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RTVV 117 Mourir dans la dignité, c'est aussi un droit humain fondamental, avec Christiane Bues de l'association ADMD

RTVV 117 Mourir dans la dignité, c'est aussi un droit humain fondamental, avec Christiane Bues de l'association ADMD

14min |09/11/2025|

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14min |09/11/2025|

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Description

Aujourd’hui, sur K.T.B Radio, nous donnons la parole à Christiane Bues, déléguée départementale des Hautes-Alpes de l’ADMD – Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité.

Alors que la société française s’interroge sur une évolution législative en faveur d’une aide active à mourir, l’ADMD continue d’appeler au respect du choix de chaque citoyen face à la mort, dans la dignité et la compassion.

Depuis plus de vingt ans, l’ADMD milite pour que chacun puisse choisir librement et sereinement sa fin de vie. Dans les Hautes-Alpes, Christiane Bues œuvre avec conviction pour informer, dialoguer et sensibiliser le public sur les directives anticipées. À travers des rencontres, des conférences et un accompagnement de proximité, elle rappelle que le débat sur la fin de vie concerne chacun d’entre nous, quel que soit notre âge ou notre parcours. L’ADMD milite pour qu’une loi française reconnaisse le droit à l’aide active à mourir, permettant aux personnes atteintes de maladies graves et incurables de mettre fin à leurs souffrances dans un cadre médical et éthique, avec transparence et sécurité.

Alors que la France reste prudente sur cette question, nos voisins européens ont déjà franchi le pas, c’est le cas de la Suisse et de la Belgique. En France, la loi Claeys-Leonetti de 2016 permet uniquement une sédation profonde et continue jusqu’au décès, mais sans possibilité d’acte direct visant à abréger la vie.

Pour l’ADMD, cette législation reste insuffisante. Après trois ans de reports et de débats suspendus, le gouvernement français devrait enfin présenter en 2026 un projet de loi sur la fin de vie, longtemps attendu par les associations et les citoyens favorables à une aide active à mourir.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Aujourd’hui, sur K.T.B Radio, nous donnons la parole à Christiane Bues, déléguée départementale des Hautes-Alpes de l’ADMD – Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité.

Alors que la société française s’interroge sur une évolution législative en faveur d’une aide active à mourir, l’ADMD continue d’appeler au respect du choix de chaque citoyen face à la mort, dans la dignité et la compassion.

Depuis plus de vingt ans, l’ADMD milite pour que chacun puisse choisir librement et sereinement sa fin de vie. Dans les Hautes-Alpes, Christiane Bues œuvre avec conviction pour informer, dialoguer et sensibiliser le public sur les directives anticipées. À travers des rencontres, des conférences et un accompagnement de proximité, elle rappelle que le débat sur la fin de vie concerne chacun d’entre nous, quel que soit notre âge ou notre parcours. L’ADMD milite pour qu’une loi française reconnaisse le droit à l’aide active à mourir, permettant aux personnes atteintes de maladies graves et incurables de mettre fin à leurs souffrances dans un cadre médical et éthique, avec transparence et sécurité.

Alors que la France reste prudente sur cette question, nos voisins européens ont déjà franchi le pas, c’est le cas de la Suisse et de la Belgique. En France, la loi Claeys-Leonetti de 2016 permet uniquement une sédation profonde et continue jusqu’au décès, mais sans possibilité d’acte direct visant à abréger la vie.

Pour l’ADMD, cette législation reste insuffisante. Après trois ans de reports et de débats suspendus, le gouvernement français devrait enfin présenter en 2026 un projet de loi sur la fin de vie, longtemps attendu par les associations et les citoyens favorables à une aide active à mourir.



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Alors que la société française s’interroge sur une évolution législative en faveur d’une aide active à mourir, l’ADMD continue d’appeler au respect du choix de chaque citoyen face à la mort, dans la dignité et la compassion.

Depuis plus de vingt ans, l’ADMD milite pour que chacun puisse choisir librement et sereinement sa fin de vie. Dans les Hautes-Alpes, Christiane Bues œuvre avec conviction pour informer, dialoguer et sensibiliser le public sur les directives anticipées. À travers des rencontres, des conférences et un accompagnement de proximité, elle rappelle que le débat sur la fin de vie concerne chacun d’entre nous, quel que soit notre âge ou notre parcours. L’ADMD milite pour qu’une loi française reconnaisse le droit à l’aide active à mourir, permettant aux personnes atteintes de maladies graves et incurables de mettre fin à leurs souffrances dans un cadre médical et éthique, avec transparence et sécurité.

Alors que la France reste prudente sur cette question, nos voisins européens ont déjà franchi le pas, c’est le cas de la Suisse et de la Belgique. En France, la loi Claeys-Leonetti de 2016 permet uniquement une sédation profonde et continue jusqu’au décès, mais sans possibilité d’acte direct visant à abréger la vie.

Pour l’ADMD, cette législation reste insuffisante. Après trois ans de reports et de débats suspendus, le gouvernement français devrait enfin présenter en 2026 un projet de loi sur la fin de vie, longtemps attendu par les associations et les citoyens favorables à une aide active à mourir.



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Depuis plus de vingt ans, l’ADMD milite pour que chacun puisse choisir librement et sereinement sa fin de vie. Dans les Hautes-Alpes, Christiane Bues œuvre avec conviction pour informer, dialoguer et sensibiliser le public sur les directives anticipées. À travers des rencontres, des conférences et un accompagnement de proximité, elle rappelle que le débat sur la fin de vie concerne chacun d’entre nous, quel que soit notre âge ou notre parcours. L’ADMD milite pour qu’une loi française reconnaisse le droit à l’aide active à mourir, permettant aux personnes atteintes de maladies graves et incurables de mettre fin à leurs souffrances dans un cadre médical et éthique, avec transparence et sécurité.

Alors que la France reste prudente sur cette question, nos voisins européens ont déjà franchi le pas, c’est le cas de la Suisse et de la Belgique. En France, la loi Claeys-Leonetti de 2016 permet uniquement une sédation profonde et continue jusqu’au décès, mais sans possibilité d’acte direct visant à abréger la vie.

Pour l’ADMD, cette législation reste insuffisante. Après trois ans de reports et de débats suspendus, le gouvernement français devrait enfin présenter en 2026 un projet de loi sur la fin de vie, longtemps attendu par les associations et les citoyens favorables à une aide active à mourir.



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