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ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet cover
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  • Pourquoi les européens s'entichent de ChatGPT Search cover
    Pourquoi les européens s'entichent de ChatGPT Search cover
    Pourquoi les européens s'entichent de ChatGPT Search

    Aujourd'hui, nous explorons l'ascension spectaculaire de ChatGPT Search (https://www.zdnet.fr/actualites/vous-pouvez-acceder-a-chatgpt-search-sans-compte-des-maintenant-voici-comment-405877.htm) en Europe et les défis réglementaires qui l'accompagnent. D'abord, il faut noter une croissance fulgurante pour ChatGPT Search, qui est l'outil de recherche en ligne du chatbot (https://www.zdnet.fr/chatbot-4000237811q.htm) d'IA générative (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-l-ia-generative-et-pourquoi-est-elle-si-populaire-voici-tout-ce-qu-il-faut-savoir-39961020.htm) d'OpenAI, le très célèbre ChatGPT. L'engouement des Européens Jugez plutôt : en l'espace de six mois, ChatGPT Search a quadruplé son nombre d'utilisateurs actifs mensuels dans l'Union européenne. Ces utilisateurs sont passés d'un peu plus de 11 millions à un peu plus de 41 millions en à peine deux trimestres. Cette progression rapide reflète l'engouement des Européens pour une recherche en ligne plus naturelle et conversationnelle, contrastant avec les méthodes traditionnelles surchargées de publicités et sont les résultats sont souvent illisibles. Mais cette appétence des européens pour ce nouvel outil de recherche intéresse désormais les régulateurs européens qui encadrent les activités numériques en Europe dans le cadre du Digital Services Act. (https://www.zdnet.fr/dsa-reglement-europeen-sur-les-services-numeriques-6741q.htm) ChatGPT Search s'approche du seuil des 45 millions d'utilisateurs mensuels Car avec l'explosion de l'usage de cet outil de recherche en France et en Europe, ChatGPT Search s'approche du seuil des 45 millions d'utilisateurs mensuels. Et au-delà de ce seuil, ce service numérique serait classé en Europe comme une "très grande plateforme en ligne". Cette catégorie définie par le Digital Services Act de l'UE implique des obligations, comme des audits externes, de la transparence algorithmique, ou encore le partage de données avec les chercheurs. Et en cas de non-conformité, OpenAI (https://www.zdnet.fr/openai-6670q.htm) pourrait faire face à des amendes allant jusqu'à 6 % de son chiffre d'affaires mondial. La fiabilité des résultats reste un défi majeur Enfin, il faut noter que la fiabilité des résultats reste un défi majeur pour l'outil de recherche en ligne d'OpenAI. Oui, malgré sa popularité, ChatGPT Search présente des lacunes en matière de précision. Une étude récente montre que 67 % des résultats de recherche sont incorrects ou mal attribués. Cette tendance à fournir des réponses erronées, souvent avec assurance, soulève des préoccupations quant à la fiabilité de l'outil, en particulier dans un contexte où la désinformation prospère. Malgré cela, ChatGPT Search grignote des parts de marché. En septembre 2024, 8 % des internautes préféreraient utiliser ChatGPT plutôt que Google comme moteur de recherche principal. Mais pour le moment, Google reste le roi incontesté de la recherche en ligne. Simplement, on peut se demander maintenant jusque à quand. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on April 24, 2025

  • Pour l'instant Trump ne rend pas la monnaie de leurs pièces au Gafam cover
    Pour l'instant Trump ne rend pas la monnaie de leurs pièces au Gafam cover
    Pour l'instant Trump ne rend pas la monnaie de leurs pièces au Gafam

    C'est un petit mystère qui nous vient des Etats-Unis. Souvenez-vous. En janvier dernier, lors de la prise de pouvoir du nouveau président Donald Trump, tout le gratin des Gafam était présent (https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-comment-les-gafam-sacoquinent-avec-donald-trump-a-grand-coups-de-dollars-403947.htm), de Jeff Bezos à Mark Zuckerberg. Ils avaient même payé pour être là. Et leur espoir bien sûr était de voir la nouvelle administration se montrer bienveillante à leur endroit. Et patatra, rien ne se passe comme prévu. Les autorités américaines mettent la pression en ce moment même via des procès contre Google et Meta. Ces entreprises font face à des procès antitrust majeurs. Commençons par ce qui arrive à Google. Google sous le risque d'un démantèlement Le Département de la Justice américain accuse l'entreprise d'entretenir un monopole illégal sur la recherche en ligne. (https://www.zdnet.fr/actualites/marche-de-la-publicite-en-ligne-google-reconnu-coupable-vers-un-demantelement-de-son-activite-412354.htm) Et les mesures envisagées pour faire cesser cela sont tout à fait radicales. Il pourrait s'agir de la vente forcée du navigateur Chrome, qui génère environ 35 % des recherches. Ou encore la fin des accords d'exclusivité avec des fabricants d'appareils qui mettent en avant le moteur de recherche de Google sur leurs machines. Car le ministère de la justice américain estime que ces pratiques renforcent indûment la position dominante de Google. Meta sous pression Et dans le même temps, Meta est mis sous pression pour ses acquisitions passées dans le monde des réseaux sociaux. Meta est en effet poursuivi par la Federal Trade Commission (https://www.zdnet.fr/actualites/proces-meta-les-confidences-de-zuckerberg-sur-la-menace-tiktok-412319.htm) pour ses rachats d'Instagram en 2012 et de WhatsApp en 2014. La FTC argue que ces acquisitions visaient surtout à éliminer la concurrence. Là aussi de quoi créer un monopole sur les réseaux sociaux. Et des courriels de Mark Zuckerberg, cité par l'accusation, révèlent des préoccupations sur la cannibalisation de Facebook par Instagram, et une volonté de contrôler ces plateformes pour construire un monopole. Les Gafam se sont-ils acheté de l'influence pour rien ? Alors, tout cet argent dépensé par les Gafam pour soutenir Trump n'a-t-il servi à rien ? Malgré des dons importants des dirigeants de la tech au comité d'investiture de Donald Trump, force est de constater que l'administration actuelle maintient une ligne dure contre les monopoles technologiques. Andrew Ferguson, le président de la FTC, a déclaré que son rôle est de je cite "protéger les Américains des monopoles et des fraudes", et ce indépendamment des affiliations politiques des entreprises concernées. De plus, Gail Slater, nommée à la tête de la division antitrust du Département de la Justice, a exprimé son intention de s'attaquer aux pratiques anticoncurrentielles, notamment dans le domaine de l'intelligence artificielle. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on April 23, 2025

  • Free va permettre de transformer une carte SIM en carte eSIM, qu'est ce que ça change ? cover
    Free va permettre de transformer une carte SIM en carte eSIM, qu'est ce que ça change ? cover
    Free va permettre de transformer une carte SIM en carte eSIM, qu'est ce que ça change ?

    Aujourd’hui, on parle d’une petite révolution attendue du côté de l'opérateur Free Mobile avec l’arrivée imminente de la version du système d'exploitation iOS 18.5 sur iPhone. Une mise à jour qui pourrait bien simplifier la vie de nombreux abonnés. Elle permettra enfin de transformer une carte SIM physique en carte SIM virtuelle et embarquée, que l'on nomme eSIM (https://www.zdnet.fr/pratique/esim-et-sim-quelles-differences-39961288.htm). Et ce en quelques clics seulement. Je vous explique tout cela en trois points. Free Mobile a pris son temps Premier point, Free Mobile a pris son temps. À partir de l'iPhone 14, commercialisé en 2022, Apple a complété l'emplacement de la carte nano SIM par la technologie eSIM. Mais côté Free, si l’eSIM est proposée aux nouveaux clients depuis fin 2020, il fallait jusqu’ici débourser 10 € pour passer de la SIM physique à sa version dématérialisée. Conversion automatique d’une carte SIM en eSIM Mais ça, c’était avant. Avec iOS 18.5, Apple introduit deux fonctionnalités clés que Free semble prêt à activer. D'une part, le transfert rapide d’eSIM. Mais surtout la conversion automatique d’une carte SIM en eSIM, et ce directement depuis les réglages de l’iPhone. La promesse de l'opérateur, c'est que l’opération sera ultra simple. Il suffira d’aller dans la section Réglages puis Données cellulaires pour choisir l’option “Convertir en eSIM”. Plus besoin donc de passer par le service client ou de patienter pour recevoir une nouvelle carte. Le tout sera fait en quelques secondes, de manière fluide, directement sur l’appareil. Démocratiser l’eSIM Et enfin, troisième point, cette nouveauté pourrait bien démocratiser l’eSIM. Elle permet non seulement un gain de place dans les smartphones – un avantage crucial pour intégrer des composants plus performants – mais elle rapproche aussi Apple de son objectif : proposer un jour des iPhone 100 % eSIM à l’échelle mondiale, comme c’est déjà le cas aux États-Unis. D’ailleurs, Free Mobile rejoint Orange et SFR qui offrent déjà ces options, laissant Bouygues comme le dernier opérateur majeur à ne pas encore suivre le mouvement. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on April 22, 2025

  • Alliance forcée pour Apple avec Samsung pour construire un iPhone pliable cover
    Alliance forcée pour Apple avec Samsung pour construire un iPhone pliable cover
    Alliance forcée pour Apple avec Samsung pour construire un iPhone pliable

    Aujourd’hui, on parle d’un tournant décisif pour les iPhones d'Apple. La marque à la pomme serait enfin prête à se lancer dans le grand bain des smartphones pliants. Un projet qui mijote depuis des années, mais qui semble avoir franchi une étape clé avec l’aide inattendue de son concurrent Samsung. Une décision rare pour Apple Apple aurait en effet choisi Samsung Display comme fournisseur exclusif pour les écrans OLED pliables de son futur iPhone. Une décision rare pour Apple, qui aime en général diversifier ses partenaires pour éviter toute dépendance. Mais là, pas le choix. Samsung serait tout simplement le seul à avoir réussi à produire des écrans pliables avec un pli presque invisible. Et c'est justement sur ce défi technique qu'Apple s'est longtemps cassé les dents dans la course au smartphone pliable. Les premiers prototypes fabriqués en février Le pli disgracieux au centre de l’écran, longtemps pointé du doigt sur les Galaxy Z Fold, les smartphones pliables de Samsung, aurait été quasiment éliminé grâce à des mois de travail entre Samsung Display et Amphenol, un spécialiste des charnières qui collabore aussi avec Apple. Résultat, les premiers prototypes fabriqués en février auraient enfin convaincu Cupertino. Apple mise donc sur une fiabilité technologique maximale… quitte à écarter des partenaires historiques comme LG ou BOE. Un prix hors norme, même pour un produit Apple Pour le reste, l’iPhone pliable viserait clairement le très très haut de gamme. Et serait disponible en 2026. Sur la partie caractéristique, le smartphone serait équipé d'un écran OLED de 7,8 pouces une fois ouvert, et d'un écran secondaire de 5,5 pouces. Le capteur Face ID sous l’écran serait lui encore en phase de test. Côté prix, accrochez-vous. Il pourrait grimper entre 2 100 et 2 300 dollars (https://www.zdnet.fr/actualites/iphone-pliant-le-tarif-explose-deux-fois-plus-cher-que-liphone-16-pro-max-408268.htm). C’est environ 1 000 dollars de plus qu’un iPhone Pro Max, et 400 dollars au-dessus d’un Galaxy Z Fold 6. Surtout, Apple vendant ses smartphones bien plus cher en Europe qu'aux Etats-Unis, le prix des iPhones dans les Apple Store français devrait taquiner sans peine les 3000 euros. Un tarif qui s’explique par le positionnement ultra premium d’Apple, et par l’espoir que l’intégration logicielle avec iOS fasse la différence. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on April 18, 2025

  • Voici les grandes tendances qui redessinent l’expérience bancaire numérique cover
    Voici les grandes tendances qui redessinent l’expérience bancaire numérique cover
    Voici les grandes tendances qui redessinent l’expérience bancaire numérique

    Aujourd’hui, focus sur la numérisation des services bancaires avec une plongée dans le tout nouveau rapport Digital Banking Experience Report 2025 (https://www.soprasteria.com/fr/media/publications/details/sopra-steria-publie-l-edition-2025-du-digital-banking-experience-report-dbx) signé Sopra Steria. Cette étude permet de mieux comprendre les grandes tendances qui redessinent l’expérience bancaire numérique. Le levier stratégique de la gestion des finances des clients en ligne Le document met avant tout l’accent sur une idée simple mais puissante. La capacité d’une banque à faciliter en ligne la gestion des finances de ses clients est devenue un levier stratégique et un avantage concurrentiel. Par exemple, Plus d’une banque sur deux enrichit ses services numériques pour aider les clients à mieux piloter leur budget. Ce sont ces actions stratégiques qui permettent aux banques de renforcer l’engagement et de fidéliser ses clients. Les modalités de paiement évoluent rapidement vers le numérique Le second point c'est que les modalités de paiement évoluent rapidement vers le numérique. Le digital gagne du terrain partout en Europe, avec des taux d’adoption records, comme en Allemagne ou en Italie. Les banques misent sur les portefeuilles numériques, les offres de Buy Now, Pay Later (https://www.zdnet.fr/actualites/paiement-en-differe-flexibilite-en-periode-d-inflation-ou-voie-vers-l-endettement-39941401.htm), mais doivent aussi affronter des enjeux croissants de fraude. Et c'est cela qui les pousse à augmenter leurs budgets de cybersécurité (https://www.zdnet.fr/cybersecurite-3900046206q.htm/). L’IA générative s’invite dans les parcours clients Enfin, le troisième élément clé, c'est que l’IA générative s’invite dans les parcours clients. Elle permet aux banques d’améliorer leurs processus de conformité, de lutter contre la fraude et de personnaliser l’expérience utilisateur. Ainsi, plus de 60% des établissements bancaires s’attendent à augmenter de 10% ou plus leurs investissements dans l'IA générative. Mais attention, des questions éthiques et réglementaires subsistent. Parmi les autres enseignements du rapport, on trouve aussi la montée en puissance de offres de crypto-monnaies (https://www.zdnet.fr/cryptomonnaies-4000237686q.htm), surtout les stablecoin (https://www.zdnet.fr/actualites/societe-generale-et-bitpanda-partenaires-sur-la-finance-crypto-398085.htm) et le bitcoin (http://bitcoin), l’importance critique de la protection des données dans un contexte d’Open Banking (https://www.zdnet.fr/actualites/mastercard-passe-aux-crypto-monnaies-aux-nft-et-a-l-open-banking-39937455.htm), et l’intégration des critères ESG dans les offres bancaires. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on April 17, 2025

  • Chaque métier va pouvoir évaluer ses modèles d'IA spécialisés cover
    Chaque métier va pouvoir évaluer ses modèles d'IA spécialisés cover
    Chaque métier va pouvoir évaluer ses modèles d'IA spécialisés

    Aujourd’hui, on s’intéresse à une initiative d’OpenAI qui pourrait bien redéfinir la manière dont on évalue les modèles d’intelligence artificielle dans les secteurs professionnels. Il s'agit du programme OpenAI Pioneers. Des évaluations de modèle pour l'instant trop généralistes Premier point, OpenAI fait le constat que les évaluations actuelles de la performance des IA sont bien trop généralistes. Jusqu’ici, chaque lancement de modèle d'IA comme Llama de Meta, ChatGPT d'OpenAI ou Claude d'Anthropic s’accompagne de tests de performance standardisés. Mais ces tests ne reflètent pas les besoins spécifiques des industries comme la santé, le droit ou la finance. OpenAI veut donc combler ce vide en créant, avec l’aide des entreprises clientes, des critères d’évaluation sur mesure pour chaque secteur. Co-construction de benchmarks sectoriels Vous l'aurez compris, OpenAI ne va pas faire cela tout seul. Le programme Pioneers (https://openai.com/index/openai-pioneers-program/) implique une collaboration directe entre les chercheurs de la société et les entreprises participantes. Ensemble, ils vont co-construire des benchmarks sectoriels et adapter les modèles d’IA aux besoins métiers. Il s’agit donc d’un double objectif. D'une part instaurer une meilleure confiance du public envers ces systèmes, et aussi affiner la technologie. Le Reinforcement Fine-Tuning comme outil d'affinage Et ce travail sur la technologie est le troisième point important. Car le programme va utiliser une technique nommée le Reinforcement Fine-Tuning. Cette technique (https://www.zdnet.fr/actualites/rag-comment-cette-technique-optimise-lia-generative-392503.htm), abrégée en RFT, permet d’ajuster les modèles en fonction de cas d’usage bien précis. OpenAI aidera les entreprises à mettre en œuvre cette méthode, puis les accompagnera dans leur déploiement à grande échelle. En clair, OpenAI veut passer d’une IA généraliste à une IA vraiment utile pour les professionnels, en mettant en place un cadre d’évaluation robuste et adapté à chaque métier. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on April 16, 2025

  • Comment l'IA va faire exploser la consommation des centres de données cover
    Comment l'IA va faire exploser la consommation des centres de données cover
    Comment l'IA va faire exploser la consommation des centres de données

    Aujourd’hui, on parle d’un sujet aussi crucial que technique. Il s'agit de l’explosion de la consommation électrique des centres de données (https://www.zdnet.fr/lexique-it/datacenter-une-definition-39926583.htm) dopée par l’intelligence artificielle. Le premier rapport de l’Agence internationale de l’énergie sur l'IA (https://www.iea.org/reports/energy-and-ai), publié le 10 avril, tire la sonnette d’alarme. La demande électrique est en train d'exploser Premier point, la demande électrique est en train d'exploser. En 2024, les datacenters (https://www.zdnet.fr/datacenter-4000143119q.htm) représentaient environ 1,5 % de la consommation mondiale d’électricité. Mais d’ici 2030, ce chiffre pourrait grimper à près de 3 %. Oui c'est le double, mais surtout il s'agit de l’équivalent de la consommation actuelle du Japon. L’essor fulgurant de l’IA générative Et la raison de cette croissance incroyable, c'est l’essor fulgurant de l’IA générative, qui demande des capacités de calcul gigantesques. Résultat, la consommation d’électricité des datacenters pourrait passer d'un peu plus de 400 à près de 950 térawattheures en six ans. C’est tout à fait colossal. (https://www.zdnet.fr/actualites/datacenters-en-france-la-filiere-qui-pese-5-milliards-deuros-393837.htm) Les États-Unis, l’Europe et la Chine représentent déjà 85 % de cette consommation, et la croissance se concentrera surtout aux États-Unis. Un défi énergétique mais également écologique Bien sûr, il s'agit d'un défi énergétique mais également écologique. Jugez plutôt, un seul centre de données de 100 mégawatts consomme autant qu’une agglomération de 100 000 foyers. Et demain, les plus grands centres de données atteindront une consommation vingt fois supérieure. Cela pose aussi un vrai problème de capacité du réseau électrique. Et côté émissions, la facture grimpe aussi. On passerait de 180 à 300 millions de tonnes de CO2 produites d’ici à 2035. Attention aux "effets rebond" Reste que cette explosion de l'IA pourrait aussi être porteuse d'opportunités. Si l’intelligence artificielle risque de faire bondir la demande d’énergie, elle pourrait aussi améliorer l’efficacité des réseaux. Et également réduire d’autres émissions. Comment ? Grâce à l’optimisation des systèmes. Mais l’AIE reste prudente. L’IA n’est pas une baguette magique dit l'organisation. Sans politiques publiques ambitieuses, les gains pourraient être annulés par les fameux "effets rebond", comme une surconsommation liée à la baisse des coûts. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on April 15, 2025

  • Comment l'IA rencontre ses premiers cas d'usages dans les territoires connectés cover
    Comment l'IA rencontre ses premiers cas d'usages dans les territoires connectés cover
    Comment l'IA rencontre ses premiers cas d'usages dans les territoires connectés

    Il y a quelques années le monde du numérique bruissait d'un terme anglo-saxon qui faisait saliver fournisseurs, société de services informatique et responsables de collectivités territoriales. Ce terme, c'était celui de smart city (https://www.zdnet.fr/smart-city-4000237520q.htm). La promesse de ces villes intelligentes étaient multiples, allant d'une meilleure sécurité urbaine à une meilleure efficacité de la dépense publique. Séduite, la ville de Toronto a confié en 2019 les clés du camion à Google (https://www.zdnet.fr/actualites/smart-city-google-prend-ses-quartiers-a-toronto-39859016.htm). De quoi refroidir le secteur un an plus tard (https://www.zdnet.fr/blogs/green-si/le-projet-smartcity-de-google-a-toronto-repart-39893169.htm). Pourquoi ? Parce que Google avait fait main basse sur les données de la ville. Depuis, les promoteurs de la smart city se font plus discrets. Sauf Jacques Priol (). Cet expert de la donnée publique conseille les collectivités territoriales sur leurs projets de territoires connectés (https://www.zdnet.fr/actualites/ne-parlez-plus-de-smart-city-voici-le-territoire-connecte-et-durable-39961866.htm). Des projets que l'on croise en France dans des villes comme Dijon ou Angers. Nous l'avons rencontré. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    04min | Published on April 14, 2025

  • Visa, Mastercard, PayPal ou encore AliPay remis en question en Europe cover
    Visa, Mastercard, PayPal ou encore AliPay remis en question en Europe cover
    Visa, Mastercard, PayPal ou encore AliPay remis en question en Europe

    C'est un projet ambitieux de l’Union européenne. Il s'agit de se libérer des géants américains et chinois du paiement, comme Visa, Mastercard, PayPal ou encore AliPay du côté de l'Empire du Milieu. Se passer des réseaux de paiement non européens Premier point, à l'heure de la guerre commerciale et tarifaire, il semble que les autorités européennes jugent que la dépendance aux entreprises étrangères spécialisées dans l'intermédiation du paiement est problématique. Et voici un exemple très concret pour comprendre ce qui chiffonne l'Europe. À chaque fois que vous utilisez votre carte Visa ou que vous réglez un achat via PayPal, vous passez par des réseaux qui ne sont ni européens ni souverains. Ces services sont américains, ou chinois dans le cas d’AliPay. C'est cette situation qui commence sérieusement à inquiéter Bruxelles, surtout dans un contexte de tensions géopolitiques et commerciales. La BCE prend les devants Et c'est plus précisément la BCE, la Banque Centrale Européenne, qui prend les devants. Christine Lagarde, la présidente de la Banque centrale, a exprimé clairement sa volonté de bâtir une alternative européenne. L’objectif est de proposer un système de paiement local, sécurisé et indépendant, capable de concurrencer les géants actuels. Ce serait, selon ses mots, "un pas de plus vers l’indépendance économique de l’Europe". Vers un portefeuille numérique unifié en Europe Mais, et c'est le troisième point, se passer de Visa ou Mastercard n'est qu'un aspect de cette volonté d'indépendance européenne. Concrètement, l’Union européenne planche aussi sur un portefeuille numérique unifié. Celui-ci pourrait centraliser, sur nos smartphones, des documents comme la carte d’identité, le permis de conduire, mais aussi des moyens de paiement. Cette dynamique est déjà à l'œuvre en France où il est désormais possible de dématérialiser sur son smartphone sa carte d'identité, sa Carte Vitale (https://www.zdnet.fr/actualites/enthousiasme-francais-pour-la-carte-vitale-dematerialisee-408956.htm), et prochainement son permis de conduire. Mais portée à l'échelle européenne, cette brique technologique pourrait accélérer l’intégration économique au niveau du Vieux Continent. Et rendre plus indépendant encore les européens des entreprises américaines et chinoises, qui proposent déjà des outils de stockage de documents dématérialisés. D’après les estimations du service de recherche du Parlement européen, une telle initiative pourrait générer jusqu’à 2800 milliards d’euros de PIB d’ici 2032. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on April 11, 2025

  • GPMI, la nouvelle norme chinoise à l'assaut du HDMI cover
    GPMI, la nouvelle norme chinoise à l'assaut du HDMI cover
    GPMI, la nouvelle norme chinoise à l'assaut du HDMI

    Voici une nouvelle norme de connectique qui pourrait rebattre les cartes des ports cachés derrière vos écrans et sur le côté de vos ordinateurs portables. Oui, ce nouveau câble pourrait bien faire de l’ombre aux protocoles HDMI et DisplayPort, voire même au Thunderbolt. Son nom ? Le GPMI, pour General Purpose Media Interface. Et c’est la Chine qui le propose. Mais au delà de ce nouveau nom, c'est sa fiche technique qui impressionne. Le couteau suisse de la connectique Le GPMI, c’est un peu le couteau suisse de la connectique. Il propose une bande passante allant jusqu’à 192 Gigabits par seconde, soit quatre fois celle du HDMI 2.1. Et sa puissance peut grimper jusqu’à 480 watts. Conséquence, il pourrait remplacer à lui seul le HDMI, le USB-C, le DisplayPort (https://www.zdnet.fr/actualites/display-port-20-du-8k-non-compressee-a-60hz-39886879.htm) et le Thunderbolt (https://www.zdnet.fr/thunderbolt-4000143163q.htm). Concrètement, il peut faire transiter de la vidéo 8K, alimenter un ordinateur portable haut de gamme, et transférer des données. Et tout cela avec un seul et même câble. Deux formats pour deux usages Mais le GPMI est tout de même décliné en deux formats pour correspondre à deux usages. La première version, appelée GPMI Type-C, utilise le même connecteur que l’USB-C. Il a une bande passante de 96 Gigabits par seconde et une puissance jusqu’à 240 watts. La seconde version, le GPMI Type-B, mise lui sur un connecteur propriétaire. Il sera probablement destiné aux usages professionnels ou industriels. Mais avec ses 192 Gigabits par seconde et ses 480 watts de puissance, c’est une véritable autoroute pour les données et l’énergie qui alimente les machines. Des ambitions géopolitiques Enfin, et c'est peut être le plus important dans cette annonce, ce nouveau standard chinois affiche clairement des ambitions géopolitiques. Car derrière ce câble se cache aussi une stratégie. En développant leur propre norme, plus de 50 entreprises chinoises, réunies au sein de l’alliance SUCA (https://mp.weixin.qq.com/s/LUs7gdZm6Bm5QagGW8W9Kw), cherchent à se libérer de la domination des standards occidentaux. C’est aussi un moyen de soutenir leur industrie de la vidéo 8K (https://www.zdnet.fr/8k-4000237498q.htm). Mais attention, si le GPMI est prometteur, il reste aujourd’hui cantonné à la Chine. Et avec des normes européennes de plus en plus strictes, son adoption à l’international est loin d’être assurée. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on April 10, 2025

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    Pourquoi les européens s'entichent de ChatGPT Search

    Aujourd'hui, nous explorons l'ascension spectaculaire de ChatGPT Search (https://www.zdnet.fr/actualites/vous-pouvez-acceder-a-chatgpt-search-sans-compte-des-maintenant-voici-comment-405877.htm) en Europe et les défis réglementaires qui l'accompagnent. D'abord, il faut noter une croissance fulgurante pour ChatGPT Search, qui est l'outil de recherche en ligne du chatbot (https://www.zdnet.fr/chatbot-4000237811q.htm) d'IA générative (https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-l-ia-generative-et-pourquoi-est-elle-si-populaire-voici-tout-ce-qu-il-faut-savoir-39961020.htm) d'OpenAI, le très célèbre ChatGPT. L'engouement des Européens Jugez plutôt : en l'espace de six mois, ChatGPT Search a quadruplé son nombre d'utilisateurs actifs mensuels dans l'Union européenne. Ces utilisateurs sont passés d'un peu plus de 11 millions à un peu plus de 41 millions en à peine deux trimestres. Cette progression rapide reflète l'engouement des Européens pour une recherche en ligne plus naturelle et conversationnelle, contrastant avec les méthodes traditionnelles surchargées de publicités et sont les résultats sont souvent illisibles. Mais cette appétence des européens pour ce nouvel outil de recherche intéresse désormais les régulateurs européens qui encadrent les activités numériques en Europe dans le cadre du Digital Services Act. (https://www.zdnet.fr/dsa-reglement-europeen-sur-les-services-numeriques-6741q.htm) ChatGPT Search s'approche du seuil des 45 millions d'utilisateurs mensuels Car avec l'explosion de l'usage de cet outil de recherche en France et en Europe, ChatGPT Search s'approche du seuil des 45 millions d'utilisateurs mensuels. Et au-delà de ce seuil, ce service numérique serait classé en Europe comme une "très grande plateforme en ligne". Cette catégorie définie par le Digital Services Act de l'UE implique des obligations, comme des audits externes, de la transparence algorithmique, ou encore le partage de données avec les chercheurs. Et en cas de non-conformité, OpenAI (https://www.zdnet.fr/openai-6670q.htm) pourrait faire face à des amendes allant jusqu'à 6 % de son chiffre d'affaires mondial. La fiabilité des résultats reste un défi majeur Enfin, il faut noter que la fiabilité des résultats reste un défi majeur pour l'outil de recherche en ligne d'OpenAI. Oui, malgré sa popularité, ChatGPT Search présente des lacunes en matière de précision. Une étude récente montre que 67 % des résultats de recherche sont incorrects ou mal attribués. Cette tendance à fournir des réponses erronées, souvent avec assurance, soulève des préoccupations quant à la fiabilité de l'outil, en particulier dans un contexte où la désinformation prospère. Malgré cela, ChatGPT Search grignote des parts de marché. En septembre 2024, 8 % des internautes préféreraient utiliser ChatGPT plutôt que Google comme moteur de recherche principal. Mais pour le moment, Google reste le roi incontesté de la recherche en ligne. Simplement, on peut se demander maintenant jusque à quand. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on April 24, 2025

  • Pour l'instant Trump ne rend pas la monnaie de leurs pièces au Gafam cover
    Pour l'instant Trump ne rend pas la monnaie de leurs pièces au Gafam cover
    Pour l'instant Trump ne rend pas la monnaie de leurs pièces au Gafam

    C'est un petit mystère qui nous vient des Etats-Unis. Souvenez-vous. En janvier dernier, lors de la prise de pouvoir du nouveau président Donald Trump, tout le gratin des Gafam était présent (https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-comment-les-gafam-sacoquinent-avec-donald-trump-a-grand-coups-de-dollars-403947.htm), de Jeff Bezos à Mark Zuckerberg. Ils avaient même payé pour être là. Et leur espoir bien sûr était de voir la nouvelle administration se montrer bienveillante à leur endroit. Et patatra, rien ne se passe comme prévu. Les autorités américaines mettent la pression en ce moment même via des procès contre Google et Meta. Ces entreprises font face à des procès antitrust majeurs. Commençons par ce qui arrive à Google. Google sous le risque d'un démantèlement Le Département de la Justice américain accuse l'entreprise d'entretenir un monopole illégal sur la recherche en ligne. (https://www.zdnet.fr/actualites/marche-de-la-publicite-en-ligne-google-reconnu-coupable-vers-un-demantelement-de-son-activite-412354.htm) Et les mesures envisagées pour faire cesser cela sont tout à fait radicales. Il pourrait s'agir de la vente forcée du navigateur Chrome, qui génère environ 35 % des recherches. Ou encore la fin des accords d'exclusivité avec des fabricants d'appareils qui mettent en avant le moteur de recherche de Google sur leurs machines. Car le ministère de la justice américain estime que ces pratiques renforcent indûment la position dominante de Google. Meta sous pression Et dans le même temps, Meta est mis sous pression pour ses acquisitions passées dans le monde des réseaux sociaux. Meta est en effet poursuivi par la Federal Trade Commission (https://www.zdnet.fr/actualites/proces-meta-les-confidences-de-zuckerberg-sur-la-menace-tiktok-412319.htm) pour ses rachats d'Instagram en 2012 et de WhatsApp en 2014. La FTC argue que ces acquisitions visaient surtout à éliminer la concurrence. Là aussi de quoi créer un monopole sur les réseaux sociaux. Et des courriels de Mark Zuckerberg, cité par l'accusation, révèlent des préoccupations sur la cannibalisation de Facebook par Instagram, et une volonté de contrôler ces plateformes pour construire un monopole. Les Gafam se sont-ils acheté de l'influence pour rien ? Alors, tout cet argent dépensé par les Gafam pour soutenir Trump n'a-t-il servi à rien ? Malgré des dons importants des dirigeants de la tech au comité d'investiture de Donald Trump, force est de constater que l'administration actuelle maintient une ligne dure contre les monopoles technologiques. Andrew Ferguson, le président de la FTC, a déclaré que son rôle est de je cite "protéger les Américains des monopoles et des fraudes", et ce indépendamment des affiliations politiques des entreprises concernées. De plus, Gail Slater, nommée à la tête de la division antitrust du Département de la Justice, a exprimé son intention de s'attaquer aux pratiques anticoncurrentielles, notamment dans le domaine de l'intelligence artificielle. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on April 23, 2025

  • Free va permettre de transformer une carte SIM en carte eSIM, qu'est ce que ça change ? cover
    Free va permettre de transformer une carte SIM en carte eSIM, qu'est ce que ça change ? cover
    Free va permettre de transformer une carte SIM en carte eSIM, qu'est ce que ça change ?

    Aujourd’hui, on parle d’une petite révolution attendue du côté de l'opérateur Free Mobile avec l’arrivée imminente de la version du système d'exploitation iOS 18.5 sur iPhone. Une mise à jour qui pourrait bien simplifier la vie de nombreux abonnés. Elle permettra enfin de transformer une carte SIM physique en carte SIM virtuelle et embarquée, que l'on nomme eSIM (https://www.zdnet.fr/pratique/esim-et-sim-quelles-differences-39961288.htm). Et ce en quelques clics seulement. Je vous explique tout cela en trois points. Free Mobile a pris son temps Premier point, Free Mobile a pris son temps. À partir de l'iPhone 14, commercialisé en 2022, Apple a complété l'emplacement de la carte nano SIM par la technologie eSIM. Mais côté Free, si l’eSIM est proposée aux nouveaux clients depuis fin 2020, il fallait jusqu’ici débourser 10 € pour passer de la SIM physique à sa version dématérialisée. Conversion automatique d’une carte SIM en eSIM Mais ça, c’était avant. Avec iOS 18.5, Apple introduit deux fonctionnalités clés que Free semble prêt à activer. D'une part, le transfert rapide d’eSIM. Mais surtout la conversion automatique d’une carte SIM en eSIM, et ce directement depuis les réglages de l’iPhone. La promesse de l'opérateur, c'est que l’opération sera ultra simple. Il suffira d’aller dans la section Réglages puis Données cellulaires pour choisir l’option “Convertir en eSIM”. Plus besoin donc de passer par le service client ou de patienter pour recevoir une nouvelle carte. Le tout sera fait en quelques secondes, de manière fluide, directement sur l’appareil. Démocratiser l’eSIM Et enfin, troisième point, cette nouveauté pourrait bien démocratiser l’eSIM. Elle permet non seulement un gain de place dans les smartphones – un avantage crucial pour intégrer des composants plus performants – mais elle rapproche aussi Apple de son objectif : proposer un jour des iPhone 100 % eSIM à l’échelle mondiale, comme c’est déjà le cas aux États-Unis. D’ailleurs, Free Mobile rejoint Orange et SFR qui offrent déjà ces options, laissant Bouygues comme le dernier opérateur majeur à ne pas encore suivre le mouvement. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on April 22, 2025

  • Alliance forcée pour Apple avec Samsung pour construire un iPhone pliable cover
    Alliance forcée pour Apple avec Samsung pour construire un iPhone pliable cover
    Alliance forcée pour Apple avec Samsung pour construire un iPhone pliable

    Aujourd’hui, on parle d’un tournant décisif pour les iPhones d'Apple. La marque à la pomme serait enfin prête à se lancer dans le grand bain des smartphones pliants. Un projet qui mijote depuis des années, mais qui semble avoir franchi une étape clé avec l’aide inattendue de son concurrent Samsung. Une décision rare pour Apple Apple aurait en effet choisi Samsung Display comme fournisseur exclusif pour les écrans OLED pliables de son futur iPhone. Une décision rare pour Apple, qui aime en général diversifier ses partenaires pour éviter toute dépendance. Mais là, pas le choix. Samsung serait tout simplement le seul à avoir réussi à produire des écrans pliables avec un pli presque invisible. Et c'est justement sur ce défi technique qu'Apple s'est longtemps cassé les dents dans la course au smartphone pliable. Les premiers prototypes fabriqués en février Le pli disgracieux au centre de l’écran, longtemps pointé du doigt sur les Galaxy Z Fold, les smartphones pliables de Samsung, aurait été quasiment éliminé grâce à des mois de travail entre Samsung Display et Amphenol, un spécialiste des charnières qui collabore aussi avec Apple. Résultat, les premiers prototypes fabriqués en février auraient enfin convaincu Cupertino. Apple mise donc sur une fiabilité technologique maximale… quitte à écarter des partenaires historiques comme LG ou BOE. Un prix hors norme, même pour un produit Apple Pour le reste, l’iPhone pliable viserait clairement le très très haut de gamme. Et serait disponible en 2026. Sur la partie caractéristique, le smartphone serait équipé d'un écran OLED de 7,8 pouces une fois ouvert, et d'un écran secondaire de 5,5 pouces. Le capteur Face ID sous l’écran serait lui encore en phase de test. Côté prix, accrochez-vous. Il pourrait grimper entre 2 100 et 2 300 dollars (https://www.zdnet.fr/actualites/iphone-pliant-le-tarif-explose-deux-fois-plus-cher-que-liphone-16-pro-max-408268.htm). C’est environ 1 000 dollars de plus qu’un iPhone Pro Max, et 400 dollars au-dessus d’un Galaxy Z Fold 6. Surtout, Apple vendant ses smartphones bien plus cher en Europe qu'aux Etats-Unis, le prix des iPhones dans les Apple Store français devrait taquiner sans peine les 3000 euros. Un tarif qui s’explique par le positionnement ultra premium d’Apple, et par l’espoir que l’intégration logicielle avec iOS fasse la différence. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on April 18, 2025

  • Voici les grandes tendances qui redessinent l’expérience bancaire numérique cover
    Voici les grandes tendances qui redessinent l’expérience bancaire numérique cover
    Voici les grandes tendances qui redessinent l’expérience bancaire numérique

    Aujourd’hui, focus sur la numérisation des services bancaires avec une plongée dans le tout nouveau rapport Digital Banking Experience Report 2025 (https://www.soprasteria.com/fr/media/publications/details/sopra-steria-publie-l-edition-2025-du-digital-banking-experience-report-dbx) signé Sopra Steria. Cette étude permet de mieux comprendre les grandes tendances qui redessinent l’expérience bancaire numérique. Le levier stratégique de la gestion des finances des clients en ligne Le document met avant tout l’accent sur une idée simple mais puissante. La capacité d’une banque à faciliter en ligne la gestion des finances de ses clients est devenue un levier stratégique et un avantage concurrentiel. Par exemple, Plus d’une banque sur deux enrichit ses services numériques pour aider les clients à mieux piloter leur budget. Ce sont ces actions stratégiques qui permettent aux banques de renforcer l’engagement et de fidéliser ses clients. Les modalités de paiement évoluent rapidement vers le numérique Le second point c'est que les modalités de paiement évoluent rapidement vers le numérique. Le digital gagne du terrain partout en Europe, avec des taux d’adoption records, comme en Allemagne ou en Italie. Les banques misent sur les portefeuilles numériques, les offres de Buy Now, Pay Later (https://www.zdnet.fr/actualites/paiement-en-differe-flexibilite-en-periode-d-inflation-ou-voie-vers-l-endettement-39941401.htm), mais doivent aussi affronter des enjeux croissants de fraude. Et c'est cela qui les pousse à augmenter leurs budgets de cybersécurité (https://www.zdnet.fr/cybersecurite-3900046206q.htm/). L’IA générative s’invite dans les parcours clients Enfin, le troisième élément clé, c'est que l’IA générative s’invite dans les parcours clients. Elle permet aux banques d’améliorer leurs processus de conformité, de lutter contre la fraude et de personnaliser l’expérience utilisateur. Ainsi, plus de 60% des établissements bancaires s’attendent à augmenter de 10% ou plus leurs investissements dans l'IA générative. Mais attention, des questions éthiques et réglementaires subsistent. Parmi les autres enseignements du rapport, on trouve aussi la montée en puissance de offres de crypto-monnaies (https://www.zdnet.fr/cryptomonnaies-4000237686q.htm), surtout les stablecoin (https://www.zdnet.fr/actualites/societe-generale-et-bitpanda-partenaires-sur-la-finance-crypto-398085.htm) et le bitcoin (http://bitcoin), l’importance critique de la protection des données dans un contexte d’Open Banking (https://www.zdnet.fr/actualites/mastercard-passe-aux-crypto-monnaies-aux-nft-et-a-l-open-banking-39937455.htm), et l’intégration des critères ESG dans les offres bancaires. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on April 17, 2025

  • Chaque métier va pouvoir évaluer ses modèles d'IA spécialisés cover
    Chaque métier va pouvoir évaluer ses modèles d'IA spécialisés cover
    Chaque métier va pouvoir évaluer ses modèles d'IA spécialisés

    Aujourd’hui, on s’intéresse à une initiative d’OpenAI qui pourrait bien redéfinir la manière dont on évalue les modèles d’intelligence artificielle dans les secteurs professionnels. Il s'agit du programme OpenAI Pioneers. Des évaluations de modèle pour l'instant trop généralistes Premier point, OpenAI fait le constat que les évaluations actuelles de la performance des IA sont bien trop généralistes. Jusqu’ici, chaque lancement de modèle d'IA comme Llama de Meta, ChatGPT d'OpenAI ou Claude d'Anthropic s’accompagne de tests de performance standardisés. Mais ces tests ne reflètent pas les besoins spécifiques des industries comme la santé, le droit ou la finance. OpenAI veut donc combler ce vide en créant, avec l’aide des entreprises clientes, des critères d’évaluation sur mesure pour chaque secteur. Co-construction de benchmarks sectoriels Vous l'aurez compris, OpenAI ne va pas faire cela tout seul. Le programme Pioneers (https://openai.com/index/openai-pioneers-program/) implique une collaboration directe entre les chercheurs de la société et les entreprises participantes. Ensemble, ils vont co-construire des benchmarks sectoriels et adapter les modèles d’IA aux besoins métiers. Il s’agit donc d’un double objectif. D'une part instaurer une meilleure confiance du public envers ces systèmes, et aussi affiner la technologie. Le Reinforcement Fine-Tuning comme outil d'affinage Et ce travail sur la technologie est le troisième point important. Car le programme va utiliser une technique nommée le Reinforcement Fine-Tuning. Cette technique (https://www.zdnet.fr/actualites/rag-comment-cette-technique-optimise-lia-generative-392503.htm), abrégée en RFT, permet d’ajuster les modèles en fonction de cas d’usage bien précis. OpenAI aidera les entreprises à mettre en œuvre cette méthode, puis les accompagnera dans leur déploiement à grande échelle. En clair, OpenAI veut passer d’une IA généraliste à une IA vraiment utile pour les professionnels, en mettant en place un cadre d’évaluation robuste et adapté à chaque métier. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on April 16, 2025

  • Comment l'IA va faire exploser la consommation des centres de données cover
    Comment l'IA va faire exploser la consommation des centres de données cover
    Comment l'IA va faire exploser la consommation des centres de données

    Aujourd’hui, on parle d’un sujet aussi crucial que technique. Il s'agit de l’explosion de la consommation électrique des centres de données (https://www.zdnet.fr/lexique-it/datacenter-une-definition-39926583.htm) dopée par l’intelligence artificielle. Le premier rapport de l’Agence internationale de l’énergie sur l'IA (https://www.iea.org/reports/energy-and-ai), publié le 10 avril, tire la sonnette d’alarme. La demande électrique est en train d'exploser Premier point, la demande électrique est en train d'exploser. En 2024, les datacenters (https://www.zdnet.fr/datacenter-4000143119q.htm) représentaient environ 1,5 % de la consommation mondiale d’électricité. Mais d’ici 2030, ce chiffre pourrait grimper à près de 3 %. Oui c'est le double, mais surtout il s'agit de l’équivalent de la consommation actuelle du Japon. L’essor fulgurant de l’IA générative Et la raison de cette croissance incroyable, c'est l’essor fulgurant de l’IA générative, qui demande des capacités de calcul gigantesques. Résultat, la consommation d’électricité des datacenters pourrait passer d'un peu plus de 400 à près de 950 térawattheures en six ans. C’est tout à fait colossal. (https://www.zdnet.fr/actualites/datacenters-en-france-la-filiere-qui-pese-5-milliards-deuros-393837.htm) Les États-Unis, l’Europe et la Chine représentent déjà 85 % de cette consommation, et la croissance se concentrera surtout aux États-Unis. Un défi énergétique mais également écologique Bien sûr, il s'agit d'un défi énergétique mais également écologique. Jugez plutôt, un seul centre de données de 100 mégawatts consomme autant qu’une agglomération de 100 000 foyers. Et demain, les plus grands centres de données atteindront une consommation vingt fois supérieure. Cela pose aussi un vrai problème de capacité du réseau électrique. Et côté émissions, la facture grimpe aussi. On passerait de 180 à 300 millions de tonnes de CO2 produites d’ici à 2035. Attention aux "effets rebond" Reste que cette explosion de l'IA pourrait aussi être porteuse d'opportunités. Si l’intelligence artificielle risque de faire bondir la demande d’énergie, elle pourrait aussi améliorer l’efficacité des réseaux. Et également réduire d’autres émissions. Comment ? Grâce à l’optimisation des systèmes. Mais l’AIE reste prudente. L’IA n’est pas une baguette magique dit l'organisation. Sans politiques publiques ambitieuses, les gains pourraient être annulés par les fameux "effets rebond", comme une surconsommation liée à la baisse des coûts. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on April 15, 2025

  • Comment l'IA rencontre ses premiers cas d'usages dans les territoires connectés cover
    Comment l'IA rencontre ses premiers cas d'usages dans les territoires connectés cover
    Comment l'IA rencontre ses premiers cas d'usages dans les territoires connectés

    Il y a quelques années le monde du numérique bruissait d'un terme anglo-saxon qui faisait saliver fournisseurs, société de services informatique et responsables de collectivités territoriales. Ce terme, c'était celui de smart city (https://www.zdnet.fr/smart-city-4000237520q.htm). La promesse de ces villes intelligentes étaient multiples, allant d'une meilleure sécurité urbaine à une meilleure efficacité de la dépense publique. Séduite, la ville de Toronto a confié en 2019 les clés du camion à Google (https://www.zdnet.fr/actualites/smart-city-google-prend-ses-quartiers-a-toronto-39859016.htm). De quoi refroidir le secteur un an plus tard (https://www.zdnet.fr/blogs/green-si/le-projet-smartcity-de-google-a-toronto-repart-39893169.htm). Pourquoi ? Parce que Google avait fait main basse sur les données de la ville. Depuis, les promoteurs de la smart city se font plus discrets. Sauf Jacques Priol (). Cet expert de la donnée publique conseille les collectivités territoriales sur leurs projets de territoires connectés (https://www.zdnet.fr/actualites/ne-parlez-plus-de-smart-city-voici-le-territoire-connecte-et-durable-39961866.htm). Des projets que l'on croise en France dans des villes comme Dijon ou Angers. Nous l'avons rencontré. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    04min | Published on April 14, 2025

  • Visa, Mastercard, PayPal ou encore AliPay remis en question en Europe cover
    Visa, Mastercard, PayPal ou encore AliPay remis en question en Europe cover
    Visa, Mastercard, PayPal ou encore AliPay remis en question en Europe

    C'est un projet ambitieux de l’Union européenne. Il s'agit de se libérer des géants américains et chinois du paiement, comme Visa, Mastercard, PayPal ou encore AliPay du côté de l'Empire du Milieu. Se passer des réseaux de paiement non européens Premier point, à l'heure de la guerre commerciale et tarifaire, il semble que les autorités européennes jugent que la dépendance aux entreprises étrangères spécialisées dans l'intermédiation du paiement est problématique. Et voici un exemple très concret pour comprendre ce qui chiffonne l'Europe. À chaque fois que vous utilisez votre carte Visa ou que vous réglez un achat via PayPal, vous passez par des réseaux qui ne sont ni européens ni souverains. Ces services sont américains, ou chinois dans le cas d’AliPay. C'est cette situation qui commence sérieusement à inquiéter Bruxelles, surtout dans un contexte de tensions géopolitiques et commerciales. La BCE prend les devants Et c'est plus précisément la BCE, la Banque Centrale Européenne, qui prend les devants. Christine Lagarde, la présidente de la Banque centrale, a exprimé clairement sa volonté de bâtir une alternative européenne. L’objectif est de proposer un système de paiement local, sécurisé et indépendant, capable de concurrencer les géants actuels. Ce serait, selon ses mots, "un pas de plus vers l’indépendance économique de l’Europe". Vers un portefeuille numérique unifié en Europe Mais, et c'est le troisième point, se passer de Visa ou Mastercard n'est qu'un aspect de cette volonté d'indépendance européenne. Concrètement, l’Union européenne planche aussi sur un portefeuille numérique unifié. Celui-ci pourrait centraliser, sur nos smartphones, des documents comme la carte d’identité, le permis de conduire, mais aussi des moyens de paiement. Cette dynamique est déjà à l'œuvre en France où il est désormais possible de dématérialiser sur son smartphone sa carte d'identité, sa Carte Vitale (https://www.zdnet.fr/actualites/enthousiasme-francais-pour-la-carte-vitale-dematerialisee-408956.htm), et prochainement son permis de conduire. Mais portée à l'échelle européenne, cette brique technologique pourrait accélérer l’intégration économique au niveau du Vieux Continent. Et rendre plus indépendant encore les européens des entreprises américaines et chinoises, qui proposent déjà des outils de stockage de documents dématérialisés. D’après les estimations du service de recherche du Parlement européen, une telle initiative pourrait générer jusqu’à 2800 milliards d’euros de PIB d’ici 2032. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on April 11, 2025

  • GPMI, la nouvelle norme chinoise à l'assaut du HDMI cover
    GPMI, la nouvelle norme chinoise à l'assaut du HDMI cover
    GPMI, la nouvelle norme chinoise à l'assaut du HDMI

    Voici une nouvelle norme de connectique qui pourrait rebattre les cartes des ports cachés derrière vos écrans et sur le côté de vos ordinateurs portables. Oui, ce nouveau câble pourrait bien faire de l’ombre aux protocoles HDMI et DisplayPort, voire même au Thunderbolt. Son nom ? Le GPMI, pour General Purpose Media Interface. Et c’est la Chine qui le propose. Mais au delà de ce nouveau nom, c'est sa fiche technique qui impressionne. Le couteau suisse de la connectique Le GPMI, c’est un peu le couteau suisse de la connectique. Il propose une bande passante allant jusqu’à 192 Gigabits par seconde, soit quatre fois celle du HDMI 2.1. Et sa puissance peut grimper jusqu’à 480 watts. Conséquence, il pourrait remplacer à lui seul le HDMI, le USB-C, le DisplayPort (https://www.zdnet.fr/actualites/display-port-20-du-8k-non-compressee-a-60hz-39886879.htm) et le Thunderbolt (https://www.zdnet.fr/thunderbolt-4000143163q.htm). Concrètement, il peut faire transiter de la vidéo 8K, alimenter un ordinateur portable haut de gamme, et transférer des données. Et tout cela avec un seul et même câble. Deux formats pour deux usages Mais le GPMI est tout de même décliné en deux formats pour correspondre à deux usages. La première version, appelée GPMI Type-C, utilise le même connecteur que l’USB-C. Il a une bande passante de 96 Gigabits par seconde et une puissance jusqu’à 240 watts. La seconde version, le GPMI Type-B, mise lui sur un connecteur propriétaire. Il sera probablement destiné aux usages professionnels ou industriels. Mais avec ses 192 Gigabits par seconde et ses 480 watts de puissance, c’est une véritable autoroute pour les données et l’énergie qui alimente les machines. Des ambitions géopolitiques Enfin, et c'est peut être le plus important dans cette annonce, ce nouveau standard chinois affiche clairement des ambitions géopolitiques. Car derrière ce câble se cache aussi une stratégie. En développant leur propre norme, plus de 50 entreprises chinoises, réunies au sein de l’alliance SUCA (https://mp.weixin.qq.com/s/LUs7gdZm6Bm5QagGW8W9Kw), cherchent à se libérer de la domination des standards occidentaux. C’est aussi un moyen de soutenir leur industrie de la vidéo 8K (https://www.zdnet.fr/8k-4000237498q.htm). Mais attention, si le GPMI est prometteur, il reste aujourd’hui cantonné à la Chine. Et avec des normes européennes de plus en plus strictes, son adoption à l’international est loin d’être assurée. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on April 10, 2025

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