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Épisode #128 - HS LES AUTRES SOIGNANTS - Elise Poitrinal, une interne qui a de la poigne

Épisode #128 - HS LES AUTRES SOIGNANTS - Elise Poitrinal, une interne qui a de la poigne

1h11 |01/12/2025|

459

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1h11 |01/12/2025|

459

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Description

Elise Poitrinal, interne en chirurgie orthopédique, au 🎤 de Sophie

Dans ce deuxième hors-série qui tend le micro aux soignants non vétérinaires, Sophie accueille Élise Poitrinal, 28 ans, interne ⚕en chirurgie orthopédique et traumatologique.

Si le cursus vétérinaire est long, que dire de celui des médecins ? Après une année de prépa, 2 années plus théoriques 🥳 et 3 ans d’externat, un concours en fin de 6ème année définit le choix de la spécialité et la ville pour l’internat, qui dure jusqu’à 6 ans pour les spécialités chirurgicales. C’est ce que nous partage Elise, depuis les révisions intenses de prépa jusqu’au rythme endiablé de l’internat 🏥.

Elle raconte avec un enthousiasme contagieux son quotidien, qui ressemble plus à un marathon qu’à un sprint 🐴 semblable à ce qu'elle a vécu dans les steppes mongoles. Après un bon classement à l’examen de fin de 6ème année (fruit d’un travail acharné et de nombreux litres de café), elle a décroché une place en ortho à Paris, où « l’activité lunaire » n’est pas qu’une légende urbaine.

Ses journées commencent avant l’aube, staff à 7h45, suivi d’une valse entre bloc, consultations et urgences 🚑. Le tout pimenté de gardes où le repos nocturne est bien souvent un concept purement théorique. Dans cette ruche hospitalière, et contrairement à certaines idées reçues, l’entraide règne : internes débutants et seniors fonctionnent en véritable compagnonnage. Mais la fatigue, elle, ne fait pas de quartiers. Élise admet volontiers avoir sous-estimé l’intensité de l’internat : les nuits blanches, les blocs qui s’éternisent et les sacrifices personnels. Finies les chevauchées forestières après chaque garde… Heureusement, la gratitude des patients compense largement.

Elise incarne une génération qui aime son métier 🥼 mais refuse d’y laisser toute son existence. Oui, ils travaillent dur, mais réclament reconnaissance, équilibre ⏳ et rémunération digne de ces années « hors du monde » pendant que leurs amis ingénieurs signaient leurs premiers CDI. Seule inquiétude : la surspécialisation galopante de l’orthopédie. Là où son grand-père opérait à peu près tout, sa génération doit choisir son segment d’anatomie. Entre réformes, débats budgétaires et nouvelles aspirations, elle résume bien l’état d’esprit ambiant : soigner, oui ; s’oublier, non.

👉 Comme chez les vétos 🩺, abandons et virages à 180° ne sont pas rares… Burn-out, année sabbatique, pause bébé, reconversions... 🚸. Parce que oui, l’internat, c’est long. Très long… Et personne ne vient jamais demander s’ils tiennent le coup. Ce qui la fait tenir ? Le bloc, ce petit village où tout le monde se tutoie sous masque 😷 et charlotte. Les décisions qu’elle doit porter ne sont jamais simples mais s’il y a bien quelque chose que la chirurgie lui a enseigné très vite, c’est l’humilité. Et vous verrez que ça n’est pas la seule qualité de cette interne passionnée 😍 qui se retrouve complètement dans cette discipline dans laquelle chaque problème a une solution !

🔗 Liens de l'épisode :

https://www.onisep.fr/f

https://equestrianists.com/mongol-derby/

Livre : Le lambeau, Philippe Lançon aux éditions Gallimard

Création : Marine Slove - Production : TÉMAvet - Hôte : Sophie Wilford - Enregistrement : Sophie Wilford - Montage : Stéphanie Patiny - Textes : Annabelle Orszag - Musique : Chocolate Cookie Jam - An Jone


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Elise Poitrinal, interne en chirurgie orthopédique, au 🎤 de Sophie

Dans ce deuxième hors-série qui tend le micro aux soignants non vétérinaires, Sophie accueille Élise Poitrinal, 28 ans, interne ⚕en chirurgie orthopédique et traumatologique.

Si le cursus vétérinaire est long, que dire de celui des médecins ? Après une année de prépa, 2 années plus théoriques 🥳 et 3 ans d’externat, un concours en fin de 6ème année définit le choix de la spécialité et la ville pour l’internat, qui dure jusqu’à 6 ans pour les spécialités chirurgicales. C’est ce que nous partage Elise, depuis les révisions intenses de prépa jusqu’au rythme endiablé de l’internat 🏥.

Elle raconte avec un enthousiasme contagieux son quotidien, qui ressemble plus à un marathon qu’à un sprint 🐴 semblable à ce qu'elle a vécu dans les steppes mongoles. Après un bon classement à l’examen de fin de 6ème année (fruit d’un travail acharné et de nombreux litres de café), elle a décroché une place en ortho à Paris, où « l’activité lunaire » n’est pas qu’une légende urbaine.

Ses journées commencent avant l’aube, staff à 7h45, suivi d’une valse entre bloc, consultations et urgences 🚑. Le tout pimenté de gardes où le repos nocturne est bien souvent un concept purement théorique. Dans cette ruche hospitalière, et contrairement à certaines idées reçues, l’entraide règne : internes débutants et seniors fonctionnent en véritable compagnonnage. Mais la fatigue, elle, ne fait pas de quartiers. Élise admet volontiers avoir sous-estimé l’intensité de l’internat : les nuits blanches, les blocs qui s’éternisent et les sacrifices personnels. Finies les chevauchées forestières après chaque garde… Heureusement, la gratitude des patients compense largement.

Elise incarne une génération qui aime son métier 🥼 mais refuse d’y laisser toute son existence. Oui, ils travaillent dur, mais réclament reconnaissance, équilibre ⏳ et rémunération digne de ces années « hors du monde » pendant que leurs amis ingénieurs signaient leurs premiers CDI. Seule inquiétude : la surspécialisation galopante de l’orthopédie. Là où son grand-père opérait à peu près tout, sa génération doit choisir son segment d’anatomie. Entre réformes, débats budgétaires et nouvelles aspirations, elle résume bien l’état d’esprit ambiant : soigner, oui ; s’oublier, non.

👉 Comme chez les vétos 🩺, abandons et virages à 180° ne sont pas rares… Burn-out, année sabbatique, pause bébé, reconversions... 🚸. Parce que oui, l’internat, c’est long. Très long… Et personne ne vient jamais demander s’ils tiennent le coup. Ce qui la fait tenir ? Le bloc, ce petit village où tout le monde se tutoie sous masque 😷 et charlotte. Les décisions qu’elle doit porter ne sont jamais simples mais s’il y a bien quelque chose que la chirurgie lui a enseigné très vite, c’est l’humilité. Et vous verrez que ça n’est pas la seule qualité de cette interne passionnée 😍 qui se retrouve complètement dans cette discipline dans laquelle chaque problème a une solution !

🔗 Liens de l'épisode :

https://www.onisep.fr/f

https://equestrianists.com/mongol-derby/

Livre : Le lambeau, Philippe Lançon aux éditions Gallimard

Création : Marine Slove - Production : TÉMAvet - Hôte : Sophie Wilford - Enregistrement : Sophie Wilford - Montage : Stéphanie Patiny - Textes : Annabelle Orszag - Musique : Chocolate Cookie Jam - An Jone


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Dans ce deuxième hors-série qui tend le micro aux soignants non vétérinaires, Sophie accueille Élise Poitrinal, 28 ans, interne ⚕en chirurgie orthopédique et traumatologique.

Si le cursus vétérinaire est long, que dire de celui des médecins ? Après une année de prépa, 2 années plus théoriques 🥳 et 3 ans d’externat, un concours en fin de 6ème année définit le choix de la spécialité et la ville pour l’internat, qui dure jusqu’à 6 ans pour les spécialités chirurgicales. C’est ce que nous partage Elise, depuis les révisions intenses de prépa jusqu’au rythme endiablé de l’internat 🏥.

Elle raconte avec un enthousiasme contagieux son quotidien, qui ressemble plus à un marathon qu’à un sprint 🐴 semblable à ce qu'elle a vécu dans les steppes mongoles. Après un bon classement à l’examen de fin de 6ème année (fruit d’un travail acharné et de nombreux litres de café), elle a décroché une place en ortho à Paris, où « l’activité lunaire » n’est pas qu’une légende urbaine.

Ses journées commencent avant l’aube, staff à 7h45, suivi d’une valse entre bloc, consultations et urgences 🚑. Le tout pimenté de gardes où le repos nocturne est bien souvent un concept purement théorique. Dans cette ruche hospitalière, et contrairement à certaines idées reçues, l’entraide règne : internes débutants et seniors fonctionnent en véritable compagnonnage. Mais la fatigue, elle, ne fait pas de quartiers. Élise admet volontiers avoir sous-estimé l’intensité de l’internat : les nuits blanches, les blocs qui s’éternisent et les sacrifices personnels. Finies les chevauchées forestières après chaque garde… Heureusement, la gratitude des patients compense largement.

Elise incarne une génération qui aime son métier 🥼 mais refuse d’y laisser toute son existence. Oui, ils travaillent dur, mais réclament reconnaissance, équilibre ⏳ et rémunération digne de ces années « hors du monde » pendant que leurs amis ingénieurs signaient leurs premiers CDI. Seule inquiétude : la surspécialisation galopante de l’orthopédie. Là où son grand-père opérait à peu près tout, sa génération doit choisir son segment d’anatomie. Entre réformes, débats budgétaires et nouvelles aspirations, elle résume bien l’état d’esprit ambiant : soigner, oui ; s’oublier, non.

👉 Comme chez les vétos 🩺, abandons et virages à 180° ne sont pas rares… Burn-out, année sabbatique, pause bébé, reconversions... 🚸. Parce que oui, l’internat, c’est long. Très long… Et personne ne vient jamais demander s’ils tiennent le coup. Ce qui la fait tenir ? Le bloc, ce petit village où tout le monde se tutoie sous masque 😷 et charlotte. Les décisions qu’elle doit porter ne sont jamais simples mais s’il y a bien quelque chose que la chirurgie lui a enseigné très vite, c’est l’humilité. Et vous verrez que ça n’est pas la seule qualité de cette interne passionnée 😍 qui se retrouve complètement dans cette discipline dans laquelle chaque problème a une solution !

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Dans ce deuxième hors-série qui tend le micro aux soignants non vétérinaires, Sophie accueille Élise Poitrinal, 28 ans, interne ⚕en chirurgie orthopédique et traumatologique.

Si le cursus vétérinaire est long, que dire de celui des médecins ? Après une année de prépa, 2 années plus théoriques 🥳 et 3 ans d’externat, un concours en fin de 6ème année définit le choix de la spécialité et la ville pour l’internat, qui dure jusqu’à 6 ans pour les spécialités chirurgicales. C’est ce que nous partage Elise, depuis les révisions intenses de prépa jusqu’au rythme endiablé de l’internat 🏥.

Elle raconte avec un enthousiasme contagieux son quotidien, qui ressemble plus à un marathon qu’à un sprint 🐴 semblable à ce qu'elle a vécu dans les steppes mongoles. Après un bon classement à l’examen de fin de 6ème année (fruit d’un travail acharné et de nombreux litres de café), elle a décroché une place en ortho à Paris, où « l’activité lunaire » n’est pas qu’une légende urbaine.

Ses journées commencent avant l’aube, staff à 7h45, suivi d’une valse entre bloc, consultations et urgences 🚑. Le tout pimenté de gardes où le repos nocturne est bien souvent un concept purement théorique. Dans cette ruche hospitalière, et contrairement à certaines idées reçues, l’entraide règne : internes débutants et seniors fonctionnent en véritable compagnonnage. Mais la fatigue, elle, ne fait pas de quartiers. Élise admet volontiers avoir sous-estimé l’intensité de l’internat : les nuits blanches, les blocs qui s’éternisent et les sacrifices personnels. Finies les chevauchées forestières après chaque garde… Heureusement, la gratitude des patients compense largement.

Elise incarne une génération qui aime son métier 🥼 mais refuse d’y laisser toute son existence. Oui, ils travaillent dur, mais réclament reconnaissance, équilibre ⏳ et rémunération digne de ces années « hors du monde » pendant que leurs amis ingénieurs signaient leurs premiers CDI. Seule inquiétude : la surspécialisation galopante de l’orthopédie. Là où son grand-père opérait à peu près tout, sa génération doit choisir son segment d’anatomie. Entre réformes, débats budgétaires et nouvelles aspirations, elle résume bien l’état d’esprit ambiant : soigner, oui ; s’oublier, non.

👉 Comme chez les vétos 🩺, abandons et virages à 180° ne sont pas rares… Burn-out, année sabbatique, pause bébé, reconversions... 🚸. Parce que oui, l’internat, c’est long. Très long… Et personne ne vient jamais demander s’ils tiennent le coup. Ce qui la fait tenir ? Le bloc, ce petit village où tout le monde se tutoie sous masque 😷 et charlotte. Les décisions qu’elle doit porter ne sont jamais simples mais s’il y a bien quelque chose que la chirurgie lui a enseigné très vite, c’est l’humilité. Et vous verrez que ça n’est pas la seule qualité de cette interne passionnée 😍 qui se retrouve complètement dans cette discipline dans laquelle chaque problème a une solution !

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