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ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet cover
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Découvrir au quotidien les enjeux de la technologie. Le podcast de la rédaction de ZDNet, pour les professionnels à la recherche d'infos pratiques et concrètes pour mieux comprendre le marché IT et telco et son influence sur les métiers.   


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  • Mais qu'est ce que le New Space ? cover
    Mais qu'est ce que le New Space ? cover
    Mais qu'est ce que le New Space ?

    C'est un nouvel espace économique, et il est nommé New Space. Un terme qui symbolise une nouvelle révolution de l’industrie spatiale. La toute récente levée de fonds record de la start-up franco-américaine Loft Orbital, qui s’élève à 170 millions d’euros, en est la preuve la plus éclatante. Le New Space, qu'est ce que c'est ? Le New Space, c’est l’ère de la privatisation et de la démocratisation de l’espace. Contrairement à l’époque où seules les agences spatiales nationales dominaient le secteur, aujourd’hui, des entreprises privées comme SpaceX (https://www.zdnet.fr/actualites/spacex-4000237602q.htm), OneWeb, ou Loft Orbital innovent pour rendre l’accès à l’espace plus rapide et moins coûteux. Avec des solutions comme les constellations de satellites (https://www.zdnet.fr/actualites/satellite-4000001808q.htm) ou des mini-lanceurs, le New Space répond à des cas d'usage concrets, comme la météo, l'agriculture, la surveillance environnementale, et même la défense. Et l'entreprise Loft Orbital permet de mieux comprendre ce véritable phénomène. Louer l'utilisation de satellites partagés entre plusieurs clients Créée en 2017 par des Français et un Américain, cette start-up propose une idée originale. Il s'agit de louer l'utilisation de satellites partagés entre plusieurs clients. En clair, les clients – comme la NASA ou Microsoft – n’ont plus à construire leurs propres satellites pour en utiliser. Ils peuvent installer leurs capteurs ou leurs logiciels sur des satellites standardisés de Loft Orbital, qui se charge ensuite du lancement et de l’exploitation. De quoi bénéficier d'un gain de temps considérable. Loft Orbital assure que la mise en exploitation d'un projet passe ainsi de plusieurs années à quelques mois seulement. À ce jour, Loft Orbital a déjà mis en orbite cinq satellites. Avec cette levée de fonds, l’entreprise prévoit de développer deux nouvelles constellations de dix satellites chacune et d’implanter des infrastructures au Moyen-Orient. Pourquoi est-ce que le développement du New Space est si important ? Le modèle de Loft Orbital reflète un tournant stratégique. En intégrant des technologies comme l’intelligence artificielle embarquée, ses satellites peuvent traiter les données directement en orbite et envoyer des alertes en temps réel. Par exemple, cela permet de détecter un feu de forêt avant qu’il ne devienne incontrôlable. Et c'est cette approche qui change la donne pour des secteurs comme la gestion des crises climatiques ou la défense. De plus, le New Space favorise l’investissement en Europe. Des start-ups françaises comme Latitude ou Unseenlabs montrent que le potentiel est énorme. Et ce même dans un marché dominé par des géants américains Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on January 17, 2025

  • L'IA va changer en profondeur la prise en charge du diabète cover
    L'IA va changer en profondeur la prise en charge du diabète cover
    L'IA va changer en profondeur la prise en charge du diabète

    Aujourd’hui évoquons les progrès de l’intelligence artificielle (https://www.zdnet.fr/actualites/intelligence-artificielle-ia-4000237536q.htm) dans le domaine médical, et plus particulièrement de la façon dont elle pourrait révolutionner l’usage de votre glucomètre. Ce petit appareil utilisé pour mesurer votre glycémie pourrait devenir un outil bien plus puissant grâce à l’IA. Comment ? Et bien déjà en analysant mieux les sous-types de diabète. Oui parce que quand on parle de diabète, on pense souvent au deux types principaux, le type 1 et le type 2. Le diabète de type 2, qui concerne environ 95 % des patients, est complexe Mais ce qu’on sait moins, c’est que le diabète de type 2, qui concerne environ 95 % des patients diabétiques, est en réalité beaucoup plus complexe. Il existe plusieurs sous-types, chacun associé à des risques spécifiques, comme des problèmes cardiaques, rénaux ou hépatiques. Des chercheurs de l’Université de Stanford ont donc développé un algorithme d’intelligence artificielle capable d’identifier trois des sous-types les plus courants de diabète de type 2. L’idée est simple. Il s'agit d'utiliser les données que votre glucomètre collecte déjà pour analyser votre métabolisme, et ce sans nécessiter de tests très chers ou compliqués. Une précision impressionnante Et la bonne nouvelle, c'est que les résultats de l'algo sont d'une précision impressionnante. L’algorithme atteint environ 90 % de précision, surpassant même les tests traditionnels en clinique. Il peut identifier si un patient souffre, par exemple, d’une résistance à l’insuline ou d’un déficit en cellules bêta. Aller vers des soins plus accessibles Ces informations sont cruciales, car elles permettent aux médecins de personnaliser les traitements. Certains médicaments, par exemple, seront bien plus efficaces pour un sous-type spécifique. Prenons un exemple concret. Une personne diagnostiquée avec un déficit en cellules bêta pourrait bénéficier d’un traitement axé sur la stimulation de ces cellules. Par ailleurs, une personne souffrant de résistance à l’insuline aurait besoin d’une autre approche que celle jusqu'alors proposée. Au final, cette innovation doit permettre des soins plus accessible. 5,6 % des français sont diabétiques En effet, l’algorithme fonctionne avec des données déjà collectées par des appareils que les patients possèdent souvent chez eux, comme les glucomètres. Pas besoin d’un nouveau processus pour bénéficier de cette avancée. En France, où 5,6 % de la population est diagnostiquée diabétique (https://www.federationdesdiabetiques.org/information/diabete/chiffres-france), cette technologie pourrait transformer la vie de millions de personnes. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on January 16, 2025

  • Mark Zuckerberg compare les lois européennes à des droits de douane, et appelle Donald Trump à l'aide cover
    Mark Zuckerberg compare les lois européennes à des droits de douane, et appelle Donald Trump à l'aide cover
    Mark Zuckerberg compare les lois européennes à des droits de douane, et appelle Donald Trump à l'aide

    Voici une déclaration qui fait beaucoup parler. Mark Zuckerberg (https://www.zdnet.fr/actualites/zuckerberg-tacle-apple-une-entreprise-qui-na-pas-innove-plus-depuis-liphone-404359.htm), le patron de Meta, a exhorté Donald Trump à protéger les entreprises technologiques américaines, les Gafam (https://www.zdnet.fr/actualites/gafam-4000238091q.htm), face aux sanctions de l’Union européenne. Des propos qui permettent de mieux comprendre pourquoi le patron de Meta depuis quelques semaines affiche clairement son ralliement sans nuance au président élu. Et ce à quelques jours de son investiture. La rage contre les sanctions européennes D'abord, Mark Zuckerberg critique vertement les sanctions européennes, et c'est compréhensible. Il compare les amendes infligées par l’Union européenne (https://www.zdnet.fr/actualites/google-et-apple-passent-a-la-caisse-la-cjue-confirme-les-amendes-de-la-commission-europeenne-396808.htm) à des droits de douane, affirmant que Bruxelles profite de ses lois pour faire du tort à l’industrie technologique américaine. Il dénonce les 30 milliards de dollars de pénalités imposées aux entreprises comme Meta, Google ou Amazon au cours des deux dernières décennies. Selon lui, ces mesures freinent l’innovation et constituent une attaque directe contre les leaders technologiques américains. Et c'est pour lutter contre ses sanctions, dont certaines sont toujours en cours, qu'il fait appel au futur président Donald Trump. Trump devrait protéger les entreprises américaines face aux sanctions européennes Pour le patron de Meta, la nouvelle administration Trump devrait intervenir pour protéger les entreprises américaines face aux sanctions européennes. Il estime que défendre les géants technologiques est une stratégie essentielle pour maintenir la suprématie américaine sur l'Europe et la planète. Et il est optimiste quant à la volonté de Donald Trump de, je cite, « faire gagner l’Amérique » dans un contexte de tensions croissantes entre les États-Unis et l’Europe sur les questions de concurrence et de régulation. Mettre la main à la poche pour se mettre Trump... dans la poche Reste que Meta a su mettre la main à la poche pour convaincre Donald Trump de se pencher sur ce dossier. La semaine dernière, Meta annonçait la fin de son programme de vérification des faits par des tiers, optant pour un modèle dit de « notes communautaires » (https://www.zdnet.fr/actualites/meta-abandonne-le-fact-checking-au-profit-des-notes-de-la-communaute-comme-sur-x-404067.htm). Cette décision est perçue comme un geste pour apaiser l’administration Trump, qui critique depuis longtemps la politique de modération sur les plateformes en ligne. En parallèle, Meta et d’autres géants comme Amazon ont apporté un soutien financier symbolique, on parle tout de même de millions de dollars (https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-comment-les-gafam-sacoquinent-avec-donald-trump-a-grand-coups-de-dollars-403947.htm), à la nouvelle administration. De quoi mettre de l'huile dans les rouages à n'en pas douter ! Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 15, 2025

  • Pourquoi les prompts sont une barrière à l'évolution de l'IA générative cover
    Pourquoi les prompts sont une barrière à l'évolution de l'IA générative cover
    Pourquoi les prompts sont une barrière à l'évolution de l'IA générative

    Voici une petite bombe qui explose dans le monde feutré de l'IA générative, et ce sous la forme d'un papier scientifique signé Google. Voici le sujet : les prompts, ces instructions qu'on donne sous forme de questions textuelles aux intelligences artificielles génératives (https://www.zdnet.fr/pratique/chatgpt-5-astuces-pour-rediger-de-meilleurs-prompts-396542.htm), sont-ils un frein à leur véritable potentiel ? Oui, cette affirmation est un peu contre-intuitive. Car pour la plupart d'entre nous, les prompts sont inextricablement liés à la manière de communiquer avec les IA comme Copilot (https://www.zdnet.fr/actualites/microsoft-etend-la-protection-des-donnees-de-copilot-39964320.htm) et Mistral AI (https://www.zdnet.fr/actualites/mistral-7b-le-1er-modele-d-ia-generative-de-mistral-ai-l-enorme-pari-francais-39961536.htm). Remise en question de l'ingénierie du prompt Oui, depuis l'émergence des IA génératives comme ChatGPT en 2022, savoir comment formuler des instructions précises est devenu crucial. Cette compétence, qu'on appelle "l'ingénierie du prompt", permet d'améliorer la qualité des réponses générées. Certaines entreprises comme Uber ont même monté des équipes entières dédiées à cette pratique. Mais cette approche a ses limites assure Meredith Ringel Morris, chercheuse chez Google DeepMind. (https://research.google/people/meredithringelmorris/?&type=google) Les prompts ne sont pas la bonne interface pour interroger les IA génératives assure la chercheuse. Sauter la barrière du prompt Elle critique même sévèrement cette méthode. Elle affirme d'abord que les prompts ne sont pas de véritables interfaces en langage naturel. En effet, de petits changements comme un synonyme ou une ponctuation différente peuvent radicalement modifier le comportement de l'IA. Et les réponses générées. Résultat, de grosses confusions pour l'utilisateur et des incohérences dans les résultats. Ce manque de communication naturelle crée une barrière, rendant l'utilisation de l'IA inaccessible à beaucoup, sauf aux experts du domaine. Langage émotionnel et gestes La chercheuse ne se contente pas de critiquer. Elle propose des alternatives pour l’avenir. Pour dépasser ces limitations, plusieurs pistes sont à explorer. Imaginez par exemple des interfaces où vous interagissez avec des boutons intuitifs. Ou encore une manipulation d'éléments sur des écrans tactiles directement du contenu à l'écran, comme dans la réalité augmentée. D'autres alternatives envisagent aussi des interactions plus naturelles basées sur le langage émotionnel ou les gestes. L'idée serait en tout cas d'éliminer l’apprentissage complexe des prompts pour privilégier des interactions fluides et universelles. L'IA se trouve "à un moment critique" Les prompts ont marqué une étape importante, mais pour Meredith Morris, ils doivent être remplacés pour permettre une évolution vers des IA plus accessibles et plus naturelles. L'IA se trouve "à un moment critique", écrit-elle. Notre acceptation des prompts en tant que simulacre "suffisant" d'une interface naturelle entrave le progrès. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on January 14, 2025

  • AMD montre à présent ses muscles à présent aussi sur le gaming cover
    AMD montre à présent ses muscles à présent aussi sur le gaming cover
    AMD montre à présent ses muscles à présent aussi sur le gaming

    Aujourd'hui, on plonge dans les annonces d'AMD réalisées au CES 2025. Elles marquent un tournant dans le secteur des PC destinés aux amateurs de jeux vidéos, jusqu'alors une chasse gardée de son concurrent Intel. Voici donc pourquoi Intel pourrait commencer à trembler. D'abord, AMD mène une véritable offensive sur le marché des PC de jeux et cela c'est bien vu au CES. AMD frappe fort cette année avec ses nouveaux processeurs, notamment les séries Ryzen 9000 et Ryzen Z2. Du Ryzen chez Razer et MSI Surtout, le fondeur annonce l’intégration pour la première fois d’un processeur AMD Ryzen dans un ordinateur portable de la marque Razer, bien connue des gamers. Il s'agit du modèle Razer Blade 16 (https://www.zdnet.fr/actualites/le-nouveau-razer-blade-16-peut-il-devenir-votre-compagnon-de-tous-les-jours-404048.htm). C'est une décision stratégique, car jusque-là, l'entreprise de Singapour s’appuyait exclusivement sur des puces Intel pour ses machines. Mais AMD ne s’arrête pas là. MSI, un autre géant des ordinateurs portables de jeu, adopte aussi ces nouveaux processeurs sur son modèle Stealth A18. Bref, ce partenariat montre qu’AMD gagne peu à peu la confiance des marques qui dominent le marché des gamers. Du processeur très haut de gamme et des APU Pour aller plus loin nous avons eu la chance de nous entretenir avec Frank Azor, architecte en chef des solutions de jeu chez AMD lors du CES. Il nous a expliqué que l’évolutivité est au cœur de la stratégie. Et il cite en exemple une nouvelle puce dotée de 16 cœurs Zen 5 et d’un cache impressionnant de 144 Mo. Sa vitesse peut atteindre 5,7 Giga Hertz. Bien sûr, cette puce coûte un bras. Mais pour les joueurs au budget plus serré, AMD propose aussi des APU. Une APU est une Unité de calcul accéléré, qui peut être ajoutée au CPU pour améliorer les performances. La toute nouvelle APU Krackan Point, qui doit être commercialisée dans quelques jours, vise donc les joueurs qui ont des oursins dans les poches. Et c'est malin puisque selon Frank Azor, 90 % des joueurs investissent dans des GPU à moins de 1 000 euros. Vers l'IA et la 3D Enfin, il faut noter que AMD n'est pas qu'un rival sérieux pour Intel aussi sur le marché du gaming. Certes, Intel reste un géant. Mais le fondeur est au milieu du gué, et a perdu son PDG Pat Gelsinger (https://www.zdnet.fr/actualites/au-milieu-de-la-tempete-intel-annonce-la-retraite-de-son-pdg-pat-gelsinger-402329.htm) à la fin de l'année dernière. La boss d'AMD depuis 10 ans, Lisa Su, a elle au contraire été nommée pour l'année 2024 PDG de l'année par le magasine Time. (https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-pourquoi-lisa-su-amd-est-nommee-pdg-de-lannee-2024-402910.htm) Et AMD ne veut pas s'arrêter à ses performances sur le gaming. La marque vise désormais le marché de l'intelligence artificielle et la 3D. Elle affirme sur ce terrain que sa puce Ryzen AI Max Plus 395 surpasse même des références comme le GPU Nvidia RTX 4090 ou le M4 Pro d’Apple dans ces domaines. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on January 13, 2025

  • La bague connectée passe au rayon luxe cover
    La bague connectée passe au rayon luxe cover
    La bague connectée passe au rayon luxe

    Aujourd’hui, parlons des bagues connectées, et plus précisément du dernier lancement d’Ultrahuman, une marque qui a décidé de miser sur le luxe avec sa nouvelle gamme Ultrahuman Ring Rare (https://www.ultrahuman.com/rare/). Alors, que faut-il savoir sur ce produit, et pourquoi fait-il parler de lui ? Tout d'abord, il s'agit de la première bague connectée (https://www.zdnet.fr/actualites/nous-sommes-entres-dans-lere-de-la-bague-connectee-voici-trois-raisons-pour-lesquelles-je-suis-super-enthousiaste-395156.htm) de luxe. Ultrahuman, déjà reconnue pour sa bague connectée Ring Air (https://www.zdnet.fr/guide-achat/test-ultrahuman-ring-air-cette-bague-connectee-satisfera-les-accros-du-fitness-39965138.htm), se démarque avec une nouvelle collection en matériaux haut de gamme. On parle d’environ 2000 euros, voire plus pour la version platine Ces bagues sont disponibles en or jaune et rose 18 carats, ainsi qu’en platine pour une version argentée. Le prix ? On parle d’environ 2000 euros, voire plus pour la version platine. Oui, vous avez bien entendu : ces bijoux connectés coûtent bien plus cher qu’un ordinateur portable de milieu de gamme. A noter que Ultrahuman assure que ces bagues de luxe conservent des fonctionnalités technologiques solides. Un pari sur un marché de niche Car malgré leur orientation luxe, ces bagues ne délaissent pas leur mission principale, à savoir le suivi de la santé. À l’intérieur, on retrouve les mêmes capteurs que dans les modèles classiques, des capteurs de mouvement, de température, et de suivi du sommeil ou de la récupération. Mais les acheteurs des modèles haut de gamme bénéficient aussi d’avantages exclusifs, comme un accès à vie à des outils avancés, tels que le suivi de la fibrillation auriculaire, de la vitamine D ou encore du cycle menstruel. Pour Ultrahuman, il s'agit d'un pari sur un marché de niche, mais qui est en pleine croissance. Un marché encore naissant de 210 millions de dollars, mais en croissance Avec un lancement prévu au Printemps Haussmann à Paris dès janvier, Ultrahuman vise une clientèle à la recherche d’un bijou fonctionnel et prestigieux. Le marché des bagues connectées, encore naissant, représentait 210 millions de dollars en 2023, mais croît chaque année de 24 %. Ultrahuman pourrait donc bien trouver sa place face à Oura et Samsung, les leaders du secteur, en se positionnant sur un créneau plus haut de gamme. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 10, 2025

  • Le prix de l'intelligence chez Apple ? Le stockage de votre iPhone ! cover
    Le prix de l'intelligence chez Apple ? Le stockage de votre iPhone ! cover
    Le prix de l'intelligence chez Apple ? Le stockage de votre iPhone !

    Aujourd’hui, parlons d’Apple Intelligence, ce système qui intègre l’intelligence artificielle directement dans vos appareils Apple. Vous l’avez peut-être remarqué si vous avez essayé ces fonctions avec votre Mac, il nécessite désormais plus d’espace de stockage. Il faut désormais compter pas moins de 7 Gigaoctet de stockage pour le faire fonctionner, contre 4 Gigaoctet auparavant. Pourquoi ce changement ? D’abord, Apple a récemment enrichi ses fonctionnalités basées sur l’IA. Avec iOS 18.2, iPadOS 18.2 et MacOS Sequoia 15.2, l'entreprise a lancé des outils comme l’intégration de ChatGPT, Image Playground pour créer des visuels, ou encore Genmoji, un outil pour personnaliser des emojis grâce à l’IA. Ces nouvelles capacités, bien que très pratiques, demandent logiquement plus d’espace de stockage. Et c'est bien sur les appareils mobiles d'Apple, les iPad mais surtout les iPhones, que cela risque de poser un véritable problème. Vous pourrez le constater dès avril prochain, quand Apple Intelligence arrivera en France sur vos appareils mobiles. (https://www.zdnet.fr/actualites/apple-intelligence-son-arrivee-en-france-un-poisson-davril-400311.htm) Pour vous donner un exemple concret, un iPhone classique qui compte 128 Gigaoctet peut rapidement se retrouver totalement saturé si vous stockez déjà beaucoup de photos, de vidéos et d'applications. Apple ne permet pas de désactiver sélectivement ces fonctionnalités d'IA Ensuite, et c'est très important, Apple ne permet pas de désactiver sélectivement certaines de ces fonctionnalités d'IA. Vous devez donc libérer suffisamment d’espace pour profiter de l’ensemble des services d'intelligence artificielle sur votre smartphone. Pour ceux d’entre vous équipés de modèles à faible capacité, cette contrainte pourrait nécessiter un tri rigoureux parmi vos fichiers. Il vous faudra peut-être même acheter un nouvel appareil. Le début du remplissage ? Enfin, cette augmentation d’espace nécessaire pour faire tourner l'IA en mode local pourrait ne pas être la dernière. Apple a mentionné que les besoins évolueraient avec l’ajout de nouvelles fonctions. Et d’autres mises à jour sont prévues, notamment avec iOS 18.3 et 18.4, qui arrivent au printemps. On parle notamment d’améliorations majeures pour Siri, comme son intégration dans les applications. Ce qui pourrait encore augmenter les exigences de l'IA. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 9, 2025

  • Comment les Gafam s'acoquinent avec Donald Trump à grand coups de dollars cover
    Comment les Gafam s'acoquinent avec Donald Trump à grand coups de dollars cover
    Comment les Gafam s'acoquinent avec Donald Trump à grand coups de dollars

    Aujourd'hui, parlons de la relation fascinante et parfois ambiguë entretenue par les géants de la technologie outre-Atlantique et l'administration Trump. Depuis sa réélection (https://www.zdnet.fr/actualites/victoire-de-donald-trump-voici-les-consequences-pour-le-monde-de-la-tech-400822.htm), un véritable ballet diplomatique s'est mis en place entre le président élu et des PDG influents comme Tim Cook, Jeff Bezos, et Mark Zuckerberg. Et ce ballet est financé par les GAFAM ! Voici pourquoi. Premièrement, il y va de l'intérêt stratégique des PDG des entreprises telles que Apple, Amazon ou encore Meta. Les grands patrons de ces énormes entreprises américaines cherchent à maintenir une influence sur les décisions politiques américaines. Une allégeance Tim Cook, par exemple, a investi beaucoup de temps à cultiver une relation professionnelle avec Trump lors de son premier mandat, organisant des rencontres pour discuter de sujets clés comme la fiscalité et la production locale. Il s'est même rendu à Mar-a-Lago récemment. Ces efforts visent à protéger les intérêts de leurs entreprises dans un contexte de régulation accrue et de tensions politiques. Et il n'hésite pas à payer de sa poche ! Il vient de signer un chèque de un million de dollars pris sur ses deniers propres à destination du comité d'investiture du président élu Trump. Car oui, les dons pour l’investiture du second mandat du président Trump symbolisent cette année une forme d’allégeance. Conséquence, les contributions financières au fonds d'inauguration de Trump ne passent pas inaperçues. Renforcer les liens avec la nouvelle administration Amazon, Meta, et même Toyota ont eux aussi offert un million de dollars pour soutenir cet événement. C’est une manière symbolique mais efficace de renforcer les liens avec la nouvelle administration. En parallèle, Amazon a annoncé qu'il diffuserait la cérémonie sur sa plateforme Prime Video, illustrant une volonté de participer activement aux grands événements politiques. Mais au delà de la logique de vassalité, les dirigeants des Gafam cherchent aussi à mettre en place avec ce cash une stratégie d’apaisement. Ils tentent en effet d'adoucir les relations après des années parfois tendues. Un Trump « plus calme et posé » Par exemple, Meta, qui avait banni Trump de ses plateformes en 2021, a récemment levé cette restriction. Jeff Bezos, de son côté, a qualifié Trump de « plus calme et posé » qu’auparavant. Ces déclarations montrent une volonté de tourner la page et de construire une relation plus constructive. En résumé, les titans de la tech jonglent entre intérêt stratégique, influence politique, et apaisement des tensions. Cette dynamique complexe reflète aussi l'importance croissante de leur rôle dans les décisions politiques et économiques. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on January 8, 2025

  • Un tribunal met un coup de canif dans la neutralité du net cover
    Un tribunal met un coup de canif dans la neutralité du net cover
    Un tribunal met un coup de canif dans la neutralité du net

    Aujourd’hui, on plonge dans le sujet brûlant de la neutralité du Net, un principe fondamental pour garantir un Internet égalitaire pour tous. Aux États-Unis, ce concept, également en cours en Europe et en France, vient de subir un sérieux revers. Une cour d'appel a aboli ce principe la semaine dernière (https://eu.cincinnati.com/story/money/2025/01/02/net-neutrality-rules-struck-down/77412883007/), et cela pourrait bouleverser l'accès à Internet tel qu'on le connaît. Décryptons cela en trois points. Premier point donc, qu’est-ce que la neutralité du Net ? En termes simples, c’est l’idée que tous les contenus Internet doivent être traités de la même manière par les opérateurs de télécommunication. Concrètement, Orange ou SFR ne peuvent pas ralentir certains sites ni favoriser d’autres services. Ils sont tenus de transporter les données en fonction des performances techniques du réseau. Bref, ce principe assure que, peu importe votre connexion, vous accédez à vos vidéos YouTube aussi rapidement qu’à vos emails par exemple. Alors deuxième point, pourquoi cette décision a-t-elle été prise ? Une cour d'appel d'un État des Etats-Unis a jugé que l’agence fédérale des télécommunications des Etats-Unis, la FCC, n’avait pas l’autorité légale pour imposer ces règles aux fournisseurs d’accès Internet. C’est un coup dur pour l’administration Biden, qui avait réintroduit la neutralité du Net (https://www.zdnet.fr/actualites/etats-unis-la-fcc-retablit-la-neutralite-du-net-voici-ce-que-cela-veut-dire-391127.htm) en début d’année après son abolition sous Donald Trump. Les juges ont aussi mis en avant une décision récente de la Cour suprême, limitant le pouvoir des agences fédérales. Enfin, troisième point, quelles sont les conséquences de cette décision ? Les ONG comme Public Knowledge craignent un vide juridique qui donnerait aux opérateurs télécoms un contrôle presque total sur notre accès à Internet. Imaginez : demain, votre fournisseur pourrait ralentir Netflix pour promouvoir son propre service de streaming. Les défenseurs de la neutralité appellent donc le Congrès américain à intervenir pour inscrire ce principe dans la loi. Mais les industriels des télécommunications, eux, voient dans cette décision une opportunité pour plus d'innovation et de concurrence. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 7, 2025

  • Siri et publicité, Apple accepte de lâcher 95 millions de dollars pour arrêter une plainte cover
    Siri et publicité, Apple accepte de lâcher 95 millions de dollars pour arrêter une plainte cover
    Siri et publicité, Apple accepte de lâcher 95 millions de dollars pour arrêter une plainte

    Aujourd’hui, parlons d’Apple, qui se targue régulièrement d'être particulièrement attentif à la protection de la vie privée de ses clients. Et bien selon Reuters (https://www.reuters.com/legal/apple-pay-95-million-settle-siri-privacy-lawsuit-2025-01-02/), la société va devoir mettre la main au portefeuille pour régler outre-Atlantique une affaire de violation de la vie privée liée à Siri, son assistant vocal. Qu’est-ce qui est reproché à Siri ? L’assistant vocal d’Apple (https://www.zdnet.fr/actualites/apple-intelligence-ameliorera-siri-en-2024-mais-le-meilleur-narrivera-pas-avant-2025-393216.htm) aurait enregistré des conversations privées de ses utilisateurs sans leur consentement. Ces enregistrements auraient été déclenchés accidentellement, notamment lorsque Siri pense entendre son mot d’activation, "Hey Siri". Des utilisateurs ont signalé avoir reçu des publicités ciblées après avoir évoqué des sujets avec des personnes alors que leur smartphone était à proximité. Un exemple, parler de baskets ou de restaurants, et voir ces sujets surgir dans leurs publicités en ligne affichées sur leurs smartphones. Que dit l’accord judiciaire auquel s'est plié Apple ? Apple a accepté de verser 95 millions de dollars pour mettre fin à cette action collective, couvrant la période de septembre 2014 à fin 2024. Chaque utilisateur concerné aux Etats-Unis pourrait recevoir jusqu’à 20 dollars par appareil compatible, comme les iPhone ou les Apple Watch. Reuters note que le règlement de 95 millions de dollars équivaut à « environ neuf heures de profit pour Apple ». La société, toutefois, nie toute faute malgré le fait d'accepter un accord à l'amiable. Quelles sont les conséquences de cette décision pour l’industrie ? Ce règlement met en lumière un problème commun aux assistants vocaux, comme Google Assistant ou Alexa. Les questions sur la confidentialité des données deviennent de plus en plus pressantes. Et les entreprises pourraient être poussées à repenser leur gestion des données pour éviter de nouvelles poursuites. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 6, 2025

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Découvrir au quotidien les enjeux de la technologie. Le podcast de la rédaction de ZDNet, pour les professionnels à la recherche d'infos pratiques et concrètes pour mieux comprendre le marché IT et telco et son influence sur les métiers.   


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  • Mais qu'est ce que le New Space ? cover
    Mais qu'est ce que le New Space ? cover
    Mais qu'est ce que le New Space ?

    C'est un nouvel espace économique, et il est nommé New Space. Un terme qui symbolise une nouvelle révolution de l’industrie spatiale. La toute récente levée de fonds record de la start-up franco-américaine Loft Orbital, qui s’élève à 170 millions d’euros, en est la preuve la plus éclatante. Le New Space, qu'est ce que c'est ? Le New Space, c’est l’ère de la privatisation et de la démocratisation de l’espace. Contrairement à l’époque où seules les agences spatiales nationales dominaient le secteur, aujourd’hui, des entreprises privées comme SpaceX (https://www.zdnet.fr/actualites/spacex-4000237602q.htm), OneWeb, ou Loft Orbital innovent pour rendre l’accès à l’espace plus rapide et moins coûteux. Avec des solutions comme les constellations de satellites (https://www.zdnet.fr/actualites/satellite-4000001808q.htm) ou des mini-lanceurs, le New Space répond à des cas d'usage concrets, comme la météo, l'agriculture, la surveillance environnementale, et même la défense. Et l'entreprise Loft Orbital permet de mieux comprendre ce véritable phénomène. Louer l'utilisation de satellites partagés entre plusieurs clients Créée en 2017 par des Français et un Américain, cette start-up propose une idée originale. Il s'agit de louer l'utilisation de satellites partagés entre plusieurs clients. En clair, les clients – comme la NASA ou Microsoft – n’ont plus à construire leurs propres satellites pour en utiliser. Ils peuvent installer leurs capteurs ou leurs logiciels sur des satellites standardisés de Loft Orbital, qui se charge ensuite du lancement et de l’exploitation. De quoi bénéficier d'un gain de temps considérable. Loft Orbital assure que la mise en exploitation d'un projet passe ainsi de plusieurs années à quelques mois seulement. À ce jour, Loft Orbital a déjà mis en orbite cinq satellites. Avec cette levée de fonds, l’entreprise prévoit de développer deux nouvelles constellations de dix satellites chacune et d’implanter des infrastructures au Moyen-Orient. Pourquoi est-ce que le développement du New Space est si important ? Le modèle de Loft Orbital reflète un tournant stratégique. En intégrant des technologies comme l’intelligence artificielle embarquée, ses satellites peuvent traiter les données directement en orbite et envoyer des alertes en temps réel. Par exemple, cela permet de détecter un feu de forêt avant qu’il ne devienne incontrôlable. Et c'est cette approche qui change la donne pour des secteurs comme la gestion des crises climatiques ou la défense. De plus, le New Space favorise l’investissement en Europe. Des start-ups françaises comme Latitude ou Unseenlabs montrent que le potentiel est énorme. Et ce même dans un marché dominé par des géants américains Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on January 17, 2025

  • L'IA va changer en profondeur la prise en charge du diabète cover
    L'IA va changer en profondeur la prise en charge du diabète cover
    L'IA va changer en profondeur la prise en charge du diabète

    Aujourd’hui évoquons les progrès de l’intelligence artificielle (https://www.zdnet.fr/actualites/intelligence-artificielle-ia-4000237536q.htm) dans le domaine médical, et plus particulièrement de la façon dont elle pourrait révolutionner l’usage de votre glucomètre. Ce petit appareil utilisé pour mesurer votre glycémie pourrait devenir un outil bien plus puissant grâce à l’IA. Comment ? Et bien déjà en analysant mieux les sous-types de diabète. Oui parce que quand on parle de diabète, on pense souvent au deux types principaux, le type 1 et le type 2. Le diabète de type 2, qui concerne environ 95 % des patients, est complexe Mais ce qu’on sait moins, c’est que le diabète de type 2, qui concerne environ 95 % des patients diabétiques, est en réalité beaucoup plus complexe. Il existe plusieurs sous-types, chacun associé à des risques spécifiques, comme des problèmes cardiaques, rénaux ou hépatiques. Des chercheurs de l’Université de Stanford ont donc développé un algorithme d’intelligence artificielle capable d’identifier trois des sous-types les plus courants de diabète de type 2. L’idée est simple. Il s'agit d'utiliser les données que votre glucomètre collecte déjà pour analyser votre métabolisme, et ce sans nécessiter de tests très chers ou compliqués. Une précision impressionnante Et la bonne nouvelle, c'est que les résultats de l'algo sont d'une précision impressionnante. L’algorithme atteint environ 90 % de précision, surpassant même les tests traditionnels en clinique. Il peut identifier si un patient souffre, par exemple, d’une résistance à l’insuline ou d’un déficit en cellules bêta. Aller vers des soins plus accessibles Ces informations sont cruciales, car elles permettent aux médecins de personnaliser les traitements. Certains médicaments, par exemple, seront bien plus efficaces pour un sous-type spécifique. Prenons un exemple concret. Une personne diagnostiquée avec un déficit en cellules bêta pourrait bénéficier d’un traitement axé sur la stimulation de ces cellules. Par ailleurs, une personne souffrant de résistance à l’insuline aurait besoin d’une autre approche que celle jusqu'alors proposée. Au final, cette innovation doit permettre des soins plus accessible. 5,6 % des français sont diabétiques En effet, l’algorithme fonctionne avec des données déjà collectées par des appareils que les patients possèdent souvent chez eux, comme les glucomètres. Pas besoin d’un nouveau processus pour bénéficier de cette avancée. En France, où 5,6 % de la population est diagnostiquée diabétique (https://www.federationdesdiabetiques.org/information/diabete/chiffres-france), cette technologie pourrait transformer la vie de millions de personnes. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on January 16, 2025

  • Mark Zuckerberg compare les lois européennes à des droits de douane, et appelle Donald Trump à l'aide cover
    Mark Zuckerberg compare les lois européennes à des droits de douane, et appelle Donald Trump à l'aide cover
    Mark Zuckerberg compare les lois européennes à des droits de douane, et appelle Donald Trump à l'aide

    Voici une déclaration qui fait beaucoup parler. Mark Zuckerberg (https://www.zdnet.fr/actualites/zuckerberg-tacle-apple-une-entreprise-qui-na-pas-innove-plus-depuis-liphone-404359.htm), le patron de Meta, a exhorté Donald Trump à protéger les entreprises technologiques américaines, les Gafam (https://www.zdnet.fr/actualites/gafam-4000238091q.htm), face aux sanctions de l’Union européenne. Des propos qui permettent de mieux comprendre pourquoi le patron de Meta depuis quelques semaines affiche clairement son ralliement sans nuance au président élu. Et ce à quelques jours de son investiture. La rage contre les sanctions européennes D'abord, Mark Zuckerberg critique vertement les sanctions européennes, et c'est compréhensible. Il compare les amendes infligées par l’Union européenne (https://www.zdnet.fr/actualites/google-et-apple-passent-a-la-caisse-la-cjue-confirme-les-amendes-de-la-commission-europeenne-396808.htm) à des droits de douane, affirmant que Bruxelles profite de ses lois pour faire du tort à l’industrie technologique américaine. Il dénonce les 30 milliards de dollars de pénalités imposées aux entreprises comme Meta, Google ou Amazon au cours des deux dernières décennies. Selon lui, ces mesures freinent l’innovation et constituent une attaque directe contre les leaders technologiques américains. Et c'est pour lutter contre ses sanctions, dont certaines sont toujours en cours, qu'il fait appel au futur président Donald Trump. Trump devrait protéger les entreprises américaines face aux sanctions européennes Pour le patron de Meta, la nouvelle administration Trump devrait intervenir pour protéger les entreprises américaines face aux sanctions européennes. Il estime que défendre les géants technologiques est une stratégie essentielle pour maintenir la suprématie américaine sur l'Europe et la planète. Et il est optimiste quant à la volonté de Donald Trump de, je cite, « faire gagner l’Amérique » dans un contexte de tensions croissantes entre les États-Unis et l’Europe sur les questions de concurrence et de régulation. Mettre la main à la poche pour se mettre Trump... dans la poche Reste que Meta a su mettre la main à la poche pour convaincre Donald Trump de se pencher sur ce dossier. La semaine dernière, Meta annonçait la fin de son programme de vérification des faits par des tiers, optant pour un modèle dit de « notes communautaires » (https://www.zdnet.fr/actualites/meta-abandonne-le-fact-checking-au-profit-des-notes-de-la-communaute-comme-sur-x-404067.htm). Cette décision est perçue comme un geste pour apaiser l’administration Trump, qui critique depuis longtemps la politique de modération sur les plateformes en ligne. En parallèle, Meta et d’autres géants comme Amazon ont apporté un soutien financier symbolique, on parle tout de même de millions de dollars (https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-comment-les-gafam-sacoquinent-avec-donald-trump-a-grand-coups-de-dollars-403947.htm), à la nouvelle administration. De quoi mettre de l'huile dans les rouages à n'en pas douter ! Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 15, 2025

  • Pourquoi les prompts sont une barrière à l'évolution de l'IA générative cover
    Pourquoi les prompts sont une barrière à l'évolution de l'IA générative cover
    Pourquoi les prompts sont une barrière à l'évolution de l'IA générative

    Voici une petite bombe qui explose dans le monde feutré de l'IA générative, et ce sous la forme d'un papier scientifique signé Google. Voici le sujet : les prompts, ces instructions qu'on donne sous forme de questions textuelles aux intelligences artificielles génératives (https://www.zdnet.fr/pratique/chatgpt-5-astuces-pour-rediger-de-meilleurs-prompts-396542.htm), sont-ils un frein à leur véritable potentiel ? Oui, cette affirmation est un peu contre-intuitive. Car pour la plupart d'entre nous, les prompts sont inextricablement liés à la manière de communiquer avec les IA comme Copilot (https://www.zdnet.fr/actualites/microsoft-etend-la-protection-des-donnees-de-copilot-39964320.htm) et Mistral AI (https://www.zdnet.fr/actualites/mistral-7b-le-1er-modele-d-ia-generative-de-mistral-ai-l-enorme-pari-francais-39961536.htm). Remise en question de l'ingénierie du prompt Oui, depuis l'émergence des IA génératives comme ChatGPT en 2022, savoir comment formuler des instructions précises est devenu crucial. Cette compétence, qu'on appelle "l'ingénierie du prompt", permet d'améliorer la qualité des réponses générées. Certaines entreprises comme Uber ont même monté des équipes entières dédiées à cette pratique. Mais cette approche a ses limites assure Meredith Ringel Morris, chercheuse chez Google DeepMind. (https://research.google/people/meredithringelmorris/?&type=google) Les prompts ne sont pas la bonne interface pour interroger les IA génératives assure la chercheuse. Sauter la barrière du prompt Elle critique même sévèrement cette méthode. Elle affirme d'abord que les prompts ne sont pas de véritables interfaces en langage naturel. En effet, de petits changements comme un synonyme ou une ponctuation différente peuvent radicalement modifier le comportement de l'IA. Et les réponses générées. Résultat, de grosses confusions pour l'utilisateur et des incohérences dans les résultats. Ce manque de communication naturelle crée une barrière, rendant l'utilisation de l'IA inaccessible à beaucoup, sauf aux experts du domaine. Langage émotionnel et gestes La chercheuse ne se contente pas de critiquer. Elle propose des alternatives pour l’avenir. Pour dépasser ces limitations, plusieurs pistes sont à explorer. Imaginez par exemple des interfaces où vous interagissez avec des boutons intuitifs. Ou encore une manipulation d'éléments sur des écrans tactiles directement du contenu à l'écran, comme dans la réalité augmentée. D'autres alternatives envisagent aussi des interactions plus naturelles basées sur le langage émotionnel ou les gestes. L'idée serait en tout cas d'éliminer l’apprentissage complexe des prompts pour privilégier des interactions fluides et universelles. L'IA se trouve "à un moment critique" Les prompts ont marqué une étape importante, mais pour Meredith Morris, ils doivent être remplacés pour permettre une évolution vers des IA plus accessibles et plus naturelles. L'IA se trouve "à un moment critique", écrit-elle. Notre acceptation des prompts en tant que simulacre "suffisant" d'une interface naturelle entrave le progrès. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on January 14, 2025

  • AMD montre à présent ses muscles à présent aussi sur le gaming cover
    AMD montre à présent ses muscles à présent aussi sur le gaming cover
    AMD montre à présent ses muscles à présent aussi sur le gaming

    Aujourd'hui, on plonge dans les annonces d'AMD réalisées au CES 2025. Elles marquent un tournant dans le secteur des PC destinés aux amateurs de jeux vidéos, jusqu'alors une chasse gardée de son concurrent Intel. Voici donc pourquoi Intel pourrait commencer à trembler. D'abord, AMD mène une véritable offensive sur le marché des PC de jeux et cela c'est bien vu au CES. AMD frappe fort cette année avec ses nouveaux processeurs, notamment les séries Ryzen 9000 et Ryzen Z2. Du Ryzen chez Razer et MSI Surtout, le fondeur annonce l’intégration pour la première fois d’un processeur AMD Ryzen dans un ordinateur portable de la marque Razer, bien connue des gamers. Il s'agit du modèle Razer Blade 16 (https://www.zdnet.fr/actualites/le-nouveau-razer-blade-16-peut-il-devenir-votre-compagnon-de-tous-les-jours-404048.htm). C'est une décision stratégique, car jusque-là, l'entreprise de Singapour s’appuyait exclusivement sur des puces Intel pour ses machines. Mais AMD ne s’arrête pas là. MSI, un autre géant des ordinateurs portables de jeu, adopte aussi ces nouveaux processeurs sur son modèle Stealth A18. Bref, ce partenariat montre qu’AMD gagne peu à peu la confiance des marques qui dominent le marché des gamers. Du processeur très haut de gamme et des APU Pour aller plus loin nous avons eu la chance de nous entretenir avec Frank Azor, architecte en chef des solutions de jeu chez AMD lors du CES. Il nous a expliqué que l’évolutivité est au cœur de la stratégie. Et il cite en exemple une nouvelle puce dotée de 16 cœurs Zen 5 et d’un cache impressionnant de 144 Mo. Sa vitesse peut atteindre 5,7 Giga Hertz. Bien sûr, cette puce coûte un bras. Mais pour les joueurs au budget plus serré, AMD propose aussi des APU. Une APU est une Unité de calcul accéléré, qui peut être ajoutée au CPU pour améliorer les performances. La toute nouvelle APU Krackan Point, qui doit être commercialisée dans quelques jours, vise donc les joueurs qui ont des oursins dans les poches. Et c'est malin puisque selon Frank Azor, 90 % des joueurs investissent dans des GPU à moins de 1 000 euros. Vers l'IA et la 3D Enfin, il faut noter que AMD n'est pas qu'un rival sérieux pour Intel aussi sur le marché du gaming. Certes, Intel reste un géant. Mais le fondeur est au milieu du gué, et a perdu son PDG Pat Gelsinger (https://www.zdnet.fr/actualites/au-milieu-de-la-tempete-intel-annonce-la-retraite-de-son-pdg-pat-gelsinger-402329.htm) à la fin de l'année dernière. La boss d'AMD depuis 10 ans, Lisa Su, a elle au contraire été nommée pour l'année 2024 PDG de l'année par le magasine Time. (https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-pourquoi-lisa-su-amd-est-nommee-pdg-de-lannee-2024-402910.htm) Et AMD ne veut pas s'arrêter à ses performances sur le gaming. La marque vise désormais le marché de l'intelligence artificielle et la 3D. Elle affirme sur ce terrain que sa puce Ryzen AI Max Plus 395 surpasse même des références comme le GPU Nvidia RTX 4090 ou le M4 Pro d’Apple dans ces domaines. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on January 13, 2025

  • La bague connectée passe au rayon luxe cover
    La bague connectée passe au rayon luxe cover
    La bague connectée passe au rayon luxe

    Aujourd’hui, parlons des bagues connectées, et plus précisément du dernier lancement d’Ultrahuman, une marque qui a décidé de miser sur le luxe avec sa nouvelle gamme Ultrahuman Ring Rare (https://www.ultrahuman.com/rare/). Alors, que faut-il savoir sur ce produit, et pourquoi fait-il parler de lui ? Tout d'abord, il s'agit de la première bague connectée (https://www.zdnet.fr/actualites/nous-sommes-entres-dans-lere-de-la-bague-connectee-voici-trois-raisons-pour-lesquelles-je-suis-super-enthousiaste-395156.htm) de luxe. Ultrahuman, déjà reconnue pour sa bague connectée Ring Air (https://www.zdnet.fr/guide-achat/test-ultrahuman-ring-air-cette-bague-connectee-satisfera-les-accros-du-fitness-39965138.htm), se démarque avec une nouvelle collection en matériaux haut de gamme. On parle d’environ 2000 euros, voire plus pour la version platine Ces bagues sont disponibles en or jaune et rose 18 carats, ainsi qu’en platine pour une version argentée. Le prix ? On parle d’environ 2000 euros, voire plus pour la version platine. Oui, vous avez bien entendu : ces bijoux connectés coûtent bien plus cher qu’un ordinateur portable de milieu de gamme. A noter que Ultrahuman assure que ces bagues de luxe conservent des fonctionnalités technologiques solides. Un pari sur un marché de niche Car malgré leur orientation luxe, ces bagues ne délaissent pas leur mission principale, à savoir le suivi de la santé. À l’intérieur, on retrouve les mêmes capteurs que dans les modèles classiques, des capteurs de mouvement, de température, et de suivi du sommeil ou de la récupération. Mais les acheteurs des modèles haut de gamme bénéficient aussi d’avantages exclusifs, comme un accès à vie à des outils avancés, tels que le suivi de la fibrillation auriculaire, de la vitamine D ou encore du cycle menstruel. Pour Ultrahuman, il s'agit d'un pari sur un marché de niche, mais qui est en pleine croissance. Un marché encore naissant de 210 millions de dollars, mais en croissance Avec un lancement prévu au Printemps Haussmann à Paris dès janvier, Ultrahuman vise une clientèle à la recherche d’un bijou fonctionnel et prestigieux. Le marché des bagues connectées, encore naissant, représentait 210 millions de dollars en 2023, mais croît chaque année de 24 %. Ultrahuman pourrait donc bien trouver sa place face à Oura et Samsung, les leaders du secteur, en se positionnant sur un créneau plus haut de gamme. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 10, 2025

  • Le prix de l'intelligence chez Apple ? Le stockage de votre iPhone ! cover
    Le prix de l'intelligence chez Apple ? Le stockage de votre iPhone ! cover
    Le prix de l'intelligence chez Apple ? Le stockage de votre iPhone !

    Aujourd’hui, parlons d’Apple Intelligence, ce système qui intègre l’intelligence artificielle directement dans vos appareils Apple. Vous l’avez peut-être remarqué si vous avez essayé ces fonctions avec votre Mac, il nécessite désormais plus d’espace de stockage. Il faut désormais compter pas moins de 7 Gigaoctet de stockage pour le faire fonctionner, contre 4 Gigaoctet auparavant. Pourquoi ce changement ? D’abord, Apple a récemment enrichi ses fonctionnalités basées sur l’IA. Avec iOS 18.2, iPadOS 18.2 et MacOS Sequoia 15.2, l'entreprise a lancé des outils comme l’intégration de ChatGPT, Image Playground pour créer des visuels, ou encore Genmoji, un outil pour personnaliser des emojis grâce à l’IA. Ces nouvelles capacités, bien que très pratiques, demandent logiquement plus d’espace de stockage. Et c'est bien sur les appareils mobiles d'Apple, les iPad mais surtout les iPhones, que cela risque de poser un véritable problème. Vous pourrez le constater dès avril prochain, quand Apple Intelligence arrivera en France sur vos appareils mobiles. (https://www.zdnet.fr/actualites/apple-intelligence-son-arrivee-en-france-un-poisson-davril-400311.htm) Pour vous donner un exemple concret, un iPhone classique qui compte 128 Gigaoctet peut rapidement se retrouver totalement saturé si vous stockez déjà beaucoup de photos, de vidéos et d'applications. Apple ne permet pas de désactiver sélectivement ces fonctionnalités d'IA Ensuite, et c'est très important, Apple ne permet pas de désactiver sélectivement certaines de ces fonctionnalités d'IA. Vous devez donc libérer suffisamment d’espace pour profiter de l’ensemble des services d'intelligence artificielle sur votre smartphone. Pour ceux d’entre vous équipés de modèles à faible capacité, cette contrainte pourrait nécessiter un tri rigoureux parmi vos fichiers. Il vous faudra peut-être même acheter un nouvel appareil. Le début du remplissage ? Enfin, cette augmentation d’espace nécessaire pour faire tourner l'IA en mode local pourrait ne pas être la dernière. Apple a mentionné que les besoins évolueraient avec l’ajout de nouvelles fonctions. Et d’autres mises à jour sont prévues, notamment avec iOS 18.3 et 18.4, qui arrivent au printemps. On parle notamment d’améliorations majeures pour Siri, comme son intégration dans les applications. Ce qui pourrait encore augmenter les exigences de l'IA. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 9, 2025

  • Comment les Gafam s'acoquinent avec Donald Trump à grand coups de dollars cover
    Comment les Gafam s'acoquinent avec Donald Trump à grand coups de dollars cover
    Comment les Gafam s'acoquinent avec Donald Trump à grand coups de dollars

    Aujourd'hui, parlons de la relation fascinante et parfois ambiguë entretenue par les géants de la technologie outre-Atlantique et l'administration Trump. Depuis sa réélection (https://www.zdnet.fr/actualites/victoire-de-donald-trump-voici-les-consequences-pour-le-monde-de-la-tech-400822.htm), un véritable ballet diplomatique s'est mis en place entre le président élu et des PDG influents comme Tim Cook, Jeff Bezos, et Mark Zuckerberg. Et ce ballet est financé par les GAFAM ! Voici pourquoi. Premièrement, il y va de l'intérêt stratégique des PDG des entreprises telles que Apple, Amazon ou encore Meta. Les grands patrons de ces énormes entreprises américaines cherchent à maintenir une influence sur les décisions politiques américaines. Une allégeance Tim Cook, par exemple, a investi beaucoup de temps à cultiver une relation professionnelle avec Trump lors de son premier mandat, organisant des rencontres pour discuter de sujets clés comme la fiscalité et la production locale. Il s'est même rendu à Mar-a-Lago récemment. Ces efforts visent à protéger les intérêts de leurs entreprises dans un contexte de régulation accrue et de tensions politiques. Et il n'hésite pas à payer de sa poche ! Il vient de signer un chèque de un million de dollars pris sur ses deniers propres à destination du comité d'investiture du président élu Trump. Car oui, les dons pour l’investiture du second mandat du président Trump symbolisent cette année une forme d’allégeance. Conséquence, les contributions financières au fonds d'inauguration de Trump ne passent pas inaperçues. Renforcer les liens avec la nouvelle administration Amazon, Meta, et même Toyota ont eux aussi offert un million de dollars pour soutenir cet événement. C’est une manière symbolique mais efficace de renforcer les liens avec la nouvelle administration. En parallèle, Amazon a annoncé qu'il diffuserait la cérémonie sur sa plateforme Prime Video, illustrant une volonté de participer activement aux grands événements politiques. Mais au delà de la logique de vassalité, les dirigeants des Gafam cherchent aussi à mettre en place avec ce cash une stratégie d’apaisement. Ils tentent en effet d'adoucir les relations après des années parfois tendues. Un Trump « plus calme et posé » Par exemple, Meta, qui avait banni Trump de ses plateformes en 2021, a récemment levé cette restriction. Jeff Bezos, de son côté, a qualifié Trump de « plus calme et posé » qu’auparavant. Ces déclarations montrent une volonté de tourner la page et de construire une relation plus constructive. En résumé, les titans de la tech jonglent entre intérêt stratégique, influence politique, et apaisement des tensions. Cette dynamique complexe reflète aussi l'importance croissante de leur rôle dans les décisions politiques et économiques. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on January 8, 2025

  • Un tribunal met un coup de canif dans la neutralité du net cover
    Un tribunal met un coup de canif dans la neutralité du net cover
    Un tribunal met un coup de canif dans la neutralité du net

    Aujourd’hui, on plonge dans le sujet brûlant de la neutralité du Net, un principe fondamental pour garantir un Internet égalitaire pour tous. Aux États-Unis, ce concept, également en cours en Europe et en France, vient de subir un sérieux revers. Une cour d'appel a aboli ce principe la semaine dernière (https://eu.cincinnati.com/story/money/2025/01/02/net-neutrality-rules-struck-down/77412883007/), et cela pourrait bouleverser l'accès à Internet tel qu'on le connaît. Décryptons cela en trois points. Premier point donc, qu’est-ce que la neutralité du Net ? En termes simples, c’est l’idée que tous les contenus Internet doivent être traités de la même manière par les opérateurs de télécommunication. Concrètement, Orange ou SFR ne peuvent pas ralentir certains sites ni favoriser d’autres services. Ils sont tenus de transporter les données en fonction des performances techniques du réseau. Bref, ce principe assure que, peu importe votre connexion, vous accédez à vos vidéos YouTube aussi rapidement qu’à vos emails par exemple. Alors deuxième point, pourquoi cette décision a-t-elle été prise ? Une cour d'appel d'un État des Etats-Unis a jugé que l’agence fédérale des télécommunications des Etats-Unis, la FCC, n’avait pas l’autorité légale pour imposer ces règles aux fournisseurs d’accès Internet. C’est un coup dur pour l’administration Biden, qui avait réintroduit la neutralité du Net (https://www.zdnet.fr/actualites/etats-unis-la-fcc-retablit-la-neutralite-du-net-voici-ce-que-cela-veut-dire-391127.htm) en début d’année après son abolition sous Donald Trump. Les juges ont aussi mis en avant une décision récente de la Cour suprême, limitant le pouvoir des agences fédérales. Enfin, troisième point, quelles sont les conséquences de cette décision ? Les ONG comme Public Knowledge craignent un vide juridique qui donnerait aux opérateurs télécoms un contrôle presque total sur notre accès à Internet. Imaginez : demain, votre fournisseur pourrait ralentir Netflix pour promouvoir son propre service de streaming. Les défenseurs de la neutralité appellent donc le Congrès américain à intervenir pour inscrire ce principe dans la loi. Mais les industriels des télécommunications, eux, voient dans cette décision une opportunité pour plus d'innovation et de concurrence. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 7, 2025

  • Siri et publicité, Apple accepte de lâcher 95 millions de dollars pour arrêter une plainte cover
    Siri et publicité, Apple accepte de lâcher 95 millions de dollars pour arrêter une plainte cover
    Siri et publicité, Apple accepte de lâcher 95 millions de dollars pour arrêter une plainte

    Aujourd’hui, parlons d’Apple, qui se targue régulièrement d'être particulièrement attentif à la protection de la vie privée de ses clients. Et bien selon Reuters (https://www.reuters.com/legal/apple-pay-95-million-settle-siri-privacy-lawsuit-2025-01-02/), la société va devoir mettre la main au portefeuille pour régler outre-Atlantique une affaire de violation de la vie privée liée à Siri, son assistant vocal. Qu’est-ce qui est reproché à Siri ? L’assistant vocal d’Apple (https://www.zdnet.fr/actualites/apple-intelligence-ameliorera-siri-en-2024-mais-le-meilleur-narrivera-pas-avant-2025-393216.htm) aurait enregistré des conversations privées de ses utilisateurs sans leur consentement. Ces enregistrements auraient été déclenchés accidentellement, notamment lorsque Siri pense entendre son mot d’activation, "Hey Siri". Des utilisateurs ont signalé avoir reçu des publicités ciblées après avoir évoqué des sujets avec des personnes alors que leur smartphone était à proximité. Un exemple, parler de baskets ou de restaurants, et voir ces sujets surgir dans leurs publicités en ligne affichées sur leurs smartphones. Que dit l’accord judiciaire auquel s'est plié Apple ? Apple a accepté de verser 95 millions de dollars pour mettre fin à cette action collective, couvrant la période de septembre 2014 à fin 2024. Chaque utilisateur concerné aux Etats-Unis pourrait recevoir jusqu’à 20 dollars par appareil compatible, comme les iPhone ou les Apple Watch. Reuters note que le règlement de 95 millions de dollars équivaut à « environ neuf heures de profit pour Apple ». La société, toutefois, nie toute faute malgré le fait d'accepter un accord à l'amiable. Quelles sont les conséquences de cette décision pour l’industrie ? Ce règlement met en lumière un problème commun aux assistants vocaux, comme Google Assistant ou Alexa. Les questions sur la confidentialité des données deviennent de plus en plus pressantes. Et les entreprises pourraient être poussées à repenser leur gestion des données pour éviter de nouvelles poursuites. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! (https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on January 6, 2025

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