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41. Écrire, traverser, filmer : Jules Devoise et le récit d’InLacrime (Court Métrage) cover
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41. Écrire, traverser, filmer : Jules Devoise et le récit d’InLacrime (Court Métrage)

41. Écrire, traverser, filmer : Jules Devoise et le récit d’InLacrime (Court Métrage)

19min |17/04/2025
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Description

Christopher Nolan ou Quentin Tarantino ?
“C’est pas évident.”
“J’adore poser des questions, je le savais.”
“Je viens de revoir Django il y a trois jours… Peut-être Tarantino aujourd’hui, mais j’étais plus Nolan avant.”
“Vous croisez Jules un mercredi, il vous dira Tarantino. Le vendredi, on part sur du Nolan.”

C’est comme ça que débute ma conversation avec Jules Devoise, auteur et réalisateur du court-métrage InLacrime. D’abord un jeu de questions et des hésitations cinéphiles. Et puis très vite, on glisse dans l’intime.

Lorsqu’on évoque son film, Jules hésite un instant : “C’est né d’une rupture.”
Il me raconte comment, en écoutant Aline de Christophe en boucle, des images ont commencé à apparaître, des plans sont venus seuls, et l’envie d’écrire s’est imposée.
Dans cet échange humain, il revient sur ce processus créatif et sa première expérience en tant que réalisateur.

Un épisode qui parle de cinéma, oui — mais surtout de ce qui nous pousse à créer, de ce qu’on vit quand on ne sait plus quoi dire. 


- Enjoy

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Christopher Nolan ou Quentin Tarantino ?
“C’est pas évident.”
“J’adore poser des questions, je le savais.”
“Je viens de revoir Django il y a trois jours… Peut-être Tarantino aujourd’hui, mais j’étais plus Nolan avant.”
“Vous croisez Jules un mercredi, il vous dira Tarantino. Le vendredi, on part sur du Nolan.”

C’est comme ça que débute ma conversation avec Jules Devoise, auteur et réalisateur du court-métrage InLacrime. D’abord un jeu de questions et des hésitations cinéphiles. Et puis très vite, on glisse dans l’intime.

Lorsqu’on évoque son film, Jules hésite un instant : “C’est né d’une rupture.”
Il me raconte comment, en écoutant Aline de Christophe en boucle, des images ont commencé à apparaître, des plans sont venus seuls, et l’envie d’écrire s’est imposée.
Dans cet échange humain, il revient sur ce processus créatif et sa première expérience en tant que réalisateur.

Un épisode qui parle de cinéma, oui — mais surtout de ce qui nous pousse à créer, de ce qu’on vit quand on ne sait plus quoi dire. 


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“Vous croisez Jules un mercredi, il vous dira Tarantino. Le vendredi, on part sur du Nolan.”

C’est comme ça que débute ma conversation avec Jules Devoise, auteur et réalisateur du court-métrage InLacrime. D’abord un jeu de questions et des hésitations cinéphiles. Et puis très vite, on glisse dans l’intime.

Lorsqu’on évoque son film, Jules hésite un instant : “C’est né d’une rupture.”
Il me raconte comment, en écoutant Aline de Christophe en boucle, des images ont commencé à apparaître, des plans sont venus seuls, et l’envie d’écrire s’est imposée.
Dans cet échange humain, il revient sur ce processus créatif et sa première expérience en tant que réalisateur.

Un épisode qui parle de cinéma, oui — mais surtout de ce qui nous pousse à créer, de ce qu’on vit quand on ne sait plus quoi dire. 


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“Vous croisez Jules un mercredi, il vous dira Tarantino. Le vendredi, on part sur du Nolan.”

C’est comme ça que débute ma conversation avec Jules Devoise, auteur et réalisateur du court-métrage InLacrime. D’abord un jeu de questions et des hésitations cinéphiles. Et puis très vite, on glisse dans l’intime.

Lorsqu’on évoque son film, Jules hésite un instant : “C’est né d’une rupture.”
Il me raconte comment, en écoutant Aline de Christophe en boucle, des images ont commencé à apparaître, des plans sont venus seuls, et l’envie d’écrire s’est imposée.
Dans cet échange humain, il revient sur ce processus créatif et sa première expérience en tant que réalisateur.

Un épisode qui parle de cinéma, oui — mais surtout de ce qui nous pousse à créer, de ce qu’on vit quand on ne sait plus quoi dire. 


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