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ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet cover
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Découvrir au quotidien les enjeux de la technologie. Le podcast de la rédaction de ZDNet, pour les professionnels à la recherche d'infos pratiques et concrètes pour mieux comprendre le marché IT et telco et son influence sur les métiers.   


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  • AMD montre à présent ses muscles à présent aussi sur le gaming cover
    AMD montre à présent ses muscles à présent aussi sur le gaming cover
    AMD montre à présent ses muscles à présent aussi sur le gaming

    Aujourd'hui, on plonge dans les annonces d'AMD réalisées au CES 2025. Elles marquent un tournant dans le secteur des PC destinés aux amateurs de jeux vidéos, jusqu'alors une chasse gardée de son concurrent Intel. Voici donc pourquoi Intel pourrait commencer à trembler. D'abord, AMD mène une véritable offensive sur le marché des PC de jeux et cela c'est bien vu au CES. AMD frappe fort cette année avec ses nouveaux processeurs, notamment les séries Ryzen 9000 et Ryzen Z2. Du Ryzen chez Razer et MSI Surtout, le fondeur annonce l’intégration pour la première fois d’un processeur AMD Ryzen dans un ordinateur portable de la marque Razer, bien connue des gamers. Il s'agit du modèle Razer Blade 16 (https://www.zdnet.fr/actualites/le-nouveau-razer-blade-16-peut-il-devenir-votre-compagnon-de-tous-les-jours-404048.htm). C'est une décision stratégique, car jusque-là, l'entreprise de Singapour s’appuyait exclusivement sur des puces Intel pour ses machines. Mais AMD ne s’arrête pas là. MSI, un autre géant des ordinateurs portables de jeu, adopte aussi ces nouveaux processeurs sur son modèle Stealth A18. Bref, ce partenariat montre qu’AMD gagne peu à peu la confiance des marques qui dominent le marché des gamers. Du processeur très haut de gamme et des APU Pour aller plus loin nous avons eu la chance de nous entretenir avec Frank Azor, architecte en chef des solutions de jeu chez AMD lors du CES. Il nous a expliqué que l’évolutivité est au cœur de la stratégie. Et il cite en exemple une nouvelle puce dotée de 16 cœurs Zen 5 et d’un cache impressionnant de 144 Mo. Sa vitesse peut atteindre 5,7 Giga Hertz. Bien sûr, cette puce coûte un bras. Mais pour les joueurs au budget plus serré, AMD propose aussi des APU. Une APU est une Unité de calcul accéléré, qui peut être ajoutée au CPU pour améliorer les performances. La toute nouvelle APU Krackan Point, qui doit être commercialisée dans quelques jours, vise donc les joueurs qui ont des oursins dans les poches. Et c'est malin puisque selon Frank Azor, 90 % des joueurs investissent dans des GPU à moins de 1 000 euros. Vers l'IA et la 3D Enfin, il faut noter que AMD n'est pas qu'un rival sérieux pour Intel aussi sur le marché du gaming. Certes, Intel reste un géant. Mais le fondeur est au milieu du gué, et a perdu son PDG Pat Gelsinger (https://www.zdnet.fr/actualites/au-milieu-de-la-tempete-intel-annonce-la-retraite-de-son-pdg-pat-gelsinger-402329.htm) à la fin de l'année dernière. La boss d'AMD depuis 10 ans, Lisa Su, a elle au contraire été nommée pour l'année 2024 PDG de l'année par le magasine Time. (https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-pourquoi-lisa-su-amd-est-nommee-pdg-de-lannee-2024-402910.htm) Et AMD ne veut pas s'arrêter à ses performances sur le gaming. La marque vise désormais le marché de l'intelligence artificielle et la 3D. Elle affirme sur ce terrain que sa puce Ryzen AI Max Plus 395 surpasse même des références comme le GPU Nvidia RTX 4090 ou le M4 Pro d’Apple dans ces domaines. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on January 13, 2025

  • La bague connectée passe au rayon luxe cover
    La bague connectée passe au rayon luxe cover
    La bague connectée passe au rayon luxe

    Aujourd’hui, parlons des bagues connectées, et plus précisément du dernier lancement d’Ultrahuman, une marque qui a décidé de miser sur le luxe avec sa nouvelle gamme Ultrahuman Ring Rare (https://www.ultrahuman.com/rare/). Alors, que faut-il savoir sur ce produit, et pourquoi fait-il parler de lui ? Tout d'abord, il s'agit de la première bague connectée (https://www.zdnet.fr/actualites/nous-sommes-entres-dans-lere-de-la-bague-connectee-voici-trois-raisons-pour-lesquelles-je-suis-super-enthousiaste-395156.htm) de luxe. Ultrahuman, déjà reconnue pour sa bague connectée Ring Air (https://www.zdnet.fr/guide-achat/test-ultrahuman-ring-air-cette-bague-connectee-satisfera-les-accros-du-fitness-39965138.htm), se démarque avec une nouvelle collection en matériaux haut de gamme. On parle d’environ 2000 euros, voire plus pour la version platine Ces bagues sont disponibles en or jaune et rose 18 carats, ainsi qu’en platine pour une version argentée. Le prix ? On parle d’environ 2000 euros, voire plus pour la version platine. Oui, vous avez bien entendu : ces bijoux connectés coûtent bien plus cher qu’un ordinateur portable de milieu de gamme. A noter que Ultrahuman assure que ces bagues de luxe conservent des fonctionnalités technologiques solides. Un pari sur un marché de niche Car malgré leur orientation luxe, ces bagues ne délaissent pas leur mission principale, à savoir le suivi de la santé. À l’intérieur, on retrouve les mêmes capteurs que dans les modèles classiques, des capteurs de mouvement, de température, et de suivi du sommeil ou de la récupération. Mais les acheteurs des modèles haut de gamme bénéficient aussi d’avantages exclusifs, comme un accès à vie à des outils avancés, tels que le suivi de la fibrillation auriculaire, de la vitamine D ou encore du cycle menstruel. Pour Ultrahuman, il s'agit d'un pari sur un marché de niche, mais qui est en pleine croissance. Un marché encore naissant de 210 millions de dollars, mais en croissance Avec un lancement prévu au Printemps Haussmann à Paris dès janvier, Ultrahuman vise une clientèle à la recherche d’un bijou fonctionnel et prestigieux. Le marché des bagues connectées, encore naissant, représentait 210 millions de dollars en 2023, mais croît chaque année de 24 %. Ultrahuman pourrait donc bien trouver sa place face à Oura et Samsung, les leaders du secteur, en se positionnant sur un créneau plus haut de gamme. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 10, 2025

  • Le prix de l'intelligence chez Apple ? Le stockage de votre iPhone ! cover
    Le prix de l'intelligence chez Apple ? Le stockage de votre iPhone ! cover
    Le prix de l'intelligence chez Apple ? Le stockage de votre iPhone !

    Aujourd’hui, parlons d’Apple Intelligence, ce système qui intègre l’intelligence artificielle directement dans vos appareils Apple. Vous l’avez peut-être remarqué si vous avez essayé ces fonctions avec votre Mac, il nécessite désormais plus d’espace de stockage. Il faut désormais compter pas moins de 7 Gigaoctet de stockage pour le faire fonctionner, contre 4 Gigaoctet auparavant. Pourquoi ce changement ? D’abord, Apple a récemment enrichi ses fonctionnalités basées sur l’IA. Avec iOS 18.2, iPadOS 18.2 et MacOS Sequoia 15.2, l'entreprise a lancé des outils comme l’intégration de ChatGPT, Image Playground pour créer des visuels, ou encore Genmoji, un outil pour personnaliser des emojis grâce à l’IA. Ces nouvelles capacités, bien que très pratiques, demandent logiquement plus d’espace de stockage. Et c'est bien sur les appareils mobiles d'Apple, les iPad mais surtout les iPhones, que cela risque de poser un véritable problème. Vous pourrez le constater dès avril prochain, quand Apple Intelligence arrivera en France sur vos appareils mobiles. (https://www.zdnet.fr/actualites/apple-intelligence-son-arrivee-en-france-un-poisson-davril-400311.htm) Pour vous donner un exemple concret, un iPhone classique qui compte 128 Gigaoctet peut rapidement se retrouver totalement saturé si vous stockez déjà beaucoup de photos, de vidéos et d'applications. Apple ne permet pas de désactiver sélectivement ces fonctionnalités d'IA Ensuite, et c'est très important, Apple ne permet pas de désactiver sélectivement certaines de ces fonctionnalités d'IA. Vous devez donc libérer suffisamment d’espace pour profiter de l’ensemble des services d'intelligence artificielle sur votre smartphone. Pour ceux d’entre vous équipés de modèles à faible capacité, cette contrainte pourrait nécessiter un tri rigoureux parmi vos fichiers. Il vous faudra peut-être même acheter un nouvel appareil. Le début du remplissage ? Enfin, cette augmentation d’espace nécessaire pour faire tourner l'IA en mode local pourrait ne pas être la dernière. Apple a mentionné que les besoins évolueraient avec l’ajout de nouvelles fonctions. Et d’autres mises à jour sont prévues, notamment avec iOS 18.3 et 18.4, qui arrivent au printemps. On parle notamment d’améliorations majeures pour Siri, comme son intégration dans les applications. Ce qui pourrait encore augmenter les exigences de l'IA. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 9, 2025

  • Comment les Gafam s'acoquinent avec Donald Trump à grand coups de dollars cover
    Comment les Gafam s'acoquinent avec Donald Trump à grand coups de dollars cover
    Comment les Gafam s'acoquinent avec Donald Trump à grand coups de dollars

    Aujourd'hui, parlons de la relation fascinante et parfois ambiguë entretenue par les géants de la technologie outre-Atlantique et l'administration Trump. Depuis sa réélection (https://www.zdnet.fr/actualites/victoire-de-donald-trump-voici-les-consequences-pour-le-monde-de-la-tech-400822.htm), un véritable ballet diplomatique s'est mis en place entre le président élu et des PDG influents comme Tim Cook, Jeff Bezos, et Mark Zuckerberg. Et ce ballet est financé par les GAFAM ! Voici pourquoi. Premièrement, il y va de l'intérêt stratégique des PDG des entreprises telles que Apple, Amazon ou encore Meta. Les grands patrons de ces énormes entreprises américaines cherchent à maintenir une influence sur les décisions politiques américaines. Une allégeance Tim Cook, par exemple, a investi beaucoup de temps à cultiver une relation professionnelle avec Trump lors de son premier mandat, organisant des rencontres pour discuter de sujets clés comme la fiscalité et la production locale. Il s'est même rendu à Mar-a-Lago récemment. Ces efforts visent à protéger les intérêts de leurs entreprises dans un contexte de régulation accrue et de tensions politiques. Et il n'hésite pas à payer de sa poche ! Il vient de signer un chèque de un million de dollars pris sur ses deniers propres à destination du comité d'investiture du président élu Trump. Car oui, les dons pour l’investiture du second mandat du président Trump symbolisent cette année une forme d’allégeance. Conséquence, les contributions financières au fonds d'inauguration de Trump ne passent pas inaperçues. Renforcer les liens avec la nouvelle administration Amazon, Meta, et même Toyota ont eux aussi offert un million de dollars pour soutenir cet événement. C’est une manière symbolique mais efficace de renforcer les liens avec la nouvelle administration. En parallèle, Amazon a annoncé qu'il diffuserait la cérémonie sur sa plateforme Prime Video, illustrant une volonté de participer activement aux grands événements politiques. Mais au delà de la logique de vassalité, les dirigeants des Gafam cherchent aussi à mettre en place avec ce cash une stratégie d’apaisement. Ils tentent en effet d'adoucir les relations après des années parfois tendues. Un Trump « plus calme et posé » Par exemple, Meta, qui avait banni Trump de ses plateformes en 2021, a récemment levé cette restriction. Jeff Bezos, de son côté, a qualifié Trump de « plus calme et posé » qu’auparavant. Ces déclarations montrent une volonté de tourner la page et de construire une relation plus constructive. En résumé, les titans de la tech jonglent entre intérêt stratégique, influence politique, et apaisement des tensions. Cette dynamique complexe reflète aussi l'importance croissante de leur rôle dans les décisions politiques et économiques. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on January 8, 2025

  • Un tribunal met un coup de canif dans la neutralité du net cover
    Un tribunal met un coup de canif dans la neutralité du net cover
    Un tribunal met un coup de canif dans la neutralité du net

    Aujourd’hui, on plonge dans le sujet brûlant de la neutralité du Net, un principe fondamental pour garantir un Internet égalitaire pour tous. Aux États-Unis, ce concept, également en cours en Europe et en France, vient de subir un sérieux revers. Une cour d'appel a aboli ce principe la semaine dernière (https://eu.cincinnati.com/story/money/2025/01/02/net-neutrality-rules-struck-down/77412883007/), et cela pourrait bouleverser l'accès à Internet tel qu'on le connaît. Décryptons cela en trois points. Premier point donc, qu’est-ce que la neutralité du Net ? En termes simples, c’est l’idée que tous les contenus Internet doivent être traités de la même manière par les opérateurs de télécommunication. Concrètement, Orange ou SFR ne peuvent pas ralentir certains sites ni favoriser d’autres services. Ils sont tenus de transporter les données en fonction des performances techniques du réseau. Bref, ce principe assure que, peu importe votre connexion, vous accédez à vos vidéos YouTube aussi rapidement qu’à vos emails par exemple. Alors deuxième point, pourquoi cette décision a-t-elle été prise ? Une cour d'appel d'un État des Etats-Unis a jugé que l’agence fédérale des télécommunications des Etats-Unis, la FCC, n’avait pas l’autorité légale pour imposer ces règles aux fournisseurs d’accès Internet. C’est un coup dur pour l’administration Biden, qui avait réintroduit la neutralité du Net (https://www.zdnet.fr/actualites/etats-unis-la-fcc-retablit-la-neutralite-du-net-voici-ce-que-cela-veut-dire-391127.htm) en début d’année après son abolition sous Donald Trump. Les juges ont aussi mis en avant une décision récente de la Cour suprême, limitant le pouvoir des agences fédérales. Enfin, troisième point, quelles sont les conséquences de cette décision ? Les ONG comme Public Knowledge craignent un vide juridique qui donnerait aux opérateurs télécoms un contrôle presque total sur notre accès à Internet. Imaginez : demain, votre fournisseur pourrait ralentir Netflix pour promouvoir son propre service de streaming. Les défenseurs de la neutralité appellent donc le Congrès américain à intervenir pour inscrire ce principe dans la loi. Mais les industriels des télécommunications, eux, voient dans cette décision une opportunité pour plus d'innovation et de concurrence. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 7, 2025

  • Siri et publicité, Apple accepte de lâcher 95 millions de dollars pour arrêter une plainte cover
    Siri et publicité, Apple accepte de lâcher 95 millions de dollars pour arrêter une plainte cover
    Siri et publicité, Apple accepte de lâcher 95 millions de dollars pour arrêter une plainte

    Aujourd’hui, parlons d’Apple, qui se targue régulièrement d'être particulièrement attentif à la protection de la vie privée de ses clients. Et bien selon Reuters (https://www.reuters.com/legal/apple-pay-95-million-settle-siri-privacy-lawsuit-2025-01-02/), la société va devoir mettre la main au portefeuille pour régler outre-Atlantique une affaire de violation de la vie privée liée à Siri, son assistant vocal. Qu’est-ce qui est reproché à Siri ? L’assistant vocal d’Apple (https://www.zdnet.fr/actualites/apple-intelligence-ameliorera-siri-en-2024-mais-le-meilleur-narrivera-pas-avant-2025-393216.htm) aurait enregistré des conversations privées de ses utilisateurs sans leur consentement. Ces enregistrements auraient été déclenchés accidentellement, notamment lorsque Siri pense entendre son mot d’activation, "Hey Siri". Des utilisateurs ont signalé avoir reçu des publicités ciblées après avoir évoqué des sujets avec des personnes alors que leur smartphone était à proximité. Un exemple, parler de baskets ou de restaurants, et voir ces sujets surgir dans leurs publicités en ligne affichées sur leurs smartphones. Que dit l’accord judiciaire auquel s'est plié Apple ? Apple a accepté de verser 95 millions de dollars pour mettre fin à cette action collective, couvrant la période de septembre 2014 à fin 2024. Chaque utilisateur concerné aux Etats-Unis pourrait recevoir jusqu’à 20 dollars par appareil compatible, comme les iPhone ou les Apple Watch. Reuters note que le règlement de 95 millions de dollars équivaut à « environ neuf heures de profit pour Apple ». La société, toutefois, nie toute faute malgré le fait d'accepter un accord à l'amiable. Quelles sont les conséquences de cette décision pour l’industrie ? Ce règlement met en lumière un problème commun aux assistants vocaux, comme Google Assistant ou Alexa. Les questions sur la confidentialité des données deviennent de plus en plus pressantes. Et les entreprises pourraient être poussées à repenser leur gestion des données pour éviter de nouvelles poursuites. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 6, 2025

  • La Russie, nouvel eldorado des vendeur en ligne chinois cover
    La Russie, nouvel eldorado des vendeur en ligne chinois cover
    La Russie, nouvel eldorado des vendeur en ligne chinois

    Aujourd'hui, parlons d’un phénomène de plus en plus visible qui montre la fracturation toujours plus forte de la mondialisation et de l'économie numérique. Il s'agit de l’arrivée massive des commerçants chinois sur les plateformes de commerce en ligne russes, comme Ozon et Wildberries. C'est un sujet brulant qui mêle bien évidemment commerce, géopolitique et technologie. Pourquoi cet afflux soudain de commerçants en ligne chinois en Russie ? Et bien tout d'abord les vendeurs chinois cherchent de nouveaux marchés affirme le Financial Times (https://www.ft.com/content/e16fad4d-06d7-49c2-af8e-e61111f59ff7). En effet, les tensions commerciales avec les États-Unis (https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-les-sanctions-americaines-touchent-les-entreprises-de-la-tech-chinoises-pour-la-troisieme-fois-402324.htm) et l’Union européenne rendent plus compliqué l’accès à ces marchés. À l’inverse, la Russie, isolée économiquement à cause des sanctions occidentales, devient une alternative stratégique. Selon la marketplace russe Ozon, pas moins de 100 000 commerçants chinois utilisent aujourd’hui leur plateforme, contre seulement 10 000 en 2022. Mais au delà des contingences internationales, les vendeurs chinois voient dans l'économie russe un véritable débouché. Un nouveau débouché Les plateformes russes offrent en effet un accès direct à un marché qui manque de produits après le retrait de nombreuses marques internationales. Les marchands chinois peuvent ainsi répondre à cette demande croissante, que ce soit pour des produits électroniques, des meubles ou des articles ménagers. Par exemple, une vendeuse appelée Jen Yang a ouvert plusieurs boutiques sur Ozon. Résultat : 30 % de ses revenus de commerce électronique viennent désormais de la Russie. Tout n'est pas rose au pays de Vladimir Poutine Mais tout n'est pas rose au pays de Vladimir Poutine pour les boutiques en ligne chinoises. Les commerçants doivent s’adapter à des règles complexes. Certains ouvrent même des entreprises locales pour éviter les sanctions et faciliter les paiements. Malgré cela, des obstacles subsistent, comme la conversion des bénéfices en yuan et les restrictions imposées sur certains produits pour respecter les lois internationales. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on December 20, 2024

  • Les entreprises sourient et pleurent quand les pros utilisent l’IA cover
    Les entreprises sourient et pleurent quand les pros utilisent l’IA cover
    Les entreprises sourient et pleurent quand les pros utilisent l’IA

    Aujourd’hui, parlons d’un défi de taille pour les entreprises. Il s'agit de contrôler l’utilisation des outils d’intelligence artificielle (https://www.zdnet.fr/actualites/intelligence-artificielle-ia-4000237536q.htm) par leurs salariés. C'est un véritable défi parce que l'invasion de l'IA en entreprise soulève autant d’opportunités que pose des questions. D'abord, il faut acter désormais l’adoption rapide et discrète de l’IA par les salariés. De nombreux employés se tournent vers des outils comme ChatGPT (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-chatgpt-et-pourquoi-est-ce-important-voici-ce-que-vous-devez-savoir-39959996.htm) pour améliorer leur efficacité au travail. Que ce soit pour rédiger des textes, écrire du code ou effectuer des recherches, ces outils se sont glissés dans le quotidien des professionnels, parfois sans l’aval explicite de leurs entreprises. Un exemple ? Une employée de la néo-banque allemande N26 (https://www.zdnet.fr/actualites/la-fintech-n26-leve-des-fonds-records-pour-innover-dans-ses-services-39931073.htm) me racontait la semaine dernière que son manager avait interdit en interne l'utilisation de ChatGPT. Mais que le site était accessible depuis les postes de travail. Ce qui fait que tout le monde l'utilise chez N26. Et N26 n'est pas seule dans ce cas. Une étude révèle que près d’un quart des employés aux États-Unis utilisent déjà ces technologies chaque semaine, avec des pics atteignant 50 % dans les secteurs comme le logiciel ou la finance. Beaucoup d’entreprises manquent encore de règles claires Surtout, face à cette adoption rapide, beaucoup d’entreprises manquent encore de règles claires. Certaines, comme Apple et Samsung, ont commencé par interdire totalement l’usage de ChatGPT, souvent par crainte pour la sécurité des données. Mais ces interdictions strictes deviennent vite impraticables à long terme (https://www.zdnet.fr/actualites/apres-le-shadow-it-voici-venu-le-temps-du-shadow-ai-avec-encore-plus-de-problemes-39959822.htm). C'est pourquoi N26 a proposé récemment à ses employés l'utilisation de Gemini de Google (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-gemini-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-la-nouvelle-ia-surpuissante-de-google-39962858.htm) intégré à Google Workspace, dont la banque est cliente. Mais il est difficile de changer les habitudes une fois que vos employés utilisent de manière tout à fait sauvage et à l'envie ChatGPT. Il faut donc accompagner les employés en cas de comportements inappropriés, avec une approche non punitive pour éviter la récidive et encourager un usage responsable. La méfiance de l'IA persiste chez les salariés Même dans les entreprises où l’IA est acceptée, beaucoup d’employés préfèrent garder pour eux leur utilisation de ces outils. Pourquoi ? Parce qu'ils ont peur d’être jugés comme paresseux. Pire, ils ont peur de rendre visible une productivité accrue qui pourrait conduire à des suppressions de postes. L’intégration de l’IA au travail demande donc un équilibre subtil : fournir des outils fiables, établir des règles claires, et surtout, construire une confiance réciproque entre employeurs et salariés. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on December 19, 2024

  • 7 usines d'IA en Europe, la France grande absente cover
    7 usines d'IA en Europe, la France grande absente cover
    7 usines d'IA en Europe, la France grande absente

    Aujourd’hui, évoquons une nouvelle initiative ambitieuse de l’Union européenne. Il s'agit de la création des premières usines d’intelligence artificielle sur le continent. Une stratégie qui pourrait transformer l'Europe en leader mondial de l'IA. Mais la France semble tout à fait absente de ce plan ambitieux. Sept sites stratégiques ont été sélectionnés. L'Union européenne a validé la construction de sept usines d'IA qui doivent être opérationnelles d'ici 2026. Ces usines seront réparties entre l'Espagne, l'Italie, la Finlande, le Luxembourg, la Suède, l'Allemagne et la Grèce. Ces lieux ont été choisis pour leur capacité à accueillir des infrastructures de calcul puissantes et pour leur potentiel de collaboration avec des start-ups, l'industrie et les chercheurs. Par exemple, en Espagne, l’usine sera adossée au supercalculateur MareNostrum 5 (https://www.zdnet.fr/actualites/les-supercalculateurs-peuvent-aider-a-resoudre-le-plus-gros-probleme-de-la-blockchain-voici-comment-39927261.htm), un système déjà connu pour ses performances impressionnantes. Un financement européen ambitieux Ces usines représentent un investissement combiné de 1,5 milliard d’euros, financé à la fois par les États membres et des programmes européens comme Horizon Europe et Europe numérique. Cet argent servira à développer des superordinateurs optimisés pour l’IA. Ce type de machines est essentiel pour entraîner des modèles complexes qui demandent une puissance de calcul énorme. Et c'est nécessaire puisque former un modèle d'IA comme ChatGPT (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-chatgpt-et-pourquoi-est-ce-important-voici-ce-que-vous-devez-savoir-39959996.htm) peut nécessiter plusieurs semaines sur des centaines de processeurs ! Enfin, ces usines ne se limiteront pas à fournir de la puissance brute. Elles hébergeront également des plateformes d’expérimentation pour tester et valider de nouveaux modèles. En Finlande, par exemple, des outils spécialisés permettront aux chercheurs et aux PME de développer des IA de confiance (https://www.zdnet.fr/actualites/ia-de-confiance-credit-mutuel-arkea-apporte-des-preuves-393399.htm). Où est la France dans ce plan ? Pourquoi l'Hexagone, dont le président à annoncé il y a deux ans avec tambour et trompette un plan IA (https://www.zdnet.fr/actualites/recherche-en-ia-france-et-allemagne-au-coude-a-coude-39960978.htm), est le grand absent ? Et bien il semble que les États membres de l'UE peuvent encore proposer de nouveaux projets d’usines jusqu’en février 2025. Ce qui promet une deuxième vague de développement. Peut-être qu'un site français sera alors mise en avant. Avec cette initiative, l’Union européenne veut clairement s’imposer comme un acteur incontournable de l’intelligence artificielle, tout en soutenant son écosystème local. Henna Virkkunen, vice-présidente exécutive de l’UE, l’a résumé ainsi : « Grâce aux supercalculateurs européens, nous donnons les moyens à nos start-ups de passer à l’échelle supérieure. » Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on December 18, 2024

  • Comment Apple veut changer les iPhones cover
    Comment Apple veut changer les iPhones cover
    Comment Apple veut changer les iPhones

    Parlons aujourd'hui des ambitions d'Apple pour relancer la croissance de ses iPhones. Après des années de nouveaux modèles tous plus ennuyeux les uns que les autres, la firme de Cupertino prévoit des changements majeurs pour ses prochains modèles. Entrons dans le détail avec Mark Gurman le spécialiste Apple de Bloomberg. Premièrement, Apple travaillerait sur des iPhones plus fins et surtout pliables. Pour vous donner une idée, sachez d'abord que les modèles d'iPhone actuels font environ 8 millimètres d'épaisseur. L'idée est de séduire les utilisateurs à la recherche d'un design plus épuré et léger. Mais descendre sous les 8 millimètres tout en préservant la solidité des smartphone est un défi, et Apple le sait. En 2014 par exemple l’affaire Bendgate (https://www.zdnet.fr/actualites/bendgate-de-l-histoire-ancienne-avec-l-iphone-6s-39823458.htm) avait révélé des problèmes de rigidité des iPhones 6 et 6 Plus. En parallèle, Apple prévoit de lancer deux appareils pliables. Le premier serait un iPhone avec un écran qui se plie pour devenir plus compact. Le second, plus ambitieux, pourrait se déployer en une tablette de 19 pouces. Soit un écran presque aussi grand qu’un moniteur de bureau. Reste que Apple prend son temps (https://www.zdnet.fr/actualites/l-iphone-pliable-ne-sera-pas-pour-demain-39964356.htm). Contrairement à Samsung ou Huawei, déjà présents sur ce marché des smartphones pliables, Apple patine sur ce sujet depuis plusieurs années. Alors pourquoi ce virage stratégique de la part de la marque à la pomme ? Et bien tout simplement parce que les ventes d’iPhones stagnent. En 2024, elles n'ont progressé que de moins de 1 %. Depuis la dernière rupture de l’iPhone X (https://www.zdnet.fr/actualites/keynote-apple-l-annee-des-iphone-nes-sous-x-39873533.htm) en 2017, Apple ne propose pas grand chose de neuf. Oui, les puces sont plus rapides. Oui, les appareils photo sont meilleurs de génération d'iPhone en génération d'iPhone. Mais l’arrivée d’appareils pliables pourrait raviver l’intérêt des utilisateurs, surtout après le succès fort limité du dernier iPhone 16. Et un exemple historique montre que ce type de changement peut porter ses fruits. En 2014, l'iPhone 6 Plus, avec son grand écran, avait déclenché une véritable vague de croissance. Apple regarde désormais au-delà de l’iPhone Le casque de réalité virtuelle Vision Pro (https://www.zdnet.fr/guide-achat/apple-vision-pro-apres-un-week-end-d-utilisation-voici-les-trois-principaux-points-a-retenir-39964060.htm) est un premier pas vers des produits innovants. Mais avec son prix de plus de 4000 euros, son adoption reste forcément limitée. Apple envisage une version plus abordable qui utiliserait un iPhone pour alimenter le casque, bien que des défis techniques subsistent. Avec ces projets, Apple espère renouer avec la croissance. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on December 17, 2024

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Découvrir au quotidien les enjeux de la technologie. Le podcast de la rédaction de ZDNet, pour les professionnels à la recherche d'infos pratiques et concrètes pour mieux comprendre le marché IT et telco et son influence sur les métiers.   


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  • AMD montre à présent ses muscles à présent aussi sur le gaming cover
    AMD montre à présent ses muscles à présent aussi sur le gaming cover
    AMD montre à présent ses muscles à présent aussi sur le gaming

    Aujourd'hui, on plonge dans les annonces d'AMD réalisées au CES 2025. Elles marquent un tournant dans le secteur des PC destinés aux amateurs de jeux vidéos, jusqu'alors une chasse gardée de son concurrent Intel. Voici donc pourquoi Intel pourrait commencer à trembler. D'abord, AMD mène une véritable offensive sur le marché des PC de jeux et cela c'est bien vu au CES. AMD frappe fort cette année avec ses nouveaux processeurs, notamment les séries Ryzen 9000 et Ryzen Z2. Du Ryzen chez Razer et MSI Surtout, le fondeur annonce l’intégration pour la première fois d’un processeur AMD Ryzen dans un ordinateur portable de la marque Razer, bien connue des gamers. Il s'agit du modèle Razer Blade 16 (https://www.zdnet.fr/actualites/le-nouveau-razer-blade-16-peut-il-devenir-votre-compagnon-de-tous-les-jours-404048.htm). C'est une décision stratégique, car jusque-là, l'entreprise de Singapour s’appuyait exclusivement sur des puces Intel pour ses machines. Mais AMD ne s’arrête pas là. MSI, un autre géant des ordinateurs portables de jeu, adopte aussi ces nouveaux processeurs sur son modèle Stealth A18. Bref, ce partenariat montre qu’AMD gagne peu à peu la confiance des marques qui dominent le marché des gamers. Du processeur très haut de gamme et des APU Pour aller plus loin nous avons eu la chance de nous entretenir avec Frank Azor, architecte en chef des solutions de jeu chez AMD lors du CES. Il nous a expliqué que l’évolutivité est au cœur de la stratégie. Et il cite en exemple une nouvelle puce dotée de 16 cœurs Zen 5 et d’un cache impressionnant de 144 Mo. Sa vitesse peut atteindre 5,7 Giga Hertz. Bien sûr, cette puce coûte un bras. Mais pour les joueurs au budget plus serré, AMD propose aussi des APU. Une APU est une Unité de calcul accéléré, qui peut être ajoutée au CPU pour améliorer les performances. La toute nouvelle APU Krackan Point, qui doit être commercialisée dans quelques jours, vise donc les joueurs qui ont des oursins dans les poches. Et c'est malin puisque selon Frank Azor, 90 % des joueurs investissent dans des GPU à moins de 1 000 euros. Vers l'IA et la 3D Enfin, il faut noter que AMD n'est pas qu'un rival sérieux pour Intel aussi sur le marché du gaming. Certes, Intel reste un géant. Mais le fondeur est au milieu du gué, et a perdu son PDG Pat Gelsinger (https://www.zdnet.fr/actualites/au-milieu-de-la-tempete-intel-annonce-la-retraite-de-son-pdg-pat-gelsinger-402329.htm) à la fin de l'année dernière. La boss d'AMD depuis 10 ans, Lisa Su, a elle au contraire été nommée pour l'année 2024 PDG de l'année par le magasine Time. (https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-pourquoi-lisa-su-amd-est-nommee-pdg-de-lannee-2024-402910.htm) Et AMD ne veut pas s'arrêter à ses performances sur le gaming. La marque vise désormais le marché de l'intelligence artificielle et la 3D. Elle affirme sur ce terrain que sa puce Ryzen AI Max Plus 395 surpasse même des références comme le GPU Nvidia RTX 4090 ou le M4 Pro d’Apple dans ces domaines. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on January 13, 2025

  • La bague connectée passe au rayon luxe cover
    La bague connectée passe au rayon luxe cover
    La bague connectée passe au rayon luxe

    Aujourd’hui, parlons des bagues connectées, et plus précisément du dernier lancement d’Ultrahuman, une marque qui a décidé de miser sur le luxe avec sa nouvelle gamme Ultrahuman Ring Rare (https://www.ultrahuman.com/rare/). Alors, que faut-il savoir sur ce produit, et pourquoi fait-il parler de lui ? Tout d'abord, il s'agit de la première bague connectée (https://www.zdnet.fr/actualites/nous-sommes-entres-dans-lere-de-la-bague-connectee-voici-trois-raisons-pour-lesquelles-je-suis-super-enthousiaste-395156.htm) de luxe. Ultrahuman, déjà reconnue pour sa bague connectée Ring Air (https://www.zdnet.fr/guide-achat/test-ultrahuman-ring-air-cette-bague-connectee-satisfera-les-accros-du-fitness-39965138.htm), se démarque avec une nouvelle collection en matériaux haut de gamme. On parle d’environ 2000 euros, voire plus pour la version platine Ces bagues sont disponibles en or jaune et rose 18 carats, ainsi qu’en platine pour une version argentée. Le prix ? On parle d’environ 2000 euros, voire plus pour la version platine. Oui, vous avez bien entendu : ces bijoux connectés coûtent bien plus cher qu’un ordinateur portable de milieu de gamme. A noter que Ultrahuman assure que ces bagues de luxe conservent des fonctionnalités technologiques solides. Un pari sur un marché de niche Car malgré leur orientation luxe, ces bagues ne délaissent pas leur mission principale, à savoir le suivi de la santé. À l’intérieur, on retrouve les mêmes capteurs que dans les modèles classiques, des capteurs de mouvement, de température, et de suivi du sommeil ou de la récupération. Mais les acheteurs des modèles haut de gamme bénéficient aussi d’avantages exclusifs, comme un accès à vie à des outils avancés, tels que le suivi de la fibrillation auriculaire, de la vitamine D ou encore du cycle menstruel. Pour Ultrahuman, il s'agit d'un pari sur un marché de niche, mais qui est en pleine croissance. Un marché encore naissant de 210 millions de dollars, mais en croissance Avec un lancement prévu au Printemps Haussmann à Paris dès janvier, Ultrahuman vise une clientèle à la recherche d’un bijou fonctionnel et prestigieux. Le marché des bagues connectées, encore naissant, représentait 210 millions de dollars en 2023, mais croît chaque année de 24 %. Ultrahuman pourrait donc bien trouver sa place face à Oura et Samsung, les leaders du secteur, en se positionnant sur un créneau plus haut de gamme. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 10, 2025

  • Le prix de l'intelligence chez Apple ? Le stockage de votre iPhone ! cover
    Le prix de l'intelligence chez Apple ? Le stockage de votre iPhone ! cover
    Le prix de l'intelligence chez Apple ? Le stockage de votre iPhone !

    Aujourd’hui, parlons d’Apple Intelligence, ce système qui intègre l’intelligence artificielle directement dans vos appareils Apple. Vous l’avez peut-être remarqué si vous avez essayé ces fonctions avec votre Mac, il nécessite désormais plus d’espace de stockage. Il faut désormais compter pas moins de 7 Gigaoctet de stockage pour le faire fonctionner, contre 4 Gigaoctet auparavant. Pourquoi ce changement ? D’abord, Apple a récemment enrichi ses fonctionnalités basées sur l’IA. Avec iOS 18.2, iPadOS 18.2 et MacOS Sequoia 15.2, l'entreprise a lancé des outils comme l’intégration de ChatGPT, Image Playground pour créer des visuels, ou encore Genmoji, un outil pour personnaliser des emojis grâce à l’IA. Ces nouvelles capacités, bien que très pratiques, demandent logiquement plus d’espace de stockage. Et c'est bien sur les appareils mobiles d'Apple, les iPad mais surtout les iPhones, que cela risque de poser un véritable problème. Vous pourrez le constater dès avril prochain, quand Apple Intelligence arrivera en France sur vos appareils mobiles. (https://www.zdnet.fr/actualites/apple-intelligence-son-arrivee-en-france-un-poisson-davril-400311.htm) Pour vous donner un exemple concret, un iPhone classique qui compte 128 Gigaoctet peut rapidement se retrouver totalement saturé si vous stockez déjà beaucoup de photos, de vidéos et d'applications. Apple ne permet pas de désactiver sélectivement ces fonctionnalités d'IA Ensuite, et c'est très important, Apple ne permet pas de désactiver sélectivement certaines de ces fonctionnalités d'IA. Vous devez donc libérer suffisamment d’espace pour profiter de l’ensemble des services d'intelligence artificielle sur votre smartphone. Pour ceux d’entre vous équipés de modèles à faible capacité, cette contrainte pourrait nécessiter un tri rigoureux parmi vos fichiers. Il vous faudra peut-être même acheter un nouvel appareil. Le début du remplissage ? Enfin, cette augmentation d’espace nécessaire pour faire tourner l'IA en mode local pourrait ne pas être la dernière. Apple a mentionné que les besoins évolueraient avec l’ajout de nouvelles fonctions. Et d’autres mises à jour sont prévues, notamment avec iOS 18.3 et 18.4, qui arrivent au printemps. On parle notamment d’améliorations majeures pour Siri, comme son intégration dans les applications. Ce qui pourrait encore augmenter les exigences de l'IA. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 9, 2025

  • Comment les Gafam s'acoquinent avec Donald Trump à grand coups de dollars cover
    Comment les Gafam s'acoquinent avec Donald Trump à grand coups de dollars cover
    Comment les Gafam s'acoquinent avec Donald Trump à grand coups de dollars

    Aujourd'hui, parlons de la relation fascinante et parfois ambiguë entretenue par les géants de la technologie outre-Atlantique et l'administration Trump. Depuis sa réélection (https://www.zdnet.fr/actualites/victoire-de-donald-trump-voici-les-consequences-pour-le-monde-de-la-tech-400822.htm), un véritable ballet diplomatique s'est mis en place entre le président élu et des PDG influents comme Tim Cook, Jeff Bezos, et Mark Zuckerberg. Et ce ballet est financé par les GAFAM ! Voici pourquoi. Premièrement, il y va de l'intérêt stratégique des PDG des entreprises telles que Apple, Amazon ou encore Meta. Les grands patrons de ces énormes entreprises américaines cherchent à maintenir une influence sur les décisions politiques américaines. Une allégeance Tim Cook, par exemple, a investi beaucoup de temps à cultiver une relation professionnelle avec Trump lors de son premier mandat, organisant des rencontres pour discuter de sujets clés comme la fiscalité et la production locale. Il s'est même rendu à Mar-a-Lago récemment. Ces efforts visent à protéger les intérêts de leurs entreprises dans un contexte de régulation accrue et de tensions politiques. Et il n'hésite pas à payer de sa poche ! Il vient de signer un chèque de un million de dollars pris sur ses deniers propres à destination du comité d'investiture du président élu Trump. Car oui, les dons pour l’investiture du second mandat du président Trump symbolisent cette année une forme d’allégeance. Conséquence, les contributions financières au fonds d'inauguration de Trump ne passent pas inaperçues. Renforcer les liens avec la nouvelle administration Amazon, Meta, et même Toyota ont eux aussi offert un million de dollars pour soutenir cet événement. C’est une manière symbolique mais efficace de renforcer les liens avec la nouvelle administration. En parallèle, Amazon a annoncé qu'il diffuserait la cérémonie sur sa plateforme Prime Video, illustrant une volonté de participer activement aux grands événements politiques. Mais au delà de la logique de vassalité, les dirigeants des Gafam cherchent aussi à mettre en place avec ce cash une stratégie d’apaisement. Ils tentent en effet d'adoucir les relations après des années parfois tendues. Un Trump « plus calme et posé » Par exemple, Meta, qui avait banni Trump de ses plateformes en 2021, a récemment levé cette restriction. Jeff Bezos, de son côté, a qualifié Trump de « plus calme et posé » qu’auparavant. Ces déclarations montrent une volonté de tourner la page et de construire une relation plus constructive. En résumé, les titans de la tech jonglent entre intérêt stratégique, influence politique, et apaisement des tensions. Cette dynamique complexe reflète aussi l'importance croissante de leur rôle dans les décisions politiques et économiques. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on January 8, 2025

  • Un tribunal met un coup de canif dans la neutralité du net cover
    Un tribunal met un coup de canif dans la neutralité du net cover
    Un tribunal met un coup de canif dans la neutralité du net

    Aujourd’hui, on plonge dans le sujet brûlant de la neutralité du Net, un principe fondamental pour garantir un Internet égalitaire pour tous. Aux États-Unis, ce concept, également en cours en Europe et en France, vient de subir un sérieux revers. Une cour d'appel a aboli ce principe la semaine dernière (https://eu.cincinnati.com/story/money/2025/01/02/net-neutrality-rules-struck-down/77412883007/), et cela pourrait bouleverser l'accès à Internet tel qu'on le connaît. Décryptons cela en trois points. Premier point donc, qu’est-ce que la neutralité du Net ? En termes simples, c’est l’idée que tous les contenus Internet doivent être traités de la même manière par les opérateurs de télécommunication. Concrètement, Orange ou SFR ne peuvent pas ralentir certains sites ni favoriser d’autres services. Ils sont tenus de transporter les données en fonction des performances techniques du réseau. Bref, ce principe assure que, peu importe votre connexion, vous accédez à vos vidéos YouTube aussi rapidement qu’à vos emails par exemple. Alors deuxième point, pourquoi cette décision a-t-elle été prise ? Une cour d'appel d'un État des Etats-Unis a jugé que l’agence fédérale des télécommunications des Etats-Unis, la FCC, n’avait pas l’autorité légale pour imposer ces règles aux fournisseurs d’accès Internet. C’est un coup dur pour l’administration Biden, qui avait réintroduit la neutralité du Net (https://www.zdnet.fr/actualites/etats-unis-la-fcc-retablit-la-neutralite-du-net-voici-ce-que-cela-veut-dire-391127.htm) en début d’année après son abolition sous Donald Trump. Les juges ont aussi mis en avant une décision récente de la Cour suprême, limitant le pouvoir des agences fédérales. Enfin, troisième point, quelles sont les conséquences de cette décision ? Les ONG comme Public Knowledge craignent un vide juridique qui donnerait aux opérateurs télécoms un contrôle presque total sur notre accès à Internet. Imaginez : demain, votre fournisseur pourrait ralentir Netflix pour promouvoir son propre service de streaming. Les défenseurs de la neutralité appellent donc le Congrès américain à intervenir pour inscrire ce principe dans la loi. Mais les industriels des télécommunications, eux, voient dans cette décision une opportunité pour plus d'innovation et de concurrence. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 7, 2025

  • Siri et publicité, Apple accepte de lâcher 95 millions de dollars pour arrêter une plainte cover
    Siri et publicité, Apple accepte de lâcher 95 millions de dollars pour arrêter une plainte cover
    Siri et publicité, Apple accepte de lâcher 95 millions de dollars pour arrêter une plainte

    Aujourd’hui, parlons d’Apple, qui se targue régulièrement d'être particulièrement attentif à la protection de la vie privée de ses clients. Et bien selon Reuters (https://www.reuters.com/legal/apple-pay-95-million-settle-siri-privacy-lawsuit-2025-01-02/), la société va devoir mettre la main au portefeuille pour régler outre-Atlantique une affaire de violation de la vie privée liée à Siri, son assistant vocal. Qu’est-ce qui est reproché à Siri ? L’assistant vocal d’Apple (https://www.zdnet.fr/actualites/apple-intelligence-ameliorera-siri-en-2024-mais-le-meilleur-narrivera-pas-avant-2025-393216.htm) aurait enregistré des conversations privées de ses utilisateurs sans leur consentement. Ces enregistrements auraient été déclenchés accidentellement, notamment lorsque Siri pense entendre son mot d’activation, "Hey Siri". Des utilisateurs ont signalé avoir reçu des publicités ciblées après avoir évoqué des sujets avec des personnes alors que leur smartphone était à proximité. Un exemple, parler de baskets ou de restaurants, et voir ces sujets surgir dans leurs publicités en ligne affichées sur leurs smartphones. Que dit l’accord judiciaire auquel s'est plié Apple ? Apple a accepté de verser 95 millions de dollars pour mettre fin à cette action collective, couvrant la période de septembre 2014 à fin 2024. Chaque utilisateur concerné aux Etats-Unis pourrait recevoir jusqu’à 20 dollars par appareil compatible, comme les iPhone ou les Apple Watch. Reuters note que le règlement de 95 millions de dollars équivaut à « environ neuf heures de profit pour Apple ». La société, toutefois, nie toute faute malgré le fait d'accepter un accord à l'amiable. Quelles sont les conséquences de cette décision pour l’industrie ? Ce règlement met en lumière un problème commun aux assistants vocaux, comme Google Assistant ou Alexa. Les questions sur la confidentialité des données deviennent de plus en plus pressantes. Et les entreprises pourraient être poussées à repenser leur gestion des données pour éviter de nouvelles poursuites. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 6, 2025

  • La Russie, nouvel eldorado des vendeur en ligne chinois cover
    La Russie, nouvel eldorado des vendeur en ligne chinois cover
    La Russie, nouvel eldorado des vendeur en ligne chinois

    Aujourd'hui, parlons d’un phénomène de plus en plus visible qui montre la fracturation toujours plus forte de la mondialisation et de l'économie numérique. Il s'agit de l’arrivée massive des commerçants chinois sur les plateformes de commerce en ligne russes, comme Ozon et Wildberries. C'est un sujet brulant qui mêle bien évidemment commerce, géopolitique et technologie. Pourquoi cet afflux soudain de commerçants en ligne chinois en Russie ? Et bien tout d'abord les vendeurs chinois cherchent de nouveaux marchés affirme le Financial Times (https://www.ft.com/content/e16fad4d-06d7-49c2-af8e-e61111f59ff7). En effet, les tensions commerciales avec les États-Unis (https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-les-sanctions-americaines-touchent-les-entreprises-de-la-tech-chinoises-pour-la-troisieme-fois-402324.htm) et l’Union européenne rendent plus compliqué l’accès à ces marchés. À l’inverse, la Russie, isolée économiquement à cause des sanctions occidentales, devient une alternative stratégique. Selon la marketplace russe Ozon, pas moins de 100 000 commerçants chinois utilisent aujourd’hui leur plateforme, contre seulement 10 000 en 2022. Mais au delà des contingences internationales, les vendeurs chinois voient dans l'économie russe un véritable débouché. Un nouveau débouché Les plateformes russes offrent en effet un accès direct à un marché qui manque de produits après le retrait de nombreuses marques internationales. Les marchands chinois peuvent ainsi répondre à cette demande croissante, que ce soit pour des produits électroniques, des meubles ou des articles ménagers. Par exemple, une vendeuse appelée Jen Yang a ouvert plusieurs boutiques sur Ozon. Résultat : 30 % de ses revenus de commerce électronique viennent désormais de la Russie. Tout n'est pas rose au pays de Vladimir Poutine Mais tout n'est pas rose au pays de Vladimir Poutine pour les boutiques en ligne chinoises. Les commerçants doivent s’adapter à des règles complexes. Certains ouvrent même des entreprises locales pour éviter les sanctions et faciliter les paiements. Malgré cela, des obstacles subsistent, comme la conversion des bénéfices en yuan et les restrictions imposées sur certains produits pour respecter les lois internationales. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on December 20, 2024

  • Les entreprises sourient et pleurent quand les pros utilisent l’IA cover
    Les entreprises sourient et pleurent quand les pros utilisent l’IA cover
    Les entreprises sourient et pleurent quand les pros utilisent l’IA

    Aujourd’hui, parlons d’un défi de taille pour les entreprises. Il s'agit de contrôler l’utilisation des outils d’intelligence artificielle (https://www.zdnet.fr/actualites/intelligence-artificielle-ia-4000237536q.htm) par leurs salariés. C'est un véritable défi parce que l'invasion de l'IA en entreprise soulève autant d’opportunités que pose des questions. D'abord, il faut acter désormais l’adoption rapide et discrète de l’IA par les salariés. De nombreux employés se tournent vers des outils comme ChatGPT (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-chatgpt-et-pourquoi-est-ce-important-voici-ce-que-vous-devez-savoir-39959996.htm) pour améliorer leur efficacité au travail. Que ce soit pour rédiger des textes, écrire du code ou effectuer des recherches, ces outils se sont glissés dans le quotidien des professionnels, parfois sans l’aval explicite de leurs entreprises. Un exemple ? Une employée de la néo-banque allemande N26 (https://www.zdnet.fr/actualites/la-fintech-n26-leve-des-fonds-records-pour-innover-dans-ses-services-39931073.htm) me racontait la semaine dernière que son manager avait interdit en interne l'utilisation de ChatGPT. Mais que le site était accessible depuis les postes de travail. Ce qui fait que tout le monde l'utilise chez N26. Et N26 n'est pas seule dans ce cas. Une étude révèle que près d’un quart des employés aux États-Unis utilisent déjà ces technologies chaque semaine, avec des pics atteignant 50 % dans les secteurs comme le logiciel ou la finance. Beaucoup d’entreprises manquent encore de règles claires Surtout, face à cette adoption rapide, beaucoup d’entreprises manquent encore de règles claires. Certaines, comme Apple et Samsung, ont commencé par interdire totalement l’usage de ChatGPT, souvent par crainte pour la sécurité des données. Mais ces interdictions strictes deviennent vite impraticables à long terme (https://www.zdnet.fr/actualites/apres-le-shadow-it-voici-venu-le-temps-du-shadow-ai-avec-encore-plus-de-problemes-39959822.htm). C'est pourquoi N26 a proposé récemment à ses employés l'utilisation de Gemini de Google (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-gemini-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-la-nouvelle-ia-surpuissante-de-google-39962858.htm) intégré à Google Workspace, dont la banque est cliente. Mais il est difficile de changer les habitudes une fois que vos employés utilisent de manière tout à fait sauvage et à l'envie ChatGPT. Il faut donc accompagner les employés en cas de comportements inappropriés, avec une approche non punitive pour éviter la récidive et encourager un usage responsable. La méfiance de l'IA persiste chez les salariés Même dans les entreprises où l’IA est acceptée, beaucoup d’employés préfèrent garder pour eux leur utilisation de ces outils. Pourquoi ? Parce qu'ils ont peur d’être jugés comme paresseux. Pire, ils ont peur de rendre visible une productivité accrue qui pourrait conduire à des suppressions de postes. L’intégration de l’IA au travail demande donc un équilibre subtil : fournir des outils fiables, établir des règles claires, et surtout, construire une confiance réciproque entre employeurs et salariés. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on December 19, 2024

  • 7 usines d'IA en Europe, la France grande absente cover
    7 usines d'IA en Europe, la France grande absente cover
    7 usines d'IA en Europe, la France grande absente

    Aujourd’hui, évoquons une nouvelle initiative ambitieuse de l’Union européenne. Il s'agit de la création des premières usines d’intelligence artificielle sur le continent. Une stratégie qui pourrait transformer l'Europe en leader mondial de l'IA. Mais la France semble tout à fait absente de ce plan ambitieux. Sept sites stratégiques ont été sélectionnés. L'Union européenne a validé la construction de sept usines d'IA qui doivent être opérationnelles d'ici 2026. Ces usines seront réparties entre l'Espagne, l'Italie, la Finlande, le Luxembourg, la Suède, l'Allemagne et la Grèce. Ces lieux ont été choisis pour leur capacité à accueillir des infrastructures de calcul puissantes et pour leur potentiel de collaboration avec des start-ups, l'industrie et les chercheurs. Par exemple, en Espagne, l’usine sera adossée au supercalculateur MareNostrum 5 (https://www.zdnet.fr/actualites/les-supercalculateurs-peuvent-aider-a-resoudre-le-plus-gros-probleme-de-la-blockchain-voici-comment-39927261.htm), un système déjà connu pour ses performances impressionnantes. Un financement européen ambitieux Ces usines représentent un investissement combiné de 1,5 milliard d’euros, financé à la fois par les États membres et des programmes européens comme Horizon Europe et Europe numérique. Cet argent servira à développer des superordinateurs optimisés pour l’IA. Ce type de machines est essentiel pour entraîner des modèles complexes qui demandent une puissance de calcul énorme. Et c'est nécessaire puisque former un modèle d'IA comme ChatGPT (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-chatgpt-et-pourquoi-est-ce-important-voici-ce-que-vous-devez-savoir-39959996.htm) peut nécessiter plusieurs semaines sur des centaines de processeurs ! Enfin, ces usines ne se limiteront pas à fournir de la puissance brute. Elles hébergeront également des plateformes d’expérimentation pour tester et valider de nouveaux modèles. En Finlande, par exemple, des outils spécialisés permettront aux chercheurs et aux PME de développer des IA de confiance (https://www.zdnet.fr/actualites/ia-de-confiance-credit-mutuel-arkea-apporte-des-preuves-393399.htm). Où est la France dans ce plan ? Pourquoi l'Hexagone, dont le président à annoncé il y a deux ans avec tambour et trompette un plan IA (https://www.zdnet.fr/actualites/recherche-en-ia-france-et-allemagne-au-coude-a-coude-39960978.htm), est le grand absent ? Et bien il semble que les États membres de l'UE peuvent encore proposer de nouveaux projets d’usines jusqu’en février 2025. Ce qui promet une deuxième vague de développement. Peut-être qu'un site français sera alors mise en avant. Avec cette initiative, l’Union européenne veut clairement s’imposer comme un acteur incontournable de l’intelligence artificielle, tout en soutenant son écosystème local. Henna Virkkunen, vice-présidente exécutive de l’UE, l’a résumé ainsi : « Grâce aux supercalculateurs européens, nous donnons les moyens à nos start-ups de passer à l’échelle supérieure. » Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on December 18, 2024

  • Comment Apple veut changer les iPhones cover
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    Comment Apple veut changer les iPhones

    Parlons aujourd'hui des ambitions d'Apple pour relancer la croissance de ses iPhones. Après des années de nouveaux modèles tous plus ennuyeux les uns que les autres, la firme de Cupertino prévoit des changements majeurs pour ses prochains modèles. Entrons dans le détail avec Mark Gurman le spécialiste Apple de Bloomberg. Premièrement, Apple travaillerait sur des iPhones plus fins et surtout pliables. Pour vous donner une idée, sachez d'abord que les modèles d'iPhone actuels font environ 8 millimètres d'épaisseur. L'idée est de séduire les utilisateurs à la recherche d'un design plus épuré et léger. Mais descendre sous les 8 millimètres tout en préservant la solidité des smartphone est un défi, et Apple le sait. En 2014 par exemple l’affaire Bendgate (https://www.zdnet.fr/actualites/bendgate-de-l-histoire-ancienne-avec-l-iphone-6s-39823458.htm) avait révélé des problèmes de rigidité des iPhones 6 et 6 Plus. En parallèle, Apple prévoit de lancer deux appareils pliables. Le premier serait un iPhone avec un écran qui se plie pour devenir plus compact. Le second, plus ambitieux, pourrait se déployer en une tablette de 19 pouces. Soit un écran presque aussi grand qu’un moniteur de bureau. Reste que Apple prend son temps (https://www.zdnet.fr/actualites/l-iphone-pliable-ne-sera-pas-pour-demain-39964356.htm). Contrairement à Samsung ou Huawei, déjà présents sur ce marché des smartphones pliables, Apple patine sur ce sujet depuis plusieurs années. Alors pourquoi ce virage stratégique de la part de la marque à la pomme ? Et bien tout simplement parce que les ventes d’iPhones stagnent. En 2024, elles n'ont progressé que de moins de 1 %. Depuis la dernière rupture de l’iPhone X (https://www.zdnet.fr/actualites/keynote-apple-l-annee-des-iphone-nes-sous-x-39873533.htm) en 2017, Apple ne propose pas grand chose de neuf. Oui, les puces sont plus rapides. Oui, les appareils photo sont meilleurs de génération d'iPhone en génération d'iPhone. Mais l’arrivée d’appareils pliables pourrait raviver l’intérêt des utilisateurs, surtout après le succès fort limité du dernier iPhone 16. Et un exemple historique montre que ce type de changement peut porter ses fruits. En 2014, l'iPhone 6 Plus, avec son grand écran, avait déclenché une véritable vague de croissance. Apple regarde désormais au-delà de l’iPhone Le casque de réalité virtuelle Vision Pro (https://www.zdnet.fr/guide-achat/apple-vision-pro-apres-un-week-end-d-utilisation-voici-les-trois-principaux-points-a-retenir-39964060.htm) est un premier pas vers des produits innovants. Mais avec son prix de plus de 4000 euros, son adoption reste forcément limitée. Apple envisage une version plus abordable qui utiliserait un iPhone pour alimenter le casque, bien que des défis techniques subsistent. Avec ces projets, Apple espère renouer avec la croissance. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on December 17, 2024

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