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Divorce: Itinéraire d'une TRANSFORMATION

S3E1: Les hommes divorcés en péril ? ( EP 125 )

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32min |01/05/2024|

71

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32min |01/05/2024|

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Description

Fais-tu partie de ces femmes qui doutent énormément de leur potentiel et qui en même temps révolutionnent cette façon d'être machiste, qui sans le savoir prennent leur place en affirmant que ça suffit.

Pour éviter les idées confuses, qui sont entre parenthèses tes meilleurs ennemis, et transformer ce regard que tu as sur toi en quelque chose de vivifiant, sans filtre déformant, je te propose d'écouter ce nouvel épisode de la chaîne de podcast Divorce, itinéraire d'une transformation.

Je suis sophrologue, psychanalyste, une femme divorcée, séparée, qui découvre chaque jour comment le pouvoir de la vie peut transformer n'importe quel embûche en force.

J'ai envie que tu me partages dans les commentaires qu'est-ce qui t'amène à écouter cet épisode avec bien sûr ta touche personnelle.

Et pour te remercier d'être là avec moi, je t'offre 7 conseils précieux que tu peux télécharger sur mon site florence-cohen.fr.

Voici deux actions à effet immédiat pour te permettre d'éviter la confusion qui peut devenir ta meilleur amie avec le temps:

🕓 L'appel découverte: https://www.florence-cohen.fr/appel-decouverte.html

Recevoir davantage d’inspiration, voici les liens de mes médias sociaux:
🔶 Facebook : https://www.facebook.com/FlorenceCohenASP
🔶 Instagram : https://www.instagram.com/florence_cohen_asp/
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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Fais-tu partie de ces femmes qui doutent énormément de leur potentiel et qui en même temps révolutionnent cette façon d'être machiste ? qui sans le savoir prennent leur place en affirmant que ça suffit. Pour éviter les idées confuses qui sont entre parenthèses tes meilleurs ennemis et transformer ce regard que tu as sur toi en quelque chose de vivifiant, sans filtre déformant, je te propose d'écouter ce nouvel épisode de la chaîne de podcast Divorce, itinéraire d'une transformation. Je suis sophrologue, psychanalyste, une femme divorcée, séparée, qui découvre chaque jour. comment le pouvoir de la vie peut transformer n'importe quelle embûche en force. J'ai envie que tu me partages dans les commentaires qu'est-ce qui t'amène à écouter cet épisode avec bien sûr ta touche personnelle. Et pour te remercier d'être là avec moi, je t'offre 7 conseils précieux que tu peux télécharger sur mon site florence-cohen.fr Avant de dévoiler qui sont ces femmes qui mettent en péril ce modèle révolutionnaire, avant de te parler de ce comportement masculin qui s'effrite de plus en plus et qui pourtant, vraiment, semblait sexy à en mourir il y a 20 ans, j'aimerais remettre de l'ordre dans quelque chose d'essentiel. Et j'ai un aveu aussi à te faire, j'adore une autre Florence. Et non, je ne suis pas la seule et unique Florence, mais par contre, j'assume de mieux en mieux qui je suis, mon unicité et ma façon d'être. L'autre Florence, même si c'est une bombe, je ne suis pas d'accord avec cette énième couche qui nous dévalorise, nous les femmes, et j'ai envie de dire ça suffit. Pour éviter d'apercevoir nos signaux physiques de relâchement. Il est bien d'adopter selon cette autre Florence la position horizontale. Boys, boys, boys, attendez-vous à être confrontés à des girls irritées de ces discours qui vous font sembler beaux. Car, comme nous, chez vous, ça se relâche aussi et pas qu'un peu. Florence Foresti, je ne sais pas si tu auras deviné, mais j'adore vos shows. Votre éternelle tenue noire qui vous va juste à ravir. Vous êtes drôle, loufoque, surtout ne changez rien. Ah si, il est juste grand temps pour vous d'être debout, de l'assumer et qu'enfin les gens vous voient pour de vrai, non ? Grande, magnifique, à 50 ans. Mais peut-être que pour toi, tu as cette sensation désagréable que les deux positions ne te vont pas non plus. Horizontale, verticale, tu n'es peut-être pas bien dans ta peau. Ou bien même là, tu te dis, mais Florence Foresti, elle est célèbre, elle est belle, elle a tout ce qu'elle veut. Alors avant de... Commencer, je remets justement un peu d'ordre dans comment sont aussi aujourd'hui les hommes physiquement. C'est important pour moi de le souligner parce que depuis des années, on entend juger, juger, critiquer cette femme de 45, 50, 60 ans qui est comme ceci ou comme cela, alors que les hommes, eh bien... ont avec l'âge leur ventre qui pousse, en fait comme s'ils faisaient des grossesses sur le tard, mais qui durent longtemps. Leurs cheveux tombent, ils tentent de rentrer dans des chemises qui placeraient leur ventre, un peu comme ces gaines qui sont spécialisées dans les femmes et pas peut-être dans les gaines pour hommes, et qui essayent aussi de se faufiler dans du slim malgré les bourrelets qui dépassent. Merci. Et pour être honnête, ce n'est pas l'homme qui vieillit que je trouve moche, c'est juste en fait la façon dont il nous habille. Alors qu'ils sont logés à la même enseigne, mais que l'on va prendre pour une vérité absolue, nous, les femmes. Et il est grand temps, mais alors vraiment grand temps, que ça change. Que chacun s'accepte comme il est, et qu'il embrasse la vie avec tous ses sens et non du bout des lèvres. Et puis là, il me vient une petite question comme ça, que j'ai envie de te poser. Dans quelle tenue tu te sens le plus à l'aise ? Parce que c'est important ça aussi. Est-ce que c'est dans un jogging ? Est-ce que c'est quand tu es en jean ou bien en jupe ou bien dans une robe ? Est-ce qu'il y a une tenue pour toi adéquate ? dans laquelle tu te sens en valeur, tu te sens en lien avec tes valeurs, justement. En fait, ce que la femme n'accepte pas, c'est son corps, sa réalité et son passé. Et pourtant, mesdames, c'est vous qui avez la plus grande disposition à créer, et pas que des enfants. Mais seulement, voilà, vous pensez que vous n'avez mis au monde que des enfants, alors que vous avez fait beaucoup plus que ça. Vous avez aussi cette possibilité de vous transformer. Vous êtes en fait si belle avec ces complexes que vous tentez de dissimuler. Ce n'est pas parce qu'on est jeune, ce n'est pas parce que les femmes sont jeunes qu'elles ne sont pas complexées. Ce qui vous met mal à l'aise, c'est justement cette attirance des hommes plus vieux vers ces femmes plus jeunes. Mais justement, je vais aussi en parler dans cet épisode. de ce quelque chose qui s'effrite aussi chez les hommes et qui paraissait vraiment très sexy il y a encore 15 ou 20 ans. Et en plus, la vie vous permet de vous transformer avec un autre rôle qui va vous aller bien ou pas, selon si vous l'acceptez ou pas. C'est celui de grand-mère. Donc vous voyez que vous avez... plein d'arc, plein de flèches à votre arc, c'est peut-être mieux, plein d'arc aussi si vous voulez, et que vous avez cette possibilité infinie de créer, mais qu'on bloque, nous les femmes, à ce seul rôle, celui d'enfanté. Alors comment faire une force de tous ces atouts ? Parce que ce sont des atouts, c'est un potentiel que vous avez, mais que vous ne voyez pas toujours avec un regard positif. et j'aimerais qu'en fait tu me partages qu'est-ce qui est difficile pour toi et que tu n'assumes vraiment pas. Parce qu'il y a une difficulté clairement de juste ruminer sur le fait d'avoir élevé des enfants, de n'avoir fait que ça, mais on n'a pas fait que ça. Donc qu'est-ce que tu as du mal à assumer ? Est-ce que tu aimerais assumer autre chose ? Peut-être un... Un... un quelque chose qui te semble peut-être inaccessible, difficile, changer de métier, commencer une nouvelle formation, t'habiller peut-être différemment, te voir différemment, plutôt que de te voir toujours pas belle, vieille, grosse, laide, moche. Non, tu es tellement plus que ça. Tu es une femme qui change la vie, qui donne la vie, qui change le monde. Donc moi, j'aimerais juste que tu me dises pourquoi. tu ne t'assumes pas à l'heure d'aujourd'hui. Ce que l'homme, lui aussi, n'accepte pas, parce que lui aussi, l'homme, il a des difficultés, c'est la solitude et vieillir. En fait, l'homme va tout faire pour reculer cette échéance en vivant de manière répétitive les mêmes désordres. faire des enfants, même sur le tard, sortir comme s'il avait 17 ans, et en parallèle, ce qu'il déteste, et oui mesdames, il faut le savoir, c'est d'être enchaîné et en couple. Donc ce côté paradoxal de l'homme qui a soi-disant besoin d'être aimé, d'être en couple et d'être réconforté, eh bien n'aime pas se sentir enchaîné. Alors, eh bien, à quoi c'est dû ? Eh bien, cette ambivalence... il en souffre, parce que ce paradoxe vient de cette union mère-fils. Mais comme ce n'est pas le sujet du jour et que je ne vais pas en parler dans cet épisode, j'en parlerai peut-être dans un autre, c'était juste en fait pour souligner aussi les difficultés d'un homme. Alors avant d'aborder la partie sexy que je t'ai promis, je vais te parler de ce modèle familial qui a pris naissance dans les années 2000, qui a fait vraiment fureur, qui en a fait rêver beaucoup et qui même s'il continue d'exister, est en train de s'essouffler. On va voir pourquoi. J'appelle à la barre la famille Recomposé. Cette famille recomposée, elle a fait rêver de par cette nouvelle création. C'est-à-dire les personnes qui étaient en famille recomposée se séparaient entre 30 et 40 ans. La femme avait des enfants, l'homme avait des enfants. Cela faisait une union et souvent ils remettaient le couvert pour avoir un autre enfant pour sceller cette nouvelle union. Ce qui faisait rêver, c'était ces nouvelles habitudes de création à deux, avec des enfants venus de deux unions différentes. Un nouveau modèle, mais copié-collé sur le modèle américain d'une maison, d'une voiture, d'un jardin, qui faisait croire que cette famille-là allait être heureuse. Malheureusement, ça n'a pas été le cas. Et peut-être d'ailleurs que tu as vécu aussi ce schéma-là. Moi, je t'avoue que j'ai réussi à l'éviter. J'y ai pensé dans les années où j'étais mariée et où ça n'allait pas. Mais j'ai réussi à l'éviter car il y avait déjà, moi, quelque chose à l'époque qui me déplaisait énormément. et qui s'appelle Les Ex. Alors, certainement en lien avec mon passé, et puis avec mon histoire familiale, je n'en parlerai pas ici, mais Les Ex, j'ai compris lorsque j'ai divorcé, que lorsque je croisais des hommes qui avaient des enfants jeunes, je vais aussi en parler dans cet épisode, eh bien, je me rendais compte qu'ils n'avaient pas fait le deuil de... la mère de leur enfant et qu'il y avait un certain regard encore amoureux qui n'était pas du tout passé à autre chose. Donc, moi, j'ai voulu éviter ça. Et en même temps, je n'avais pas, bien sûr, tous les outils que j'ai à ma disposition aujourd'hui pour changer ce regard sur les ex. En fait, composer avec la jalousie, les regrets, l'amour encore là de deux ex, eh bien, moi, je n'en voulais pas. Puis il y a eu aussi ce détail vraiment venu me percuter de plein fouet un soir de fête où j'étais encore mariée. Et bien c'était tout simplement, comment te dire ? deux individus recomposant une famille, un homme, une femme, qui ne se parlaient pas du tout. Et à l'époque, je peux t'assurer qu'on n'était pas encore avec les portables à la main, parce que c'était, wow, il y a bien 15 ans. Donc les gens sortaient, moi j'allais dans ces fêtes où je me sentais mal à l'aise, où je n'étais pas bien, puisque j'étais sur la fin de mon mariage. Et les gens n'avaient pas, comme aujourd'hui, chacun un portable et discuter sur leur portable. Non, non. ils étaient assis l'un à côté de l'autre ou l'un en face de l'autre et ils s'ennuyaient à mourir. Et donc moi, ça m'interpellait déjà parce que je me disais, bon ben, à quoi ça sert d'avoir divorcé si c'est pour se remettre en couple et puis n'avoir rien à se dire ? Moi, ça a vraiment été quelque chose qui m'a dérangé déjà à l'époque. Donc je ne sais pas si toi, ça t'interpelle ce que je dis, mais surtout, n'hésite pas à me le partager. En fait, je voyais le même problème chez les couples qui n'avaient pas divorcé et ceux qui s'étaient fait ou refait une santé familiale. Et ça, comme je te le dis, c'était déjà il y a plusieurs années. Alors qu'est-ce qui met à mal ce modèle aujourd'hui de recomposition familiale ? Eh bien c'est la voix des femmes. C'est celles qui ne supportent plus, qui ne veulent plus parce qu'un écart de géant s'est creusé entre les deux sexes malgré le même âge. Les hommes qui ont 50 ans se retrouvent seuls avec des enfants qui ont entre 7 et 10 ans. Les hommes qui y approchent la soixantaine sont pères d'adolescents qui ont entre 15 et 20 ans. Alors que les femmes qui ont entre 50 et 60 ans voient leurs enfants quitter le nid ou leurs enfants devenir parents. Ce qui a fait souffrir... tant de femmes, c'est cette position de l'homme. C'est-à-dire qu'une femme plus jeune et de nouveaux enfants. Souvent, un homme va partir pour aller vers une femme plus jeune, créer un autre modèle familial et avoir un autre enfant. Seulement, voilà, le hic, c'est que les femmes d'aujourd'hui qui ont 50 ans et plus, eh bien, refusent. de se remettre en couple avec des hommes qui pourtant ont le même âge mais pouponnent encore. Donc ça c'est vraiment un phénomène qui met à mal les hommes et les femmes qui ont le même âge. Sauf que les femmes, j'ai envie de dire, elles vont agir et réagir différemment aujourd'hui. Parce qu'en fait, les hommes... se remettant au pas d'un échec avec une femme plus jeune, sentent aussi aujourd'hui qu'ils se retrouvent dans une impasse. Clairement, car de ces familles recomposées, qui semblaient respirer le bonheur, ne reste plus qu'une même danse, celle de l'égalité en matière de souffrance. les hommes vont avoir du mal à se dire je retourne vers une femme plus jeune puisque clairement pour faire un enfant qui a aujourd'hui entre 7 et 17 ans il faut que la femme soit plus jeune, mais ça a été une déconvenue. Et quand il se tourne vers les femmes du même âge, les femmes refusent d'être encore dans un modèle d'éducation. elles en ont marre, elles ont souffert aussi de la séparation avec leurs enfants quand il y a eu le divorce. Pour beaucoup de mères de famille, peut-être elles ont vécu des enfants qui leur ont tourné le dos, elles ont senti que ce divorce était compliqué pour leurs enfants, pour la relation avec leurs enfants, pour la relation avec l'ex et ses enfants. Et aujourd'hui, pour elles, c'est tellement encore à vif. qu'elles ne veulent vraiment plus supporter les enfants d'un autre homme, même si cet homme a le même âge qu'elle. Alors les hommes se retrouvent dans une réelle impasse car la femme ose dire stop aujourd'hui, non, ça suffit. Et ce sont aussi les femmes qui consultent pour aller mieux. qui se remettent en question pour tenter d'évacuer cette pression, ce trop-plein. Alors comment sortir des sentiers battus, de cette souffrance et de la dépendance à l'autre ? Parce que la question, elle est réellement là, sans se perdre dans une vie qui ne fait plus sens, aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Qu'est-ce que j'appelle une vie qui ne fait plus sens ? Eh bien, moi je trouve, je vais peut-être vous paraître vieux jeu, tout en étant consciente que les changements qui sont là sont bénéfiques. C'est-à-dire une vie qui fait sens pour moi, c'est qu'il y a un âge pour tout. C'est-à-dire qu'il y a un âge pour avoir des enfants, pour être grand-parent, et pour, quand on devient adulte... quand on est dans la fleur de l'âge, et la fleur de l'âge, ce n'est pas 30 ans, 40 ans, c'est à partir de 50 ans, d'arriver à définir ce qui va nous plaire, ce qui va nous faire du bien. Mais ça, pas au détriment de nos propres enfants, pas au détriment de nos valeurs. Qu'est-ce que j'appelle des valeurs ? Qu'est-ce que j'appelle, pas au détriment de nos propres enfants, c'est que les enfants, quand ils ont 17 ans, 18 ans, ils vont vers leur vie d'adulte, mais on doit être là pour leur montrer. Alors un exemple, peut-être pas, mais on doit être là pour structurer ce passage à l'âge adulte. c'est-à-dire que ce sont les enfants de 17-18 ans, ça va commencer peut-être un petit peu avant aussi, qui doivent sortir, qui doivent faire leur rencontre, qui doivent aller à des booms ou à des soirées, et nous en tant que parents, on doit baliser ce chemin pour leur permettre de voler de leurs propres ailes à un moment donné. Si les parents s'emmêlent les pinceaux dans... s'est sorti dans agir comme si on avait 17 ans, sortir avec leurs enfants de 17 ans, et bien là pour moi il y a confusion. Mais même confusion pour nous en tant que femmes, parce qu'on peut sortir. Attention, je ne dis pas qu'il ne faut pas sortir, je ne dis pas qu'il faut rester dans un canapé, puisque les enfants aujourd'hui, la majorité du temps, sont en garde partagée. Donc on peut sortir, mais je sais que quand moi je suis avec mon petit-fils, ce ne sont que des sorties pour un enfant de 10 ans. Je ne vais pas l'emmener avec moi dans quelque chose qui ne lui plaît pas parce que je l'accompagne dans son évolution de petit-enfant. Et donc c'est ça qui porte à confusion, c'est-à-dire qu'un homme et une femme doivent apprendre à se construire avec ses valeurs et avec ce qu'il ou elle va découvrir sur ce chemin du célibat après de multiples changements, parce que le monde est en train là d'évoluer en matière de couple, en matière d'individualité. Ça évolue à une vitesse, mais phénoménale. Donc, comment sortir de ces sentiers battus ? Il n'y a qu'un seul chemin. C'est celui que je propose d'ailleurs dans mes accompagnements, alors que j'adapte attention à chaque personne, parce que chaque cliente, chaque être humain est unique et différent. Certaines femmes vivent encore ces nombreux changements de dogme dans la société avec de la peur. Quand d'autres voient ça comme une opportunité et se découvrent aventurières dans l'âme alors qu'elles avaient peur de tout. Ce changement de famille Ce changement qui bouleverse les hommes et change le regard des femmes sur eux, c'est très inconfortable et en même temps nécessaire car chaque femme a le droit de se respecter, a le droit d'accueillir ses valeurs, de les mettre en avant sans se sentir dévalorisée, sans être montrée du doigt par ce qu'elle pense, par ce qu'elle vit, par ce qu'elle ressent. Quant aux hommes, Ils ont aussi ces mêmes droits, avec la lourde charge en plus, de ne plus considérer une femme comme un objet. Alors comment s'y retrouver quand le chaos est là, quand tout bouge à une allure phénoménale et comment ne pas se noyer pour se sentir pleinement vivante ? Je vais te le dire à la fin. Alors ce qui était sexy il y a 20 ans, je ne sais pas si tu l'auras compris un petit peu, j'en parle par bribes dans l'épisode, c'était ce que les hommes mettaient en avant comme quelque chose de beau, comme une force, et que les femmes admiraient en se sentant ridiculisées. Eh bien, c'est un enfant à plus de 50 ans. C'était stylé à l'époque, réconfortant pour eux, mais en même temps... Et Sarah, c'est la femme de 50 ans et plus, et bien à ce quelque chose, cette femme qui dépassait la cinquantaine ne trouvait pas sa place, ne la trouvait plus, se disant souvent qu'un homme préférait aller vers des jeunes et donc elle se dévalorisait, ne s'aimait pas. Seulement voilà. Les jeunes femmes d'aujourd'hui s'échappent, ne restent plus aussi en couple et ces hommes à l'air magnifiques avec un poupon dans les bras, une poussette, je ne sais pas si tu te rappelles quand tu voyais ces hommes pousser la poussette, peut-être certaines femmes s'arrêter, Béat, ouais le beau mec avec un gamin qui était très jeune. se retrouvent perdus parce que ces hommes ne savent plus à quel sein se vouer. Celui d'une femme de 30 ans ou celui d'une femme de son âge, les deux lui sont refusés catégoriquement aujourd'hui. Ce qui ébranle donc ce format de jeune père à l'âge d'être grand-père, c'est la réalité aussi économique, le monde du travail qui change. C'est-à-dire qu'il n'y a pas... Qu'une seule chose qui change, tout est lié, c'est-à-dire que si le regard sur les familles change, si les femmes ne veulent plus éduquer à 50 ans et plus des enfants qui ont 10 ans alors qu'elles sont peut-être même elles déjà grand-mères, il y a aussi quelque chose qui bouleverse aussi tous les codes, c'est le monde du travail. Quand les femmes sont prêtes à démissionner. à se former et ce pendant des années. C'est-à-dire qu'une femme qui commence un autre travail sur le tard, qui développe une passion qu'elle avait peut-être jeune, va se former et ne lésine pas sur les moyens de se former. On sait, et j'en fais partie, c'est-à-dire que je suis devenue psychanalyste, sophrologue, en étant moi-même en thérapie depuis des années. Je suis restée de très nombreuses années en thérapie et j'ai étudié ces thérapies. Je continue d'ailleurs de me former. Et en fait, c'est ça aussi qui pêche. C'est-à-dire que... Les femmes vont peut-être aussi découvrir un métier, une vocation, qu'elles vont découvrir sur le tard alors que les hommes vont subir un burn-out professionnel, un ras-le-bol dont ils ne parviennent pas à se sortir alors que les femmes vont se découvrir une vocation. En fait, les hommes ont cette peur d'apprendre. Il y a cette difficulté pour les hommes à se dire que ce qu'ils ont appris à 20 ans doit être remis en question à 50 ou à 40. Plutôt que de voir là une opportunité de changer, une opportunité d'évolution, peut-être se former à autre chose, pour eux c'est un échec. Et c'est ça qui est bien dommage. Mais attention, je mets toujours des bémols, c'est en fait... Ce n'est pas leur faute, mais en même temps, on est logé, les hommes et les femmes, à la même enseigne. En fait, les hommes qui ont peur d'apprendre et de changer de métier, tout ça c'est dû à l'éducation reçue dans les années 60. On est né dans les années 60, on a reçu des codes de travail qui ont énormément changé depuis. Et pour faire face à ces changements brutaux, déstabilisant de toute part, eh bien, il est nécessaire aujourd'hui et vital d'apprendre à vivre dans le changement et à le provoquer. C'est-à-dire, c'est ce que je propose d'ailleurs dans mes accompagnements, c'est-à-dire que je n'accompagne pas sans mettre les changements en avant parce que c'est de là où on va pouvoir rééquilibrer toutes les sphères, les sphères émotionnelles. Les sphères au niveau de nos valeurs, les échanges avec les autres, ils sont très importants ces échanges. On ne peut pas se passer d'hommes et de femmes et d'échanges sociaux. C'est complètement utopique de penser que l'on peut vivre prostré chez soi. La solitude, elle a un temps, elle est nécessaire. Vivre seul et puis se regarder, tenter des expériences pour voir ce que l'on aime, ce que l'on n'aime pas, c'est même vital pour ensuite comprendre que l'échange avec l'autre, il est nécessaire. pour voir comment ça évolue, pour voir qu'est-ce qu'on peut partager ensemble aujourd'hui à plus de 50 ans. C'est vraiment ça qui est à l'œuvre et c'est vraiment ça qui est à apprendre et qui fait que pour mes clientes, trouver un équilibre dans leur déséquilibre, et bien elles en sont ravies à un moment donné c'est vrai qu'elles vont trouver ce qui leur va bien et comment surfer sur ce changement de dogme de paradigme, de façon d'être de façon de voir pour les deux sexes et c'est vraiment ça moi j'appuie sur ce point là dans mes accompagnements alors c'est vraiment Il y a aussi un mais, parce que j'accompagne vraiment les personnes qui vont être désireuses d'évoluer, même si ça semble difficile. En fait, la peur de tout être humain, c'est la routine. C'est-à-dire qu'on entend beaucoup dire j'aime pas la routine, j'aime pas m'ennuyer D'ailleurs, dans les réseaux de rencontres, les profils des hommes, ils font du sport, ils font du ski, ils font de la moto, ils n'ont jamais un moment de répit. Alors moi, rentrer dans la vie d'un homme qui met autant en avant le faire pour ne pas penser, pour oublier, c'est non. c'est non parce que changer, ce n'est pas faire à outrance des activités. Le changement, en fait, ce qui fait peur, c'est qu'on a l'impression de sauter d'une falaise. Alors que le changement, je vais le comparer à quelque chose, c'est quand on va au bord de la mer, à une mer qui est froide. qu'on se dit, non, non, là, au bord de mer, je vais marcher en basket parce que j'ai peur de mouiller les pieds. Il y a cette peur d'avoir froid. Je prends quelque chose de basique parce qu'il faut que je prenne quelque chose de basique, d'ailleurs. Donc, du coup, c'est ce que j'ai fait il n'y a pas longtemps. C'est ce que j'ai fait il y a 15 jours. J'ai dit, tiens, je suis au bord de la mer. Même si l'eau est à 12 degrés, ce qui pour moi est très très froid, vu que je ne veux me baigner que dans une eau à 35, mais vivant en Bretagne, j'ai plutôt intérêt à trouver comment me baigner beaucoup plus vite, j'ai décidé d'enlever mes chaussures. Et en fait, ce qui est difficile, c'est de se dire, ok, c'est déjà l'idée qu'on se fait du froid. Est-ce que tu vas mourir parce que tu mets tes pieds dans l'eau ? Ben non. Donc va essayer. Et même si c'est froid, tu auras à essayer. C'est ça le changement. c'est se déconstruire toutes ces idées préconçues qu'on a, à savoir si je mets les pieds dans l'eau, mon Dieu, ça va être froid. Et alors ? Tu auras testé. Donc en fait, mettre les pieds dans l'eau, tu vas avoir froid au début, tu vas les retirer. Alors bien sûr, je te conseille de le faire à un moment donné où il fait beau, c'est-à-dire où tu as une source de chaleur qui est capable de te réchauffer, un temps soit peu. Puis ensuite, tu vas retourner. Tu vas te dire, tiens, allez, j'y retourne. Mes pieds se sont réchauffés, j'y retourne un peu. Et tu vas constater que ça va être moins froid et que tu vas y rester un peu plus longtemps. Et puis, tu vas te surprendre, 5, 10, 15 minutes après, à aller peut-être un peu plus loin dans l'eau et à y mettre jusqu'à tes mollets, qui va te faire dire, waouh, mais c'est vachement bien. Je n'ai pas mis que mes orteils, j'y suis jusqu'aux mollets. Et qu'est-ce que c'est agréable. Et bien, pour vivre les changements, c'est exactement pareil. Il y a une peur qui est là, qui n'est pas une vraie peur. Il faut savoir que la peur, elle est construite par ton cerveau. Mais que si tu y vas pour affronter, pour voir si c'est vrai, tu vas te rendre compte en fait que cette peur, tu peux la déconstruire et te dire, ben non, finalement, ce n'est pas vrai, ce que je ressens, ben ouais, ok, c'est froid, mais finalement, je l'ai fait, ce n'était pas si pénible que ça. Et dans la vie de tous les jours, ce sont ces changements que l'on doit adopter. Ça peut être, tiens, je vais dans un endroit aujourd'hui me promener que je ne connais pas. Je me mets face à un défi plutôt que de faire... quelque chose dont j'ai l'habitude, je déconstruis cette habitude pour être et découvrir quelque chose qui me met mal à l'aise, mais qui va justement me permettre d'accepter les changements différemment. Donc si tu es une personne désireuse d'évoluer, même si ça te semble difficile, moi je suis toujours la spectatrice de magnifiques transformations grâce à mes clientes, et j'ai conscience aussi que peut-être pour toi changer sera trop difficile donc c'est à toi de voir alors tu te dis mais comment le savoir si pour moi changer ça va être difficile ou pas et bien moi je propose toujours qu'on prenne rendez-vous pour un appel découverte les infos sont dans le descriptif tu peux cliquer sur le lien et ensemble et bien je te partage ce qui serait bon pour toi au contraire, ce qui serait compliqué. Et ensuite, libre à toi de choisir si tu veux sauter dans l'inconnu, si tu veux apprendre à changer pour t'épanouir, pour ne plus subir ces transformations familiales, pour être bien dans tes pompes, pour assumer qui tu es avec tes valeurs, pour découvrir quelles sont tes valeurs que tu souhaites mettre en avant. Eh bien, si ça te parle, je te laisse cliquer. sur la séance découverte et puis on se retrouvera de l'autre côté. Et puis en attendant, si cet épisode t'a permis d'y voir plus clair, je serais vraiment ravie de le savoir. Et puis on se retrouve le mercredi 5 juin pour un nouvel épisode. Ciao, ciao !

Description

Fais-tu partie de ces femmes qui doutent énormément de leur potentiel et qui en même temps révolutionnent cette façon d'être machiste, qui sans le savoir prennent leur place en affirmant que ça suffit.

Pour éviter les idées confuses, qui sont entre parenthèses tes meilleurs ennemis, et transformer ce regard que tu as sur toi en quelque chose de vivifiant, sans filtre déformant, je te propose d'écouter ce nouvel épisode de la chaîne de podcast Divorce, itinéraire d'une transformation.

Je suis sophrologue, psychanalyste, une femme divorcée, séparée, qui découvre chaque jour comment le pouvoir de la vie peut transformer n'importe quel embûche en force.

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Et pour te remercier d'être là avec moi, je t'offre 7 conseils précieux que tu peux télécharger sur mon site florence-cohen.fr.

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    Fais-tu partie de ces femmes qui doutent énormément de leur potentiel et qui en même temps révolutionnent cette façon d'être machiste ? qui sans le savoir prennent leur place en affirmant que ça suffit. Pour éviter les idées confuses qui sont entre parenthèses tes meilleurs ennemis et transformer ce regard que tu as sur toi en quelque chose de vivifiant, sans filtre déformant, je te propose d'écouter ce nouvel épisode de la chaîne de podcast Divorce, itinéraire d'une transformation. Je suis sophrologue, psychanalyste, une femme divorcée, séparée, qui découvre chaque jour. comment le pouvoir de la vie peut transformer n'importe quelle embûche en force. J'ai envie que tu me partages dans les commentaires qu'est-ce qui t'amène à écouter cet épisode avec bien sûr ta touche personnelle. Et pour te remercier d'être là avec moi, je t'offre 7 conseils précieux que tu peux télécharger sur mon site florence-cohen.fr Avant de dévoiler qui sont ces femmes qui mettent en péril ce modèle révolutionnaire, avant de te parler de ce comportement masculin qui s'effrite de plus en plus et qui pourtant, vraiment, semblait sexy à en mourir il y a 20 ans, j'aimerais remettre de l'ordre dans quelque chose d'essentiel. Et j'ai un aveu aussi à te faire, j'adore une autre Florence. Et non, je ne suis pas la seule et unique Florence, mais par contre, j'assume de mieux en mieux qui je suis, mon unicité et ma façon d'être. L'autre Florence, même si c'est une bombe, je ne suis pas d'accord avec cette énième couche qui nous dévalorise, nous les femmes, et j'ai envie de dire ça suffit. Pour éviter d'apercevoir nos signaux physiques de relâchement. Il est bien d'adopter selon cette autre Florence la position horizontale. Boys, boys, boys, attendez-vous à être confrontés à des girls irritées de ces discours qui vous font sembler beaux. Car, comme nous, chez vous, ça se relâche aussi et pas qu'un peu. Florence Foresti, je ne sais pas si tu auras deviné, mais j'adore vos shows. Votre éternelle tenue noire qui vous va juste à ravir. Vous êtes drôle, loufoque, surtout ne changez rien. Ah si, il est juste grand temps pour vous d'être debout, de l'assumer et qu'enfin les gens vous voient pour de vrai, non ? Grande, magnifique, à 50 ans. Mais peut-être que pour toi, tu as cette sensation désagréable que les deux positions ne te vont pas non plus. Horizontale, verticale, tu n'es peut-être pas bien dans ta peau. Ou bien même là, tu te dis, mais Florence Foresti, elle est célèbre, elle est belle, elle a tout ce qu'elle veut. Alors avant de... Commencer, je remets justement un peu d'ordre dans comment sont aussi aujourd'hui les hommes physiquement. C'est important pour moi de le souligner parce que depuis des années, on entend juger, juger, critiquer cette femme de 45, 50, 60 ans qui est comme ceci ou comme cela, alors que les hommes, eh bien... ont avec l'âge leur ventre qui pousse, en fait comme s'ils faisaient des grossesses sur le tard, mais qui durent longtemps. Leurs cheveux tombent, ils tentent de rentrer dans des chemises qui placeraient leur ventre, un peu comme ces gaines qui sont spécialisées dans les femmes et pas peut-être dans les gaines pour hommes, et qui essayent aussi de se faufiler dans du slim malgré les bourrelets qui dépassent. Merci. Et pour être honnête, ce n'est pas l'homme qui vieillit que je trouve moche, c'est juste en fait la façon dont il nous habille. Alors qu'ils sont logés à la même enseigne, mais que l'on va prendre pour une vérité absolue, nous, les femmes. Et il est grand temps, mais alors vraiment grand temps, que ça change. Que chacun s'accepte comme il est, et qu'il embrasse la vie avec tous ses sens et non du bout des lèvres. Et puis là, il me vient une petite question comme ça, que j'ai envie de te poser. Dans quelle tenue tu te sens le plus à l'aise ? Parce que c'est important ça aussi. Est-ce que c'est dans un jogging ? Est-ce que c'est quand tu es en jean ou bien en jupe ou bien dans une robe ? Est-ce qu'il y a une tenue pour toi adéquate ? dans laquelle tu te sens en valeur, tu te sens en lien avec tes valeurs, justement. En fait, ce que la femme n'accepte pas, c'est son corps, sa réalité et son passé. Et pourtant, mesdames, c'est vous qui avez la plus grande disposition à créer, et pas que des enfants. Mais seulement, voilà, vous pensez que vous n'avez mis au monde que des enfants, alors que vous avez fait beaucoup plus que ça. Vous avez aussi cette possibilité de vous transformer. Vous êtes en fait si belle avec ces complexes que vous tentez de dissimuler. Ce n'est pas parce qu'on est jeune, ce n'est pas parce que les femmes sont jeunes qu'elles ne sont pas complexées. Ce qui vous met mal à l'aise, c'est justement cette attirance des hommes plus vieux vers ces femmes plus jeunes. Mais justement, je vais aussi en parler dans cet épisode. de ce quelque chose qui s'effrite aussi chez les hommes et qui paraissait vraiment très sexy il y a encore 15 ou 20 ans. Et en plus, la vie vous permet de vous transformer avec un autre rôle qui va vous aller bien ou pas, selon si vous l'acceptez ou pas. C'est celui de grand-mère. Donc vous voyez que vous avez... plein d'arc, plein de flèches à votre arc, c'est peut-être mieux, plein d'arc aussi si vous voulez, et que vous avez cette possibilité infinie de créer, mais qu'on bloque, nous les femmes, à ce seul rôle, celui d'enfanté. Alors comment faire une force de tous ces atouts ? Parce que ce sont des atouts, c'est un potentiel que vous avez, mais que vous ne voyez pas toujours avec un regard positif. et j'aimerais qu'en fait tu me partages qu'est-ce qui est difficile pour toi et que tu n'assumes vraiment pas. Parce qu'il y a une difficulté clairement de juste ruminer sur le fait d'avoir élevé des enfants, de n'avoir fait que ça, mais on n'a pas fait que ça. Donc qu'est-ce que tu as du mal à assumer ? Est-ce que tu aimerais assumer autre chose ? Peut-être un... Un... un quelque chose qui te semble peut-être inaccessible, difficile, changer de métier, commencer une nouvelle formation, t'habiller peut-être différemment, te voir différemment, plutôt que de te voir toujours pas belle, vieille, grosse, laide, moche. Non, tu es tellement plus que ça. Tu es une femme qui change la vie, qui donne la vie, qui change le monde. Donc moi, j'aimerais juste que tu me dises pourquoi. tu ne t'assumes pas à l'heure d'aujourd'hui. Ce que l'homme, lui aussi, n'accepte pas, parce que lui aussi, l'homme, il a des difficultés, c'est la solitude et vieillir. En fait, l'homme va tout faire pour reculer cette échéance en vivant de manière répétitive les mêmes désordres. faire des enfants, même sur le tard, sortir comme s'il avait 17 ans, et en parallèle, ce qu'il déteste, et oui mesdames, il faut le savoir, c'est d'être enchaîné et en couple. Donc ce côté paradoxal de l'homme qui a soi-disant besoin d'être aimé, d'être en couple et d'être réconforté, eh bien n'aime pas se sentir enchaîné. Alors, eh bien, à quoi c'est dû ? Eh bien, cette ambivalence... il en souffre, parce que ce paradoxe vient de cette union mère-fils. Mais comme ce n'est pas le sujet du jour et que je ne vais pas en parler dans cet épisode, j'en parlerai peut-être dans un autre, c'était juste en fait pour souligner aussi les difficultés d'un homme. Alors avant d'aborder la partie sexy que je t'ai promis, je vais te parler de ce modèle familial qui a pris naissance dans les années 2000, qui a fait vraiment fureur, qui en a fait rêver beaucoup et qui même s'il continue d'exister, est en train de s'essouffler. On va voir pourquoi. J'appelle à la barre la famille Recomposé. Cette famille recomposée, elle a fait rêver de par cette nouvelle création. C'est-à-dire les personnes qui étaient en famille recomposée se séparaient entre 30 et 40 ans. La femme avait des enfants, l'homme avait des enfants. Cela faisait une union et souvent ils remettaient le couvert pour avoir un autre enfant pour sceller cette nouvelle union. Ce qui faisait rêver, c'était ces nouvelles habitudes de création à deux, avec des enfants venus de deux unions différentes. Un nouveau modèle, mais copié-collé sur le modèle américain d'une maison, d'une voiture, d'un jardin, qui faisait croire que cette famille-là allait être heureuse. Malheureusement, ça n'a pas été le cas. Et peut-être d'ailleurs que tu as vécu aussi ce schéma-là. Moi, je t'avoue que j'ai réussi à l'éviter. J'y ai pensé dans les années où j'étais mariée et où ça n'allait pas. Mais j'ai réussi à l'éviter car il y avait déjà, moi, quelque chose à l'époque qui me déplaisait énormément. et qui s'appelle Les Ex. Alors, certainement en lien avec mon passé, et puis avec mon histoire familiale, je n'en parlerai pas ici, mais Les Ex, j'ai compris lorsque j'ai divorcé, que lorsque je croisais des hommes qui avaient des enfants jeunes, je vais aussi en parler dans cet épisode, eh bien, je me rendais compte qu'ils n'avaient pas fait le deuil de... la mère de leur enfant et qu'il y avait un certain regard encore amoureux qui n'était pas du tout passé à autre chose. Donc, moi, j'ai voulu éviter ça. Et en même temps, je n'avais pas, bien sûr, tous les outils que j'ai à ma disposition aujourd'hui pour changer ce regard sur les ex. En fait, composer avec la jalousie, les regrets, l'amour encore là de deux ex, eh bien, moi, je n'en voulais pas. Puis il y a eu aussi ce détail vraiment venu me percuter de plein fouet un soir de fête où j'étais encore mariée. Et bien c'était tout simplement, comment te dire ? deux individus recomposant une famille, un homme, une femme, qui ne se parlaient pas du tout. Et à l'époque, je peux t'assurer qu'on n'était pas encore avec les portables à la main, parce que c'était, wow, il y a bien 15 ans. Donc les gens sortaient, moi j'allais dans ces fêtes où je me sentais mal à l'aise, où je n'étais pas bien, puisque j'étais sur la fin de mon mariage. Et les gens n'avaient pas, comme aujourd'hui, chacun un portable et discuter sur leur portable. Non, non. ils étaient assis l'un à côté de l'autre ou l'un en face de l'autre et ils s'ennuyaient à mourir. Et donc moi, ça m'interpellait déjà parce que je me disais, bon ben, à quoi ça sert d'avoir divorcé si c'est pour se remettre en couple et puis n'avoir rien à se dire ? Moi, ça a vraiment été quelque chose qui m'a dérangé déjà à l'époque. Donc je ne sais pas si toi, ça t'interpelle ce que je dis, mais surtout, n'hésite pas à me le partager. En fait, je voyais le même problème chez les couples qui n'avaient pas divorcé et ceux qui s'étaient fait ou refait une santé familiale. Et ça, comme je te le dis, c'était déjà il y a plusieurs années. Alors qu'est-ce qui met à mal ce modèle aujourd'hui de recomposition familiale ? Eh bien c'est la voix des femmes. C'est celles qui ne supportent plus, qui ne veulent plus parce qu'un écart de géant s'est creusé entre les deux sexes malgré le même âge. Les hommes qui ont 50 ans se retrouvent seuls avec des enfants qui ont entre 7 et 10 ans. Les hommes qui y approchent la soixantaine sont pères d'adolescents qui ont entre 15 et 20 ans. Alors que les femmes qui ont entre 50 et 60 ans voient leurs enfants quitter le nid ou leurs enfants devenir parents. Ce qui a fait souffrir... tant de femmes, c'est cette position de l'homme. C'est-à-dire qu'une femme plus jeune et de nouveaux enfants. Souvent, un homme va partir pour aller vers une femme plus jeune, créer un autre modèle familial et avoir un autre enfant. Seulement, voilà, le hic, c'est que les femmes d'aujourd'hui qui ont 50 ans et plus, eh bien, refusent. de se remettre en couple avec des hommes qui pourtant ont le même âge mais pouponnent encore. Donc ça c'est vraiment un phénomène qui met à mal les hommes et les femmes qui ont le même âge. Sauf que les femmes, j'ai envie de dire, elles vont agir et réagir différemment aujourd'hui. Parce qu'en fait, les hommes... se remettant au pas d'un échec avec une femme plus jeune, sentent aussi aujourd'hui qu'ils se retrouvent dans une impasse. Clairement, car de ces familles recomposées, qui semblaient respirer le bonheur, ne reste plus qu'une même danse, celle de l'égalité en matière de souffrance. les hommes vont avoir du mal à se dire je retourne vers une femme plus jeune puisque clairement pour faire un enfant qui a aujourd'hui entre 7 et 17 ans il faut que la femme soit plus jeune, mais ça a été une déconvenue. Et quand il se tourne vers les femmes du même âge, les femmes refusent d'être encore dans un modèle d'éducation. elles en ont marre, elles ont souffert aussi de la séparation avec leurs enfants quand il y a eu le divorce. Pour beaucoup de mères de famille, peut-être elles ont vécu des enfants qui leur ont tourné le dos, elles ont senti que ce divorce était compliqué pour leurs enfants, pour la relation avec leurs enfants, pour la relation avec l'ex et ses enfants. Et aujourd'hui, pour elles, c'est tellement encore à vif. qu'elles ne veulent vraiment plus supporter les enfants d'un autre homme, même si cet homme a le même âge qu'elle. Alors les hommes se retrouvent dans une réelle impasse car la femme ose dire stop aujourd'hui, non, ça suffit. Et ce sont aussi les femmes qui consultent pour aller mieux. qui se remettent en question pour tenter d'évacuer cette pression, ce trop-plein. Alors comment sortir des sentiers battus, de cette souffrance et de la dépendance à l'autre ? Parce que la question, elle est réellement là, sans se perdre dans une vie qui ne fait plus sens, aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Qu'est-ce que j'appelle une vie qui ne fait plus sens ? Eh bien, moi je trouve, je vais peut-être vous paraître vieux jeu, tout en étant consciente que les changements qui sont là sont bénéfiques. C'est-à-dire une vie qui fait sens pour moi, c'est qu'il y a un âge pour tout. C'est-à-dire qu'il y a un âge pour avoir des enfants, pour être grand-parent, et pour, quand on devient adulte... quand on est dans la fleur de l'âge, et la fleur de l'âge, ce n'est pas 30 ans, 40 ans, c'est à partir de 50 ans, d'arriver à définir ce qui va nous plaire, ce qui va nous faire du bien. Mais ça, pas au détriment de nos propres enfants, pas au détriment de nos valeurs. Qu'est-ce que j'appelle des valeurs ? Qu'est-ce que j'appelle, pas au détriment de nos propres enfants, c'est que les enfants, quand ils ont 17 ans, 18 ans, ils vont vers leur vie d'adulte, mais on doit être là pour leur montrer. Alors un exemple, peut-être pas, mais on doit être là pour structurer ce passage à l'âge adulte. c'est-à-dire que ce sont les enfants de 17-18 ans, ça va commencer peut-être un petit peu avant aussi, qui doivent sortir, qui doivent faire leur rencontre, qui doivent aller à des booms ou à des soirées, et nous en tant que parents, on doit baliser ce chemin pour leur permettre de voler de leurs propres ailes à un moment donné. Si les parents s'emmêlent les pinceaux dans... s'est sorti dans agir comme si on avait 17 ans, sortir avec leurs enfants de 17 ans, et bien là pour moi il y a confusion. Mais même confusion pour nous en tant que femmes, parce qu'on peut sortir. Attention, je ne dis pas qu'il ne faut pas sortir, je ne dis pas qu'il faut rester dans un canapé, puisque les enfants aujourd'hui, la majorité du temps, sont en garde partagée. Donc on peut sortir, mais je sais que quand moi je suis avec mon petit-fils, ce ne sont que des sorties pour un enfant de 10 ans. Je ne vais pas l'emmener avec moi dans quelque chose qui ne lui plaît pas parce que je l'accompagne dans son évolution de petit-enfant. Et donc c'est ça qui porte à confusion, c'est-à-dire qu'un homme et une femme doivent apprendre à se construire avec ses valeurs et avec ce qu'il ou elle va découvrir sur ce chemin du célibat après de multiples changements, parce que le monde est en train là d'évoluer en matière de couple, en matière d'individualité. Ça évolue à une vitesse, mais phénoménale. Donc, comment sortir de ces sentiers battus ? Il n'y a qu'un seul chemin. C'est celui que je propose d'ailleurs dans mes accompagnements, alors que j'adapte attention à chaque personne, parce que chaque cliente, chaque être humain est unique et différent. Certaines femmes vivent encore ces nombreux changements de dogme dans la société avec de la peur. Quand d'autres voient ça comme une opportunité et se découvrent aventurières dans l'âme alors qu'elles avaient peur de tout. Ce changement de famille Ce changement qui bouleverse les hommes et change le regard des femmes sur eux, c'est très inconfortable et en même temps nécessaire car chaque femme a le droit de se respecter, a le droit d'accueillir ses valeurs, de les mettre en avant sans se sentir dévalorisée, sans être montrée du doigt par ce qu'elle pense, par ce qu'elle vit, par ce qu'elle ressent. Quant aux hommes, Ils ont aussi ces mêmes droits, avec la lourde charge en plus, de ne plus considérer une femme comme un objet. Alors comment s'y retrouver quand le chaos est là, quand tout bouge à une allure phénoménale et comment ne pas se noyer pour se sentir pleinement vivante ? Je vais te le dire à la fin. Alors ce qui était sexy il y a 20 ans, je ne sais pas si tu l'auras compris un petit peu, j'en parle par bribes dans l'épisode, c'était ce que les hommes mettaient en avant comme quelque chose de beau, comme une force, et que les femmes admiraient en se sentant ridiculisées. Eh bien, c'est un enfant à plus de 50 ans. C'était stylé à l'époque, réconfortant pour eux, mais en même temps... Et Sarah, c'est la femme de 50 ans et plus, et bien à ce quelque chose, cette femme qui dépassait la cinquantaine ne trouvait pas sa place, ne la trouvait plus, se disant souvent qu'un homme préférait aller vers des jeunes et donc elle se dévalorisait, ne s'aimait pas. Seulement voilà. Les jeunes femmes d'aujourd'hui s'échappent, ne restent plus aussi en couple et ces hommes à l'air magnifiques avec un poupon dans les bras, une poussette, je ne sais pas si tu te rappelles quand tu voyais ces hommes pousser la poussette, peut-être certaines femmes s'arrêter, Béat, ouais le beau mec avec un gamin qui était très jeune. se retrouvent perdus parce que ces hommes ne savent plus à quel sein se vouer. Celui d'une femme de 30 ans ou celui d'une femme de son âge, les deux lui sont refusés catégoriquement aujourd'hui. Ce qui ébranle donc ce format de jeune père à l'âge d'être grand-père, c'est la réalité aussi économique, le monde du travail qui change. C'est-à-dire qu'il n'y a pas... Qu'une seule chose qui change, tout est lié, c'est-à-dire que si le regard sur les familles change, si les femmes ne veulent plus éduquer à 50 ans et plus des enfants qui ont 10 ans alors qu'elles sont peut-être même elles déjà grand-mères, il y a aussi quelque chose qui bouleverse aussi tous les codes, c'est le monde du travail. Quand les femmes sont prêtes à démissionner. à se former et ce pendant des années. C'est-à-dire qu'une femme qui commence un autre travail sur le tard, qui développe une passion qu'elle avait peut-être jeune, va se former et ne lésine pas sur les moyens de se former. On sait, et j'en fais partie, c'est-à-dire que je suis devenue psychanalyste, sophrologue, en étant moi-même en thérapie depuis des années. Je suis restée de très nombreuses années en thérapie et j'ai étudié ces thérapies. Je continue d'ailleurs de me former. Et en fait, c'est ça aussi qui pêche. C'est-à-dire que... Les femmes vont peut-être aussi découvrir un métier, une vocation, qu'elles vont découvrir sur le tard alors que les hommes vont subir un burn-out professionnel, un ras-le-bol dont ils ne parviennent pas à se sortir alors que les femmes vont se découvrir une vocation. En fait, les hommes ont cette peur d'apprendre. Il y a cette difficulté pour les hommes à se dire que ce qu'ils ont appris à 20 ans doit être remis en question à 50 ou à 40. Plutôt que de voir là une opportunité de changer, une opportunité d'évolution, peut-être se former à autre chose, pour eux c'est un échec. Et c'est ça qui est bien dommage. Mais attention, je mets toujours des bémols, c'est en fait... Ce n'est pas leur faute, mais en même temps, on est logé, les hommes et les femmes, à la même enseigne. En fait, les hommes qui ont peur d'apprendre et de changer de métier, tout ça c'est dû à l'éducation reçue dans les années 60. On est né dans les années 60, on a reçu des codes de travail qui ont énormément changé depuis. Et pour faire face à ces changements brutaux, déstabilisant de toute part, eh bien, il est nécessaire aujourd'hui et vital d'apprendre à vivre dans le changement et à le provoquer. C'est-à-dire, c'est ce que je propose d'ailleurs dans mes accompagnements, c'est-à-dire que je n'accompagne pas sans mettre les changements en avant parce que c'est de là où on va pouvoir rééquilibrer toutes les sphères, les sphères émotionnelles. Les sphères au niveau de nos valeurs, les échanges avec les autres, ils sont très importants ces échanges. On ne peut pas se passer d'hommes et de femmes et d'échanges sociaux. C'est complètement utopique de penser que l'on peut vivre prostré chez soi. La solitude, elle a un temps, elle est nécessaire. Vivre seul et puis se regarder, tenter des expériences pour voir ce que l'on aime, ce que l'on n'aime pas, c'est même vital pour ensuite comprendre que l'échange avec l'autre, il est nécessaire. pour voir comment ça évolue, pour voir qu'est-ce qu'on peut partager ensemble aujourd'hui à plus de 50 ans. C'est vraiment ça qui est à l'œuvre et c'est vraiment ça qui est à apprendre et qui fait que pour mes clientes, trouver un équilibre dans leur déséquilibre, et bien elles en sont ravies à un moment donné c'est vrai qu'elles vont trouver ce qui leur va bien et comment surfer sur ce changement de dogme de paradigme, de façon d'être de façon de voir pour les deux sexes et c'est vraiment ça moi j'appuie sur ce point là dans mes accompagnements alors c'est vraiment Il y a aussi un mais, parce que j'accompagne vraiment les personnes qui vont être désireuses d'évoluer, même si ça semble difficile. En fait, la peur de tout être humain, c'est la routine. C'est-à-dire qu'on entend beaucoup dire j'aime pas la routine, j'aime pas m'ennuyer D'ailleurs, dans les réseaux de rencontres, les profils des hommes, ils font du sport, ils font du ski, ils font de la moto, ils n'ont jamais un moment de répit. Alors moi, rentrer dans la vie d'un homme qui met autant en avant le faire pour ne pas penser, pour oublier, c'est non. c'est non parce que changer, ce n'est pas faire à outrance des activités. Le changement, en fait, ce qui fait peur, c'est qu'on a l'impression de sauter d'une falaise. Alors que le changement, je vais le comparer à quelque chose, c'est quand on va au bord de la mer, à une mer qui est froide. qu'on se dit, non, non, là, au bord de mer, je vais marcher en basket parce que j'ai peur de mouiller les pieds. Il y a cette peur d'avoir froid. Je prends quelque chose de basique parce qu'il faut que je prenne quelque chose de basique, d'ailleurs. Donc, du coup, c'est ce que j'ai fait il n'y a pas longtemps. C'est ce que j'ai fait il y a 15 jours. J'ai dit, tiens, je suis au bord de la mer. Même si l'eau est à 12 degrés, ce qui pour moi est très très froid, vu que je ne veux me baigner que dans une eau à 35, mais vivant en Bretagne, j'ai plutôt intérêt à trouver comment me baigner beaucoup plus vite, j'ai décidé d'enlever mes chaussures. Et en fait, ce qui est difficile, c'est de se dire, ok, c'est déjà l'idée qu'on se fait du froid. Est-ce que tu vas mourir parce que tu mets tes pieds dans l'eau ? Ben non. Donc va essayer. Et même si c'est froid, tu auras à essayer. C'est ça le changement. c'est se déconstruire toutes ces idées préconçues qu'on a, à savoir si je mets les pieds dans l'eau, mon Dieu, ça va être froid. Et alors ? Tu auras testé. Donc en fait, mettre les pieds dans l'eau, tu vas avoir froid au début, tu vas les retirer. Alors bien sûr, je te conseille de le faire à un moment donné où il fait beau, c'est-à-dire où tu as une source de chaleur qui est capable de te réchauffer, un temps soit peu. Puis ensuite, tu vas retourner. Tu vas te dire, tiens, allez, j'y retourne. Mes pieds se sont réchauffés, j'y retourne un peu. Et tu vas constater que ça va être moins froid et que tu vas y rester un peu plus longtemps. Et puis, tu vas te surprendre, 5, 10, 15 minutes après, à aller peut-être un peu plus loin dans l'eau et à y mettre jusqu'à tes mollets, qui va te faire dire, waouh, mais c'est vachement bien. Je n'ai pas mis que mes orteils, j'y suis jusqu'aux mollets. Et qu'est-ce que c'est agréable. Et bien, pour vivre les changements, c'est exactement pareil. Il y a une peur qui est là, qui n'est pas une vraie peur. Il faut savoir que la peur, elle est construite par ton cerveau. Mais que si tu y vas pour affronter, pour voir si c'est vrai, tu vas te rendre compte en fait que cette peur, tu peux la déconstruire et te dire, ben non, finalement, ce n'est pas vrai, ce que je ressens, ben ouais, ok, c'est froid, mais finalement, je l'ai fait, ce n'était pas si pénible que ça. Et dans la vie de tous les jours, ce sont ces changements que l'on doit adopter. Ça peut être, tiens, je vais dans un endroit aujourd'hui me promener que je ne connais pas. Je me mets face à un défi plutôt que de faire... quelque chose dont j'ai l'habitude, je déconstruis cette habitude pour être et découvrir quelque chose qui me met mal à l'aise, mais qui va justement me permettre d'accepter les changements différemment. Donc si tu es une personne désireuse d'évoluer, même si ça te semble difficile, moi je suis toujours la spectatrice de magnifiques transformations grâce à mes clientes, et j'ai conscience aussi que peut-être pour toi changer sera trop difficile donc c'est à toi de voir alors tu te dis mais comment le savoir si pour moi changer ça va être difficile ou pas et bien moi je propose toujours qu'on prenne rendez-vous pour un appel découverte les infos sont dans le descriptif tu peux cliquer sur le lien et ensemble et bien je te partage ce qui serait bon pour toi au contraire, ce qui serait compliqué. Et ensuite, libre à toi de choisir si tu veux sauter dans l'inconnu, si tu veux apprendre à changer pour t'épanouir, pour ne plus subir ces transformations familiales, pour être bien dans tes pompes, pour assumer qui tu es avec tes valeurs, pour découvrir quelles sont tes valeurs que tu souhaites mettre en avant. Eh bien, si ça te parle, je te laisse cliquer. sur la séance découverte et puis on se retrouvera de l'autre côté. Et puis en attendant, si cet épisode t'a permis d'y voir plus clair, je serais vraiment ravie de le savoir. Et puis on se retrouve le mercredi 5 juin pour un nouvel épisode. Ciao, ciao !

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Fais-tu partie de ces femmes qui doutent énormément de leur potentiel et qui en même temps révolutionnent cette façon d'être machiste, qui sans le savoir prennent leur place en affirmant que ça suffit.

Pour éviter les idées confuses, qui sont entre parenthèses tes meilleurs ennemis, et transformer ce regard que tu as sur toi en quelque chose de vivifiant, sans filtre déformant, je te propose d'écouter ce nouvel épisode de la chaîne de podcast Divorce, itinéraire d'une transformation.

Je suis sophrologue, psychanalyste, une femme divorcée, séparée, qui découvre chaque jour comment le pouvoir de la vie peut transformer n'importe quel embûche en force.

J'ai envie que tu me partages dans les commentaires qu'est-ce qui t'amène à écouter cet épisode avec bien sûr ta touche personnelle.

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    Fais-tu partie de ces femmes qui doutent énormément de leur potentiel et qui en même temps révolutionnent cette façon d'être machiste ? qui sans le savoir prennent leur place en affirmant que ça suffit. Pour éviter les idées confuses qui sont entre parenthèses tes meilleurs ennemis et transformer ce regard que tu as sur toi en quelque chose de vivifiant, sans filtre déformant, je te propose d'écouter ce nouvel épisode de la chaîne de podcast Divorce, itinéraire d'une transformation. Je suis sophrologue, psychanalyste, une femme divorcée, séparée, qui découvre chaque jour. comment le pouvoir de la vie peut transformer n'importe quelle embûche en force. J'ai envie que tu me partages dans les commentaires qu'est-ce qui t'amène à écouter cet épisode avec bien sûr ta touche personnelle. Et pour te remercier d'être là avec moi, je t'offre 7 conseils précieux que tu peux télécharger sur mon site florence-cohen.fr Avant de dévoiler qui sont ces femmes qui mettent en péril ce modèle révolutionnaire, avant de te parler de ce comportement masculin qui s'effrite de plus en plus et qui pourtant, vraiment, semblait sexy à en mourir il y a 20 ans, j'aimerais remettre de l'ordre dans quelque chose d'essentiel. Et j'ai un aveu aussi à te faire, j'adore une autre Florence. Et non, je ne suis pas la seule et unique Florence, mais par contre, j'assume de mieux en mieux qui je suis, mon unicité et ma façon d'être. L'autre Florence, même si c'est une bombe, je ne suis pas d'accord avec cette énième couche qui nous dévalorise, nous les femmes, et j'ai envie de dire ça suffit. Pour éviter d'apercevoir nos signaux physiques de relâchement. Il est bien d'adopter selon cette autre Florence la position horizontale. Boys, boys, boys, attendez-vous à être confrontés à des girls irritées de ces discours qui vous font sembler beaux. Car, comme nous, chez vous, ça se relâche aussi et pas qu'un peu. Florence Foresti, je ne sais pas si tu auras deviné, mais j'adore vos shows. Votre éternelle tenue noire qui vous va juste à ravir. Vous êtes drôle, loufoque, surtout ne changez rien. Ah si, il est juste grand temps pour vous d'être debout, de l'assumer et qu'enfin les gens vous voient pour de vrai, non ? Grande, magnifique, à 50 ans. Mais peut-être que pour toi, tu as cette sensation désagréable que les deux positions ne te vont pas non plus. Horizontale, verticale, tu n'es peut-être pas bien dans ta peau. Ou bien même là, tu te dis, mais Florence Foresti, elle est célèbre, elle est belle, elle a tout ce qu'elle veut. Alors avant de... Commencer, je remets justement un peu d'ordre dans comment sont aussi aujourd'hui les hommes physiquement. C'est important pour moi de le souligner parce que depuis des années, on entend juger, juger, critiquer cette femme de 45, 50, 60 ans qui est comme ceci ou comme cela, alors que les hommes, eh bien... ont avec l'âge leur ventre qui pousse, en fait comme s'ils faisaient des grossesses sur le tard, mais qui durent longtemps. Leurs cheveux tombent, ils tentent de rentrer dans des chemises qui placeraient leur ventre, un peu comme ces gaines qui sont spécialisées dans les femmes et pas peut-être dans les gaines pour hommes, et qui essayent aussi de se faufiler dans du slim malgré les bourrelets qui dépassent. Merci. Et pour être honnête, ce n'est pas l'homme qui vieillit que je trouve moche, c'est juste en fait la façon dont il nous habille. Alors qu'ils sont logés à la même enseigne, mais que l'on va prendre pour une vérité absolue, nous, les femmes. Et il est grand temps, mais alors vraiment grand temps, que ça change. Que chacun s'accepte comme il est, et qu'il embrasse la vie avec tous ses sens et non du bout des lèvres. Et puis là, il me vient une petite question comme ça, que j'ai envie de te poser. Dans quelle tenue tu te sens le plus à l'aise ? Parce que c'est important ça aussi. Est-ce que c'est dans un jogging ? Est-ce que c'est quand tu es en jean ou bien en jupe ou bien dans une robe ? Est-ce qu'il y a une tenue pour toi adéquate ? dans laquelle tu te sens en valeur, tu te sens en lien avec tes valeurs, justement. En fait, ce que la femme n'accepte pas, c'est son corps, sa réalité et son passé. Et pourtant, mesdames, c'est vous qui avez la plus grande disposition à créer, et pas que des enfants. Mais seulement, voilà, vous pensez que vous n'avez mis au monde que des enfants, alors que vous avez fait beaucoup plus que ça. Vous avez aussi cette possibilité de vous transformer. Vous êtes en fait si belle avec ces complexes que vous tentez de dissimuler. Ce n'est pas parce qu'on est jeune, ce n'est pas parce que les femmes sont jeunes qu'elles ne sont pas complexées. Ce qui vous met mal à l'aise, c'est justement cette attirance des hommes plus vieux vers ces femmes plus jeunes. Mais justement, je vais aussi en parler dans cet épisode. de ce quelque chose qui s'effrite aussi chez les hommes et qui paraissait vraiment très sexy il y a encore 15 ou 20 ans. Et en plus, la vie vous permet de vous transformer avec un autre rôle qui va vous aller bien ou pas, selon si vous l'acceptez ou pas. C'est celui de grand-mère. Donc vous voyez que vous avez... plein d'arc, plein de flèches à votre arc, c'est peut-être mieux, plein d'arc aussi si vous voulez, et que vous avez cette possibilité infinie de créer, mais qu'on bloque, nous les femmes, à ce seul rôle, celui d'enfanté. Alors comment faire une force de tous ces atouts ? Parce que ce sont des atouts, c'est un potentiel que vous avez, mais que vous ne voyez pas toujours avec un regard positif. et j'aimerais qu'en fait tu me partages qu'est-ce qui est difficile pour toi et que tu n'assumes vraiment pas. Parce qu'il y a une difficulté clairement de juste ruminer sur le fait d'avoir élevé des enfants, de n'avoir fait que ça, mais on n'a pas fait que ça. Donc qu'est-ce que tu as du mal à assumer ? Est-ce que tu aimerais assumer autre chose ? Peut-être un... Un... un quelque chose qui te semble peut-être inaccessible, difficile, changer de métier, commencer une nouvelle formation, t'habiller peut-être différemment, te voir différemment, plutôt que de te voir toujours pas belle, vieille, grosse, laide, moche. Non, tu es tellement plus que ça. Tu es une femme qui change la vie, qui donne la vie, qui change le monde. Donc moi, j'aimerais juste que tu me dises pourquoi. tu ne t'assumes pas à l'heure d'aujourd'hui. Ce que l'homme, lui aussi, n'accepte pas, parce que lui aussi, l'homme, il a des difficultés, c'est la solitude et vieillir. En fait, l'homme va tout faire pour reculer cette échéance en vivant de manière répétitive les mêmes désordres. faire des enfants, même sur le tard, sortir comme s'il avait 17 ans, et en parallèle, ce qu'il déteste, et oui mesdames, il faut le savoir, c'est d'être enchaîné et en couple. Donc ce côté paradoxal de l'homme qui a soi-disant besoin d'être aimé, d'être en couple et d'être réconforté, eh bien n'aime pas se sentir enchaîné. Alors, eh bien, à quoi c'est dû ? Eh bien, cette ambivalence... il en souffre, parce que ce paradoxe vient de cette union mère-fils. Mais comme ce n'est pas le sujet du jour et que je ne vais pas en parler dans cet épisode, j'en parlerai peut-être dans un autre, c'était juste en fait pour souligner aussi les difficultés d'un homme. Alors avant d'aborder la partie sexy que je t'ai promis, je vais te parler de ce modèle familial qui a pris naissance dans les années 2000, qui a fait vraiment fureur, qui en a fait rêver beaucoup et qui même s'il continue d'exister, est en train de s'essouffler. On va voir pourquoi. J'appelle à la barre la famille Recomposé. Cette famille recomposée, elle a fait rêver de par cette nouvelle création. C'est-à-dire les personnes qui étaient en famille recomposée se séparaient entre 30 et 40 ans. La femme avait des enfants, l'homme avait des enfants. Cela faisait une union et souvent ils remettaient le couvert pour avoir un autre enfant pour sceller cette nouvelle union. Ce qui faisait rêver, c'était ces nouvelles habitudes de création à deux, avec des enfants venus de deux unions différentes. Un nouveau modèle, mais copié-collé sur le modèle américain d'une maison, d'une voiture, d'un jardin, qui faisait croire que cette famille-là allait être heureuse. Malheureusement, ça n'a pas été le cas. Et peut-être d'ailleurs que tu as vécu aussi ce schéma-là. Moi, je t'avoue que j'ai réussi à l'éviter. J'y ai pensé dans les années où j'étais mariée et où ça n'allait pas. Mais j'ai réussi à l'éviter car il y avait déjà, moi, quelque chose à l'époque qui me déplaisait énormément. et qui s'appelle Les Ex. Alors, certainement en lien avec mon passé, et puis avec mon histoire familiale, je n'en parlerai pas ici, mais Les Ex, j'ai compris lorsque j'ai divorcé, que lorsque je croisais des hommes qui avaient des enfants jeunes, je vais aussi en parler dans cet épisode, eh bien, je me rendais compte qu'ils n'avaient pas fait le deuil de... la mère de leur enfant et qu'il y avait un certain regard encore amoureux qui n'était pas du tout passé à autre chose. Donc, moi, j'ai voulu éviter ça. Et en même temps, je n'avais pas, bien sûr, tous les outils que j'ai à ma disposition aujourd'hui pour changer ce regard sur les ex. En fait, composer avec la jalousie, les regrets, l'amour encore là de deux ex, eh bien, moi, je n'en voulais pas. Puis il y a eu aussi ce détail vraiment venu me percuter de plein fouet un soir de fête où j'étais encore mariée. Et bien c'était tout simplement, comment te dire ? deux individus recomposant une famille, un homme, une femme, qui ne se parlaient pas du tout. Et à l'époque, je peux t'assurer qu'on n'était pas encore avec les portables à la main, parce que c'était, wow, il y a bien 15 ans. Donc les gens sortaient, moi j'allais dans ces fêtes où je me sentais mal à l'aise, où je n'étais pas bien, puisque j'étais sur la fin de mon mariage. Et les gens n'avaient pas, comme aujourd'hui, chacun un portable et discuter sur leur portable. Non, non. ils étaient assis l'un à côté de l'autre ou l'un en face de l'autre et ils s'ennuyaient à mourir. Et donc moi, ça m'interpellait déjà parce que je me disais, bon ben, à quoi ça sert d'avoir divorcé si c'est pour se remettre en couple et puis n'avoir rien à se dire ? Moi, ça a vraiment été quelque chose qui m'a dérangé déjà à l'époque. Donc je ne sais pas si toi, ça t'interpelle ce que je dis, mais surtout, n'hésite pas à me le partager. En fait, je voyais le même problème chez les couples qui n'avaient pas divorcé et ceux qui s'étaient fait ou refait une santé familiale. Et ça, comme je te le dis, c'était déjà il y a plusieurs années. Alors qu'est-ce qui met à mal ce modèle aujourd'hui de recomposition familiale ? Eh bien c'est la voix des femmes. C'est celles qui ne supportent plus, qui ne veulent plus parce qu'un écart de géant s'est creusé entre les deux sexes malgré le même âge. Les hommes qui ont 50 ans se retrouvent seuls avec des enfants qui ont entre 7 et 10 ans. Les hommes qui y approchent la soixantaine sont pères d'adolescents qui ont entre 15 et 20 ans. Alors que les femmes qui ont entre 50 et 60 ans voient leurs enfants quitter le nid ou leurs enfants devenir parents. Ce qui a fait souffrir... tant de femmes, c'est cette position de l'homme. C'est-à-dire qu'une femme plus jeune et de nouveaux enfants. Souvent, un homme va partir pour aller vers une femme plus jeune, créer un autre modèle familial et avoir un autre enfant. Seulement, voilà, le hic, c'est que les femmes d'aujourd'hui qui ont 50 ans et plus, eh bien, refusent. de se remettre en couple avec des hommes qui pourtant ont le même âge mais pouponnent encore. Donc ça c'est vraiment un phénomène qui met à mal les hommes et les femmes qui ont le même âge. Sauf que les femmes, j'ai envie de dire, elles vont agir et réagir différemment aujourd'hui. Parce qu'en fait, les hommes... se remettant au pas d'un échec avec une femme plus jeune, sentent aussi aujourd'hui qu'ils se retrouvent dans une impasse. Clairement, car de ces familles recomposées, qui semblaient respirer le bonheur, ne reste plus qu'une même danse, celle de l'égalité en matière de souffrance. les hommes vont avoir du mal à se dire je retourne vers une femme plus jeune puisque clairement pour faire un enfant qui a aujourd'hui entre 7 et 17 ans il faut que la femme soit plus jeune, mais ça a été une déconvenue. Et quand il se tourne vers les femmes du même âge, les femmes refusent d'être encore dans un modèle d'éducation. elles en ont marre, elles ont souffert aussi de la séparation avec leurs enfants quand il y a eu le divorce. Pour beaucoup de mères de famille, peut-être elles ont vécu des enfants qui leur ont tourné le dos, elles ont senti que ce divorce était compliqué pour leurs enfants, pour la relation avec leurs enfants, pour la relation avec l'ex et ses enfants. Et aujourd'hui, pour elles, c'est tellement encore à vif. qu'elles ne veulent vraiment plus supporter les enfants d'un autre homme, même si cet homme a le même âge qu'elle. Alors les hommes se retrouvent dans une réelle impasse car la femme ose dire stop aujourd'hui, non, ça suffit. Et ce sont aussi les femmes qui consultent pour aller mieux. qui se remettent en question pour tenter d'évacuer cette pression, ce trop-plein. Alors comment sortir des sentiers battus, de cette souffrance et de la dépendance à l'autre ? Parce que la question, elle est réellement là, sans se perdre dans une vie qui ne fait plus sens, aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Qu'est-ce que j'appelle une vie qui ne fait plus sens ? Eh bien, moi je trouve, je vais peut-être vous paraître vieux jeu, tout en étant consciente que les changements qui sont là sont bénéfiques. C'est-à-dire une vie qui fait sens pour moi, c'est qu'il y a un âge pour tout. C'est-à-dire qu'il y a un âge pour avoir des enfants, pour être grand-parent, et pour, quand on devient adulte... quand on est dans la fleur de l'âge, et la fleur de l'âge, ce n'est pas 30 ans, 40 ans, c'est à partir de 50 ans, d'arriver à définir ce qui va nous plaire, ce qui va nous faire du bien. Mais ça, pas au détriment de nos propres enfants, pas au détriment de nos valeurs. Qu'est-ce que j'appelle des valeurs ? Qu'est-ce que j'appelle, pas au détriment de nos propres enfants, c'est que les enfants, quand ils ont 17 ans, 18 ans, ils vont vers leur vie d'adulte, mais on doit être là pour leur montrer. Alors un exemple, peut-être pas, mais on doit être là pour structurer ce passage à l'âge adulte. c'est-à-dire que ce sont les enfants de 17-18 ans, ça va commencer peut-être un petit peu avant aussi, qui doivent sortir, qui doivent faire leur rencontre, qui doivent aller à des booms ou à des soirées, et nous en tant que parents, on doit baliser ce chemin pour leur permettre de voler de leurs propres ailes à un moment donné. Si les parents s'emmêlent les pinceaux dans... s'est sorti dans agir comme si on avait 17 ans, sortir avec leurs enfants de 17 ans, et bien là pour moi il y a confusion. Mais même confusion pour nous en tant que femmes, parce qu'on peut sortir. Attention, je ne dis pas qu'il ne faut pas sortir, je ne dis pas qu'il faut rester dans un canapé, puisque les enfants aujourd'hui, la majorité du temps, sont en garde partagée. Donc on peut sortir, mais je sais que quand moi je suis avec mon petit-fils, ce ne sont que des sorties pour un enfant de 10 ans. Je ne vais pas l'emmener avec moi dans quelque chose qui ne lui plaît pas parce que je l'accompagne dans son évolution de petit-enfant. Et donc c'est ça qui porte à confusion, c'est-à-dire qu'un homme et une femme doivent apprendre à se construire avec ses valeurs et avec ce qu'il ou elle va découvrir sur ce chemin du célibat après de multiples changements, parce que le monde est en train là d'évoluer en matière de couple, en matière d'individualité. Ça évolue à une vitesse, mais phénoménale. Donc, comment sortir de ces sentiers battus ? Il n'y a qu'un seul chemin. C'est celui que je propose d'ailleurs dans mes accompagnements, alors que j'adapte attention à chaque personne, parce que chaque cliente, chaque être humain est unique et différent. Certaines femmes vivent encore ces nombreux changements de dogme dans la société avec de la peur. Quand d'autres voient ça comme une opportunité et se découvrent aventurières dans l'âme alors qu'elles avaient peur de tout. Ce changement de famille Ce changement qui bouleverse les hommes et change le regard des femmes sur eux, c'est très inconfortable et en même temps nécessaire car chaque femme a le droit de se respecter, a le droit d'accueillir ses valeurs, de les mettre en avant sans se sentir dévalorisée, sans être montrée du doigt par ce qu'elle pense, par ce qu'elle vit, par ce qu'elle ressent. Quant aux hommes, Ils ont aussi ces mêmes droits, avec la lourde charge en plus, de ne plus considérer une femme comme un objet. Alors comment s'y retrouver quand le chaos est là, quand tout bouge à une allure phénoménale et comment ne pas se noyer pour se sentir pleinement vivante ? Je vais te le dire à la fin. Alors ce qui était sexy il y a 20 ans, je ne sais pas si tu l'auras compris un petit peu, j'en parle par bribes dans l'épisode, c'était ce que les hommes mettaient en avant comme quelque chose de beau, comme une force, et que les femmes admiraient en se sentant ridiculisées. Eh bien, c'est un enfant à plus de 50 ans. C'était stylé à l'époque, réconfortant pour eux, mais en même temps... Et Sarah, c'est la femme de 50 ans et plus, et bien à ce quelque chose, cette femme qui dépassait la cinquantaine ne trouvait pas sa place, ne la trouvait plus, se disant souvent qu'un homme préférait aller vers des jeunes et donc elle se dévalorisait, ne s'aimait pas. Seulement voilà. Les jeunes femmes d'aujourd'hui s'échappent, ne restent plus aussi en couple et ces hommes à l'air magnifiques avec un poupon dans les bras, une poussette, je ne sais pas si tu te rappelles quand tu voyais ces hommes pousser la poussette, peut-être certaines femmes s'arrêter, Béat, ouais le beau mec avec un gamin qui était très jeune. se retrouvent perdus parce que ces hommes ne savent plus à quel sein se vouer. Celui d'une femme de 30 ans ou celui d'une femme de son âge, les deux lui sont refusés catégoriquement aujourd'hui. Ce qui ébranle donc ce format de jeune père à l'âge d'être grand-père, c'est la réalité aussi économique, le monde du travail qui change. C'est-à-dire qu'il n'y a pas... Qu'une seule chose qui change, tout est lié, c'est-à-dire que si le regard sur les familles change, si les femmes ne veulent plus éduquer à 50 ans et plus des enfants qui ont 10 ans alors qu'elles sont peut-être même elles déjà grand-mères, il y a aussi quelque chose qui bouleverse aussi tous les codes, c'est le monde du travail. Quand les femmes sont prêtes à démissionner. à se former et ce pendant des années. C'est-à-dire qu'une femme qui commence un autre travail sur le tard, qui développe une passion qu'elle avait peut-être jeune, va se former et ne lésine pas sur les moyens de se former. On sait, et j'en fais partie, c'est-à-dire que je suis devenue psychanalyste, sophrologue, en étant moi-même en thérapie depuis des années. Je suis restée de très nombreuses années en thérapie et j'ai étudié ces thérapies. Je continue d'ailleurs de me former. Et en fait, c'est ça aussi qui pêche. C'est-à-dire que... Les femmes vont peut-être aussi découvrir un métier, une vocation, qu'elles vont découvrir sur le tard alors que les hommes vont subir un burn-out professionnel, un ras-le-bol dont ils ne parviennent pas à se sortir alors que les femmes vont se découvrir une vocation. En fait, les hommes ont cette peur d'apprendre. Il y a cette difficulté pour les hommes à se dire que ce qu'ils ont appris à 20 ans doit être remis en question à 50 ou à 40. Plutôt que de voir là une opportunité de changer, une opportunité d'évolution, peut-être se former à autre chose, pour eux c'est un échec. Et c'est ça qui est bien dommage. Mais attention, je mets toujours des bémols, c'est en fait... Ce n'est pas leur faute, mais en même temps, on est logé, les hommes et les femmes, à la même enseigne. En fait, les hommes qui ont peur d'apprendre et de changer de métier, tout ça c'est dû à l'éducation reçue dans les années 60. On est né dans les années 60, on a reçu des codes de travail qui ont énormément changé depuis. Et pour faire face à ces changements brutaux, déstabilisant de toute part, eh bien, il est nécessaire aujourd'hui et vital d'apprendre à vivre dans le changement et à le provoquer. C'est-à-dire, c'est ce que je propose d'ailleurs dans mes accompagnements, c'est-à-dire que je n'accompagne pas sans mettre les changements en avant parce que c'est de là où on va pouvoir rééquilibrer toutes les sphères, les sphères émotionnelles. Les sphères au niveau de nos valeurs, les échanges avec les autres, ils sont très importants ces échanges. On ne peut pas se passer d'hommes et de femmes et d'échanges sociaux. C'est complètement utopique de penser que l'on peut vivre prostré chez soi. La solitude, elle a un temps, elle est nécessaire. Vivre seul et puis se regarder, tenter des expériences pour voir ce que l'on aime, ce que l'on n'aime pas, c'est même vital pour ensuite comprendre que l'échange avec l'autre, il est nécessaire. pour voir comment ça évolue, pour voir qu'est-ce qu'on peut partager ensemble aujourd'hui à plus de 50 ans. C'est vraiment ça qui est à l'œuvre et c'est vraiment ça qui est à apprendre et qui fait que pour mes clientes, trouver un équilibre dans leur déséquilibre, et bien elles en sont ravies à un moment donné c'est vrai qu'elles vont trouver ce qui leur va bien et comment surfer sur ce changement de dogme de paradigme, de façon d'être de façon de voir pour les deux sexes et c'est vraiment ça moi j'appuie sur ce point là dans mes accompagnements alors c'est vraiment Il y a aussi un mais, parce que j'accompagne vraiment les personnes qui vont être désireuses d'évoluer, même si ça semble difficile. En fait, la peur de tout être humain, c'est la routine. C'est-à-dire qu'on entend beaucoup dire j'aime pas la routine, j'aime pas m'ennuyer D'ailleurs, dans les réseaux de rencontres, les profils des hommes, ils font du sport, ils font du ski, ils font de la moto, ils n'ont jamais un moment de répit. Alors moi, rentrer dans la vie d'un homme qui met autant en avant le faire pour ne pas penser, pour oublier, c'est non. c'est non parce que changer, ce n'est pas faire à outrance des activités. Le changement, en fait, ce qui fait peur, c'est qu'on a l'impression de sauter d'une falaise. Alors que le changement, je vais le comparer à quelque chose, c'est quand on va au bord de la mer, à une mer qui est froide. qu'on se dit, non, non, là, au bord de mer, je vais marcher en basket parce que j'ai peur de mouiller les pieds. Il y a cette peur d'avoir froid. Je prends quelque chose de basique parce qu'il faut que je prenne quelque chose de basique, d'ailleurs. Donc, du coup, c'est ce que j'ai fait il n'y a pas longtemps. C'est ce que j'ai fait il y a 15 jours. J'ai dit, tiens, je suis au bord de la mer. Même si l'eau est à 12 degrés, ce qui pour moi est très très froid, vu que je ne veux me baigner que dans une eau à 35, mais vivant en Bretagne, j'ai plutôt intérêt à trouver comment me baigner beaucoup plus vite, j'ai décidé d'enlever mes chaussures. Et en fait, ce qui est difficile, c'est de se dire, ok, c'est déjà l'idée qu'on se fait du froid. Est-ce que tu vas mourir parce que tu mets tes pieds dans l'eau ? Ben non. Donc va essayer. Et même si c'est froid, tu auras à essayer. C'est ça le changement. c'est se déconstruire toutes ces idées préconçues qu'on a, à savoir si je mets les pieds dans l'eau, mon Dieu, ça va être froid. Et alors ? Tu auras testé. Donc en fait, mettre les pieds dans l'eau, tu vas avoir froid au début, tu vas les retirer. Alors bien sûr, je te conseille de le faire à un moment donné où il fait beau, c'est-à-dire où tu as une source de chaleur qui est capable de te réchauffer, un temps soit peu. Puis ensuite, tu vas retourner. Tu vas te dire, tiens, allez, j'y retourne. Mes pieds se sont réchauffés, j'y retourne un peu. Et tu vas constater que ça va être moins froid et que tu vas y rester un peu plus longtemps. Et puis, tu vas te surprendre, 5, 10, 15 minutes après, à aller peut-être un peu plus loin dans l'eau et à y mettre jusqu'à tes mollets, qui va te faire dire, waouh, mais c'est vachement bien. Je n'ai pas mis que mes orteils, j'y suis jusqu'aux mollets. Et qu'est-ce que c'est agréable. Et bien, pour vivre les changements, c'est exactement pareil. Il y a une peur qui est là, qui n'est pas une vraie peur. Il faut savoir que la peur, elle est construite par ton cerveau. Mais que si tu y vas pour affronter, pour voir si c'est vrai, tu vas te rendre compte en fait que cette peur, tu peux la déconstruire et te dire, ben non, finalement, ce n'est pas vrai, ce que je ressens, ben ouais, ok, c'est froid, mais finalement, je l'ai fait, ce n'était pas si pénible que ça. Et dans la vie de tous les jours, ce sont ces changements que l'on doit adopter. Ça peut être, tiens, je vais dans un endroit aujourd'hui me promener que je ne connais pas. Je me mets face à un défi plutôt que de faire... quelque chose dont j'ai l'habitude, je déconstruis cette habitude pour être et découvrir quelque chose qui me met mal à l'aise, mais qui va justement me permettre d'accepter les changements différemment. Donc si tu es une personne désireuse d'évoluer, même si ça te semble difficile, moi je suis toujours la spectatrice de magnifiques transformations grâce à mes clientes, et j'ai conscience aussi que peut-être pour toi changer sera trop difficile donc c'est à toi de voir alors tu te dis mais comment le savoir si pour moi changer ça va être difficile ou pas et bien moi je propose toujours qu'on prenne rendez-vous pour un appel découverte les infos sont dans le descriptif tu peux cliquer sur le lien et ensemble et bien je te partage ce qui serait bon pour toi au contraire, ce qui serait compliqué. Et ensuite, libre à toi de choisir si tu veux sauter dans l'inconnu, si tu veux apprendre à changer pour t'épanouir, pour ne plus subir ces transformations familiales, pour être bien dans tes pompes, pour assumer qui tu es avec tes valeurs, pour découvrir quelles sont tes valeurs que tu souhaites mettre en avant. Eh bien, si ça te parle, je te laisse cliquer. sur la séance découverte et puis on se retrouvera de l'autre côté. Et puis en attendant, si cet épisode t'a permis d'y voir plus clair, je serais vraiment ravie de le savoir. Et puis on se retrouve le mercredi 5 juin pour un nouvel épisode. Ciao, ciao !

Description

Fais-tu partie de ces femmes qui doutent énormément de leur potentiel et qui en même temps révolutionnent cette façon d'être machiste, qui sans le savoir prennent leur place en affirmant que ça suffit.

Pour éviter les idées confuses, qui sont entre parenthèses tes meilleurs ennemis, et transformer ce regard que tu as sur toi en quelque chose de vivifiant, sans filtre déformant, je te propose d'écouter ce nouvel épisode de la chaîne de podcast Divorce, itinéraire d'une transformation.

Je suis sophrologue, psychanalyste, une femme divorcée, séparée, qui découvre chaque jour comment le pouvoir de la vie peut transformer n'importe quel embûche en force.

J'ai envie que tu me partages dans les commentaires qu'est-ce qui t'amène à écouter cet épisode avec bien sûr ta touche personnelle.

Et pour te remercier d'être là avec moi, je t'offre 7 conseils précieux que tu peux télécharger sur mon site florence-cohen.fr.

Voici deux actions à effet immédiat pour te permettre d'éviter la confusion qui peut devenir ta meilleur amie avec le temps:

🕓 L'appel découverte: https://www.florence-cohen.fr/appel-decouverte.html

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    Fais-tu partie de ces femmes qui doutent énormément de leur potentiel et qui en même temps révolutionnent cette façon d'être machiste ? qui sans le savoir prennent leur place en affirmant que ça suffit. Pour éviter les idées confuses qui sont entre parenthèses tes meilleurs ennemis et transformer ce regard que tu as sur toi en quelque chose de vivifiant, sans filtre déformant, je te propose d'écouter ce nouvel épisode de la chaîne de podcast Divorce, itinéraire d'une transformation. Je suis sophrologue, psychanalyste, une femme divorcée, séparée, qui découvre chaque jour. comment le pouvoir de la vie peut transformer n'importe quelle embûche en force. J'ai envie que tu me partages dans les commentaires qu'est-ce qui t'amène à écouter cet épisode avec bien sûr ta touche personnelle. Et pour te remercier d'être là avec moi, je t'offre 7 conseils précieux que tu peux télécharger sur mon site florence-cohen.fr Avant de dévoiler qui sont ces femmes qui mettent en péril ce modèle révolutionnaire, avant de te parler de ce comportement masculin qui s'effrite de plus en plus et qui pourtant, vraiment, semblait sexy à en mourir il y a 20 ans, j'aimerais remettre de l'ordre dans quelque chose d'essentiel. Et j'ai un aveu aussi à te faire, j'adore une autre Florence. Et non, je ne suis pas la seule et unique Florence, mais par contre, j'assume de mieux en mieux qui je suis, mon unicité et ma façon d'être. L'autre Florence, même si c'est une bombe, je ne suis pas d'accord avec cette énième couche qui nous dévalorise, nous les femmes, et j'ai envie de dire ça suffit. Pour éviter d'apercevoir nos signaux physiques de relâchement. Il est bien d'adopter selon cette autre Florence la position horizontale. Boys, boys, boys, attendez-vous à être confrontés à des girls irritées de ces discours qui vous font sembler beaux. Car, comme nous, chez vous, ça se relâche aussi et pas qu'un peu. Florence Foresti, je ne sais pas si tu auras deviné, mais j'adore vos shows. Votre éternelle tenue noire qui vous va juste à ravir. Vous êtes drôle, loufoque, surtout ne changez rien. Ah si, il est juste grand temps pour vous d'être debout, de l'assumer et qu'enfin les gens vous voient pour de vrai, non ? Grande, magnifique, à 50 ans. Mais peut-être que pour toi, tu as cette sensation désagréable que les deux positions ne te vont pas non plus. Horizontale, verticale, tu n'es peut-être pas bien dans ta peau. Ou bien même là, tu te dis, mais Florence Foresti, elle est célèbre, elle est belle, elle a tout ce qu'elle veut. Alors avant de... Commencer, je remets justement un peu d'ordre dans comment sont aussi aujourd'hui les hommes physiquement. C'est important pour moi de le souligner parce que depuis des années, on entend juger, juger, critiquer cette femme de 45, 50, 60 ans qui est comme ceci ou comme cela, alors que les hommes, eh bien... ont avec l'âge leur ventre qui pousse, en fait comme s'ils faisaient des grossesses sur le tard, mais qui durent longtemps. Leurs cheveux tombent, ils tentent de rentrer dans des chemises qui placeraient leur ventre, un peu comme ces gaines qui sont spécialisées dans les femmes et pas peut-être dans les gaines pour hommes, et qui essayent aussi de se faufiler dans du slim malgré les bourrelets qui dépassent. Merci. Et pour être honnête, ce n'est pas l'homme qui vieillit que je trouve moche, c'est juste en fait la façon dont il nous habille. Alors qu'ils sont logés à la même enseigne, mais que l'on va prendre pour une vérité absolue, nous, les femmes. Et il est grand temps, mais alors vraiment grand temps, que ça change. Que chacun s'accepte comme il est, et qu'il embrasse la vie avec tous ses sens et non du bout des lèvres. Et puis là, il me vient une petite question comme ça, que j'ai envie de te poser. Dans quelle tenue tu te sens le plus à l'aise ? Parce que c'est important ça aussi. Est-ce que c'est dans un jogging ? Est-ce que c'est quand tu es en jean ou bien en jupe ou bien dans une robe ? Est-ce qu'il y a une tenue pour toi adéquate ? dans laquelle tu te sens en valeur, tu te sens en lien avec tes valeurs, justement. En fait, ce que la femme n'accepte pas, c'est son corps, sa réalité et son passé. Et pourtant, mesdames, c'est vous qui avez la plus grande disposition à créer, et pas que des enfants. Mais seulement, voilà, vous pensez que vous n'avez mis au monde que des enfants, alors que vous avez fait beaucoup plus que ça. Vous avez aussi cette possibilité de vous transformer. Vous êtes en fait si belle avec ces complexes que vous tentez de dissimuler. Ce n'est pas parce qu'on est jeune, ce n'est pas parce que les femmes sont jeunes qu'elles ne sont pas complexées. Ce qui vous met mal à l'aise, c'est justement cette attirance des hommes plus vieux vers ces femmes plus jeunes. Mais justement, je vais aussi en parler dans cet épisode. de ce quelque chose qui s'effrite aussi chez les hommes et qui paraissait vraiment très sexy il y a encore 15 ou 20 ans. Et en plus, la vie vous permet de vous transformer avec un autre rôle qui va vous aller bien ou pas, selon si vous l'acceptez ou pas. C'est celui de grand-mère. Donc vous voyez que vous avez... plein d'arc, plein de flèches à votre arc, c'est peut-être mieux, plein d'arc aussi si vous voulez, et que vous avez cette possibilité infinie de créer, mais qu'on bloque, nous les femmes, à ce seul rôle, celui d'enfanté. Alors comment faire une force de tous ces atouts ? Parce que ce sont des atouts, c'est un potentiel que vous avez, mais que vous ne voyez pas toujours avec un regard positif. et j'aimerais qu'en fait tu me partages qu'est-ce qui est difficile pour toi et que tu n'assumes vraiment pas. Parce qu'il y a une difficulté clairement de juste ruminer sur le fait d'avoir élevé des enfants, de n'avoir fait que ça, mais on n'a pas fait que ça. Donc qu'est-ce que tu as du mal à assumer ? Est-ce que tu aimerais assumer autre chose ? Peut-être un... Un... un quelque chose qui te semble peut-être inaccessible, difficile, changer de métier, commencer une nouvelle formation, t'habiller peut-être différemment, te voir différemment, plutôt que de te voir toujours pas belle, vieille, grosse, laide, moche. Non, tu es tellement plus que ça. Tu es une femme qui change la vie, qui donne la vie, qui change le monde. Donc moi, j'aimerais juste que tu me dises pourquoi. tu ne t'assumes pas à l'heure d'aujourd'hui. Ce que l'homme, lui aussi, n'accepte pas, parce que lui aussi, l'homme, il a des difficultés, c'est la solitude et vieillir. En fait, l'homme va tout faire pour reculer cette échéance en vivant de manière répétitive les mêmes désordres. faire des enfants, même sur le tard, sortir comme s'il avait 17 ans, et en parallèle, ce qu'il déteste, et oui mesdames, il faut le savoir, c'est d'être enchaîné et en couple. Donc ce côté paradoxal de l'homme qui a soi-disant besoin d'être aimé, d'être en couple et d'être réconforté, eh bien n'aime pas se sentir enchaîné. Alors, eh bien, à quoi c'est dû ? Eh bien, cette ambivalence... il en souffre, parce que ce paradoxe vient de cette union mère-fils. Mais comme ce n'est pas le sujet du jour et que je ne vais pas en parler dans cet épisode, j'en parlerai peut-être dans un autre, c'était juste en fait pour souligner aussi les difficultés d'un homme. Alors avant d'aborder la partie sexy que je t'ai promis, je vais te parler de ce modèle familial qui a pris naissance dans les années 2000, qui a fait vraiment fureur, qui en a fait rêver beaucoup et qui même s'il continue d'exister, est en train de s'essouffler. On va voir pourquoi. J'appelle à la barre la famille Recomposé. Cette famille recomposée, elle a fait rêver de par cette nouvelle création. C'est-à-dire les personnes qui étaient en famille recomposée se séparaient entre 30 et 40 ans. La femme avait des enfants, l'homme avait des enfants. Cela faisait une union et souvent ils remettaient le couvert pour avoir un autre enfant pour sceller cette nouvelle union. Ce qui faisait rêver, c'était ces nouvelles habitudes de création à deux, avec des enfants venus de deux unions différentes. Un nouveau modèle, mais copié-collé sur le modèle américain d'une maison, d'une voiture, d'un jardin, qui faisait croire que cette famille-là allait être heureuse. Malheureusement, ça n'a pas été le cas. Et peut-être d'ailleurs que tu as vécu aussi ce schéma-là. Moi, je t'avoue que j'ai réussi à l'éviter. J'y ai pensé dans les années où j'étais mariée et où ça n'allait pas. Mais j'ai réussi à l'éviter car il y avait déjà, moi, quelque chose à l'époque qui me déplaisait énormément. et qui s'appelle Les Ex. Alors, certainement en lien avec mon passé, et puis avec mon histoire familiale, je n'en parlerai pas ici, mais Les Ex, j'ai compris lorsque j'ai divorcé, que lorsque je croisais des hommes qui avaient des enfants jeunes, je vais aussi en parler dans cet épisode, eh bien, je me rendais compte qu'ils n'avaient pas fait le deuil de... la mère de leur enfant et qu'il y avait un certain regard encore amoureux qui n'était pas du tout passé à autre chose. Donc, moi, j'ai voulu éviter ça. Et en même temps, je n'avais pas, bien sûr, tous les outils que j'ai à ma disposition aujourd'hui pour changer ce regard sur les ex. En fait, composer avec la jalousie, les regrets, l'amour encore là de deux ex, eh bien, moi, je n'en voulais pas. Puis il y a eu aussi ce détail vraiment venu me percuter de plein fouet un soir de fête où j'étais encore mariée. Et bien c'était tout simplement, comment te dire ? deux individus recomposant une famille, un homme, une femme, qui ne se parlaient pas du tout. Et à l'époque, je peux t'assurer qu'on n'était pas encore avec les portables à la main, parce que c'était, wow, il y a bien 15 ans. Donc les gens sortaient, moi j'allais dans ces fêtes où je me sentais mal à l'aise, où je n'étais pas bien, puisque j'étais sur la fin de mon mariage. Et les gens n'avaient pas, comme aujourd'hui, chacun un portable et discuter sur leur portable. Non, non. ils étaient assis l'un à côté de l'autre ou l'un en face de l'autre et ils s'ennuyaient à mourir. Et donc moi, ça m'interpellait déjà parce que je me disais, bon ben, à quoi ça sert d'avoir divorcé si c'est pour se remettre en couple et puis n'avoir rien à se dire ? Moi, ça a vraiment été quelque chose qui m'a dérangé déjà à l'époque. Donc je ne sais pas si toi, ça t'interpelle ce que je dis, mais surtout, n'hésite pas à me le partager. En fait, je voyais le même problème chez les couples qui n'avaient pas divorcé et ceux qui s'étaient fait ou refait une santé familiale. Et ça, comme je te le dis, c'était déjà il y a plusieurs années. Alors qu'est-ce qui met à mal ce modèle aujourd'hui de recomposition familiale ? Eh bien c'est la voix des femmes. C'est celles qui ne supportent plus, qui ne veulent plus parce qu'un écart de géant s'est creusé entre les deux sexes malgré le même âge. Les hommes qui ont 50 ans se retrouvent seuls avec des enfants qui ont entre 7 et 10 ans. Les hommes qui y approchent la soixantaine sont pères d'adolescents qui ont entre 15 et 20 ans. Alors que les femmes qui ont entre 50 et 60 ans voient leurs enfants quitter le nid ou leurs enfants devenir parents. Ce qui a fait souffrir... tant de femmes, c'est cette position de l'homme. C'est-à-dire qu'une femme plus jeune et de nouveaux enfants. Souvent, un homme va partir pour aller vers une femme plus jeune, créer un autre modèle familial et avoir un autre enfant. Seulement, voilà, le hic, c'est que les femmes d'aujourd'hui qui ont 50 ans et plus, eh bien, refusent. de se remettre en couple avec des hommes qui pourtant ont le même âge mais pouponnent encore. Donc ça c'est vraiment un phénomène qui met à mal les hommes et les femmes qui ont le même âge. Sauf que les femmes, j'ai envie de dire, elles vont agir et réagir différemment aujourd'hui. Parce qu'en fait, les hommes... se remettant au pas d'un échec avec une femme plus jeune, sentent aussi aujourd'hui qu'ils se retrouvent dans une impasse. Clairement, car de ces familles recomposées, qui semblaient respirer le bonheur, ne reste plus qu'une même danse, celle de l'égalité en matière de souffrance. les hommes vont avoir du mal à se dire je retourne vers une femme plus jeune puisque clairement pour faire un enfant qui a aujourd'hui entre 7 et 17 ans il faut que la femme soit plus jeune, mais ça a été une déconvenue. Et quand il se tourne vers les femmes du même âge, les femmes refusent d'être encore dans un modèle d'éducation. elles en ont marre, elles ont souffert aussi de la séparation avec leurs enfants quand il y a eu le divorce. Pour beaucoup de mères de famille, peut-être elles ont vécu des enfants qui leur ont tourné le dos, elles ont senti que ce divorce était compliqué pour leurs enfants, pour la relation avec leurs enfants, pour la relation avec l'ex et ses enfants. Et aujourd'hui, pour elles, c'est tellement encore à vif. qu'elles ne veulent vraiment plus supporter les enfants d'un autre homme, même si cet homme a le même âge qu'elle. Alors les hommes se retrouvent dans une réelle impasse car la femme ose dire stop aujourd'hui, non, ça suffit. Et ce sont aussi les femmes qui consultent pour aller mieux. qui se remettent en question pour tenter d'évacuer cette pression, ce trop-plein. Alors comment sortir des sentiers battus, de cette souffrance et de la dépendance à l'autre ? Parce que la question, elle est réellement là, sans se perdre dans une vie qui ne fait plus sens, aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Qu'est-ce que j'appelle une vie qui ne fait plus sens ? Eh bien, moi je trouve, je vais peut-être vous paraître vieux jeu, tout en étant consciente que les changements qui sont là sont bénéfiques. C'est-à-dire une vie qui fait sens pour moi, c'est qu'il y a un âge pour tout. C'est-à-dire qu'il y a un âge pour avoir des enfants, pour être grand-parent, et pour, quand on devient adulte... quand on est dans la fleur de l'âge, et la fleur de l'âge, ce n'est pas 30 ans, 40 ans, c'est à partir de 50 ans, d'arriver à définir ce qui va nous plaire, ce qui va nous faire du bien. Mais ça, pas au détriment de nos propres enfants, pas au détriment de nos valeurs. Qu'est-ce que j'appelle des valeurs ? Qu'est-ce que j'appelle, pas au détriment de nos propres enfants, c'est que les enfants, quand ils ont 17 ans, 18 ans, ils vont vers leur vie d'adulte, mais on doit être là pour leur montrer. Alors un exemple, peut-être pas, mais on doit être là pour structurer ce passage à l'âge adulte. c'est-à-dire que ce sont les enfants de 17-18 ans, ça va commencer peut-être un petit peu avant aussi, qui doivent sortir, qui doivent faire leur rencontre, qui doivent aller à des booms ou à des soirées, et nous en tant que parents, on doit baliser ce chemin pour leur permettre de voler de leurs propres ailes à un moment donné. Si les parents s'emmêlent les pinceaux dans... s'est sorti dans agir comme si on avait 17 ans, sortir avec leurs enfants de 17 ans, et bien là pour moi il y a confusion. Mais même confusion pour nous en tant que femmes, parce qu'on peut sortir. Attention, je ne dis pas qu'il ne faut pas sortir, je ne dis pas qu'il faut rester dans un canapé, puisque les enfants aujourd'hui, la majorité du temps, sont en garde partagée. Donc on peut sortir, mais je sais que quand moi je suis avec mon petit-fils, ce ne sont que des sorties pour un enfant de 10 ans. Je ne vais pas l'emmener avec moi dans quelque chose qui ne lui plaît pas parce que je l'accompagne dans son évolution de petit-enfant. Et donc c'est ça qui porte à confusion, c'est-à-dire qu'un homme et une femme doivent apprendre à se construire avec ses valeurs et avec ce qu'il ou elle va découvrir sur ce chemin du célibat après de multiples changements, parce que le monde est en train là d'évoluer en matière de couple, en matière d'individualité. Ça évolue à une vitesse, mais phénoménale. Donc, comment sortir de ces sentiers battus ? Il n'y a qu'un seul chemin. C'est celui que je propose d'ailleurs dans mes accompagnements, alors que j'adapte attention à chaque personne, parce que chaque cliente, chaque être humain est unique et différent. Certaines femmes vivent encore ces nombreux changements de dogme dans la société avec de la peur. Quand d'autres voient ça comme une opportunité et se découvrent aventurières dans l'âme alors qu'elles avaient peur de tout. Ce changement de famille Ce changement qui bouleverse les hommes et change le regard des femmes sur eux, c'est très inconfortable et en même temps nécessaire car chaque femme a le droit de se respecter, a le droit d'accueillir ses valeurs, de les mettre en avant sans se sentir dévalorisée, sans être montrée du doigt par ce qu'elle pense, par ce qu'elle vit, par ce qu'elle ressent. Quant aux hommes, Ils ont aussi ces mêmes droits, avec la lourde charge en plus, de ne plus considérer une femme comme un objet. Alors comment s'y retrouver quand le chaos est là, quand tout bouge à une allure phénoménale et comment ne pas se noyer pour se sentir pleinement vivante ? Je vais te le dire à la fin. Alors ce qui était sexy il y a 20 ans, je ne sais pas si tu l'auras compris un petit peu, j'en parle par bribes dans l'épisode, c'était ce que les hommes mettaient en avant comme quelque chose de beau, comme une force, et que les femmes admiraient en se sentant ridiculisées. Eh bien, c'est un enfant à plus de 50 ans. C'était stylé à l'époque, réconfortant pour eux, mais en même temps... Et Sarah, c'est la femme de 50 ans et plus, et bien à ce quelque chose, cette femme qui dépassait la cinquantaine ne trouvait pas sa place, ne la trouvait plus, se disant souvent qu'un homme préférait aller vers des jeunes et donc elle se dévalorisait, ne s'aimait pas. Seulement voilà. Les jeunes femmes d'aujourd'hui s'échappent, ne restent plus aussi en couple et ces hommes à l'air magnifiques avec un poupon dans les bras, une poussette, je ne sais pas si tu te rappelles quand tu voyais ces hommes pousser la poussette, peut-être certaines femmes s'arrêter, Béat, ouais le beau mec avec un gamin qui était très jeune. se retrouvent perdus parce que ces hommes ne savent plus à quel sein se vouer. Celui d'une femme de 30 ans ou celui d'une femme de son âge, les deux lui sont refusés catégoriquement aujourd'hui. Ce qui ébranle donc ce format de jeune père à l'âge d'être grand-père, c'est la réalité aussi économique, le monde du travail qui change. C'est-à-dire qu'il n'y a pas... Qu'une seule chose qui change, tout est lié, c'est-à-dire que si le regard sur les familles change, si les femmes ne veulent plus éduquer à 50 ans et plus des enfants qui ont 10 ans alors qu'elles sont peut-être même elles déjà grand-mères, il y a aussi quelque chose qui bouleverse aussi tous les codes, c'est le monde du travail. Quand les femmes sont prêtes à démissionner. à se former et ce pendant des années. C'est-à-dire qu'une femme qui commence un autre travail sur le tard, qui développe une passion qu'elle avait peut-être jeune, va se former et ne lésine pas sur les moyens de se former. On sait, et j'en fais partie, c'est-à-dire que je suis devenue psychanalyste, sophrologue, en étant moi-même en thérapie depuis des années. Je suis restée de très nombreuses années en thérapie et j'ai étudié ces thérapies. Je continue d'ailleurs de me former. Et en fait, c'est ça aussi qui pêche. C'est-à-dire que... Les femmes vont peut-être aussi découvrir un métier, une vocation, qu'elles vont découvrir sur le tard alors que les hommes vont subir un burn-out professionnel, un ras-le-bol dont ils ne parviennent pas à se sortir alors que les femmes vont se découvrir une vocation. En fait, les hommes ont cette peur d'apprendre. Il y a cette difficulté pour les hommes à se dire que ce qu'ils ont appris à 20 ans doit être remis en question à 50 ou à 40. Plutôt que de voir là une opportunité de changer, une opportunité d'évolution, peut-être se former à autre chose, pour eux c'est un échec. Et c'est ça qui est bien dommage. Mais attention, je mets toujours des bémols, c'est en fait... Ce n'est pas leur faute, mais en même temps, on est logé, les hommes et les femmes, à la même enseigne. En fait, les hommes qui ont peur d'apprendre et de changer de métier, tout ça c'est dû à l'éducation reçue dans les années 60. On est né dans les années 60, on a reçu des codes de travail qui ont énormément changé depuis. Et pour faire face à ces changements brutaux, déstabilisant de toute part, eh bien, il est nécessaire aujourd'hui et vital d'apprendre à vivre dans le changement et à le provoquer. C'est-à-dire, c'est ce que je propose d'ailleurs dans mes accompagnements, c'est-à-dire que je n'accompagne pas sans mettre les changements en avant parce que c'est de là où on va pouvoir rééquilibrer toutes les sphères, les sphères émotionnelles. Les sphères au niveau de nos valeurs, les échanges avec les autres, ils sont très importants ces échanges. On ne peut pas se passer d'hommes et de femmes et d'échanges sociaux. C'est complètement utopique de penser que l'on peut vivre prostré chez soi. La solitude, elle a un temps, elle est nécessaire. Vivre seul et puis se regarder, tenter des expériences pour voir ce que l'on aime, ce que l'on n'aime pas, c'est même vital pour ensuite comprendre que l'échange avec l'autre, il est nécessaire. pour voir comment ça évolue, pour voir qu'est-ce qu'on peut partager ensemble aujourd'hui à plus de 50 ans. C'est vraiment ça qui est à l'œuvre et c'est vraiment ça qui est à apprendre et qui fait que pour mes clientes, trouver un équilibre dans leur déséquilibre, et bien elles en sont ravies à un moment donné c'est vrai qu'elles vont trouver ce qui leur va bien et comment surfer sur ce changement de dogme de paradigme, de façon d'être de façon de voir pour les deux sexes et c'est vraiment ça moi j'appuie sur ce point là dans mes accompagnements alors c'est vraiment Il y a aussi un mais, parce que j'accompagne vraiment les personnes qui vont être désireuses d'évoluer, même si ça semble difficile. En fait, la peur de tout être humain, c'est la routine. C'est-à-dire qu'on entend beaucoup dire j'aime pas la routine, j'aime pas m'ennuyer D'ailleurs, dans les réseaux de rencontres, les profils des hommes, ils font du sport, ils font du ski, ils font de la moto, ils n'ont jamais un moment de répit. Alors moi, rentrer dans la vie d'un homme qui met autant en avant le faire pour ne pas penser, pour oublier, c'est non. c'est non parce que changer, ce n'est pas faire à outrance des activités. Le changement, en fait, ce qui fait peur, c'est qu'on a l'impression de sauter d'une falaise. Alors que le changement, je vais le comparer à quelque chose, c'est quand on va au bord de la mer, à une mer qui est froide. qu'on se dit, non, non, là, au bord de mer, je vais marcher en basket parce que j'ai peur de mouiller les pieds. Il y a cette peur d'avoir froid. Je prends quelque chose de basique parce qu'il faut que je prenne quelque chose de basique, d'ailleurs. Donc, du coup, c'est ce que j'ai fait il n'y a pas longtemps. C'est ce que j'ai fait il y a 15 jours. J'ai dit, tiens, je suis au bord de la mer. Même si l'eau est à 12 degrés, ce qui pour moi est très très froid, vu que je ne veux me baigner que dans une eau à 35, mais vivant en Bretagne, j'ai plutôt intérêt à trouver comment me baigner beaucoup plus vite, j'ai décidé d'enlever mes chaussures. Et en fait, ce qui est difficile, c'est de se dire, ok, c'est déjà l'idée qu'on se fait du froid. Est-ce que tu vas mourir parce que tu mets tes pieds dans l'eau ? Ben non. Donc va essayer. Et même si c'est froid, tu auras à essayer. C'est ça le changement. c'est se déconstruire toutes ces idées préconçues qu'on a, à savoir si je mets les pieds dans l'eau, mon Dieu, ça va être froid. Et alors ? Tu auras testé. Donc en fait, mettre les pieds dans l'eau, tu vas avoir froid au début, tu vas les retirer. Alors bien sûr, je te conseille de le faire à un moment donné où il fait beau, c'est-à-dire où tu as une source de chaleur qui est capable de te réchauffer, un temps soit peu. Puis ensuite, tu vas retourner. Tu vas te dire, tiens, allez, j'y retourne. Mes pieds se sont réchauffés, j'y retourne un peu. Et tu vas constater que ça va être moins froid et que tu vas y rester un peu plus longtemps. Et puis, tu vas te surprendre, 5, 10, 15 minutes après, à aller peut-être un peu plus loin dans l'eau et à y mettre jusqu'à tes mollets, qui va te faire dire, waouh, mais c'est vachement bien. Je n'ai pas mis que mes orteils, j'y suis jusqu'aux mollets. Et qu'est-ce que c'est agréable. Et bien, pour vivre les changements, c'est exactement pareil. Il y a une peur qui est là, qui n'est pas une vraie peur. Il faut savoir que la peur, elle est construite par ton cerveau. Mais que si tu y vas pour affronter, pour voir si c'est vrai, tu vas te rendre compte en fait que cette peur, tu peux la déconstruire et te dire, ben non, finalement, ce n'est pas vrai, ce que je ressens, ben ouais, ok, c'est froid, mais finalement, je l'ai fait, ce n'était pas si pénible que ça. Et dans la vie de tous les jours, ce sont ces changements que l'on doit adopter. Ça peut être, tiens, je vais dans un endroit aujourd'hui me promener que je ne connais pas. Je me mets face à un défi plutôt que de faire... quelque chose dont j'ai l'habitude, je déconstruis cette habitude pour être et découvrir quelque chose qui me met mal à l'aise, mais qui va justement me permettre d'accepter les changements différemment. Donc si tu es une personne désireuse d'évoluer, même si ça te semble difficile, moi je suis toujours la spectatrice de magnifiques transformations grâce à mes clientes, et j'ai conscience aussi que peut-être pour toi changer sera trop difficile donc c'est à toi de voir alors tu te dis mais comment le savoir si pour moi changer ça va être difficile ou pas et bien moi je propose toujours qu'on prenne rendez-vous pour un appel découverte les infos sont dans le descriptif tu peux cliquer sur le lien et ensemble et bien je te partage ce qui serait bon pour toi au contraire, ce qui serait compliqué. Et ensuite, libre à toi de choisir si tu veux sauter dans l'inconnu, si tu veux apprendre à changer pour t'épanouir, pour ne plus subir ces transformations familiales, pour être bien dans tes pompes, pour assumer qui tu es avec tes valeurs, pour découvrir quelles sont tes valeurs que tu souhaites mettre en avant. Eh bien, si ça te parle, je te laisse cliquer. sur la séance découverte et puis on se retrouvera de l'autre côté. Et puis en attendant, si cet épisode t'a permis d'y voir plus clair, je serais vraiment ravie de le savoir. Et puis on se retrouve le mercredi 5 juin pour un nouvel épisode. Ciao, ciao !

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