Speaker #0Alors si tu veux élever ton métier et reprendre les rênes de ta réussite, abonne-toi et bonne écoute. Bonjour et bienvenue dans l'ADN Coiffure de la mariée. Je suis trop contente de vous avoir enfin sur ce podcast. Je me présente, moi je suis Jessica, je suis coiffeuse maquilleuse spécialisée mariage, fondatrice de la Coiffure à ton image. Mais surtout, je suis là pour t'emmener quelque part. Ici, on ne parle pas juste de chignons, de fards à paupières ou de belles photos sur Instagram. Ici, on parle de transformation. On parle de capacité à faire briller une mariée. Mais aussi de ta capacité à faire rayonner ton entreprise, ta posture et ton expertise. Ce podcast, je l'écris pour toi. Que tu sois coiffeuse, maquilleuse. ou coiffeuse maquilleuse, que tu rêves de vivre de ton métier, sans compromis, que tu cherches à te démarquer, mais sans te trahir. Tu veux te sentir légitime, respectée, recommandée. Ici, tu as cette petite voix intérieure qui te dit que tu veux plus que ça. Et tu sais quoi ? Tu as raison. Tu peux plus que ça. Beaucoup plus que ça. Mais pour que tu me fasses confiance, j'ai envie de te raconter qui je suis, pas juste en tant que pro, mais en tant que femme, que rêveuse, que battante aussi. Mon histoire, elle a commencé en maternelle. J'avais une tresse africaine faite par ma mère. Et à ce jour-là, dans la cour, tout le monde m'a regardée différemment. Des compliments, je me suis sentie belle, spéciale, forte. Non, c'est pas du tout ça. Pour ma part, tout a commencé en maternelle. J'avais une tresse africaine faite par ma mère. Et ce jour-là, j'arrive dans la cour d'école et j'ai ma copine qui me dit « Waouh, elle est magnifique ta tresse ! » Et je lui dis « Ouais, je sais, c'est moi qui l'ai faite. » Non, elle aurait bien compris que là c'était un mensonge. Mais ce que je ne m'attendais pas, c'est qu'elle me dise « Fais-la moi ! » Et là, bien sûr, la forte confiance en moi est arrivée et je lui dis « Pas de souci ! » Je lui ai fait sa tresse africaine. Dans mes yeux de petite fille, c'était la plus belle tresse africaine que j'avais jamais fait. Et je pense qu'à cette époque-là, si on aurait pu me filmer ou me prendre en photo, je suppose que la tresse devait être dégueulasse. Mais en tout cas, mon amie, elle l'a trouvée magnifique. Moi, je la trouvais magnifique. Et c'est là que ça a commencé, où j'ai fait des tresses sur toutes mes copines, à chaque récré de tous les jours. Et c'est là où est venue cette... confiance, cette fierté et ces entraînements de coiffure, de tresse. Donc c'est par là, c'est d'un mensonge en tout cas, qu'est arrivée la passion pour les coiffures événementielles. Donc plus tard, ce goût du beau s'est transformé en passion pour la précision, bien sûr. J'ai adoré les concours et notamment passer les MAF. J'ai passé les MAF régionales. Il faut avoir 18 sur 20 dans toutes les matières. Parce que ça fait un petit moment. Il me semble qu'il y avait le chignon artistique, la mise en pli technique, la coupe homme. La coupe homme, c'était les brosses, ce n'est pas les coupes hommes tendances. Il fallait manier les ciseaux et faire bien à l'équerre le carré de la coupe en brosse. Il y avait également tout ce qui est coloration et technique. Il me semble que c'est tout, mais peut-être que j'en oublie une. Il faut avoir 18 de moyenne dans chaque matière. Là, j'ai eu la médaille d'or. et une fois que tu as la médaille d'or régionale tu vas passer en national et là tu représentes un peu ta région donc on peut être plusieurs à représenter notre région du moment où on a eu 18 sur 20 dans toutes les matières et à Paris là par contre c'est le chinois artistique et il faut également avoir 18 sur 20 si tu veux avoir ta médaille et là également j'ai pu décrocher cette fameuse médaille après j'ai pas continué parce que c'était quand même vraiment chronophage cette... C'est beaucoup de temps d'entraînement et c'est l'année où mon père a déménagé à Montpellier et moi j'étais obligée de rester dans la région si je voulais continuer le concours, passer les nationales parce que c'était quand même un entraînement par semaine et à Montpellier ça n'aurait pas été possible. Donc mon père est parti dans le sud et moi je suis partie vivre chez mes beaux-parents parce que j'étais déjà avec mon mari à cette époque-là. Du coup, je n'ai pas pu continuer les concours mais ce n'est pas grave, ça m'a... Déjà transformer et porter cette expérience, j'ai adoré. En tout cas, le dépassement de soi, la rigueur, le challenge, moi, ça m'a forgé. Mais très vite après, j'ai senti que je voulais aller plus loin. Pas juste faire une belle coiffure, mais comprendre la personne, l'écoute, l'analyser, la sublimer. J'ai donc enchaîné des formations privées avec les meilleurs formateurs dans tous les domaines, donc coiffure, maquillage. morphologie, colorimétrie, méthode de wrapping, l'ADN, de la communication, de la posture, de l'image. Mais il y avait un souci, je sentais que je n'avais pas l'espace pour appliquer tout ça dans le salon où je travaillais. Et un jour, tout a basculé. Il y a eu un conflit au travail avec mon patron et mes collègues, donc des tensions. J'ai pris parti pour mes collègues et sans réfléchir, j'ai demandé une rupture conventionnelle. Donc sans plan, sans stratégie. Mais cette conviction profonde... Je ne veux plus faire ce métier à moitié. Alors, j'ai lancé mon auto-entreprise. J'ai commencé toute seule, sans réseau, sans argent. J'ai mis ma passion, mon éthique et mon envie de faire les choses autrement. Et tu sais quoi ? C'était la meilleure décision de toute ma vie. J'ai grandi. J'ai passé le cap de la TVA. Alors, sans faire exprès, bien sûr, c'est un mauvais calcul de ma part. Je m'étais beaucoup stressée quand j'ai passé cette TVA. Et en fait, c'est la meilleure chose qui a pu m'arriver également. Du coup, après, j'ai appris à vendre, à communiquer, à structurer mon activité. J'ai commencé à attirer des mariés qui me choisissaient pour qui j'étais, pas juste pour mes prix. Et surtout, j'ai découvert que ce que je faisais était rare. Mon œil, ma capacité d'analyse, mon approche ultra personnalisée pouvaient devenir une signature. Il y a eu des rencontres clés, comme celle avec Catherine Bonarini, qui m'a aidée à prendre conscience de ma valeur, de ma posture. Et puis un jour, j'ai découvert le podcast de Sophia Gourary, je vous mettrai les liens en description, qui m'a été dénouée par Valentina. Et là, tout s'est éclairé. J'ai compris ce que je pouvais moi aussi transmettre, aider d'autres pros à sortir de l'ombre, à construire une entreprise à leur image, à se positionner en tant qu'experte, sachant que moi, j'ai déjà passé en plus la formation formateur, les formations jury. Je suis quelqu'un de très studieux, de très scolaire, j'ai passé énormément de formations, de diplômes, ce genre de choses, mais je ne les mettais pas forcément en application parce que manque de confiance en moi. C'est exactement pour ça que ce podcast existe, pas pour te dire ce que tu fais mal, mais pour t'aider à incarner ce que tu es déjà au fond de toi. Donc ensemble, on va parler de l'ADN de la mise en beauté, parce que chaque mariée est unique. Parce que chaque prestation doit être pensée en fonction de sa morphologie, de son lieu, de sa robe, de sa personnalité, de sa lumière intérieure, mais aussi de ton ADN à toi, ton style, ta posture, ton message, tes valeurs, ta cliente idéale, ton positionnement, tes prix, ton organisation, ton équilibre. On parlera de colorimétrie, morphologie, analyse de personnalité, signature haut de gamme. images de marques, Instagram, tarification, appels découvertes, contrats, confiance en soi, posture, mindset, business, administratif, réseaux sociaux, Pinterest, Google, tout ce que j'ai appris, tout ce que j'ai appliqué, testé, structuré, je vais te le partager ici, chaque semaine, tous les mercredis. Donc si aujourd'hui je parle avec assurance, c'est parce que je reviens de loin, parce que j'ai osé créer une activité à mon image, et que maintenant, Je veux t'aider à faire pareil. Mon objectif, c'est que tu deviennes une professionnelle reconnue,