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ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet cover
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  • Pourquoi la confiance est le nouveau KPI de l'IA cover
    Pourquoi la confiance est le nouveau KPI de l'IA cover
    Pourquoi la confiance est le nouveau KPI de l'IA

    Aujourd’hui, parlons d’un sujet absolument central à l’ère de l’intelligence artificielle. Et ce sujet c'est celui de la confiance. Parce que plus les technologies deviennent performantes, plus elles bouleversent notre rapport au réel. Et donc plus nous avons besoin de repères pour rester serein dans justement notre usage de la technologie. L’IA brouille nos perceptions du réel D'abord, il faut bien comprendre que l’IA brouille nos perceptions du réel. Lors de la conférence SpiceWorld, l’experte Helen Papagiannis (https://www.linkedin.com/in/hpapagiannis?originalSubdomain=ca) a pointé du doigt à quel point il devient difficile de distinguer les contenus authentiques des médias synthétiques. Images, vidéos, voix, textes… l’IA peut aujourd’hui tout fabriquer (https://www.zdnet.fr/actualites/comment-apple-google-et-microsoft-veulent-nous-sauver-des-deepfakes-397812.htm), au point de tromper même des professionnels les plus aguerris. Et cette disparition progressive du « réel » tel qu’on le connaît change profondément nos attentes non seulement envers les technologies, mais aussi envers les humains qui les utilisent. Effacement du réel et augmentation de nos compétences grâce à l’IA Car, et c'est le paradoxe soulevé par le second point, ce brouillage intervient en même temps qu’une augmentation massive des capacités humaines. C’est ce que Papagiannis appelle la collision entre deux grandes transitions. D’un côté, l’effacement du réel sous l’effet des contenus générés par l'IA, et de l’autre, l’augmentation de nos compétences grâce à l’IA qui s’invite dans notre travail et notre quotidien. Oui, au point où nous en sommes, l’IA ne se contente plus de compléter nos activités. Elle redéfinit la manière même dont nous interagissons, apprenons et produisons. Et dans ce contexte, la confiance devient le nouveau centre de gravité. Il s'agit d'avoir confiance dans les outils, mais aussi confiance dans les intentions, dans la transparence, et surtout dans l’humain. Et là, il n'est plus du tout question de technologie. Restaurer la confiance passe d’abord par nous même Car, et c'est le troisième point, restaurer la confiance passe d’abord par nous même. L’experte insiste sur ce point. Elle pense même que la confiance est le nouvel indicateur clé de performance, le fameux KPI. Pour les organisations, cela signifie établir très tôt des garde-fous éthiques clairs. Mais pour chacun d’entre nous, cela implique aussi un travail intérieur. Il faut se donner le droit de réfléchir, de douter, de ralentir. Faire d'abord confiance à son propre jugement Et voici un exemple très concret. Avant de demander systématiquement à un chatbot tout et n'importe quoi, pourquoi ne pas reprendre l’habitude d’examiner, de faire confiance à son propre jugement, et de cultiver sa propre curiosité. Parce que dans un monde où tout peut être synthétique, notre humanité, notre créativité, notre capacité à nous poser des questions, même à nous ennuyer, devient très clairement un atout essentiel. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 20, 2025

  • TotalEnergies va alimenter en électricité solaire les datacenters de Google cover
    TotalEnergies va alimenter en électricité solaire les datacenters de Google cover
    TotalEnergies va alimenter en électricité solaire les datacenters de Google

    Aujourd’hui, on va parler d’un accord stratégique qui illustre parfaitement la convergence absolument nécessaire entre transition énergétique et infrastructures numériques. L'entreprise française TotalEnergies va alimenter en électricité solaire les datacenters de Google aux États-Unis. C'est un partenariat majeur à la fois pour l’industrie énergétique et pour les géants du cloud, dont la consommation ne cesse de grimper. Un PPA de 1,5 térawattheure sur une durée de 15 ans D'abord, il s'agit d'un PPA massif de 1,5 térawattheure sur une durée de 15 ans. TotalEnergies a signé avec Google un contrat de vente d’électricité, un PPA pour Power Purchase Agreement qui porte sur un volume total de 1,5 térawattheure d’électricité solaire certifiée. Cette énergie proviendra de la centrale solaire nommée « Montpelier », située dans l'État de l’Ohio, aujourd’hui en phase finale de construction. Une fois pleinement opérationnelle, cette centrale sera connectée au réseau PJM, le plus grand réseau électrique des États-Unis, et contribuera directement à l’alimentation des datacenters de Google dans la région. Pour Google, c’est un moyen d’intégrer davantage d’électricité décarbonée sur les réseaux où l’entreprise opère, et d’avancer vers ses objectifs climatiques. Mais il ne faut absolument pas croire à cette belle histoire d'énergie verte. Un défi énergétique mondial Car, et c'est le second point, l'alimentation des data centers représente un défi énergétique mondial. TotalEnergies rappelle que les centres de données ont représenté près de 3 % de la demande énergétique mondiale en 2024. Et ce chiffre illustre la pression croissante exercée par l’IA, le cloud, la vidéo et l’explosion des usages numériques. Pour les exploitants de datacenter, il s'agit surtout de faire feu de tout bois et de sécuriser des approvisionnements énergétiques d'où qu'ils viennent. Ici il s'agit d'une centrale solaire, mais on ne compte plus les redémarrages de centrales nucléaires (https://www.zdnet.fr/actualites/datacenter-microsoft-redemarre-une-centrale-nucleaire-ayant-connu-quelques-incidents-397845.htm) pour les besoins des Gafam outre-Atlantique. Bref, à l'ère de l'IA les besoins en électricité explosent, et cela ne va pas bien sûr sans poser d'énormes problèmes de production d'énergie. Montée en puissance des fournisseurs d'énergie dans la transformation numérique Enfin, cette annonce montre aussi naturellement la montée en puissance des fournisseurs d'énergie dans la vague de la transformation numérique. Cet accord avec Google s’ajoute à une longue liste de PPA déjà signés par TotalEnergies avec des entreprises majeures, dont Microsoft, Amazon, Air Liquide, Orange, Saint-Gobain, STMicroelectronics ou encore Data 4. Aux États-Unis, le groupe déploie aujourd’hui un portefeuille de 10 gigawatts de projets renouvelables incluant solaire, éolien et batteries. La stratégie du groupe consiste à fournir des solutions énergétiques sur mesure à des acteurs technologiques dont les besoins explosent, tout en cherchant à atteindre un objectif de 12 % de rentabilité. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 19, 2025

  • Les IA commencent à être capables d'introspection cover
    Les IA commencent à être capables d'introspection cover
    Les IA commencent à être capables d'introspection

    Aujourd’hui, on parle d’un sujet aussi fascinant qu’inquiétant. Il s'agit, tenez-vous bien, de la capacité d’introspection des intelligences artificielles. Oui, vous avez bien entendu. Selon une nouvelle étude (https://transformer-circuits.pub/2025/introspection/index.html) signée Anthropic, le créateur du chatbot Claude, certaines IA seraient capables… de « regarder à l’intérieur d’elles-mêmes ». Alors, que faut-il comprendre de cette information tout à fait étonnante ? Une forme d’auto-analyse D'abord, et c'est le premier point, il s'agit d'une découverte surprenante. Les chercheurs d’Anthropic ont mené une série d’expériences sur seize versions de leur modèle Claude. Et les résultats montrent que les intelligences artificielles les plus avancées, notamment Claude Opus 4, auraient montré une forme d’auto-analyse. Concrètement, dans certaines situations, le modèle pouvait décrire ses propres processus internes avec une précision étonnante. Et c'est cette capacité que les les chercheurs comparent à une sorte d’introspection fonctionnelle. Mais alors, vous dites-vous, comment s'y sont-il pris ? Injection de concepts Et bien ils ont utilisé, une méthode expérimentale tout à fait originale. Les scientifiques ont en effet utilisé ce qu’ils appellent l’injection de concepts. Imaginez qu’on glisse discrètement une idée, par exemple, la notion de “cris en majuscules” que nous utilisons dans nos conversations écrites en ligne, dans le raisonnement de l’IA. Et ce alors qu’elle réfléchit à tout autre chose. Et bien si elle parvient ensuite à détecter cette idée et à la décrire correctement, cela veut dire qu’elle a perçu une modification dans son propre état interne. Eh bien, figurez-vous que Claude y est parvenu environ une fois sur cinq. Ce n'est pas parfait, certes, mais assez pour faire réfléchir à la capacité d'introspection des IA. Et cela a des implications majeures. Expliquer les décisions mais aussi mentir Certes, Anthropic insiste sur le fait que l'on est encore très loin d’une conscience artificielle. Mais le fait que les modèles les plus récents montrent davantage de « réflexivité » doit être surveillé de près. Car si une IA peut comprendre et ajuster son propre fonctionnement, elle pourrait, à terme, expliquer ses décisions de façon plus transparente. Mais aussi au contraire masquer délibérément ses intentions, un peu comme un humain qui apprend à mentir. Et ce sont deux scénarios que les chercheurs prennent désormais très au sérieux. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 7, 2025

  • Faut-il adopter un navigateur IA ? cover
    Faut-il adopter un navigateur IA ? cover
    Faut-il adopter un navigateur IA ?

    Aujourd’hui, on parle des navigateurs d’intelligence artificielle (https://www.zdnet.fr/guide-achat/jai-teste-les-principaux-navigateurs-dia-voici-ceux-qui-valent-le-coup-484222.htm), ces nouveaux outils censés révolutionner notre manière de naviguer sur le web. Mais sachez qu'ils font déjà frémir les experts en cybersécurité. La grande question c'est donc faut-il leur faire confiance ?  Une nouvelle génération de navigateurs internet D'abord il faut bien comprendre qu'il s'agit d'une nouvelle génération de navigateurs internet. OpenAI par exemple vient tout juste de lancer ChatGPT Atlas (https://www.zdnet.fr/actualites/openai-prevoit-deja-des-evolutions-pour-son-navigateur-atlas-483894.htm), un navigateur qui intègre directement ChatGPT à l’intérieur de chaque onglet. L’idée paraît simple. Votre assistant IA vous accompagne partout sur le web, comprend ce que vous faites et peut même exécuter des actions pour vous, comme passer une commande en ligne, résumer un texte, ou encore analyser un dépôt GitHub. Atlas rejoint ainsi une nouvelle vague de navigateurs dits intelligents, comme Perplexity Comet (https://www.zdnet.fr/guide-achat/jai-teste-le-navigateur-comet-de-perplexity-dote-dia-voici-ce-que-vous-devez-savoir-480435.htm), ou encore Dia (https://www.zdnet.fr/actualites/dia-un-apercu-du-prochain-navigateur-internet-a-base-dia-402443.htm). Mais derrière ces promesses d’efficacité se cache un vrai casse-tête côté sécurité et confidentialité. Le cauchemar des injections par des prompt A commencer le cauchemar des injections par des prompt, en anglais on parle de prompt injection (https://www.zdnet.fr/actualites/comment-le-navigateur-ia-comet-de-perplexity-pourrait-divulguer-vos-donnees-480707.htm). Concrètement, cela signifie qu’un pirate peut tromper le modèle d’IA pour qu’il contourne ses propres garde-fous et exécute des actions non autorisées. Et comme ces assistants ont souvent les mêmes privilèges que l’utilisateur connecté, les dégâts peuvent être considérables. OpenAI assure investir « massivement » pour détecter ce type d’attaques. Mais comme le résume le développeur Simon Willison, « question sécurité, 99 % de réussite, c’est déjà un échec ». Mais au delà des attaques, la question de la vie privée est cardinale avec ces nouveaux navigateurs d'IA. La question du respect de la vie privée Certes, OpenAI a prévu un mode déconnecté et un mode surveillance, censés redonner un peu de contrôle à l’utilisateur. Mais les experts restent sceptiques, car autoriser une IA à explorer tout votre historique de navigation, c’est lui ouvrir une fenêtre sur toute votre vie numérique. Eamonn Maguire, de Proton, va même plus loin. Selon lui, la navigation IA transforme la recherche en une forme de capitalisme de surveillance ultra-personnalisée parce que les IA ne voient plus seulement ce que vous cherchez, mais comment vous pensez et ce que vous ferez ensuite. Alors, faut-il adopter un navigateur IA ? Alors, faut-il adopter un navigateur IA ? Voici la réponse courte. Et bien pas encore. Et si vous voulez tester navigateur d'IA, évitez d’y connecter vos comptes sensibles, et surveillez de près les permissions que vous accordez. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 3, 2025

  • Comment les différentes générations d'utilisateurs se comportent face à l'IA générative cover
    Comment les différentes générations d'utilisateurs se comportent face à l'IA générative cover
    Comment les différentes générations d'utilisateurs se comportent face à l'IA générative

    Aujourd’hui, on va parler d’une étude du média Future qui met en lumière les différences d’adoption de l’intelligence artificielle entre générations de professionnels. Et attention, il y a une petite surprise. Sur un point précis, les millennials battent la génération Z. Ce sont les plus jeunes qui utilisent le plus l’IA générative Le premier point c'est que sans surprise, ce sont les plus jeunes qui utilisent le plus l’IA générative. Les 18-40 ans, donc les membres de la génération Z et les millennials, explorent davantage d’usages, que ce soit pour créer des images, générer du texte ou encore produire de la musique. Dans l’ensemble, plus on est jeune, plus on expérimente. Les millennials tirent leur épingle du jeu dans le commerce en ligne Le second point, c'est que là où les millennials tirent leur épingle du jeu, c’est dans le commerce en ligne. Ils sont légèrement plus nombreux que ceux de la génération Z à utiliser l’IA pour chercher des recommandations de produits. Et surtout, ils affichent une plus forte propension à acheter des technologies estampillées "IA". Et un tiers des millennials se disent prêts à investir, contre seulement un quart des Gen Z. Une partie de la génération Z dit tout simplement être "heureuse sans IA" Enfin le troisième point c'est que l’étude met aussi en avant les freins à l’adoption. Les baby-boomers restent préoccupés par la confidentialité, quand une partie de la génération Z dit tout simplement être "heureuse sans IA". Mais le chiffre marquant, c’est la hausse de ceux qui déclarent être opposés philosophiquement à l’IA. Et cela est tout simplement le signe d’un débat de société qui s’intensifie. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on September 25, 2025

  • "Deskilling" : comment l'IA médicale pourrait nuire aux capacités de votre médecin cover
    "Deskilling" : comment l'IA médicale pourrait nuire aux capacités de votre médecin cover
    "Deskilling" : comment l'IA médicale pourrait nuire aux capacités de votre médecin

    Aujourd’hui, on parle médecine et intelligence artificielle, avec une étude qui soulève un sujet plutôt inattendu. L’IA pourrait, paradoxalement, réduire les compétences des médecins lors de certaines procédures. D'abord commençons par le contexte. La détection du cancer par l'IA Le cancer colorectal est l’un des plus fréquents dans le monde (https://gco.iarc.fr/today/en/dataviz/bars-prevalence?mode=cancer&key=total&group_populations=1&sort_by=value1), et la coloscopie reste l’examen de référence pour détecter les polypes précancéreux. Et ces dernières années, des systèmes d’IA ont été introduits pour aider les gastro-entérologues à repérer plus facilement ces lésions. Et en effet, avec l’IA, le taux de détection augmente. Mais comme souvent, existe le revers de la médaille. Un effet inattendu appelé « deskilling » Une équipe polonaise a publié dans The Lancet Gastroenterology & Hepatology une étude (https://www.thelancet.com/journals/langas/article/PIIS2468-1253(25)00133-5/abstract) qui met en lumière un effet inattendu appelé « deskilling », autrement dit une perte de compétence des professionnels de santé qui utilisent des outils d'intelligence artificielle. En comparant les performances de 19 médecins avant et après l’introduction de l’IA, les chercheurs ont constaté que le taux de détection lors des coloscopies réalisées sans assistance avait baissé de 6 points en moyenne. Autrement dit, l’IA améliore les résultats quand elle est utilisée, mais semble réduire l’attention et la vigilance des médecins lorsqu’elle n’est pas là. La sur-confiance dans les outils automatisés Alors quelles sont les implications de cette découverte dérangeante. Ce phénomène pourrait refléter un biais humain bien connu, qui est la sur-confiance dans les outils automatisés. Si les médecins s’habituent trop à l’aide de l’IA, ils risquent d’être moins concentrés et moins performants seuls. Les chercheurs appellent donc à la prudence. Ces résultats doivent être confirmés, mais ils posent déjà un défi majeur pour l’intégration de l’IA en médecine, à savoir comment profiter de ses bénéfices sans fragiliser les compétences humaines ? Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on September 24, 2025

  • 40 % des services clients utilisent déjà de l'IA agentique cover
    40 % des services clients utilisent déjà de l'IA agentique cover
    40 % des services clients utilisent déjà de l'IA agentique

    Aujourd’hui, parlons service client et intelligence artificielle. Selon le dernier rapport State of Service publié par Salesforce (https://www.salesforce.com/resources/research-reports/state-of-service/), dans seulement deux ans, la moitié des cas de service client pourraient être résolus par des agents d’IA (https://www.zdnet.fr/pratique/quest-ce-quun-agent-dia-411807.htm). Il s'agit donc d'une véritable révolution pour un secteur en pleine mutation. Quelle adoption de l'IA dans le secteur du service client ? D'abord, faisons un point sur l'adoption de l'IA dans le secteur du service client. Les entreprises de services font face à une double pression. D'une part, les clients sont de plus exigeants. Et les équipes des services client sont sous tension à cause du manque de talents et de la charge administrative. L’étude révèle que 82 % des professionnels constatent des attentes clients plus élevées, alors même que les conseillers passent moins de la moitié de leur temps avec eux. Résultat, l’IA apparaît comme une solution incontournable pour libérer du temps, automatiser les tâches répétitives et redonner aux équipes le rôle relationnel à forte valeur ajoutée. Et c'est là qu'il faut souligner l’importance des agents d’IA. Pourquoi l’IA agentique attire particulièrement l’attention Salesforce distingue trois formes d’IA dans le service support. Il distingue : L'IA prédictive (https://www.zdnet.fr/actualites/exploiter-les-donnees-en-temps-reel-pour-unifier-l-ia-generative-et-l-ia-predictive-39961590.htm) L'IA générative (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-l-ia-generative-et-pourquoi-est-elle-si-populaire-voici-tout-ce-qu-il-faut-savoir-39961020.htm) Et enfin l'IA agentique (https://www.zdnet.fr/actualites/comment-lia-agentique-va-changer-notre-facon-dinteragir-avec-les-smartphones-478899.htm) Et c’est cette dernière, l’IA agentique, qui attire particulièrement l’attention. Déjà près de 40 % des organisations l’utilisent. Et d’ici 5 ans, seules 6 % disent ne pas vouloir y recourir. Pourquoi ? Parce que ces agents autonomes réduisent les coûts de service client, accélèrent la résolution des demandes et améliorent la satisfaction client. On estime même qu’ils pourraient réduire de 20 % les délais moyens de traitement. Un futur hybride entre l'homme et l'IA Enfin, le secteur du service client s'achemine peu à peu vers un futur hybride entre l'homme et l'IA. Loin de remplacer les conseillers, l’IA va compléter leur travail. Plus de 80 % des professionnels interrogés affirment que l’IA améliore leurs perspectives de carrière, en rendant leur travail plus productif et moins stressant. Les cas simples sont pris en charge automatiquement, tandis que les agents humains se concentrent sur les situations complexes. Cette collaboration redéfinit le service client, le rendant à la fois plus efficace et plus humain. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on September 23, 2025

  • L'IA à la rescousse contre le cancer, la maladie de Parkinson ou encore Alzheimer cover
    L'IA à la rescousse contre le cancer, la maladie de Parkinson ou encore Alzheimer cover
    L'IA à la rescousse contre le cancer, la maladie de Parkinson ou encore Alzheimer

    Aujourd’hui, on parle d’une avancée scientifique (https://hms.harvard.edu/news/new-ai-tool-pinpoints-genes-drug-combos-restore-health-diseased-cells) venue de l'université de Harvard aux Etats-Unis. Un outil d’intelligence artificielle gratuit créé là bas pourrait révolutionner la découverte de médicaments contre des maladies très complexes, comme le cancer, la maladie de Parkinson ou encore Alzheimer. Les limites des méthodes actuelles D'abord, il convient de noter les limites des méthodes actuelles. Traditionnellement, la recherche pharmaceutique s’attaque à une protéine à la fois. Et cette technique marche pour certaines thérapies ciblées, comme les inhibiteurs de kinases contre certains cancers. Mais quand une maladie implique des dizaines de gènes et de voies biologiques, cette approche devient vite trop limitée. Et on en vient à ce que fait l'outil de l'université de Harvard, qui se nomme PDGrapher. 25 fois plus vite que d’autres modèles Le modèle conçu par Harvard Medical School analyse les interactions entre gènes, protéines et signaux dans les cellules. Et plutôt que de tester des milliers de combinaisons au hasard, il propose directement les associations de traitements les plus prometteuses pour rétablir l’état sain d’une cellule. Dans les essais, cet outil a non seulement retrouvé des cibles déjà connues, mais il en a aussi identifié de nouvelles, appuyées par des données cliniques. Et surtout, il le fait 25 fois plus vite que d’autres modèles. PDGrapher est testé sur 11 types de cancers Enfin parlons des applications concrètes. Aujourd’hui, PDGrapher (dispo ici (https://github.com/mims-harvard/PDGrapher)) est testé sur 11 types de cancers. Mais les chercheurs l’appliquent déjà à des maladies neurodégénératives comme Parkinson et Alzheimer. L’idée, c’est de réduire le temps et le coût de la recherche pharmaceutique, et surtout de mieux cibler les maladies multifactorielles, c'est à dire celles qui résistent aux traitements classiques. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on September 22, 2025

  • 80 % du parc de smartphones en France désormais compatible avec le RCS cover
    80 % du parc de smartphones en France désormais compatible avec le RCS cover
    80 % du parc de smartphones en France désormais compatible avec le RCS

    Aujourd’hui, on parle de la fin annoncée du SMS en France et de la montée en puissance de son grand remplaçant, le RCS (https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-qu-est-ce-que-le-rcs-le-nouveau-sms-prone-par-google-39942093.htm). La bascule entre le SMS et le RCS déjà bien engagée en France D'abord il faut noter que la bascule entre le SMS et le RCS est déjà bien engagée en France. Selon l’AF2M (https://af2m.org/les-chiffres-du-rcs-en-france-pour-le-3%E1%B5%89-trimestre-2025/), l’association qui regroupe opérateurs et acteurs du numérique dans l'hexagone, 80 % du parc de smartphones en France est désormais compatible avec le protocole RCS. Concrètement, cela représente plus de 48 millions d’appareils. Et bien sûr l’arrivée d’Apple dans la danse début 2025 (https://www.zdnet.fr/actualites/le-rcs-decolle-enfin-que-faut-il-en-attendre-401132.htm) a été un véritable accélérateur. Désormais, les iPhone comme les Android récents intègrent cette technologie par défaut. Le RCS est plus performant Ensuite, il faut comprendre que si le RCS remplace le SMS, c'est parce que ce dernier est bien moins performant. Oui, le RCS, c’est un SMS en beaucoup mieux. Là où le SMS se limite à du texte et quelques caractères, le RCS permet d’envoyer des photos et vidéos en haute qualité, des messages illimités, des conversations de groupe, des accusés de réception, voire du chiffrement de bout en bout. Bref, le RCS permet une expérience proche de ce que proposent les applications de messageries instantanées telles que WhatsApp ou Messenger, mais directement intégrée à l’application de messagerie native du smartphone. Pour les entreprises, le RCS est une petite révolution Enfin le troisième point c'est que pour les entreprises, le RCS est une petite révolution. Le RCS ouvre en effet la voie à un business messaging enrichi et mesurable, notamment sur les taux de clics, les conversions, ou encore les interactions. En clair, les marques peuvent créer de vraies campagnes interactives sans passer par des applications mobiles tierces. L’AF2M estime même qu’en 2026, le RCS sera devenu le standard incontournable des communications professionnelles. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on September 19, 2025

  • Les agents d'IA arrivent chez Visa cover
    Les agents d'IA arrivent chez Visa cover
    Les agents d'IA arrivent chez Visa

    C'est une grande avancée qui s'annonce dans le secteur du commerce électronique. Le prestataire de paiement Visa vient de dévoiler une mise à jour importante de sa plateforme Visa Intelligent Commerce, avec l’introduction de serveurs Model Context Protocol ou MCP. En clair, c'est une petite révolution pour les développeurs et les entreprises qui souhaitent intégrer l'IA dans leurs solutions de paiement. Facilitation du développement informatique D'abord, c'est le développement informatique qui est simplifié grâce à protocole MCP (https://www.zdnet.fr/pratique/quest-ce-que-mcp-model-context-protocol-le-protocole-modele-contexte-qui-lie-ia-et-donnees-enfin-explique-413006.htm). Dans le détail, MCP facilite l’intégration des agents d’intelligence artificielle dans le réseau de paiement de Visa. En gros, il permet aux développeurs de se connecter plus rapidement aux API de Visa Intelligent Commerce. Visa promet que cette nouvelle couche d’intégration permet de passer de l’idée à un prototype en quelques heures, ce qui va largement accélérer le processus de création d’applications de commerce électronique. Il s'agit d'une vraie opportunité pour les entreprises souhaitant intégrer de l’IA sans se perdre dans des complexités techniques de mise en œuvre. Un SDK pour intégrer les agents d'IA Bien sûr l'entreprise fournit un kit pour les développeurs, un SDK, nommé Visa Acceptance Agent Toolkit. Le Visa Acceptance Agent Toolkit est l’outil clé pour les développeurs qui veulent travailler avec des agents IA, sans être des experts en codage. Ce kit permet de créer des flux de travail en langage naturel, comme par exemple la génération automatique de factures ou la consultation de rapports financiers via un assistant d'IA. Il donc simplifie les tâches administratives courantes et permet d’intégrer facilement des fonctions de paiement tout en utilisant l’intelligence artificielle pour améliorer l’expérience utilisateur. Stimuler l’adoption de l’IA dans le commerce électronique Mais sur le long terme, que nous dit l'intégration de MCP à la plateforme Visa ? Visa voit cette initiative comme un moyen de stimuler l’adoption de l’IA dans le commerce électronique, aussi bien pour les entreprises que pour les client. En facilitant l’intégration de l'IA dans les processus de paiement, Visa cherche à rendre le commerce en ligne plus fluide et intuitif, à l’instar de ce que l’on peut déjà voir sur des plateformes comme eBay ou Amazon. La possibilité d’utiliser l’IA pour rechercher des produits ou effectuer des achats devient de plus en plus courante, et les nouvelles solutions proposées par Visa pourraient bien devenir incontournables pour les développeurs. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on September 18, 2025

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  • Pourquoi la confiance est le nouveau KPI de l'IA cover
    Pourquoi la confiance est le nouveau KPI de l'IA cover
    Pourquoi la confiance est le nouveau KPI de l'IA

    Aujourd’hui, parlons d’un sujet absolument central à l’ère de l’intelligence artificielle. Et ce sujet c'est celui de la confiance. Parce que plus les technologies deviennent performantes, plus elles bouleversent notre rapport au réel. Et donc plus nous avons besoin de repères pour rester serein dans justement notre usage de la technologie. L’IA brouille nos perceptions du réel D'abord, il faut bien comprendre que l’IA brouille nos perceptions du réel. Lors de la conférence SpiceWorld, l’experte Helen Papagiannis (https://www.linkedin.com/in/hpapagiannis?originalSubdomain=ca) a pointé du doigt à quel point il devient difficile de distinguer les contenus authentiques des médias synthétiques. Images, vidéos, voix, textes… l’IA peut aujourd’hui tout fabriquer (https://www.zdnet.fr/actualites/comment-apple-google-et-microsoft-veulent-nous-sauver-des-deepfakes-397812.htm), au point de tromper même des professionnels les plus aguerris. Et cette disparition progressive du « réel » tel qu’on le connaît change profondément nos attentes non seulement envers les technologies, mais aussi envers les humains qui les utilisent. Effacement du réel et augmentation de nos compétences grâce à l’IA Car, et c'est le paradoxe soulevé par le second point, ce brouillage intervient en même temps qu’une augmentation massive des capacités humaines. C’est ce que Papagiannis appelle la collision entre deux grandes transitions. D’un côté, l’effacement du réel sous l’effet des contenus générés par l'IA, et de l’autre, l’augmentation de nos compétences grâce à l’IA qui s’invite dans notre travail et notre quotidien. Oui, au point où nous en sommes, l’IA ne se contente plus de compléter nos activités. Elle redéfinit la manière même dont nous interagissons, apprenons et produisons. Et dans ce contexte, la confiance devient le nouveau centre de gravité. Il s'agit d'avoir confiance dans les outils, mais aussi confiance dans les intentions, dans la transparence, et surtout dans l’humain. Et là, il n'est plus du tout question de technologie. Restaurer la confiance passe d’abord par nous même Car, et c'est le troisième point, restaurer la confiance passe d’abord par nous même. L’experte insiste sur ce point. Elle pense même que la confiance est le nouvel indicateur clé de performance, le fameux KPI. Pour les organisations, cela signifie établir très tôt des garde-fous éthiques clairs. Mais pour chacun d’entre nous, cela implique aussi un travail intérieur. Il faut se donner le droit de réfléchir, de douter, de ralentir. Faire d'abord confiance à son propre jugement Et voici un exemple très concret. Avant de demander systématiquement à un chatbot tout et n'importe quoi, pourquoi ne pas reprendre l’habitude d’examiner, de faire confiance à son propre jugement, et de cultiver sa propre curiosité. Parce que dans un monde où tout peut être synthétique, notre humanité, notre créativité, notre capacité à nous poser des questions, même à nous ennuyer, devient très clairement un atout essentiel. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 20, 2025

  • TotalEnergies va alimenter en électricité solaire les datacenters de Google cover
    TotalEnergies va alimenter en électricité solaire les datacenters de Google cover
    TotalEnergies va alimenter en électricité solaire les datacenters de Google

    Aujourd’hui, on va parler d’un accord stratégique qui illustre parfaitement la convergence absolument nécessaire entre transition énergétique et infrastructures numériques. L'entreprise française TotalEnergies va alimenter en électricité solaire les datacenters de Google aux États-Unis. C'est un partenariat majeur à la fois pour l’industrie énergétique et pour les géants du cloud, dont la consommation ne cesse de grimper. Un PPA de 1,5 térawattheure sur une durée de 15 ans D'abord, il s'agit d'un PPA massif de 1,5 térawattheure sur une durée de 15 ans. TotalEnergies a signé avec Google un contrat de vente d’électricité, un PPA pour Power Purchase Agreement qui porte sur un volume total de 1,5 térawattheure d’électricité solaire certifiée. Cette énergie proviendra de la centrale solaire nommée « Montpelier », située dans l'État de l’Ohio, aujourd’hui en phase finale de construction. Une fois pleinement opérationnelle, cette centrale sera connectée au réseau PJM, le plus grand réseau électrique des États-Unis, et contribuera directement à l’alimentation des datacenters de Google dans la région. Pour Google, c’est un moyen d’intégrer davantage d’électricité décarbonée sur les réseaux où l’entreprise opère, et d’avancer vers ses objectifs climatiques. Mais il ne faut absolument pas croire à cette belle histoire d'énergie verte. Un défi énergétique mondial Car, et c'est le second point, l'alimentation des data centers représente un défi énergétique mondial. TotalEnergies rappelle que les centres de données ont représenté près de 3 % de la demande énergétique mondiale en 2024. Et ce chiffre illustre la pression croissante exercée par l’IA, le cloud, la vidéo et l’explosion des usages numériques. Pour les exploitants de datacenter, il s'agit surtout de faire feu de tout bois et de sécuriser des approvisionnements énergétiques d'où qu'ils viennent. Ici il s'agit d'une centrale solaire, mais on ne compte plus les redémarrages de centrales nucléaires (https://www.zdnet.fr/actualites/datacenter-microsoft-redemarre-une-centrale-nucleaire-ayant-connu-quelques-incidents-397845.htm) pour les besoins des Gafam outre-Atlantique. Bref, à l'ère de l'IA les besoins en électricité explosent, et cela ne va pas bien sûr sans poser d'énormes problèmes de production d'énergie. Montée en puissance des fournisseurs d'énergie dans la transformation numérique Enfin, cette annonce montre aussi naturellement la montée en puissance des fournisseurs d'énergie dans la vague de la transformation numérique. Cet accord avec Google s’ajoute à une longue liste de PPA déjà signés par TotalEnergies avec des entreprises majeures, dont Microsoft, Amazon, Air Liquide, Orange, Saint-Gobain, STMicroelectronics ou encore Data 4. Aux États-Unis, le groupe déploie aujourd’hui un portefeuille de 10 gigawatts de projets renouvelables incluant solaire, éolien et batteries. La stratégie du groupe consiste à fournir des solutions énergétiques sur mesure à des acteurs technologiques dont les besoins explosent, tout en cherchant à atteindre un objectif de 12 % de rentabilité. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 19, 2025

  • Les IA commencent à être capables d'introspection cover
    Les IA commencent à être capables d'introspection cover
    Les IA commencent à être capables d'introspection

    Aujourd’hui, on parle d’un sujet aussi fascinant qu’inquiétant. Il s'agit, tenez-vous bien, de la capacité d’introspection des intelligences artificielles. Oui, vous avez bien entendu. Selon une nouvelle étude (https://transformer-circuits.pub/2025/introspection/index.html) signée Anthropic, le créateur du chatbot Claude, certaines IA seraient capables… de « regarder à l’intérieur d’elles-mêmes ». Alors, que faut-il comprendre de cette information tout à fait étonnante ? Une forme d’auto-analyse D'abord, et c'est le premier point, il s'agit d'une découverte surprenante. Les chercheurs d’Anthropic ont mené une série d’expériences sur seize versions de leur modèle Claude. Et les résultats montrent que les intelligences artificielles les plus avancées, notamment Claude Opus 4, auraient montré une forme d’auto-analyse. Concrètement, dans certaines situations, le modèle pouvait décrire ses propres processus internes avec une précision étonnante. Et c'est cette capacité que les les chercheurs comparent à une sorte d’introspection fonctionnelle. Mais alors, vous dites-vous, comment s'y sont-il pris ? Injection de concepts Et bien ils ont utilisé, une méthode expérimentale tout à fait originale. Les scientifiques ont en effet utilisé ce qu’ils appellent l’injection de concepts. Imaginez qu’on glisse discrètement une idée, par exemple, la notion de “cris en majuscules” que nous utilisons dans nos conversations écrites en ligne, dans le raisonnement de l’IA. Et ce alors qu’elle réfléchit à tout autre chose. Et bien si elle parvient ensuite à détecter cette idée et à la décrire correctement, cela veut dire qu’elle a perçu une modification dans son propre état interne. Eh bien, figurez-vous que Claude y est parvenu environ une fois sur cinq. Ce n'est pas parfait, certes, mais assez pour faire réfléchir à la capacité d'introspection des IA. Et cela a des implications majeures. Expliquer les décisions mais aussi mentir Certes, Anthropic insiste sur le fait que l'on est encore très loin d’une conscience artificielle. Mais le fait que les modèles les plus récents montrent davantage de « réflexivité » doit être surveillé de près. Car si une IA peut comprendre et ajuster son propre fonctionnement, elle pourrait, à terme, expliquer ses décisions de façon plus transparente. Mais aussi au contraire masquer délibérément ses intentions, un peu comme un humain qui apprend à mentir. Et ce sont deux scénarios que les chercheurs prennent désormais très au sérieux. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 7, 2025

  • Faut-il adopter un navigateur IA ? cover
    Faut-il adopter un navigateur IA ? cover
    Faut-il adopter un navigateur IA ?

    Aujourd’hui, on parle des navigateurs d’intelligence artificielle (https://www.zdnet.fr/guide-achat/jai-teste-les-principaux-navigateurs-dia-voici-ceux-qui-valent-le-coup-484222.htm), ces nouveaux outils censés révolutionner notre manière de naviguer sur le web. Mais sachez qu'ils font déjà frémir les experts en cybersécurité. La grande question c'est donc faut-il leur faire confiance ?  Une nouvelle génération de navigateurs internet D'abord il faut bien comprendre qu'il s'agit d'une nouvelle génération de navigateurs internet. OpenAI par exemple vient tout juste de lancer ChatGPT Atlas (https://www.zdnet.fr/actualites/openai-prevoit-deja-des-evolutions-pour-son-navigateur-atlas-483894.htm), un navigateur qui intègre directement ChatGPT à l’intérieur de chaque onglet. L’idée paraît simple. Votre assistant IA vous accompagne partout sur le web, comprend ce que vous faites et peut même exécuter des actions pour vous, comme passer une commande en ligne, résumer un texte, ou encore analyser un dépôt GitHub. Atlas rejoint ainsi une nouvelle vague de navigateurs dits intelligents, comme Perplexity Comet (https://www.zdnet.fr/guide-achat/jai-teste-le-navigateur-comet-de-perplexity-dote-dia-voici-ce-que-vous-devez-savoir-480435.htm), ou encore Dia (https://www.zdnet.fr/actualites/dia-un-apercu-du-prochain-navigateur-internet-a-base-dia-402443.htm). Mais derrière ces promesses d’efficacité se cache un vrai casse-tête côté sécurité et confidentialité. Le cauchemar des injections par des prompt A commencer le cauchemar des injections par des prompt, en anglais on parle de prompt injection (https://www.zdnet.fr/actualites/comment-le-navigateur-ia-comet-de-perplexity-pourrait-divulguer-vos-donnees-480707.htm). Concrètement, cela signifie qu’un pirate peut tromper le modèle d’IA pour qu’il contourne ses propres garde-fous et exécute des actions non autorisées. Et comme ces assistants ont souvent les mêmes privilèges que l’utilisateur connecté, les dégâts peuvent être considérables. OpenAI assure investir « massivement » pour détecter ce type d’attaques. Mais comme le résume le développeur Simon Willison, « question sécurité, 99 % de réussite, c’est déjà un échec ». Mais au delà des attaques, la question de la vie privée est cardinale avec ces nouveaux navigateurs d'IA. La question du respect de la vie privée Certes, OpenAI a prévu un mode déconnecté et un mode surveillance, censés redonner un peu de contrôle à l’utilisateur. Mais les experts restent sceptiques, car autoriser une IA à explorer tout votre historique de navigation, c’est lui ouvrir une fenêtre sur toute votre vie numérique. Eamonn Maguire, de Proton, va même plus loin. Selon lui, la navigation IA transforme la recherche en une forme de capitalisme de surveillance ultra-personnalisée parce que les IA ne voient plus seulement ce que vous cherchez, mais comment vous pensez et ce que vous ferez ensuite. Alors, faut-il adopter un navigateur IA ? Alors, faut-il adopter un navigateur IA ? Voici la réponse courte. Et bien pas encore. Et si vous voulez tester navigateur d'IA, évitez d’y connecter vos comptes sensibles, et surveillez de près les permissions que vous accordez. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 3, 2025

  • Comment les différentes générations d'utilisateurs se comportent face à l'IA générative cover
    Comment les différentes générations d'utilisateurs se comportent face à l'IA générative cover
    Comment les différentes générations d'utilisateurs se comportent face à l'IA générative

    Aujourd’hui, on va parler d’une étude du média Future qui met en lumière les différences d’adoption de l’intelligence artificielle entre générations de professionnels. Et attention, il y a une petite surprise. Sur un point précis, les millennials battent la génération Z. Ce sont les plus jeunes qui utilisent le plus l’IA générative Le premier point c'est que sans surprise, ce sont les plus jeunes qui utilisent le plus l’IA générative. Les 18-40 ans, donc les membres de la génération Z et les millennials, explorent davantage d’usages, que ce soit pour créer des images, générer du texte ou encore produire de la musique. Dans l’ensemble, plus on est jeune, plus on expérimente. Les millennials tirent leur épingle du jeu dans le commerce en ligne Le second point, c'est que là où les millennials tirent leur épingle du jeu, c’est dans le commerce en ligne. Ils sont légèrement plus nombreux que ceux de la génération Z à utiliser l’IA pour chercher des recommandations de produits. Et surtout, ils affichent une plus forte propension à acheter des technologies estampillées "IA". Et un tiers des millennials se disent prêts à investir, contre seulement un quart des Gen Z. Une partie de la génération Z dit tout simplement être "heureuse sans IA" Enfin le troisième point c'est que l’étude met aussi en avant les freins à l’adoption. Les baby-boomers restent préoccupés par la confidentialité, quand une partie de la génération Z dit tout simplement être "heureuse sans IA". Mais le chiffre marquant, c’est la hausse de ceux qui déclarent être opposés philosophiquement à l’IA. Et cela est tout simplement le signe d’un débat de société qui s’intensifie. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on September 25, 2025

  • "Deskilling" : comment l'IA médicale pourrait nuire aux capacités de votre médecin cover
    "Deskilling" : comment l'IA médicale pourrait nuire aux capacités de votre médecin cover
    "Deskilling" : comment l'IA médicale pourrait nuire aux capacités de votre médecin

    Aujourd’hui, on parle médecine et intelligence artificielle, avec une étude qui soulève un sujet plutôt inattendu. L’IA pourrait, paradoxalement, réduire les compétences des médecins lors de certaines procédures. D'abord commençons par le contexte. La détection du cancer par l'IA Le cancer colorectal est l’un des plus fréquents dans le monde (https://gco.iarc.fr/today/en/dataviz/bars-prevalence?mode=cancer&key=total&group_populations=1&sort_by=value1), et la coloscopie reste l’examen de référence pour détecter les polypes précancéreux. Et ces dernières années, des systèmes d’IA ont été introduits pour aider les gastro-entérologues à repérer plus facilement ces lésions. Et en effet, avec l’IA, le taux de détection augmente. Mais comme souvent, existe le revers de la médaille. Un effet inattendu appelé « deskilling » Une équipe polonaise a publié dans The Lancet Gastroenterology & Hepatology une étude (https://www.thelancet.com/journals/langas/article/PIIS2468-1253(25)00133-5/abstract) qui met en lumière un effet inattendu appelé « deskilling », autrement dit une perte de compétence des professionnels de santé qui utilisent des outils d'intelligence artificielle. En comparant les performances de 19 médecins avant et après l’introduction de l’IA, les chercheurs ont constaté que le taux de détection lors des coloscopies réalisées sans assistance avait baissé de 6 points en moyenne. Autrement dit, l’IA améliore les résultats quand elle est utilisée, mais semble réduire l’attention et la vigilance des médecins lorsqu’elle n’est pas là. La sur-confiance dans les outils automatisés Alors quelles sont les implications de cette découverte dérangeante. Ce phénomène pourrait refléter un biais humain bien connu, qui est la sur-confiance dans les outils automatisés. Si les médecins s’habituent trop à l’aide de l’IA, ils risquent d’être moins concentrés et moins performants seuls. Les chercheurs appellent donc à la prudence. Ces résultats doivent être confirmés, mais ils posent déjà un défi majeur pour l’intégration de l’IA en médecine, à savoir comment profiter de ses bénéfices sans fragiliser les compétences humaines ? Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on September 24, 2025

  • 40 % des services clients utilisent déjà de l'IA agentique cover
    40 % des services clients utilisent déjà de l'IA agentique cover
    40 % des services clients utilisent déjà de l'IA agentique

    Aujourd’hui, parlons service client et intelligence artificielle. Selon le dernier rapport State of Service publié par Salesforce (https://www.salesforce.com/resources/research-reports/state-of-service/), dans seulement deux ans, la moitié des cas de service client pourraient être résolus par des agents d’IA (https://www.zdnet.fr/pratique/quest-ce-quun-agent-dia-411807.htm). Il s'agit donc d'une véritable révolution pour un secteur en pleine mutation. Quelle adoption de l'IA dans le secteur du service client ? D'abord, faisons un point sur l'adoption de l'IA dans le secteur du service client. Les entreprises de services font face à une double pression. D'une part, les clients sont de plus exigeants. Et les équipes des services client sont sous tension à cause du manque de talents et de la charge administrative. L’étude révèle que 82 % des professionnels constatent des attentes clients plus élevées, alors même que les conseillers passent moins de la moitié de leur temps avec eux. Résultat, l’IA apparaît comme une solution incontournable pour libérer du temps, automatiser les tâches répétitives et redonner aux équipes le rôle relationnel à forte valeur ajoutée. Et c'est là qu'il faut souligner l’importance des agents d’IA. Pourquoi l’IA agentique attire particulièrement l’attention Salesforce distingue trois formes d’IA dans le service support. Il distingue : L'IA prédictive (https://www.zdnet.fr/actualites/exploiter-les-donnees-en-temps-reel-pour-unifier-l-ia-generative-et-l-ia-predictive-39961590.htm) L'IA générative (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-l-ia-generative-et-pourquoi-est-elle-si-populaire-voici-tout-ce-qu-il-faut-savoir-39961020.htm) Et enfin l'IA agentique (https://www.zdnet.fr/actualites/comment-lia-agentique-va-changer-notre-facon-dinteragir-avec-les-smartphones-478899.htm) Et c’est cette dernière, l’IA agentique, qui attire particulièrement l’attention. Déjà près de 40 % des organisations l’utilisent. Et d’ici 5 ans, seules 6 % disent ne pas vouloir y recourir. Pourquoi ? Parce que ces agents autonomes réduisent les coûts de service client, accélèrent la résolution des demandes et améliorent la satisfaction client. On estime même qu’ils pourraient réduire de 20 % les délais moyens de traitement. Un futur hybride entre l'homme et l'IA Enfin, le secteur du service client s'achemine peu à peu vers un futur hybride entre l'homme et l'IA. Loin de remplacer les conseillers, l’IA va compléter leur travail. Plus de 80 % des professionnels interrogés affirment que l’IA améliore leurs perspectives de carrière, en rendant leur travail plus productif et moins stressant. Les cas simples sont pris en charge automatiquement, tandis que les agents humains se concentrent sur les situations complexes. Cette collaboration redéfinit le service client, le rendant à la fois plus efficace et plus humain. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on September 23, 2025

  • L'IA à la rescousse contre le cancer, la maladie de Parkinson ou encore Alzheimer cover
    L'IA à la rescousse contre le cancer, la maladie de Parkinson ou encore Alzheimer cover
    L'IA à la rescousse contre le cancer, la maladie de Parkinson ou encore Alzheimer

    Aujourd’hui, on parle d’une avancée scientifique (https://hms.harvard.edu/news/new-ai-tool-pinpoints-genes-drug-combos-restore-health-diseased-cells) venue de l'université de Harvard aux Etats-Unis. Un outil d’intelligence artificielle gratuit créé là bas pourrait révolutionner la découverte de médicaments contre des maladies très complexes, comme le cancer, la maladie de Parkinson ou encore Alzheimer. Les limites des méthodes actuelles D'abord, il convient de noter les limites des méthodes actuelles. Traditionnellement, la recherche pharmaceutique s’attaque à une protéine à la fois. Et cette technique marche pour certaines thérapies ciblées, comme les inhibiteurs de kinases contre certains cancers. Mais quand une maladie implique des dizaines de gènes et de voies biologiques, cette approche devient vite trop limitée. Et on en vient à ce que fait l'outil de l'université de Harvard, qui se nomme PDGrapher. 25 fois plus vite que d’autres modèles Le modèle conçu par Harvard Medical School analyse les interactions entre gènes, protéines et signaux dans les cellules. Et plutôt que de tester des milliers de combinaisons au hasard, il propose directement les associations de traitements les plus prometteuses pour rétablir l’état sain d’une cellule. Dans les essais, cet outil a non seulement retrouvé des cibles déjà connues, mais il en a aussi identifié de nouvelles, appuyées par des données cliniques. Et surtout, il le fait 25 fois plus vite que d’autres modèles. PDGrapher est testé sur 11 types de cancers Enfin parlons des applications concrètes. Aujourd’hui, PDGrapher (dispo ici (https://github.com/mims-harvard/PDGrapher)) est testé sur 11 types de cancers. Mais les chercheurs l’appliquent déjà à des maladies neurodégénératives comme Parkinson et Alzheimer. L’idée, c’est de réduire le temps et le coût de la recherche pharmaceutique, et surtout de mieux cibler les maladies multifactorielles, c'est à dire celles qui résistent aux traitements classiques. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on September 22, 2025

  • 80 % du parc de smartphones en France désormais compatible avec le RCS cover
    80 % du parc de smartphones en France désormais compatible avec le RCS cover
    80 % du parc de smartphones en France désormais compatible avec le RCS

    Aujourd’hui, on parle de la fin annoncée du SMS en France et de la montée en puissance de son grand remplaçant, le RCS (https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-qu-est-ce-que-le-rcs-le-nouveau-sms-prone-par-google-39942093.htm). La bascule entre le SMS et le RCS déjà bien engagée en France D'abord il faut noter que la bascule entre le SMS et le RCS est déjà bien engagée en France. Selon l’AF2M (https://af2m.org/les-chiffres-du-rcs-en-france-pour-le-3%E1%B5%89-trimestre-2025/), l’association qui regroupe opérateurs et acteurs du numérique dans l'hexagone, 80 % du parc de smartphones en France est désormais compatible avec le protocole RCS. Concrètement, cela représente plus de 48 millions d’appareils. Et bien sûr l’arrivée d’Apple dans la danse début 2025 (https://www.zdnet.fr/actualites/le-rcs-decolle-enfin-que-faut-il-en-attendre-401132.htm) a été un véritable accélérateur. Désormais, les iPhone comme les Android récents intègrent cette technologie par défaut. Le RCS est plus performant Ensuite, il faut comprendre que si le RCS remplace le SMS, c'est parce que ce dernier est bien moins performant. Oui, le RCS, c’est un SMS en beaucoup mieux. Là où le SMS se limite à du texte et quelques caractères, le RCS permet d’envoyer des photos et vidéos en haute qualité, des messages illimités, des conversations de groupe, des accusés de réception, voire du chiffrement de bout en bout. Bref, le RCS permet une expérience proche de ce que proposent les applications de messageries instantanées telles que WhatsApp ou Messenger, mais directement intégrée à l’application de messagerie native du smartphone. Pour les entreprises, le RCS est une petite révolution Enfin le troisième point c'est que pour les entreprises, le RCS est une petite révolution. Le RCS ouvre en effet la voie à un business messaging enrichi et mesurable, notamment sur les taux de clics, les conversions, ou encore les interactions. En clair, les marques peuvent créer de vraies campagnes interactives sans passer par des applications mobiles tierces. L’AF2M estime même qu’en 2026, le RCS sera devenu le standard incontournable des communications professionnelles. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on September 19, 2025

  • Les agents d'IA arrivent chez Visa cover
    Les agents d'IA arrivent chez Visa cover
    Les agents d'IA arrivent chez Visa

    C'est une grande avancée qui s'annonce dans le secteur du commerce électronique. Le prestataire de paiement Visa vient de dévoiler une mise à jour importante de sa plateforme Visa Intelligent Commerce, avec l’introduction de serveurs Model Context Protocol ou MCP. En clair, c'est une petite révolution pour les développeurs et les entreprises qui souhaitent intégrer l'IA dans leurs solutions de paiement. Facilitation du développement informatique D'abord, c'est le développement informatique qui est simplifié grâce à protocole MCP (https://www.zdnet.fr/pratique/quest-ce-que-mcp-model-context-protocol-le-protocole-modele-contexte-qui-lie-ia-et-donnees-enfin-explique-413006.htm). Dans le détail, MCP facilite l’intégration des agents d’intelligence artificielle dans le réseau de paiement de Visa. En gros, il permet aux développeurs de se connecter plus rapidement aux API de Visa Intelligent Commerce. Visa promet que cette nouvelle couche d’intégration permet de passer de l’idée à un prototype en quelques heures, ce qui va largement accélérer le processus de création d’applications de commerce électronique. Il s'agit d'une vraie opportunité pour les entreprises souhaitant intégrer de l’IA sans se perdre dans des complexités techniques de mise en œuvre. Un SDK pour intégrer les agents d'IA Bien sûr l'entreprise fournit un kit pour les développeurs, un SDK, nommé Visa Acceptance Agent Toolkit. Le Visa Acceptance Agent Toolkit est l’outil clé pour les développeurs qui veulent travailler avec des agents IA, sans être des experts en codage. Ce kit permet de créer des flux de travail en langage naturel, comme par exemple la génération automatique de factures ou la consultation de rapports financiers via un assistant d'IA. Il donc simplifie les tâches administratives courantes et permet d’intégrer facilement des fonctions de paiement tout en utilisant l’intelligence artificielle pour améliorer l’expérience utilisateur. Stimuler l’adoption de l’IA dans le commerce électronique Mais sur le long terme, que nous dit l'intégration de MCP à la plateforme Visa ? Visa voit cette initiative comme un moyen de stimuler l’adoption de l’IA dans le commerce électronique, aussi bien pour les entreprises que pour les client. En facilitant l’intégration de l'IA dans les processus de paiement, Visa cherche à rendre le commerce en ligne plus fluide et intuitif, à l’instar de ce que l’on peut déjà voir sur des plateformes comme eBay ou Amazon. La possibilité d’utiliser l’IA pour rechercher des produits ou effectuer des achats devient de plus en plus courante, et les nouvelles solutions proposées par Visa pourraient bien devenir incontournables pour les développeurs. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on September 18, 2025

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