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#19 • Vivre avec la mort • Jean-Luc Verreaux cover
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Transmissions du futur

#19 • Vivre avec la mort • Jean-Luc Verreaux

#19 • Vivre avec la mort • Jean-Luc Verreaux

34min |18/06/2020
Play
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#19 • Vivre avec la mort • Jean-Luc Verreaux

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34min |18/06/2020
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Description

Dans ce dix-neuvième épisode, je vous amène à réfléchir sur comment vivre avec la mort, en recevant à mon micro Jean-Luc Verreaux, co-fondateur de l'Institut des Futurs souhaitables, l’école de la réinvention à Paris.


Épisode conçu sur « Juste Après (Live) »
Fredericks, Goldman, Jones


« La question ce n’est pas de savoir 

ce qu’il y a au bout du chemin, 

c’est de savoir ce qu’on fait du chemin. »


Je suis très fière et très émue de pouvoir porter publiquement ce sujet qui me tient à cœur, et qui me semble incontournable au vu des récents évènements que nous avons tous traversés. Face à l’impuissance de la finitude, comment ouvrir le champ de futurs souhaitables ?


Pour en parler, j’avais envie d’une voix, d’un vécu et d’une réflexion d’homme qui nous amène à envisager la mort sous un angle philosophique et socio-économique. Actuellement en formation Innovation, Prospective & Transformation des organisations au sein l’Institut des Futurs souhaitables, il m’a semblé évident d’aller connecter l’information à la source et vous la partager.


Jean-Luc Verreaux a co-fondé l’Institut il y a 10 ans, avec Mathieu Baudin, historien et prospectiviste, pour « imaginer demain à l’aune de ce qu’il pourrait être de mieux » . Formations, conférences, outils et ateliers y sont proposés pour s’évader en conscience vers un 2040 réussi. Ils sont dingues. J’adore.


Psychologue de formation, après un parcours de DRH, Jean-Luc y assure aujourd’hui le management général, anime les dynamiques de groupe et valorise l’apprentissage d’un vivre ensemble riche des désaccords de chacun. Œil de lynx et parole précise, son regard sur la mort nous éclaire sur nos limites, et sur notre capacité à les transformer pour un meilleur à être et à devenir ensemble.


« Regarder en face

les limites du système,

nos propres limites 

& imaginer ensemble

des futurs souhaitables. »


Dans cet épisode, on parle ensemble tout azimut de repenser nos modèles de développement, de croissance infinie dans un monde fini, de stratégies d’évitement du vide, de reconnexion au vivant, de contribuer collectivement à quelque chose qui nous dépasse, d’alignement avec ses valeurs, de qualité de relation à l’autre, de sortir de nos rythmes de vie effrénés, de regarder en face nos zones d’ombre… conditions sine qua none pour intégrer la mort dans la vie, et prendre conscience de sa préciosité.


« Ce n’est pas de la morbidité 

de se connecter à sa propre mort, 

c’est au contraire une opportunité 

de dingue de pouvoir choisir sa vie 

et de la vivre pleinement. »


Bon voyage !


( La voix que vous entendez au début et à la fin du podcast est celle de Lambert Wilson, dans un extrait du film "L'Odyssée" où il tient le rôle de Jean-Jacques Cousteau. )

(( Cet épisode est dédié à Sylvie Estrade, une femme chère à mon cœur dont j'ai appris le décès au moment où je finissais de monter cet épisode. ))


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans ce dix-neuvième épisode, je vous amène à réfléchir sur comment vivre avec la mort, en recevant à mon micro Jean-Luc Verreaux, co-fondateur de l'Institut des Futurs souhaitables, l’école de la réinvention à Paris.


Épisode conçu sur « Juste Après (Live) »
Fredericks, Goldman, Jones


« La question ce n’est pas de savoir 

ce qu’il y a au bout du chemin, 

c’est de savoir ce qu’on fait du chemin. »


Je suis très fière et très émue de pouvoir porter publiquement ce sujet qui me tient à cœur, et qui me semble incontournable au vu des récents évènements que nous avons tous traversés. Face à l’impuissance de la finitude, comment ouvrir le champ de futurs souhaitables ?


Pour en parler, j’avais envie d’une voix, d’un vécu et d’une réflexion d’homme qui nous amène à envisager la mort sous un angle philosophique et socio-économique. Actuellement en formation Innovation, Prospective & Transformation des organisations au sein l’Institut des Futurs souhaitables, il m’a semblé évident d’aller connecter l’information à la source et vous la partager.


Jean-Luc Verreaux a co-fondé l’Institut il y a 10 ans, avec Mathieu Baudin, historien et prospectiviste, pour « imaginer demain à l’aune de ce qu’il pourrait être de mieux » . Formations, conférences, outils et ateliers y sont proposés pour s’évader en conscience vers un 2040 réussi. Ils sont dingues. J’adore.


Psychologue de formation, après un parcours de DRH, Jean-Luc y assure aujourd’hui le management général, anime les dynamiques de groupe et valorise l’apprentissage d’un vivre ensemble riche des désaccords de chacun. Œil de lynx et parole précise, son regard sur la mort nous éclaire sur nos limites, et sur notre capacité à les transformer pour un meilleur à être et à devenir ensemble.


« Regarder en face

les limites du système,

nos propres limites 

& imaginer ensemble

des futurs souhaitables. »


Dans cet épisode, on parle ensemble tout azimut de repenser nos modèles de développement, de croissance infinie dans un monde fini, de stratégies d’évitement du vide, de reconnexion au vivant, de contribuer collectivement à quelque chose qui nous dépasse, d’alignement avec ses valeurs, de qualité de relation à l’autre, de sortir de nos rythmes de vie effrénés, de regarder en face nos zones d’ombre… conditions sine qua none pour intégrer la mort dans la vie, et prendre conscience de sa préciosité.


« Ce n’est pas de la morbidité 

de se connecter à sa propre mort, 

c’est au contraire une opportunité 

de dingue de pouvoir choisir sa vie 

et de la vivre pleinement. »


Bon voyage !


( La voix que vous entendez au début et à la fin du podcast est celle de Lambert Wilson, dans un extrait du film "L'Odyssée" où il tient le rôle de Jean-Jacques Cousteau. )

(( Cet épisode est dédié à Sylvie Estrade, une femme chère à mon cœur dont j'ai appris le décès au moment où je finissais de monter cet épisode. ))


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Dans ce dix-neuvième épisode, je vous amène à réfléchir sur comment vivre avec la mort, en recevant à mon micro Jean-Luc Verreaux, co-fondateur de l'Institut des Futurs souhaitables, l’école de la réinvention à Paris.


Épisode conçu sur « Juste Après (Live) »
Fredericks, Goldman, Jones


« La question ce n’est pas de savoir 

ce qu’il y a au bout du chemin, 

c’est de savoir ce qu’on fait du chemin. »


Je suis très fière et très émue de pouvoir porter publiquement ce sujet qui me tient à cœur, et qui me semble incontournable au vu des récents évènements que nous avons tous traversés. Face à l’impuissance de la finitude, comment ouvrir le champ de futurs souhaitables ?


Pour en parler, j’avais envie d’une voix, d’un vécu et d’une réflexion d’homme qui nous amène à envisager la mort sous un angle philosophique et socio-économique. Actuellement en formation Innovation, Prospective & Transformation des organisations au sein l’Institut des Futurs souhaitables, il m’a semblé évident d’aller connecter l’information à la source et vous la partager.


Jean-Luc Verreaux a co-fondé l’Institut il y a 10 ans, avec Mathieu Baudin, historien et prospectiviste, pour « imaginer demain à l’aune de ce qu’il pourrait être de mieux » . Formations, conférences, outils et ateliers y sont proposés pour s’évader en conscience vers un 2040 réussi. Ils sont dingues. J’adore.


Psychologue de formation, après un parcours de DRH, Jean-Luc y assure aujourd’hui le management général, anime les dynamiques de groupe et valorise l’apprentissage d’un vivre ensemble riche des désaccords de chacun. Œil de lynx et parole précise, son regard sur la mort nous éclaire sur nos limites, et sur notre capacité à les transformer pour un meilleur à être et à devenir ensemble.


« Regarder en face

les limites du système,

nos propres limites 

& imaginer ensemble

des futurs souhaitables. »


Dans cet épisode, on parle ensemble tout azimut de repenser nos modèles de développement, de croissance infinie dans un monde fini, de stratégies d’évitement du vide, de reconnexion au vivant, de contribuer collectivement à quelque chose qui nous dépasse, d’alignement avec ses valeurs, de qualité de relation à l’autre, de sortir de nos rythmes de vie effrénés, de regarder en face nos zones d’ombre… conditions sine qua none pour intégrer la mort dans la vie, et prendre conscience de sa préciosité.


« Ce n’est pas de la morbidité 

de se connecter à sa propre mort, 

c’est au contraire une opportunité 

de dingue de pouvoir choisir sa vie 

et de la vivre pleinement. »


Bon voyage !


( La voix que vous entendez au début et à la fin du podcast est celle de Lambert Wilson, dans un extrait du film "L'Odyssée" où il tient le rôle de Jean-Jacques Cousteau. )

(( Cet épisode est dédié à Sylvie Estrade, une femme chère à mon cœur dont j'ai appris le décès au moment où je finissais de monter cet épisode. ))


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Description

Dans ce dix-neuvième épisode, je vous amène à réfléchir sur comment vivre avec la mort, en recevant à mon micro Jean-Luc Verreaux, co-fondateur de l'Institut des Futurs souhaitables, l’école de la réinvention à Paris.


Épisode conçu sur « Juste Après (Live) »
Fredericks, Goldman, Jones


« La question ce n’est pas de savoir 

ce qu’il y a au bout du chemin, 

c’est de savoir ce qu’on fait du chemin. »


Je suis très fière et très émue de pouvoir porter publiquement ce sujet qui me tient à cœur, et qui me semble incontournable au vu des récents évènements que nous avons tous traversés. Face à l’impuissance de la finitude, comment ouvrir le champ de futurs souhaitables ?


Pour en parler, j’avais envie d’une voix, d’un vécu et d’une réflexion d’homme qui nous amène à envisager la mort sous un angle philosophique et socio-économique. Actuellement en formation Innovation, Prospective & Transformation des organisations au sein l’Institut des Futurs souhaitables, il m’a semblé évident d’aller connecter l’information à la source et vous la partager.


Jean-Luc Verreaux a co-fondé l’Institut il y a 10 ans, avec Mathieu Baudin, historien et prospectiviste, pour « imaginer demain à l’aune de ce qu’il pourrait être de mieux » . Formations, conférences, outils et ateliers y sont proposés pour s’évader en conscience vers un 2040 réussi. Ils sont dingues. J’adore.


Psychologue de formation, après un parcours de DRH, Jean-Luc y assure aujourd’hui le management général, anime les dynamiques de groupe et valorise l’apprentissage d’un vivre ensemble riche des désaccords de chacun. Œil de lynx et parole précise, son regard sur la mort nous éclaire sur nos limites, et sur notre capacité à les transformer pour un meilleur à être et à devenir ensemble.


« Regarder en face

les limites du système,

nos propres limites 

& imaginer ensemble

des futurs souhaitables. »


Dans cet épisode, on parle ensemble tout azimut de repenser nos modèles de développement, de croissance infinie dans un monde fini, de stratégies d’évitement du vide, de reconnexion au vivant, de contribuer collectivement à quelque chose qui nous dépasse, d’alignement avec ses valeurs, de qualité de relation à l’autre, de sortir de nos rythmes de vie effrénés, de regarder en face nos zones d’ombre… conditions sine qua none pour intégrer la mort dans la vie, et prendre conscience de sa préciosité.


« Ce n’est pas de la morbidité 

de se connecter à sa propre mort, 

c’est au contraire une opportunité 

de dingue de pouvoir choisir sa vie 

et de la vivre pleinement. »


Bon voyage !


( La voix que vous entendez au début et à la fin du podcast est celle de Lambert Wilson, dans un extrait du film "L'Odyssée" où il tient le rôle de Jean-Jacques Cousteau. )

(( Cet épisode est dédié à Sylvie Estrade, une femme chère à mon cœur dont j'ai appris le décès au moment où je finissais de monter cet épisode. ))


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