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ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet cover
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Découvrir au quotidien les enjeux de la technologie. Le podcast de la rédaction de ZDNet, pour les professionnels à la recherche d'infos pratiques et concrètes pour mieux comprendre le marché IT et telco et son influence sur les métiers.   


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  • Voici pourquoi les entreprises déchantent face à l'IA cover
    Voici pourquoi les entreprises déchantent face à l'IA cover
    Voici pourquoi les entreprises déchantent face à l'IA

    Aujourd'hui, on s'intéresse à un sujet capital pour les entreprises. Voici pourquoi certaines d'entre elles commencent à déchanter face à la mise en place de projets d'intelligence artificielle (https://www.zdnet.fr/actualites/intelligence-artificielle-ia-4000237536q.htm). Les entreprises sont nombreuses à avoir investi massivement dans des projets d'IA, séduites par l'énorme potentiel de la technologie. Mais un analyste reconnu du secteur, David Linthicum (https://davidlinthicum.com/), met en garde. La réalité de l'IA dans les grandes entreprises est bien plus complexe que ce qu'on imaginait jusqu'alors. L'IA à petite échelle, comme les assistants vocaux (https://www.zdnet.fr/actualites/grace-a-l-ia-l-assistant-google-devient-le-copilot-de-windows-pour-android-39961712.htm) ou les robots domestiques, ça marche assez bien. Dès qu'on parle de déploiements massifs dans des entreprises, ça devient compliqué Mais dès qu'on parle de déploiements massifs dans des entreprises, les choses deviennent beaucoup plus compliquées. Les dirigeants se rendent compte à présent que la technologie est coûteuse et que le retour sur investissement est loin d'être garanti. Selon David Linthicum, il y a quatre raisons pour lesquelles les entreprises sont perplexes quant au lien entre transformation numérique (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-la-transformation-numerique-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-la-facon-dont-la-technologie-remodele-les-entreprises-39930625.htm) et IA. La première, c'est le mur des données. Il s'avère que, pour que l'IA fonctionne bien, il faut des données de qualité. Et pour beaucoup d'entreprises, ces données sont non seulement insuffisantes, mais souvent désorganisées, voire obsolètes. Et cela nécessite des efforts colossaux pour remettre tout ça en ordre. La deuxième raison, c’est le choc financier. Mettre en place de l'IA dans une entreprise, c’est loin d’être bon marché. En plus des coûts de matériel spécialisé, comme des processeurs GPU, il faut aussi des investissements dans les données, la formation des modèles et leur ajustement. Autant dire que les budgets des entreprises peuvent vite exploser. Ensuite, il y a le manque d’orientation stratégique. Beaucoup d’entreprises se lancent dans l’IA sans vraiment avoir réfléchi à comment cette technologie s’intègre dans leur stratégie globale. Et on ne peut pas s’attaquer à un projet d’IA sans une vision claire de ce que l’on veut obtenir. Enfin, et ce n'est pas un petit sujet, il faut aussi avoir les compétences adéquates. Il faut une expertise poussée en architecture, en science des données, et même en éthique de l'IA. Sans cela, les projets sont souvent voués à l’échec. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 18, 2024

  • Amazon tire les prix vers le bas pour assommer Temu, Shein et AliExpress cover
    Amazon tire les prix vers le bas pour assommer Temu, Shein et AliExpress cover
    Amazon tire les prix vers le bas pour assommer Temu, Shein et AliExpress

    Aujourd'hui, nous allons parler d’Amazon Haul, la nouvelle offre à bas prix du géant du e-commerce. En lançant cette boutique en ligne, pour l'instant uniquement aux Etats-Unis, Amazon veut directement concurrencer les plateformes chinoises comme Temu (https://www.zdnet.fr/pratique/temu-heros-ou-escroc-tout-ce-quil-faut-savoir-avant-de-passer-votre-premiere-commande-395631.htm) et Shein, bien connues pour leurs prix au ras des pâquerettes. Qu'est-ce que propose Amazon Haul ? Avec Haul, Amazon met à disposition des internautes toute une gamme de produits variés, allant des vêtements à l'électronique en passant par des articles de beauté, des gadgets, et des articles ménagers. Le point fort ? Le prix, puisque tout coûte 20 dollars ou moins. Un exemple ? Vous pouvez acheter un organisateur de bijoux à 5 dollars, un sac à linge pour 3 dollars, ou encore des chemises pour 12 dollars. Amazon offre également des réductions sur les grosses commandes, avec 5 % de remise pour les paniers supérieurs à 50 dollars et 10 % au-delà de 75 dollars. Une stratégie très claire Amazon veut rivaliser avec les prix ultra bas de ses concurrents en provenance de Chine. On le voit écrit en gros sur les bannières sur le site, telles que "prix follement bas" et des émojis pour attirer l’attention sur les bonnes affaires. En plus, la livraison est offerte pour les commandes au-delà de 25 dollars. Ce sont des pratiques directement inspirées des méthodes de Temu et Shein. Cependant, un changement de taille est à noter : bien qu’Amazon ait bâti sa réputation sur des livraisons rapides, avec Haul, le délai est d’une à deux semaines, à peu près équivalent à celui de ses concurrents low cost. Amazon joue sur la confiance pour se démarquer Enfin, Amazon joue aussi sur la confiance pour se démarquer. Contrairement aux problèmes de contrefaçons souvent reprochés aux plateformes chinoises, Amazon affirme que tous les produits vendus sur Haul sont contrôlés et conformes aux réglementations en vigueur. Cette mesure vise à rassurer les consommateurs, notamment face aux inquiétudes croissantes aux États-Unis et en Europe concernant la qualité et la sécurité des produits importés de Chine notamment. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 15, 2024

  • L'IA part à l'assaut des réunions de travail multilingues cover
    L'IA part à l'assaut des réunions de travail multilingues cover
    L'IA part à l'assaut des réunions de travail multilingues

    L'intelligence artificielle générative (https://www.zdnet.fr/actualites/ia-generative-6671q.htm) s'apprête à bouleverser les réunions de travail multilingues. Oui, une nouvelle fonctionnalité de DeepL, le spécialiste de la traduction (https://www.zdnet.fr/actualites/deepl-leve-300-millions-de-dollars-pour-une-valorisation-de-2-milliards-de-dollars-391994.htm), assure désormais une solution de traduction vocale en temps réel. Conséquence, avec cette avancée, nommée DeepL Voice, l'intelligence artificielle fait un grand pas dans le domaine de la traduction orale avec deux nouveaux modèles. Pour les réunions de groupe et pour les conversations face-à-face Il s'agit d'une part de DeepL Voice pour les réunions virtuelles et ensuite de DeepL Voice pour les conversations en face-à-face. DeepL Voice pour les réunions permet d’organiser des rencontres virtuelles en multi-langues. Concrètement, cela signifie que chaque participant peut s’exprimer dans sa langue maternelle et, grâce à la technologie d'IA générative, ses propos sont automatiquement traduits et affichés sous forme de sous-titres pour les autres participants. Imaginez donc une réunion où des collaborateurs français, allemands et japonais communiquent chacun dans leur langue sans barrière linguistique. Cela permet non seulement de simplifier la communication, mais aussi de renforcer la collaboration internationale. DeepL Voice pour les conversations s’adresse aux interactions en face-à-face. Ce modèle est conçu pour les appareils mobiles comme les smartphones. Il permet de traduire des échanges en temps réel dans des environnements très divers. Par exemple, lors d’une rencontre professionnelle à l’étranger, l’utilisateur peut utiliser l'application pour échanger avec son interlocuteur, en affichant les traductions sous forme de sous-titres. De quoi rendre les discussions plus fluides et accessibles. Enfin, il faut noter que Deep L assure que ses modèles d'IA sont capables de comprendre divers accents. Et DeepL Voice supporte actuellement une douzaine de langues, dont le français, l’anglais ou encore le coréen. Enfin, les sous-titres sont disponibles en 33 langues. Cette solution a déjà été adoptée par de grandes entreprises, dont une française, Brioche Pasquier. La coordinatrice de l’internationalisation de l'entreprise assure que la solution a pu rapprocher les équipes. Après avoir testé d'autres solutions concurrentes, elle dit aussi que l'avantage de celle-ci est de prendre en charge plusieurs langues en même temps lors des réunions. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 14, 2024

  • Bitcoin, Tesla et dollar ; fièvre des investisseurs en vue du second mandat de Donald Trump cover
    Bitcoin, Tesla et dollar ; fièvre des investisseurs en vue du second mandat de Donald Trump cover
    Bitcoin, Tesla et dollar ; fièvre des investisseurs en vue du second mandat de Donald Trump

    Voici les premières conséquences de l'élection de Donald Trump dans le monde de la technologie et de la finance. L'arrivée au pouvoir suprême outre-Atlantique de Donald Trump pour la seconde fois a des effets immédiats sur le marché des crypto-monnaies, les actions de Tesla, ou encore l'excellente tenue du dollar américain. Pourquoi ? Parce que les investisseurs américains anticipent déjà la mise en place d'une politique économique favorable aux marchés financiers (https://www.zdnet.fr/actualites/victoire-de-donald-trump-voici-les-consequences-pour-le-monde-de-la-tech-400822.htm) et surtout aux crypto-monnaies. Et cela d'autant plus que notre homme aura un soutien probable du Congrès des Etats-Unis. Et par conséquent très peu de contre pouvoirs pour tempérer son action. Et cela a aussi des conséquences sur le secteur des semi-conducteurs (https://www.zdnet.fr/actualites/investiture-de-donald-trump-les-fabricants-de-semi-conducteurs-sempressent-de-signer-des-accords-avant-son-arrivee-400975.htm). Le Bitcoin bat tous les records Premièrement donc, le Bitcoin bat tous les records. L’anticipation d’une approche peu stricte en matière de régulation des crypto-monnaies par l’administration Trump stimule très fortement les marchés. Résultat, le Bitcoin a franchi la barre des 88 000 dollars, un record historique. Et cela a des conséquences sur tout l'écosystème. La plateforme d'échange de crypto-monnaies Coinbase, par exemple, a bondi en bourse de près de 20 %. Une vraie euphorie s'empare donc du secteur, avec des spéculations sur l’éventuelle création d'une réserve nationale de Bitcoins aux Etats-Unis. Tesla s'envole Cette victoire électorale donne aussi des ailes à des entreprises de la tech, comme Tesla. Il faut aussi préciser que le patron de l'entreprise, Elon Musk, est un fervent allié de Donald Trump. L’action du constructeur automobile a enregistré en début de semaine un gain de 9 %, surfant sur la vague optimiste du marché. Les investisseurs misent sur une conjoncture favorable qui pourrait même faciliter de futures réformes énergétiques, dont un soutien aux véhicules électriques. Le dollar américain grimpe également Enfin, le dollar américain grimpe également, atteignant son plus haut niveau en quatre mois face à un panier de devises, où l'on trouve l'euro. Et là c'est très clair. Cette appréciation du dollar est directement stimulée par les promesses de Donald Trump de réduire les impôts et d’augmenter les droits de douane. De quoi faire défaillir nous autres européens certes, mais aussi risquer une hausse de l'inflation. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 13, 2024

  • Insolite, Intermarché n'a pas été piraté ! cover
    Insolite, Intermarché n'a pas été piraté ! cover
    Insolite, Intermarché n'a pas été piraté !

    Aujourd'hui, revenons sur une fausse alerte qui la semaine dernière a fait trembler les clients d'Intermarché. L’enseigne de grande distribution leur a envoyé par erreur un courriel annonçant une fuite de données personnelles due à un piratage. Mais tout cela n’était qu’une simple erreur de communication. Le jeudi 7 novembre, de nombreux clients d'Intermarché ont reçu un courriel très inquiétant. Un message les informait d'une prétendue cyberattaque. Cette panique était infondée Le message électronique expliquait que des informations personnelles avaient été compromises et qu'il y avait un risque de fraudes, comme par exemple l’usage frauduleux des cagnottes de fidélité ou même d'usurpations d'identité. Heureusement, cette panique était infondée. Intermarché s'est vite rétracté en expliquant sur X qu'il n’y avait en fait aucune intrusion (https://x.com/mousquetairesfr/status/1854455553377845329). Reste que des comptes de particuliers ont bien été visés par des tentatives de piratage il y a deux semaines. Mais aucun d'entre eux donc n'a été compromis. Le groupe Les Mousquetaires, qui gère Intermarché, ne communique pas sur le nombre de clients ayant reçu ce mail alarmant. Ce qui a créé plus encore la panique, c'est aussi que cette communication erronée arrive dans un contexte de cybersécurité très tendu. Des entreprises françaises comme Boulanger (https://www.zdnet.fr/actualites/fuites-de-donnees-chez-boulanger-cultura-ou-encore-truffaut-la-piste-du-piratage-dun-prestataire-externe-397030.htm) et Free (https://www.zdnet.fr/actualites/piratage-de-free-qui-veut-gagner-des-millions-401028.htm) ont récemment subies de vraies cyberattaques. L'opérateur Free a été victime d'un vol massif de données de ses clients, incluant même des coordonnées bancaires. Et si vous mettiez un gestionnaire de mot de passe ? Tout cela rend les clients particulièrement sensibles à toute annonce de ce type, amplifiant l'inquiétude provoquée par l'erreur d'Intermarché. Reste que pour rassurer ses clients, Intermarché a pris quelques mesures de sécurité. Bien qu'aucune donnée n’ait été compromise, l’enseigne a temporairement restreint l’accès aux comptes en ligne et demandé à ses clients de changer leur mot de passe. Intermarché rappelle aussi l'importance d'utiliser des mots de passe sécurisés, mêlant chiffres, lettres et symboles. L'entreprise encourage même l'usage de gestionnaires de mots de passe pour protéger ses comptes en ligne. Mais au delà des bons conseils, des plaintes ont été déposées et des enquêtes sont en cours. Autant dire qu'Intermarché se serait sans doute bien passé d'une telle erreur. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 12, 2024

  • La fondation Mozilla en grande difficulté, quel avenir pour Firefox ? cover
    La fondation Mozilla en grande difficulté, quel avenir pour Firefox ? cover
    La fondation Mozilla en grande difficulté, quel avenir pour Firefox ?

    La Fondation Mozilla sabre dans ses effectifs. L'organisation qui publie entre autre le célèbre navigateur web Firefox (https://www.zdnet.fr/actualites/firefox-4000081268q.htm) vient d’annoncer le licenciement de 30 % de ses employés. Et cette décision marque un tournant qui aura une incidence sur le monde de l'open source et des logiciels libres. Deux divisions touchées Cette vague de licenciements impacte principalement deux divisions stratégiques de la Fondation Mozilla (https://www.zdnet.fr/actualites/mozilla-4000082128q.htm). D'abord celle chargée de la défense des droits des internautes, qui travaille notamment sur des sujets tels que la protection des données et la neutralité du net. Mais les coupes budgétaires touchent aussi l'entité en charge des programmes mondiaux. Mozilla est donc obligée de réduire la voilure sur les actions de lobbying, pourtant cruciales pour défendre un Internet ouvert. Un recentrage dans un contexte économique incertain Surtout, ce n'est pas la première coupe dans les effectifs de la fondation. Plus tôt cette année, Mozilla avait déjà réduit ses effectifs en fermant des projets comme Hubs, une plateforme 3D open source, pour se concentrer davantage sur l'intelligence artificielle. Ces coupes répétées reflètent une stratégie de recentrage sur des produits et services directement liés à Firefox et à l'IA. Mais tout ceci est effectué dans une contexte où Mozilla fait face à une situation financière fort compliquée. Google sucre Mozilla de 20 millions de dollars cette année Car ce qui plombe véritablement la fondation, c'est sa très forte dépendance financière à Google. Oui, c'est Google qui paye Mozilla pour rester le moteur de recherche par défaut de Firefox. Et cela depuis des années. Et la redevance de Google a baissé de 20 millions de dollars cette année. Pire, le chiffre pourrait encore baisser à l’avenir. De nombreux observateurs craignent donc que, malgré les efforts de diversification, la fondation soit de plus en plus vulnérable. Surtout que le navigateur web dominant à l'heure actuelle se nomme Chrome, et qu'il est proposé par... Google. La question de la survie de Firefox commence donc à être posée. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 8, 2024

  • Près de 40 % des télétravailleurs français reçoivent une compensation financière de leur employeur cover
    Près de 40 % des télétravailleurs français reçoivent une compensation financière de leur employeur cover
    Près de 40 % des télétravailleurs français reçoivent une compensation financière de leur employeur

    Quelle est l'évolution du télétravail en France ? Selon une étude récente de la Dares (https://dares.travail-emploi.gouv.fr/dossier/teletravail-evolution-des-pratiques-et-conditions-de-travail), un quart des salariés français télétravaillent à présent, au moins partiellement. Le télétravail, popularisé par la pandémie de Covid-19, s'est donc bien installé dans le paysage professionnel. Et il touche bien plus de monde qu'avant. Et même si certains patrons peinent à le reconnaître (https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-amazon-enterre-le-teletravail-voici-pourquoi-397287.htm), cette tendance qui semblait temporaire a finalement durablement modifié nos manières de travailler. Voyons donc les trois principaux enseignements de cette étude. Le télétravail se démocratise Premier point, le télétravail est en train de se démocratiser. Avant la pandémie, seuls 9 % des salariés travaillaient à distance. En 2023, ce chiffre est monté à 26 %. Et ce qui est frappant, c'est que le télétravail n’est plus réservé aux cadres. Les professions intermédiaires et certains employés s'y mettent aussi, même si beaucoup ont dû retourner au bureau après la crise sanitaire. Surtout, le télétravail est devenu pour ces professionnels un souhait, voire une revendication. Un exemple ? Dans le secteur de la banque et des assurances, environ 30 % des employés non-télétravailleurs aimeraient pouvoir travailler à domicile, contre 22 % en 2021. De moins en moins de jours télétravaillés Deuxième point, la question de l’intensité du télétravail. Pendant le Covid, de nombreux salariés se sont mis à travailler trois jours ou plus par semaine en dehors des locaux de l'entreprise. En 2021, cela concernait 18 % des professionnels, alors qu’en 2019, seul 1 % d’entre eux passaient plus de temps à bosser à la maison qu'au bureau. Mais en 2023, cette proportion est retombée à 5 %. Cette inversion de tendance montre que, bien qu’il reste populaire, le télétravail intensif est moins courant qu'auparavant. Concrètement, il est maintenant plus fréquent de travailler en mode hybride, avec quelques jours de télétravail par semaine. Et cette pratique concerne surtout les cadres. Quelques patrons jouent le jeu du télétravail Enfin, le troisième point concerne l’amélioration des conditions de travail pour les télétravailleurs. Aujourd'hui, près de 40 % des salariés en télétravail reçoivent une compensation financière de leur employeur, contre seulement 14 % en 2021. Les entreprises investissent également davantage dans les équipements, fournissant des outils plus adaptés pour le travail à distance. Ce soutien des entreprises témoigne d'une professionnalisation du télétravail et montre qu'elles le considèrent de plus en plus comme un mode de travail pérenne. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 7, 2024

  • 3 conseils pour fuir VMware le plus proprement possible cover
    3 conseils pour fuir VMware le plus proprement possible cover
    3 conseils pour fuir VMware le plus proprement possible

    Aujourd'hui abordons un sujet brûlant désormais pour les entreprises et les professionnels de l'informatique. Il s'agit de la question de la stratégie de sortie de VMware. En effet, depuis que VMware a été racheté par Broadcom (https://www.zdnet.fr/actualites/broadcom-vmware-face-aux-abus-les-dsi-en-appellent-a-leurope-390273.htm), les prix des services et de licences ont explosé. Et cela inquiète sérieusement les entreprises qui s’appuient sur ces technologies de virtualisation pour leurs infrastructures informatiques. Alors comment fuir sans y laisser des plumes ? Voyons ensemble trois points essentiels. Ne partez pas comme un voleur Premièrement, ne partez pas comme un voleur. Il vous faut absolument une stratégie de sortie. Certes, de nombreuses entreprises se demandent s’il ne serait pas plus avantageux de quitter rapidement VMware pour des solutions alternatives. Mais une stratégie de sortie ne doit pas être une simple réaction face aux hausses de prix. Cela permet de planifier en amont les étapes de migration vers une autre plateforme en évitant les risques majeurs. Parmi les points clés, il est essentiel de prendre en compte la complexité de la transition, le temps nécessaire et l'adaptation aux nouvelles technologies. Quelles sont les alternatives ? Deuxièmement, comment préparer concrètement une telle stratégie ? Pour sortir proprement de VMware, il est important de réaliser un audit complet des infrastructures actuelles. Il faut identifier les faiblesses, les forces, surtout prendre en compte les besoins futurs de l’entreprise. Ensuite, je vous conseille évidemment de rechercher des alternatives adaptées. Cela peut inclure des plateformes comme celles de Microsoft Azure (https://www.zdnet.fr/pratique/microsoft-azure-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-le-service-cloud-de-microsoft-39892685.htm), AWS (https://www.zdnet.fr/pratique/amazon-aws-le-guide-complet-du-plus-grand-fournisseur-mondial-de-services-en-ligne-pour-les-entreprises-39882899.htm), ou Google Cloud (https://www.zdnet.fr/actualites/google-cloud-supprime-les-frais-de-transfert-en-cas-de-transfert-vers-un-autre-cloud-39963578.htm), qui proposent des solutions robustes de virtualisation et de sécurité. Envisager le chantier de migration des données en amont Enfin, un élément crucial de la sortie de VMware est la migration des données. Des solutions proposent des services de migration dans le cloud avec un temps d’arrêt minimal. Avec des technologies comme la réplication en ligne au niveau des blocs par exemple, cela permet d'assurer la continuité de la production informatique, sans interruption majeure. Cela est particulièrement utile pour les configurations hybrides où certaines données sont stockées sur site et d'autres dans le cloud. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 6, 2024

  • Pourquoi l'Europe va avoir bien du mal a fournir de l'électricité pour l'IA cover
    Pourquoi l'Europe va avoir bien du mal a fournir de l'électricité pour l'IA cover
    Pourquoi l'Europe va avoir bien du mal a fournir de l'électricité pour l'IA

    Aujourd’hui, nous explorons le lien étroit entre la révolution de l’intelligence artificielle (https://www.zdnet.fr/actualites/intelligence-artificielle-ia-4000237536q.htm) en Europe et la demande croissante en électricité. Avec l’explosion de l’IA, la demande en centres de données (https://www.zdnet.fr/actualites/datacenter-4000143119q.htm) s'accélère. Mais cette croissance soulève un défi majeur pour le marché de l’électricité européen selon une nouvelle étude réalisée par McKinsey (https://www.mckinsey.com/industries/electric-power-and-natural-gas/our-insights/the-role-of-power-in-unlocking-the-european-ai-revolution). 150 térawattheures par an d'ici 2030 Premièrement, les centres de données d’Europe sont déjà en pleine expansion. Et cette croissance va faire tripler leur consommation électrique d'ici 2030, atteignant environ 150 térawattheures par an. Cela signifie que dans six ans, les centres de données représenteront jusqu’à 5 % de la consommation totale d'électricité en Europe, contre environ 2 % aujourd'hui. Avec un tel volume, l’IA devient donc l’un des moteurs principaux de la demande énergétique du continent. 230 à 275 milliards d'euros d'investissement supplémentaire Ensuite, des investissements massifs sont nécessaires pour accompagner cette transformation numérique. Pour alimenter les futurs datacenters, l'étude estime que l’infrastructure actuelle devra être renforcée avec un montant compris entre 230 à 275 milliards d'euros. Et cela n'inclut même pas la production d'électricité elle-même, je vous parle juste ici du matériel nécessaire, c'est-à dire les équipements informatiques, les équipements électriques et de refroidissement ou encore tout simplement l'immobilier. L'alimentation électrique devra de son côté de plus en plus reposer sur des énergies vertes, notamment pour respecter les engagements « net-zero » (https://www.zdnet.fr/actualites/arcelormittal-free-et-dassault-systemes-activent-l-it-for-green-39957776.htm) de nombreux acteurs. Le délai pour obtenir l’électricité pour un nouveau datacenter : 3 à 5 ans Enfin et surtout, l'Europe fait face à des obstacles pratiques à cette transition énergétique vers l'IA. Les infrastructures de production en amont sont insuffisantes, les équipements électriques sont parfois indisponibles, et la main d'œuvre n'est pour l'instant pas assez qualifiée pour construire ces installations. Conséquence, sur des marchés de l'électricité comme Dublin et Francfort, le délai pour obtenir l’électricité nécessaire à un nouveau centre de données peut dépasser trois à cinq ans. De quoi là aussi freiner l’essor de l’IA en Europe. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 5, 2024

  • Voici pourquoi les données sont le talon d'Achille de l'IA en entreprise cover
    Voici pourquoi les données sont le talon d'Achille de l'IA en entreprise cover
    Voici pourquoi les données sont le talon d'Achille de l'IA en entreprise

    Aujourd’hui voyons pourquoi les données sont pour les entreprises le point de faiblesse et tout à la fois un élément essentiel du développement de l’intelligence artificielle (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-l-ia-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-l-intelligence-artificielle-39921409.htm) et de la transformation numérique (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-la-transformation-numerique-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-la-facon-dont-la-technologie-remodele-les-entreprises-39930625.htm). Malgré l’intérêt croissant pour l’IA générative, de nombreuses entreprises se heurtent en effet à cet obstacle majeur. Pour aller vite, les données sont mal organisées, et donc sont difficiles à traiter et à exploiter. C'est le constat de deux récentes études, qui concluent que les données constituent le talon d’Achille de l’IA en entreprise. De nombreuses entreprises considèrent encore les données comme un coût Premièrement, de nombreuses entreprises considèrent encore les données comme un simple coût, plutôt qu’un levier de valeur. Malgré le discours marketing ambiant donc, les entreprises qui comprennent l’opportunité stratégique que représente l'analyse de données restent rares. Pourquoi donc ? Parce que les outils de mesure de la rentabilité concrète de l'analyse des données en entreprise sont difficiles à manier. Conséquence, la majorité des cadres interrogés dans les deux études avouent manquer de méthodes pour estimer l’impact concret des données sur leurs décisions et, donc, leur rentabilité. Et le coût des données freine également les investissements en IA Deuxièmement, le coût des données freine également les investissements en IA. C'est la raison pour laquelle près de la moitié des entreprises adoptent l’IA sans avoir les infrastructures de données adéquates. 86 % des DSI rencontrent des obstacles liés aux données. Il s'agit principalement de difficultés d’accès aux informations en temps réel. Ce manque de préparation entraîne échecs et retards, et les dirigeants hésitent alors à intégrer l’IA dans leurs opérations. Les entreprises à la peine avec la gouvernance des données Enfin, les entreprises peinent avec la gouvernance des données. Une des deux études montre que la gestion de la qualité des données, l’alignement des modèles d'IA et la transparence des flux d’information sont au cœur des difficultés. Les entreprises doivent donc être capables d’évaluer, de corriger et de maîtriser la qualité de leurs données pour éviter des erreurs coûteuses et garantir une IA performante. Et ça aussi, c'est difficile à faire. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 4, 2024

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    Voici pourquoi les entreprises déchantent face à l'IA cover
    Voici pourquoi les entreprises déchantent face à l'IA

    Aujourd'hui, on s'intéresse à un sujet capital pour les entreprises. Voici pourquoi certaines d'entre elles commencent à déchanter face à la mise en place de projets d'intelligence artificielle (https://www.zdnet.fr/actualites/intelligence-artificielle-ia-4000237536q.htm). Les entreprises sont nombreuses à avoir investi massivement dans des projets d'IA, séduites par l'énorme potentiel de la technologie. Mais un analyste reconnu du secteur, David Linthicum (https://davidlinthicum.com/), met en garde. La réalité de l'IA dans les grandes entreprises est bien plus complexe que ce qu'on imaginait jusqu'alors. L'IA à petite échelle, comme les assistants vocaux (https://www.zdnet.fr/actualites/grace-a-l-ia-l-assistant-google-devient-le-copilot-de-windows-pour-android-39961712.htm) ou les robots domestiques, ça marche assez bien. Dès qu'on parle de déploiements massifs dans des entreprises, ça devient compliqué Mais dès qu'on parle de déploiements massifs dans des entreprises, les choses deviennent beaucoup plus compliquées. Les dirigeants se rendent compte à présent que la technologie est coûteuse et que le retour sur investissement est loin d'être garanti. Selon David Linthicum, il y a quatre raisons pour lesquelles les entreprises sont perplexes quant au lien entre transformation numérique (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-la-transformation-numerique-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-la-facon-dont-la-technologie-remodele-les-entreprises-39930625.htm) et IA. La première, c'est le mur des données. Il s'avère que, pour que l'IA fonctionne bien, il faut des données de qualité. Et pour beaucoup d'entreprises, ces données sont non seulement insuffisantes, mais souvent désorganisées, voire obsolètes. Et cela nécessite des efforts colossaux pour remettre tout ça en ordre. La deuxième raison, c’est le choc financier. Mettre en place de l'IA dans une entreprise, c’est loin d’être bon marché. En plus des coûts de matériel spécialisé, comme des processeurs GPU, il faut aussi des investissements dans les données, la formation des modèles et leur ajustement. Autant dire que les budgets des entreprises peuvent vite exploser. Ensuite, il y a le manque d’orientation stratégique. Beaucoup d’entreprises se lancent dans l’IA sans vraiment avoir réfléchi à comment cette technologie s’intègre dans leur stratégie globale. Et on ne peut pas s’attaquer à un projet d’IA sans une vision claire de ce que l’on veut obtenir. Enfin, et ce n'est pas un petit sujet, il faut aussi avoir les compétences adéquates. Il faut une expertise poussée en architecture, en science des données, et même en éthique de l'IA. Sans cela, les projets sont souvent voués à l’échec. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 18, 2024

  • Amazon tire les prix vers le bas pour assommer Temu, Shein et AliExpress cover
    Amazon tire les prix vers le bas pour assommer Temu, Shein et AliExpress cover
    Amazon tire les prix vers le bas pour assommer Temu, Shein et AliExpress

    Aujourd'hui, nous allons parler d’Amazon Haul, la nouvelle offre à bas prix du géant du e-commerce. En lançant cette boutique en ligne, pour l'instant uniquement aux Etats-Unis, Amazon veut directement concurrencer les plateformes chinoises comme Temu (https://www.zdnet.fr/pratique/temu-heros-ou-escroc-tout-ce-quil-faut-savoir-avant-de-passer-votre-premiere-commande-395631.htm) et Shein, bien connues pour leurs prix au ras des pâquerettes. Qu'est-ce que propose Amazon Haul ? Avec Haul, Amazon met à disposition des internautes toute une gamme de produits variés, allant des vêtements à l'électronique en passant par des articles de beauté, des gadgets, et des articles ménagers. Le point fort ? Le prix, puisque tout coûte 20 dollars ou moins. Un exemple ? Vous pouvez acheter un organisateur de bijoux à 5 dollars, un sac à linge pour 3 dollars, ou encore des chemises pour 12 dollars. Amazon offre également des réductions sur les grosses commandes, avec 5 % de remise pour les paniers supérieurs à 50 dollars et 10 % au-delà de 75 dollars. Une stratégie très claire Amazon veut rivaliser avec les prix ultra bas de ses concurrents en provenance de Chine. On le voit écrit en gros sur les bannières sur le site, telles que "prix follement bas" et des émojis pour attirer l’attention sur les bonnes affaires. En plus, la livraison est offerte pour les commandes au-delà de 25 dollars. Ce sont des pratiques directement inspirées des méthodes de Temu et Shein. Cependant, un changement de taille est à noter : bien qu’Amazon ait bâti sa réputation sur des livraisons rapides, avec Haul, le délai est d’une à deux semaines, à peu près équivalent à celui de ses concurrents low cost. Amazon joue sur la confiance pour se démarquer Enfin, Amazon joue aussi sur la confiance pour se démarquer. Contrairement aux problèmes de contrefaçons souvent reprochés aux plateformes chinoises, Amazon affirme que tous les produits vendus sur Haul sont contrôlés et conformes aux réglementations en vigueur. Cette mesure vise à rassurer les consommateurs, notamment face aux inquiétudes croissantes aux États-Unis et en Europe concernant la qualité et la sécurité des produits importés de Chine notamment. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 15, 2024

  • L'IA part à l'assaut des réunions de travail multilingues cover
    L'IA part à l'assaut des réunions de travail multilingues cover
    L'IA part à l'assaut des réunions de travail multilingues

    L'intelligence artificielle générative (https://www.zdnet.fr/actualites/ia-generative-6671q.htm) s'apprête à bouleverser les réunions de travail multilingues. Oui, une nouvelle fonctionnalité de DeepL, le spécialiste de la traduction (https://www.zdnet.fr/actualites/deepl-leve-300-millions-de-dollars-pour-une-valorisation-de-2-milliards-de-dollars-391994.htm), assure désormais une solution de traduction vocale en temps réel. Conséquence, avec cette avancée, nommée DeepL Voice, l'intelligence artificielle fait un grand pas dans le domaine de la traduction orale avec deux nouveaux modèles. Pour les réunions de groupe et pour les conversations face-à-face Il s'agit d'une part de DeepL Voice pour les réunions virtuelles et ensuite de DeepL Voice pour les conversations en face-à-face. DeepL Voice pour les réunions permet d’organiser des rencontres virtuelles en multi-langues. Concrètement, cela signifie que chaque participant peut s’exprimer dans sa langue maternelle et, grâce à la technologie d'IA générative, ses propos sont automatiquement traduits et affichés sous forme de sous-titres pour les autres participants. Imaginez donc une réunion où des collaborateurs français, allemands et japonais communiquent chacun dans leur langue sans barrière linguistique. Cela permet non seulement de simplifier la communication, mais aussi de renforcer la collaboration internationale. DeepL Voice pour les conversations s’adresse aux interactions en face-à-face. Ce modèle est conçu pour les appareils mobiles comme les smartphones. Il permet de traduire des échanges en temps réel dans des environnements très divers. Par exemple, lors d’une rencontre professionnelle à l’étranger, l’utilisateur peut utiliser l'application pour échanger avec son interlocuteur, en affichant les traductions sous forme de sous-titres. De quoi rendre les discussions plus fluides et accessibles. Enfin, il faut noter que Deep L assure que ses modèles d'IA sont capables de comprendre divers accents. Et DeepL Voice supporte actuellement une douzaine de langues, dont le français, l’anglais ou encore le coréen. Enfin, les sous-titres sont disponibles en 33 langues. Cette solution a déjà été adoptée par de grandes entreprises, dont une française, Brioche Pasquier. La coordinatrice de l’internationalisation de l'entreprise assure que la solution a pu rapprocher les équipes. Après avoir testé d'autres solutions concurrentes, elle dit aussi que l'avantage de celle-ci est de prendre en charge plusieurs langues en même temps lors des réunions. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 14, 2024

  • Bitcoin, Tesla et dollar ; fièvre des investisseurs en vue du second mandat de Donald Trump cover
    Bitcoin, Tesla et dollar ; fièvre des investisseurs en vue du second mandat de Donald Trump cover
    Bitcoin, Tesla et dollar ; fièvre des investisseurs en vue du second mandat de Donald Trump

    Voici les premières conséquences de l'élection de Donald Trump dans le monde de la technologie et de la finance. L'arrivée au pouvoir suprême outre-Atlantique de Donald Trump pour la seconde fois a des effets immédiats sur le marché des crypto-monnaies, les actions de Tesla, ou encore l'excellente tenue du dollar américain. Pourquoi ? Parce que les investisseurs américains anticipent déjà la mise en place d'une politique économique favorable aux marchés financiers (https://www.zdnet.fr/actualites/victoire-de-donald-trump-voici-les-consequences-pour-le-monde-de-la-tech-400822.htm) et surtout aux crypto-monnaies. Et cela d'autant plus que notre homme aura un soutien probable du Congrès des Etats-Unis. Et par conséquent très peu de contre pouvoirs pour tempérer son action. Et cela a aussi des conséquences sur le secteur des semi-conducteurs (https://www.zdnet.fr/actualites/investiture-de-donald-trump-les-fabricants-de-semi-conducteurs-sempressent-de-signer-des-accords-avant-son-arrivee-400975.htm). Le Bitcoin bat tous les records Premièrement donc, le Bitcoin bat tous les records. L’anticipation d’une approche peu stricte en matière de régulation des crypto-monnaies par l’administration Trump stimule très fortement les marchés. Résultat, le Bitcoin a franchi la barre des 88 000 dollars, un record historique. Et cela a des conséquences sur tout l'écosystème. La plateforme d'échange de crypto-monnaies Coinbase, par exemple, a bondi en bourse de près de 20 %. Une vraie euphorie s'empare donc du secteur, avec des spéculations sur l’éventuelle création d'une réserve nationale de Bitcoins aux Etats-Unis. Tesla s'envole Cette victoire électorale donne aussi des ailes à des entreprises de la tech, comme Tesla. Il faut aussi préciser que le patron de l'entreprise, Elon Musk, est un fervent allié de Donald Trump. L’action du constructeur automobile a enregistré en début de semaine un gain de 9 %, surfant sur la vague optimiste du marché. Les investisseurs misent sur une conjoncture favorable qui pourrait même faciliter de futures réformes énergétiques, dont un soutien aux véhicules électriques. Le dollar américain grimpe également Enfin, le dollar américain grimpe également, atteignant son plus haut niveau en quatre mois face à un panier de devises, où l'on trouve l'euro. Et là c'est très clair. Cette appréciation du dollar est directement stimulée par les promesses de Donald Trump de réduire les impôts et d’augmenter les droits de douane. De quoi faire défaillir nous autres européens certes, mais aussi risquer une hausse de l'inflation. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 13, 2024

  • Insolite, Intermarché n'a pas été piraté ! cover
    Insolite, Intermarché n'a pas été piraté ! cover
    Insolite, Intermarché n'a pas été piraté !

    Aujourd'hui, revenons sur une fausse alerte qui la semaine dernière a fait trembler les clients d'Intermarché. L’enseigne de grande distribution leur a envoyé par erreur un courriel annonçant une fuite de données personnelles due à un piratage. Mais tout cela n’était qu’une simple erreur de communication. Le jeudi 7 novembre, de nombreux clients d'Intermarché ont reçu un courriel très inquiétant. Un message les informait d'une prétendue cyberattaque. Cette panique était infondée Le message électronique expliquait que des informations personnelles avaient été compromises et qu'il y avait un risque de fraudes, comme par exemple l’usage frauduleux des cagnottes de fidélité ou même d'usurpations d'identité. Heureusement, cette panique était infondée. Intermarché s'est vite rétracté en expliquant sur X qu'il n’y avait en fait aucune intrusion (https://x.com/mousquetairesfr/status/1854455553377845329). Reste que des comptes de particuliers ont bien été visés par des tentatives de piratage il y a deux semaines. Mais aucun d'entre eux donc n'a été compromis. Le groupe Les Mousquetaires, qui gère Intermarché, ne communique pas sur le nombre de clients ayant reçu ce mail alarmant. Ce qui a créé plus encore la panique, c'est aussi que cette communication erronée arrive dans un contexte de cybersécurité très tendu. Des entreprises françaises comme Boulanger (https://www.zdnet.fr/actualites/fuites-de-donnees-chez-boulanger-cultura-ou-encore-truffaut-la-piste-du-piratage-dun-prestataire-externe-397030.htm) et Free (https://www.zdnet.fr/actualites/piratage-de-free-qui-veut-gagner-des-millions-401028.htm) ont récemment subies de vraies cyberattaques. L'opérateur Free a été victime d'un vol massif de données de ses clients, incluant même des coordonnées bancaires. Et si vous mettiez un gestionnaire de mot de passe ? Tout cela rend les clients particulièrement sensibles à toute annonce de ce type, amplifiant l'inquiétude provoquée par l'erreur d'Intermarché. Reste que pour rassurer ses clients, Intermarché a pris quelques mesures de sécurité. Bien qu'aucune donnée n’ait été compromise, l’enseigne a temporairement restreint l’accès aux comptes en ligne et demandé à ses clients de changer leur mot de passe. Intermarché rappelle aussi l'importance d'utiliser des mots de passe sécurisés, mêlant chiffres, lettres et symboles. L'entreprise encourage même l'usage de gestionnaires de mots de passe pour protéger ses comptes en ligne. Mais au delà des bons conseils, des plaintes ont été déposées et des enquêtes sont en cours. Autant dire qu'Intermarché se serait sans doute bien passé d'une telle erreur. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 12, 2024

  • La fondation Mozilla en grande difficulté, quel avenir pour Firefox ? cover
    La fondation Mozilla en grande difficulté, quel avenir pour Firefox ? cover
    La fondation Mozilla en grande difficulté, quel avenir pour Firefox ?

    La Fondation Mozilla sabre dans ses effectifs. L'organisation qui publie entre autre le célèbre navigateur web Firefox (https://www.zdnet.fr/actualites/firefox-4000081268q.htm) vient d’annoncer le licenciement de 30 % de ses employés. Et cette décision marque un tournant qui aura une incidence sur le monde de l'open source et des logiciels libres. Deux divisions touchées Cette vague de licenciements impacte principalement deux divisions stratégiques de la Fondation Mozilla (https://www.zdnet.fr/actualites/mozilla-4000082128q.htm). D'abord celle chargée de la défense des droits des internautes, qui travaille notamment sur des sujets tels que la protection des données et la neutralité du net. Mais les coupes budgétaires touchent aussi l'entité en charge des programmes mondiaux. Mozilla est donc obligée de réduire la voilure sur les actions de lobbying, pourtant cruciales pour défendre un Internet ouvert. Un recentrage dans un contexte économique incertain Surtout, ce n'est pas la première coupe dans les effectifs de la fondation. Plus tôt cette année, Mozilla avait déjà réduit ses effectifs en fermant des projets comme Hubs, une plateforme 3D open source, pour se concentrer davantage sur l'intelligence artificielle. Ces coupes répétées reflètent une stratégie de recentrage sur des produits et services directement liés à Firefox et à l'IA. Mais tout ceci est effectué dans une contexte où Mozilla fait face à une situation financière fort compliquée. Google sucre Mozilla de 20 millions de dollars cette année Car ce qui plombe véritablement la fondation, c'est sa très forte dépendance financière à Google. Oui, c'est Google qui paye Mozilla pour rester le moteur de recherche par défaut de Firefox. Et cela depuis des années. Et la redevance de Google a baissé de 20 millions de dollars cette année. Pire, le chiffre pourrait encore baisser à l’avenir. De nombreux observateurs craignent donc que, malgré les efforts de diversification, la fondation soit de plus en plus vulnérable. Surtout que le navigateur web dominant à l'heure actuelle se nomme Chrome, et qu'il est proposé par... Google. La question de la survie de Firefox commence donc à être posée. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 8, 2024

  • Près de 40 % des télétravailleurs français reçoivent une compensation financière de leur employeur cover
    Près de 40 % des télétravailleurs français reçoivent une compensation financière de leur employeur cover
    Près de 40 % des télétravailleurs français reçoivent une compensation financière de leur employeur

    Quelle est l'évolution du télétravail en France ? Selon une étude récente de la Dares (https://dares.travail-emploi.gouv.fr/dossier/teletravail-evolution-des-pratiques-et-conditions-de-travail), un quart des salariés français télétravaillent à présent, au moins partiellement. Le télétravail, popularisé par la pandémie de Covid-19, s'est donc bien installé dans le paysage professionnel. Et il touche bien plus de monde qu'avant. Et même si certains patrons peinent à le reconnaître (https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-amazon-enterre-le-teletravail-voici-pourquoi-397287.htm), cette tendance qui semblait temporaire a finalement durablement modifié nos manières de travailler. Voyons donc les trois principaux enseignements de cette étude. Le télétravail se démocratise Premier point, le télétravail est en train de se démocratiser. Avant la pandémie, seuls 9 % des salariés travaillaient à distance. En 2023, ce chiffre est monté à 26 %. Et ce qui est frappant, c'est que le télétravail n’est plus réservé aux cadres. Les professions intermédiaires et certains employés s'y mettent aussi, même si beaucoup ont dû retourner au bureau après la crise sanitaire. Surtout, le télétravail est devenu pour ces professionnels un souhait, voire une revendication. Un exemple ? Dans le secteur de la banque et des assurances, environ 30 % des employés non-télétravailleurs aimeraient pouvoir travailler à domicile, contre 22 % en 2021. De moins en moins de jours télétravaillés Deuxième point, la question de l’intensité du télétravail. Pendant le Covid, de nombreux salariés se sont mis à travailler trois jours ou plus par semaine en dehors des locaux de l'entreprise. En 2021, cela concernait 18 % des professionnels, alors qu’en 2019, seul 1 % d’entre eux passaient plus de temps à bosser à la maison qu'au bureau. Mais en 2023, cette proportion est retombée à 5 %. Cette inversion de tendance montre que, bien qu’il reste populaire, le télétravail intensif est moins courant qu'auparavant. Concrètement, il est maintenant plus fréquent de travailler en mode hybride, avec quelques jours de télétravail par semaine. Et cette pratique concerne surtout les cadres. Quelques patrons jouent le jeu du télétravail Enfin, le troisième point concerne l’amélioration des conditions de travail pour les télétravailleurs. Aujourd'hui, près de 40 % des salariés en télétravail reçoivent une compensation financière de leur employeur, contre seulement 14 % en 2021. Les entreprises investissent également davantage dans les équipements, fournissant des outils plus adaptés pour le travail à distance. Ce soutien des entreprises témoigne d'une professionnalisation du télétravail et montre qu'elles le considèrent de plus en plus comme un mode de travail pérenne. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 7, 2024

  • 3 conseils pour fuir VMware le plus proprement possible cover
    3 conseils pour fuir VMware le plus proprement possible cover
    3 conseils pour fuir VMware le plus proprement possible

    Aujourd'hui abordons un sujet brûlant désormais pour les entreprises et les professionnels de l'informatique. Il s'agit de la question de la stratégie de sortie de VMware. En effet, depuis que VMware a été racheté par Broadcom (https://www.zdnet.fr/actualites/broadcom-vmware-face-aux-abus-les-dsi-en-appellent-a-leurope-390273.htm), les prix des services et de licences ont explosé. Et cela inquiète sérieusement les entreprises qui s’appuient sur ces technologies de virtualisation pour leurs infrastructures informatiques. Alors comment fuir sans y laisser des plumes ? Voyons ensemble trois points essentiels. Ne partez pas comme un voleur Premièrement, ne partez pas comme un voleur. Il vous faut absolument une stratégie de sortie. Certes, de nombreuses entreprises se demandent s’il ne serait pas plus avantageux de quitter rapidement VMware pour des solutions alternatives. Mais une stratégie de sortie ne doit pas être une simple réaction face aux hausses de prix. Cela permet de planifier en amont les étapes de migration vers une autre plateforme en évitant les risques majeurs. Parmi les points clés, il est essentiel de prendre en compte la complexité de la transition, le temps nécessaire et l'adaptation aux nouvelles technologies. Quelles sont les alternatives ? Deuxièmement, comment préparer concrètement une telle stratégie ? Pour sortir proprement de VMware, il est important de réaliser un audit complet des infrastructures actuelles. Il faut identifier les faiblesses, les forces, surtout prendre en compte les besoins futurs de l’entreprise. Ensuite, je vous conseille évidemment de rechercher des alternatives adaptées. Cela peut inclure des plateformes comme celles de Microsoft Azure (https://www.zdnet.fr/pratique/microsoft-azure-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-le-service-cloud-de-microsoft-39892685.htm), AWS (https://www.zdnet.fr/pratique/amazon-aws-le-guide-complet-du-plus-grand-fournisseur-mondial-de-services-en-ligne-pour-les-entreprises-39882899.htm), ou Google Cloud (https://www.zdnet.fr/actualites/google-cloud-supprime-les-frais-de-transfert-en-cas-de-transfert-vers-un-autre-cloud-39963578.htm), qui proposent des solutions robustes de virtualisation et de sécurité. Envisager le chantier de migration des données en amont Enfin, un élément crucial de la sortie de VMware est la migration des données. Des solutions proposent des services de migration dans le cloud avec un temps d’arrêt minimal. Avec des technologies comme la réplication en ligne au niveau des blocs par exemple, cela permet d'assurer la continuité de la production informatique, sans interruption majeure. Cela est particulièrement utile pour les configurations hybrides où certaines données sont stockées sur site et d'autres dans le cloud. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 6, 2024

  • Pourquoi l'Europe va avoir bien du mal a fournir de l'électricité pour l'IA cover
    Pourquoi l'Europe va avoir bien du mal a fournir de l'électricité pour l'IA cover
    Pourquoi l'Europe va avoir bien du mal a fournir de l'électricité pour l'IA

    Aujourd’hui, nous explorons le lien étroit entre la révolution de l’intelligence artificielle (https://www.zdnet.fr/actualites/intelligence-artificielle-ia-4000237536q.htm) en Europe et la demande croissante en électricité. Avec l’explosion de l’IA, la demande en centres de données (https://www.zdnet.fr/actualites/datacenter-4000143119q.htm) s'accélère. Mais cette croissance soulève un défi majeur pour le marché de l’électricité européen selon une nouvelle étude réalisée par McKinsey (https://www.mckinsey.com/industries/electric-power-and-natural-gas/our-insights/the-role-of-power-in-unlocking-the-european-ai-revolution). 150 térawattheures par an d'ici 2030 Premièrement, les centres de données d’Europe sont déjà en pleine expansion. Et cette croissance va faire tripler leur consommation électrique d'ici 2030, atteignant environ 150 térawattheures par an. Cela signifie que dans six ans, les centres de données représenteront jusqu’à 5 % de la consommation totale d'électricité en Europe, contre environ 2 % aujourd'hui. Avec un tel volume, l’IA devient donc l’un des moteurs principaux de la demande énergétique du continent. 230 à 275 milliards d'euros d'investissement supplémentaire Ensuite, des investissements massifs sont nécessaires pour accompagner cette transformation numérique. Pour alimenter les futurs datacenters, l'étude estime que l’infrastructure actuelle devra être renforcée avec un montant compris entre 230 à 275 milliards d'euros. Et cela n'inclut même pas la production d'électricité elle-même, je vous parle juste ici du matériel nécessaire, c'est-à dire les équipements informatiques, les équipements électriques et de refroidissement ou encore tout simplement l'immobilier. L'alimentation électrique devra de son côté de plus en plus reposer sur des énergies vertes, notamment pour respecter les engagements « net-zero » (https://www.zdnet.fr/actualites/arcelormittal-free-et-dassault-systemes-activent-l-it-for-green-39957776.htm) de nombreux acteurs. Le délai pour obtenir l’électricité pour un nouveau datacenter : 3 à 5 ans Enfin et surtout, l'Europe fait face à des obstacles pratiques à cette transition énergétique vers l'IA. Les infrastructures de production en amont sont insuffisantes, les équipements électriques sont parfois indisponibles, et la main d'œuvre n'est pour l'instant pas assez qualifiée pour construire ces installations. Conséquence, sur des marchés de l'électricité comme Dublin et Francfort, le délai pour obtenir l’électricité nécessaire à un nouveau centre de données peut dépasser trois à cinq ans. De quoi là aussi freiner l’essor de l’IA en Europe. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 5, 2024

  • Voici pourquoi les données sont le talon d'Achille de l'IA en entreprise cover
    Voici pourquoi les données sont le talon d'Achille de l'IA en entreprise cover
    Voici pourquoi les données sont le talon d'Achille de l'IA en entreprise

    Aujourd’hui voyons pourquoi les données sont pour les entreprises le point de faiblesse et tout à la fois un élément essentiel du développement de l’intelligence artificielle (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-l-ia-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-l-intelligence-artificielle-39921409.htm) et de la transformation numérique (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-la-transformation-numerique-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-la-facon-dont-la-technologie-remodele-les-entreprises-39930625.htm). Malgré l’intérêt croissant pour l’IA générative, de nombreuses entreprises se heurtent en effet à cet obstacle majeur. Pour aller vite, les données sont mal organisées, et donc sont difficiles à traiter et à exploiter. C'est le constat de deux récentes études, qui concluent que les données constituent le talon d’Achille de l’IA en entreprise. De nombreuses entreprises considèrent encore les données comme un coût Premièrement, de nombreuses entreprises considèrent encore les données comme un simple coût, plutôt qu’un levier de valeur. Malgré le discours marketing ambiant donc, les entreprises qui comprennent l’opportunité stratégique que représente l'analyse de données restent rares. Pourquoi donc ? Parce que les outils de mesure de la rentabilité concrète de l'analyse des données en entreprise sont difficiles à manier. Conséquence, la majorité des cadres interrogés dans les deux études avouent manquer de méthodes pour estimer l’impact concret des données sur leurs décisions et, donc, leur rentabilité. Et le coût des données freine également les investissements en IA Deuxièmement, le coût des données freine également les investissements en IA. C'est la raison pour laquelle près de la moitié des entreprises adoptent l’IA sans avoir les infrastructures de données adéquates. 86 % des DSI rencontrent des obstacles liés aux données. Il s'agit principalement de difficultés d’accès aux informations en temps réel. Ce manque de préparation entraîne échecs et retards, et les dirigeants hésitent alors à intégrer l’IA dans leurs opérations. Les entreprises à la peine avec la gouvernance des données Enfin, les entreprises peinent avec la gouvernance des données. Une des deux études montre que la gestion de la qualité des données, l’alignement des modèles d'IA et la transparence des flux d’information sont au cœur des difficultés. Les entreprises doivent donc être capables d’évaluer, de corriger et de maîtriser la qualité de leurs données pour éviter des erreurs coûteuses et garantir une IA performante. Et ça aussi, c'est difficile à faire. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 4, 2024

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