1972, une période particulièrement tourmentée dans la vie personnelle de Sylvie Vartan, plongée entre clair-obscur et projecteurs. L’album Sympathie, musicalement ambitieux, en sera le reflet. Elle s’exile aux USA pour tenir son fils David éloigné des médias, et se lance à corps perdu dans la préparation d’un nouveau spectacle. Elle pousse encore les limites et propose ce qui n’a encore jamais été montré en France : un show d’une envergure telle que l’Olympia deviendra trop petit pour ses désirs de grandeur. En parallèle, après deux ans éloignée des plateaux, Sylvie multiplie les passages à la télévision, et le film Malpertuis, dans lequel elle joue un petit rôle, est présenté à Cannes. Une nouvelle année intense pour Sylvie, devenue une véritable bête de scène, désormais synonyme de démesure. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Année mouvementée pour Sylvie Vartan, 1968 voit la chanteuse réchapper d’un terrible accident. À force de résilience, Sylvie, qui se jette à corps perdu dans le travail, va remonter la pente. L’une des premières à faire appel à Jean-Claude Vannier,elle sort un album marquant qui contient les tubes Irrésistiblement et La Maritza ; elle séduit le public avec un véritable spectacle de music hall à l’Olympia en fin d’année, et collabore pour la première fois avec les Carpentier pour un show télé qui va faire date. En 1968, Sylvie est sur tous les fronts et mène sa propre révolution musicale. C’est ce qu’on vous raconte dans ce cinquième épisode de Vartanrama. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

En 1996, Sylvie Vartan fait de nouvelles rencontres, et son cercle d’auteurs-compositeurs s’agrandit, avec notamment Richard Cocciante. C’est l’occasion pour elle de proposer un disque avec des textes forts, très poétiques.  Cet épisode est aussi l’occasion de revenir sur une collaboration surprenante avec Jean-Louis Murat, dont le résultat est particulièrement efficace. L’Olympia doit être détruit et reconstruit quelques mètres plus loin. Sylvie décide donc de remonter de nouveau sur les planches de cette salle unique, sa première scène. Elle proposera un spectacle à la fois poétique et nostalgique. Toutes les femmes ont un secret… alors, tout au long de cet épisode, nous allons tenter de percer celui de Sylvie, de Los Angeles à Paris… Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Sylvie Vartan a débuté sa révérence les 8, 9 et 10 novembre 2024 au Dôme de Paris. L’équipe de Vartanrama y était et revient dans ce premier hors-série sur ces trois concerts événementiels. Pour en discuter avec eux, Pierre et Aurélien ont invité Ludovic (expert musique et créateur de l’univers sonore du podcast) et Laurent (webmaster du site officiel www.sylvie-vartan.com (http://sylvie-vartan.com)). Setlist, musiciens, danseurs, costumes, mise en scène, ils passent ensemble en revue le dernier grand spectacle de la chanteuse. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

En 1987, Sylvie Vartan prend un nouveau départ : elle quitte sa maison de disques historique pour signer chez Philips. Femme sous influence, 45 tours réalisé par le producteur à succès Romano Musumarra (Jeanne Mas, Stéphanie de Monaco…), n’obtient pas le succès escompté. La chanteuse s’accorde alors une longue pause avant de revenir en 1989 avec l’album Confidanses, réalisé notamment par Michael Cretu (Sandra) et Georges Lunghini (Elsa), qui contient un nouveau classique : C’est fatal. Dans cet épisode on évoque également les débuts discographiques de David Hallyday, avant de faire un point d’étape sur la carrière de nos ex-chanteuses yéyé (Sheila, Françoise Hardy, Chantal Goya et France Gall) lors de la deuxième moitié de ces années 80. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

4 octobre 1975. Palais des Congrès. Le public de cette toute récente salle parisienne s’apprête à découvrir le nouveau défi de Sylvie Vartan. Le pari est risqué et personne (ou presque) dans son entourage n’y croit. Mais la jeune femme a envie de bousculer les lignes, de marquer les esprits, inspirée des grands shows qu’elle a pu admirer aux États-Unis. Elle a des envies de décors, de chorégraphies spectaculaires, de ballets, de comédie musicale… et va se donner les moyens de ses ambitions. Dans la foulée, elle sort début 1976 un album qui regorge de tubes : La Drôle de fin, Danse-la chante-la et Qu’est-ce qui fait pleurer les blondes ? C’est cette épopée que nous allons vous raconter dans ce deuxième épisode de Vartanrama. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans ce premier épisode, nous reviendrons sur l’année 1964 de Sylvie Vartan. Après un concert mythique à l’Olympia avec les Beatles, la chanteuse sort un album enregistré à Nashville avec les musiciens d’Elvis Presley qui va connaître un grand succès, notamment grâce aux tubes Si je chante et La Plus Belle pour aller danser. Entre tournées internationales et promotion aux États-Unis, la chanteuse, qui fête ses 20 ans, trouve également le temps de passer son permis de conduire et de tourner un film avec Jean Marais et Danielle Darrieux. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.