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S2 Ep 1 : Déconstruire les notions d’Inclusion et Diversité dans la mode et le luxe

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1h07 |21/04/2025
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Description

Fabriques du désir et de richesses, la mode transfigure nos corps, nos images et nos identités.

Industrie de l’extraordinaire et de l’exception, le luxe  projette des messages de statut, de prestige et d’exclusivité.

C’est en outre « Tout un système de productions de signes qui en font un outil de discrimination sociale », selon le sociologue Pierre Bourdieux.


Malgré cet historique, des convictions et des actions sont à l’oeuvre en faveur d’une meilleur représentativité de tous les profils dans cette manufacture du rêve.

Cependant, la sous-représentation des personnes racisées demeure en Front, mais surtout en Behind The Scene ?


Plus que jamais, la réappropriation de son histoire et de son corps est aujourd’hui menacée à bien des égards à travers le monde. Pourtant, en marge des normes de beautés ou d’autorités traditionnelles, les talents et les voix ne manquent pas. 


C’est l’objet des conversations «L’inclusivité dans la mode », conférence tenue le 23 mars dernier , en prélude du sublime défilé du talentueux et prometteur, Brahim Djibrine, au Musée de l’histoire de l’immigration. Le choix du lieu n’était pas un hasard.


Cet épisode ouvre une nouvelle saison avec  un format un peu particulier. Aujourd’hui, je suis de l’autre côté de l’interview, au micro de Raphaël Gribe Marquis de Rinse France,  modérateur de main de maître d’un panel prestigieux, composé du modèle et écrivaine Rouguy Faye, de la créatrice de la marque Afrikanista et fondatrice du média Histoires d’Immigrés Aissé N’diaye, de l’historien de la mode et écrivain Khemaïs Ben Lakhdar-Rezguy… et de moi-même.


Les questions de Diversité et d’Inclusion ont-elles progressé au fil des des saisons ?


Nous parlons entre autre :


  • Sémantique depuis la genèse des termes diversité et inclusion jusqu’à leurs usages dans la mode aujourd’hui.

  • De la terre au produit…  Quelle est la chaîne humaine invisible impliquée dans le secteur de la  mode.

  • Nous abordons les coulisses dans le mannequinat et de la représentation des models racisés, mais également des différents talents dans les backstages, impliqués dans les métiers de  l’image dans la mode.

  • Et puisque la mode esthétise les corps et les identités,  nous découvrirons une forme de narration visuelle à travers les archives familiales… pour pouvoir aussi les faire parler, ces corps et ces identités.

  • Tout au long de cet épisode, des références d’histoire de la mode seront distillées, nous parlerons d’éducation et du filtre social qui s’opère dès les études, quel nouveau prisme pour la transmission aux  talents de demain ? …

Je vous souhaite une très bonne écoute !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Fabriques du désir et de richesses, la mode transfigure nos corps, nos images et nos identités.

Industrie de l’extraordinaire et de l’exception, le luxe  projette des messages de statut, de prestige et d’exclusivité.

C’est en outre « Tout un système de productions de signes qui en font un outil de discrimination sociale », selon le sociologue Pierre Bourdieux.


Malgré cet historique, des convictions et des actions sont à l’oeuvre en faveur d’une meilleur représentativité de tous les profils dans cette manufacture du rêve.

Cependant, la sous-représentation des personnes racisées demeure en Front, mais surtout en Behind The Scene ?


Plus que jamais, la réappropriation de son histoire et de son corps est aujourd’hui menacée à bien des égards à travers le monde. Pourtant, en marge des normes de beautés ou d’autorités traditionnelles, les talents et les voix ne manquent pas. 


C’est l’objet des conversations «L’inclusivité dans la mode », conférence tenue le 23 mars dernier , en prélude du sublime défilé du talentueux et prometteur, Brahim Djibrine, au Musée de l’histoire de l’immigration. Le choix du lieu n’était pas un hasard.


Cet épisode ouvre une nouvelle saison avec  un format un peu particulier. Aujourd’hui, je suis de l’autre côté de l’interview, au micro de Raphaël Gribe Marquis de Rinse France,  modérateur de main de maître d’un panel prestigieux, composé du modèle et écrivaine Rouguy Faye, de la créatrice de la marque Afrikanista et fondatrice du média Histoires d’Immigrés Aissé N’diaye, de l’historien de la mode et écrivain Khemaïs Ben Lakhdar-Rezguy… et de moi-même.


Les questions de Diversité et d’Inclusion ont-elles progressé au fil des des saisons ?


Nous parlons entre autre :


  • Sémantique depuis la genèse des termes diversité et inclusion jusqu’à leurs usages dans la mode aujourd’hui.

  • De la terre au produit…  Quelle est la chaîne humaine invisible impliquée dans le secteur de la  mode.

  • Nous abordons les coulisses dans le mannequinat et de la représentation des models racisés, mais également des différents talents dans les backstages, impliqués dans les métiers de  l’image dans la mode.

  • Et puisque la mode esthétise les corps et les identités,  nous découvrirons une forme de narration visuelle à travers les archives familiales… pour pouvoir aussi les faire parler, ces corps et ces identités.

  • Tout au long de cet épisode, des références d’histoire de la mode seront distillées, nous parlerons d’éducation et du filtre social qui s’opère dès les études, quel nouveau prisme pour la transmission aux  talents de demain ? …

Je vous souhaite une très bonne écoute !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Fabriques du désir et de richesses, la mode transfigure nos corps, nos images et nos identités.

Industrie de l’extraordinaire et de l’exception, le luxe  projette des messages de statut, de prestige et d’exclusivité.

C’est en outre « Tout un système de productions de signes qui en font un outil de discrimination sociale », selon le sociologue Pierre Bourdieux.


Malgré cet historique, des convictions et des actions sont à l’oeuvre en faveur d’une meilleur représentativité de tous les profils dans cette manufacture du rêve.

Cependant, la sous-représentation des personnes racisées demeure en Front, mais surtout en Behind The Scene ?


Plus que jamais, la réappropriation de son histoire et de son corps est aujourd’hui menacée à bien des égards à travers le monde. Pourtant, en marge des normes de beautés ou d’autorités traditionnelles, les talents et les voix ne manquent pas. 


C’est l’objet des conversations «L’inclusivité dans la mode », conférence tenue le 23 mars dernier , en prélude du sublime défilé du talentueux et prometteur, Brahim Djibrine, au Musée de l’histoire de l’immigration. Le choix du lieu n’était pas un hasard.


Cet épisode ouvre une nouvelle saison avec  un format un peu particulier. Aujourd’hui, je suis de l’autre côté de l’interview, au micro de Raphaël Gribe Marquis de Rinse France,  modérateur de main de maître d’un panel prestigieux, composé du modèle et écrivaine Rouguy Faye, de la créatrice de la marque Afrikanista et fondatrice du média Histoires d’Immigrés Aissé N’diaye, de l’historien de la mode et écrivain Khemaïs Ben Lakhdar-Rezguy… et de moi-même.


Les questions de Diversité et d’Inclusion ont-elles progressé au fil des des saisons ?


Nous parlons entre autre :


  • Sémantique depuis la genèse des termes diversité et inclusion jusqu’à leurs usages dans la mode aujourd’hui.

  • De la terre au produit…  Quelle est la chaîne humaine invisible impliquée dans le secteur de la  mode.

  • Nous abordons les coulisses dans le mannequinat et de la représentation des models racisés, mais également des différents talents dans les backstages, impliqués dans les métiers de  l’image dans la mode.

  • Et puisque la mode esthétise les corps et les identités,  nous découvrirons une forme de narration visuelle à travers les archives familiales… pour pouvoir aussi les faire parler, ces corps et ces identités.

  • Tout au long de cet épisode, des références d’histoire de la mode seront distillées, nous parlerons d’éducation et du filtre social qui s’opère dès les études, quel nouveau prisme pour la transmission aux  talents de demain ? …

Je vous souhaite une très bonne écoute !


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Fabriques du désir et de richesses, la mode transfigure nos corps, nos images et nos identités.

Industrie de l’extraordinaire et de l’exception, le luxe  projette des messages de statut, de prestige et d’exclusivité.

C’est en outre « Tout un système de productions de signes qui en font un outil de discrimination sociale », selon le sociologue Pierre Bourdieux.


Malgré cet historique, des convictions et des actions sont à l’oeuvre en faveur d’une meilleur représentativité de tous les profils dans cette manufacture du rêve.

Cependant, la sous-représentation des personnes racisées demeure en Front, mais surtout en Behind The Scene ?


Plus que jamais, la réappropriation de son histoire et de son corps est aujourd’hui menacée à bien des égards à travers le monde. Pourtant, en marge des normes de beautés ou d’autorités traditionnelles, les talents et les voix ne manquent pas. 


C’est l’objet des conversations «L’inclusivité dans la mode », conférence tenue le 23 mars dernier , en prélude du sublime défilé du talentueux et prometteur, Brahim Djibrine, au Musée de l’histoire de l’immigration. Le choix du lieu n’était pas un hasard.


Cet épisode ouvre une nouvelle saison avec  un format un peu particulier. Aujourd’hui, je suis de l’autre côté de l’interview, au micro de Raphaël Gribe Marquis de Rinse France,  modérateur de main de maître d’un panel prestigieux, composé du modèle et écrivaine Rouguy Faye, de la créatrice de la marque Afrikanista et fondatrice du média Histoires d’Immigrés Aissé N’diaye, de l’historien de la mode et écrivain Khemaïs Ben Lakhdar-Rezguy… et de moi-même.


Les questions de Diversité et d’Inclusion ont-elles progressé au fil des des saisons ?


Nous parlons entre autre :


  • Sémantique depuis la genèse des termes diversité et inclusion jusqu’à leurs usages dans la mode aujourd’hui.

  • De la terre au produit…  Quelle est la chaîne humaine invisible impliquée dans le secteur de la  mode.

  • Nous abordons les coulisses dans le mannequinat et de la représentation des models racisés, mais également des différents talents dans les backstages, impliqués dans les métiers de  l’image dans la mode.

  • Et puisque la mode esthétise les corps et les identités,  nous découvrirons une forme de narration visuelle à travers les archives familiales… pour pouvoir aussi les faire parler, ces corps et ces identités.

  • Tout au long de cet épisode, des références d’histoire de la mode seront distillées, nous parlerons d’éducation et du filtre social qui s’opère dès les études, quel nouveau prisme pour la transmission aux  talents de demain ? …

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