TF1 : La visite à Paris du père Pedro Opeka cover
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UFE Berlin

TF1 : La visite à Paris du père Pedro Opeka

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03min |04/07/2021|

84

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Description

« Un homme d’Église, un homme d’exception qui a sauvé des dizaines de milliers d’enfants, rejetés par la société, des familles entières, à Madagascar chaque année. « Du berceau au cimetière », plus de 500.000 personnes ont été secourues entre 1975 et 2021 ! Un lieu d’exclusion, de souffrance, de violence et de mort transformé à 60 kilomètres de la capitale malgache en un oasis d’espérance par la volonté d’un homme, le père Pedro Opeka. »[1] 


Six fois nominé pour le prix Nobel de la Paix... En 2020, Akamasoa n’a pas de chance : l’Amérique avait prévu de faire attribuer ce prix symbolique à… Donald Trump ! Et l’année d’avant au leader nord-coréen dont on n’a pas fini de mesurer le mérite en matière de paix dans le monde !  


Comme le montre très bien ce reportage présenté par Anne-Claire Coudray dans le 13 Heures de TF1,[2] le père Opeka ne pourrait réussir son sacerdoce sans une aide financière, d’où cette visite à Paris pour retrouver des fidèles. Son credo : « Il faudra vaincre la pauvreté pour pouvoir changer le monde. J'irai jusqu'au bout du monde chercher justice ».  


Il est surtout réconfortant de voir que parmi nos institutions qui soutiennent le père Pedro, il reste en France encore une ou deux institutions qui demeurent exemplaires.

C’est à se demander si les autres ne se sentent pas concernées par les grandes causes humanitaires, au-delà des paroles sans lendemain des « charlatans du bonheur » ?  


Aucun « politique » ne semble être concerné par le problème. Ils sont tous aux abonnés absents. Ils ont, il est vrai, leur priorité : être élus ou réélus. Pas même un geste pour vacciner 18 villages où règne une humanité hors du commun. Le « père Pedro » n’est pas le seul à chercher à comprendre cette « absence de sensibilité sociale des dirigeants qui ont oublié et tourné le dos aux peuples qui les ont élus ».

Il y a bien longtemps que la plupart de nos élus n’écoutent plus leurs peuples, même quand ils crient. Ceci explique sans aucun doute possible les abstentions abyssales que nous essayons de comprendre année après année, élection après élection. On comprend pourquoi le pape a été le seul homme d’État en septembre 2019 à visiter le complexe d’Akamasoa et à témoigner son soutien à son condisciple argentin, fidèle adepte de Saint-Vincent de Paul. 


L’exemple du père Pedro qui a su redonner leur dignité à des êtres abandonnés de tous par le travail et l’éducation, sans aucun doute, unique au monde, d’une réussite qui force l’admiration. Il gagne donc à être mieux connu.[3] 


Merci TF1 !  


Joël-François Dumont 

Ancien journaliste à TF1 

  

[1] Voir PourAkamasoa, la pauvreté n’est pas une fatalité 

[2] Reportage de Sébastien Renouil, Bertrand Lachet, Frédéric Mignard et Pauline Lormant 

[2] France : Les amis du père Pedro - Allemagne : Deutschland / Madagascar und Wir e.V.  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

« Un homme d’Église, un homme d’exception qui a sauvé des dizaines de milliers d’enfants, rejetés par la société, des familles entières, à Madagascar chaque année. « Du berceau au cimetière », plus de 500.000 personnes ont été secourues entre 1975 et 2021 ! Un lieu d’exclusion, de souffrance, de violence et de mort transformé à 60 kilomètres de la capitale malgache en un oasis d’espérance par la volonté d’un homme, le père Pedro Opeka. »[1] 


Six fois nominé pour le prix Nobel de la Paix... En 2020, Akamasoa n’a pas de chance : l’Amérique avait prévu de faire attribuer ce prix symbolique à… Donald Trump ! Et l’année d’avant au leader nord-coréen dont on n’a pas fini de mesurer le mérite en matière de paix dans le monde !  


Comme le montre très bien ce reportage présenté par Anne-Claire Coudray dans le 13 Heures de TF1,[2] le père Opeka ne pourrait réussir son sacerdoce sans une aide financière, d’où cette visite à Paris pour retrouver des fidèles. Son credo : « Il faudra vaincre la pauvreté pour pouvoir changer le monde. J'irai jusqu'au bout du monde chercher justice ».  


Il est surtout réconfortant de voir que parmi nos institutions qui soutiennent le père Pedro, il reste en France encore une ou deux institutions qui demeurent exemplaires.

C’est à se demander si les autres ne se sentent pas concernées par les grandes causes humanitaires, au-delà des paroles sans lendemain des « charlatans du bonheur » ?  


Aucun « politique » ne semble être concerné par le problème. Ils sont tous aux abonnés absents. Ils ont, il est vrai, leur priorité : être élus ou réélus. Pas même un geste pour vacciner 18 villages où règne une humanité hors du commun. Le « père Pedro » n’est pas le seul à chercher à comprendre cette « absence de sensibilité sociale des dirigeants qui ont oublié et tourné le dos aux peuples qui les ont élus ».

Il y a bien longtemps que la plupart de nos élus n’écoutent plus leurs peuples, même quand ils crient. Ceci explique sans aucun doute possible les abstentions abyssales que nous essayons de comprendre année après année, élection après élection. On comprend pourquoi le pape a été le seul homme d’État en septembre 2019 à visiter le complexe d’Akamasoa et à témoigner son soutien à son condisciple argentin, fidèle adepte de Saint-Vincent de Paul. 


L’exemple du père Pedro qui a su redonner leur dignité à des êtres abandonnés de tous par le travail et l’éducation, sans aucun doute, unique au monde, d’une réussite qui force l’admiration. Il gagne donc à être mieux connu.[3] 


Merci TF1 !  


Joël-François Dumont 

Ancien journaliste à TF1 

  

[1] Voir PourAkamasoa, la pauvreté n’est pas une fatalité 

[2] Reportage de Sébastien Renouil, Bertrand Lachet, Frédéric Mignard et Pauline Lormant 

[2] France : Les amis du père Pedro - Allemagne : Deutschland / Madagascar und Wir e.V.  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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« Un homme d’Église, un homme d’exception qui a sauvé des dizaines de milliers d’enfants, rejetés par la société, des familles entières, à Madagascar chaque année. « Du berceau au cimetière », plus de 500.000 personnes ont été secourues entre 1975 et 2021 ! Un lieu d’exclusion, de souffrance, de violence et de mort transformé à 60 kilomètres de la capitale malgache en un oasis d’espérance par la volonté d’un homme, le père Pedro Opeka. »[1] 


Six fois nominé pour le prix Nobel de la Paix... En 2020, Akamasoa n’a pas de chance : l’Amérique avait prévu de faire attribuer ce prix symbolique à… Donald Trump ! Et l’année d’avant au leader nord-coréen dont on n’a pas fini de mesurer le mérite en matière de paix dans le monde !  


Comme le montre très bien ce reportage présenté par Anne-Claire Coudray dans le 13 Heures de TF1,[2] le père Opeka ne pourrait réussir son sacerdoce sans une aide financière, d’où cette visite à Paris pour retrouver des fidèles. Son credo : « Il faudra vaincre la pauvreté pour pouvoir changer le monde. J'irai jusqu'au bout du monde chercher justice ».  


Il est surtout réconfortant de voir que parmi nos institutions qui soutiennent le père Pedro, il reste en France encore une ou deux institutions qui demeurent exemplaires.

C’est à se demander si les autres ne se sentent pas concernées par les grandes causes humanitaires, au-delà des paroles sans lendemain des « charlatans du bonheur » ?  


Aucun « politique » ne semble être concerné par le problème. Ils sont tous aux abonnés absents. Ils ont, il est vrai, leur priorité : être élus ou réélus. Pas même un geste pour vacciner 18 villages où règne une humanité hors du commun. Le « père Pedro » n’est pas le seul à chercher à comprendre cette « absence de sensibilité sociale des dirigeants qui ont oublié et tourné le dos aux peuples qui les ont élus ».

Il y a bien longtemps que la plupart de nos élus n’écoutent plus leurs peuples, même quand ils crient. Ceci explique sans aucun doute possible les abstentions abyssales que nous essayons de comprendre année après année, élection après élection. On comprend pourquoi le pape a été le seul homme d’État en septembre 2019 à visiter le complexe d’Akamasoa et à témoigner son soutien à son condisciple argentin, fidèle adepte de Saint-Vincent de Paul. 


L’exemple du père Pedro qui a su redonner leur dignité à des êtres abandonnés de tous par le travail et l’éducation, sans aucun doute, unique au monde, d’une réussite qui force l’admiration. Il gagne donc à être mieux connu.[3] 


Merci TF1 !  


Joël-François Dumont 

Ancien journaliste à TF1 

  

[1] Voir PourAkamasoa, la pauvreté n’est pas une fatalité 

[2] Reportage de Sébastien Renouil, Bertrand Lachet, Frédéric Mignard et Pauline Lormant 

[2] France : Les amis du père Pedro - Allemagne : Deutschland / Madagascar und Wir e.V.  


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« Un homme d’Église, un homme d’exception qui a sauvé des dizaines de milliers d’enfants, rejetés par la société, des familles entières, à Madagascar chaque année. « Du berceau au cimetière », plus de 500.000 personnes ont été secourues entre 1975 et 2021 ! Un lieu d’exclusion, de souffrance, de violence et de mort transformé à 60 kilomètres de la capitale malgache en un oasis d’espérance par la volonté d’un homme, le père Pedro Opeka. »[1] 


Six fois nominé pour le prix Nobel de la Paix... En 2020, Akamasoa n’a pas de chance : l’Amérique avait prévu de faire attribuer ce prix symbolique à… Donald Trump ! Et l’année d’avant au leader nord-coréen dont on n’a pas fini de mesurer le mérite en matière de paix dans le monde !  


Comme le montre très bien ce reportage présenté par Anne-Claire Coudray dans le 13 Heures de TF1,[2] le père Opeka ne pourrait réussir son sacerdoce sans une aide financière, d’où cette visite à Paris pour retrouver des fidèles. Son credo : « Il faudra vaincre la pauvreté pour pouvoir changer le monde. J'irai jusqu'au bout du monde chercher justice ».  


Il est surtout réconfortant de voir que parmi nos institutions qui soutiennent le père Pedro, il reste en France encore une ou deux institutions qui demeurent exemplaires.

C’est à se demander si les autres ne se sentent pas concernées par les grandes causes humanitaires, au-delà des paroles sans lendemain des « charlatans du bonheur » ?  


Aucun « politique » ne semble être concerné par le problème. Ils sont tous aux abonnés absents. Ils ont, il est vrai, leur priorité : être élus ou réélus. Pas même un geste pour vacciner 18 villages où règne une humanité hors du commun. Le « père Pedro » n’est pas le seul à chercher à comprendre cette « absence de sensibilité sociale des dirigeants qui ont oublié et tourné le dos aux peuples qui les ont élus ».

Il y a bien longtemps que la plupart de nos élus n’écoutent plus leurs peuples, même quand ils crient. Ceci explique sans aucun doute possible les abstentions abyssales que nous essayons de comprendre année après année, élection après élection. On comprend pourquoi le pape a été le seul homme d’État en septembre 2019 à visiter le complexe d’Akamasoa et à témoigner son soutien à son condisciple argentin, fidèle adepte de Saint-Vincent de Paul. 


L’exemple du père Pedro qui a su redonner leur dignité à des êtres abandonnés de tous par le travail et l’éducation, sans aucun doute, unique au monde, d’une réussite qui force l’admiration. Il gagne donc à être mieux connu.[3] 


Merci TF1 !  


Joël-François Dumont 

Ancien journaliste à TF1 

  

[1] Voir PourAkamasoa, la pauvreté n’est pas une fatalité 

[2] Reportage de Sébastien Renouil, Bertrand Lachet, Frédéric Mignard et Pauline Lormant 

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