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ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet cover
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Découvrir au quotidien les enjeux de la technologie. Le podcast de la rédaction de ZDNet, pour les professionnels à la recherche d'infos pratiques et concrètes pour mieux comprendre le marché IT et telco et son influence sur les métiers.   


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  • Scandale Builder.ai, le turc mécanique de l'IA Générative ! cover
    Scandale Builder.ai, le turc mécanique de l'IA Générative ! cover
    Scandale Builder.ai, le turc mécanique de l'IA Générative !

    L'écosystème de la technologie est régulièrement secoué par des scandales, et en voici un nouveau. Il s'agit de la faillite retentissante de Builder.ai (http://Builder.ai), une start-up britannique autrefois valorisée à plus d’un milliard de dollars. Cette prétendue licorne a littéralement berné Microsoft comme le turc mécanique (https://fr.wikipedia.org/wiki/Turc_m%C3%A9canique) avait en 1809 berné Napoléon. Et en guise d'automate féru de jeu d'échecs, ici, c'est une armée de développeurs indiens qui ont été déguisés en intelligence artificielle. La promesse était très séduisante Builder.ai (http://Builder.ai) s’était fait connaître grâce à Natasha, une plateforme soi-disant pilotée par IA, qui permettait de créer des applications sur mesure « aussi facilement que commander une pizza » promettait la société. Microsoft y a cru, au point d’intégrer Natasha à Azure (https://www.zdnet.fr/pratique/microsoft-azure-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-le-service-cloud-de-microsoft-39892685.htm) en 2023. Et plusieurs fonds de pays du Golfe persique ont également misé sur cette pépite britannique. Mais derrière cette belle façade technologique, la réalité était bien plus artisanale. Cette IA était en réalité très humaine Car oui, cette IA était en réalité très humaine. Car ce n’est pas l’IA qui produisait le code, mais environ 700 développeurs basés en Inde. Des employés qui travaillaient jour et nuit pour livrer les projets informatiques vendus comme des prouesses d'intelligence artificielle par leurs dirigeants. Dans le détail, l’interface de Natasha servait à générer un cahier des charges, qui était ensuite envoyé à des équipes basées dans les villes indiennes de Gurugram et de Bengalore. Résultat, une production manuelle, camouflée sous le label de l’intelligence artificielle. Et c'est une audit interne qui a révélé que seule la gestion des tickets était automatisée. La société s'est effondrée La supercherie n'a toutefois pas duré. Et la société s'est effondrée. Les incohérences techniques et les retards de livraison ont alerté les clients dès 2024. Et en juin 2025, tout s’écroule. Un créancier important gèle 37 millions d’euros d’actifs après avoir découvert que les revenus réels de l’entreprise étaient quatre fois inférieurs à ceux annoncés. Builder.ai (http://Builder.ai) ne disposait plus que de 5 millions sur ses comptes, avec une procédure d’insolvabilité enclenchée et des centaines de licenciements à venir. Ce naufrage rappelle une vérité brutale. Dans la course effrénée à l’IA, certaines start-up n’hésitent pas à maquiller leurs limites techniques pour capter des fonds. Les investisseurs, eux, commencent à réclamer plus de transparence. Et cela passe par la documentation du code, la traçabilité des données, ou encore la vérification des flux financiers. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on June 6, 2025

  • La débandade Aldebaran Robotics cover
    La débandade Aldebaran Robotics cover
    La débandade Aldebaran Robotics

    Aldebaran Robotics, la société française qui a créé les célèbres robots Nao et Pepper, a été placée en liquidation judiciaire. Voici trois points pour comprendre cette annonce tonitruante. Une liquidation inévitable Premier point donc, cette liquidation semble bien inévitable. Le tribunal de commerce de Paris a prononcé en début de semaine la fin d’Aldebaran. Fondée en 2005, la société a longtemps été considérée comme une pépite de la French Tech. Son petit robot Nao, apparu en 2006, avait fait le tour du monde et même salué Emmanuel Macron ou la reine d’Angleterre ! Mais faute d’un modèle économique pérenne et de financements suffisants, la société a été placée en redressement judiciaire en février (https://www.zdnet.fr/actualites/la-societe-de-robotique-aldebaran-placee-en-redressement-judiciaire-406647.htm). Deux offres de reprise ont été examinées, mais aucune n’a offert de garanties sur l’emploi. Les projets de reprise jugés insuffisants Là aussi c'est très surprenant, mais les projets de reprise de l'activité ont été jugés insuffisants par le tribunal. Un entrepreneur canadien et un homme d'affaires suisse avaient manifesté leur intérêt. Le premier a jeté l’éponge, et le second, bien qu’appuyé par des fonds émiratis, n’a pas su convaincre. Le tribunal a jugé son projet insuffisant, d’autant plus qu’il ne prévoyait pas de reprendre les 106 salariés restants en France. Conséquence : tous les employés vont être licenciés et les actifs de l’entreprise mis aux enchères. Comment comprendre cette débandade ? Alors comment comprendre cette débandade et alors que jamais la robotique n'a été aussi à la mode ? (https://www.zdnet.fr/actualites/apres-lia-hugging-face-lorgne-sur-la-robotique-412192.htm) Aldebaran, rachetée en 2014 par le géant japonais SoftBank (https://www.zdnet.fr/actualites/aldebaran-robotics-softbank-monte-a-95-du-capital-apres-le-depart-du-p-dg-39815212.htm), puis revendue en 2022 à United Robotics Group, n’a pas su retrouver son éclat. En cause, une succession d’échecs, notamment le robot Plato destiné à la logistique. À l’été 2024, les équipes françaises ont accusé leur actionnaire URG de les avoir « lâchées », faute de nouveaux financements. Cette liquidation, à quelques jours du salon VivaTech, assombrit un peu plus l’horizon d’une French Tech déjà sous pression. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on June 5, 2025

  • Quels sont les smartphones qui cartonnent depuis le début de l'année cover
    Quels sont les smartphones qui cartonnent depuis le début de l'année cover
    Quels sont les smartphones qui cartonnent depuis le début de l'année

    Aujourd'hui, nous allons parler des dix téléphones les plus vendus dans le monde depuis le début de l'année 2025. Selon le cabinet de recherche Counterpoint Research, sans surprise, Apple domine le classement. Mais quelques bouleversements méritent notre attention. Tout d'abord, donc, c'est vrai, Apple règne en maître, mais Samsung maintient sa position de challenger. Apple règne en maître La marque à la pomme occupe les quatre premières places du classement mondial, avec l'iPhone 16, l'iPhone 16 Pro Max, l'iPhone 16 Pro (https://www.zdnet.fr/guide-achat/nous-avons-essaye-tous-les-modeles-diphone-16-voici-nos-conseils-dachat-397349.htm) et enfin l'iPhone 15 (https://www.zdnet.fr/guide-achat/4-modeles-d-iphone-15-a-la-loupe-les-principales-differences-a-conna-tre-39961274.htm). C'est la première fois depuis deux ans que le modèle de base de l'iPhone prend la tête des ventes. Mais les modèles Pro continuent de représenter près de la moitié des ventes d'Apple. Samsung place aussi quatre modèles dans le top 10, avec les modèles Galaxy A16, Galaxy A06, Galaxy S25 Ultra (https://www.zdnet.fr/guide-achat/prise-en-main-samsung-galaxy-s25-ultra-le-smartphone-ia-a-battre-en-2025-405023.htm) et enfin le Galaxy A15. Le Galaxy A16 se distingue particulièrement, avec une croissance des ventes de 17 % par rapport à l'année précédente, et ce grâce à sa popularité en Amérique et en Asie-Pacifique. Xiaomi s'invite dans le classement Mais la petite nouveauté de ce classement, c'est que Xiaomi s'invite dans le classement. Le Redmi 14C est même le seul modèle non Apple ou Samsung à figurer dans le top 10, occupant la huitième place. Ce téléphone abordable connaît un succès notable au Moyen-Orient et en Amérique latine. Surtout, ce smartphone est la tête de proue des smartphones d'entrée de gamme, un segment qui est en plein développement. Le segment des smartphones à moins de 100 euros a de fait connu la plus forte croissance au premier trimestre 2025, représentant près de 20 % des ventes mondiales. Pourquoi ? Et bien cette tendance s'explique par le fait que les clients recherchent des modèles plus économiques dans un contexte économique incertain. L'iPhone 16e connaît un démarrage surprenant Enfin, pour souligner cette tendance, il faut noter que le dernier modèle d'Apple, l'iPhone 16e (https://www.zdnet.fr/actualites/le-nouvel-iphone-16e-est-il-le-smartphone-bon-marche-a-battre-406670.htm), connaît un démarrage surprenant, même s'il coûte bien plus que 100 euros. Lancé fin février 2025, ce smartphone a rapidement atteint la sixième place des ventes mondiales en mars. Bien que ses ventes soient inférieures à celles des précédents modèles SE en Europe, il représente 8 % des ventes d'Apple et 2 % des ventes totales de smartphones dans la région. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on June 4, 2025

  • Comment Google veut bouleverser le commerce en ligne avec son IA cover
    Comment Google veut bouleverser le commerce en ligne avec son IA cover
    Comment Google veut bouleverser le commerce en ligne avec son IA

    Aujourd’hui, retour sur les annonces faites par Google la semaine dernières côté commerce électronique. Le géant de la recherche en ligne s'apprête à transformer la façon dont vous faites vos achats en ligne. De quoi bouleverser aussi tout l'écosystème du shopping en ligne. Le Shopping Graph devient plus intelligent Premier point, le Shopping Graph (https://blog.google/products/shopping/shopping-graph-explained/) devient plus intelligent. Il s'agit d'une base de données en temps réel alimentée par apprentissage automatique. Elle embarque des informations spécifiques telles que la disponibilité des produits, les avis d'autres acheteurs, les avantages et les inconvénients, les matériaux, les couleurs et les tailles. Google met à jour cet outil, qui regroupe désormais plus de 50 milliards d’annonces de produits, actualisé en permanence. En clair, quand vous cherchez un produit, l'IA de Google va lancer plusieurs recherches à la fois, prenant en compte vos besoins précis. Résultat, des suggestions plus pertinentes, des prix et des promotions à jour. Bien sûr, ces nouveautés pourraient tailler des croupières dans les services apportés par les sites de commerce électronique eux-même. Et faire de Google un véritable physionomiste, capable de dire aux internautes s'il faut rentrer ou pas dans telle ou telle boutique en ligne. Le suivi des prix automatisé L'idée pour l'internaute, c'est qu'il ne devrait plus avoir besoin de surveiller les promotions manuellement. Vous pourrez définir vos critères, comme la taille, la couleur, et le prix, et Google s’occupera du reste. Et vous serez alerté dès qu’une bonne affaire se présente. Et mieux encore, Google ajoutera l’article à votre panier et vous proposera de finaliser l’achat avec Google Pay (https://www.zdnet.fr/actualites/google-pay-avant-la-fin-de-l-annee-en-france-39873939.htm). De quoi gagner du temps et ne plus rater les bons plans. Là aussi, que vont devenir les acteurs du commerce en ligne qui pratiquent l'affiliation, le retargeting publicitaire, ou encore la comparaison de produits ? L’essayage virtuel intelligent Vous hésitez à commander cette robe ou cette paire de jeans ? Grâce à la nouvelle cabine d’essayage virtuelle de Google, vous pourrez visualiser le vêtement sur votre propre photo avant de l’acheter. Cette technologie, alimentée par un modèle d’IA dédié à la mode, prend en compte la morphologie, les textures et les couleurs pour un rendu réaliste. A noter que toutes ces nouveautés devraient rapidement débarquer dans un premier temps aux Etats-Unis, avant de partir à la conquête du reste du monde. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on May 28, 2025

  • Recherche en ligne, Google prend le taureau de l'IA par les cornes cover
    Recherche en ligne, Google prend le taureau de l'IA par les cornes cover
    Recherche en ligne, Google prend le taureau de l'IA par les cornes

    Mais comment Google va t-il négocier l'arrivée de l'intelligence artificielle dans son cœur de métier, à savoir la recherche en ligne. Et bien l'entreprise prend les devants et redéfinit sa célèbre page de recherche pour l'adapter à l'ère de l'IA. Et sous le capot, le géant californien fait évoluer son moteur vers un véritable assistant IA (https://www.zdnet.fr/assistant-personnel-4000001880q.htm). Bien sûr, tout ceci ressemble à un virage stratégique dont les implications sont majeures. Je vous explique tout ceci en trois points. L’« AI Mode » débarque Le premier point, c'est l’introduction de l’« AI Mode ». Lancé d’abord aux États-Unis, ce nouveau mode va bien au-delà des simples résumés générés par l'intelligence artificielle que vous avez peut-être déjà vus sur vos écrans. Il s’agit ici de réponses complètes, enrichies parfois de graphiques, et dans certains cas personnalisées selon votre historique de recherche… voire votre boîte mail, si vous en donnez l’accès. L’objectif est clair, il s'agit de gagner en pertinence et en utilité. La publicité s'adapte à l'arrivée de l'IA Le second point bien sûr, c'est que le business de Google, la publicité, s'adapte à l'arrivée de l'IA. (https://www.zdnet.fr/actualites/google-annonce-des-pubs-personnalisees-grace-a-l-ia-generative-39958720.htm) Pour Google, numéro un mondial de la publicité numérique, il est impératif de monétiser ces nouvelles expériences. Les annonces vont donc apparaître directement dans les réponses générées par l’IA. Par exemple, un tutoriel IA pourra inclure une publicité en lien avec votre recherche. L’idée est de proposer des "clics de meilleure qualité"selon Google, c’est-à-dire des visiteurs plus engagés sur les sites partenaires. L'équation très délicate avec les éditeurs de sites web Enfin le troisième point c'est que l'équation est très délicate avec les éditeurs de sites web. Beaucoup s’inquiètent en effet de voir leur trafic s’effondrer, puisque l’IA répond directement aux questions sans inciter à cliquer sur les liens. Le taux de clic sur les premiers résultats est déjà passé de près de 6 % à 3 %. Pour Google, il s’agit donc de concilier innovation et écosystème, tout en rassurant sur la distinction entre contenus sponsorisés et contenus naturels, sous l’œil vigilant des régulateurs, notamment en Europe. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on May 27, 2025

  • Google va modifier vos mots de passe automatiquement, voici pourquoi cover
    Google va modifier vos mots de passe automatiquement, voici pourquoi cover
    Google va modifier vos mots de passe automatiquement, voici pourquoi

    Focus aujourd'hui sur une nouveauté majeure annoncée par Google lors de sa conférence Google I/O 2025 (https://www.zdnet.fr/google-io-4000237626q.htm) la semaine dernière. Le navigateur Chrome (https://www.zdnet.fr/chrome-4000087586q.htm) va bientôt pouvoir changer automatiquement vos mots de passe compromis. Et cela pourrait bien révolutionner notre sécurité en ligne. L'utilisation des mots de passe qui ont fuité est une véritable problème de sécurité Premièrement, l'utilisation des mots de passe qui ont fuité est une véritable problème de sécurité. Vous le savez, les cyberattaques et les fuites de données se multiplient, et souvent, on reçoit des alertes indiquant qu’un mot de passe que nous utilisons pour nous connecter à une service web est vulnérable. Mais avouons le, ces alertes ne suffisent pas toujours à nous pousser à changer nos mots de passe que nous avons mémorisé. Bref, la flemme quoi. Et bien Google a identifié ce frein. Et l'éditeur de Chrome propose une solution radicale. Quelle est la solution ? Le navigateur va désormais intégrer une fonctionnalité de modification automatique des mots de passe compromis. Quand vous vous connecterez à un site, Chrome détectera si votre mot de passe a fuité ou est faible. Ensuite, au lieu de simplement vous alerter, Chrome proposera de le changer automatiquement pour vous, en s’appuyant sur son gestionnaire de mots de passe. Vous serez informé de l’avancée de ce travail via la barre d’adresse. Et une fois le changement effectué, une fenêtre pop-up vous montrera le nouveau mot de passe. Voilà, c'est simple, rapide, et surtout efficace. Cette innovation repose sur la coopération des développeurs web Pour que cette fonctionnalité marche, les sites doivent adapter leur interface pour que Chrome puisse gérer ce changement automatiquement. Google a déjà partagé les outils nécessaires aux développeurs pour faciliter cette intégration. Il reste maintenant à voir quelle sera la vitesse d’adoption par les sites web. Mais la perspective est claire, il s'agit d'améliorer la sécurité tout en simplifiant l’expérience utilisateur. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on May 26, 2025

  • Cyberattaque : qui en veut à ce point à Marks & Spencer ? cover
    Cyberattaque : qui en veut à ce point à Marks & Spencer ? cover
    Cyberattaque : qui en veut à ce point à Marks & Spencer ?

    Aujourd’hui, on parle de la célèbre chaîne de grande distribution britannique Marks & Spencer, qui vient de révéler les conséquences colossales d’une cyberattaque en cours. Son impact financier est estimé à plus de 355 millions d'euros, et cela bien sûr pèse très très lourd sur son résultat opérationnel pour l'exercice en cours. Une attaque massive aux conséquences durables D'abord, il s'agit d'une attaque massive aux conséquences durables. Depuis mi-avril, Marks & Spencer subit une attaque informatique majeure, probablement un rançongiciel (https://www.zdnet.fr/ransomware-4000237544q.htm). Et les conséquences sont terribles. Les ventes en ligne sont suspendues, les paiements sans contact sont bloqués, et les problèmes de réapprovisionnement vident les rayons alimentaires des magasins. Et la reprise de la vie normale de l'entreprise est espérée pour au minimum juillet prochain. D'où évidemment la perte abyssale de chiffre d'affaires attendue par l'entreprise, pas moins de 355 millions d’euros. Alors qui en veut à ce point à Marks & Spencer ? Les enquêteurs soupçonnent un groupe de cybercriminel appelé Scattered Spider. Ce groupe est connu pour ses attaques sophistiquées et sa communication très coordonnée en ligne. Mais pour l’instant, rien n’est confirmé. L’unité nationale de lutte contre la cybercriminalité britannique évoque plusieurs autres pistes. Cependant, l'heure est surtout au sauvetage d'une entreprise désormais très proche du naufrage. « Nous nous concentrons désormais sur la reprise, visant à restaurer nos systèmes, nos opérations et notre offre client au cours du premier semestre », mentionne l'entreprise par communiqué. Des impacts financiers et réputationnels inédits et très conséquents Surtout, les impacts financiers et réputationnels sont inédits et très conséquents. D'une part, l’entreprise reconnaît que des données personnelles de clients ont été dérobées. Elle assure toutefois que les mots de passe et les infos de paiement n'ont pas fuité. Reste que la réputation de la société auprès des clients et des fournisseurs pâtit de cette situation. Mais en plus des coûts directs, Marks & Spencer pourrait faire face à une amende du régulateur de la protection des données. Des grandes entreprises britanniques, comme British Airways (https://www.zdnet.fr/actualites/amende-record-pour-british-airways-39911539.htm) ou Tesco Bank, ont déjà été sanctionnées ainsi par le passé. Heureusement, l’enseigne est assurée à hauteur de 120 millions d'euros, et sa division alimentaire, elle, reste très performante. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on May 23, 2025

  • Pourquoi l’Europe est-elle à la traîne dans la révolution technologique mondiale ? cover
    Pourquoi l’Europe est-elle à la traîne dans la révolution technologique mondiale ? cover
    Pourquoi l’Europe est-elle à la traîne dans la révolution technologique mondiale ?

    C'est un constat préoccupant : pourquoi l’Europe est-elle à la traîne dans la révolution technologique mondiale ? « C'est un défi existentiel » a même écrit Mario Draghi, l'ancien président de la Banque centrale européenne, chargé de diagnostiquer la stagnation de l'économie européenne dans un rapport publié en septembre dernier. Une longue enquête du Wall Street Journal (https://www.wsj.com/tech/europe-big-tech-ai-1f3f862c) fait le point, et je vous la résume en trois points. Une absence criante de géants technologiques européens Le premier point, c'est qu'il y a une absence criante de géants technologiques européens. De fait, l’Europe n’a pas d’équivalent à Google, Amazon ou Meta. Pire, la capitalisation boursière d’Apple dépasse celle de toute la bourse allemande. Et en tout, seules quatre des 50 plus grandes entreprises tech du monde sont européennes. C'est un véritable décrochage puisque jusqu'à présent le continent européen représente 21 % du PIB mondial. Pourtant l'Europe a connu des débuts prometteurs. Dans les années 1990, l'Europe comptait plusieurs grandes entreprises dans le domaine des semi-conducteurs; comme ASML (https://www.zdnet.fr/actualites/les-pays-bas-serrent-la-vis-sur-les-exportations-d-asml-39955298.htm) aux Pays-Bas ou ARM (https://www.zdnet.fr/pratique/processeurs-arm-tout-savoir-tout-comprendre-39907353.htm) au Royaume-Uni. Mais aussi des géants du logiciel avec l'allemand SAP et côté telco le finlandais Nokia (https://www.zdnet.fr/nokia-4000078467q.htm). Cette absence est donc un véritable signal d’alarme pour la compétitivité et la croissance européenne. Comment comprendre ce retard ? Alors comment comprendre ce retard ? D'abord on trouve des obstacles structurels au développement de la tech en Europe. Les investisseurs pointent une culture d’entreprise frileuse, un droit du travail bien trop rigide, une réglementation bien trop lourde, et enfin un marché trop morcelé. Bref, il est difficile d’embaucher, de licencier, ou même de proposer un système de stock-options attractif. Et l'une des conséquences de tout cela, c'est que les startups peinent à lever des fonds. Un chiffre illustre cette difficulté. Le capital-risque européen ne représente qu’un cinquième de celui des États-Unis. La fuite vers les Etats-Unis Enfin le troisième point c'est que de nombreux entrepreneurs américains qui ont tenté l'aventure en Europe sont repartis échaudés. Et même les stars européennes de l’IA, comme Mistral (https://www.zdnet.fr/actualites/mistral-ai-lance-small-3-une-alternative-locale-et-open-source-a-gpt-4o-mini-405472.htm) ou DeepMind, finissent par signer avec les géants américains pour assurer leur avenir. Et Deliveroo, l'une des plus grandes startups du Royaume-Uni, a récemment accepté de vendre ses activités à l'américain DoorDash pour 3,9 milliards de dollars. Le bilan, c'est que au cours des 50 dernières années, les États-Unis ont créé plus de 240 entreprises avec une capitalisation boursière de plus de 10 milliards de dollars, tandis que l'Europe n'en a créé que 14. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on May 22, 2025

  • La néobanque Revolut fait de la France son territoire de choix cover
    La néobanque Revolut fait de la France son territoire de choix cover
    La néobanque Revolut fait de la France son territoire de choix

    Voici donc que Revolut, la néobanque britannique, a décidé de faire de la France son nouveau hub européen. Et l'entreprise a choisi de faire cette annonce dans le cadre de l'événement Choose France (https://www.zdnet.fr/actualites/choose-france-kyndryl-promet-100me-en-france-sur-lia-la-data-et-la-cyber-resilience-475542.htm), organisé en début de semaine à Paris pour attirer les investisseurs étrangers. Revolut prévoit d'investir un milliard d'euros sur trois ans D'abord, Revolut prévoit d'investir un milliard d'euros sur trois ans, de recruter 200 personnes et d'ouvrir des bureaux à Paris pour piloter ses activités en Europe occidentale. Ce projet ambitieux montre l'importance croissante du marché français pour le secteur de la fintech. Une demande d'agrément bancaire en France Le second point, c'est que Revolut a aussi l'intention de déposer une demande d'agrément bancaire en France. So objectif ici est de renforcer son image de banque institutionnelle face à une concurrence intense, notamment avec BoursoBank, la filiale de Société Générale, qui compte déjà 8 millions de clients. Avec cet agrément, Revolut pourra proposer des produits bancaires spécifiques au marché français et solidifier sa présence sur le secteur. Une offre de crédit immobilier en France Enfin, Revolut souhaite lancer une offre de crédit immobilier en France. Ce produit est déjà disponible en Lituanie, mais le lancement en France est retardé à 2026. En attendant, la fintech va tester sa solution auprès de quelques clients afin d'ajuster son offre. Mais il ne s'agit pas de la seule innovation. Comme sa concurrente allemande N26, Revolut se lance sur le marché des forfaits télécoms mobiles (https://www.zdnet.fr/actualites/quand-les-neobanques-se-muent-en-operateurs-telecoms-475462.htm) depuis quelques semaines. Alors que signifie cette frénésie d'annonces et de diversification ? Et bien tout simplement que le marché des néobanques en Europe se tend, et qu'il faut désormais trouver des revenus après la période faste des levées de fonds et des objectifs d'acquisition de base utilisateur quels qu'en soit le coût! Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on May 21, 2025

  • Comment les Gafam se positionnent dans les pays du Golfe Persique cover
    Comment les Gafam se positionnent dans les pays du Golfe Persique cover
    Comment les Gafam se positionnent dans les pays du Golfe Persique

    Aujourd’hui, focus et retour sur un voyage qui a fait beaucoup parler. Il s'agit de la tournée de Donald Trump au Moyen-Orient la semaine dernière. Il était accompagné par les plus grands patrons de la tech américaine, comme Elon Musk, Sam Altman ou Jensen Huang, le patron de Nvidia. Ce déplacement stratégique pourrait déboucher sur des contrats colossaux, surtout autour de l’intelligence artificielle. Je vous explique tout cela en trois points. Transformer la richesse pétrolière en investissements dans les technologies de pointe Premier point, cette délégation prestigieuse illustre la volonté des pays du Golfe, notamment l’Arabie saoudite, le Qatar et les Émirats arabes unis, de transformer leur richesse pétrolière en investissements colossaux dans les technologies de pointe. L’intelligence artificielle est donc forcément au cœur de leurs ambitions. A donc été annoncé la création d’une nouvelle structure baptisée « Humain », et dédiée au développement d’infrastructures d’IA et de cloud computing. Humain n'est rien d'autre qu'une émanation du Fonds public d'investissement de l'Arabie saoudite, qui gère plus de 900 milliards de dollars d'actifs. L'objectif de cette société placée sous le patronage de l'influent prince Mohammed Ben Salmane est d'investir dans des data centers, des infrastructures d'IA et des capacités de cloud pour développer l'IA made in Arabie saoudite. (https://www.zdnet.fr/actualites/comment-le-soft-power-saoudien-embarque-la-technologie-39953908.htm) Cette annonce n'est donc pas qu'une question de mots. Il s'agit aussi de chiffres très impressionnants. 1 000 milliards de dollars de contrats signés On parle d’un total d’environ 1 000 milliards de dollars de contrats signés par ces pays du Golfe Persique au profit des géants américains de la technologie. Des contrats qui couvrent les secteurs économiques de la défense et de la technologie. Nvidia s’est ainsi déjà allié avec « Humain » pour déployer des « usines IA » équipées de 18 000 puces GPU Blackwell. AMD de son côté a signé un contrat de 10 milliards pour fournir ses propres processeurs. Amazon enfin prévoit un investissement de 5 milliards pour construire des data centers dans la région. Un changement politique majeur aux États-Unis Enfin, troisième point, ce grand mouvement a été rendu possible par un changement politique majeur aux États-Unis. L’administration Trump a levé certaines restrictions sur l’exportation de semi-conducteurs de dernière génération, auparavant très strictes sous l'ère Biden, permettant à ces entreprises américaines de vendre leurs technologies de pointe au Moyen-Orient. De quoi attirer même OpenAI, dirigée par Sam Altman. L'entreprise est sur le point d’annoncer des investissements aux Émirats arabes unis, via MGX, le fonds de la famille royale émiratie. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on May 20, 2025

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Découvrir au quotidien les enjeux de la technologie. Le podcast de la rédaction de ZDNet, pour les professionnels à la recherche d'infos pratiques et concrètes pour mieux comprendre le marché IT et telco et son influence sur les métiers.   


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  • Scandale Builder.ai, le turc mécanique de l'IA Générative ! cover
    Scandale Builder.ai, le turc mécanique de l'IA Générative ! cover
    Scandale Builder.ai, le turc mécanique de l'IA Générative !

    L'écosystème de la technologie est régulièrement secoué par des scandales, et en voici un nouveau. Il s'agit de la faillite retentissante de Builder.ai (http://Builder.ai), une start-up britannique autrefois valorisée à plus d’un milliard de dollars. Cette prétendue licorne a littéralement berné Microsoft comme le turc mécanique (https://fr.wikipedia.org/wiki/Turc_m%C3%A9canique) avait en 1809 berné Napoléon. Et en guise d'automate féru de jeu d'échecs, ici, c'est une armée de développeurs indiens qui ont été déguisés en intelligence artificielle. La promesse était très séduisante Builder.ai (http://Builder.ai) s’était fait connaître grâce à Natasha, une plateforme soi-disant pilotée par IA, qui permettait de créer des applications sur mesure « aussi facilement que commander une pizza » promettait la société. Microsoft y a cru, au point d’intégrer Natasha à Azure (https://www.zdnet.fr/pratique/microsoft-azure-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-le-service-cloud-de-microsoft-39892685.htm) en 2023. Et plusieurs fonds de pays du Golfe persique ont également misé sur cette pépite britannique. Mais derrière cette belle façade technologique, la réalité était bien plus artisanale. Cette IA était en réalité très humaine Car oui, cette IA était en réalité très humaine. Car ce n’est pas l’IA qui produisait le code, mais environ 700 développeurs basés en Inde. Des employés qui travaillaient jour et nuit pour livrer les projets informatiques vendus comme des prouesses d'intelligence artificielle par leurs dirigeants. Dans le détail, l’interface de Natasha servait à générer un cahier des charges, qui était ensuite envoyé à des équipes basées dans les villes indiennes de Gurugram et de Bengalore. Résultat, une production manuelle, camouflée sous le label de l’intelligence artificielle. Et c'est une audit interne qui a révélé que seule la gestion des tickets était automatisée. La société s'est effondrée La supercherie n'a toutefois pas duré. Et la société s'est effondrée. Les incohérences techniques et les retards de livraison ont alerté les clients dès 2024. Et en juin 2025, tout s’écroule. Un créancier important gèle 37 millions d’euros d’actifs après avoir découvert que les revenus réels de l’entreprise étaient quatre fois inférieurs à ceux annoncés. Builder.ai (http://Builder.ai) ne disposait plus que de 5 millions sur ses comptes, avec une procédure d’insolvabilité enclenchée et des centaines de licenciements à venir. Ce naufrage rappelle une vérité brutale. Dans la course effrénée à l’IA, certaines start-up n’hésitent pas à maquiller leurs limites techniques pour capter des fonds. Les investisseurs, eux, commencent à réclamer plus de transparence. Et cela passe par la documentation du code, la traçabilité des données, ou encore la vérification des flux financiers. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on June 6, 2025

  • La débandade Aldebaran Robotics cover
    La débandade Aldebaran Robotics cover
    La débandade Aldebaran Robotics

    Aldebaran Robotics, la société française qui a créé les célèbres robots Nao et Pepper, a été placée en liquidation judiciaire. Voici trois points pour comprendre cette annonce tonitruante. Une liquidation inévitable Premier point donc, cette liquidation semble bien inévitable. Le tribunal de commerce de Paris a prononcé en début de semaine la fin d’Aldebaran. Fondée en 2005, la société a longtemps été considérée comme une pépite de la French Tech. Son petit robot Nao, apparu en 2006, avait fait le tour du monde et même salué Emmanuel Macron ou la reine d’Angleterre ! Mais faute d’un modèle économique pérenne et de financements suffisants, la société a été placée en redressement judiciaire en février (https://www.zdnet.fr/actualites/la-societe-de-robotique-aldebaran-placee-en-redressement-judiciaire-406647.htm). Deux offres de reprise ont été examinées, mais aucune n’a offert de garanties sur l’emploi. Les projets de reprise jugés insuffisants Là aussi c'est très surprenant, mais les projets de reprise de l'activité ont été jugés insuffisants par le tribunal. Un entrepreneur canadien et un homme d'affaires suisse avaient manifesté leur intérêt. Le premier a jeté l’éponge, et le second, bien qu’appuyé par des fonds émiratis, n’a pas su convaincre. Le tribunal a jugé son projet insuffisant, d’autant plus qu’il ne prévoyait pas de reprendre les 106 salariés restants en France. Conséquence : tous les employés vont être licenciés et les actifs de l’entreprise mis aux enchères. Comment comprendre cette débandade ? Alors comment comprendre cette débandade et alors que jamais la robotique n'a été aussi à la mode ? (https://www.zdnet.fr/actualites/apres-lia-hugging-face-lorgne-sur-la-robotique-412192.htm) Aldebaran, rachetée en 2014 par le géant japonais SoftBank (https://www.zdnet.fr/actualites/aldebaran-robotics-softbank-monte-a-95-du-capital-apres-le-depart-du-p-dg-39815212.htm), puis revendue en 2022 à United Robotics Group, n’a pas su retrouver son éclat. En cause, une succession d’échecs, notamment le robot Plato destiné à la logistique. À l’été 2024, les équipes françaises ont accusé leur actionnaire URG de les avoir « lâchées », faute de nouveaux financements. Cette liquidation, à quelques jours du salon VivaTech, assombrit un peu plus l’horizon d’une French Tech déjà sous pression. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on June 5, 2025

  • Quels sont les smartphones qui cartonnent depuis le début de l'année cover
    Quels sont les smartphones qui cartonnent depuis le début de l'année cover
    Quels sont les smartphones qui cartonnent depuis le début de l'année

    Aujourd'hui, nous allons parler des dix téléphones les plus vendus dans le monde depuis le début de l'année 2025. Selon le cabinet de recherche Counterpoint Research, sans surprise, Apple domine le classement. Mais quelques bouleversements méritent notre attention. Tout d'abord, donc, c'est vrai, Apple règne en maître, mais Samsung maintient sa position de challenger. Apple règne en maître La marque à la pomme occupe les quatre premières places du classement mondial, avec l'iPhone 16, l'iPhone 16 Pro Max, l'iPhone 16 Pro (https://www.zdnet.fr/guide-achat/nous-avons-essaye-tous-les-modeles-diphone-16-voici-nos-conseils-dachat-397349.htm) et enfin l'iPhone 15 (https://www.zdnet.fr/guide-achat/4-modeles-d-iphone-15-a-la-loupe-les-principales-differences-a-conna-tre-39961274.htm). C'est la première fois depuis deux ans que le modèle de base de l'iPhone prend la tête des ventes. Mais les modèles Pro continuent de représenter près de la moitié des ventes d'Apple. Samsung place aussi quatre modèles dans le top 10, avec les modèles Galaxy A16, Galaxy A06, Galaxy S25 Ultra (https://www.zdnet.fr/guide-achat/prise-en-main-samsung-galaxy-s25-ultra-le-smartphone-ia-a-battre-en-2025-405023.htm) et enfin le Galaxy A15. Le Galaxy A16 se distingue particulièrement, avec une croissance des ventes de 17 % par rapport à l'année précédente, et ce grâce à sa popularité en Amérique et en Asie-Pacifique. Xiaomi s'invite dans le classement Mais la petite nouveauté de ce classement, c'est que Xiaomi s'invite dans le classement. Le Redmi 14C est même le seul modèle non Apple ou Samsung à figurer dans le top 10, occupant la huitième place. Ce téléphone abordable connaît un succès notable au Moyen-Orient et en Amérique latine. Surtout, ce smartphone est la tête de proue des smartphones d'entrée de gamme, un segment qui est en plein développement. Le segment des smartphones à moins de 100 euros a de fait connu la plus forte croissance au premier trimestre 2025, représentant près de 20 % des ventes mondiales. Pourquoi ? Et bien cette tendance s'explique par le fait que les clients recherchent des modèles plus économiques dans un contexte économique incertain. L'iPhone 16e connaît un démarrage surprenant Enfin, pour souligner cette tendance, il faut noter que le dernier modèle d'Apple, l'iPhone 16e (https://www.zdnet.fr/actualites/le-nouvel-iphone-16e-est-il-le-smartphone-bon-marche-a-battre-406670.htm), connaît un démarrage surprenant, même s'il coûte bien plus que 100 euros. Lancé fin février 2025, ce smartphone a rapidement atteint la sixième place des ventes mondiales en mars. Bien que ses ventes soient inférieures à celles des précédents modèles SE en Europe, il représente 8 % des ventes d'Apple et 2 % des ventes totales de smartphones dans la région. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on June 4, 2025

  • Comment Google veut bouleverser le commerce en ligne avec son IA cover
    Comment Google veut bouleverser le commerce en ligne avec son IA cover
    Comment Google veut bouleverser le commerce en ligne avec son IA

    Aujourd’hui, retour sur les annonces faites par Google la semaine dernières côté commerce électronique. Le géant de la recherche en ligne s'apprête à transformer la façon dont vous faites vos achats en ligne. De quoi bouleverser aussi tout l'écosystème du shopping en ligne. Le Shopping Graph devient plus intelligent Premier point, le Shopping Graph (https://blog.google/products/shopping/shopping-graph-explained/) devient plus intelligent. Il s'agit d'une base de données en temps réel alimentée par apprentissage automatique. Elle embarque des informations spécifiques telles que la disponibilité des produits, les avis d'autres acheteurs, les avantages et les inconvénients, les matériaux, les couleurs et les tailles. Google met à jour cet outil, qui regroupe désormais plus de 50 milliards d’annonces de produits, actualisé en permanence. En clair, quand vous cherchez un produit, l'IA de Google va lancer plusieurs recherches à la fois, prenant en compte vos besoins précis. Résultat, des suggestions plus pertinentes, des prix et des promotions à jour. Bien sûr, ces nouveautés pourraient tailler des croupières dans les services apportés par les sites de commerce électronique eux-même. Et faire de Google un véritable physionomiste, capable de dire aux internautes s'il faut rentrer ou pas dans telle ou telle boutique en ligne. Le suivi des prix automatisé L'idée pour l'internaute, c'est qu'il ne devrait plus avoir besoin de surveiller les promotions manuellement. Vous pourrez définir vos critères, comme la taille, la couleur, et le prix, et Google s’occupera du reste. Et vous serez alerté dès qu’une bonne affaire se présente. Et mieux encore, Google ajoutera l’article à votre panier et vous proposera de finaliser l’achat avec Google Pay (https://www.zdnet.fr/actualites/google-pay-avant-la-fin-de-l-annee-en-france-39873939.htm). De quoi gagner du temps et ne plus rater les bons plans. Là aussi, que vont devenir les acteurs du commerce en ligne qui pratiquent l'affiliation, le retargeting publicitaire, ou encore la comparaison de produits ? L’essayage virtuel intelligent Vous hésitez à commander cette robe ou cette paire de jeans ? Grâce à la nouvelle cabine d’essayage virtuelle de Google, vous pourrez visualiser le vêtement sur votre propre photo avant de l’acheter. Cette technologie, alimentée par un modèle d’IA dédié à la mode, prend en compte la morphologie, les textures et les couleurs pour un rendu réaliste. A noter que toutes ces nouveautés devraient rapidement débarquer dans un premier temps aux Etats-Unis, avant de partir à la conquête du reste du monde. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on May 28, 2025

  • Recherche en ligne, Google prend le taureau de l'IA par les cornes cover
    Recherche en ligne, Google prend le taureau de l'IA par les cornes cover
    Recherche en ligne, Google prend le taureau de l'IA par les cornes

    Mais comment Google va t-il négocier l'arrivée de l'intelligence artificielle dans son cœur de métier, à savoir la recherche en ligne. Et bien l'entreprise prend les devants et redéfinit sa célèbre page de recherche pour l'adapter à l'ère de l'IA. Et sous le capot, le géant californien fait évoluer son moteur vers un véritable assistant IA (https://www.zdnet.fr/assistant-personnel-4000001880q.htm). Bien sûr, tout ceci ressemble à un virage stratégique dont les implications sont majeures. Je vous explique tout ceci en trois points. L’« AI Mode » débarque Le premier point, c'est l’introduction de l’« AI Mode ». Lancé d’abord aux États-Unis, ce nouveau mode va bien au-delà des simples résumés générés par l'intelligence artificielle que vous avez peut-être déjà vus sur vos écrans. Il s’agit ici de réponses complètes, enrichies parfois de graphiques, et dans certains cas personnalisées selon votre historique de recherche… voire votre boîte mail, si vous en donnez l’accès. L’objectif est clair, il s'agit de gagner en pertinence et en utilité. La publicité s'adapte à l'arrivée de l'IA Le second point bien sûr, c'est que le business de Google, la publicité, s'adapte à l'arrivée de l'IA. (https://www.zdnet.fr/actualites/google-annonce-des-pubs-personnalisees-grace-a-l-ia-generative-39958720.htm) Pour Google, numéro un mondial de la publicité numérique, il est impératif de monétiser ces nouvelles expériences. Les annonces vont donc apparaître directement dans les réponses générées par l’IA. Par exemple, un tutoriel IA pourra inclure une publicité en lien avec votre recherche. L’idée est de proposer des "clics de meilleure qualité"selon Google, c’est-à-dire des visiteurs plus engagés sur les sites partenaires. L'équation très délicate avec les éditeurs de sites web Enfin le troisième point c'est que l'équation est très délicate avec les éditeurs de sites web. Beaucoup s’inquiètent en effet de voir leur trafic s’effondrer, puisque l’IA répond directement aux questions sans inciter à cliquer sur les liens. Le taux de clic sur les premiers résultats est déjà passé de près de 6 % à 3 %. Pour Google, il s’agit donc de concilier innovation et écosystème, tout en rassurant sur la distinction entre contenus sponsorisés et contenus naturels, sous l’œil vigilant des régulateurs, notamment en Europe. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on May 27, 2025

  • Google va modifier vos mots de passe automatiquement, voici pourquoi cover
    Google va modifier vos mots de passe automatiquement, voici pourquoi cover
    Google va modifier vos mots de passe automatiquement, voici pourquoi

    Focus aujourd'hui sur une nouveauté majeure annoncée par Google lors de sa conférence Google I/O 2025 (https://www.zdnet.fr/google-io-4000237626q.htm) la semaine dernière. Le navigateur Chrome (https://www.zdnet.fr/chrome-4000087586q.htm) va bientôt pouvoir changer automatiquement vos mots de passe compromis. Et cela pourrait bien révolutionner notre sécurité en ligne. L'utilisation des mots de passe qui ont fuité est une véritable problème de sécurité Premièrement, l'utilisation des mots de passe qui ont fuité est une véritable problème de sécurité. Vous le savez, les cyberattaques et les fuites de données se multiplient, et souvent, on reçoit des alertes indiquant qu’un mot de passe que nous utilisons pour nous connecter à une service web est vulnérable. Mais avouons le, ces alertes ne suffisent pas toujours à nous pousser à changer nos mots de passe que nous avons mémorisé. Bref, la flemme quoi. Et bien Google a identifié ce frein. Et l'éditeur de Chrome propose une solution radicale. Quelle est la solution ? Le navigateur va désormais intégrer une fonctionnalité de modification automatique des mots de passe compromis. Quand vous vous connecterez à un site, Chrome détectera si votre mot de passe a fuité ou est faible. Ensuite, au lieu de simplement vous alerter, Chrome proposera de le changer automatiquement pour vous, en s’appuyant sur son gestionnaire de mots de passe. Vous serez informé de l’avancée de ce travail via la barre d’adresse. Et une fois le changement effectué, une fenêtre pop-up vous montrera le nouveau mot de passe. Voilà, c'est simple, rapide, et surtout efficace. Cette innovation repose sur la coopération des développeurs web Pour que cette fonctionnalité marche, les sites doivent adapter leur interface pour que Chrome puisse gérer ce changement automatiquement. Google a déjà partagé les outils nécessaires aux développeurs pour faciliter cette intégration. Il reste maintenant à voir quelle sera la vitesse d’adoption par les sites web. Mais la perspective est claire, il s'agit d'améliorer la sécurité tout en simplifiant l’expérience utilisateur. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on May 26, 2025

  • Cyberattaque : qui en veut à ce point à Marks & Spencer ? cover
    Cyberattaque : qui en veut à ce point à Marks & Spencer ? cover
    Cyberattaque : qui en veut à ce point à Marks & Spencer ?

    Aujourd’hui, on parle de la célèbre chaîne de grande distribution britannique Marks & Spencer, qui vient de révéler les conséquences colossales d’une cyberattaque en cours. Son impact financier est estimé à plus de 355 millions d'euros, et cela bien sûr pèse très très lourd sur son résultat opérationnel pour l'exercice en cours. Une attaque massive aux conséquences durables D'abord, il s'agit d'une attaque massive aux conséquences durables. Depuis mi-avril, Marks & Spencer subit une attaque informatique majeure, probablement un rançongiciel (https://www.zdnet.fr/ransomware-4000237544q.htm). Et les conséquences sont terribles. Les ventes en ligne sont suspendues, les paiements sans contact sont bloqués, et les problèmes de réapprovisionnement vident les rayons alimentaires des magasins. Et la reprise de la vie normale de l'entreprise est espérée pour au minimum juillet prochain. D'où évidemment la perte abyssale de chiffre d'affaires attendue par l'entreprise, pas moins de 355 millions d’euros. Alors qui en veut à ce point à Marks & Spencer ? Les enquêteurs soupçonnent un groupe de cybercriminel appelé Scattered Spider. Ce groupe est connu pour ses attaques sophistiquées et sa communication très coordonnée en ligne. Mais pour l’instant, rien n’est confirmé. L’unité nationale de lutte contre la cybercriminalité britannique évoque plusieurs autres pistes. Cependant, l'heure est surtout au sauvetage d'une entreprise désormais très proche du naufrage. « Nous nous concentrons désormais sur la reprise, visant à restaurer nos systèmes, nos opérations et notre offre client au cours du premier semestre », mentionne l'entreprise par communiqué. Des impacts financiers et réputationnels inédits et très conséquents Surtout, les impacts financiers et réputationnels sont inédits et très conséquents. D'une part, l’entreprise reconnaît que des données personnelles de clients ont été dérobées. Elle assure toutefois que les mots de passe et les infos de paiement n'ont pas fuité. Reste que la réputation de la société auprès des clients et des fournisseurs pâtit de cette situation. Mais en plus des coûts directs, Marks & Spencer pourrait faire face à une amende du régulateur de la protection des données. Des grandes entreprises britanniques, comme British Airways (https://www.zdnet.fr/actualites/amende-record-pour-british-airways-39911539.htm) ou Tesco Bank, ont déjà été sanctionnées ainsi par le passé. Heureusement, l’enseigne est assurée à hauteur de 120 millions d'euros, et sa division alimentaire, elle, reste très performante. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on May 23, 2025

  • Pourquoi l’Europe est-elle à la traîne dans la révolution technologique mondiale ? cover
    Pourquoi l’Europe est-elle à la traîne dans la révolution technologique mondiale ? cover
    Pourquoi l’Europe est-elle à la traîne dans la révolution technologique mondiale ?

    C'est un constat préoccupant : pourquoi l’Europe est-elle à la traîne dans la révolution technologique mondiale ? « C'est un défi existentiel » a même écrit Mario Draghi, l'ancien président de la Banque centrale européenne, chargé de diagnostiquer la stagnation de l'économie européenne dans un rapport publié en septembre dernier. Une longue enquête du Wall Street Journal (https://www.wsj.com/tech/europe-big-tech-ai-1f3f862c) fait le point, et je vous la résume en trois points. Une absence criante de géants technologiques européens Le premier point, c'est qu'il y a une absence criante de géants technologiques européens. De fait, l’Europe n’a pas d’équivalent à Google, Amazon ou Meta. Pire, la capitalisation boursière d’Apple dépasse celle de toute la bourse allemande. Et en tout, seules quatre des 50 plus grandes entreprises tech du monde sont européennes. C'est un véritable décrochage puisque jusqu'à présent le continent européen représente 21 % du PIB mondial. Pourtant l'Europe a connu des débuts prometteurs. Dans les années 1990, l'Europe comptait plusieurs grandes entreprises dans le domaine des semi-conducteurs; comme ASML (https://www.zdnet.fr/actualites/les-pays-bas-serrent-la-vis-sur-les-exportations-d-asml-39955298.htm) aux Pays-Bas ou ARM (https://www.zdnet.fr/pratique/processeurs-arm-tout-savoir-tout-comprendre-39907353.htm) au Royaume-Uni. Mais aussi des géants du logiciel avec l'allemand SAP et côté telco le finlandais Nokia (https://www.zdnet.fr/nokia-4000078467q.htm). Cette absence est donc un véritable signal d’alarme pour la compétitivité et la croissance européenne. Comment comprendre ce retard ? Alors comment comprendre ce retard ? D'abord on trouve des obstacles structurels au développement de la tech en Europe. Les investisseurs pointent une culture d’entreprise frileuse, un droit du travail bien trop rigide, une réglementation bien trop lourde, et enfin un marché trop morcelé. Bref, il est difficile d’embaucher, de licencier, ou même de proposer un système de stock-options attractif. Et l'une des conséquences de tout cela, c'est que les startups peinent à lever des fonds. Un chiffre illustre cette difficulté. Le capital-risque européen ne représente qu’un cinquième de celui des États-Unis. La fuite vers les Etats-Unis Enfin le troisième point c'est que de nombreux entrepreneurs américains qui ont tenté l'aventure en Europe sont repartis échaudés. Et même les stars européennes de l’IA, comme Mistral (https://www.zdnet.fr/actualites/mistral-ai-lance-small-3-une-alternative-locale-et-open-source-a-gpt-4o-mini-405472.htm) ou DeepMind, finissent par signer avec les géants américains pour assurer leur avenir. Et Deliveroo, l'une des plus grandes startups du Royaume-Uni, a récemment accepté de vendre ses activités à l'américain DoorDash pour 3,9 milliards de dollars. Le bilan, c'est que au cours des 50 dernières années, les États-Unis ont créé plus de 240 entreprises avec une capitalisation boursière de plus de 10 milliards de dollars, tandis que l'Europe n'en a créé que 14. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on May 22, 2025

  • La néobanque Revolut fait de la France son territoire de choix cover
    La néobanque Revolut fait de la France son territoire de choix cover
    La néobanque Revolut fait de la France son territoire de choix

    Voici donc que Revolut, la néobanque britannique, a décidé de faire de la France son nouveau hub européen. Et l'entreprise a choisi de faire cette annonce dans le cadre de l'événement Choose France (https://www.zdnet.fr/actualites/choose-france-kyndryl-promet-100me-en-france-sur-lia-la-data-et-la-cyber-resilience-475542.htm), organisé en début de semaine à Paris pour attirer les investisseurs étrangers. Revolut prévoit d'investir un milliard d'euros sur trois ans D'abord, Revolut prévoit d'investir un milliard d'euros sur trois ans, de recruter 200 personnes et d'ouvrir des bureaux à Paris pour piloter ses activités en Europe occidentale. Ce projet ambitieux montre l'importance croissante du marché français pour le secteur de la fintech. Une demande d'agrément bancaire en France Le second point, c'est que Revolut a aussi l'intention de déposer une demande d'agrément bancaire en France. So objectif ici est de renforcer son image de banque institutionnelle face à une concurrence intense, notamment avec BoursoBank, la filiale de Société Générale, qui compte déjà 8 millions de clients. Avec cet agrément, Revolut pourra proposer des produits bancaires spécifiques au marché français et solidifier sa présence sur le secteur. Une offre de crédit immobilier en France Enfin, Revolut souhaite lancer une offre de crédit immobilier en France. Ce produit est déjà disponible en Lituanie, mais le lancement en France est retardé à 2026. En attendant, la fintech va tester sa solution auprès de quelques clients afin d'ajuster son offre. Mais il ne s'agit pas de la seule innovation. Comme sa concurrente allemande N26, Revolut se lance sur le marché des forfaits télécoms mobiles (https://www.zdnet.fr/actualites/quand-les-neobanques-se-muent-en-operateurs-telecoms-475462.htm) depuis quelques semaines. Alors que signifie cette frénésie d'annonces et de diversification ? Et bien tout simplement que le marché des néobanques en Europe se tend, et qu'il faut désormais trouver des revenus après la période faste des levées de fonds et des objectifs d'acquisition de base utilisateur quels qu'en soit le coût! Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on May 21, 2025

  • Comment les Gafam se positionnent dans les pays du Golfe Persique cover
    Comment les Gafam se positionnent dans les pays du Golfe Persique cover
    Comment les Gafam se positionnent dans les pays du Golfe Persique

    Aujourd’hui, focus et retour sur un voyage qui a fait beaucoup parler. Il s'agit de la tournée de Donald Trump au Moyen-Orient la semaine dernière. Il était accompagné par les plus grands patrons de la tech américaine, comme Elon Musk, Sam Altman ou Jensen Huang, le patron de Nvidia. Ce déplacement stratégique pourrait déboucher sur des contrats colossaux, surtout autour de l’intelligence artificielle. Je vous explique tout cela en trois points. Transformer la richesse pétrolière en investissements dans les technologies de pointe Premier point, cette délégation prestigieuse illustre la volonté des pays du Golfe, notamment l’Arabie saoudite, le Qatar et les Émirats arabes unis, de transformer leur richesse pétrolière en investissements colossaux dans les technologies de pointe. L’intelligence artificielle est donc forcément au cœur de leurs ambitions. A donc été annoncé la création d’une nouvelle structure baptisée « Humain », et dédiée au développement d’infrastructures d’IA et de cloud computing. Humain n'est rien d'autre qu'une émanation du Fonds public d'investissement de l'Arabie saoudite, qui gère plus de 900 milliards de dollars d'actifs. L'objectif de cette société placée sous le patronage de l'influent prince Mohammed Ben Salmane est d'investir dans des data centers, des infrastructures d'IA et des capacités de cloud pour développer l'IA made in Arabie saoudite. (https://www.zdnet.fr/actualites/comment-le-soft-power-saoudien-embarque-la-technologie-39953908.htm) Cette annonce n'est donc pas qu'une question de mots. Il s'agit aussi de chiffres très impressionnants. 1 000 milliards de dollars de contrats signés On parle d’un total d’environ 1 000 milliards de dollars de contrats signés par ces pays du Golfe Persique au profit des géants américains de la technologie. Des contrats qui couvrent les secteurs économiques de la défense et de la technologie. Nvidia s’est ainsi déjà allié avec « Humain » pour déployer des « usines IA » équipées de 18 000 puces GPU Blackwell. AMD de son côté a signé un contrat de 10 milliards pour fournir ses propres processeurs. Amazon enfin prévoit un investissement de 5 milliards pour construire des data centers dans la région. Un changement politique majeur aux États-Unis Enfin, troisième point, ce grand mouvement a été rendu possible par un changement politique majeur aux États-Unis. L’administration Trump a levé certaines restrictions sur l’exportation de semi-conducteurs de dernière génération, auparavant très strictes sous l'ère Biden, permettant à ces entreprises américaines de vendre leurs technologies de pointe au Moyen-Orient. De quoi attirer même OpenAI, dirigée par Sam Altman. L'entreprise est sur le point d’annoncer des investissements aux Émirats arabes unis, via MGX, le fonds de la famille royale émiratie. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on May 20, 2025

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