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Alan Geaam, la cuisine est un sport de combat

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19min |26/07/2023
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Dans ce cinquième épisode, retour sur le parcours hors norme du chef d'origine libanaise Alan Geaam. 

Son histoire, pavée d'humilité et de combativité, commence à Tripoli, une enfance marquée par la guerre civile et l'odeur des plats de sa mère, cuisinées au fond de la cave à l'abri des bombardements. À 25 ans, il quitte le foyer familial et gagne la France, «un pays où on peut réaliser ses rêves». Clandestin dans la région parisienne, arabophone, ses journées démarrent tôt sur des chantiers et finissent tard à faire le ménage dans un restaurant libanais. Un matin, le cuisinier tombe malade: il lâche son balai pour se mettre aux fourneaux. Les clients découvrent alors l’étendue de son talent, que lui-même ignorait. Depuis, l'autodidacte hyperactif et passionné n'a cessé de gravir les échelons, jusqu'à la consécration. En 2017, il ouvre sa table éponyme dans le 16e arrondissement de Paris et devient le premier, et le seul, chef d’origine libanaise à obtenir une étoile au Michelin.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Dans ce cinquième épisode, retour sur le parcours hors norme du chef d'origine libanaise Alan Geaam. 

Son histoire, pavée d'humilité et de combativité, commence à Tripoli, une enfance marquée par la guerre civile et l'odeur des plats de sa mère, cuisinées au fond de la cave à l'abri des bombardements. À 25 ans, il quitte le foyer familial et gagne la France, «un pays où on peut réaliser ses rêves». Clandestin dans la région parisienne, arabophone, ses journées démarrent tôt sur des chantiers et finissent tard à faire le ménage dans un restaurant libanais. Un matin, le cuisinier tombe malade: il lâche son balai pour se mettre aux fourneaux. Les clients découvrent alors l’étendue de son talent, que lui-même ignorait. Depuis, l'autodidacte hyperactif et passionné n'a cessé de gravir les échelons, jusqu'à la consécration. En 2017, il ouvre sa table éponyme dans le 16e arrondissement de Paris et devient le premier, et le seul, chef d’origine libanaise à obtenir une étoile au Michelin.


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Son histoire, pavée d'humilité et de combativité, commence à Tripoli, une enfance marquée par la guerre civile et l'odeur des plats de sa mère, cuisinées au fond de la cave à l'abri des bombardements. À 25 ans, il quitte le foyer familial et gagne la France, «un pays où on peut réaliser ses rêves». Clandestin dans la région parisienne, arabophone, ses journées démarrent tôt sur des chantiers et finissent tard à faire le ménage dans un restaurant libanais. Un matin, le cuisinier tombe malade: il lâche son balai pour se mettre aux fourneaux. Les clients découvrent alors l’étendue de son talent, que lui-même ignorait. Depuis, l'autodidacte hyperactif et passionné n'a cessé de gravir les échelons, jusqu'à la consécration. En 2017, il ouvre sa table éponyme dans le 16e arrondissement de Paris et devient le premier, et le seul, chef d’origine libanaise à obtenir une étoile au Michelin.


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