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Capsule 39 : Comprendre le piège des émotions négatives - Fondation KAL cover
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3 minutes pour tout changer

Capsule 39 : Comprendre le piège des émotions négatives - Fondation KAL

Capsule 39 : Comprendre le piège des émotions négatives - Fondation KAL

03min |30/09/2025|

29

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03min |30/09/2025|

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Description

Apprenez pourquoi vos émotions négatives vous piègent et brouillent votre discernement. Identifiez leurs mécanismes pour retrouver lucidité et sérénité. "Reprenez le contrôle pour mieux gérer colère, anxiété et stress, avec la méthode KAL – épisode 2."
Merci pour votre écoute et vos étoiles (comment laisser un avis plus bas) . Celles-ci sont précieuses et grandement appréciées.🙏


Stephanie Romeo

Ces capsules vous font du bien ? Accédez aux versions longues pour une immersion encore plus profonde.

https://www.stephanieromeo.com/podcast/bonus


Infos :
LinkedIn : Stephanie Romeo
YouTube : @stephanieromeocoaching
Site web : stephanieromeo.com
Coaching dirigeants : Cliquez ici
Contact : stephanie@stephanieromeo.com

___

Comment laisser un avis :

  • Sur Apple Podcasts : ouvrez le podcast > 3 petits points > « accéder au podcast » > descendez à « Notes et avis ».

  • Sur Spotify : ouvrez la page du podcast > 3 petits points > « Évaluer l’émission ».

Bonjour, bienvenue dans 3 minutes pour tout changer. Cette capsule fait partie d’une série où je partage quelques concepts fondamentaux sur la gestion des pensées et des émotions de la méthode KAL. La semaine dernière, nous avons vu l’importance de choisir nos pensées, car ce sont elles qui créent nos émotions.

Le fait que les pensées créent les émotions induit un concept difficile à accepter : la neutralité des situations. Aucune situation n’a, en elle-même, le pouvoir de déclencher une émotion (sauf la douleur physique). Ce qu’il faut, c’est une pensée, le plus souvent inconsciente.

Nous résistons à cette idée parce que nos émotions nous semblent plus fortes que la raison. Au moment où vous vous dites que « telle situation est insupportable », vous êtes persuadé que c’est un fait. Mais cette émotion naît d’une pensée : « c’est insupportable ». Et comme toute pensée, elle est facultative. Vous pouvez choisir de rester dans l’indignation, mais écoutez avant ce que je vais vous dire pour faire ce choix en conscience.

Nos émotions négatives nous font croire que nos pensées sont vraies. Elles brouillent notre discernement, abaissent notre conscience et nous endorment. C’est pourquoi nous cherchons à corriger la situation extérieure pour retrouver l’harmonie… alors que nous créons nous-mêmes notre inconfort.

Bien sûr, rien de mal à vouloir améliorer les choses, mais à condition que ce soit réalisable et entrepris depuis un esprit clair et serein. Sinon, on déplace le problème ou on ajoute une couche de souffrance.

Un exemple fréquent en consultation : une personne qui veut fuir un projet « qui la stresse ». Mais ce n’est pas le projet qui génère le stress, ce sont ses pensées : « je n’y arriverai pas », « ça ne peut plus durer ». Tant que ces schémas ne sont pas identifiés et transformés, ils se répètent.

La semaine prochaine, nous verrons comment transformer vos émotions négatives en alliées et garder calme et discernement.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Apprenez pourquoi vos émotions négatives vous piègent et brouillent votre discernement. Identifiez leurs mécanismes pour retrouver lucidité et sérénité. "Reprenez le contrôle pour mieux gérer colère, anxiété et stress, avec la méthode KAL – épisode 2."
Merci pour votre écoute et vos étoiles (comment laisser un avis plus bas) . Celles-ci sont précieuses et grandement appréciées.🙏


Stephanie Romeo

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Bonjour, bienvenue dans 3 minutes pour tout changer. Cette capsule fait partie d’une série où je partage quelques concepts fondamentaux sur la gestion des pensées et des émotions de la méthode KAL. La semaine dernière, nous avons vu l’importance de choisir nos pensées, car ce sont elles qui créent nos émotions.

Le fait que les pensées créent les émotions induit un concept difficile à accepter : la neutralité des situations. Aucune situation n’a, en elle-même, le pouvoir de déclencher une émotion (sauf la douleur physique). Ce qu’il faut, c’est une pensée, le plus souvent inconsciente.

Nous résistons à cette idée parce que nos émotions nous semblent plus fortes que la raison. Au moment où vous vous dites que « telle situation est insupportable », vous êtes persuadé que c’est un fait. Mais cette émotion naît d’une pensée : « c’est insupportable ». Et comme toute pensée, elle est facultative. Vous pouvez choisir de rester dans l’indignation, mais écoutez avant ce que je vais vous dire pour faire ce choix en conscience.

Nos émotions négatives nous font croire que nos pensées sont vraies. Elles brouillent notre discernement, abaissent notre conscience et nous endorment. C’est pourquoi nous cherchons à corriger la situation extérieure pour retrouver l’harmonie… alors que nous créons nous-mêmes notre inconfort.

Bien sûr, rien de mal à vouloir améliorer les choses, mais à condition que ce soit réalisable et entrepris depuis un esprit clair et serein. Sinon, on déplace le problème ou on ajoute une couche de souffrance.

Un exemple fréquent en consultation : une personne qui veut fuir un projet « qui la stresse ». Mais ce n’est pas le projet qui génère le stress, ce sont ses pensées : « je n’y arriverai pas », « ça ne peut plus durer ». Tant que ces schémas ne sont pas identifiés et transformés, ils se répètent.

La semaine prochaine, nous verrons comment transformer vos émotions négatives en alliées et garder calme et discernement.


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Merci pour votre écoute et vos étoiles (comment laisser un avis plus bas) . Celles-ci sont précieuses et grandement appréciées.🙏


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Le fait que les pensées créent les émotions induit un concept difficile à accepter : la neutralité des situations. Aucune situation n’a, en elle-même, le pouvoir de déclencher une émotion (sauf la douleur physique). Ce qu’il faut, c’est une pensée, le plus souvent inconsciente.

Nous résistons à cette idée parce que nos émotions nous semblent plus fortes que la raison. Au moment où vous vous dites que « telle situation est insupportable », vous êtes persuadé que c’est un fait. Mais cette émotion naît d’une pensée : « c’est insupportable ». Et comme toute pensée, elle est facultative. Vous pouvez choisir de rester dans l’indignation, mais écoutez avant ce que je vais vous dire pour faire ce choix en conscience.

Nos émotions négatives nous font croire que nos pensées sont vraies. Elles brouillent notre discernement, abaissent notre conscience et nous endorment. C’est pourquoi nous cherchons à corriger la situation extérieure pour retrouver l’harmonie… alors que nous créons nous-mêmes notre inconfort.

Bien sûr, rien de mal à vouloir améliorer les choses, mais à condition que ce soit réalisable et entrepris depuis un esprit clair et serein. Sinon, on déplace le problème ou on ajoute une couche de souffrance.

Un exemple fréquent en consultation : une personne qui veut fuir un projet « qui la stresse ». Mais ce n’est pas le projet qui génère le stress, ce sont ses pensées : « je n’y arriverai pas », « ça ne peut plus durer ». Tant que ces schémas ne sont pas identifiés et transformés, ils se répètent.

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Le fait que les pensées créent les émotions induit un concept difficile à accepter : la neutralité des situations. Aucune situation n’a, en elle-même, le pouvoir de déclencher une émotion (sauf la douleur physique). Ce qu’il faut, c’est une pensée, le plus souvent inconsciente.

Nous résistons à cette idée parce que nos émotions nous semblent plus fortes que la raison. Au moment où vous vous dites que « telle situation est insupportable », vous êtes persuadé que c’est un fait. Mais cette émotion naît d’une pensée : « c’est insupportable ». Et comme toute pensée, elle est facultative. Vous pouvez choisir de rester dans l’indignation, mais écoutez avant ce que je vais vous dire pour faire ce choix en conscience.

Nos émotions négatives nous font croire que nos pensées sont vraies. Elles brouillent notre discernement, abaissent notre conscience et nous endorment. C’est pourquoi nous cherchons à corriger la situation extérieure pour retrouver l’harmonie… alors que nous créons nous-mêmes notre inconfort.

Bien sûr, rien de mal à vouloir améliorer les choses, mais à condition que ce soit réalisable et entrepris depuis un esprit clair et serein. Sinon, on déplace le problème ou on ajoute une couche de souffrance.

Un exemple fréquent en consultation : une personne qui veut fuir un projet « qui la stresse ». Mais ce n’est pas le projet qui génère le stress, ce sont ses pensées : « je n’y arriverai pas », « ça ne peut plus durer ». Tant que ces schémas ne sont pas identifiés et transformés, ils se répètent.

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