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Découvrir au quotidien les enjeux de la technologie. Le podcast de la rédaction de ZDNet, pour les professionnels à la recherche d'infos pratiques et concrètes pour mieux comprendre le marché IT et telco et son influence sur les métiers.   


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  • Finis les mots de passe, bienvenue aux clés de passe cover
    Finis les mots de passe, bienvenue aux clés de passe cover
    Finis les mots de passe, bienvenue aux clés de passe

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZDTech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je m’appelle Guillaume Serries et aujourd’hui, je vous explique pourquoi nous allons passer des mots de passe aux clés de passe. Et surtout, pourquoi c'est mieux. Adieu les mots de passe ? L'éditeur de gestionnaire de mot de passe 1Password vient d'annoncer qu'il supportera en 2023 les clés de passe ou clés d'accès. Et une démo est d'ors et déjà disponible. Mais qu'est ce que sont les clés de passe ? Les passkeys, c'est le terme en anglais, utilisent la norme WebAuthn, créée par l'Alliance FIDO et le World Wide Web Consortium - le W3C - et servent à remplacer les mots de passe par des paires de clés cryptographiques. Cette paire est composée d'une clé publique qui peut être partagée et une clé privée qui ne l'est pas, et qui permettent aux utilisateurs de se connecter à des comptes. WebAuthn est pris en charge par Google Chrome, Apple Safari et Microsoft Edge. Les clés WebAuthn fonctionnent également avec des systèmes biométriques comme Face ID d'Apple et Windows Hello de Microsoft. 1Password rejoindra donc Apple, Google et Microsoft qui ont déjà mis des passkeys à la disposition des développeurs et des utilisateurs pour leurs navigateurs et systèmes d'exploitation respectifs. Le mois dernier, PayPal a ajouté la prise en charge des passkeys sur iPhone, iPad et Mac pour se connecter à PayPal.com. Mais quelle est la différence entre les passkeys et les mots de passe ? Et bien les passkeys sont plus résistants que les mots de passe au phishing et aux attaques par force brute sur les mots de passe. Ils permettent également de se passer d'un code d'authentification à deux facteurs, qui sécurise mieux les mots de passe. 1Password affirme que les principaux avantages des passkeys sont qu'elles sont fortes par défaut, et surtout qu'il n'est pas nécessaire de les mémoriser puisqu'elles sont stockées sur l'appareil. Surtout, la clé privée n'est pas partagée avec le site Web auquel on se connecte. Et enfin, la clé publique ne peut pas être utilisée pour deviner la clé privée. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 22, 2022

  • Les Tuvaluans premiers réfugiés climatiques du metaverse cover
    Les Tuvaluans premiers réfugiés climatiques du metaverse cover
    Les Tuvaluans premiers réfugiés climatiques du metaverse

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZD Tech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je m’appelle Clarisse Treilles, et aujourd’hui nous allons voir comment un archipel du Pacifique menacé de disparaître imagine son avenir dans le metaverse.  Le petit pays insulaire de Tulavu, à mi-chemin Hawaï et l’Australie dans l’Océan Pacifique, ne veut pas disparaître. Menacé par la montée des eaux, l’archipel de Tuvalu compte sur le Metaverse pour ne pas finir comme l’Atlantide.  Les dangers d'une submersion marine partielle sont particulièrement importants pour les pays insulaires du Pacifique, qui sont déjà confrontés à des inondations, des tsunamis et des cyclones dangereux. Alors que la Cop 27 vient de se terminer, le gouvernement de Tuvalu ne voit qu’une issue possible aux perspectives sombres des climatologues  : devenir la première nation numérique du monde.  Dans une interview filmée, le ministre des affaires étrangères, Simon Kofe, a déclaré que son pays devait réfléchir à d’autres moyens de se préserver face à l'augmentation du niveau des eaux.  Recréer un jumeau numérique de l’archipel dans le metaverse apparaît comme une solution de dernier recours. A défaut de sauver l’archipel de disparition, cela pourrait permettre à ses 12 000 habitants d’en préserver l’histoire et la culture pour les générations à venir… au moins virtuellement.  Le metaverse pourrait préserver les points de repère physiques de Tuvalu, comme les églises et les monuments. Le métavers hébergerait également la culture du pays, comme la langue et les coutumes, afin que le peuple de l’archipel puisse s'engager dans des pratiques culturelles de n'importe où dans le monde. Si le recours au métavers est bien le scénario du pire, l'inaction à l'échelle mondiale a forcé Tuvalu à envisager de faire du métavers sa nouvelle maison. Mais cette situation soulève une autre question : le métavers est-il capable d'accueillir un pays entier ? Il pourrait y avoir des problèmes de puissance de calcul et de prix des casques de réalité virtuelle. D’autant que le metaverse n'est pas nécessairement une alternative écologique. Et voilà, normalement on a fait le tour du sujet. Pour en savoir plus, rendez-vous sur notre site internet. Et retrouvez tous les jours un nouvel épisode du ZDTech sur vos plateformes de podcast préférées. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 21, 2022

  • Pourquoi la CNIL avertit les supporters français qui se rendent au Qatar de laisser leur smartphone à la maison cover
    Pourquoi la CNIL avertit les supporters français qui se rendent au Qatar de laisser leur smartphone à la maison cover
    Pourquoi la CNIL avertit les supporters français qui se rendent au Qatar de laisser leur smartphone à la maison

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZDTech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je suis Guillaume Serries et aujourd'hui je vous explique pourquoi la CNIL avertit les supporters français qui se rendent au Qatar de laisser leur smartphone à la maison. Vous avez toujours envie d'aller supporter les Bleus au Qatar ? Je dis - toujours envie - parce qu'à l'approche du match d'ouverture de la Coupe du Monde, ce dimanche, les polémiques explosent sur le bien fondé de l'attribution de cette compétition à ce pays. Et côté tech et protection des données personnelle aussi, il semble qu'il y ait quelques soucis. Sachez déjà que le Qatar interdit de filmer et de prendre des photos avec votre smartphone dans les bâtiments gouvernementaux, les écoles, les logements pour travailleurs migrants, les lieux de culte et les hôpitaux.  Mais ce n'est pas tout. La CNIL française - la la Commission nationale de l'informatique et des libertés - recommande aux supporter de voyager avec un smartphone vierge, ou d'utiliser un ancien téléphone remis à zéro. Voire de prendre un téléphone jetable prépayé. Et pourquoi donc ?  Et bien parce que le gouvernement qatari incite fortement des ressortissants étrangers qui foulent leur territoire d'installer deux applications mobiles qui s'apparentent, selon les experts en cybersécurité, à des logiciels d'espionnage. La première application, nommée "Hayya", permet de s'orienter et de se rendre aux matchs. La seconde application, nommée elle "Ehteraz", permet de suivre l'épidémie de Covid-19.  Et ces deux applications mobiles puiseraient a gogo dans vos données hébergées dans vos smartphones. Pire, ces deux applications permettraient de supprimer ou de modifier le contenu de votre téléphone, et même, cerise sur le gâteau, de passer des appels.  "L'une des applications collecte des données pour savoir si un appel téléphonique est passé et avec quel numéro", a déclaré de son côté l'autorité allemande de protection des données. "L'autre app empêche l'appareil sur lequel elle est installée de se mettre en mode veille." Bien sûr, les conditions générales d'utilisation de ces applications sont explicites à ce sujet. Mais oui, vous aussi vous en les lisez pas. Le ministre français du numérique, Jean-Noël Barrot, a de son côté insisté sur le fait que contrairement à la France, le RGPD n'existe par au Qatar. D'où l'idée poussée par le CNIL de voyager avec un smartphone vierge de toutes informations personnelles. Et si jamais vous tenez absolument a emporter votre smartphone dans les stades qatari, le gendarme français de la vie privée conseille de - je cite - "limiter les autorisations systèmes à celles strictement nécessaires".  La CNIL recommande également aux voyageurs d'installer les applications juste avant leur départ et de les supprimer dès leur retour en France, ou encore de ne se connecter qu'à des réseaux Wi-Fi sécurisés.  "En tout état de cause, une vigilance particulière sera à apporter au contenu qui pourrait vous placer en difficulté vis-à-vis de la législation du pays visité", ajoute l'autorité de protection des données. Et d'illustrer le propos avec des contenus LGBT+ interdits dans le pays. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 18, 2022

  • Les tendances RH qui vont façonner l'année 2023 cover
    Les tendances RH qui vont façonner l'année 2023 cover
    Les tendances RH qui vont façonner l'année 2023

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZD Tech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je m’appelle Clarisse Treilles, et aujourd’hui nous allons nous intéresser aux tendances RH qui vont façonner l’année 2023.  Dans un monde post-pandémique, l’environnement de travail a été bouleversé. Le télétravail et le travail hybride ont gagné les usages, forçant nombre d’entreprises à composer avec des équipes dispersées, qui collaborent à distance avec plus de flexibilité que par le passé. En 2023, certaines tendances RH pourraient bien s’accentuer, et avec elles, des conséquences bien réelles sur notre manière de travailler. Prenons quelques exemples. Tout d’abord, il est certain que le travail hybride n’est pas prêt de disparaître. Bien que de nombreuses entreprises forcent leurs employés à revenir au bureau - et nous en avons eu un exemple très récent chez Twitter -, ces dernières ne lâchent pas le travail hybride et à distance pour autant.  Et avec une inflation qui augmente encore le coût de la vie, les employés ne voudront peut-être pas dépenser plus pour acheter de l’essence, un déjeuner à l’extérieur ou encore le café du matin. Sans compter que de nombreux bureaux se débarrassent également des agencements traditionnels, maintenant que les employés travaillent régulièrement depuis chez eux. Bon nombre d’experts des ressources humaines s’accordent à dire que les réaménagements de bureaux dans les années à venir pourraient favoriser le travail collaboratif et réinventer profondément l’open space. Deuxième tendance à laquelle on peut s’attendre l’année prochaine : l’investissement en hausse dans les formations, pour permettre aux salariés de se doter des compétences dont ils ont besoin.  D’ailleurs, selon une enquête récente d’Amazon et de Workplace Intelligence, plus de 80 % des employés placent l’amélioration de leurs compétences en tête de leurs priorités pour l’année prochaine. Finalement, quelle que soit l’organisation de travail adoptée, le mot d’ordre en 2023 est la flexibilité. L'équilibre entre vie professionnelle et personnelle est devenu un enjeu précieux. Les phénomènes que l’on observe ces derniers temps, tels que le “quiet quitting” ou la Grande Démission aux Etats-Unis, sont la preuve que les entreprises qui ne parviennent pas à injecter plus de flexibilité dans leur organisation de travail pourraient risquer de perdre leurs meilleurs talents. Et voilà, normalement on a fait le tour du sujet. Pour en savoir plus, rendez-vous sur notre site internet. Et retrouvez tous les jours un nouvel épisode du ZDTech sur vos plateformes de podcast préférées. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 17, 2022

  • Pourquoi la NSA veut que vous changiez de langage de programmation cover
    Pourquoi la NSA veut que vous changiez de langage de programmation cover
    Pourquoi la NSA veut que vous changiez de langage de programmation

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZDTech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je suis Guillaume Serries et aujourd'hui je vous explique pourquoi la NSA vous demande de changer votre langage de programmation pour améliorer la sécurité de votre code. C'est un message que tient à faire passer la NSA - la principale Agence américaine de renseignement - aux développeurs. Il faut en finir avec les langages C et C++. Et pourquoi donc ? Parce que ces langages sont susceptibles de permettre des attaques informatiques qui utilisent la mémoire informatique. Et se passer de C ou C++ pourrait signifier une réorientation vers C#, Go, Java, Ruby, Rust ou encore Swift. Et ces langages ont par ailleurs déjà fait leur preuve. Un exemple ? Java est le langage le plus utilisé dans les entreprises et pour le développement d'applications Android. Un autre exemple ? Swift figure dans le top 10 des langages de programmation les plus utilisés, notamment bien sûr grâce au développement d'applications sous iOS. L'agence d'espionnage américaine cite des recherches récentes de Google et de Microsoft selon lesquelles 70 % des problèmes de sécurité dans le navigateur Chrome et le système d'exploitation Windows, sont liés à la mauvaise gestion de la mémoire avec les langages de programmation C et C++. Reste la question de savoir pourquoi C et C++ ont des problèmes de mémoire. "Ils offrent beaucoup de liberté et de souplesse dans la gestion de la mémoire tout en s'appuyant fortement sur le programmeur pour effectuer les vérifications nécessaires sur les références mémoire" mentionne la NSA. L'Agence recommande donc d'utiliser un langage à mémoire sécurisée lorsque cela est possible. Et le langage Rust semble être le principal candidat au "remplacement" de C et C++. Le noyau Linux d'ailleurs a récemment introduit Rust comme deuxième langage après le C. Ces projets développés en Rust ne remplaceront pas l'ancien code C ou C++. Oui, ce sont de nouveaux projets qui auront les faveurs de ce nouveau langage. Même son de cloche chez Microsoft. Mark Russinovich, le directeur technique de Microsoft Azure, a récemment appelé tous les développeurs à utiliser Rust plutôt que C et C++ pour tous les nouveaux projets. Il faut cependant bien comprendre que l'utilisation d'un langage sécurisé pour la mémoire n'empêche pas par défaut l'introduction de bugs de mémoire dans les logiciels. De plus, les langages autorisent souvent des bibliothèques qui ne sont pas écrites dans des langages sûrs pour la mémoire. Enfin, La NSA note que certains langages recommandés peuvent avoir un coût en termes de performances. Donc dans ce cas là, les développeurs peuvent prendre des mesures pour renforcer la sécurité les langages non sécurisés en mémoire. L'équipe Chrome de Google par exemple, étudie plusieurs méthodes pour renforcer le langage C++. Et il semble que C++ restera dans la base de code de Chrome dans un avenir prévisible. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 16, 2022

  • Quand le fax fait de la résistance  cover
    Quand le fax fait de la résistance  cover
    Quand le fax fait de la résistance 

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZD Tech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je m’appelle Clarisse Treilles, et aujourd’hui je vous explique pourquoi le fax, que l’on croyait mort et enterré, fait de la résistance.  L’arrivée d’internet n’a pas mis totalement fin au télécopieur. Même en 2022, on trouve ici et là quelques poches de résistance, malgré la généralisation du courrier électronique.  Le fax, cet appareil électronique qui permet d’envoyer une copie exacte d’une page de texte ou d’images au destinataire, en utilisant une ligne téléphonique, est notamment encore répandu au Japon. Alors que l’archipel nippon traîne des pieds en matière de transition numérique, bon nombre d’employés utilisent encore des fax pour échanger des documents, comme il y a quarante ans.  Ces vieilles habitudes s’observent surtout dans le public. Les ministères et les agences japonaises utilisent en effet le fax pour traiter des informations hautement confidentielles, comme les procédures judiciaires et le travail de la police.  Dans le même temps, ailleurs dans le monde, l’adieu au télécopieur prend son temps. Au Royaume-Uni, l’Ofcom, l’autorité britannique de régulation des communications, pense à modifier les règles de télécommunication qui pourraient officialiser l’obsolescence du fax. Des modifications qui pourraient intervenir en 2023, nous dit un article de la BBC.  L’Ofcom veut, pour faire court, retirer le fax de la liste des services universels obligatoires que doivent fournir les opérateurs telcos. Ces règles avaient été mises en place au début des années 2000, à une époque où le courrier électronique n’était pas aussi répandu qu’il l’est aujourd’hui. A présent, les alternatives aux télécopieurs sont plus largement disponibles, à commencer par les pièces jointes par mail et les scans directement via smartphones.  En France, Free proposait encore jusqu’à présent des services fax à ses abonnés. Mais l’opérateur français va bientôt couper les frais : il a programmé la fin de son service de fax le 30 novembre prochain. Dans une quinzaine de jours, les clients ne pourront plus utiliser son service lancé en 2007 pour envoyer et recevoir des fax gratuitement, en ligne.  On peut lire un message lapidaire sur les pages d’assistance de Free pour prévenir de l’arrêt prochain du service. Un mot qui passe presque comme une lettre à la poste, en 2022, où la majorité du public ne l’utilisait déjà plus.    Et voilà, normalement on a fait le tour du sujet. Pour en savoir plus, rendez-vous sur notre site internet. Et retrouvez tous les jours un nouvel épisode du ZDTech sur vos plateformes de podcast préférées. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 15, 2022

  • Vers déclin inéluctable d’AMP de Google ? cover
    Vers déclin inéluctable d’AMP de Google ? cover
    Vers déclin inéluctable d’AMP de Google ?

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZD Tech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je m’appelle Clarisse Treilles, et aujourd’hui je vous explique pourquoi le format AMP de Google décline inéluctablement. Ces trois lettres, “AMP”, ne vous parlent peut-être pas, mais vous les avez sûrement déjà croisées sans même le savoir dans vos recherches en ligne. Ce sigle-  pour “Accelerated Mobile Pages” - renvoie à un format d’affichage des pages web sur mobile déployé par Google depuis 2016. Destiné à l’origine à améliorer l’expérience sur mobile en diminuant le temps de chargement des pages, ce format est aujourd’hui remis en question. Ses premiers clients, les éditeurs de presse, lui tournent tout bonnement le dos après une série de revirements techniques imposés par Google, qui n’ont visiblement pas bonne presse. Au départ, AMP a rapidement été adoptée par de nombreux éditeurs de presse. Plusieurs raisons expliquent ce mouvement : d’une part, l’importance grandissante de la consultation de sites web via mobile et les l’intérêt économique derrière ce regain d’audience, et d’autre part, les avantages de référencement offerts par ce format, puisque Google Search a pendant un temps mis en avant en exclusivité ces formats AMP dans son carrousel tant convoité. Sans compter que l’intérêt des éditeurs pour AMP s’est renforcé dès lors que Google a accordé une prime à la vitesse de chargement dans le classement des résultats de recherche. Fin 2020, près de 90% des éditeurs français de presse utilisaient alors AMP. Mais force est de constater que cette hype a été de courte durée, puisque de plus en plus d’éditeurs abandonnent aujourd’hui ce format. L’une des raisons principales de ce revirement est la décision de Google en 2021, de cesser d’accorder l'exclusivité du carrousel aux contenus affichés en format AMP. S’en sont suivi d’autres changements techniques impopulaires. Par exemple, les restrictions imposées dans les règles de développement d’AMP ont rendu le tracking des utilisateurs plus complexe à mettre en œuvre côté éditeurs, impactant in fine leurs revenus publicitaires. Le recours systématique à un serveur cache Google pose également question. Via ses serveurs de cache, Google devient le fournisseur du contenu, ce qui a pour conséquence de limiter encore plus le suivi des internautes pour les éditeurs. Les éditeurs deviennent techniquement tierces parties sur leur propre contenu. Les éditeurs de presse sont loin d’être les seuls acteurs d’internet à se désengager d’AMP. Pour preuve, Twitter ne supporte plus les redirections vers les pages AMP depuis novembre 2021, comme le rappelle le PEReN, le pôle d’expertise de la régulation numérique, dans un récent rapport sur le sujet. Plus récemment, les navigateurs Brave et DuckDuckGo ont choisi de rediriger les pages AMP vers les pages d’origine non-AMP. Et de nombreuses extensions permettent aussi de contourner la technologie sur tous les navigateurs. Et voilà, normalement on a fait le tour du sujet. Pour en savoir plus, rendez-vous sur notre site internet. Et retrouvez tous les jours un nouvel épisode du ZDTech sur vos plateformes de podcast préférées. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 14, 2022

  • Frankencloud, le monstre du cloud qui vous guette cover
    Frankencloud, le monstre du cloud qui vous guette cover
    Frankencloud, le monstre du cloud qui vous guette

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZDTech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je suis Guillaume Serries et aujourd'hui je vous explique pourquoi la complexité de l'architecture cloud peut tuer votre projet de migration, surtout en matière de cloud hybride. L'adoption du cloud ne ralentit pas. Mais cela ne signifie pas que 2023 sera une année facile pour les utilisateurs de services informatiques à la demande. Selon un récent rapport du Gartner, les dépenses mondiales de services de cloud public devraient augmenter de 20,7 % pour atteindre 592 milliards de dollars en 2023, contre 490 milliards de dollars en 2022. Dans le même temps, KPMG affirme que neuf entreprises sur dix considèrent que leur adoption des systèmes de cloud computing est désormais "avancée". Et que près des trois quarts d'entre elles sont désormais en train de migrer des charges de travail stratégiques vers le cloud. Bref, le cloud computing est désormais considéré comme un pilier fondamental de la technologie pour de nombreuses entreprises. De quoi booster les recrutements dans ce secteur, mais de moins en moins dans les DSI des grandes entreprises. "Nous cherchons à nous défaire des compétences sur le stockage, le calcul, bref, sur l'infrastructure" indiquait avant-hier Frédéric Vincent, le DSI du groupe Renault, en commentaire de l'accord entre la marque au losange et Google Cloud. Autre point saillant du développement du cloud, le manque de personnel dans le domaine de la cybersécurité. Les entreprises doivent faire face à un double défi dans ce domaine, soit une demande extrême et des taux élevés d'attrition liés au stress et à l'épuisement professionnel. IBM précise que c'est tout particulièrement l'essor du cloud hybride qui soulève des défis spécifiques en matière de sécurité. Pourquoi ? Parce que la nature hybride de ce type de cloud crée davantage de points d'entrée potentiels pour les pirates. Par ailleurs, la mise en place des infrastructures de cloud, qu'elles soient hybrides, privées ou publiques, devient plus complexe. IBM explique que les entreprises utilisatrices doivent éviter d'être victimes du "Frankencloud", c'est à dire un environnement difficile à maîtriser et presque impossible à sécuriser. Un exemple ? Les dépendances à des services tiers dans les infrastructures de cloud créent des vulnérabilités supplémentaires et des "angles morts" qui peuvent être exploités par les pirates. La solution ? Adopter une approche holistique de la sécurité et surtout une vision claire des données hébergées dans l'infrastructure. Côté prévisions, le Gartner s'attend à ce que les services de PaaS, soit Platform-as-a-Service, et de SaaS, c'est à dire Software-as-a-Service, subissent les impacts les plus importants de l'inflation qui devrait se maintenir au moins au cours des 12 prochains mois. La cause ? Encore une fois les problèmes de personnel. Sid Nag, analyste du Gartner, mentionne que "des salaires plus élevés et un personnel plus qualifié sont nécessaires pour développer des applications de SaaS modernes" et ce alors que "les entreprises devront relever le défi de réduire les embauches pour contrôler les coûts". Quoi qu'il en soit, les perspectives pour les professionnels du cloud en 2023 restent optimistes, pour l'instant. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 10, 2022

  • Comment les fabricants de puces veulent passer au vert cover
    Comment les fabricants de puces veulent passer au vert cover
    Comment les fabricants de puces veulent passer au vert

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZDTech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je suis Guillaume Serries et aujourd'hui je vous explique pourquoi et comment les fabricants de puces veulent passer au vert, et profitent de la COP27 pour le faire savoir. Alors cette semaine les lumières de l'actualité sont en grande partie rivés sur Charm el-Cheikh, en Egypte, où se tient la 27ème édition de la COP, acronyme de la Conférence des Parties. Une réunion des états censée lutter contre le réchauffement climatique. C'est dans ce contexte qu'un nouveau consortium de fabricants et de fournisseurs de puces électroniques vient de voir le jour, avec pour objectif de réduire l'empreinte carbone du secteur. Baptisée Semiconductor Climate Consortium, SCC, ce groupement souhaite réduire les émissions de gaz à effet de serre "tout au long de la chaîne de valeur de l'électronique". Les membres fondateurs de ce consortium ont tous affirmé leur soutien à l'accord de Paris, qui vise à limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius. Mais avant tout, ces 60 membres reconnaissent, je cite, "l'impact de l'industrie sur le climat et la nécessité de mettre davantage l'accent sur la collaboration pour stimuler la croissance durable". Reste que les objectifs quantitatifs ne sont pas encore connus, et restent semble t-il à définir. Les membres du consortium s'engagent néanmoins d'ors et déjà à collaborer côté innovations technologiques pour réduire de manière continue les émissions de gaz à effet de serre. Il vont également rendre compte publiquement et de manière annuelle des progrès réalisés et des émissions de carbone. Enfin, ils vont fixer des objectifs de décarbonisation à court et à long terme dans le but d'atteindre des émissions nettes nulles d'ici 2050. Alors qui sont les poids lourds du secteur des puces qui participent à ce consortium ? Et bien l'on trouve des propriétaires de fabs de semi-conducteurs, comme GlobalFoundries, Intel, Micron, Samsung Electronics, SK Hynix ou encore TSMC. Mais dans les membres de cette association se trouvent également des entreprises sans usine de fabrication, comme AMD, Google et Microsoft. Enfin, on trouve également des fournisseurs d'équipements, de produits chimiques et de technologies d'emballage, qui participent activement à l'économie de ce secteur. La formation du consortium intervient à un moment où la construction de nouvelles usines de fabrication de puces, appelées fabs, est en plein essor. Intel a récemment commencé à construire de nouvelles usines dans l'Ohio, un État au nord des Etats-Unis. L'objectif d'Intel est de faire en sorte que le nouveau site soit alimenté à 100 % par de l'électricité renouvelable, de parvenir à une utilisation nette positive de l'eau et n'émettre aucun déchet. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 9, 2022

  • Meta, Twitter ; pourquoi les géants de la Tech licencient en masse cover
    Meta, Twitter ; pourquoi les géants de la Tech licencient en masse cover
    Meta, Twitter ; pourquoi les géants de la Tech licencient en masse

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZDTech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je suis Guillaume Serries et aujourd'hui je vous explique pourquoi les entreprises de la Tech commencent à licencier massivement. C'est l'une des grandes tendances tech de la fin de cette fin d'année 2022. Meta, l'éditeur de Facebook, WhatsApp ou encore Instagram, doit cette semaine procéder à des licenciements à grande échelle. Twitter de son côté à la semaine dernière viré la moitié de ses 7500 salariés, et ce suite au rachat par Elon Musk de la société. Alors, pourquoi cette nouvelle tendance, et surtout, cela va t-il toucher toutes les sociétés du secteur, petites comme grandes. Chez, Meta, c'est un article du Wall Street Journal qui nous apprend que plusieurs milliers d'employés devraient être informés dès ce mercredi de leur départ. Meta comptait en septembre dernier 87 000 employés. Ce n'est pas une petite affaire. Car Meta, qui s'appelait jusqu'à cette année Facebook, n'a jamais procédé à des licenciements importants en 18 années d'existence. "En réalité, il y a probablement un tas de personnes dans l'entreprise qui ne devraient pas être là" déclarait Mark Zuckerberg en juin dernier aux employés lors d'une réunion de l'entreprise. Alors pourquoi ? Il semble bien que les contraintes budgétaires liées à de moindres performances financières pèsent directement sur la masse salariale de Meta désormais. L'action de Meta a chuté de plus de 70 % cette année. Meta prévoit de réduire ses dépenses d'au moins 10 % dans les mois à venir, et cela semble devoir se faire sur le dos des salariés du groupe. Mais Meta a aussi beaucoup recruté pendant la pandémie de Covid 19, pour faire face à l'explosion de la consommation de produits en ligne. L'entreprise a recruté 43 000 personnes depuis 2020, soit pas loin de la moitié de ses effectifs actuels, et ce dans un contexte où la concurrence n'a jamais autant montré les dents, à commencer par TikTok. Enfin, l'explosion des coûts de Meta provient de son programme de métavers. 15 milliards de dollars ont déjà été engloutis. Ces investissements vont se poursuivre, mais le retour sur investissement se fait déjà attendre. Et en attendant, il faut dégraisser la masse salariale. La semaine dernière, c'est Twitter qui licenciait la moitié de ses 7500 salariés. Dans le même temps, l'entreprise fermait temporairement ses bureaux. Ici il s'agit à la fois d'un changement de business modèle et d'une nouvelle stratégie d'entreprise. Elon Musk a contracté des emprunts d'un montant de 13 milliards de dollars pour acquérir la société, et il veut passer d'un modèle gratuit basé sur la publicité à un modèle payant basé sur l'abonnement et la publicité. Mais avec plus de 3500 licenciements, on ne fait pas dans le détail. On apprend ce jour que l'entreprise contacte désormais des dizaines d'employés qui ont perdu leur emploi et leur demande de revenir. Oui, ils auraient été licenciés par... erreur. Reste que le mouvement de suppression d'emploi ne touche pas que Meta et Twitter. Jeudi dernier, deux sociétés de la Silicon Valley, Stripe et Lyft, ont fait part de licenciements de grande ampleur tandis qu'Amazon a gelé les embauches dans ses bureaux. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 8, 2022

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    Finis les mots de passe, bienvenue aux clés de passe

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZDTech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je m’appelle Guillaume Serries et aujourd’hui, je vous explique pourquoi nous allons passer des mots de passe aux clés de passe. Et surtout, pourquoi c'est mieux. Adieu les mots de passe ? L'éditeur de gestionnaire de mot de passe 1Password vient d'annoncer qu'il supportera en 2023 les clés de passe ou clés d'accès. Et une démo est d'ors et déjà disponible. Mais qu'est ce que sont les clés de passe ? Les passkeys, c'est le terme en anglais, utilisent la norme WebAuthn, créée par l'Alliance FIDO et le World Wide Web Consortium - le W3C - et servent à remplacer les mots de passe par des paires de clés cryptographiques. Cette paire est composée d'une clé publique qui peut être partagée et une clé privée qui ne l'est pas, et qui permettent aux utilisateurs de se connecter à des comptes. WebAuthn est pris en charge par Google Chrome, Apple Safari et Microsoft Edge. Les clés WebAuthn fonctionnent également avec des systèmes biométriques comme Face ID d'Apple et Windows Hello de Microsoft. 1Password rejoindra donc Apple, Google et Microsoft qui ont déjà mis des passkeys à la disposition des développeurs et des utilisateurs pour leurs navigateurs et systèmes d'exploitation respectifs. Le mois dernier, PayPal a ajouté la prise en charge des passkeys sur iPhone, iPad et Mac pour se connecter à PayPal.com. Mais quelle est la différence entre les passkeys et les mots de passe ? Et bien les passkeys sont plus résistants que les mots de passe au phishing et aux attaques par force brute sur les mots de passe. Ils permettent également de se passer d'un code d'authentification à deux facteurs, qui sécurise mieux les mots de passe. 1Password affirme que les principaux avantages des passkeys sont qu'elles sont fortes par défaut, et surtout qu'il n'est pas nécessaire de les mémoriser puisqu'elles sont stockées sur l'appareil. Surtout, la clé privée n'est pas partagée avec le site Web auquel on se connecte. Et enfin, la clé publique ne peut pas être utilisée pour deviner la clé privée. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 22, 2022

  • Les Tuvaluans premiers réfugiés climatiques du metaverse cover
    Les Tuvaluans premiers réfugiés climatiques du metaverse cover
    Les Tuvaluans premiers réfugiés climatiques du metaverse

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZD Tech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je m’appelle Clarisse Treilles, et aujourd’hui nous allons voir comment un archipel du Pacifique menacé de disparaître imagine son avenir dans le metaverse.  Le petit pays insulaire de Tulavu, à mi-chemin Hawaï et l’Australie dans l’Océan Pacifique, ne veut pas disparaître. Menacé par la montée des eaux, l’archipel de Tuvalu compte sur le Metaverse pour ne pas finir comme l’Atlantide.  Les dangers d'une submersion marine partielle sont particulièrement importants pour les pays insulaires du Pacifique, qui sont déjà confrontés à des inondations, des tsunamis et des cyclones dangereux. Alors que la Cop 27 vient de se terminer, le gouvernement de Tuvalu ne voit qu’une issue possible aux perspectives sombres des climatologues  : devenir la première nation numérique du monde.  Dans une interview filmée, le ministre des affaires étrangères, Simon Kofe, a déclaré que son pays devait réfléchir à d’autres moyens de se préserver face à l'augmentation du niveau des eaux.  Recréer un jumeau numérique de l’archipel dans le metaverse apparaît comme une solution de dernier recours. A défaut de sauver l’archipel de disparition, cela pourrait permettre à ses 12 000 habitants d’en préserver l’histoire et la culture pour les générations à venir… au moins virtuellement.  Le metaverse pourrait préserver les points de repère physiques de Tuvalu, comme les églises et les monuments. Le métavers hébergerait également la culture du pays, comme la langue et les coutumes, afin que le peuple de l’archipel puisse s'engager dans des pratiques culturelles de n'importe où dans le monde. Si le recours au métavers est bien le scénario du pire, l'inaction à l'échelle mondiale a forcé Tuvalu à envisager de faire du métavers sa nouvelle maison. Mais cette situation soulève une autre question : le métavers est-il capable d'accueillir un pays entier ? Il pourrait y avoir des problèmes de puissance de calcul et de prix des casques de réalité virtuelle. D’autant que le metaverse n'est pas nécessairement une alternative écologique. Et voilà, normalement on a fait le tour du sujet. Pour en savoir plus, rendez-vous sur notre site internet. Et retrouvez tous les jours un nouvel épisode du ZDTech sur vos plateformes de podcast préférées. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 21, 2022

  • Pourquoi la CNIL avertit les supporters français qui se rendent au Qatar de laisser leur smartphone à la maison cover
    Pourquoi la CNIL avertit les supporters français qui se rendent au Qatar de laisser leur smartphone à la maison cover
    Pourquoi la CNIL avertit les supporters français qui se rendent au Qatar de laisser leur smartphone à la maison

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZDTech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je suis Guillaume Serries et aujourd'hui je vous explique pourquoi la CNIL avertit les supporters français qui se rendent au Qatar de laisser leur smartphone à la maison. Vous avez toujours envie d'aller supporter les Bleus au Qatar ? Je dis - toujours envie - parce qu'à l'approche du match d'ouverture de la Coupe du Monde, ce dimanche, les polémiques explosent sur le bien fondé de l'attribution de cette compétition à ce pays. Et côté tech et protection des données personnelle aussi, il semble qu'il y ait quelques soucis. Sachez déjà que le Qatar interdit de filmer et de prendre des photos avec votre smartphone dans les bâtiments gouvernementaux, les écoles, les logements pour travailleurs migrants, les lieux de culte et les hôpitaux.  Mais ce n'est pas tout. La CNIL française - la la Commission nationale de l'informatique et des libertés - recommande aux supporter de voyager avec un smartphone vierge, ou d'utiliser un ancien téléphone remis à zéro. Voire de prendre un téléphone jetable prépayé. Et pourquoi donc ?  Et bien parce que le gouvernement qatari incite fortement des ressortissants étrangers qui foulent leur territoire d'installer deux applications mobiles qui s'apparentent, selon les experts en cybersécurité, à des logiciels d'espionnage. La première application, nommée "Hayya", permet de s'orienter et de se rendre aux matchs. La seconde application, nommée elle "Ehteraz", permet de suivre l'épidémie de Covid-19.  Et ces deux applications mobiles puiseraient a gogo dans vos données hébergées dans vos smartphones. Pire, ces deux applications permettraient de supprimer ou de modifier le contenu de votre téléphone, et même, cerise sur le gâteau, de passer des appels.  "L'une des applications collecte des données pour savoir si un appel téléphonique est passé et avec quel numéro", a déclaré de son côté l'autorité allemande de protection des données. "L'autre app empêche l'appareil sur lequel elle est installée de se mettre en mode veille." Bien sûr, les conditions générales d'utilisation de ces applications sont explicites à ce sujet. Mais oui, vous aussi vous en les lisez pas. Le ministre français du numérique, Jean-Noël Barrot, a de son côté insisté sur le fait que contrairement à la France, le RGPD n'existe par au Qatar. D'où l'idée poussée par le CNIL de voyager avec un smartphone vierge de toutes informations personnelles. Et si jamais vous tenez absolument a emporter votre smartphone dans les stades qatari, le gendarme français de la vie privée conseille de - je cite - "limiter les autorisations systèmes à celles strictement nécessaires".  La CNIL recommande également aux voyageurs d'installer les applications juste avant leur départ et de les supprimer dès leur retour en France, ou encore de ne se connecter qu'à des réseaux Wi-Fi sécurisés.  "En tout état de cause, une vigilance particulière sera à apporter au contenu qui pourrait vous placer en difficulté vis-à-vis de la législation du pays visité", ajoute l'autorité de protection des données. Et d'illustrer le propos avec des contenus LGBT+ interdits dans le pays. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 18, 2022

  • Les tendances RH qui vont façonner l'année 2023 cover
    Les tendances RH qui vont façonner l'année 2023 cover
    Les tendances RH qui vont façonner l'année 2023

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZD Tech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je m’appelle Clarisse Treilles, et aujourd’hui nous allons nous intéresser aux tendances RH qui vont façonner l’année 2023.  Dans un monde post-pandémique, l’environnement de travail a été bouleversé. Le télétravail et le travail hybride ont gagné les usages, forçant nombre d’entreprises à composer avec des équipes dispersées, qui collaborent à distance avec plus de flexibilité que par le passé. En 2023, certaines tendances RH pourraient bien s’accentuer, et avec elles, des conséquences bien réelles sur notre manière de travailler. Prenons quelques exemples. Tout d’abord, il est certain que le travail hybride n’est pas prêt de disparaître. Bien que de nombreuses entreprises forcent leurs employés à revenir au bureau - et nous en avons eu un exemple très récent chez Twitter -, ces dernières ne lâchent pas le travail hybride et à distance pour autant.  Et avec une inflation qui augmente encore le coût de la vie, les employés ne voudront peut-être pas dépenser plus pour acheter de l’essence, un déjeuner à l’extérieur ou encore le café du matin. Sans compter que de nombreux bureaux se débarrassent également des agencements traditionnels, maintenant que les employés travaillent régulièrement depuis chez eux. Bon nombre d’experts des ressources humaines s’accordent à dire que les réaménagements de bureaux dans les années à venir pourraient favoriser le travail collaboratif et réinventer profondément l’open space. Deuxième tendance à laquelle on peut s’attendre l’année prochaine : l’investissement en hausse dans les formations, pour permettre aux salariés de se doter des compétences dont ils ont besoin.  D’ailleurs, selon une enquête récente d’Amazon et de Workplace Intelligence, plus de 80 % des employés placent l’amélioration de leurs compétences en tête de leurs priorités pour l’année prochaine. Finalement, quelle que soit l’organisation de travail adoptée, le mot d’ordre en 2023 est la flexibilité. L'équilibre entre vie professionnelle et personnelle est devenu un enjeu précieux. Les phénomènes que l’on observe ces derniers temps, tels que le “quiet quitting” ou la Grande Démission aux Etats-Unis, sont la preuve que les entreprises qui ne parviennent pas à injecter plus de flexibilité dans leur organisation de travail pourraient risquer de perdre leurs meilleurs talents. Et voilà, normalement on a fait le tour du sujet. Pour en savoir plus, rendez-vous sur notre site internet. Et retrouvez tous les jours un nouvel épisode du ZDTech sur vos plateformes de podcast préférées. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 17, 2022

  • Pourquoi la NSA veut que vous changiez de langage de programmation cover
    Pourquoi la NSA veut que vous changiez de langage de programmation cover
    Pourquoi la NSA veut que vous changiez de langage de programmation

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZDTech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je suis Guillaume Serries et aujourd'hui je vous explique pourquoi la NSA vous demande de changer votre langage de programmation pour améliorer la sécurité de votre code. C'est un message que tient à faire passer la NSA - la principale Agence américaine de renseignement - aux développeurs. Il faut en finir avec les langages C et C++. Et pourquoi donc ? Parce que ces langages sont susceptibles de permettre des attaques informatiques qui utilisent la mémoire informatique. Et se passer de C ou C++ pourrait signifier une réorientation vers C#, Go, Java, Ruby, Rust ou encore Swift. Et ces langages ont par ailleurs déjà fait leur preuve. Un exemple ? Java est le langage le plus utilisé dans les entreprises et pour le développement d'applications Android. Un autre exemple ? Swift figure dans le top 10 des langages de programmation les plus utilisés, notamment bien sûr grâce au développement d'applications sous iOS. L'agence d'espionnage américaine cite des recherches récentes de Google et de Microsoft selon lesquelles 70 % des problèmes de sécurité dans le navigateur Chrome et le système d'exploitation Windows, sont liés à la mauvaise gestion de la mémoire avec les langages de programmation C et C++. Reste la question de savoir pourquoi C et C++ ont des problèmes de mémoire. "Ils offrent beaucoup de liberté et de souplesse dans la gestion de la mémoire tout en s'appuyant fortement sur le programmeur pour effectuer les vérifications nécessaires sur les références mémoire" mentionne la NSA. L'Agence recommande donc d'utiliser un langage à mémoire sécurisée lorsque cela est possible. Et le langage Rust semble être le principal candidat au "remplacement" de C et C++. Le noyau Linux d'ailleurs a récemment introduit Rust comme deuxième langage après le C. Ces projets développés en Rust ne remplaceront pas l'ancien code C ou C++. Oui, ce sont de nouveaux projets qui auront les faveurs de ce nouveau langage. Même son de cloche chez Microsoft. Mark Russinovich, le directeur technique de Microsoft Azure, a récemment appelé tous les développeurs à utiliser Rust plutôt que C et C++ pour tous les nouveaux projets. Il faut cependant bien comprendre que l'utilisation d'un langage sécurisé pour la mémoire n'empêche pas par défaut l'introduction de bugs de mémoire dans les logiciels. De plus, les langages autorisent souvent des bibliothèques qui ne sont pas écrites dans des langages sûrs pour la mémoire. Enfin, La NSA note que certains langages recommandés peuvent avoir un coût en termes de performances. Donc dans ce cas là, les développeurs peuvent prendre des mesures pour renforcer la sécurité les langages non sécurisés en mémoire. L'équipe Chrome de Google par exemple, étudie plusieurs méthodes pour renforcer le langage C++. Et il semble que C++ restera dans la base de code de Chrome dans un avenir prévisible. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 16, 2022

  • Quand le fax fait de la résistance  cover
    Quand le fax fait de la résistance  cover
    Quand le fax fait de la résistance 

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZD Tech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je m’appelle Clarisse Treilles, et aujourd’hui je vous explique pourquoi le fax, que l’on croyait mort et enterré, fait de la résistance.  L’arrivée d’internet n’a pas mis totalement fin au télécopieur. Même en 2022, on trouve ici et là quelques poches de résistance, malgré la généralisation du courrier électronique.  Le fax, cet appareil électronique qui permet d’envoyer une copie exacte d’une page de texte ou d’images au destinataire, en utilisant une ligne téléphonique, est notamment encore répandu au Japon. Alors que l’archipel nippon traîne des pieds en matière de transition numérique, bon nombre d’employés utilisent encore des fax pour échanger des documents, comme il y a quarante ans.  Ces vieilles habitudes s’observent surtout dans le public. Les ministères et les agences japonaises utilisent en effet le fax pour traiter des informations hautement confidentielles, comme les procédures judiciaires et le travail de la police.  Dans le même temps, ailleurs dans le monde, l’adieu au télécopieur prend son temps. Au Royaume-Uni, l’Ofcom, l’autorité britannique de régulation des communications, pense à modifier les règles de télécommunication qui pourraient officialiser l’obsolescence du fax. Des modifications qui pourraient intervenir en 2023, nous dit un article de la BBC.  L’Ofcom veut, pour faire court, retirer le fax de la liste des services universels obligatoires que doivent fournir les opérateurs telcos. Ces règles avaient été mises en place au début des années 2000, à une époque où le courrier électronique n’était pas aussi répandu qu’il l’est aujourd’hui. A présent, les alternatives aux télécopieurs sont plus largement disponibles, à commencer par les pièces jointes par mail et les scans directement via smartphones.  En France, Free proposait encore jusqu’à présent des services fax à ses abonnés. Mais l’opérateur français va bientôt couper les frais : il a programmé la fin de son service de fax le 30 novembre prochain. Dans une quinzaine de jours, les clients ne pourront plus utiliser son service lancé en 2007 pour envoyer et recevoir des fax gratuitement, en ligne.  On peut lire un message lapidaire sur les pages d’assistance de Free pour prévenir de l’arrêt prochain du service. Un mot qui passe presque comme une lettre à la poste, en 2022, où la majorité du public ne l’utilisait déjà plus.    Et voilà, normalement on a fait le tour du sujet. Pour en savoir plus, rendez-vous sur notre site internet. Et retrouvez tous les jours un nouvel épisode du ZDTech sur vos plateformes de podcast préférées. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 15, 2022

  • Vers déclin inéluctable d’AMP de Google ? cover
    Vers déclin inéluctable d’AMP de Google ? cover
    Vers déclin inéluctable d’AMP de Google ?

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZD Tech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je m’appelle Clarisse Treilles, et aujourd’hui je vous explique pourquoi le format AMP de Google décline inéluctablement. Ces trois lettres, “AMP”, ne vous parlent peut-être pas, mais vous les avez sûrement déjà croisées sans même le savoir dans vos recherches en ligne. Ce sigle-  pour “Accelerated Mobile Pages” - renvoie à un format d’affichage des pages web sur mobile déployé par Google depuis 2016. Destiné à l’origine à améliorer l’expérience sur mobile en diminuant le temps de chargement des pages, ce format est aujourd’hui remis en question. Ses premiers clients, les éditeurs de presse, lui tournent tout bonnement le dos après une série de revirements techniques imposés par Google, qui n’ont visiblement pas bonne presse. Au départ, AMP a rapidement été adoptée par de nombreux éditeurs de presse. Plusieurs raisons expliquent ce mouvement : d’une part, l’importance grandissante de la consultation de sites web via mobile et les l’intérêt économique derrière ce regain d’audience, et d’autre part, les avantages de référencement offerts par ce format, puisque Google Search a pendant un temps mis en avant en exclusivité ces formats AMP dans son carrousel tant convoité. Sans compter que l’intérêt des éditeurs pour AMP s’est renforcé dès lors que Google a accordé une prime à la vitesse de chargement dans le classement des résultats de recherche. Fin 2020, près de 90% des éditeurs français de presse utilisaient alors AMP. Mais force est de constater que cette hype a été de courte durée, puisque de plus en plus d’éditeurs abandonnent aujourd’hui ce format. L’une des raisons principales de ce revirement est la décision de Google en 2021, de cesser d’accorder l'exclusivité du carrousel aux contenus affichés en format AMP. S’en sont suivi d’autres changements techniques impopulaires. Par exemple, les restrictions imposées dans les règles de développement d’AMP ont rendu le tracking des utilisateurs plus complexe à mettre en œuvre côté éditeurs, impactant in fine leurs revenus publicitaires. Le recours systématique à un serveur cache Google pose également question. Via ses serveurs de cache, Google devient le fournisseur du contenu, ce qui a pour conséquence de limiter encore plus le suivi des internautes pour les éditeurs. Les éditeurs deviennent techniquement tierces parties sur leur propre contenu. Les éditeurs de presse sont loin d’être les seuls acteurs d’internet à se désengager d’AMP. Pour preuve, Twitter ne supporte plus les redirections vers les pages AMP depuis novembre 2021, comme le rappelle le PEReN, le pôle d’expertise de la régulation numérique, dans un récent rapport sur le sujet. Plus récemment, les navigateurs Brave et DuckDuckGo ont choisi de rediriger les pages AMP vers les pages d’origine non-AMP. Et de nombreuses extensions permettent aussi de contourner la technologie sur tous les navigateurs. Et voilà, normalement on a fait le tour du sujet. Pour en savoir plus, rendez-vous sur notre site internet. Et retrouvez tous les jours un nouvel épisode du ZDTech sur vos plateformes de podcast préférées. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 14, 2022

  • Frankencloud, le monstre du cloud qui vous guette cover
    Frankencloud, le monstre du cloud qui vous guette cover
    Frankencloud, le monstre du cloud qui vous guette

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZDTech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je suis Guillaume Serries et aujourd'hui je vous explique pourquoi la complexité de l'architecture cloud peut tuer votre projet de migration, surtout en matière de cloud hybride. L'adoption du cloud ne ralentit pas. Mais cela ne signifie pas que 2023 sera une année facile pour les utilisateurs de services informatiques à la demande. Selon un récent rapport du Gartner, les dépenses mondiales de services de cloud public devraient augmenter de 20,7 % pour atteindre 592 milliards de dollars en 2023, contre 490 milliards de dollars en 2022. Dans le même temps, KPMG affirme que neuf entreprises sur dix considèrent que leur adoption des systèmes de cloud computing est désormais "avancée". Et que près des trois quarts d'entre elles sont désormais en train de migrer des charges de travail stratégiques vers le cloud. Bref, le cloud computing est désormais considéré comme un pilier fondamental de la technologie pour de nombreuses entreprises. De quoi booster les recrutements dans ce secteur, mais de moins en moins dans les DSI des grandes entreprises. "Nous cherchons à nous défaire des compétences sur le stockage, le calcul, bref, sur l'infrastructure" indiquait avant-hier Frédéric Vincent, le DSI du groupe Renault, en commentaire de l'accord entre la marque au losange et Google Cloud. Autre point saillant du développement du cloud, le manque de personnel dans le domaine de la cybersécurité. Les entreprises doivent faire face à un double défi dans ce domaine, soit une demande extrême et des taux élevés d'attrition liés au stress et à l'épuisement professionnel. IBM précise que c'est tout particulièrement l'essor du cloud hybride qui soulève des défis spécifiques en matière de sécurité. Pourquoi ? Parce que la nature hybride de ce type de cloud crée davantage de points d'entrée potentiels pour les pirates. Par ailleurs, la mise en place des infrastructures de cloud, qu'elles soient hybrides, privées ou publiques, devient plus complexe. IBM explique que les entreprises utilisatrices doivent éviter d'être victimes du "Frankencloud", c'est à dire un environnement difficile à maîtriser et presque impossible à sécuriser. Un exemple ? Les dépendances à des services tiers dans les infrastructures de cloud créent des vulnérabilités supplémentaires et des "angles morts" qui peuvent être exploités par les pirates. La solution ? Adopter une approche holistique de la sécurité et surtout une vision claire des données hébergées dans l'infrastructure. Côté prévisions, le Gartner s'attend à ce que les services de PaaS, soit Platform-as-a-Service, et de SaaS, c'est à dire Software-as-a-Service, subissent les impacts les plus importants de l'inflation qui devrait se maintenir au moins au cours des 12 prochains mois. La cause ? Encore une fois les problèmes de personnel. Sid Nag, analyste du Gartner, mentionne que "des salaires plus élevés et un personnel plus qualifié sont nécessaires pour développer des applications de SaaS modernes" et ce alors que "les entreprises devront relever le défi de réduire les embauches pour contrôler les coûts". Quoi qu'il en soit, les perspectives pour les professionnels du cloud en 2023 restent optimistes, pour l'instant. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 10, 2022

  • Comment les fabricants de puces veulent passer au vert cover
    Comment les fabricants de puces veulent passer au vert cover
    Comment les fabricants de puces veulent passer au vert

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZDTech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je suis Guillaume Serries et aujourd'hui je vous explique pourquoi et comment les fabricants de puces veulent passer au vert, et profitent de la COP27 pour le faire savoir. Alors cette semaine les lumières de l'actualité sont en grande partie rivés sur Charm el-Cheikh, en Egypte, où se tient la 27ème édition de la COP, acronyme de la Conférence des Parties. Une réunion des états censée lutter contre le réchauffement climatique. C'est dans ce contexte qu'un nouveau consortium de fabricants et de fournisseurs de puces électroniques vient de voir le jour, avec pour objectif de réduire l'empreinte carbone du secteur. Baptisée Semiconductor Climate Consortium, SCC, ce groupement souhaite réduire les émissions de gaz à effet de serre "tout au long de la chaîne de valeur de l'électronique". Les membres fondateurs de ce consortium ont tous affirmé leur soutien à l'accord de Paris, qui vise à limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius. Mais avant tout, ces 60 membres reconnaissent, je cite, "l'impact de l'industrie sur le climat et la nécessité de mettre davantage l'accent sur la collaboration pour stimuler la croissance durable". Reste que les objectifs quantitatifs ne sont pas encore connus, et restent semble t-il à définir. Les membres du consortium s'engagent néanmoins d'ors et déjà à collaborer côté innovations technologiques pour réduire de manière continue les émissions de gaz à effet de serre. Il vont également rendre compte publiquement et de manière annuelle des progrès réalisés et des émissions de carbone. Enfin, ils vont fixer des objectifs de décarbonisation à court et à long terme dans le but d'atteindre des émissions nettes nulles d'ici 2050. Alors qui sont les poids lourds du secteur des puces qui participent à ce consortium ? Et bien l'on trouve des propriétaires de fabs de semi-conducteurs, comme GlobalFoundries, Intel, Micron, Samsung Electronics, SK Hynix ou encore TSMC. Mais dans les membres de cette association se trouvent également des entreprises sans usine de fabrication, comme AMD, Google et Microsoft. Enfin, on trouve également des fournisseurs d'équipements, de produits chimiques et de technologies d'emballage, qui participent activement à l'économie de ce secteur. La formation du consortium intervient à un moment où la construction de nouvelles usines de fabrication de puces, appelées fabs, est en plein essor. Intel a récemment commencé à construire de nouvelles usines dans l'Ohio, un État au nord des Etats-Unis. L'objectif d'Intel est de faire en sorte que le nouveau site soit alimenté à 100 % par de l'électricité renouvelable, de parvenir à une utilisation nette positive de l'eau et n'émettre aucun déchet. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on November 9, 2022

  • Meta, Twitter ; pourquoi les géants de la Tech licencient en masse cover
    Meta, Twitter ; pourquoi les géants de la Tech licencient en masse cover
    Meta, Twitter ; pourquoi les géants de la Tech licencient en masse

    Bonjour à tous et bienvenue dans le ZDTech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je suis Guillaume Serries et aujourd'hui je vous explique pourquoi les entreprises de la Tech commencent à licencier massivement. C'est l'une des grandes tendances tech de la fin de cette fin d'année 2022. Meta, l'éditeur de Facebook, WhatsApp ou encore Instagram, doit cette semaine procéder à des licenciements à grande échelle. Twitter de son côté à la semaine dernière viré la moitié de ses 7500 salariés, et ce suite au rachat par Elon Musk de la société. Alors, pourquoi cette nouvelle tendance, et surtout, cela va t-il toucher toutes les sociétés du secteur, petites comme grandes. Chez, Meta, c'est un article du Wall Street Journal qui nous apprend que plusieurs milliers d'employés devraient être informés dès ce mercredi de leur départ. Meta comptait en septembre dernier 87 000 employés. Ce n'est pas une petite affaire. Car Meta, qui s'appelait jusqu'à cette année Facebook, n'a jamais procédé à des licenciements importants en 18 années d'existence. "En réalité, il y a probablement un tas de personnes dans l'entreprise qui ne devraient pas être là" déclarait Mark Zuckerberg en juin dernier aux employés lors d'une réunion de l'entreprise. Alors pourquoi ? Il semble bien que les contraintes budgétaires liées à de moindres performances financières pèsent directement sur la masse salariale de Meta désormais. L'action de Meta a chuté de plus de 70 % cette année. Meta prévoit de réduire ses dépenses d'au moins 10 % dans les mois à venir, et cela semble devoir se faire sur le dos des salariés du groupe. Mais Meta a aussi beaucoup recruté pendant la pandémie de Covid 19, pour faire face à l'explosion de la consommation de produits en ligne. L'entreprise a recruté 43 000 personnes depuis 2020, soit pas loin de la moitié de ses effectifs actuels, et ce dans un contexte où la concurrence n'a jamais autant montré les dents, à commencer par TikTok. Enfin, l'explosion des coûts de Meta provient de son programme de métavers. 15 milliards de dollars ont déjà été engloutis. Ces investissements vont se poursuivre, mais le retour sur investissement se fait déjà attendre. Et en attendant, il faut dégraisser la masse salariale. La semaine dernière, c'est Twitter qui licenciait la moitié de ses 7500 salariés. Dans le même temps, l'entreprise fermait temporairement ses bureaux. Ici il s'agit à la fois d'un changement de business modèle et d'une nouvelle stratégie d'entreprise. Elon Musk a contracté des emprunts d'un montant de 13 milliards de dollars pour acquérir la société, et il veut passer d'un modèle gratuit basé sur la publicité à un modèle payant basé sur l'abonnement et la publicité. Mais avec plus de 3500 licenciements, on ne fait pas dans le détail. On apprend ce jour que l'entreprise contacte désormais des dizaines d'employés qui ont perdu leur emploi et leur demande de revenir. Oui, ils auraient été licenciés par... erreur. Reste que le mouvement de suppression d'emploi ne touche pas que Meta et Twitter. Jeudi dernier, deux sociétés de la Silicon Valley, Stripe et Lyft, ont fait part de licenciements de grande ampleur tandis qu'Amazon a gelé les embauches dans ses bureaux. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on November 8, 2022

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