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Un café au comptoir - interview art, culture et littérature cover
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Un café au comptoir - interview art, culture et littérature

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“Le comptoir d'un café est le parlement du peuple.” (Balzac)

Vous aimez l'art, la littérature et la culture ? venez prendre un café - l'occasion d'une interview !

Dans un café, tout le monde y passe et chacun s’y retrouve. Des ouvriers de chantier, des balayeurs de rue, des étudiantes, des pères de familles, des poétesses, des entrepreneurs, des personnes en télétravail, des artistes, des stars du showbizz, on peut y croiser n’importe qui, n’importe quand. C’est ce qui fait l’âme des lieux. Ici l'occasion d'une masterclass, on célèbre l'art, la littérature et la création !

Comme je ne suis pas le seul que ces lieux attirent, j’ai décidé d'y rencontrer des personnalités du monde de l'art, de la littérature, écrivains, musiciens, artistes, journalistes, tout ce qui participe à la culture pour, lors d'une rencontre, me faire découvrir à leur façon leur carrière, ce qui les inspire et le café où ils se sentent bien !


https://www.instagram.com/alexishimeros


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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“Le comptoir d'un café est le parlement du peuple.” (Balzac)

Vous aimez l'art, la littérature et la culture ? venez prendre un café - l'occasion d'une interview !

Dans un café, tout le monde y passe et chacun s’y retrouve. Des ouvriers de chantier, des balayeurs de rue, des étudiantes, des pères de familles, des poétesses, des entrepreneurs, des personnes en télétravail, des artistes, des stars du showbizz, on peut y croiser n’importe qui, n’importe quand. C’est ce qui fait l’âme des lieux. Ici l'occasion d'une masterclass, on célèbre l'art, la littérature et la création !

Comme je ne suis pas le seul que ces lieux attirent, j’ai décidé d'y rencontrer des personnalités du monde de l'art, de la littérature, écrivains, musiciens, artistes, journalistes, tout ce qui participe à la culture pour, lors d'une rencontre, me faire découvrir à leur façon leur carrière, ce qui les inspire et le café où ils se sentent bien !


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32 episodes

    Season 2

  • Sam sauvage, chanteur et musicien poly-instrumentiste,  musique pop. et vie d’artiste cover
    Sam sauvage, chanteur et musicien poly-instrumentiste,  musique pop. et vie d’artiste cover
    Sam sauvage, chanteur et musicien poly-instrumentiste, musique pop. et vie d’artiste

    Découvrez l’auteur compositeur Sam Sauvage, rocker de Boulogne sur mer dont les créations musicales font des succès sur Instagram et surtout en salle de concert ! Mon invité du jour est de ces artistes dont son public actuel pourra dire un jour « ah ce chanteur ! je l'ai vu débuter quand il faisait des vidéos dans sa chambre d'étudiant ! »   Il n’est pas trop tard, pour les regarder, ces montages où on voit, ce musicien évoluer dans son chez lui, dévoilant d’un côté ses posters de Gainsbourg et Birkin, de Jim Morrison, et masquant de l’autre, son linge sale mal planqué en haut des placards IKEA de son studio.   On se demande d’ailleurs comment il arrive à stocker tous les instruments qui l’ aident à composer sa musique tant il semble en sortir d’un peu partout   Il a beau être armé de ses guitares et de son synthétiseur, son atout, sa marque de fabrique, c’est sa voix.   Grave, Puissante, mais pas gueularde, elle évoque tout à la fois celle de Marc Lavoine mais sans le côté varietoche, Alain Bashung, mais en plus dansant ou Arthur H.     Et et je ne sais pas ce qu'il a en plus ou en moins par rapport à ce dernier mais ce n'est pas important . Ce qu'il a ce chanteur dont les 20 ans ne sont pas si éloignés c'est qu'il s'est fait tout seul à la force du poignet sur le manche de sa fender, donnant tout depuis 2017 à Saint Martin Boulogne face à la mer entre Calais et Le Touquet.   Jeune crooner fan de Bob Dylan il donne à écouter à longueur de vidéos courtes souvent décalées ses riffs funky façon année 90. Mais vous pouvez également découvrir son flot de bateleur sur le titre «  on est là » comme un clin d'œil à celui d'un rappeur belge dépressif. Ce gars du Nord tente beaucoup de choses et souvent c'est plutôt bien inspiré   Le public lui ne s'y trompe pas ses concerts parisiens sont vite sold out c'est-à-dire complets Et s'il a eu besoin de faire appel à une campagne de crowdfunding début 2023 pour finaliser la sortie de son EP c'est bien en parfait professionnel que vous pourrez le retrouver sur scène Si toutefois vous avez la chance d'avoir une place après l'écoute de ce podcast   C'est donc pour en savoir davantage sur ce qui l’ inspire, sur ses désirs et ses plans pour le futur que j'ai retrouvé ce jeune espoir de la chanson pop française au bar Les Affranchis boulevard Voltaire à Paris pour y prendre avec lui un café au comptoir !   présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ instagram Sam Sauvage : https://www.instagram.com/samsauvageoff Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    34min | Published on February 16, 2025

  • Charlotte Moreau, journaliste au magazine Elle et autrice parle de féminisme, de mode, et d'écriture cover
    Charlotte Moreau, journaliste au magazine Elle et autrice parle de féminisme, de mode, et d'écriture cover
    Charlotte Moreau, journaliste au magazine Elle et autrice parle de féminisme, de mode, et d'écriture

    Il est toujours intimidant d’interviewer de quelqu'un qui est à l'aise dans le rôle de l’interviewer . De brosser  le portrait de qui, précisément, maîtrise le coup de plume pour le faire , bref, d'être en face de celle ou celui qui utilise avec brio les mêmes armes que soi sur le grand champ de bataille de la vie.  Évidemment, pas question de duel entre mon invité et moi, tout ceci n'est qu'un jeu ! Et pour m’inspirer de son style, pourquoi ne pas tenter de marier élégamment légèreté et profondeur du propos ? D'ailleurs, à cette autrice, blogueuse, journaliste, podcasteuse, animatrice de Masterclass et d'ateliers d'écriture, capable de faire de Koh-Lanta un sujet de philo, je piquerai également l'art de citer Montesquieu « La gravité est le bonheur des imbéciles ».    Car oui, celle dont je parle, sans être  futile, sait néanmoins apporter  aux sujets qu’elle traite sa dose d’ d’humour. Je l’ai immédiatement compris quand j’ai découvert son pseudo  de blogueuse -Balibulle- évoquant   davantage  le nom d’un teletubbies que celui d'un disciple de Voltaire ou Rousseau. Et pourtant, cette fashionista dont on a souvent réduit  la biographie au nombre des chaussures qu’elle possédait a écrit un Anti-guide de la mode, essai – à mon sens- philosophique et humoristique sur les diktats vestimentaires de la vie moderne, devant lesquels nous sommes tous à égalité.  En gros, la mode, elle connaît, elle l'aime, mais elle sait également la mettre à distance.  De son jean  porté parfois  comme une armure, en passant par ses manteaux détournés en  repose fesses  le temps de l’écriture de ses articles de reporter jusqu’a ses accessoires- telle cette petite clé suspendue à un long sautoir qui lui a valu de supporter la goujaterie d'un dragueur de l'extrême- elle a tout noté, tout décodé, tout archivé.    Cette chroniqueuse du quotidien, qui analyse également les codes vestimentaires des femmes pour le magazine Elle, a donc entrepris depuis quelques années de se raconter et de partager ses souvenirs. Ainsi, en plus de la newsletter LE DEBRIEF, 2 récits en ligne sont à suivre sur la plateforme Kessel. Il y a eu Glory Box, qui narre les hauts et les bas de son expérience au journal Le Parisien, et 76 kilos, dans lequel l’autrice tente de décrypter son vécu, son époque et ses semblables par le prisme d’un poids qui évolue au fil de sa vie. L’histoire est en cours d'écriture et de diffusion à raison d’un chapitre par mois.    C'est donc pour discuter  de son goût pour les grands écarts thématiques, de son expertise dans l'organisation d’un vestiaire et de son incapacité à dormir dans un avion que j'ai retrouvé cette ex-fan de Justin Timberlake dans un café de son ancien quartier, chez Arthur et Juliette, et j’ai à présent l’honneur de prendre avec elle un café au comptoir. présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ instagram Charlotte Moreau : https://www.instagram.com/charlottemoreaubalibulle/ Interview enregistrée au café Arthur et Juliette : 51 Rue des Morillons, 75015 Paris Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    51min | Published on January 14, 2025

  • Sebastien Grimaud, l'Étymocurieux qui décrypte les mots nous parle réseaux sociaux, étymologie, politique et musique cover
    Sebastien Grimaud, l'Étymocurieux qui décrypte les mots nous parle réseaux sociaux, étymologie, politique et musique cover
    Sebastien Grimaud, l'Étymocurieux qui décrypte les mots nous parle réseaux sociaux, étymologie, politique et musique

    Sebastien Grimaud n’aime rien tant que partager son savoir. La langue française ne semble pas avoir de secret pour lui. Il la dissèque, la décompose, l’analyse, et vous l’offre en courtes pastilles dans des résumés très clairs et très drôles. Lui, son truc, c’est l’étymologie – du Grec "ἔτυμον" (étumon) signifiant "vrai sens"et –« λογία" (-logia) dérivé de "λόγος" (lógos) " la parole, le discours, la raison". Dire le vrai sens des mots. C’est exactement ce à quoi il s’attache dans ses videos qui sont à découvrir sur les réseaux sociaux.    Cet enseignant en lettres classiques, féru de latin et de grec ancien est devenu en quelques mois une des stars de l’instagram francophone avec son compte etymocurieux. Grâce à un savant mélange d’humour et d’érudition, il a réussi à capter l’attention et à séduire un public jeune en lui révélant l’origine de mots vieux comme le monde. C’est un succès (du latin successus – l’arrivée) même si pour lui, on le sent, cette aventure représente plus un nouveau départ.    Ses élèves devront donc patienter pour le revoir en chair et en os. Lui, n’arrête plus de plonger entre les pages de ses dictionnaires afin de présenter – entre autres - le vrai sens de canicule, de scrupule et même de testicule !    Ce trentenaire a remporté le pari de rendre l’étude de la langue de Molière, passionnante mais aussi vivante celle de Sénèque et celle de Platon. De surcroit, son tour de force est d’être parvenu à occuper le terrain contrôlé par le haul (de l’anglais butin) d’ influenceuses sur-botoxées sur-«maquillées et sur filtrées. D’être présent là où la concurrence est rude, ou le scroll infini vous inflige le visionnage de vidéos de chiens déguisés à l’occasion d’Halloween    Le Figaro, journal reconnu pour être très attaché au respect dû au patrimoine linguistique français a même consacré à ce Meldois (habitant de la ville de Meaux) une interview pour mettre à l’honneur son travail etymologique. Ils auraient pu tout autant mettre en lumière ses qualités d’organiste, de claveciniste ou de chef de chœur, trois des autres talents que possède ce personnage, bien éloigné du stéréotype du latiniste monomaniaque.    Et c’est pour en savoir davantage sur cet archéologue du mot et connaître ses prochains défis que je l’ai retrouvé dans un de ses lieux favoris où il aime à réfléchir, le Shack, situé dans les anciens bureaux de l’éditeur Calmann Levy, pour prendre avec lui un café au comptoir !    découvrez Sebastien Grimaud, l'Etymocurieux ! présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ instagram Sebastien Grimaud : https://www.instagram.com/etymocurieux/ Interview enregistrée au Shack Paris merci à eux ! https://leshack.fr Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    43min | Published on December 18, 2024

  • avec Guillaume Benoît, YouTuber (Révisons nos Classiques) pour son livre 49 histoires de la musique Classique cover
    avec Guillaume Benoît, YouTuber (Révisons nos Classiques) pour son livre 49 histoires de la musique Classique cover
    avec Guillaume Benoît, YouTuber (Révisons nos Classiques) pour son livre 49 histoires de la musique Classique

    J'adore la musique classique alors j'ai pris un café avec Guillaume Benoît qui sort son livre 49 petites histoires de la musique classique. Nous nous sommes installés au Café de Paris, place de l'Opéra pour discuter de tout cela. Lui, la première fois que je l’ai vu, il était confortablement installé dans son fauteuil de gamer, et j’ai pensé qu’il allait, comme sur twitch, présenter sa progression dans le dernier jeu video. Je n’y étais pas du tout.   La deuxième fois que je l’ai vu, j’ai pensé que c’était un humoriste, il réalisait alors un micro trottoir où il demandait à des gens de chantonner un air célèbre, puis de dire de quelle œuvre il était tiré. Je n’y étais pas du tout non plus.   J’ai pourtant fini par comprendre quel était le centre d’intérêt de ce Youtubeur d’un genre assez particulier. Son truc à lui ? c’est la musique classique. Comment ça classique ? Savante ? Oui ? Baroque ? Oui aussi ! De chambre ? Totalement ! Romantique ? Absolument. Tout ça, c’est sa passion. Ce normand né en 1991 a créé en 2015 sur la plus célèbre des plateformes, sa propre chaîne. Le nom de celle-ci ? Révisons nos classiques. On aurait pu craindre, au vu de son titre, que cette pastille ne soit la création de quelque spécialiste arrogant et pédant, caricature de certains artistes de la scène classique, mais non, conçue par quelqu’un qui aime le son, la musique, elle n’a pour ambition que le désir de partager ce qui le fait vibrer, tout simplement.   Cet ancien étudiant en musicologie possède bien les bagages qui lui permettent légitimement de discourir sur les sujets qu’il apprécie. Il a pratiqué le piano, le violoncelle, le chant lyrique et s’est essayé à la radio et aux chroniques footbalistiques - tout lui a été bon pour préparer son lancement dans l’aventure médiatique.    Et il a fait mouche. Presque 50 000 fidèles sur sa chaine YouTube Revisons nos classiques suivent ses conseils, ses enquêtes, ses engagements aussi, on a ainsi pu le voir, aux dernières élections, manifester -aux côtés de l’orchestre du nouveau monde -devant le siège du Rassemblement National.    Aujourd’hui je le rencontre à l’occasion de son livre 49 petites histoires de la musique classique qu’il signe aux éditions DBS.   Et qu’est -ce qu’on prend avec Guillaume Benoît de la chaîne YouTube Révisons nos Classiques ? Un café au comptoir évidement ! présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ chaine Youtube Révisons nos classiques : https://www.youtube.com/channel/UCZHPwKyeypWwU8SNJSzQhCw le livre de Guillaume Benoît : https://www.fnac.com/a20690913/Benoit-Guillaume-49-petites-histoires-de-la-musique-classique-avec-revisonsnosclassiques Un café au comptoir est un podcast made in France, culture, art, littérature et médias, on parle de tout cela, présenté par Alexis Himeros (https://www.instagram.com/alexishimeros/), auteur, producteur et créateur de podcasts. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    44min | Published on November 28, 2024

  • JR Dos Santos, journaliste et écrivain, présente son livre Les Oubliés cover
    JR Dos Santos, journaliste et écrivain, présente son livre Les Oubliés cover
    JR Dos Santos, journaliste et écrivain, présente son livre Les Oubliés

    J'ai pris un café avec José Rodrigues dos Santos, l'auteur du roman Les Oubliés à la brasserie Lipp, 151 Boulevard Saint Germain à Paris. Mon invité du jour est de ces êtres dont on se demande s’ils sont véritablement humains. Outre le fait que tout paraît leur réussir, on a l’impression que la nature les a dotés de tous les talents. De plus, ils semblent toujours maîtriser bien mieux le temps que le commun des mortels.   De quel bois rare cet homme est-il fait, pour mener de front une carrière hors norme de journaliste et celle d’ écrivain, comme un sacerdoce ?   S’il faut se poser la question en ces termes c'est que mon invité ne fait rien dans la demi-mesure. Journaliste d’abord, revenons là-dessus. Correspondant pour la BBC, puis pour CNN, il a couvert comme reporter de guerre un bon nombre de conflits armés, en l’Afrique, au moyen Orient, ou en Europe de l’Est. Plusieurs fois primé pour ses reportages et ses contributions journalistiques, il est aussi le présentateur de journal télévisé européen qui peut se targuer d’avoir la plus longue longévité. Le détenteur du record français s’appelait PDDA, leur ressemblance s’arrête là … comprenne qui pourra.   Car pour lui pas de temps à perdre avec la bagatelle, après son journal télévisé, il a bien mieux à faire : ce lusophone est un polyglotte qui parlerait au minimum 5 langues, dont un français impeccable qu’il a bien fallu apprendre, il a aussi enseigné à l’université de Lisbonne durant 25 ans mais surtout il a beaucoup écrit.   Et sous sa plume est née une œuvre exigeante et hyper documentée, résultat d’un vrai travail d’enquêteur, dire que c’est celle d’un bourreau de travail est un doux euphémisme …   Car celui qui se définit comme un « curieux de tout » n’aime que les récits fondés sur des faits réels. C’est pourquoi ses livres -une vingtaine déjà- puisent tous leurs origines dans des histoires vraies.   Cet auteur qui admet avoir été influencé par Michael Crichton pour le romanesque, est un maniaque du détail, un pointilleux du vraisemblable, un obsessionnel du crédible et champion de l’uchronie : il s’approche toujours au plus près de la vérité pour mieux imaginer une réalité parallèle à celle -ci. Cette démarche littéraire nécessite énormément de recherches et donc de tout lire, tout étudier tout compiler pour dominer parfaitement son sujet, ce qu’il fait.   Donc dans son dernier livres les Oubliés paru aux éditions Hervé Chopin, l’auteur nous entraîne par-delà une histoire d’amour, dans les horreurs de la guerre de tranchées de 14/18 dépeintes de façon hyper réaliste.   Pourquoi à s’acharner à raconter le passé quand on peut magnifier le présent ? Pourquoi ne pas s’en tenir à une carrière de journaliste qui permet de mieux décrypter le futur ? Pourquoi ne pas faire un essai sur les tactiques comparées des clubs de Tottemham et du Benfica de Lisboa ? Pour le savoir rien de mieux qu’une table de bistro pour poser mes micros et mes questions. Je suis avec JR Dos Santos et vous écoutez un café au comptoir Son dernier livre : LES OUBLIÉS (EDITIONS HERVÉ CHOPIN) présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ avec JR Dos Santos : https://www.instagram.com/jr_dos_santos_auteur/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    51min | Published on November 20, 2024

  • Sebastien Liebus, Le Gorafi c'est lui ! Humour et critique des médias au Bistrot du Croissant cover
    Sebastien Liebus, Le Gorafi c'est lui ! Humour et critique des médias au Bistrot du Croissant cover
    Sebastien Liebus, Le Gorafi c'est lui ! Humour et critique des médias au Bistrot du Croissant

     Sur le magnifique site internet qu’il a conçu lui-même, mon invité du jour se décrit comme « recordman actuel de la tentative de plus longue pause dans le passage d’un permis de conduire ». La description ironique qu’il donne de lui-même indique le ton général du personnage, éminemment sarcastique.  Contrairement à tout un tas de personnes se présentant comme slasher alors qu’en réalité ils sont atteints de la maladie d’ Alzheimer et oublient ce qu’ils faisaient l’heure précédente, lui, n’aime pas trop se définir.  Né en 1977, cet homme aux multiples talents, comédien, écrivain, photographe, réalisateur est un de nos rares contemporains dont la création est entrée dans le langage courant. Originaire de la région bordelaise, il rêvait d’être producteur cinématographique mais par peur de devoir regarder l’intégrale des films de Lelouch, il fait l’impasse sur l’école de Cinéma.  Ce sera plutôt  Arts du spectacle option restauration. C’est ainsi que pour postuler dans une célèbre chaîne de fast food, on raconte qu’il s’est affublé du costume de GroQuick pour faire bonne impression. Ni spécialiste du chocolat ni expert du hamburger, il se révèle en revanche être bien plus doué pour briller par sa répartie et son sens de l’à propos dans les forums de l’internet des années 2000, c’est à dire avant Twitter, avant X.  À une époque où le troll était encore est un être de la mythologie nordique, mon invité excellait déjà dans la création de messages à haut  potentiel polémique. Mais à la différence des commentateurs sadiques et sans cerveau des années 2020, lui se lance dans la critique vivace et audacieuse d’une chaîne de télé nouvellement crée sur la TNT, Direct 8. Il en trolle tellement bien les forums qu’il réussit l’exploit de se faire remarquer et embaucher sur la chaîne de Vincent Bolloré.  C’est ainsi que, fasciné par la Corée du Sud il nomme son projet Gorafi, persuadé qu’il s’agit d’une variante du Taekwondo. Et c’est un succès. Cet art martial de fausses citations du Canard Enchaîné, lui valent de vraies polémiques et les articles du Gorafi deviennent de vraies sources pour qui ne prend pas la peine de faire la différence entre la réalité délirante et le délire sur la réalité.   Courtisé par la télé, c’est pourtant ailleurs qu’il s’éclate quand il ne retravaille pas son site internet. La voile parait-il. À moins qu’il ne nous mène en bateau. Tout est possible. Si vous avez du mal à dénouer, démêler le vrai du faux parmi toutes les affirmations contenues dans ce portrait, c’est parce que mon invité est un personnage hors normes. Mais restez avec nous, nous sommes au bistrot du Croissant, rue Montmartre à Paris, à l’endroit même où Jaurès a été assassiné le 31 juillet 1914 par quelqu’un qui ne supportait pas qu’une station de métro porte son nom et je vais prendre un café au comptoir avec le patron du site d’information satirique LE GORAFI. Voici Sebastien Liebus ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    47min | Published on November 5, 2024

  • Hélène Vézier, Madame Meuf, comédienne et Podcasteuse, pour son livre Très Très Feutré, au café le Cyrano cover
    Hélène Vézier, Madame Meuf, comédienne et Podcasteuse, pour son livre Très Très Feutré, au café le Cyrano cover
    Hélène Vézier, Madame Meuf, comédienne et Podcasteuse, pour son livre Très Très Feutré, au café le Cyrano

    Entretien avec Madame Meuf comédienne et ancienne assistante parlementaire, à l'occasion de la sortie de son livre Très Très Feutré aux editions du Rocher. Vous auriez très bien pu vous retrouver face à mon invitée du jour, un dimanche matin, dans les allées du marché de votre quartier. Mains jointes, eternel sourire compatissant aux lèvres, elle vous aurait dit « mais comme je vous comprends ! Vous savez, c’est pour cela que je… » et là elle aurait déroulé tous les éléments de langage savamment préparés pour sa rencontre dominicale avec le peuple, c’est à dire vous. Femme politique. Son destin paraissait déjà tout tracé. Mais alors quoi ? Est ce la mine du critérium  qui s’est cassée, ou le tarissement d’encre dans son stylo plume qui a changé sa destinée ? Ce même  Mont Blanc qui lui servait à écrire les discours des sénateurs dont elle était l’assistante, l’attachée, enfin… la bonne à tout faire si j’en crois  à ce qu’elle raconte dans son roman « très très feutré » (c’est le titre) qui narre par le menu la descente aux enfers d’une petite main de la vie politique.   S’il s’agit d’un roman, on y croit quand même fermement à ces histoires qui ne redorent pas le blason de nos politiciens, tous bords confondus. La lecture de ce récit livré  sous la forme d’un témoignage édifiant, nous étonne, nous amuse, nous horrifie tout à tour. On est désabusé par ce monde que la narratrice dévoile  et on est solidaire avec elle, qui - et je ne divulgache rien, réalité entrant dans l’hémicycle - change donc de vie pour se consacrer à divertir celle des autres.  Mais que faire après avoir été immergée dans  le faste, le luxe, et la luxure du Sénat ? Eh bien, semble-t-il s’affranchir de toute réserve et affronter la jungle du monde du podcast bien loin du grand train de sénateur. C’est ainsi que sous  le nom de madame Meuf, pseudonyme dont  elle s’était affublée pour tenir un blog quand ils étaient encore à la mode, on peut désormais  l’entendre discourir sur des thèmes divers abordés par le prisme de ses expériences personnelles multiples et variées.   Mais en dehors de la littérature et des podcasts c’est bien sur les planches que mon invitée rassemble le maximum de suffrages. Déjà deux spectacles à son actif. Si le premier tournait principalement autour de ses aventures professionnelles passées, le second s’annonce comme une conversation avec le public pour questionner - je cite le dossier de presse- ce qui continue à fragiliser les femmes, ce qui leur confère du pouvoir, et les contradictions qui leur font prendre les pieds dans le tapis. Tout un programme !   C’est donc pour en savoir davantage sur ses projets qui s’accumulent sans pour autant se ressembler que j’ai rejoint cette comédienne / autrice / podcasteuse / instragrammeuse / mère de famille / égérie / muse / qui peut tout faire…même discuter avec moi au bar … à Paris dans le XVIIIe arrondissement. Bonjour Hélène Vezier, Madame Meuf. présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ instagram Hélène Vézier - Madame Meuf : https://www.instagram.com/madame.meuf/ Enregistré au bistrot Le Cyrano : 3, Rue Biot 75017 PARIS Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    41min | Published on October 23, 2024

  • Chloé Thibaud, autrice et journaliste, au café les Tournesols pour son livre Désirer la violence cover
    Chloé Thibaud, autrice et journaliste, au café les Tournesols pour son livre Désirer la violence cover
    Chloé Thibaud, autrice et journaliste, au café les Tournesols pour son livre Désirer la violence

    Venez écouter Chloé Thibaud parler féminisme, cinéma et violence ! Il y a des livres qu’on aimerait ne pas avoir lus tant ils changent notre manière d’aimer certaines choses de notre quotidien. Celui écrit par mon invitée appartient à ceux là. Dans Désirer la violence (aux éditions Les Insolentes), on est confronté à ce qu’on n’avait pas vraiment envie de voir même si c’était planté comme un nez au milieu d’une figure… artistique, je parle de l’omniprésence de la  misogynie, du sexisme, du masculinisme et autres discours déviants et violents dans la pop culture, entendez par là, dans le cinéma, la musique, la peinture, la littérature, les séries tv, la publicité, bref tout ce à quoi on n’échappe pas et qui nous influence à notre insu jusqu’à modifier nos  comportements en société. Car oui, spoiler alert  de la pub au pur divertissement,  insidieusement, un processus de manipulation s’opère sur notre façon de penser le monde . Et alors me direz-vous ? Il n’y a qu’à faire la part des choses. Bien sûr, vous répondrai je mais ce n’est pas si simple ! On parle d’un film, d’une chanson, qui dans ses images ou ses paroles banalise et rend acceptable la brutalité  ordinaire, de la claque au viol. Si l’autrice de cet essai peut se targuer de recevoir régulièrement  volées de bois vert et tombereaux d’insultes pour avoir dénoncé la violence sous jacente chez des génies tous  arts confondus, c’est que sa parole fait réfléchir et bûcher le système patriarcal. J’imagine que c’est dur pour elle, éreintant même, éprouvant  de se prendre  ce mur de commentaires  vindicatifs, cimenté à la bêtise crasse. Moi, je l’ai touché du doigt, ce mur, il n’y a pas si longtemps avec Régis. Régis, c’est son vrai prénom, ce n’est pas un hommage au sketch des Nuls même si la réalité a fini par rejoindre  la fiction , Régis donc , est venu commenter sur Instagram un extrait de mon interview de Giulia Foïs. Faisant fi des propos de mon invitée, Régis y est allé de son « not all men » « pas tous les hommes. » D’ailleurs  son épouse  pouvait  en témoigner, il aide à la maison… une perle ce Régis, revenant inlassablement à la charge pour défendre son bout de gras,  méprisant le cœur du sujet , le problème d égalité homme/ femme dans toutes les strates de la société mis en exergue par Giulia Fois . Ce qui avait scandalisé sa conscience victimaire, c’était que mon invitée puisse parler de féminisme. Dans les commentaires, j’avais beau, comme avec un copain un peu lourdingue ou bourré, d’homme à homme, entre couilles, essayer  de ramener Régis à la raison, ou sur le chemin d’une réconciliation  même timide. Rien n’y faisait. Régis restait sourd  à tout argument. Pour lui, en résumé «  les féministes faisaient chier » alors oui la dessus je le rejoins elles nous font chier car elles nous  plongent le nez dans notre propre caca, et c’est fort déplaisant.  Preuve  que le travail d’anthropologie culturelle de mon invitée est salutaire,  non …indispensable Sa démonstration dans Désirer la Violence, toute implacable qu’elle soit, ne  se fait jamais dans l’animosité ou la rancoeur. Elle est humanisée  parce que racontée  par le prisme  de son expérience, d’anecdotes  humoristiques ou poignantes . C’est donc pour en savoir davantage que ce que son compte Instagram et ses livres - car il y en a plusieurs !- donnent à comprendre sur elle, sur son tatouage dans le dos et surtout sur sa pensée acérée que je j'ai retrouvé Chloé Thibaud au café Le Tournesol rue de la gaité à Paris pour prendre avec elle un café au comptoir. présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ Enregistré au cafe Le Tournesol https://www.reserverbarparis.fr/bar/le-tournesol/ instagram Chloe Thibaud : https://www.instagram.com/chloe_thbd/

    53min | Published on October 8, 2024

  • Flavia Coelho, musicienne, au restaurant Bon Vivant cover
    Flavia Coelho, musicienne, au restaurant Bon Vivant cover
    Flavia Coelho, musicienne, au restaurant Bon Vivant

    J'ai eu le plaisir de discuter avec la chanteuse Flavia Coelho ! Elle a quitté son pays, le Brésil pour la France, au premier jour de l’été en 2006. S’il n’y avait pas grand chose à cette époque dans sa valise, elle y avait réservé une place de choix pour sa foi inébranlable dans les dieux bienveillants de la musique.   Pour autant, la voie du succès n’est jamais toute tracée telle une autoroute et c’est dans le métro parisien que la chanteuse dont je dresse le portrait a poussé ses premières vocalises. C’est donc d’abord dans les rames bruyantes de la RATP que la jeune carioca a entonné des bossa avant de rejoindre l’atmosphère plus feutrée d’un cabaret parisien oú elle a chanté de longues nuits durant perfectionnant son apprentissage du français, ainsi que celui de la guitare. C’est la aussi qu’elle rencontre Victor Vagh-Weinmann. le producteur réalisateur qui l’a aidée à créer les premières maquettes qui ont préfiguré l’album de ses débuts, Bossa Muffin sorti en 2011.   Son style, qui tient à la fois du reggae, du ragga de la bossa, et de la salsa a vite enchanté les festivals oú sa voix du nordeste brésilien séduit tous les publics. 5 albums plus tard, la plus parisienne des chanteuses bresiliennes peut s’enorgueillir d’un répertoire qui sous ses arrangements ensoleillés aborde cependant les nuages et les orages qui ont traversé sa vie. Celle dont la mère maquillait les travestis dans les cabarets de Rio de Janeiro n’a jamais oublié ses origines modestes. Ses chansons racontent une jeunesse où rien n’était jamais acquis mais aussi la maladie de sa mère, très tôt disparue, comme les conditions de vie difficiles de son père, docker, mais aussi son irréductible envie de chanter, et ce depuis toujours. Artiste engagée, elle a milité contre les idées d’extrême droite de Bolsonaro et s’est toujours attachée à tenter de faire changer les mentalités racistes, dans son pays natal comme dans celui qu’elle a choisi d’honorer de sa présence, la France.   Son dernier opus, Ginga, dont le titre évoque le jeu de jambes de la capoeira est donc un mix musical fantastique qui offre un voyage parmi toutes les influences musicales du sud, Cumbia, funk brésilien, soul, reggae, et amapiano africain. Exploitant les thèmes de la reconstruction, du courage, et de la résilience, c’est un album nostalgique que la chanteuse nous livre, pour convoquer tout ce qui compte à ses yeux, de la condition de la femme dans son pays d’origine, à l’amour qu’elle célèbre dans ses mélodies.   Et c’est pour en savoir plus sur ce qui l’inspire au quotidien que j’ai retrouvé cette autrice compositrice interprète dans le 5e arrondissement de paris, au café Bon Vivant pour prendre avec elle un café au comptoir   présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ enregistré chez BON VIVANT https://www.bonvivant.paris 7 rue des écoles à Paris (5e) instagram Flavia Coelho : https://www.instagram.com/flaviacoelhobr/ Son dernier album : GINGA https://open.spotify.com/intl-fr/album/5jcsmEGirGxS1JXYaouIq9?si=mmqB7VKAQHKxZIenPrc3rA Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    34min | Published on September 26, 2024

  • Season 1

  • Christophe Mali, chanteur du groupe Tryo, au café Les Rigoles pour présenter son album solo cover
    Christophe Mali, chanteur du groupe Tryo, au café Les Rigoles pour présenter son album solo cover
    Christophe Mali, chanteur du groupe Tryo, au café Les Rigoles pour présenter son album solo

    J'ai eu l'honneur de discuter avec le chanteur de TRYO, Christophe Mali, au café Les Rigoles, 334 Rue des Pyrénées à Paris (20e). Mon invité, je dois le confesser, je l’ai détesté. Longtemps. Pour une seule et unique raison : ma petite amie de l’époque de l’université Paris III en Deug de Théâtre, était la fan absolue du groupe dont je reçois aujourd’hui le chanteur.   Parfois nous connaissions de franches disputes pour peu que je lui proposais de varier sa playlist, enfin, non, de changer de CD (car nous en étions encore là à cette époque lointaine du siècle précédent) afin de faire tourner la rondelle de Sinsemillia, ou bien celle de Louise Attaque, les Orgues de Barback ou encore Zebda. Mais non, pour elle rien ne surpassait l’Hymne de nos campagnes comme réveil matin, cette chanson qui ouvre le premier album du groupe Tryo, LE quatuor français de reggae acoustique, tendance raggamuffin. Alors, parfois on s’engueulait très fort, elle me menaçait de me quitter pour partir rejoindre ce groupe qui portait mieux le pantacourt que moi, et qui sans doute – selon elle- savait bien faire pousser leur herbe, eux, aux doux sons de leurs guitares. Un jour on s’est lassés de se chanter l’un l’autre « désolé pour hier soir… » et j’ai émis « un jugement sans appel » c’était « toi et moi », on a vécu « une saison de trop », alors « bye-bye ». « Si la vie m’a mis là » ce ne sera pas « la débandade », et finalement je lui ai dit « j’ai trouvé des amis ».  Je précise pour ceux qui sont passés à côté des 13 albums de la discographie de Tryo et de leur 30 ans de carrière, que je viens de placer ici huit titres de ce groupe. À vous de jouer pour les retrouver et de vous les passer en boucle dans vos têtes.  Inspiré par Brassens Renaud Hubert Felix Thieffaine, ce compositeur interprète, est aussi fan d’Alain Souchon ! Mais ce bourreau de travail n’a pas que la scène en tête ! Ce qui lui plait, c’est aider, conseiller, transmettre son savoir scénique, et c’est ce qu’il fait depuis près de 20 ans, aux chantiers des Francos, l’antichambre du festival les Francofolies de la Rochelle. Et c’est comme ça que ce coach d’artistes émergeants a toujours su rester « in touch » avec la scène française actuelle. Preuve en est, le single « derniers humains » sorti dernièrement comme un avant-goût de son second album solo, et qui est l’occasion d’un duo avec Lucie Lebrun du groupe LEJ (Elijay), le trio féminin qui avait remporté en 2013 un concours organisé par Tryo, son groupe, actuellement « en pause » ! Aussi c’est pour évoquer sa carrière solo, son inspiration, sa vision artistique que j’ai convié ce showman sensible au café Les Rigoles dans le 20e arrondissement pour partager avec moi un café au comptoir. présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ instagram Christophe Mali : https://www.instagram.com/christophe_mali_tryo/ Album solo "Humain" en préparation… Nouveau single feat. @lucielebrn (https://www.instagram.com/lucielebrn/) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    41min | Published on September 13, 2024

  • 1
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“Le comptoir d'un café est le parlement du peuple.” (Balzac)

Vous aimez l'art, la littérature et la culture ? venez prendre un café - l'occasion d'une interview !

Dans un café, tout le monde y passe et chacun s’y retrouve. Des ouvriers de chantier, des balayeurs de rue, des étudiantes, des pères de familles, des poétesses, des entrepreneurs, des personnes en télétravail, des artistes, des stars du showbizz, on peut y croiser n’importe qui, n’importe quand. C’est ce qui fait l’âme des lieux. Ici l'occasion d'une masterclass, on célèbre l'art, la littérature et la création !

Comme je ne suis pas le seul que ces lieux attirent, j’ai décidé d'y rencontrer des personnalités du monde de l'art, de la littérature, écrivains, musiciens, artistes, journalistes, tout ce qui participe à la culture pour, lors d'une rencontre, me faire découvrir à leur façon leur carrière, ce qui les inspire et le café où ils se sentent bien !


https://www.instagram.com/alexishimeros


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“Le comptoir d'un café est le parlement du peuple.” (Balzac)

Vous aimez l'art, la littérature et la culture ? venez prendre un café - l'occasion d'une interview !

Dans un café, tout le monde y passe et chacun s’y retrouve. Des ouvriers de chantier, des balayeurs de rue, des étudiantes, des pères de familles, des poétesses, des entrepreneurs, des personnes en télétravail, des artistes, des stars du showbizz, on peut y croiser n’importe qui, n’importe quand. C’est ce qui fait l’âme des lieux. Ici l'occasion d'une masterclass, on célèbre l'art, la littérature et la création !

Comme je ne suis pas le seul que ces lieux attirent, j’ai décidé d'y rencontrer des personnalités du monde de l'art, de la littérature, écrivains, musiciens, artistes, journalistes, tout ce qui participe à la culture pour, lors d'une rencontre, me faire découvrir à leur façon leur carrière, ce qui les inspire et le café où ils se sentent bien !


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32 episodes

    Season 2

  • Sam sauvage, chanteur et musicien poly-instrumentiste,  musique pop. et vie d’artiste cover
    Sam sauvage, chanteur et musicien poly-instrumentiste,  musique pop. et vie d’artiste cover
    Sam sauvage, chanteur et musicien poly-instrumentiste, musique pop. et vie d’artiste

    Découvrez l’auteur compositeur Sam Sauvage, rocker de Boulogne sur mer dont les créations musicales font des succès sur Instagram et surtout en salle de concert ! Mon invité du jour est de ces artistes dont son public actuel pourra dire un jour « ah ce chanteur ! je l'ai vu débuter quand il faisait des vidéos dans sa chambre d'étudiant ! »   Il n’est pas trop tard, pour les regarder, ces montages où on voit, ce musicien évoluer dans son chez lui, dévoilant d’un côté ses posters de Gainsbourg et Birkin, de Jim Morrison, et masquant de l’autre, son linge sale mal planqué en haut des placards IKEA de son studio.   On se demande d’ailleurs comment il arrive à stocker tous les instruments qui l’ aident à composer sa musique tant il semble en sortir d’un peu partout   Il a beau être armé de ses guitares et de son synthétiseur, son atout, sa marque de fabrique, c’est sa voix.   Grave, Puissante, mais pas gueularde, elle évoque tout à la fois celle de Marc Lavoine mais sans le côté varietoche, Alain Bashung, mais en plus dansant ou Arthur H.     Et et je ne sais pas ce qu'il a en plus ou en moins par rapport à ce dernier mais ce n'est pas important . Ce qu'il a ce chanteur dont les 20 ans ne sont pas si éloignés c'est qu'il s'est fait tout seul à la force du poignet sur le manche de sa fender, donnant tout depuis 2017 à Saint Martin Boulogne face à la mer entre Calais et Le Touquet.   Jeune crooner fan de Bob Dylan il donne à écouter à longueur de vidéos courtes souvent décalées ses riffs funky façon année 90. Mais vous pouvez également découvrir son flot de bateleur sur le titre «  on est là » comme un clin d'œil à celui d'un rappeur belge dépressif. Ce gars du Nord tente beaucoup de choses et souvent c'est plutôt bien inspiré   Le public lui ne s'y trompe pas ses concerts parisiens sont vite sold out c'est-à-dire complets Et s'il a eu besoin de faire appel à une campagne de crowdfunding début 2023 pour finaliser la sortie de son EP c'est bien en parfait professionnel que vous pourrez le retrouver sur scène Si toutefois vous avez la chance d'avoir une place après l'écoute de ce podcast   C'est donc pour en savoir davantage sur ce qui l’ inspire, sur ses désirs et ses plans pour le futur que j'ai retrouvé ce jeune espoir de la chanson pop française au bar Les Affranchis boulevard Voltaire à Paris pour y prendre avec lui un café au comptoir !   présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ instagram Sam Sauvage : https://www.instagram.com/samsauvageoff Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    34min | Published on February 16, 2025

  • Charlotte Moreau, journaliste au magazine Elle et autrice parle de féminisme, de mode, et d'écriture cover
    Charlotte Moreau, journaliste au magazine Elle et autrice parle de féminisme, de mode, et d'écriture cover
    Charlotte Moreau, journaliste au magazine Elle et autrice parle de féminisme, de mode, et d'écriture

    Il est toujours intimidant d’interviewer de quelqu'un qui est à l'aise dans le rôle de l’interviewer . De brosser  le portrait de qui, précisément, maîtrise le coup de plume pour le faire , bref, d'être en face de celle ou celui qui utilise avec brio les mêmes armes que soi sur le grand champ de bataille de la vie.  Évidemment, pas question de duel entre mon invité et moi, tout ceci n'est qu'un jeu ! Et pour m’inspirer de son style, pourquoi ne pas tenter de marier élégamment légèreté et profondeur du propos ? D'ailleurs, à cette autrice, blogueuse, journaliste, podcasteuse, animatrice de Masterclass et d'ateliers d'écriture, capable de faire de Koh-Lanta un sujet de philo, je piquerai également l'art de citer Montesquieu « La gravité est le bonheur des imbéciles ».    Car oui, celle dont je parle, sans être  futile, sait néanmoins apporter  aux sujets qu’elle traite sa dose d’ d’humour. Je l’ai immédiatement compris quand j’ai découvert son pseudo  de blogueuse -Balibulle- évoquant   davantage  le nom d’un teletubbies que celui d'un disciple de Voltaire ou Rousseau. Et pourtant, cette fashionista dont on a souvent réduit  la biographie au nombre des chaussures qu’elle possédait a écrit un Anti-guide de la mode, essai – à mon sens- philosophique et humoristique sur les diktats vestimentaires de la vie moderne, devant lesquels nous sommes tous à égalité.  En gros, la mode, elle connaît, elle l'aime, mais elle sait également la mettre à distance.  De son jean  porté parfois  comme une armure, en passant par ses manteaux détournés en  repose fesses  le temps de l’écriture de ses articles de reporter jusqu’a ses accessoires- telle cette petite clé suspendue à un long sautoir qui lui a valu de supporter la goujaterie d'un dragueur de l'extrême- elle a tout noté, tout décodé, tout archivé.    Cette chroniqueuse du quotidien, qui analyse également les codes vestimentaires des femmes pour le magazine Elle, a donc entrepris depuis quelques années de se raconter et de partager ses souvenirs. Ainsi, en plus de la newsletter LE DEBRIEF, 2 récits en ligne sont à suivre sur la plateforme Kessel. Il y a eu Glory Box, qui narre les hauts et les bas de son expérience au journal Le Parisien, et 76 kilos, dans lequel l’autrice tente de décrypter son vécu, son époque et ses semblables par le prisme d’un poids qui évolue au fil de sa vie. L’histoire est en cours d'écriture et de diffusion à raison d’un chapitre par mois.    C'est donc pour discuter  de son goût pour les grands écarts thématiques, de son expertise dans l'organisation d’un vestiaire et de son incapacité à dormir dans un avion que j'ai retrouvé cette ex-fan de Justin Timberlake dans un café de son ancien quartier, chez Arthur et Juliette, et j’ai à présent l’honneur de prendre avec elle un café au comptoir. présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ instagram Charlotte Moreau : https://www.instagram.com/charlottemoreaubalibulle/ Interview enregistrée au café Arthur et Juliette : 51 Rue des Morillons, 75015 Paris Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    51min | Published on January 14, 2025

  • Sebastien Grimaud, l'Étymocurieux qui décrypte les mots nous parle réseaux sociaux, étymologie, politique et musique cover
    Sebastien Grimaud, l'Étymocurieux qui décrypte les mots nous parle réseaux sociaux, étymologie, politique et musique cover
    Sebastien Grimaud, l'Étymocurieux qui décrypte les mots nous parle réseaux sociaux, étymologie, politique et musique

    Sebastien Grimaud n’aime rien tant que partager son savoir. La langue française ne semble pas avoir de secret pour lui. Il la dissèque, la décompose, l’analyse, et vous l’offre en courtes pastilles dans des résumés très clairs et très drôles. Lui, son truc, c’est l’étymologie – du Grec "ἔτυμον" (étumon) signifiant "vrai sens"et –« λογία" (-logia) dérivé de "λόγος" (lógos) " la parole, le discours, la raison". Dire le vrai sens des mots. C’est exactement ce à quoi il s’attache dans ses videos qui sont à découvrir sur les réseaux sociaux.    Cet enseignant en lettres classiques, féru de latin et de grec ancien est devenu en quelques mois une des stars de l’instagram francophone avec son compte etymocurieux. Grâce à un savant mélange d’humour et d’érudition, il a réussi à capter l’attention et à séduire un public jeune en lui révélant l’origine de mots vieux comme le monde. C’est un succès (du latin successus – l’arrivée) même si pour lui, on le sent, cette aventure représente plus un nouveau départ.    Ses élèves devront donc patienter pour le revoir en chair et en os. Lui, n’arrête plus de plonger entre les pages de ses dictionnaires afin de présenter – entre autres - le vrai sens de canicule, de scrupule et même de testicule !    Ce trentenaire a remporté le pari de rendre l’étude de la langue de Molière, passionnante mais aussi vivante celle de Sénèque et celle de Platon. De surcroit, son tour de force est d’être parvenu à occuper le terrain contrôlé par le haul (de l’anglais butin) d’ influenceuses sur-botoxées sur-«maquillées et sur filtrées. D’être présent là où la concurrence est rude, ou le scroll infini vous inflige le visionnage de vidéos de chiens déguisés à l’occasion d’Halloween    Le Figaro, journal reconnu pour être très attaché au respect dû au patrimoine linguistique français a même consacré à ce Meldois (habitant de la ville de Meaux) une interview pour mettre à l’honneur son travail etymologique. Ils auraient pu tout autant mettre en lumière ses qualités d’organiste, de claveciniste ou de chef de chœur, trois des autres talents que possède ce personnage, bien éloigné du stéréotype du latiniste monomaniaque.    Et c’est pour en savoir davantage sur cet archéologue du mot et connaître ses prochains défis que je l’ai retrouvé dans un de ses lieux favoris où il aime à réfléchir, le Shack, situé dans les anciens bureaux de l’éditeur Calmann Levy, pour prendre avec lui un café au comptoir !    découvrez Sebastien Grimaud, l'Etymocurieux ! présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ instagram Sebastien Grimaud : https://www.instagram.com/etymocurieux/ Interview enregistrée au Shack Paris merci à eux ! https://leshack.fr Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    43min | Published on December 18, 2024

  • avec Guillaume Benoît, YouTuber (Révisons nos Classiques) pour son livre 49 histoires de la musique Classique cover
    avec Guillaume Benoît, YouTuber (Révisons nos Classiques) pour son livre 49 histoires de la musique Classique cover
    avec Guillaume Benoît, YouTuber (Révisons nos Classiques) pour son livre 49 histoires de la musique Classique

    J'adore la musique classique alors j'ai pris un café avec Guillaume Benoît qui sort son livre 49 petites histoires de la musique classique. Nous nous sommes installés au Café de Paris, place de l'Opéra pour discuter de tout cela. Lui, la première fois que je l’ai vu, il était confortablement installé dans son fauteuil de gamer, et j’ai pensé qu’il allait, comme sur twitch, présenter sa progression dans le dernier jeu video. Je n’y étais pas du tout.   La deuxième fois que je l’ai vu, j’ai pensé que c’était un humoriste, il réalisait alors un micro trottoir où il demandait à des gens de chantonner un air célèbre, puis de dire de quelle œuvre il était tiré. Je n’y étais pas du tout non plus.   J’ai pourtant fini par comprendre quel était le centre d’intérêt de ce Youtubeur d’un genre assez particulier. Son truc à lui ? c’est la musique classique. Comment ça classique ? Savante ? Oui ? Baroque ? Oui aussi ! De chambre ? Totalement ! Romantique ? Absolument. Tout ça, c’est sa passion. Ce normand né en 1991 a créé en 2015 sur la plus célèbre des plateformes, sa propre chaîne. Le nom de celle-ci ? Révisons nos classiques. On aurait pu craindre, au vu de son titre, que cette pastille ne soit la création de quelque spécialiste arrogant et pédant, caricature de certains artistes de la scène classique, mais non, conçue par quelqu’un qui aime le son, la musique, elle n’a pour ambition que le désir de partager ce qui le fait vibrer, tout simplement.   Cet ancien étudiant en musicologie possède bien les bagages qui lui permettent légitimement de discourir sur les sujets qu’il apprécie. Il a pratiqué le piano, le violoncelle, le chant lyrique et s’est essayé à la radio et aux chroniques footbalistiques - tout lui a été bon pour préparer son lancement dans l’aventure médiatique.    Et il a fait mouche. Presque 50 000 fidèles sur sa chaine YouTube Revisons nos classiques suivent ses conseils, ses enquêtes, ses engagements aussi, on a ainsi pu le voir, aux dernières élections, manifester -aux côtés de l’orchestre du nouveau monde -devant le siège du Rassemblement National.    Aujourd’hui je le rencontre à l’occasion de son livre 49 petites histoires de la musique classique qu’il signe aux éditions DBS.   Et qu’est -ce qu’on prend avec Guillaume Benoît de la chaîne YouTube Révisons nos Classiques ? Un café au comptoir évidement ! présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ chaine Youtube Révisons nos classiques : https://www.youtube.com/channel/UCZHPwKyeypWwU8SNJSzQhCw le livre de Guillaume Benoît : https://www.fnac.com/a20690913/Benoit-Guillaume-49-petites-histoires-de-la-musique-classique-avec-revisonsnosclassiques Un café au comptoir est un podcast made in France, culture, art, littérature et médias, on parle de tout cela, présenté par Alexis Himeros (https://www.instagram.com/alexishimeros/), auteur, producteur et créateur de podcasts. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    44min | Published on November 28, 2024

  • JR Dos Santos, journaliste et écrivain, présente son livre Les Oubliés cover
    JR Dos Santos, journaliste et écrivain, présente son livre Les Oubliés cover
    JR Dos Santos, journaliste et écrivain, présente son livre Les Oubliés

    J'ai pris un café avec José Rodrigues dos Santos, l'auteur du roman Les Oubliés à la brasserie Lipp, 151 Boulevard Saint Germain à Paris. Mon invité du jour est de ces êtres dont on se demande s’ils sont véritablement humains. Outre le fait que tout paraît leur réussir, on a l’impression que la nature les a dotés de tous les talents. De plus, ils semblent toujours maîtriser bien mieux le temps que le commun des mortels.   De quel bois rare cet homme est-il fait, pour mener de front une carrière hors norme de journaliste et celle d’ écrivain, comme un sacerdoce ?   S’il faut se poser la question en ces termes c'est que mon invité ne fait rien dans la demi-mesure. Journaliste d’abord, revenons là-dessus. Correspondant pour la BBC, puis pour CNN, il a couvert comme reporter de guerre un bon nombre de conflits armés, en l’Afrique, au moyen Orient, ou en Europe de l’Est. Plusieurs fois primé pour ses reportages et ses contributions journalistiques, il est aussi le présentateur de journal télévisé européen qui peut se targuer d’avoir la plus longue longévité. Le détenteur du record français s’appelait PDDA, leur ressemblance s’arrête là … comprenne qui pourra.   Car pour lui pas de temps à perdre avec la bagatelle, après son journal télévisé, il a bien mieux à faire : ce lusophone est un polyglotte qui parlerait au minimum 5 langues, dont un français impeccable qu’il a bien fallu apprendre, il a aussi enseigné à l’université de Lisbonne durant 25 ans mais surtout il a beaucoup écrit.   Et sous sa plume est née une œuvre exigeante et hyper documentée, résultat d’un vrai travail d’enquêteur, dire que c’est celle d’un bourreau de travail est un doux euphémisme …   Car celui qui se définit comme un « curieux de tout » n’aime que les récits fondés sur des faits réels. C’est pourquoi ses livres -une vingtaine déjà- puisent tous leurs origines dans des histoires vraies.   Cet auteur qui admet avoir été influencé par Michael Crichton pour le romanesque, est un maniaque du détail, un pointilleux du vraisemblable, un obsessionnel du crédible et champion de l’uchronie : il s’approche toujours au plus près de la vérité pour mieux imaginer une réalité parallèle à celle -ci. Cette démarche littéraire nécessite énormément de recherches et donc de tout lire, tout étudier tout compiler pour dominer parfaitement son sujet, ce qu’il fait.   Donc dans son dernier livres les Oubliés paru aux éditions Hervé Chopin, l’auteur nous entraîne par-delà une histoire d’amour, dans les horreurs de la guerre de tranchées de 14/18 dépeintes de façon hyper réaliste.   Pourquoi à s’acharner à raconter le passé quand on peut magnifier le présent ? Pourquoi ne pas s’en tenir à une carrière de journaliste qui permet de mieux décrypter le futur ? Pourquoi ne pas faire un essai sur les tactiques comparées des clubs de Tottemham et du Benfica de Lisboa ? Pour le savoir rien de mieux qu’une table de bistro pour poser mes micros et mes questions. Je suis avec JR Dos Santos et vous écoutez un café au comptoir Son dernier livre : LES OUBLIÉS (EDITIONS HERVÉ CHOPIN) présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ avec JR Dos Santos : https://www.instagram.com/jr_dos_santos_auteur/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    51min | Published on November 20, 2024

  • Sebastien Liebus, Le Gorafi c'est lui ! Humour et critique des médias au Bistrot du Croissant cover
    Sebastien Liebus, Le Gorafi c'est lui ! Humour et critique des médias au Bistrot du Croissant cover
    Sebastien Liebus, Le Gorafi c'est lui ! Humour et critique des médias au Bistrot du Croissant

     Sur le magnifique site internet qu’il a conçu lui-même, mon invité du jour se décrit comme « recordman actuel de la tentative de plus longue pause dans le passage d’un permis de conduire ». La description ironique qu’il donne de lui-même indique le ton général du personnage, éminemment sarcastique.  Contrairement à tout un tas de personnes se présentant comme slasher alors qu’en réalité ils sont atteints de la maladie d’ Alzheimer et oublient ce qu’ils faisaient l’heure précédente, lui, n’aime pas trop se définir.  Né en 1977, cet homme aux multiples talents, comédien, écrivain, photographe, réalisateur est un de nos rares contemporains dont la création est entrée dans le langage courant. Originaire de la région bordelaise, il rêvait d’être producteur cinématographique mais par peur de devoir regarder l’intégrale des films de Lelouch, il fait l’impasse sur l’école de Cinéma.  Ce sera plutôt  Arts du spectacle option restauration. C’est ainsi que pour postuler dans une célèbre chaîne de fast food, on raconte qu’il s’est affublé du costume de GroQuick pour faire bonne impression. Ni spécialiste du chocolat ni expert du hamburger, il se révèle en revanche être bien plus doué pour briller par sa répartie et son sens de l’à propos dans les forums de l’internet des années 2000, c’est à dire avant Twitter, avant X.  À une époque où le troll était encore est un être de la mythologie nordique, mon invité excellait déjà dans la création de messages à haut  potentiel polémique. Mais à la différence des commentateurs sadiques et sans cerveau des années 2020, lui se lance dans la critique vivace et audacieuse d’une chaîne de télé nouvellement crée sur la TNT, Direct 8. Il en trolle tellement bien les forums qu’il réussit l’exploit de se faire remarquer et embaucher sur la chaîne de Vincent Bolloré.  C’est ainsi que, fasciné par la Corée du Sud il nomme son projet Gorafi, persuadé qu’il s’agit d’une variante du Taekwondo. Et c’est un succès. Cet art martial de fausses citations du Canard Enchaîné, lui valent de vraies polémiques et les articles du Gorafi deviennent de vraies sources pour qui ne prend pas la peine de faire la différence entre la réalité délirante et le délire sur la réalité.   Courtisé par la télé, c’est pourtant ailleurs qu’il s’éclate quand il ne retravaille pas son site internet. La voile parait-il. À moins qu’il ne nous mène en bateau. Tout est possible. Si vous avez du mal à dénouer, démêler le vrai du faux parmi toutes les affirmations contenues dans ce portrait, c’est parce que mon invité est un personnage hors normes. Mais restez avec nous, nous sommes au bistrot du Croissant, rue Montmartre à Paris, à l’endroit même où Jaurès a été assassiné le 31 juillet 1914 par quelqu’un qui ne supportait pas qu’une station de métro porte son nom et je vais prendre un café au comptoir avec le patron du site d’information satirique LE GORAFI. Voici Sebastien Liebus ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    47min | Published on November 5, 2024

  • Hélène Vézier, Madame Meuf, comédienne et Podcasteuse, pour son livre Très Très Feutré, au café le Cyrano cover
    Hélène Vézier, Madame Meuf, comédienne et Podcasteuse, pour son livre Très Très Feutré, au café le Cyrano cover
    Hélène Vézier, Madame Meuf, comédienne et Podcasteuse, pour son livre Très Très Feutré, au café le Cyrano

    Entretien avec Madame Meuf comédienne et ancienne assistante parlementaire, à l'occasion de la sortie de son livre Très Très Feutré aux editions du Rocher. Vous auriez très bien pu vous retrouver face à mon invitée du jour, un dimanche matin, dans les allées du marché de votre quartier. Mains jointes, eternel sourire compatissant aux lèvres, elle vous aurait dit « mais comme je vous comprends ! Vous savez, c’est pour cela que je… » et là elle aurait déroulé tous les éléments de langage savamment préparés pour sa rencontre dominicale avec le peuple, c’est à dire vous. Femme politique. Son destin paraissait déjà tout tracé. Mais alors quoi ? Est ce la mine du critérium  qui s’est cassée, ou le tarissement d’encre dans son stylo plume qui a changé sa destinée ? Ce même  Mont Blanc qui lui servait à écrire les discours des sénateurs dont elle était l’assistante, l’attachée, enfin… la bonne à tout faire si j’en crois  à ce qu’elle raconte dans son roman « très très feutré » (c’est le titre) qui narre par le menu la descente aux enfers d’une petite main de la vie politique.   S’il s’agit d’un roman, on y croit quand même fermement à ces histoires qui ne redorent pas le blason de nos politiciens, tous bords confondus. La lecture de ce récit livré  sous la forme d’un témoignage édifiant, nous étonne, nous amuse, nous horrifie tout à tour. On est désabusé par ce monde que la narratrice dévoile  et on est solidaire avec elle, qui - et je ne divulgache rien, réalité entrant dans l’hémicycle - change donc de vie pour se consacrer à divertir celle des autres.  Mais que faire après avoir été immergée dans  le faste, le luxe, et la luxure du Sénat ? Eh bien, semble-t-il s’affranchir de toute réserve et affronter la jungle du monde du podcast bien loin du grand train de sénateur. C’est ainsi que sous  le nom de madame Meuf, pseudonyme dont  elle s’était affublée pour tenir un blog quand ils étaient encore à la mode, on peut désormais  l’entendre discourir sur des thèmes divers abordés par le prisme de ses expériences personnelles multiples et variées.   Mais en dehors de la littérature et des podcasts c’est bien sur les planches que mon invitée rassemble le maximum de suffrages. Déjà deux spectacles à son actif. Si le premier tournait principalement autour de ses aventures professionnelles passées, le second s’annonce comme une conversation avec le public pour questionner - je cite le dossier de presse- ce qui continue à fragiliser les femmes, ce qui leur confère du pouvoir, et les contradictions qui leur font prendre les pieds dans le tapis. Tout un programme !   C’est donc pour en savoir davantage sur ses projets qui s’accumulent sans pour autant se ressembler que j’ai rejoint cette comédienne / autrice / podcasteuse / instragrammeuse / mère de famille / égérie / muse / qui peut tout faire…même discuter avec moi au bar … à Paris dans le XVIIIe arrondissement. Bonjour Hélène Vezier, Madame Meuf. présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ instagram Hélène Vézier - Madame Meuf : https://www.instagram.com/madame.meuf/ Enregistré au bistrot Le Cyrano : 3, Rue Biot 75017 PARIS Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    41min | Published on October 23, 2024

  • Chloé Thibaud, autrice et journaliste, au café les Tournesols pour son livre Désirer la violence cover
    Chloé Thibaud, autrice et journaliste, au café les Tournesols pour son livre Désirer la violence cover
    Chloé Thibaud, autrice et journaliste, au café les Tournesols pour son livre Désirer la violence

    Venez écouter Chloé Thibaud parler féminisme, cinéma et violence ! Il y a des livres qu’on aimerait ne pas avoir lus tant ils changent notre manière d’aimer certaines choses de notre quotidien. Celui écrit par mon invitée appartient à ceux là. Dans Désirer la violence (aux éditions Les Insolentes), on est confronté à ce qu’on n’avait pas vraiment envie de voir même si c’était planté comme un nez au milieu d’une figure… artistique, je parle de l’omniprésence de la  misogynie, du sexisme, du masculinisme et autres discours déviants et violents dans la pop culture, entendez par là, dans le cinéma, la musique, la peinture, la littérature, les séries tv, la publicité, bref tout ce à quoi on n’échappe pas et qui nous influence à notre insu jusqu’à modifier nos  comportements en société. Car oui, spoiler alert  de la pub au pur divertissement,  insidieusement, un processus de manipulation s’opère sur notre façon de penser le monde . Et alors me direz-vous ? Il n’y a qu’à faire la part des choses. Bien sûr, vous répondrai je mais ce n’est pas si simple ! On parle d’un film, d’une chanson, qui dans ses images ou ses paroles banalise et rend acceptable la brutalité  ordinaire, de la claque au viol. Si l’autrice de cet essai peut se targuer de recevoir régulièrement  volées de bois vert et tombereaux d’insultes pour avoir dénoncé la violence sous jacente chez des génies tous  arts confondus, c’est que sa parole fait réfléchir et bûcher le système patriarcal. J’imagine que c’est dur pour elle, éreintant même, éprouvant  de se prendre  ce mur de commentaires  vindicatifs, cimenté à la bêtise crasse. Moi, je l’ai touché du doigt, ce mur, il n’y a pas si longtemps avec Régis. Régis, c’est son vrai prénom, ce n’est pas un hommage au sketch des Nuls même si la réalité a fini par rejoindre  la fiction , Régis donc , est venu commenter sur Instagram un extrait de mon interview de Giulia Foïs. Faisant fi des propos de mon invitée, Régis y est allé de son « not all men » « pas tous les hommes. » D’ailleurs  son épouse  pouvait  en témoigner, il aide à la maison… une perle ce Régis, revenant inlassablement à la charge pour défendre son bout de gras,  méprisant le cœur du sujet , le problème d égalité homme/ femme dans toutes les strates de la société mis en exergue par Giulia Fois . Ce qui avait scandalisé sa conscience victimaire, c’était que mon invitée puisse parler de féminisme. Dans les commentaires, j’avais beau, comme avec un copain un peu lourdingue ou bourré, d’homme à homme, entre couilles, essayer  de ramener Régis à la raison, ou sur le chemin d’une réconciliation  même timide. Rien n’y faisait. Régis restait sourd  à tout argument. Pour lui, en résumé «  les féministes faisaient chier » alors oui la dessus je le rejoins elles nous font chier car elles nous  plongent le nez dans notre propre caca, et c’est fort déplaisant.  Preuve  que le travail d’anthropologie culturelle de mon invitée est salutaire,  non …indispensable Sa démonstration dans Désirer la Violence, toute implacable qu’elle soit, ne  se fait jamais dans l’animosité ou la rancoeur. Elle est humanisée  parce que racontée  par le prisme  de son expérience, d’anecdotes  humoristiques ou poignantes . C’est donc pour en savoir davantage que ce que son compte Instagram et ses livres - car il y en a plusieurs !- donnent à comprendre sur elle, sur son tatouage dans le dos et surtout sur sa pensée acérée que je j'ai retrouvé Chloé Thibaud au café Le Tournesol rue de la gaité à Paris pour prendre avec elle un café au comptoir. présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ Enregistré au cafe Le Tournesol https://www.reserverbarparis.fr/bar/le-tournesol/ instagram Chloe Thibaud : https://www.instagram.com/chloe_thbd/

    53min | Published on October 8, 2024

  • Flavia Coelho, musicienne, au restaurant Bon Vivant cover
    Flavia Coelho, musicienne, au restaurant Bon Vivant cover
    Flavia Coelho, musicienne, au restaurant Bon Vivant

    J'ai eu le plaisir de discuter avec la chanteuse Flavia Coelho ! Elle a quitté son pays, le Brésil pour la France, au premier jour de l’été en 2006. S’il n’y avait pas grand chose à cette époque dans sa valise, elle y avait réservé une place de choix pour sa foi inébranlable dans les dieux bienveillants de la musique.   Pour autant, la voie du succès n’est jamais toute tracée telle une autoroute et c’est dans le métro parisien que la chanteuse dont je dresse le portrait a poussé ses premières vocalises. C’est donc d’abord dans les rames bruyantes de la RATP que la jeune carioca a entonné des bossa avant de rejoindre l’atmosphère plus feutrée d’un cabaret parisien oú elle a chanté de longues nuits durant perfectionnant son apprentissage du français, ainsi que celui de la guitare. C’est la aussi qu’elle rencontre Victor Vagh-Weinmann. le producteur réalisateur qui l’a aidée à créer les premières maquettes qui ont préfiguré l’album de ses débuts, Bossa Muffin sorti en 2011.   Son style, qui tient à la fois du reggae, du ragga de la bossa, et de la salsa a vite enchanté les festivals oú sa voix du nordeste brésilien séduit tous les publics. 5 albums plus tard, la plus parisienne des chanteuses bresiliennes peut s’enorgueillir d’un répertoire qui sous ses arrangements ensoleillés aborde cependant les nuages et les orages qui ont traversé sa vie. Celle dont la mère maquillait les travestis dans les cabarets de Rio de Janeiro n’a jamais oublié ses origines modestes. Ses chansons racontent une jeunesse où rien n’était jamais acquis mais aussi la maladie de sa mère, très tôt disparue, comme les conditions de vie difficiles de son père, docker, mais aussi son irréductible envie de chanter, et ce depuis toujours. Artiste engagée, elle a milité contre les idées d’extrême droite de Bolsonaro et s’est toujours attachée à tenter de faire changer les mentalités racistes, dans son pays natal comme dans celui qu’elle a choisi d’honorer de sa présence, la France.   Son dernier opus, Ginga, dont le titre évoque le jeu de jambes de la capoeira est donc un mix musical fantastique qui offre un voyage parmi toutes les influences musicales du sud, Cumbia, funk brésilien, soul, reggae, et amapiano africain. Exploitant les thèmes de la reconstruction, du courage, et de la résilience, c’est un album nostalgique que la chanteuse nous livre, pour convoquer tout ce qui compte à ses yeux, de la condition de la femme dans son pays d’origine, à l’amour qu’elle célèbre dans ses mélodies.   Et c’est pour en savoir plus sur ce qui l’inspire au quotidien que j’ai retrouvé cette autrice compositrice interprète dans le 5e arrondissement de paris, au café Bon Vivant pour prendre avec elle un café au comptoir   présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ enregistré chez BON VIVANT https://www.bonvivant.paris 7 rue des écoles à Paris (5e) instagram Flavia Coelho : https://www.instagram.com/flaviacoelhobr/ Son dernier album : GINGA https://open.spotify.com/intl-fr/album/5jcsmEGirGxS1JXYaouIq9?si=mmqB7VKAQHKxZIenPrc3rA Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    34min | Published on September 26, 2024

  • Season 1

  • Christophe Mali, chanteur du groupe Tryo, au café Les Rigoles pour présenter son album solo cover
    Christophe Mali, chanteur du groupe Tryo, au café Les Rigoles pour présenter son album solo cover
    Christophe Mali, chanteur du groupe Tryo, au café Les Rigoles pour présenter son album solo

    J'ai eu l'honneur de discuter avec le chanteur de TRYO, Christophe Mali, au café Les Rigoles, 334 Rue des Pyrénées à Paris (20e). Mon invité, je dois le confesser, je l’ai détesté. Longtemps. Pour une seule et unique raison : ma petite amie de l’époque de l’université Paris III en Deug de Théâtre, était la fan absolue du groupe dont je reçois aujourd’hui le chanteur.   Parfois nous connaissions de franches disputes pour peu que je lui proposais de varier sa playlist, enfin, non, de changer de CD (car nous en étions encore là à cette époque lointaine du siècle précédent) afin de faire tourner la rondelle de Sinsemillia, ou bien celle de Louise Attaque, les Orgues de Barback ou encore Zebda. Mais non, pour elle rien ne surpassait l’Hymne de nos campagnes comme réveil matin, cette chanson qui ouvre le premier album du groupe Tryo, LE quatuor français de reggae acoustique, tendance raggamuffin. Alors, parfois on s’engueulait très fort, elle me menaçait de me quitter pour partir rejoindre ce groupe qui portait mieux le pantacourt que moi, et qui sans doute – selon elle- savait bien faire pousser leur herbe, eux, aux doux sons de leurs guitares. Un jour on s’est lassés de se chanter l’un l’autre « désolé pour hier soir… » et j’ai émis « un jugement sans appel » c’était « toi et moi », on a vécu « une saison de trop », alors « bye-bye ». « Si la vie m’a mis là » ce ne sera pas « la débandade », et finalement je lui ai dit « j’ai trouvé des amis ».  Je précise pour ceux qui sont passés à côté des 13 albums de la discographie de Tryo et de leur 30 ans de carrière, que je viens de placer ici huit titres de ce groupe. À vous de jouer pour les retrouver et de vous les passer en boucle dans vos têtes.  Inspiré par Brassens Renaud Hubert Felix Thieffaine, ce compositeur interprète, est aussi fan d’Alain Souchon ! Mais ce bourreau de travail n’a pas que la scène en tête ! Ce qui lui plait, c’est aider, conseiller, transmettre son savoir scénique, et c’est ce qu’il fait depuis près de 20 ans, aux chantiers des Francos, l’antichambre du festival les Francofolies de la Rochelle. Et c’est comme ça que ce coach d’artistes émergeants a toujours su rester « in touch » avec la scène française actuelle. Preuve en est, le single « derniers humains » sorti dernièrement comme un avant-goût de son second album solo, et qui est l’occasion d’un duo avec Lucie Lebrun du groupe LEJ (Elijay), le trio féminin qui avait remporté en 2013 un concours organisé par Tryo, son groupe, actuellement « en pause » ! Aussi c’est pour évoquer sa carrière solo, son inspiration, sa vision artistique que j’ai convié ce showman sensible au café Les Rigoles dans le 20e arrondissement pour partager avec moi un café au comptoir. présenté par Alexis Himeros : https://www.instagram.com/alexishimeros/ instagram Christophe Mali : https://www.instagram.com/christophe_mali_tryo/ Album solo "Humain" en préparation… Nouveau single feat. @lucielebrn (https://www.instagram.com/lucielebrn/) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    41min | Published on September 13, 2024

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