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Tête Haute

Agir malgré la peur (quand on a peur de tout)

Agir malgré la peur (quand on a peur de tout)

11min |05/05/2025
Play
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11min |05/05/2025
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Description

Peur de déplaire, de décevoir, d'être jugé, de demander un truc, d'exprimer ses besoins...

Jte donne un truc INFAILLIBLE pour réussir malgré tout à faire ce que tu rêves de faire (ou dire), même si t'as tendance à te cacher dans les coulisses de ta vie 🤭

Tu m'as connue avec Mangeuse Libre ou à la radio ? Découvre maintenant Tête Haute !

___

Instagram @aurorekennis


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    S'émanciper, oser, dire non, prendre sa place, s'autoriser, exister. Tête haute, le podcast de l'affirmation de soi. Salut, c'est Aurore Kennis. Je suis ravie de te retrouver dans ce nouveau podcast. D'ailleurs, tu m'as peut-être connu avec le podcast Mangeuse Libre où je te parle de rapport à la nourriture. Eh bien ici, je t'apprends à t'affirmer au quotidien. Et aujourd'hui, on va voir comment agir malgré la peur pour réaliser ce qui est vraiment important pour soi. Allez, on est parti pour ce premier épisode de Tête haute. T'auras toujours peur. Toujours, toujours, toujours. T'auras peur de faire ce que tu veux vraiment faire. T'auras peur de demander une augmentation, par exemple. T'auras peur de dire ce que tu penses. T'auras peur de déplaire, de décevoir, d'être jugée. Bref, t'auras toujours peur. Et pour faire face à ça, je vais te donner un truc efficace pour agir malgré la peur, au lieu d'attendre de... plus avoir peur ou d'être une personne confiante pour agir. Parce que ça, c'est un coup à y être encore dans dix ans. Je te dis ça parce que, pour ma part, j'ai raté un nombre incalculable d'opportunités de vie parce que, justement, j'avais peur. Du coup, je remettais au lendemain, j'attendais, je me sabotais, je laissais passer les trains, comme on dit. Et puis un jour, à force d'avoir des regrets, de voir des gens réaliser ce que moi, je rêvais de faire et de rester planté sur le quai, j'ai commencé à agir malgré la peur, à faire avec la peur. Et c'est ce que je te transmets aujourd'hui. Je te disais que j'allais te donner un truc, mais en fait, je vais t'en donner trois. On est généreux aujourd'hui. D'abord, tu vas prendre ta peur sous le bras. D'ailleurs, c'est très probablement le titre de cet épisode. Ensuite, tu vas cesser d'attendre d'être une personne confiante pour pouvoir agir. Et enfin, tu vas arrêter de t'écouter. Alors oui, je sais, c'est contre-intuitif, mais je vais t'expliquer ma logique et tu vas capter le truc. Ce podcast, il est vraiment basé sur mes années d'accompagnement, mais surtout, il est basé sur mon expérience et toutes les gamelles que je me suis prises et le temps que j'ai perdu dans la vie, tout le bullshit que je me suis raconté, etc. Donc, le premier truc, c'est que tu vas prendre ta peur sous le bras. La peur, elle est normale. Fais avec elle. Prends-la sous ton bras et fais avec. qu'elle n'attend plus de ne pas avoir peur. Ça ne va pas arriver. La peur, elle est normale. En particulier quand tu t'apprêtes à faire un truc important pour toi où il y a de l'enjeu. Alors, deux avantages à prendre ta peur sous le bras. D'abord, ne plus stagner et ensuite, ne pas mettre ton cerveau en lutte contre toi. Parce que plus tu vas forcer, plus tu vas mettre ton cerveau et tout ton être et ton subconscient avec. en lutte contre toi. Donc prendre ta peur sous le bras et faire doucement avec cette peur, intégrer et accepter cette peur, c'est un moyen simple de te dépasser sans forcer. Et quand je dis te dépasser, c'est dépasser le toi actuel, le toi habituel, ce vieux toi dans lequel tu es peut-être un petit peu empêtré. Prends ta peur sous le bras, ça c'est le premier truc que je voulais te dire. Cesse d'attendre d'être une personne. confiante, c'est le deuxième point que je voulais aborder avec toi. Tu vas pouvoir agir un pas après l'autre, 1% par 1%, et la confiance va venir à force de réorienter ton vieux comportement, ce comportement actuel dans lequel tu es un peu empêtré, vers ce nouveau comportement qui est de faire, qui est d'être une personne qui agit. Alors, il y a une bonne et une mauvaise nouvelle. Je commence par la bonne. Ce n'est pas la bonne façon de faire, mais ce n'est pas grave. Bonne nouvelle. Ton cerveau, il est plastique. Ça veut dire que tu peux toujours apprendre une nouvelle façon d'agir. Tu peux toujours le reprogrammer. Mais, mauvaise nouvelle, ton cerveau, il est aussi fainéant. Il va aller au plus facile. Il va aller à l'habituel. Donc, pour le berner un peu, on ne va pas agir à coup de grands pas. On ne va pas faire des grands kilomètres d'un coup. On va y aller. Petit à petit, parce que sinon, on risque encore une fois de ne pas faire et de procrastiner. On agit un pas après l'autre. Alors, exemple. Quand j'ai commencé le podcast, je faisais des interviews. Alors, c'était super, ça m'a beaucoup appris, puis j'ai rencontré des gens géniaux. Mais c'est aussi parce que je me sentais incapable de parler seule dans un micro. Donc, je n'allais pas devenir animatrice radio en matinale à ce moment-là. J'ai commencé petit. J'ai ensuite créé des mini capsules audio sur Insta, à l'époque sur le compte Mangeuse Libre, puis ensuite des formats plus longs, puis ensuite des lives, et puis j'ai créé le programme de coaching audio Mangeuse Libre, je l'ai amélioré, je l'ai refait, je l'ai vendu, puis après j'ai pris le micro devant des gens, en conférence, etc. Et tout ça, ça a pris du temps, ça a même pris des années, et j'ai fait un pas après l'autre. Donc ça c'est pour te montrer, avec un exemple perso, qu'en fait en faisant un pas après l'autre, on n'a pas besoin d'attendre. Attendre d'être une personne confiante, juste on fait et puis la confiance elle vient en faisant. Et puis la peur elle diminue aussi en faisant. Et c'est comme ça qu'on continue de prendre confiance. Dans le même esprit, comme tu vas t'apercevoir que cette approche elle est efficace, le fait de cesser d'attendre d'être une personne confiante et de commencer à marcher, commencer à avancer, et bien tu vas aussi commencer à aimer l'inconfort. Pourquoi ? Parce que... Si tu ressens de l'inconfort, alors encore une fois, on ne vise pas le traumatisme, c'est un inconfort léger, progressif. Si tu es dans l'inconfort, ça veut dire que tu avances, ça veut dire que tu changes, ça veut dire que tu te désencroutes. Ce mot n'existe pas, mais tu comprends l'image. Aimer l'inconfort, c'est un peu la partie maso du processus, mais ça va te donner un feedback, ça va te montrer que les choses avancent. cesse d'attendre d'être une personne confiante pour... Agir, ça c'était le deuxième point. Si tu me rejoins en cours de route, je m'appelle Aurore Kenis, je suis coach et animatrice radio, et avec Tête haute, je te guide sur le chemin de l'affirmation de toi. Et pour faire connaissance, rejoins-moi sur Instagram, at Aurore Kenis. Troisième et dernier point, cesse de t'écouter. Et là, je vais préciser tout de suite ma pensée, parce que je vais me prendre les foudres des coachs et thérapeutes dont je fais partie. Quand je te dis cesse de t'écouter, c'est cesse d'écouter la partie de toi qui ne t'arrange pas. Parfois, on croit qu'on écoute notre intuition, mais en réalité, on laisse trop de place à la peur, on n'est pas en train de la prendre sous notre aile, et de faire avec elle, on est en train de la laisser nous paralyser et passer à côté de ce qui est important. Donc, quand tu t'écoutes, vérifie quelle version de toi tu écoutes. Est-ce que c'est la version ? coincé ou est-ce que c'est la version qui veut réaliser ce qui est important pour toi ? Alors une fois n'est pas coutume, je te redonne un exemple personnel. J'adore prendre la parole en public, franchement ce n'est pas un scoop. J'adore parler dans un micro, à la radio, parler devant un groupe de gens, etc. Mais quand j'ai créé ma première entreprise, Mangeuse Libre, avant de réaliser le podcast du même nom, j'ai opté pour une newsletter. A l'époque, une newsletter quotidienne, autant dire que j'ai pas chômé. Donc j'ai mis de côté cette joie que j'ai de te parler pour l'écriture. Alors ça a marché, la quotidienne de mangeuse libre elle était très lue, ça m'a aussi permis de me faire connaître etc. Et je me suis raconté que c'était la voie à suivre, la seule et unique. A l'époque d'ailleurs, les entrepreneurs ne juraient que par l'écriture pour faire connaître leur boîte etc. Mais le plus important, qu'est-ce qui se cachait vraiment derrière ce choix ? qui avait l'air éclairé, d'écrire au lieu de parler. Alors que mon truc à moi, c'est parler. Bien sûr que je voulais te parler. D'ailleurs, tous mes potes, mon mec, ma petite voix intérieure, etc. Tout le monde me demandait, mais pourquoi tu te casses la tête à écrire 800 mots par jour alors que t'es faite pour parler ? Et alors moi, de mon côté, j'avais plein de super justifications. C'est mieux, c'est ce qu'il faut faire, c'est comme ça que ça marche, c'est ce que m'a dit mon coach, tout le monde fait ça, etc. Mais la vérité, c'est que je tournais au... Autour du pot, je tournais autour de ce truc essentiel à ma vie qui est de parler dans un micro parce que j'avais peur de me faire confiance et de me foirer. Alors on pourrait aussi aller plus loin et se dire que c'était de l'autosabotage, que j'avais peur de réussir, etc. Mais ça, c'est un autre sujet. Ça fera peut-être l'objet d'un autre épisode. Mais bref, au lieu de faire avec ma peur, petit à petit, j'ai attendu d'être prête. Spoiler alert. Évidemment, je n'ai jamais été prête. On n'est jamais prêt. Et je me suis enfoncée dans mon entêtement et j'ai fini par très mal le vivre parce qu'en plus, je m'imposais à un rythme effréné. Sans surprise, ma boîte a décollé quand j'ai lancé le podcast Mangeuses Libres et mes capsules audio à l'époque sur le compte Insta de Mangeuses Libres. Et bien oui, sans surprise, j'ai juste perdu trois ans au bas mot. En résumé des trois points qu'on vient de voir ensemble. Premièrement, fais avec la peur. Prends ta peur sous le bras et avancez ensemble un pas après l'autre. Fais avec elle, n'attends pas qu'elle disparaisse et ne fais pas non plus contre elle, sinon tu risques vraiment de te faire avoir. Deuxièmement, n'attends pas... plus d'être une personne confiante pour agir. Ça ne sert à rien. C'est en forgeant qu'on devient forgeron. Donc juste, fais. N'attends plus. Et enfin, n'écoute que la partie de toi qui veut avancer. Au détriment de celle qui a tendance à rester bloquée dans les coulisses de ta vie. Écoute cette partie le plus souvent possible. Des fois, ça ne marchera pas. Des fois, tu vas rester coincé. C'est normal, c'est ok. Ça prend du temps. Mais écoute cette partie de toi qui veut avancer. le plus souvent possible. C'est comme ça que tu deviendras confiante sans même te rendre compte et que tu arrêteras de laisser passer les trains, c'est-à-dire de laisser passer ce qui est important pour toi. En attendant le prochain épisode, rejoins-moi sur Instagram, et si l'épisode t'a plu, je t'invite à me laisser des étoiles sur Spotify, Deezer ou Apple Podcasts, ça m'aide. énormément et ça m'encourage à créer pour toi de nouveaux épisodes. A bientôt dans Tête haute !

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Peur de déplaire, de décevoir, d'être jugé, de demander un truc, d'exprimer ses besoins...

Jte donne un truc INFAILLIBLE pour réussir malgré tout à faire ce que tu rêves de faire (ou dire), même si t'as tendance à te cacher dans les coulisses de ta vie 🤭

Tu m'as connue avec Mangeuse Libre ou à la radio ? Découvre maintenant Tête Haute !

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    S'émanciper, oser, dire non, prendre sa place, s'autoriser, exister. Tête haute, le podcast de l'affirmation de soi. Salut, c'est Aurore Kennis. Je suis ravie de te retrouver dans ce nouveau podcast. D'ailleurs, tu m'as peut-être connu avec le podcast Mangeuse Libre où je te parle de rapport à la nourriture. Eh bien ici, je t'apprends à t'affirmer au quotidien. Et aujourd'hui, on va voir comment agir malgré la peur pour réaliser ce qui est vraiment important pour soi. Allez, on est parti pour ce premier épisode de Tête haute. T'auras toujours peur. Toujours, toujours, toujours. T'auras peur de faire ce que tu veux vraiment faire. T'auras peur de demander une augmentation, par exemple. T'auras peur de dire ce que tu penses. T'auras peur de déplaire, de décevoir, d'être jugée. Bref, t'auras toujours peur. Et pour faire face à ça, je vais te donner un truc efficace pour agir malgré la peur, au lieu d'attendre de... plus avoir peur ou d'être une personne confiante pour agir. Parce que ça, c'est un coup à y être encore dans dix ans. Je te dis ça parce que, pour ma part, j'ai raté un nombre incalculable d'opportunités de vie parce que, justement, j'avais peur. Du coup, je remettais au lendemain, j'attendais, je me sabotais, je laissais passer les trains, comme on dit. Et puis un jour, à force d'avoir des regrets, de voir des gens réaliser ce que moi, je rêvais de faire et de rester planté sur le quai, j'ai commencé à agir malgré la peur, à faire avec la peur. Et c'est ce que je te transmets aujourd'hui. Je te disais que j'allais te donner un truc, mais en fait, je vais t'en donner trois. On est généreux aujourd'hui. D'abord, tu vas prendre ta peur sous le bras. D'ailleurs, c'est très probablement le titre de cet épisode. Ensuite, tu vas cesser d'attendre d'être une personne confiante pour pouvoir agir. Et enfin, tu vas arrêter de t'écouter. Alors oui, je sais, c'est contre-intuitif, mais je vais t'expliquer ma logique et tu vas capter le truc. Ce podcast, il est vraiment basé sur mes années d'accompagnement, mais surtout, il est basé sur mon expérience et toutes les gamelles que je me suis prises et le temps que j'ai perdu dans la vie, tout le bullshit que je me suis raconté, etc. Donc, le premier truc, c'est que tu vas prendre ta peur sous le bras. La peur, elle est normale. Fais avec elle. Prends-la sous ton bras et fais avec. qu'elle n'attend plus de ne pas avoir peur. Ça ne va pas arriver. La peur, elle est normale. En particulier quand tu t'apprêtes à faire un truc important pour toi où il y a de l'enjeu. Alors, deux avantages à prendre ta peur sous le bras. D'abord, ne plus stagner et ensuite, ne pas mettre ton cerveau en lutte contre toi. Parce que plus tu vas forcer, plus tu vas mettre ton cerveau et tout ton être et ton subconscient avec. en lutte contre toi. Donc prendre ta peur sous le bras et faire doucement avec cette peur, intégrer et accepter cette peur, c'est un moyen simple de te dépasser sans forcer. Et quand je dis te dépasser, c'est dépasser le toi actuel, le toi habituel, ce vieux toi dans lequel tu es peut-être un petit peu empêtré. Prends ta peur sous le bras, ça c'est le premier truc que je voulais te dire. Cesse d'attendre d'être une personne. confiante, c'est le deuxième point que je voulais aborder avec toi. Tu vas pouvoir agir un pas après l'autre, 1% par 1%, et la confiance va venir à force de réorienter ton vieux comportement, ce comportement actuel dans lequel tu es un peu empêtré, vers ce nouveau comportement qui est de faire, qui est d'être une personne qui agit. Alors, il y a une bonne et une mauvaise nouvelle. Je commence par la bonne. Ce n'est pas la bonne façon de faire, mais ce n'est pas grave. Bonne nouvelle. Ton cerveau, il est plastique. Ça veut dire que tu peux toujours apprendre une nouvelle façon d'agir. Tu peux toujours le reprogrammer. Mais, mauvaise nouvelle, ton cerveau, il est aussi fainéant. Il va aller au plus facile. Il va aller à l'habituel. Donc, pour le berner un peu, on ne va pas agir à coup de grands pas. On ne va pas faire des grands kilomètres d'un coup. On va y aller. Petit à petit, parce que sinon, on risque encore une fois de ne pas faire et de procrastiner. On agit un pas après l'autre. Alors, exemple. Quand j'ai commencé le podcast, je faisais des interviews. Alors, c'était super, ça m'a beaucoup appris, puis j'ai rencontré des gens géniaux. Mais c'est aussi parce que je me sentais incapable de parler seule dans un micro. Donc, je n'allais pas devenir animatrice radio en matinale à ce moment-là. J'ai commencé petit. J'ai ensuite créé des mini capsules audio sur Insta, à l'époque sur le compte Mangeuse Libre, puis ensuite des formats plus longs, puis ensuite des lives, et puis j'ai créé le programme de coaching audio Mangeuse Libre, je l'ai amélioré, je l'ai refait, je l'ai vendu, puis après j'ai pris le micro devant des gens, en conférence, etc. Et tout ça, ça a pris du temps, ça a même pris des années, et j'ai fait un pas après l'autre. Donc ça c'est pour te montrer, avec un exemple perso, qu'en fait en faisant un pas après l'autre, on n'a pas besoin d'attendre. Attendre d'être une personne confiante, juste on fait et puis la confiance elle vient en faisant. Et puis la peur elle diminue aussi en faisant. Et c'est comme ça qu'on continue de prendre confiance. Dans le même esprit, comme tu vas t'apercevoir que cette approche elle est efficace, le fait de cesser d'attendre d'être une personne confiante et de commencer à marcher, commencer à avancer, et bien tu vas aussi commencer à aimer l'inconfort. Pourquoi ? Parce que... Si tu ressens de l'inconfort, alors encore une fois, on ne vise pas le traumatisme, c'est un inconfort léger, progressif. Si tu es dans l'inconfort, ça veut dire que tu avances, ça veut dire que tu changes, ça veut dire que tu te désencroutes. Ce mot n'existe pas, mais tu comprends l'image. Aimer l'inconfort, c'est un peu la partie maso du processus, mais ça va te donner un feedback, ça va te montrer que les choses avancent. cesse d'attendre d'être une personne confiante pour... Agir, ça c'était le deuxième point. Si tu me rejoins en cours de route, je m'appelle Aurore Kenis, je suis coach et animatrice radio, et avec Tête haute, je te guide sur le chemin de l'affirmation de toi. Et pour faire connaissance, rejoins-moi sur Instagram, at Aurore Kenis. Troisième et dernier point, cesse de t'écouter. Et là, je vais préciser tout de suite ma pensée, parce que je vais me prendre les foudres des coachs et thérapeutes dont je fais partie. Quand je te dis cesse de t'écouter, c'est cesse d'écouter la partie de toi qui ne t'arrange pas. Parfois, on croit qu'on écoute notre intuition, mais en réalité, on laisse trop de place à la peur, on n'est pas en train de la prendre sous notre aile, et de faire avec elle, on est en train de la laisser nous paralyser et passer à côté de ce qui est important. Donc, quand tu t'écoutes, vérifie quelle version de toi tu écoutes. Est-ce que c'est la version ? coincé ou est-ce que c'est la version qui veut réaliser ce qui est important pour toi ? Alors une fois n'est pas coutume, je te redonne un exemple personnel. J'adore prendre la parole en public, franchement ce n'est pas un scoop. J'adore parler dans un micro, à la radio, parler devant un groupe de gens, etc. Mais quand j'ai créé ma première entreprise, Mangeuse Libre, avant de réaliser le podcast du même nom, j'ai opté pour une newsletter. A l'époque, une newsletter quotidienne, autant dire que j'ai pas chômé. Donc j'ai mis de côté cette joie que j'ai de te parler pour l'écriture. Alors ça a marché, la quotidienne de mangeuse libre elle était très lue, ça m'a aussi permis de me faire connaître etc. Et je me suis raconté que c'était la voie à suivre, la seule et unique. A l'époque d'ailleurs, les entrepreneurs ne juraient que par l'écriture pour faire connaître leur boîte etc. Mais le plus important, qu'est-ce qui se cachait vraiment derrière ce choix ? qui avait l'air éclairé, d'écrire au lieu de parler. Alors que mon truc à moi, c'est parler. Bien sûr que je voulais te parler. D'ailleurs, tous mes potes, mon mec, ma petite voix intérieure, etc. Tout le monde me demandait, mais pourquoi tu te casses la tête à écrire 800 mots par jour alors que t'es faite pour parler ? Et alors moi, de mon côté, j'avais plein de super justifications. C'est mieux, c'est ce qu'il faut faire, c'est comme ça que ça marche, c'est ce que m'a dit mon coach, tout le monde fait ça, etc. Mais la vérité, c'est que je tournais au... Autour du pot, je tournais autour de ce truc essentiel à ma vie qui est de parler dans un micro parce que j'avais peur de me faire confiance et de me foirer. Alors on pourrait aussi aller plus loin et se dire que c'était de l'autosabotage, que j'avais peur de réussir, etc. Mais ça, c'est un autre sujet. Ça fera peut-être l'objet d'un autre épisode. Mais bref, au lieu de faire avec ma peur, petit à petit, j'ai attendu d'être prête. Spoiler alert. Évidemment, je n'ai jamais été prête. On n'est jamais prêt. Et je me suis enfoncée dans mon entêtement et j'ai fini par très mal le vivre parce qu'en plus, je m'imposais à un rythme effréné. Sans surprise, ma boîte a décollé quand j'ai lancé le podcast Mangeuses Libres et mes capsules audio à l'époque sur le compte Insta de Mangeuses Libres. Et bien oui, sans surprise, j'ai juste perdu trois ans au bas mot. En résumé des trois points qu'on vient de voir ensemble. Premièrement, fais avec la peur. Prends ta peur sous le bras et avancez ensemble un pas après l'autre. Fais avec elle, n'attends pas qu'elle disparaisse et ne fais pas non plus contre elle, sinon tu risques vraiment de te faire avoir. Deuxièmement, n'attends pas... plus d'être une personne confiante pour agir. Ça ne sert à rien. C'est en forgeant qu'on devient forgeron. Donc juste, fais. N'attends plus. Et enfin, n'écoute que la partie de toi qui veut avancer. Au détriment de celle qui a tendance à rester bloquée dans les coulisses de ta vie. Écoute cette partie le plus souvent possible. Des fois, ça ne marchera pas. Des fois, tu vas rester coincé. C'est normal, c'est ok. Ça prend du temps. Mais écoute cette partie de toi qui veut avancer. le plus souvent possible. C'est comme ça que tu deviendras confiante sans même te rendre compte et que tu arrêteras de laisser passer les trains, c'est-à-dire de laisser passer ce qui est important pour toi. En attendant le prochain épisode, rejoins-moi sur Instagram, et si l'épisode t'a plu, je t'invite à me laisser des étoiles sur Spotify, Deezer ou Apple Podcasts, ça m'aide. énormément et ça m'encourage à créer pour toi de nouveaux épisodes. A bientôt dans Tête haute !

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  • Speaker #0

    S'émanciper, oser, dire non, prendre sa place, s'autoriser, exister. Tête haute, le podcast de l'affirmation de soi. Salut, c'est Aurore Kennis. Je suis ravie de te retrouver dans ce nouveau podcast. D'ailleurs, tu m'as peut-être connu avec le podcast Mangeuse Libre où je te parle de rapport à la nourriture. Eh bien ici, je t'apprends à t'affirmer au quotidien. Et aujourd'hui, on va voir comment agir malgré la peur pour réaliser ce qui est vraiment important pour soi. Allez, on est parti pour ce premier épisode de Tête haute. T'auras toujours peur. Toujours, toujours, toujours. T'auras peur de faire ce que tu veux vraiment faire. T'auras peur de demander une augmentation, par exemple. T'auras peur de dire ce que tu penses. T'auras peur de déplaire, de décevoir, d'être jugée. Bref, t'auras toujours peur. Et pour faire face à ça, je vais te donner un truc efficace pour agir malgré la peur, au lieu d'attendre de... plus avoir peur ou d'être une personne confiante pour agir. Parce que ça, c'est un coup à y être encore dans dix ans. Je te dis ça parce que, pour ma part, j'ai raté un nombre incalculable d'opportunités de vie parce que, justement, j'avais peur. Du coup, je remettais au lendemain, j'attendais, je me sabotais, je laissais passer les trains, comme on dit. Et puis un jour, à force d'avoir des regrets, de voir des gens réaliser ce que moi, je rêvais de faire et de rester planté sur le quai, j'ai commencé à agir malgré la peur, à faire avec la peur. Et c'est ce que je te transmets aujourd'hui. Je te disais que j'allais te donner un truc, mais en fait, je vais t'en donner trois. On est généreux aujourd'hui. D'abord, tu vas prendre ta peur sous le bras. D'ailleurs, c'est très probablement le titre de cet épisode. Ensuite, tu vas cesser d'attendre d'être une personne confiante pour pouvoir agir. Et enfin, tu vas arrêter de t'écouter. Alors oui, je sais, c'est contre-intuitif, mais je vais t'expliquer ma logique et tu vas capter le truc. Ce podcast, il est vraiment basé sur mes années d'accompagnement, mais surtout, il est basé sur mon expérience et toutes les gamelles que je me suis prises et le temps que j'ai perdu dans la vie, tout le bullshit que je me suis raconté, etc. Donc, le premier truc, c'est que tu vas prendre ta peur sous le bras. La peur, elle est normale. Fais avec elle. Prends-la sous ton bras et fais avec. qu'elle n'attend plus de ne pas avoir peur. Ça ne va pas arriver. La peur, elle est normale. En particulier quand tu t'apprêtes à faire un truc important pour toi où il y a de l'enjeu. Alors, deux avantages à prendre ta peur sous le bras. D'abord, ne plus stagner et ensuite, ne pas mettre ton cerveau en lutte contre toi. Parce que plus tu vas forcer, plus tu vas mettre ton cerveau et tout ton être et ton subconscient avec. en lutte contre toi. Donc prendre ta peur sous le bras et faire doucement avec cette peur, intégrer et accepter cette peur, c'est un moyen simple de te dépasser sans forcer. Et quand je dis te dépasser, c'est dépasser le toi actuel, le toi habituel, ce vieux toi dans lequel tu es peut-être un petit peu empêtré. Prends ta peur sous le bras, ça c'est le premier truc que je voulais te dire. Cesse d'attendre d'être une personne. confiante, c'est le deuxième point que je voulais aborder avec toi. Tu vas pouvoir agir un pas après l'autre, 1% par 1%, et la confiance va venir à force de réorienter ton vieux comportement, ce comportement actuel dans lequel tu es un peu empêtré, vers ce nouveau comportement qui est de faire, qui est d'être une personne qui agit. Alors, il y a une bonne et une mauvaise nouvelle. Je commence par la bonne. Ce n'est pas la bonne façon de faire, mais ce n'est pas grave. Bonne nouvelle. Ton cerveau, il est plastique. Ça veut dire que tu peux toujours apprendre une nouvelle façon d'agir. Tu peux toujours le reprogrammer. Mais, mauvaise nouvelle, ton cerveau, il est aussi fainéant. Il va aller au plus facile. Il va aller à l'habituel. Donc, pour le berner un peu, on ne va pas agir à coup de grands pas. On ne va pas faire des grands kilomètres d'un coup. On va y aller. Petit à petit, parce que sinon, on risque encore une fois de ne pas faire et de procrastiner. On agit un pas après l'autre. Alors, exemple. Quand j'ai commencé le podcast, je faisais des interviews. Alors, c'était super, ça m'a beaucoup appris, puis j'ai rencontré des gens géniaux. Mais c'est aussi parce que je me sentais incapable de parler seule dans un micro. Donc, je n'allais pas devenir animatrice radio en matinale à ce moment-là. J'ai commencé petit. J'ai ensuite créé des mini capsules audio sur Insta, à l'époque sur le compte Mangeuse Libre, puis ensuite des formats plus longs, puis ensuite des lives, et puis j'ai créé le programme de coaching audio Mangeuse Libre, je l'ai amélioré, je l'ai refait, je l'ai vendu, puis après j'ai pris le micro devant des gens, en conférence, etc. Et tout ça, ça a pris du temps, ça a même pris des années, et j'ai fait un pas après l'autre. Donc ça c'est pour te montrer, avec un exemple perso, qu'en fait en faisant un pas après l'autre, on n'a pas besoin d'attendre. Attendre d'être une personne confiante, juste on fait et puis la confiance elle vient en faisant. Et puis la peur elle diminue aussi en faisant. Et c'est comme ça qu'on continue de prendre confiance. Dans le même esprit, comme tu vas t'apercevoir que cette approche elle est efficace, le fait de cesser d'attendre d'être une personne confiante et de commencer à marcher, commencer à avancer, et bien tu vas aussi commencer à aimer l'inconfort. Pourquoi ? Parce que... Si tu ressens de l'inconfort, alors encore une fois, on ne vise pas le traumatisme, c'est un inconfort léger, progressif. Si tu es dans l'inconfort, ça veut dire que tu avances, ça veut dire que tu changes, ça veut dire que tu te désencroutes. Ce mot n'existe pas, mais tu comprends l'image. Aimer l'inconfort, c'est un peu la partie maso du processus, mais ça va te donner un feedback, ça va te montrer que les choses avancent. cesse d'attendre d'être une personne confiante pour... Agir, ça c'était le deuxième point. Si tu me rejoins en cours de route, je m'appelle Aurore Kenis, je suis coach et animatrice radio, et avec Tête haute, je te guide sur le chemin de l'affirmation de toi. Et pour faire connaissance, rejoins-moi sur Instagram, at Aurore Kenis. Troisième et dernier point, cesse de t'écouter. Et là, je vais préciser tout de suite ma pensée, parce que je vais me prendre les foudres des coachs et thérapeutes dont je fais partie. Quand je te dis cesse de t'écouter, c'est cesse d'écouter la partie de toi qui ne t'arrange pas. Parfois, on croit qu'on écoute notre intuition, mais en réalité, on laisse trop de place à la peur, on n'est pas en train de la prendre sous notre aile, et de faire avec elle, on est en train de la laisser nous paralyser et passer à côté de ce qui est important. Donc, quand tu t'écoutes, vérifie quelle version de toi tu écoutes. Est-ce que c'est la version ? coincé ou est-ce que c'est la version qui veut réaliser ce qui est important pour toi ? Alors une fois n'est pas coutume, je te redonne un exemple personnel. J'adore prendre la parole en public, franchement ce n'est pas un scoop. J'adore parler dans un micro, à la radio, parler devant un groupe de gens, etc. Mais quand j'ai créé ma première entreprise, Mangeuse Libre, avant de réaliser le podcast du même nom, j'ai opté pour une newsletter. A l'époque, une newsletter quotidienne, autant dire que j'ai pas chômé. Donc j'ai mis de côté cette joie que j'ai de te parler pour l'écriture. Alors ça a marché, la quotidienne de mangeuse libre elle était très lue, ça m'a aussi permis de me faire connaître etc. Et je me suis raconté que c'était la voie à suivre, la seule et unique. A l'époque d'ailleurs, les entrepreneurs ne juraient que par l'écriture pour faire connaître leur boîte etc. Mais le plus important, qu'est-ce qui se cachait vraiment derrière ce choix ? qui avait l'air éclairé, d'écrire au lieu de parler. Alors que mon truc à moi, c'est parler. Bien sûr que je voulais te parler. D'ailleurs, tous mes potes, mon mec, ma petite voix intérieure, etc. Tout le monde me demandait, mais pourquoi tu te casses la tête à écrire 800 mots par jour alors que t'es faite pour parler ? Et alors moi, de mon côté, j'avais plein de super justifications. C'est mieux, c'est ce qu'il faut faire, c'est comme ça que ça marche, c'est ce que m'a dit mon coach, tout le monde fait ça, etc. Mais la vérité, c'est que je tournais au... Autour du pot, je tournais autour de ce truc essentiel à ma vie qui est de parler dans un micro parce que j'avais peur de me faire confiance et de me foirer. Alors on pourrait aussi aller plus loin et se dire que c'était de l'autosabotage, que j'avais peur de réussir, etc. Mais ça, c'est un autre sujet. Ça fera peut-être l'objet d'un autre épisode. Mais bref, au lieu de faire avec ma peur, petit à petit, j'ai attendu d'être prête. Spoiler alert. Évidemment, je n'ai jamais été prête. On n'est jamais prêt. Et je me suis enfoncée dans mon entêtement et j'ai fini par très mal le vivre parce qu'en plus, je m'imposais à un rythme effréné. Sans surprise, ma boîte a décollé quand j'ai lancé le podcast Mangeuses Libres et mes capsules audio à l'époque sur le compte Insta de Mangeuses Libres. Et bien oui, sans surprise, j'ai juste perdu trois ans au bas mot. En résumé des trois points qu'on vient de voir ensemble. Premièrement, fais avec la peur. Prends ta peur sous le bras et avancez ensemble un pas après l'autre. Fais avec elle, n'attends pas qu'elle disparaisse et ne fais pas non plus contre elle, sinon tu risques vraiment de te faire avoir. Deuxièmement, n'attends pas... plus d'être une personne confiante pour agir. Ça ne sert à rien. C'est en forgeant qu'on devient forgeron. Donc juste, fais. N'attends plus. Et enfin, n'écoute que la partie de toi qui veut avancer. Au détriment de celle qui a tendance à rester bloquée dans les coulisses de ta vie. Écoute cette partie le plus souvent possible. Des fois, ça ne marchera pas. Des fois, tu vas rester coincé. C'est normal, c'est ok. Ça prend du temps. Mais écoute cette partie de toi qui veut avancer. le plus souvent possible. C'est comme ça que tu deviendras confiante sans même te rendre compte et que tu arrêteras de laisser passer les trains, c'est-à-dire de laisser passer ce qui est important pour toi. En attendant le prochain épisode, rejoins-moi sur Instagram, et si l'épisode t'a plu, je t'invite à me laisser des étoiles sur Spotify, Deezer ou Apple Podcasts, ça m'aide. énormément et ça m'encourage à créer pour toi de nouveaux épisodes. A bientôt dans Tête haute !

Description

Peur de déplaire, de décevoir, d'être jugé, de demander un truc, d'exprimer ses besoins...

Jte donne un truc INFAILLIBLE pour réussir malgré tout à faire ce que tu rêves de faire (ou dire), même si t'as tendance à te cacher dans les coulisses de ta vie 🤭

Tu m'as connue avec Mangeuse Libre ou à la radio ? Découvre maintenant Tête Haute !

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Instagram @aurorekennis


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    S'émanciper, oser, dire non, prendre sa place, s'autoriser, exister. Tête haute, le podcast de l'affirmation de soi. Salut, c'est Aurore Kennis. Je suis ravie de te retrouver dans ce nouveau podcast. D'ailleurs, tu m'as peut-être connu avec le podcast Mangeuse Libre où je te parle de rapport à la nourriture. Eh bien ici, je t'apprends à t'affirmer au quotidien. Et aujourd'hui, on va voir comment agir malgré la peur pour réaliser ce qui est vraiment important pour soi. Allez, on est parti pour ce premier épisode de Tête haute. T'auras toujours peur. Toujours, toujours, toujours. T'auras peur de faire ce que tu veux vraiment faire. T'auras peur de demander une augmentation, par exemple. T'auras peur de dire ce que tu penses. T'auras peur de déplaire, de décevoir, d'être jugée. Bref, t'auras toujours peur. Et pour faire face à ça, je vais te donner un truc efficace pour agir malgré la peur, au lieu d'attendre de... plus avoir peur ou d'être une personne confiante pour agir. Parce que ça, c'est un coup à y être encore dans dix ans. Je te dis ça parce que, pour ma part, j'ai raté un nombre incalculable d'opportunités de vie parce que, justement, j'avais peur. Du coup, je remettais au lendemain, j'attendais, je me sabotais, je laissais passer les trains, comme on dit. Et puis un jour, à force d'avoir des regrets, de voir des gens réaliser ce que moi, je rêvais de faire et de rester planté sur le quai, j'ai commencé à agir malgré la peur, à faire avec la peur. Et c'est ce que je te transmets aujourd'hui. Je te disais que j'allais te donner un truc, mais en fait, je vais t'en donner trois. On est généreux aujourd'hui. D'abord, tu vas prendre ta peur sous le bras. D'ailleurs, c'est très probablement le titre de cet épisode. Ensuite, tu vas cesser d'attendre d'être une personne confiante pour pouvoir agir. Et enfin, tu vas arrêter de t'écouter. Alors oui, je sais, c'est contre-intuitif, mais je vais t'expliquer ma logique et tu vas capter le truc. Ce podcast, il est vraiment basé sur mes années d'accompagnement, mais surtout, il est basé sur mon expérience et toutes les gamelles que je me suis prises et le temps que j'ai perdu dans la vie, tout le bullshit que je me suis raconté, etc. Donc, le premier truc, c'est que tu vas prendre ta peur sous le bras. La peur, elle est normale. Fais avec elle. Prends-la sous ton bras et fais avec. qu'elle n'attend plus de ne pas avoir peur. Ça ne va pas arriver. La peur, elle est normale. En particulier quand tu t'apprêtes à faire un truc important pour toi où il y a de l'enjeu. Alors, deux avantages à prendre ta peur sous le bras. D'abord, ne plus stagner et ensuite, ne pas mettre ton cerveau en lutte contre toi. Parce que plus tu vas forcer, plus tu vas mettre ton cerveau et tout ton être et ton subconscient avec. en lutte contre toi. Donc prendre ta peur sous le bras et faire doucement avec cette peur, intégrer et accepter cette peur, c'est un moyen simple de te dépasser sans forcer. Et quand je dis te dépasser, c'est dépasser le toi actuel, le toi habituel, ce vieux toi dans lequel tu es peut-être un petit peu empêtré. Prends ta peur sous le bras, ça c'est le premier truc que je voulais te dire. Cesse d'attendre d'être une personne. confiante, c'est le deuxième point que je voulais aborder avec toi. Tu vas pouvoir agir un pas après l'autre, 1% par 1%, et la confiance va venir à force de réorienter ton vieux comportement, ce comportement actuel dans lequel tu es un peu empêtré, vers ce nouveau comportement qui est de faire, qui est d'être une personne qui agit. Alors, il y a une bonne et une mauvaise nouvelle. Je commence par la bonne. Ce n'est pas la bonne façon de faire, mais ce n'est pas grave. Bonne nouvelle. Ton cerveau, il est plastique. Ça veut dire que tu peux toujours apprendre une nouvelle façon d'agir. Tu peux toujours le reprogrammer. Mais, mauvaise nouvelle, ton cerveau, il est aussi fainéant. Il va aller au plus facile. Il va aller à l'habituel. Donc, pour le berner un peu, on ne va pas agir à coup de grands pas. On ne va pas faire des grands kilomètres d'un coup. On va y aller. Petit à petit, parce que sinon, on risque encore une fois de ne pas faire et de procrastiner. On agit un pas après l'autre. Alors, exemple. Quand j'ai commencé le podcast, je faisais des interviews. Alors, c'était super, ça m'a beaucoup appris, puis j'ai rencontré des gens géniaux. Mais c'est aussi parce que je me sentais incapable de parler seule dans un micro. Donc, je n'allais pas devenir animatrice radio en matinale à ce moment-là. J'ai commencé petit. J'ai ensuite créé des mini capsules audio sur Insta, à l'époque sur le compte Mangeuse Libre, puis ensuite des formats plus longs, puis ensuite des lives, et puis j'ai créé le programme de coaching audio Mangeuse Libre, je l'ai amélioré, je l'ai refait, je l'ai vendu, puis après j'ai pris le micro devant des gens, en conférence, etc. Et tout ça, ça a pris du temps, ça a même pris des années, et j'ai fait un pas après l'autre. Donc ça c'est pour te montrer, avec un exemple perso, qu'en fait en faisant un pas après l'autre, on n'a pas besoin d'attendre. Attendre d'être une personne confiante, juste on fait et puis la confiance elle vient en faisant. Et puis la peur elle diminue aussi en faisant. Et c'est comme ça qu'on continue de prendre confiance. Dans le même esprit, comme tu vas t'apercevoir que cette approche elle est efficace, le fait de cesser d'attendre d'être une personne confiante et de commencer à marcher, commencer à avancer, et bien tu vas aussi commencer à aimer l'inconfort. Pourquoi ? Parce que... Si tu ressens de l'inconfort, alors encore une fois, on ne vise pas le traumatisme, c'est un inconfort léger, progressif. Si tu es dans l'inconfort, ça veut dire que tu avances, ça veut dire que tu changes, ça veut dire que tu te désencroutes. Ce mot n'existe pas, mais tu comprends l'image. Aimer l'inconfort, c'est un peu la partie maso du processus, mais ça va te donner un feedback, ça va te montrer que les choses avancent. cesse d'attendre d'être une personne confiante pour... Agir, ça c'était le deuxième point. Si tu me rejoins en cours de route, je m'appelle Aurore Kenis, je suis coach et animatrice radio, et avec Tête haute, je te guide sur le chemin de l'affirmation de toi. Et pour faire connaissance, rejoins-moi sur Instagram, at Aurore Kenis. Troisième et dernier point, cesse de t'écouter. Et là, je vais préciser tout de suite ma pensée, parce que je vais me prendre les foudres des coachs et thérapeutes dont je fais partie. Quand je te dis cesse de t'écouter, c'est cesse d'écouter la partie de toi qui ne t'arrange pas. Parfois, on croit qu'on écoute notre intuition, mais en réalité, on laisse trop de place à la peur, on n'est pas en train de la prendre sous notre aile, et de faire avec elle, on est en train de la laisser nous paralyser et passer à côté de ce qui est important. Donc, quand tu t'écoutes, vérifie quelle version de toi tu écoutes. Est-ce que c'est la version ? coincé ou est-ce que c'est la version qui veut réaliser ce qui est important pour toi ? Alors une fois n'est pas coutume, je te redonne un exemple personnel. J'adore prendre la parole en public, franchement ce n'est pas un scoop. J'adore parler dans un micro, à la radio, parler devant un groupe de gens, etc. Mais quand j'ai créé ma première entreprise, Mangeuse Libre, avant de réaliser le podcast du même nom, j'ai opté pour une newsletter. A l'époque, une newsletter quotidienne, autant dire que j'ai pas chômé. Donc j'ai mis de côté cette joie que j'ai de te parler pour l'écriture. Alors ça a marché, la quotidienne de mangeuse libre elle était très lue, ça m'a aussi permis de me faire connaître etc. Et je me suis raconté que c'était la voie à suivre, la seule et unique. A l'époque d'ailleurs, les entrepreneurs ne juraient que par l'écriture pour faire connaître leur boîte etc. Mais le plus important, qu'est-ce qui se cachait vraiment derrière ce choix ? qui avait l'air éclairé, d'écrire au lieu de parler. Alors que mon truc à moi, c'est parler. Bien sûr que je voulais te parler. D'ailleurs, tous mes potes, mon mec, ma petite voix intérieure, etc. Tout le monde me demandait, mais pourquoi tu te casses la tête à écrire 800 mots par jour alors que t'es faite pour parler ? Et alors moi, de mon côté, j'avais plein de super justifications. C'est mieux, c'est ce qu'il faut faire, c'est comme ça que ça marche, c'est ce que m'a dit mon coach, tout le monde fait ça, etc. Mais la vérité, c'est que je tournais au... Autour du pot, je tournais autour de ce truc essentiel à ma vie qui est de parler dans un micro parce que j'avais peur de me faire confiance et de me foirer. Alors on pourrait aussi aller plus loin et se dire que c'était de l'autosabotage, que j'avais peur de réussir, etc. Mais ça, c'est un autre sujet. Ça fera peut-être l'objet d'un autre épisode. Mais bref, au lieu de faire avec ma peur, petit à petit, j'ai attendu d'être prête. Spoiler alert. Évidemment, je n'ai jamais été prête. On n'est jamais prêt. Et je me suis enfoncée dans mon entêtement et j'ai fini par très mal le vivre parce qu'en plus, je m'imposais à un rythme effréné. Sans surprise, ma boîte a décollé quand j'ai lancé le podcast Mangeuses Libres et mes capsules audio à l'époque sur le compte Insta de Mangeuses Libres. Et bien oui, sans surprise, j'ai juste perdu trois ans au bas mot. En résumé des trois points qu'on vient de voir ensemble. Premièrement, fais avec la peur. Prends ta peur sous le bras et avancez ensemble un pas après l'autre. Fais avec elle, n'attends pas qu'elle disparaisse et ne fais pas non plus contre elle, sinon tu risques vraiment de te faire avoir. Deuxièmement, n'attends pas... plus d'être une personne confiante pour agir. Ça ne sert à rien. C'est en forgeant qu'on devient forgeron. Donc juste, fais. N'attends plus. Et enfin, n'écoute que la partie de toi qui veut avancer. Au détriment de celle qui a tendance à rester bloquée dans les coulisses de ta vie. Écoute cette partie le plus souvent possible. Des fois, ça ne marchera pas. Des fois, tu vas rester coincé. C'est normal, c'est ok. Ça prend du temps. Mais écoute cette partie de toi qui veut avancer. le plus souvent possible. C'est comme ça que tu deviendras confiante sans même te rendre compte et que tu arrêteras de laisser passer les trains, c'est-à-dire de laisser passer ce qui est important pour toi. En attendant le prochain épisode, rejoins-moi sur Instagram, et si l'épisode t'a plu, je t'invite à me laisser des étoiles sur Spotify, Deezer ou Apple Podcasts, ça m'aide. énormément et ça m'encourage à créer pour toi de nouveaux épisodes. A bientôt dans Tête haute !

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