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Air open, le podcast tennis de L'Équipe

Wimbledon, so special

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30min |28/06/2019
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Il n’occupe l’esprit des joueurs et des joueuses que six semaines par an, pourtant le gazon fascine et celui de Wimbledon subjugue. Qu’est-ce que la levée britannique du Grand Chelem a de si spécial ?


Pudique, élégant, c’est un vieux monsieur qui ne fait pas son âge. Né en 1877, le tournoi de Wimbledon a jalousement préservé ses traditions tout en épousant la modernité, entre tenues en blanc et Hawk-Eye, entre interdiction des perches à selfie sur le Centre court et toit installé sur cette même enceinte, dès 2009. Pourquoi cette singularité donne-t-elle tant de saveur au succès sur les pelouses londoniennes ?


Alors que le tournoi débute ce lundi 1er juillet, que le tenant du titre, Novak Djokovic, fourbit ses armes à l’entraînement et que l’octuple vainqueur du Championship, Roger Federer, emmagasine la confiance avec un dixième titre à Halle, que devient Rafael Nadal ? Comment l’Espagnol, victorieux pour la douzième fois Porte d’Auteuil, a-t-il assuré la transition vers l’herbe ? Peut-il s’imposer comme en 2008 et 2010 ?


Enfin, retour sur le choix de Pierre-Hughes Herbert de disputer le double avec le revenant, Andy Murray. L’Alsacien voulait se consacrer au simple à Roland-Garros comme à Wimbledon et avait donc refusé de s’associer à son partenaire historique, Nicolas Mahut. Qu’est-ce qui l’a poussé à prendre cette décision ? Est-ce que cela pourrait laisser des traces entre les deux Français ?


Animé par Antoine Benneteau, avec Vincent Cognet, Quentin Moynet (à Londres, par téléphone) et Julien Reboullet.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Il n’occupe l’esprit des joueurs et des joueuses que six semaines par an, pourtant le gazon fascine et celui de Wimbledon subjugue. Qu’est-ce que la levée britannique du Grand Chelem a de si spécial ?


Pudique, élégant, c’est un vieux monsieur qui ne fait pas son âge. Né en 1877, le tournoi de Wimbledon a jalousement préservé ses traditions tout en épousant la modernité, entre tenues en blanc et Hawk-Eye, entre interdiction des perches à selfie sur le Centre court et toit installé sur cette même enceinte, dès 2009. Pourquoi cette singularité donne-t-elle tant de saveur au succès sur les pelouses londoniennes ?


Alors que le tournoi débute ce lundi 1er juillet, que le tenant du titre, Novak Djokovic, fourbit ses armes à l’entraînement et que l’octuple vainqueur du Championship, Roger Federer, emmagasine la confiance avec un dixième titre à Halle, que devient Rafael Nadal ? Comment l’Espagnol, victorieux pour la douzième fois Porte d’Auteuil, a-t-il assuré la transition vers l’herbe ? Peut-il s’imposer comme en 2008 et 2010 ?


Enfin, retour sur le choix de Pierre-Hughes Herbert de disputer le double avec le revenant, Andy Murray. L’Alsacien voulait se consacrer au simple à Roland-Garros comme à Wimbledon et avait donc refusé de s’associer à son partenaire historique, Nicolas Mahut. Qu’est-ce qui l’a poussé à prendre cette décision ? Est-ce que cela pourrait laisser des traces entre les deux Français ?


Animé par Antoine Benneteau, avec Vincent Cognet, Quentin Moynet (à Londres, par téléphone) et Julien Reboullet.


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Pudique, élégant, c’est un vieux monsieur qui ne fait pas son âge. Né en 1877, le tournoi de Wimbledon a jalousement préservé ses traditions tout en épousant la modernité, entre tenues en blanc et Hawk-Eye, entre interdiction des perches à selfie sur le Centre court et toit installé sur cette même enceinte, dès 2009. Pourquoi cette singularité donne-t-elle tant de saveur au succès sur les pelouses londoniennes ?


Alors que le tournoi débute ce lundi 1er juillet, que le tenant du titre, Novak Djokovic, fourbit ses armes à l’entraînement et que l’octuple vainqueur du Championship, Roger Federer, emmagasine la confiance avec un dixième titre à Halle, que devient Rafael Nadal ? Comment l’Espagnol, victorieux pour la douzième fois Porte d’Auteuil, a-t-il assuré la transition vers l’herbe ? Peut-il s’imposer comme en 2008 et 2010 ?


Enfin, retour sur le choix de Pierre-Hughes Herbert de disputer le double avec le revenant, Andy Murray. L’Alsacien voulait se consacrer au simple à Roland-Garros comme à Wimbledon et avait donc refusé de s’associer à son partenaire historique, Nicolas Mahut. Qu’est-ce qui l’a poussé à prendre cette décision ? Est-ce que cela pourrait laisser des traces entre les deux Français ?


Animé par Antoine Benneteau, avec Vincent Cognet, Quentin Moynet (à Londres, par téléphone) et Julien Reboullet.


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Pudique, élégant, c’est un vieux monsieur qui ne fait pas son âge. Né en 1877, le tournoi de Wimbledon a jalousement préservé ses traditions tout en épousant la modernité, entre tenues en blanc et Hawk-Eye, entre interdiction des perches à selfie sur le Centre court et toit installé sur cette même enceinte, dès 2009. Pourquoi cette singularité donne-t-elle tant de saveur au succès sur les pelouses londoniennes ?


Alors que le tournoi débute ce lundi 1er juillet, que le tenant du titre, Novak Djokovic, fourbit ses armes à l’entraînement et que l’octuple vainqueur du Championship, Roger Federer, emmagasine la confiance avec un dixième titre à Halle, que devient Rafael Nadal ? Comment l’Espagnol, victorieux pour la douzième fois Porte d’Auteuil, a-t-il assuré la transition vers l’herbe ? Peut-il s’imposer comme en 2008 et 2010 ?


Enfin, retour sur le choix de Pierre-Hughes Herbert de disputer le double avec le revenant, Andy Murray. L’Alsacien voulait se consacrer au simple à Roland-Garros comme à Wimbledon et avait donc refusé de s’associer à son partenaire historique, Nicolas Mahut. Qu’est-ce qui l’a poussé à prendre cette décision ? Est-ce que cela pourrait laisser des traces entre les deux Français ?


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