Speaker #0Aujourd'hui, j'ai quelque chose à partager qui concerne ces couples, ces couples d'ikarmik. Et quand on commence à voir qu'on ne va pas pouvoir continuer, ou qu'on ne va pas pouvoir continuer comme ça en tout cas, et malgré qu'il y ait un amour, qu'il y ait des sentiments très forts, Et aujourd'hui, j'ai eu la chance de rencontrer une personne qui m'a emmenée sur des connexions différentes et qui m'a posé, je dirais, la bonne question. Et cette personne me dit, mais Sylvie, pourquoi je pense que cet homme... Ce serait quand même possible et pourtant je sais que ce n'est pas possible. Pourquoi je vois sa pureté et pourquoi finalement dans le quotidien ce n'est pas possible ? Parce qu'il y a de la violence, parce qu'il y a de l'abus, parce que ça dépasse nos valeurs. Et là c'est tout simplement que quand on est avec quelqu'un avec qui on a peut-être signé un contrat karmique comme il est dit. Ou parce que simplement on reconnaît, on reconnaît une âme, on reconnaît un être, on pourrait se sentir à la maison, on se sent au chaud, on se sent bien, parce qu'on a cette sensation qu'on connaît, parce que ça remplit quelque chose en nous. C'est bien que ça parle finalement d'une part de manque en nous. Et quand ça parle d'une part de manque, Merci. c'est que je ne suis pas bien positionnée en moi encore. Cela veut dire que l'autre me montre cette part que je n'ai pas vue de moi, qui est en manque de quelque chose ou qui croit qu'il est en manque de quelque chose parce que pour moi c'est de l'ordre de la croyance. Cela veut dire que j'ai une croyance qui me colle encore et que cet être que j'ai rencontré, qui peut être d'une violence telle que finalement, attendez, quelque chose qui se passe sur mon ordinateur, voilà, qui est d'une violence telle qu'elle est en lien avec la violence ou la force que j'ai mis à ne pas l'avoir. La puissance de rejet ou la puissance de... Du reniement, je ne sais pas si ce mot existe, mais du fait de renier cette part-là de moi. Et cet être, il est un peu l'expression de ça. Je vais m'expliquer davantage pour que vous compreniez. Les histoires d'amour où on souffre. où finalement on essaye de faire en sorte que ça marche, où finalement parce que j'ai souffert avant, on ne peut pas être seul. Et finalement, la vie et le divin, c'est tellement extraordinaire que finalement... On rencontre la bonne personne, la bonne personne pour pouvoir avancer sur sa problématique, sur ce qu'on croit être finalement un... comment je dirais... Euh... attendez, je crois qu'il faut que je fasse quelques règles... Je pense qu'on croit être peut-être de l'incompatibilité. C'est juste une proposition de pouvoir dépasser cette protection. Cette ombre qui appartient à celui qui réagit, la réaction est peut-être des deux côtés, puisqu'on se fait avancer les deux personnes. Souvent on va rencontrer quelqu'un qui porte les mêmes traumas que nous, ou l'autre est le miroir pour nous montrer ce que l'on ne peut voir de nous. Du coup, pour voir cette division en nous. Donc, à partir du moment où je me sens perdue, diffractée, à la recherche d'eux, c'est que je suis divisée. Parce que quand on est de nouveau au cœur de soi, dans son soi, Dans cet espace où il y a le tout et je dirais peut-être même le rien, mais où il y a le je sais, où je suis positionnée de façon je dirais exponentielle, dans cet espace exponentiel qui est le présent, mais qui est aussi je pourrais dire dans mon expérience comment je le vis qui est aussi cette même porte je dirais à mes guidances intérieures parce qu'elle se situe à cet endroit c'est comme si j'étais relié à la haine à une forme de de vérité C'est même plus que ça, c'est une fréquence en fait, c'est une fréquence exponentielle. Je dirais que c'est quelque chose qui irradie et qui m'emmène là où je vais vivre et vivre le... meilleur où je vais vivre l'expansion de moi même où je vais traverser certainement des encore des phases qui vont être à des limitations inconnues encore mais qui sont juste des je dirais encore des croyances qui sont dans d'autres sphères bien plus hautes et qui vont confronter en fait ma capacité à vouloir recevoir davantage de lumière en fait pour moi c'est un peu ça bon je sais pas si je suis clair mais revenons Revenons à mon sujet de départ, ces histoires d'amour, ou cet autre, finalement, au vu du fait que, finalement, je m'aperçois que l'amour ne suffit pas, qu'il faut parfois du respect, qu'il faut parfois davantage d'écoute, où l'autre finalement n'est plus dans ses réactions et donc par conséquent dans l'activation de ses blessures. qui sont finalement inévitables, tant que je n'ai pas compris que ce sont mes blessures qui s'animent dans mes colères, et bien finalement l'autre ne peut qu'être éclaboussé par ces énergies finalement. Je dirais, c'est souillant, ça peut abîmer davantage, puisque là, ça veut dire qu'on est encore nous-mêmes dans cette blessure, puisqu'elle pénètre. On peut aussi vivre une histoire jusqu'à ce qu'on comprenne qu'en fait, non, on ne veut plus, on ne peut plus, et c'est stop. C'est stop des deux côtés. Parce qu'on sait pertinemment que ça ne peut pas durer comme ça, parce que les deux personnes souffrent. Et c'est à cet instant où on comprend qu'il y a un retour sur soi inévitable. Et un retour sur soi inévitable, peut-être du coup, c'est un peu comme quand on sature, quand on sature par l'alimentation, c'est-à-dire qu'on fait une indigestion d'un seul aliment. Et bien il y a un moment où on va faire une indigestion de l'autre, c'est parce qu'on ne peut pas continuer à laisser toute la place à l'autre. C'est ce que je vais appeler une diète sociale. On va avoir besoin, pour ça, d'un retournement sur soi. Et pour ça, parfois, en tant qu'empate, en tant que quelqu'un d'hypersensible qui reçoit des milliers d'informations et peut-être davantage que d'autres à un niveau de sensibilité tel que ça me met dans un... dans un système mécanique de protection et qui peut faire disjoncter mon système nerveux. Et à partir de là, je sais qu'il y a un trou plein. Et si ça, ce n'est pas respecté par l'autre aussi, parce que là, pour le coup, quand on ne se connaît pas, on attend à ce que l'autre nous connaisse et nous connaisse davantage que nous-mêmes, ce qui est une chose finalement impossible, encore que, sauf si on rencontre des thérapeutes qui peuvent encore nous guider, etc., à essayer d'explorer ces parts-là. Mais la démarche n'est pas la même. Avec la personne qui partage notre vie, on met vraiment parfois un peu trop la barre haute, comme si l'autre devait être le détenteur de toutes les clés qui nous habitent, sous prétexte qu'il nous aime et qu'il doit répondre à tout ce que nous, on n'a même pas conscience en fait. Donc à partir de là, s'il n'y a pas un retournement sur soi, une vraie étude, enquête de soi-même sur qui je suis, sur ce que j'aime, mes limites, ce que je n'aime pas, comment je fonctionne. Et c'est pour ça qu'il y a beaucoup d'outils qui peuvent nous aider à comprendre. Mais les plus belles indications que la vie nous donne, c'est nos relations. C'est l'interaction avec les autres et d'autant plus celle avec la personne bien-aimée. Pourquoi ? Parce qu'elle a la première place. Parce qu'on lui donne une place qui est très proche de qui on est. Et cette personne-là, on va s'autoriser davantage, normalement, à laisser tomber certains... certaines barrières, cette vulnérabilité qui au départ va s'exprimer souvent avec de la colère, de l'incompréhension, peut-être des mots difficiles, des mots durs et finalement créer du conflit. L'autre va forcément être en réaction, souvent. Sauf s'il se connaît, sauf s'il connaît l'être humain et qu'il voit que l'autre est en train de vivre quelque chose qui part d'une blessure. C'est pourquoi dans les accords Toltec, on va dire, voilà, elle n'en fait pas une affaire personnelle, que ça appartient à l'autre. Par contre, on est celui qui peut éclairer cette part-là chez l'autre. Et c'est là... Ou parfois, on peut être animé par la culpabilité. C'est quelque chose que je connais bien. Mais cette culpabilité, elle est elle aussi finalement en lien avec une blessure. Donc tant que je sais que toute réaction n'est que l'activation finalement d'une mémoire reliée à une blessure, Si je le sais, je vais pouvoir le maîtriser davantage. Je vais changer de pièce, je vais dire, oh là, tiens là, oh là, là ça m'anime, mais je n'ai pas envie d'éclabousser sur l'autre. L'autre n'est pas responsable de ses blessures, forcément. Il ne fait que les raviver. Parce que quand on est en réaction, ça veut dire qu'il y a quelque chose qui se rejoue. C'est une réaction. Donc ça veut dire qu'elle est déjà là. C'est quelque chose qui se répète. Par conséquent, c'est quelque chose que je n'ai pas libéré. Puisque ça se répète, c'est une émotion. Une émotion enfermée. Une émotion que je retiens. Quelque chose que je n'ai pas compris. dans mon enfance qui a généré cette réaction. La réaction est liée au gardien, est liée à ce qui est en moi protecteur. Donc voilà un peu, pour résumer, ce que peut générer une histoire d'amour karmique. Après, on peut peut-être se dire aussi que le karmique, ça n'existe pas. Le karmique, ce n'est pas forcément des contrats qu'on a signés, etc. Le karmique, pour moi, c'est ce qui génère une cause, un effet. S'il y a un effet, c'est qu'il y a énergie, c'est qu'il y a un carburant qui est là, présent. et qui est mis en route par un moteur. pour moi c'est ça le karma c'est à dire qu'il y a quelque chose qui n'est pas réglé qui est enfermé, il y a quelque chose qui doit s'équilibrer dans l'univers et c'est une énergie où il y a un trop plein d'un côté et un trop pas assez de l'autre peut-être on pourrait le voir comme ça quand je fais ce retournement sur moi au final ... Je vais enfin voir ces parts-là en moi, ces parts de manque, mes peurs, mes angoisses, mes terreurs, cette peur de mourir, cette peur de souffrir, et voir qu'en fait, elles ont une racine. Elles sont bien plus anciennes que même l'histoire qu'on vient de vivre. Et c'est là en fait que le système nerveux se met en marche. Et quand on a enfin pu réguler ce système nerveux, qu'on sait qu'on est en sécurité parce qu'on est grand, parce qu'on sait qu'on peut dire non, parce qu'enfin on se choisit. Quand on dit non, on se dit oui, on se choisit. On arrête de vouloir faire plaisir à l'autre sous prétexte qu'il me fait peur, qu'il faut que j'ai son sourire, son amour, ou une tranquillité, ou une pseudo-paix. Quelque chose en fait qui vient éteindre un feu possible. Parce que j'ai peur du feu et que finalement cette personne-là est capable de le mettre, ce feu. Et en fait, c'est juste le manque d'amour de soi. Tout vient du manque d'amour de soi. Si j'ai de l'amour de soi, si je m'aime, si je m'aime assez, si je m'aime pleinement, en aucun cas j'ai envie de passer du temps avec quelqu'un avec qui c'est désagréable. En aucun cas je vais laisser la personne me manipuler pour obtenir quelque chose. Et si cette personne m'aime réellement, elle respectera mon choix, elle comprendra. Si elle m'aime de façon égotique, donc elle souhaite obtenir quelque chose de moi absolument, comme par exemple mon énergie, ma compagnie, mon conseil, ou m'accuser du fait que je ne suis pas présente au moment où elle, elle le décide, Ce n'est pas de l'amour. Cette personne-là est dans un amour conditionnel, c'est-à-dire que je t'aime mais il faut que tu fasses ça pour moi. Ce n'est pas de l'amour, c'est de l'attachement. C'est tu remplis un besoin en moi, je t'ai trouvé, fais ton boulot. Ben non, en fait il y a un moment, on ne fait plus ce boulot. Ce n'est pas être, ce n'est pas un boulot. On n'a rien à faire. Tu m'aimes ou tu ne m'aimes pas comme je suis, sinon, ce n'est pas la peine. Donc je crois qu'à un moment donné, quand on a fait le tour de ces relations karmiques, elles peuvent être tout à fait amicales comme amoureuses et même familiales. Et bien quand on a fait le tour de ces relations-là, quand on les voit et qu'on les accueille avec compassion parce qu'elles ont été nécessaires à toute cette compréhension, bien entendu, elles contribuent à qui je suis, elles contribuent à cet éclairage intérieur, elles contribuent à la saturation du stop, elles contribuent à mon nom, elles contribuent pleinement à mon évolution et à me faire grandir. Et je ne peux qu'avoir finalement de la compassion pour ces périodes-là. Parce que sans elles, je n'aurais pas compris, je n'aurais pas pu grimper, je n'aurais pas pu monter cet escalier, ces marches, ces leviers, toutes ces expériences qui me font comprendre aujourd'hui comment créer ma vie. Comment créer ma vie que je souhaite. Comment être le créateur ? Est-ce que c'est vraiment juste quand je dis ça du comment être le créateur ? Parce qu'en fait, il n'y a pas à savoir comment, il y a juste à être le créateur. On ne fait pas le créateur, on est le créateur. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que tout à coup, on s'aperçoit qu'on entre dans un espace vibratoire qui est magnétique, par essence. C'est naturel. C'est que naturellement, on rayonne. C'est que naturellement, on va attirer à nous exactement les personnes qui seront alignées comme nous. Par conséquent, on va forcément attirer la personne qui sera en capacité de nous accueillir comme nous sommes. Ou en tout cas, qu'il le comprendra bien plus vite. Qu'il sera en capacité juste d'accueillir le fait qu'il a rencontré une personne de valeur. Qu'il faut en prendre soin. Et qu'inversement, on en prend soin. Et que juste on a envie de prendre soin de l'autre. On a envie de prendre soin de quelqu'un d'autre en plus que de nous. Parce que quand je sais prendre soin de moi, et c'est vraiment là, la grande clé de voûte, c'est de savoir prendre soin de soi. Prendre soin de soi, c'est savoir de qui je m'entoure, de quoi je m'entoure, de ce que je choisis pour moi, de ce qui me porte, de ce que j'aime comme vêtement, de ce qui me paraît le plus approprié pour moi, dans le choix alimentaire, dans mes activités. dans les mots que je choisis d'employer, dans les musiques que je choisis d'écouter, dans ces films que je choisis de regarder, et d'avoir confiance aussi parfois quand ce n'est pas forcément des films remplis que de douceur. Parfois il y a des messages forts, parfois ça vient éclairer encore des parts en nous. On restera toujours dans un monde duel, ou on va dire plutôt un monde yin et yang. Il y a forcément le yin et le yang sur cette terre. Donc il y aura toujours une ombre, parce qu'il y a toujours une lumière, et que la lumière éclaire et transforme cette ombre. Et l'ombre est toujours un peu moins ombre. Et en même temps, elle n'existe pas, puisque c'est toujours que de la lumière moins éclairée, moins lumineuse. Mais elle permet à la lumière d'avancer et l'ombre permet à la lumière d'avancer et ainsi de suite. C'est un peu comme l'attraction-répulsion. À un moment, on a besoin de s'isoler. À un moment, on a besoin d'être avec. À un moment, on a besoin d'être seul à nouveau. Parce que cette distance, ce recul, permet de voir l'ensemble. En tout cas, à la mesure de qui nous sommes. Parce que nous sommes bien loin de connaître toute la vérité. sur l'univers, sur les relations, et je suis bien loin de détenir toute la vérité. Mais à travers mes expériences, j'y vois plus clair, j'ai cette clarté intérieure qui me permet au moins de savoir où moi je veux aller. moi ce que je veux vivre, et de choisir cela. D'arrêter de nourrir ma victime, arrêter de nourrir cette part-là de moi souffrante, qui fait que finalement me ramener dans des schémas répétitifs, que je n'ai plus du tout envie d'activer, je n'ai plus envie de vivre ça, je n'ai plus du tout envie de jouer à ça. Je veux vivre et je veux... Vivre pleinement la joie, la puissance, cette capacité exponentielle. Je veux découvrir ce que ça fait que d'être un être lumineux, vibratoire, magnétique et qui se déploie avec, idéalement, cet être. qui est sur ce même chemin, cette même volonté, à sa manière, mais juste d'être dans le respect, d'être dans l'accueil de la différence, et d'être dans la bienveillance, de comprendre que parfois on ne va pas bien, et que malgré ça, on peut être juste quelqu'un qui vient aider l'autre. à remonter sans le forcer, sans vouloir le changer, juste simplement être là pour lui dire « Moi je suis là, si tu as juste besoin de mes bras, ils sont là. Et si tu as juste besoin d'une oreille, elle est là. Et juste ça, ça me suffirait. » Donc quand on commence à voir ces histoires karmiques qui ont juste finalement fini par enfin nous dépouiller de ce que nous ne sommes pas. Parce que nous ne sommes pas cette barricade, nous ne sommes pas cette limitation, nous ne sommes pas cette colère, nous ne sommes pas ce rejet, nous ne sommes pas la blessure. Nous sommes au centre de cela, l'être lumineux qui veut juste aimer et être aimé, aimer mieux, irradier. S'amuser, vivre, partager, éclairer les autres, aider les autres, participer à ce monde pour qu'il soit encore plus beau, plus merveilleux, plus accueillant, qu'il y ait des choses étonnantes à transformer. Il faut bien de la matière à transformer. pouvoir créer davantage, pour pouvoir s'exprimer au-delà de ce qui est même de notre propre entendement, de notre propre mental, parce que notre mental ne sait rien. Notre corps, lui, il sait comment faire. Lui, il sait qu'il doit rayonner à partir du cœur et pas à partir de sa tête. Voilà, j'espère que ce podcast vous aura éclairé, aura permis à votre mental de se calmer, de se poser des questions différentes, de justement discuter avec votre mental, plutôt que de l'écouter. Ne l'écoutez pas, discutez avec lui. Pourquoi tu penses ça ? Pourquoi je pense ça ? Qu'est-ce qui fait que je me sens comme ça ? Qui je suis ? Où je suis ? Et où je veux aller ? Ces trois questions-là sont extraordinaires. Je les ai entendues une fois, elles m'ont sauvée. Parce que je ne suis pas ces blessures, je ne suis pas ce stress, je ne suis pas cette anxiété. Je suis la personne qui vit un mécanisme intérieur, qui s'est mis en marche parce qu'une mémoire s'est réveillée. Et à partir de là, j'ai la capacité, parce que j'ai grandi, parce que j'ai la conscience, de réguler ce système par la méditation, par la cohérence cardiaque, par énormément d'exercices. qui peuvent me ramener dans ma sécurité intérieure, parce que je sais qui je suis, parce que je m'aime, et que je sais que je suis un créateur. La création, ça se passe dans le ventre. La sécurité, ça se passe dans le ventre. Donc, la paix, elle se passe dans le ventre. Donc, vous comprendrez à quel point ce ventre, ce centre de gravité, est d'une importance capitale. Et quand on est malade, ces zones-là, on n'est tout simplement pas en accord avec soi-même. Il y a une lutte intérieure entre mes peurs et ce que je veux. Voilà, ce sera tout pour aujourd'hui. A bientôt.