Et que, tu vois, ce petit garçon, il avait vécu des trucs assez relous de bisuitage, etc. à l'école, mais qu'il avait toujours été différent de la masse. Qu'il était toujours bien habillé, qu'il avait toujours des chaussures un peu trop habillées pour le collège, des pantalons un peu trop habillés pour le collège, et que du coup, il se faisait moquer. Peut-être un peu trop intelligent pour l'époque, ou trop mûr en tout cas, peut-être pas trop intelligent, mais trop mûr pour son âge. Il avait toujours voulu être un adulte. Et puis, en fait, ça y est, étant venu adulte, déjà, ce n'était pas si ouf que ça, être adulte. Et qu'en fait, je lui décevais ce petit garçon. Parce que lui, il avait toujours ramassé et fait ce qu'il pouvait pour être différent des gens, de la masse. Et que moi, j'avais fait en sorte d'être dans la masse, de me noyer dedans. Et d'avoir plongé la tête la première. Et c'est ce truc-là, en fait, où je me suis dit c'est pas possible, en fait. C'est pas moi, quoi. C'est pas moi. Je peux pas... Je suis pas comme ça. Je peux pas. Et en fait, si vous écoutez ce podcast, notamment un épisode comme aujourd'hui où, en fait, je suis vraiment en digression et je vous parle avec le cœur, parce que, oui, j'ai un script et j'ai des éléments sous les yeux, mais pour autant, je sais exactement ce que j'ai envie de vous dire et j'ai envie de vous transmettre un peu mes émotions. Si vous écoutez ce podcast régulièrement, que vous êtes famille des auditeurs fidèles, je pense... pouvoir dire avec assez de certitude que vous n'êtes pas la masse et que vous êtes un petit peu différent en fait et que du coup je peux comprendre votre sentiment de solitude de temps en temps et que c'est ok et je suis avec vous et évidemment comme à chaque fois je vous le dis envoyez moi des messages parce que je réponds à tout le monde et je suis très heureux de vous parler à chaque fois et c'est trop cool de pouvoir échanger avec vous et donc ça posait pas mal de questions aussi Le fait d'arrêter de boire, de peur aussi de mon côté, parce que comme je vous l'ai dit, comme j'étais dans la masse, c'est que j'avais des potes en fait. Et je me posais la question de qu'est-ce que ma meuf allait penser de moi, parce que ma meuf m'a connu en tant que PE qui fait la fête et qui boit de l'alcool. Maintenant, en fait, j'avais trop peur de devenir un mec chiant, quoi. Devenir un mec chiant parce que je bois plus d'alcool, parce que je fais toujours la fête, mais je suis pas bourré, quoi. J'avais des questions sur qu'est-ce qu'allaient penser mes potes de moi. j'allais plus boire de l'alcool, plus aller en soirée de la même manière, peut-être rentrer plus tôt, et donc assumer le fait de rentrer plus tôt alors qu'ils continuent la soirée. Et puis j'avais peur aussi de ne pas pouvoir partager des bons moments de convivialité avec mon père, de boire un bon vin d'avant, qui date de la cave de mon grand-père avec lui, de partager ce moment-là, c'est un peu important quand même pour moi, vous le savez maintenant que vous me connaissez je pense. Et encore une fois, l'épisode avec Geoffrey en parle pas mal, mais je suis très famille, donc c'est important ces moments-là. Donc tous ces questionnements-là, ils étaient hyper importants pour moi. Et pour vous spoiler un peu le truc, évidemment, mes vrais amis, ils sont restés parce que je n'ai pas besoin d'alcool pour passer des bons moments avec eux. Je sais que Julien, je pense que tu écoutes ce podcast et que tu avais eu peur que je parle de toi dans ce premier épisode, mais ce n'était pas ça. Évidemment, je ne parlais pas de vous, mes potes proches, mes amis proches. mais évidemment ça a fait le ménage dans pas mal de connaissances des personnes qui m'ont dit bah en fait ouais je t'ai pas invité parce que comme tu bois plus d'alcool je pensais que tu sortais plus donc ça veut dire qu'en fait notre relation tournait autour de l'alcool et qu'en fait c'est pas des vrais potes c'est pas des vrais amis quoi et que c'est ok c'est des relations qui partent et en fait vaut mieux qu'elles partent c'est l'effet naturel du temps et je pense que j'ai dû aussi reprendre confiance en moi d'affronter un peu mon démon de dire je bois pas pour devenir intéressant... mais de m'affronter et d'assumer qu'en fait, peut-être que lancer un podcast, pouvoir avoir des sujets de conversation sérieux, intellectuels aussi des fois, pouvoir parler de différentes choses, de sport, de sujets de performance, de passion, etc. C'était aussi des sujets qui me permettaient d'être divertissant pour les gens, intéressant pour les gens. J'avais vraiment cette peur au fond de moi. Et c'est marrant parce que j'anime un podcast et je vous parle toutes les semaines. Mais moi, la pire peur que je peux avoir, et je la ressens encore aujourd'hui, c'est qu'on me trouve ennuyeux. Je pense que c'est une peur qui a ancré dans mon adolescence et dans mon enfance, parce que j'étais le petit Tintello qui était tout seul, qui n'avait pas trop de potes, à part mes bros de cœur. Vincent, Théo, si vous écoutez ça, c'est pour vous. Et puis, bien sûr, toute la team. Mais je pense que je me sentais un peu seul, globalement, dans mon enfance. Et le fait de boire de l'alcool, ça me permettait aussi d'être... de ne pas être seul. Et donc, le fait de l'arrêt de l'alcool, ça a résonné avec plein d'autres problèmes qui étaient sous des couches un peu plus profondes. Et ça, si je vous en parle aujourd'hui, que je n'en ai pas parlé dans le premier épisode, c'est que c'est des choses que je n'avais pas forcément verbalisées, mûries, intellectualisées, que je n'étais pas capable d'en parler aussi à l'époque, parce qu'en fait, ce qui se passe entre le première et le deuxième année, et donc c'est Jean-Bray avec ma deuxième partie, Et dernière partie, et on n'en a plus pour très très longtemps. En gros, la première année, c'était la découverte, c'était l'euphorie, c'était est-ce que je vais être capable de devenir 365 jours ? Et oui, évidemment, j'étais sûr que j'allais être capable. La deuxième année, ça a apporté un lot de défis qui étaient complètement différents. Ça a été l'effet de nouveauté qui a été complètement estompé, et en fait, je me suis retrouvé avec des situations sociales un peu plus complexes. Non pas que j'étais vraiment tenté, de boire de l'alcool, mais je me disais en vrai c'est bon, je sais que je suis capable d'arrêter donc pourquoi pas, et ce truc là ce piège là, c'est très compliqué donc il y a plusieurs choses, vous l'avez compris oui, le fait de faire le tri dans ses potes le fait, et ça c'est un tri qui continue le fait d'accepter de partir aux soirées à minuit, peut-être même des fois à 22h parce qu'on est crevé, en fait l'alcool permet de faire tenir plus le fait d'être moins invité aussi en soirée Tout ça, ça a été intégré notamment dans la deuxième année. Mais là où j'ai évolué cette année, c'est qu'aujourd'hui, je me sentirais totalement à l'aise de réintégrer de temps en temps, de manière très choisie et très intentionnelle, un verre de vin de temps en temps. Typiquement, avec mon père, je me verrais très bien boire un verre de vin, d'un très bon vin que je vais goûter, aimer, etc. Parce que le vin, c'est le seul alcool que j'aime en goût. C'est aussi ça ma grosse chance. c'est que l'alcool je n'aime pas ça en termes de goût, je préfère boire un bon coca bien frais du McDo avec des grosses bulles plutôt qu'un bon verre de je sais pas quoi, de n'importe quel alcool sauf le vin. Et donc ça c'est vraiment aussi une force parce que je suis pas tenté en fait, je préfère boire un coca. La seule raison qui me ferait boire de l'alcool ce serait pour sentir le petit côté de défonce en fait qui peut manquer en fait de temps en temps et je vais en parler juste après. Donc tout ça pour dire et résumer c'est que si je pense du temps... avec mon père, c'est pour kiffer le moment avec mon père et pas pour l'alcool. Et donc je suis capable aujourd'hui de réintégrer en revanche un verre d'alcool de temps en temps. Je pense que j'ai du bien boire 4 depuis le début de l'année, donc on est en octobre au moment où je recorde. Donc voilà, ça reste quand même assez limité et je peux vous en parler. Il y a les seules exceptions que je suis capable de faire aujourd'hui, c'est pour passer un... En vrai, même pour passer un bon moment, c'est pas une bonne exagération. C'est pour goûter un vin. qui est excellent, particulièrement bon. Et donc par exemple, au week-end entre mes frères au ski, on avait le vin préféré de notre grand-père. C'était une bouteille qui était offerte par ma tante et donc vous voyez, il y a tout un tas de symbolique, de signification. Et donc là oui, j'ai bu de l'alcool, j'ai bu un verre de vin. Il y a un autre moment où il y avait de la liqueur, du vin dérabillé, quelque chose comme ça au Canada, du fin fond du Canada. Bon bah là je me sentais absolument à l'aise d'en boire. Et après, il y a d'autres moments comme des moments où j'avais particulièrement envie de goûter un certain type d'alcool, par exemple, avec un certain goût particulier. Mais encore une fois, je vais boire un verre et après, c'est terminé. Je sais que j'ai ma limite. Maintenant, j'ai mon petit red flag, mon petit alerte rouge dans ma tête. Ils me disent attention, le verre, il est bu là. Donc, c'est terminé. T'as ton joker, c'est terminé. et je sais en fait que maintenant je ne passe plus cette frontière là parce que je sais que dès que je dépasse cette frontière là c'est compliqué et en fait ce qui se passe souvent c'est même que je bois le démarrage de ce verre là, je goûte le goût et en fait je termine même pas ce verre là parce que en fait je ressens plus forcément le besoin c'est plus comme si c'était dans mon identité en fait alors que je pense qu'un verre de vin ça me changerait pas grand chose en termes de récuperation et tout mais en fait j'ai tellement d'autres choses à voir, tellement d'objectifs et tellement une vie... riche en termes d'énergie consommée, de sport comme vous le savez avec ce que je prépare avec tout ça, qu'en fait je ne veux même pas intégrer l'hypothèse que ça puisse me déconcentrer parce que je bois deux verres de vin et pour moi le ratio risque bénéfice n'est absolument pas équilibré et donc je préfère juste ne pas boire et boire un bon coquin ce que j'ai aussi pu regarder constater c'est que la deuxième année quand j'ai eu envie de boire, c'était assez relativement fortement corrélé à des moments où ça allait moins bien, j'avais un petit coup de mou, etc. où j'avais un peu envie de lâcher prise, mais au lieu de céder, du coup, et c'est ce que je m'enchaîne sur la dernière partie, j'ai mis en place une sorte de sas de décompression, parce que je pense que c'est hyper important d'avoir un endroit, un exutoire où on peut se décharger, parce qu'il y a des moments où, je ne vais pas vous mentir, même après deux ans sans alcool, la tentation ne disparaît jamais vraiment, il y a un soir où ça peut vous prendre, vous avez envie de vous mettre une bonne biture, et ça peut arriver, Il y a des moments où j'ai une envie comme ça, je me dis putain, là, je me pèterais bien la gueule Il y a des instants où je me demande si ça ne serait pas agréable de me laisser aller à boire un verre, et puis un autre verre, et puis un autre verre. C'est dans ces moments-là où j'ai restauré une règle qui est très claire pour moi-même, c'est après une longue période d'abstinence, j'ai décidé de réintégrer l'alcool, avec cette approche qui est différente, avec un alcool qui est plus automatique, qui est sur un alcool très précis, avec une expérience très précise, un contexte très précis, etc. Je vais revenir dessus parce que j'en ai déjà parlé, mais voilà quoi. Je pense que l'idée, c'est de se dire, la boisson par défaut est une boisson non alcoolisée. Et si une fois ou deux fois ou trois fois dans l'année, vous avez envie de vous boire un verre, après une période d'abstinence totale, c'est très important de valider ça, que pendant six mois, un an, etc., vous êtes capable de tenir ce truc-là. Pourquoi pas boire un demi-verre de vin, par exemple, des choses comme ça. Mais en fait, aujourd'hui, j'en ai... jamais envie quoi, jamais envie il y a des fois où je me dis putain là la journée elle a été chaude, je boirais bien une petite bière pour me détendre en fait et c'est le moment où je me dis ok faut que j'aille marcher dehors faut que j'aille faire du sport, faut que j'aille me faire masser faut que j'aille kiffer ma vie et en fait ça passe ces empiles là passent, j'arrive le soir et je suis crevé j'ai envie de dormir et puis voilà c'est passé il y a des moments comme ça où t'as envie de te mettre en l'air et c'est un peu toujours ce truc là où ça tente et puis voilà quoi ça passe au final et souvent un bon repas bien chargé, genre un bon fast-food ou un truc comme ça, ou en tout cas un repas bien costaud et après l'envie, elle est passée complètement. Ce qui est le plus important, c'est de se dire est-ce que j'en ai vraiment envie au fond de moi ? Est-ce que si je bois ce verre-là, je vais kiffer les sensations de boire ce verre-là et qu'après coup, je vais me dire ok, j'en regrette pas une seule goulée ? Parce que c'est ce que j'ai toujours avec les jeux vidéo, tout le monde me dit, ouais mais PE, t'as beaucoup joué aux jeux vidéo, t'étais un gros geek, World of Warcraft, ça t'a pris des heures de vie. Ouais mais les petits potes, moi j'ai pas regretté une seule seconde de jeu sur World of Warcraft. J'ai pas regretté une seule seconde d'avoir farmé du cuir léger à World of Warcraft, pendant des heures et des heures que j'ai vendu sur la place de marché, à l'hôtel des ventes. J'ai pas regretté une seule seconde d'avoir fait du PVP sauvage à victimiser des noobs à Stranglerons, pour ceux à qui ça parle. Et c'est ça que les gens ont du mal à comprendre, c'est que oui, on peut vouloir avoir des ambitions de performance, de monter des boîtes, d'être sportif de haut niveau, etc. Mais en fait, le plus important, c'est que quand vous faites un truc, vous le fassiez avec toute l'intentionnalité possible. Le pire truc qui peut vous arriver, c'est de faire les trucs par défaut et sans vraiment l'intellectualiser, sans le conscientiser. Que vous buviez de l'alcool sans se dire Ok, là, je suis en train de boire de l'alcool, c'est cool, je kiffe mon moment. Et que vous buviez 4 barres parce que vous êtes en soirée et qu'il faut bien boire un truc. Bah non, si vous voulez juste boire un truc, buvez de l'eau, quoi. Buvez un bon coca ou n'importe quoi, mais ne buvez pas de l'alcool, en fait, parce que boire de l'alcool, ça doit être intellectualisé, ça doit être intentionnalisé. Encore une fois, je me répète, mais je pense que c'est quelque chose d'extrêmement important. Et après, les questions que j'ai eues, du coup, quand j'ai posé la question sur les réseaux sociaux, c'est comment est-ce que tu fais pour aller en soirée, pour profiter sans boire ? C'est certain, ça change quelque chose, on va pas se mentir. C'est vrai que je reste pas aussi tard que les autres. Je m'endors plus tôt, souvent vers 22h. Même des fois à 21h, l'autre jour j'étais en soirée, j'étais complètement explosé, j'avais les yeux qui se fermaient. Et je pars avant ceux qui boivent, en général. C'est parfois un peu triste, effectivement, je vais l'amener sans aucune... Enfin, totalement. J'ai du mal à tenir aussi longtemps que dans le passé, surtout avec le rythme que j'ai actuellement, comme vous le savez tous, puisque je me lève à 5h30 du matin. mais en même temps je me demande est-ce que c'est pas plus sain finalement d'écouter son corps et de rentrer plutôt que de vouloir forcer le truc et se dire je vais tirer sur la réserve je vais tirer je vais tirer je vais tirer et repousser les limites et du coup de se dire je vais rester éveillé plus longtemps que ce que je devrais et du coup de compenser parce qu'il y a forcément un moment donné où vous allez avoir le retour de bâton en termes de santé etc mais voilà aujourd'hui je me dis qu'il n'y a pas de mal à rentrer plus tôt que ce qu'il faut, il ne faut pas être gêné et c'est des potes qui ne... tolère pas ce truc là, bah en fait c'est pas vos potes, donc juste barrez-vous quoi et votre corps il vous dit c'est le moment de s'en poser, bah voilà faut l'accepter c'est pas grave quoi Moi je me sens beaucoup mieux le lendemain matin, je le sens en pleine forme et je kiffe en fait le fait de pouvoir les montrer dès le lendemain matin etc. Alors que mes potes ils sont tous en PLS parce qu'ils ont trop picolé quoi. Et ça c'est un plaisir qui est différent c'est certain mais qui fait vraiment kiffer quoi, qui fait vraiment kiffer. Donc ouais ça c'est la décompression, il est nécessaire à avoir, vous devez avoir votre plan d'action que vous déclenchez en cas d'extrême urgence quoi. Clairement et puis soyez malin quoi, vous n'êtes pas obligé de prendre une bière. Peut-être buvez un verre de cidre si vraiment c'est un truc que vous avez absolument envie. Buvez des bières sans alcool, ça a le même goût. Concrètement, ça a vraiment le même goût. Honnêtement, pour en avoir bu des tonnes, ça a le même goût. Et puis voyez aussi que vous économisez tellement de calories que vous pouvez réinvestir sur d'autres types de bouffe que vous n'avez vachement plus kiffé. Ce bon cheesecake avec la framboise, c'est de la balle. Alors maintenant, la question qui va se poser en dernière partie de cet épisode, c'est qu'est-ce que je vais faire pour la suite ? En fait, je vais ni plus ni moins continuer sur la lancée. En gros, est-ce que je vais continuer sur cette voie ? La réponse est un grand oui. Je ne vois aucune raison de revenir en arrière. Aucune, aucune, aucune. Les bénéfices que j'ai obtenus sont largement trop précieux pour revenir en arrière et être sacrifié. Je sens que sur ce truc-là, j'ai envie de continuer à fond et de me sentir en pleine position de mon articulité mentale, de la précision de mes pensées, d'être énergique, d'avoir envie d'eux. Parce que c'est ça, dans le premier épisode, j'avais beaucoup insisté sur ce truc-là, mais j'ai retrouvé l'envie d'eux. J'ai retrouvé la flamme, les petits papillons dans le ventre de quand tu lances un projet, de quand tu as envie de mener des trucs à bien, etc. Et c'est ça, en fait, qui fait toute la différence. Et c'est pour ça, en fait, que ma vie, elle est tellement bien aujourd'hui, elle est tellement cool. Je suis tellement moins stressé, je suis tellement moins pressurisé. Je prends tellement des trucs moins à cœur. Je prends tellement tout de la meilleure des manières. Je ressens tellement aussi les choses que je ne ressentais pas depuis longtemps. J'étais anesthésié avec l'alcool. J'étais neutre sur tout. Et là, je ressens aussi des émotions qui sont peut-être négatives, de violences, de choses qui sont vachement plus humaines, qui me rapprochent beaucoup plus de moi. Ce que je ressens, ça reconnecte vachement plus avec le moi en profondeur qu'en fait eux. J'ai aucune raison, mais alors strictement aucune raison de revenir en arrière. Mais attention, encore une fois, je ne milite pas pour que vous ne buviez pas d'alcool. Je crois que l'alcool, ça ne doit juste pas être une habitude automatique. Et c'est ça la conclusion. Ça doit être juste un choix conscient et que vous devez siper chacune des gorgées. Vous devez conscientiver chacune des gorgées. Vous devez kiffer chacune des gorgées. Si vous choisissez de boire, faites-le parce que vous en avez vraiment envie, parce que vous en avez réellement envie, et pas parce que c'est tout ce que tout le monde fait. de mon côté moi je suis heureux de la personne que je suis devenue, je me sens aligné je me sens aligné avec mes valeurs avec mes objectifs, ma vision de la vie et des choses et je suis impatient de voir ce que me réserve le futur et ce que réserve le futur à système et à tous les projets que je mène en parallèle de ça parce que c'est aussi pour ça c'est aussi ça le truc c'est que je peux me permettre de mener à bien plein de trucs différents parce que j'ai du temps, parce que j'ai de l'énergie parce que j'ai l'envie, parce que j'ai tout ça et c'est ça qui est trop cool et donc pour conclure ces deux années sans alcool ça a été une vraie transformation pour moi c'était pas seulement un défi, pas seulement un truc où je me disais à Paris c'était un voyage en fait et ce voyage m'a permis de mieux me connaître de me reconnecter avec qui je suis de comprendre qui j'étais vraiment et ce qui était vraiment important pour moi et ce qui était moins important pour moi et j'espère que cet épisode ça vous a fait réfléchir parce que je pense que beaucoup d'entre vous vous posez des questions je pense que beaucoup d'entre vous hésitez parce que vous avez peur et c'est normal, peur de l'image que vous allez renvoyer, peur de perdre vos potes, peur d'être seul, peur de ne plus être vous même de ne plus être le mec ou la nana cool en soirée qui fait rire tout le monde parce qu'il est un peu bourré peur de pas savoir quoi dire en soirée, d'avoir des blancs à ce sujet moi j'ai deux choses à vous dire, c'est que Je ne vous demanderai jamais de dire c'est qui votre meilleur ami ? Une bonne question, je ne sais plus où j'avais entendu ça, mais une bonne question pour savoir qui est votre meilleur ami, c'est de se poser la question avec qui vous êtes le plus à l'aise qu'il y ait des blancs dans la conversation. Et plus vous êtes à l'aise qu'il y ait des blancs dans la conversation, plus ça veut dire que potentiellement c'est votre meilleur pote. Je trouvais ce truc-là hyper, hyper, hyper smart. Donc ouais, tout ça pour conclure que... La première année, c'était vraiment le défi. C'était vraiment le pari de est-ce que je suis capable de voir ce que ça allait faire, d'arrêter de boire ? Et en fait, l'année 2, c'est la validation de mon ADN de je suis PE et en fait, je ne bois pas Et que tu peux me décapsuler, on l'a déjà fait des bières devant mes yeux. Tu peux me dire allez, fais pas le con, bois de l'alcool bah en fait ça n'est plus moi en fait et je suis totalement à l'aise avec ça et c'est totalement ok et même maintenant aujourd'hui j'ai des petites blagues en fait parce que c'est à tel point pour vous dire que dans la société d'aujourd'hui c'est pas normal en fait de pas boire j'ai pas que j'étais obligé mais c'est que je suis obligé de faire des blagues en fait de pourquoi je bois pas alors on dit ah tu bois pas et tout et je réponds bah non je prends que de la drogue et ça aussi ça fait rigoler ah t'es con Et on passe à autre chose en fait, on fait pas chier le pourquoi tu bois pas etc. Donc pas que ça me fait chier d'en reparler etc. Mais c'est juste que souvent quand tu bois pas aujourd'hui c'est soit parce que t'es musulman, soit parce que c'est que pour ça quoi, ou de confession juive ou quoi que ce soit, c'est pour des raisons religieuses en tout cas. Il n'y a pas beaucoup d'autres raisons qui font que tu bois pas d'alcool ou parce que t'es enceinte. Et donc comme c'est ni gain ni lot dans mon cas, il n'y a pas de raison à donner, c'est juste que je ne bois pas l'alcool. Et donc c'est ce que j'explique, que ma vie est vachement mieux sans alcool. Les petits potes, c'était assez long, j'ai pas mal digressé, j'espère que ça vous a, je ne sais pas si ça vous a inspiré, motivé ou autre. Il y a des gens qui vont arrêter pendant un mois et qui ne voient aucun effet, il y a des gens qui arrêtent pendant deux mois et qui ne voient aucun effet. Moi je les ai sentis des effets directs, parce que je pense qu'il faut aussi un peu y croire. Tout ce que je peux vous dire c'est que... Mon compte en banque, c'est à ce chiffre en milliers d'euros, et même, je dirais peut-être pas dizaines de milliers d'euros, mais beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup d'argent. Calories s'en portent mille fois mieux, c'est-à-dire que je peux bouffer beaucoup plus de bouffe qui me semble très bonne, et j'adore le chocolat pour ceux qui veulent m'en envoyer pour Noël, avec grand plaisir. Et globalement, en fait... il n'y a que des bénéfices à arrêter de boire. Vous êtes moins fatigué, vous êtes moins stressé, il y a tout ce qu'il faut. Mais en fait, vous voyez, c'est comme vous mettre tous les bénéfices sous les yeux, ça ne va pas vous convaincre d'arrêter de boire. Je pense que c'est surtout le côté où vous devez faire le chemin de votre côté, de se dire, est-ce que c'est le bon timing ? Et si vous posez la question, testez deux semaines. Et puis vous verrez bien si ça fait une différence ou pas. Le seul truc qui va être dur pour vous, c'est pas d'arrêter de boire de l'alcool, ça va être de la suivi en société, comme je vous l'ai déjà dit. Là-dessus, je vous envoie tout mon courage possible et imaginable. Comme dirait le Raptor, ça vous permet aussi de creuser l'écart et de valoriser, affirmer votre différence par rapport à la masse. Parce que si vous écoutez ce podcast, est-ce que vous avez envie d'être la masse ? Si vous écoutez ce podcast, c'est aussi parce que vous êtes intéressé par décortiquer les systèmes des top performers. Et donc, j'imagine que, en fait, quelque part, être différent, ouais, c'est un acte de foi, ouais, c'est un acte d'engagement. Mais d'un autre côté, est-ce que ce n'est pas ça que vous cherchez aussi ? essayez de reconnecter avec la petite version de vous plus jeune et ce petit garçon, cette petite fille qu'est-ce qu'elle penserait de vous aujourd'hui moi c'est ça que je me dis si cette petite fille ou ce petit garçon est ok avec le fait que vous buvez de l'alcool de temps en temps ou que vous mettez des caisses fine, tout va bien, vous ne changez rien si vous posez des questions que vous ne vous sentez pas aligné que vous sentez que vous méritez peut-être mieux ou que vous dites bon qu'il y a des moments où vous buvez de l'alcool pour combler des trucs, des peurs, des craintes, des émotions négatives, des mondes de trous, des moments pour s'anéxésier. Ça vaut peut-être le coup de tester de ne pas boire, ça vaut peut-être le coup de tester de voir quelqu'un, ça vaut peut-être le coup d'essayer de mettre en place des choses. Je vous envoie tout mon amour, et je le dis sincèrement, si vous avez... besoin de parler de quoi que ce soit, envoyez-moi un message, je suis très chaud de vous parler. Je sais que c'est des épisodes qui sont compliqués à faire et qui peuvent impacter beaucoup de personnes, qui ont impacté déjà beaucoup de personnes, et j'en suis tellement, tellement, tellement heureux. N'oubliez pas, encore, juste pour finir, c'est pas un sujet de privation, d'accord ? L'idée, c'est pas de s'enfermer nous-mêmes avec des décisions que vous avez pas mûries et pas eu envie. C'est plutôt une collection de se découvrir soi-même et se donner la chance de vivre pleinement avec plus de clarté, plus d'émotions, plus de réalignement. Comme toujours, je serais évidemment ravi d'entendre vos retours, vos questions, vos expériences. N'hésitez pas à taguer cet épisode et de le partager en story, parce que je pense que ça peut aider des dizaines de milliers de personnes. Et encore une fois, n'hésitez pas à me laisser un commentaire, un like, un follow, des étoiles, etc. Un message même, dans mes réseaux privés ou publics ou autres, parce que c'est pour ce genre d'épisode que j'ai fait le podcast. C'est pour impacter le plus de monde possible. Et c'est pour entraîner vers des trucs positifs le plus de monde possible. C'est pour ça aujourd'hui que je ne suis pas engagé en politique parce que je pense que ce genre d'épisode-là... peut impacter mille fois plus de personnes que tout ce qu'on pourrait voter demain dans une urne. Je vous embrasse, c'était PE et ma vie, elle est tellement mieux. Je suis tellement heureux aujourd'hui. Vous ne pouvez même pas imaginer à quel point. Voilà. Sur ces belles paroles, je vous souhaite une excellente semaine. Je vous dis à lundi prochain. C'était PE. Ciao.