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À chaud

#09 - Imaginer de nouveaux récits pour amorcer la transition écologique de la publicité avec Thierry Libaert, Professeur des Universités

#09 - Imaginer de nouveaux récits pour amorcer la transition écologique de la publicité avec Thierry Libaert, Professeur des Universités

39min |30/10/2024
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39min |30/10/2024
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Description

Connaissez-vous l’affaire Cdiscount VS ADEME ? En 2018, le site de vente en ligne sort une campagne publicitaire incitant clairement à la surconsommation.


À coup de slogans tel que « Mon matelas est assez grand… mais à 32 ans, je n’ai pas encore fini de grandir », Cdiscount invite explicitement les consommateurs à renouveler prématurément l’achat de certains produits.


Une publicité qui ne passe pas auprès de l'ADEME, qui saisit le Jury de déontologie publicitaire de l’ARPP sur ce dernier motif.
L’ARPP va pourtant débouter par deux fois l’ADEME :
➡ D’abord au motif que cette campagne avait lieu durant la période des soldes
➡ Puis en précisant que ces publicités n’incitaient pas au gaspillage, ne valorisaient pas des modes de consommation excessifs et ne discréditaient pas les principes en matière de développement durable.


❌ « Des pubs qui ne pourraient plus passer aujourd’hui », m’explique Thierry Libaert, Conseiller au Conseiller Économique et Social Européen et professeur des Universités, dans ce nouvel épisode de À CHAUD.


Si l’on s’en réfère à l’actualité, le secteur de la publicité a effectivement évolué depuis cette affaire : La Haye vient par exemple de supprimer les affichages publicitaires pour les produits et services fortement émetteurs de GES. L’allégation à la neutralité carbone est aussi désormais interdite.


« Pour autant, le message principal est toujours le même : le bonheur passe par la consommation de biens et de services », ajoute Thierry Libaert.


Mais comment changer une industrie dont la fonction principale est l’incitation permanente à la consommation ?


« En imaginant de nouveaux récits qui n’associent plus bonheur et possession de biens ».


Alors, pourquoi le secteur de la publicité a-t-il pris tant de retard dans la lutte contre le dérèglement climatique ? Quels sont les impacts de la publicité sur l’environnement ? Les enjeux de la création de nouveaux récits ? Et les solutions pour une publicité plus conformes aux objectifs climatiques et de sobriété.


Toutes les réponses à ces questions dans cet épisode passionnant !


Belle écoute !


DÉROULÉ DE L'ÉPISODE :

  • 01:06 : les raisons du retard publicitaire en matière de transition écologique

  • 07:02 : les enjeux du secteur de la publicité

  • 15:37 : les nouveaux récits

  • 19:41 : nouveaux récits et secteurs et produits fortement émetteurs de GES

  • 23:35 : repenser la communication environnementale

  • 30:37 ; les garde-fous de la communication environnementale

  • 32:11 : quelles solutions pour un secteur publicitaire plus sobre ?


RESSOURCES DE L'ÉPISODE sur le site internet du podcast : https://achaudpodcast.fr


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Connaissez-vous l’affaire Cdiscount VS ADEME ? En 2018, le site de vente en ligne sort une campagne publicitaire incitant clairement à la surconsommation.


À coup de slogans tel que « Mon matelas est assez grand… mais à 32 ans, je n’ai pas encore fini de grandir », Cdiscount invite explicitement les consommateurs à renouveler prématurément l’achat de certains produits.


Une publicité qui ne passe pas auprès de l'ADEME, qui saisit le Jury de déontologie publicitaire de l’ARPP sur ce dernier motif.
L’ARPP va pourtant débouter par deux fois l’ADEME :
➡ D’abord au motif que cette campagne avait lieu durant la période des soldes
➡ Puis en précisant que ces publicités n’incitaient pas au gaspillage, ne valorisaient pas des modes de consommation excessifs et ne discréditaient pas les principes en matière de développement durable.


❌ « Des pubs qui ne pourraient plus passer aujourd’hui », m’explique Thierry Libaert, Conseiller au Conseiller Économique et Social Européen et professeur des Universités, dans ce nouvel épisode de À CHAUD.


Si l’on s’en réfère à l’actualité, le secteur de la publicité a effectivement évolué depuis cette affaire : La Haye vient par exemple de supprimer les affichages publicitaires pour les produits et services fortement émetteurs de GES. L’allégation à la neutralité carbone est aussi désormais interdite.


« Pour autant, le message principal est toujours le même : le bonheur passe par la consommation de biens et de services », ajoute Thierry Libaert.


Mais comment changer une industrie dont la fonction principale est l’incitation permanente à la consommation ?


« En imaginant de nouveaux récits qui n’associent plus bonheur et possession de biens ».


Alors, pourquoi le secteur de la publicité a-t-il pris tant de retard dans la lutte contre le dérèglement climatique ? Quels sont les impacts de la publicité sur l’environnement ? Les enjeux de la création de nouveaux récits ? Et les solutions pour une publicité plus conformes aux objectifs climatiques et de sobriété.


Toutes les réponses à ces questions dans cet épisode passionnant !


Belle écoute !


DÉROULÉ DE L'ÉPISODE :

  • 01:06 : les raisons du retard publicitaire en matière de transition écologique

  • 07:02 : les enjeux du secteur de la publicité

  • 15:37 : les nouveaux récits

  • 19:41 : nouveaux récits et secteurs et produits fortement émetteurs de GES

  • 23:35 : repenser la communication environnementale

  • 30:37 ; les garde-fous de la communication environnementale

  • 32:11 : quelles solutions pour un secteur publicitaire plus sobre ?


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À coup de slogans tel que « Mon matelas est assez grand… mais à 32 ans, je n’ai pas encore fini de grandir », Cdiscount invite explicitement les consommateurs à renouveler prématurément l’achat de certains produits.


Une publicité qui ne passe pas auprès de l'ADEME, qui saisit le Jury de déontologie publicitaire de l’ARPP sur ce dernier motif.
L’ARPP va pourtant débouter par deux fois l’ADEME :
➡ D’abord au motif que cette campagne avait lieu durant la période des soldes
➡ Puis en précisant que ces publicités n’incitaient pas au gaspillage, ne valorisaient pas des modes de consommation excessifs et ne discréditaient pas les principes en matière de développement durable.


❌ « Des pubs qui ne pourraient plus passer aujourd’hui », m’explique Thierry Libaert, Conseiller au Conseiller Économique et Social Européen et professeur des Universités, dans ce nouvel épisode de À CHAUD.


Si l’on s’en réfère à l’actualité, le secteur de la publicité a effectivement évolué depuis cette affaire : La Haye vient par exemple de supprimer les affichages publicitaires pour les produits et services fortement émetteurs de GES. L’allégation à la neutralité carbone est aussi désormais interdite.


« Pour autant, le message principal est toujours le même : le bonheur passe par la consommation de biens et de services », ajoute Thierry Libaert.


Mais comment changer une industrie dont la fonction principale est l’incitation permanente à la consommation ?


« En imaginant de nouveaux récits qui n’associent plus bonheur et possession de biens ».


Alors, pourquoi le secteur de la publicité a-t-il pris tant de retard dans la lutte contre le dérèglement climatique ? Quels sont les impacts de la publicité sur l’environnement ? Les enjeux de la création de nouveaux récits ? Et les solutions pour une publicité plus conformes aux objectifs climatiques et de sobriété.


Toutes les réponses à ces questions dans cet épisode passionnant !


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DÉROULÉ DE L'ÉPISODE :

  • 01:06 : les raisons du retard publicitaire en matière de transition écologique

  • 07:02 : les enjeux du secteur de la publicité

  • 15:37 : les nouveaux récits

  • 19:41 : nouveaux récits et secteurs et produits fortement émetteurs de GES

  • 23:35 : repenser la communication environnementale

  • 30:37 ; les garde-fous de la communication environnementale

  • 32:11 : quelles solutions pour un secteur publicitaire plus sobre ?


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À coup de slogans tel que « Mon matelas est assez grand… mais à 32 ans, je n’ai pas encore fini de grandir », Cdiscount invite explicitement les consommateurs à renouveler prématurément l’achat de certains produits.


Une publicité qui ne passe pas auprès de l'ADEME, qui saisit le Jury de déontologie publicitaire de l’ARPP sur ce dernier motif.
L’ARPP va pourtant débouter par deux fois l’ADEME :
➡ D’abord au motif que cette campagne avait lieu durant la période des soldes
➡ Puis en précisant que ces publicités n’incitaient pas au gaspillage, ne valorisaient pas des modes de consommation excessifs et ne discréditaient pas les principes en matière de développement durable.


❌ « Des pubs qui ne pourraient plus passer aujourd’hui », m’explique Thierry Libaert, Conseiller au Conseiller Économique et Social Européen et professeur des Universités, dans ce nouvel épisode de À CHAUD.


Si l’on s’en réfère à l’actualité, le secteur de la publicité a effectivement évolué depuis cette affaire : La Haye vient par exemple de supprimer les affichages publicitaires pour les produits et services fortement émetteurs de GES. L’allégation à la neutralité carbone est aussi désormais interdite.


« Pour autant, le message principal est toujours le même : le bonheur passe par la consommation de biens et de services », ajoute Thierry Libaert.


Mais comment changer une industrie dont la fonction principale est l’incitation permanente à la consommation ?


« En imaginant de nouveaux récits qui n’associent plus bonheur et possession de biens ».


Alors, pourquoi le secteur de la publicité a-t-il pris tant de retard dans la lutte contre le dérèglement climatique ? Quels sont les impacts de la publicité sur l’environnement ? Les enjeux de la création de nouveaux récits ? Et les solutions pour une publicité plus conformes aux objectifs climatiques et de sobriété.


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DÉROULÉ DE L'ÉPISODE :

  • 01:06 : les raisons du retard publicitaire en matière de transition écologique

  • 07:02 : les enjeux du secteur de la publicité

  • 15:37 : les nouveaux récits

  • 19:41 : nouveaux récits et secteurs et produits fortement émetteurs de GES

  • 23:35 : repenser la communication environnementale

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