- Speaker #0
Bonjour à tous et à toutes, bienvenue sur le podcast de la team Alpha Coaching. Aujourd'hui du coup vous me retrouvez, moi, Colline et Thiago, pour discuter d'un sujet qui va intéresser principalement les femmes, mais aussi je pense pas mal de coachs, des athlètes féminines. Donc on va vous parler un petit peu du cycle menstruel et de son impact sur la performance sportive, notamment la performance en musculation. On va un petit peu vous parler de tout ça, surtout que Thiago est assez calé dans le sujet. Il va vous expliquer d'ailleurs lui-même un petit peu plus les domaines de son expertise là-dessus. Donc Thiago, on t'écoute pour ça.
- Speaker #1
Bonjour tout le monde. Alors par rapport à mes expertises, j'ai rien. En plus d'être préparateur, je m'occupe aussi de tout ce qui est physiologie interne. Donc ce que j'ai comme situation, c'est tout ce qui est problème de l'eau, ça peut être les problèmes de thyroïde. les troubles migratoires, comme on va parler aujourd'hui. Ça peut être des résistances à l'insuline, enfin vraiment tout ce qui est trouble, on va dire, hormonal ou métabolique, mais aussi les troubles digestifs, tels que la dysbiose, la chondroses et les jambes basses. Donc après, il y a aussi les gens qui veulent aussi optimiser, parce qu'ils sont sportifs, ils veulent avoir des mêmes performances, et naturellement, optimiser nos organes, pour qu'ils soient plus productifs à ce niveau-là. Et sur l'incidence qu'on peut avoir, on peut agir dessus. Bien sûr, il faut faire des analyses au préalable pour voir. quels sont nos besoins, on va se supplémenter au hasard. Et tout ça va permettre justement d'être plus personnel, et aussi au niveau de la longévité. C'est aussi le petit bonus.
- Speaker #0
Voilà, toujours petit côté longévité et santé, qui est très important pour nous au sein de la team Alpha, vous le savez bien. Donc, dans un premier temps, on va vous rappeler un petit peu ce que c'est le cycle menstruel, et surtout, quelles sont les différentes phases, parce qu'il y a pas mal de femmes qui pensent que... le cycle menstruel c'est juste j'ai mes règles tous les 28 jours approximativement et c'est tout et alors qu'en fait c'est quand même beaucoup plus que ça un cycle menstruel c'est pas juste saigner c'est découpé par différentes phases qui vont avoir chacune de leurs hormones entre guillemets phares, leurs pécrétions hormonales et leurs variations hormonales associées qui vont elles-mêmes impacter votre physique, vos performances votre humeur, votre morale, la rétention d'eau que vous allez faire, etc. Donc Thiago, est-ce que tu peux nous rappeler un petit peu, on va dire grossièrement, quelles sont les phases du cycle menstruel ?
- Speaker #1
Alors déjà, la première chose à savoir par rapport au cycle menstruel, c'est qu'il est très variable en termes de durée. En général, c'est entre 21 et 36 jours. Donc on voit qu'il y a quand même une plage, et chaque femme est différente, chaque femme au but de façon... un de moins et un de moins, mais c'est ce que je vais expliquer. Donc déjà, c'est très important de se dire si je n'ai pas mes règles chaque 28 jours, j'ai un problème. Non, il y a une ou une septièche. Ensuite, comment ça se déroule ? Pour moi, il y a trois phases principales. Il y a une phase folliculaire, qui est la première phase, donc elle débute au jour 1 des règles. Le premier jour où vous avez vos règles, si vous êtes une femme, c'est votre jour 1 de votre phase. Donc, c'est le début de la phase folliculaire. Donc la durée va être séparée aussi de l'autre. Et ensuite, elle sera suivie de la phase ovulatoire. Cette phase ovulatoire, c'est-à-dire écho, et elle va laisser sa place ensuite pour la phase glutérate. Donc c'est les trois phases. Donc après, les personnes peuvent dire, oui, mais les règles, ce n'est pas une phase. Non, parce qu'en fait, les règles commencent au bout de temps que la phase folliculaire. Donc c'est plutôt une annexe de cette phase. Donc c'est ça que je ne comptabilise pas en tant que phase ou en tant que d'aide. Et qu'est-ce qui va se passer, disons, ces phases ? il y aura des choses plus hormonaux qui vont en jouer. Donc c'est ce qui va expliquer aussi pas mal de comportements que les femmes peuvent avoir dans, on va dire, tout leur cycle, au niveau émotionnel. Comme l'a dit Colline aussi, au niveau des performances. À certains moments, elles peuvent sentir plus de performance, et à d'autres moins. Et tout ça, c'est une explication. Donc dans la phase foie de l'étulé, ce qui va se passer, c'est que vous avez vos oestrogènes qui vont commencer à monter durant toute cette phase. ils vont commencer à monter et les oestrogènes il faut savoir qu'ils ont une action sur l'axe de la dopamine. La dopamine c'est vraiment ce qui va vous donner envie de faire plein de brûlées, d'être super motivé, ça va vous donner beaucoup de libido donc c'est vraiment ce genre de dopamine qui va vraiment vous pousser à faire plein de choses. Donc si vous êtes arrangé de plus en plus, vous allez avoir envie de faire plein de choses. Donc ça c'est vraiment lié à cette phase, c'est pour ça que ça peut expliquer aussi en termes de performance aussi, que vous soyez plus efficace dans cette phase-là, parce qu'en fait, les Australians vont vraiment vous booster. Vous avez vraiment envie de faire plein de choses. C'est vraiment une des explications. Vous avez aussi le métabolisme négocide qui va être beaucoup plus optimisé. On peut se dire qu'en niveau nutritionnel, on peut favoriser une diète plus chancrochine. Ça peut être le cas, mais on ne va pas rentrer dans ce sujet-là. Mais au niveau du métabolisme, c'est une phase où justement, les parents ont plus de facilité à avoir une meilleure sensibilité à l'insuline. Donc, qu'est-ce qui se passe ? Les fesses folliculaires d'ostrogène vont monter. La progestérone, pour l'instant, elle va rester base, parce que c'est vraiment une base dans un cycle, c'est ces deux hormones, les oestrogènes et la progestérone. C'est vraiment ces deux hormones qui vont réguler votre cycle. Donc, si une des deux hormones est mal réglée, c'est là où vous allez avoir des problèmes de disorvulation. Donc, c'est un cycle qui n'est pas réglé de la même façon. Ce qu'on retrouve classiquement, si on parle d'une problématique courante, c'est le syndrome prémenstruel. Et ça, c'est lié justement quand il y a beaucoup trop d'oestrogènes par rapport à la polystérone. Donc ça, c'est l'une des explications. C'est pour ça que c'est important de vraiment maintenir cet équilibre entre ces deux hormones. Mais le bord est bien fait. Chaque phase, ces deux hormones vont se situer à des niveaux différents. Si on ne veut plus en phase folliculaire, les oestrogènes vont monter jusqu'à atteindre un pic. Et lorsqu'il va atteindre ce pic, il y a une autre hormone qui va être activée. C'est ce qu'on appelle la LH. qui est libérée par l'hypophyse. Et en fait, ce qu'elle va faire, c'est qu'elle va, on va dire, c'est elle qui va permettre vraiment l'ovulation. Je ne vais pas rentrer dans tous les termes de ce qui se passe exactement, par où sont secrétisées les oestrogènes, tout ça, c'est ce qui nous importe aujourd'hui.
- Speaker #0
C'est ce qu'on appelle du coup le pic de LH.
- Speaker #1
Le pic de LH,
- Speaker #0
on l'entend, on va dire, régulièrement. peut-être vous avez déjà entendu le pic de LH, c'est ce pic d'hormones là qui va permettre du coup l'oblation.
- Speaker #1
C'est exactement, c'est elle qui va permettre l'oblation en fait. Le follicule va pouvoir justement éjecter l'ovocyte qui est l'œuf. Une fois que cette phase est passée, la progestérone elle va prendre le dessus. Donc là on arrive dans la phase luthérale. Donc là la progestérone va monter. jusqu'à avoir également un pic, pour ensuite redescendre. Les oestrogènes, eux, dès qu'ils ont un pic, ils descendent aussi. Donc là, la phase luthérale, ce que vous allez voir, c'est justement plus de progestérone et moins d'oestrogène. Et dès qu'on arrive vers la fin de la phase luthérale, justement, la progestérone va descendre très, très rapidement. Et dès qu'elle sera suffisamment basse à l'incide d'oestrogène, c'est ça qui va relancer le prochain cycle. Donc, au niveau de la progestérine, elle aura plutôt une activité au niveau de la sérotonine, qui est un neurotransmetteur. Et là, c'est plutôt la période où les femmes vont avoir plus de sérénité, seront plus calmes. Donc, si on peut faire un peu un parallèle, durant la phase folliculaire, les femmes vont avoir plein de projets, elles vont faire plein de choses. Et dans cette phase luthéale, les femmes vont dire, « Ok, j'ai tous ces projets en tête, qu'est-ce que je vais prioriser ? » Donc, il y a un peu d'organisation. C'est vraiment ce retour au calme, cette phase luthéale.
- Speaker #0
On dit souvent un retour à soi aussi. Moi, en tant que femme, ça me parle beaucoup, ce terme de retour à soi, où on a l'impression qu'on est redescendu, on est un peu apaisé. On revient un petit peu à soi, à ses besoins vraiment les plus profonds. En tout cas, c'est comme ça que moi, je vis cette phase-là. Ce n'est pas pour les autres. Mais oui, voilà, c'est ce retour à soi, retour à quelque chose d'un peu plus calme. En fait, on est peut-être limite, peut-être que je me trompe, mais je trouve que... pendant la première phase du cycle, on est peut-être un peu plus dans la démesure. On est hyper enthousiaste sur tout. On peut démarrer mille projets à la fois, alors qu'à la fin du cycle, sur la seconde phase après l'ovulation, finalement, on est plus dans un… J'ai cette image de redescente, finalement, de retour à soi, de retour au calme.
- Speaker #1
Et c'est exactement ce qui se passe. Donc, ça explique justement ces comportements que doit avoir une femme tout au long du cycle. c'est directement lié aux oestrogènes et à la progestérone qui en fait ces deux hormones qui sont un peu on va dire antagonistes en fait. Par exemple les oestrogènes, tu parlais de rétention d'eau, en fait la rétention d'eau elle est due aux oestrogènes. Mais après cette rétention d'eau elle est aussi bénéfique. D'un point de vue compétitrice on va se dire je vais faire la rétention d'eau, m'envoie mes détails musculaires et tout, mais ça fait partie de votre féminité et c'est ça qui va rendre aussi votre peau plus belle. Donc les autres patients sont super importants, c'est eux qui vont favoriser aussi une belle santé des cheveux. Donc c'est une rétention d'eau qui est normale, après il y a des rétentions d'eau qui ne sont pas contrôlées. Et là, c'est quand on rentre dans des cas où, justement, il y a beaucoup trop d'oestrogènes.
- Speaker #0
Il y a un déséquilibre.
- Speaker #1
Et là, voilà, c'est une autre problématique. Et à l'inverse, la progestérone, elle est diurétique. Donc, elle, elle va justement faire évacuer…
- Speaker #0
Le corps est bien fait.
- Speaker #1
Le corps est bien fait, justement. Et après, ça se traduit ça aussi au niveau du cycle, où justement, des oestrogènes vont servir justement à… Je vais montrer le… parce que je ne l'ai pas rencontrée, mais grosso modo, c'est des oestrogènes qui créent l'endomètre, en quelque sorte, et la progestérone, c'est elle qui va stopper cette production d'endomètre. Donc c'est elle qui va, on va dire, stopper la prolifération des cellules. Donc il y a toujours cette activité où elle va venir assécher, par exemple, ce qu'on remarque souvent, la phase ovulatoire, c'est que les femmes vont avoir beaucoup de pertes blanches. Et ça, c'est sous l'action des oestrogènes. et dès qu'il y a cet assèchement qui va se produire par la suite, en fait, c'est la conjustérine qui va faire cet assèchement, d'où son activité diurétique.
- Speaker #0
D'accord. Et puis, oui, voilà, en fait, le cycle mensuel, vous pouvez vous y intéresser, vous pouvez suivre vos différentes phases du cycle, déjà de par vos différentes variations d'humeur, comme disait Thiago, par aussi la variation de votre libido, mais aussi en regardant tout simplement dans votre culotte. pas glamour dit comme ça mais pourtant c'est la nature c'est le corps qui est comme ça et tout au long de votre cycle je pense que vous l'avez toutes remarqué vos pertes vont évoluer aussi au moment de l'ovulation les pertes sont aussi plus visqueuses et gélatineuses pour favoriser la potentielle arrivée du spermatozoïde dans l'ovule pour enfanter voilà il y a tout qui est tout qui est bien fait entre guillemets et tout qui peut être un indicateur de où vous vous trouvez dans votre cycle. Et au plus que vous en savez sur votre cycle, au mieux que vous allez, je pense, pouvoir le vivre et ajuster pas mal d'aspects de votre vie. Il y a même des femmes qui ont calqué leur productivité, des auto-entrepreneurs et tout ça, qui ont calqué leur productivité sur leur cycle. Parce qu'elles savent qu'en début de cycle, elles sont à fond, elles ont mis le projet, elles ont envie d'entreprendre plein de choses, donc elles sont hyper productives sur certaines choses. à la fin du cycle, sur la deuxième partie post-ovulatoire, elles sont plus centrées, donc elles vont peut-être se réorganiser différemment en priorisant certaines tâches, etc. Mais après, je pense que ça demande pas mal de pratique, de connaissance de soi, de connaissance aussi du cycle et voilà. Je pense que c'est pas non plus évident.
- Speaker #1
Ok, ça me permet de remondir sur un sujet qui est super important parce qu'on entend ça. après avoir l'idée de se dire, ah mais j'ai qu'à doser mes oestrogènes et ma progestérone, pour savoir si je suis, pour voir si j'ai des taux qui montent ou pas. Donc en fait, c'est deux valeurs qui doivent se mesurer à des moments très précis. Et souvent, classiquement, chez la femme, il faut le faire à J21. Mais J21, en fait, c'est là où on attend le pic de progestérone, mais c'est très probable d'une femme à l'autre. Donc pas toutes les femmes ont vu le J14.
- Speaker #0
Une femme qui a un cycle de 30 jours, son J21, une femme qui a un cycle de 24 jours, elle n'aura pas le même J21 que celle de 30 jours.
- Speaker #1
Exactement. Et c'est pour ça que c'est super important, ce que tu disais justement, de regarder dans sa culotte, parce que c'est là où on peut identifier est-ce qu'on est au jour sommet, qui est donc là où on a l'ovulation, ou pas. Et c'est à partir de là où on pourra se dire à quel moment on va doser ces 2,9. Partir sur des chiffres théoriques, c'est un gros risque d'erreur. Donc peut-être de prendre des diagnostics qui sont totalement erronés. On pourrait dire à une femme, parce qu'elle a une progestérone qui est trop basse, qu'elle aura des problèmes de fertilité. Oui, mais on n'a pas dosé ça au bon moment. Donc c'est des valeurs qui sont très pressenties. Mais il y a eu beaucoup d'erreurs dans le diagnostic parce que ça n'a pas été dosé au bon moment. C'est pour ça que c'est super important de... Merci. Pas vouloir le faire tout seul, donc voilà, de se rapprocher de personnes qui peuvent vraiment vous conseiller pour vous aider à trouver quel est le bon moment pour le faire. Et voilà, les valeurs, ça reste des valeurs. Il faut voir aussi les symptômes derrière, donc il faut toujours mettre ça dans un contexte.
- Speaker #0
C'est ça, donc comme on disait, il faut regarder dans sa culotte, suivre son humeur, etc. Parce que comme il vous l'a expliqué, Thiago, au départ, il y a pas mal de variations hormonales qui vont impacter. elle-même, l'humeur, la façon dont on se perçoit aussi. Il y a des jours où vous allez vous trouver trop belle parce que vous avez la peau qui est super nette, les cheveux qui sont forts, qui sont brillants. Puis quelques jours après, vous allez vous dire « je suis éclatée, je suis grosse, je suis fat, je suis pleine de boutons » . Bref, il y a plein de choses qui vont évoluer tout au long de notre cycle. et notamment aussi le poids sur la balance avec la rétention d'eau. Et mettre en contexte tous ces indicateurs-là vous permettent de savoir à peu près où vous en êtes. Et du coup, si vous avez envie d'ajuster plus ou moins votre mode de vie, votre diète ou votre entraînement à ce moment-là, c'est possible. Et du coup, la question que je voulais te poser pour recentrer un petit peu notre sujet maintenant qu'on a bien présenté le cycle mortuel, est-ce que tu penses que toi, de ton propre avis, Il faut s'écouter quand on est fatigué par notre cycle. Parce que c'est vrai qu'il y a certaines filles, les premiers et deuxièmes jours des règles, elles sont hyper fatiguées. Est-ce que tu penses que quand on est très fatigué par notre cycle, il faut s'écouter ou bien il faut se dire tant pis, je vais quand même m'entraîner et je vais donner mon 100% de ce jour, même s'il est diminué par rapport à d'habitude ?
- Speaker #1
Alors, moi, de mon expérience, je pense que c'est le plus important, c'est de s'écouter avant tout. Il faut accepter que... Dans un cycle, votre capacité de récupération va être adaptée et va changer. Justement, quand les oestrogènes vont monter, vous aurez tendance à vous sentir mieux à l'entraînement, être plus performant, vous aurez une récupération qui sera améliorée. En fait, ce qui se passe dans un cycle, si on regarde en termes de qualité de la performance, si on peut appeler ça comme ça, c'est qu'en fait, ça va faire une courbe en lue. Donc, ça va monter jusqu'au pic ovulatoire et ensuite, ça va redescendre. Donc, quand ça redescend, les deux extrémités, c'est soit le début, soit la fin du cycle. Et c'est la phase où, généralement, les femmes sont un peu moins performantes. Donc, pour moi, c'est super important de s'écouter. Donc, pourquoi ça sert de vouloir s'imprimer en fond, si on n'a pas la capacité de récupération adéquate pour faire ? Moi, ce que je conseille, c'est deux options. Après, ça dépend du type de client. en outre que tu peux avoir parce qu'il ya des clients qui n'arrivent pas à lever les pieds même si vous avez le pied du c'est donc en fait pour les gens offrent un posé dans ce qui est vrai c'est quoi moi de plus de six mois je vois quand même parce que si tu es plié en deux qu'est ce que tu vas pas pas faire de bonnes performances sur certains ou soit effectivement tu te sens fatigué, tu n'es pas plus que deux, tu peux aller à ça, et là tu adaptes ton volume d'entraînement. Là par exemple, tu pourrais faire un lot de régulation, tu dis « Ok, aujourd'hui je sens que je ne vais peut-être pas bien dormir à cause de ça, je n'ai pas beaucoup bu, peut-être que j'avais moins d'appétit que d'habitude, peut-être que c'est le moment où on peut se dire « Ok, je réduis mon volume de travail » . On peut garder, on va dire, toujours le travail à l'échec, ce n'est pas une problématique, ou si on sent vraiment, vraiment plat. peut-être que là on peut laisser quelques patients en réserve pour ne pas aller trop la pression du système nerveux donc pour moi c'est les deux options l'auto-régulation du volume ou prendre carrément un jour off c'est quoi un jour off sur un moment ? oui c'est clair parce qu'aller à la salle de ne pas sentir bien du tout d'être clé en deux, une augmentation des risques de blessure. Déjà que la capacité de récréation est faible, et on va remettre un stress par dessus, on va encore plus se réimpacter. Donc peut-être qu'il faudra faire une décharge prochainement parce qu'on est trop fatigué de notre corps. Donc ça peut aussi jouer par surprêt, que même si la capacité de récréation était beaucoup trop impactée, on va devoir travailler dans le rouge, et on commence même à perdre des performances. peut-être en parallèle de la vitesse musculaire. Donc je pense que oui, l'écoute, c'est le plus important avant tout. Il ne faut pas penser hardcore, dire non, il faut faire les choses, il n'y a que ça qui compte. Non, je pense qu'il faut vraiment être applicable pour tout le monde, quoi que ce soit, même si vous avez des blessures. C'est-à-dire, je me manquerai sur vos blessures. Il faut aussi être science, il faut s'écouter, puis voir ce qu'il faudrait mettre en place. Après, c'est une discussion avec votre coach. mais ne pas laisser ça en sourdine.
- Speaker #0
Et je nuancerais juste le propos en disant que, certes, il faut s'écouter, mais si vous sentez que vous êtes capable et que c'est juste la flemme qui parle, au fond de vous, si vous vous sentez un petit peu, voilà, que, bon, vous essayez de vous arranger avec vous-même, ben là, bon, vous avez juste besoin de vous mettre vous-même un petit coup de pied aux fesses et d'y aller. Mais si, effectivement, comme dit Thiago, vous êtes plié en deux, vous êtes fracassé, vous avez des très grosses douleurs, beaucoup de saignements, du coup vous êtes peut-être potentiellement en anémie, oui, là effectivement, peut-être un petit lourd off, ou alors un volume un peu plus light, ou un peu moins d'intensité en fonction de votre capacité de récupération du lourd.
- Speaker #1
Après, là où je peux rebondir sur un truc que tu viens de dire, c'est aussi s'il y a beaucoup de saignements qui sont très importants. C'est là aussi qu'il faut se poser la question, est-ce que mon cycle est actif ? Donc là, il y a peut-être une dominance oestrogénique très importante, et il y a quelque chose à réguler. Parce qu'on peut avoir un cycle, on va dire, qui répond à tous les critères de durée, avec les saignements, tout ça, ok ? Mais quelle était la qualité de ce cycle ? Ça, c'est encore une autre question. Parce qu'il y a la neuvulation, où là, ce n'est pas du cycle du tout, et il y a la disovulation, où le cycle n'est pas de qualité. Et justement, on peut rencontrer ces problématiques de SPM ou durant la phase luthérale où on est censé profiter d'une pénicilline à progestérone, mais en fait, on n'en a pas. Donc, c'est là où, justement, il faut aussi s'interroger s'il y a des signes comme ça, une femme avec beaucoup trop de saignements, plus que d'habitude, en plus, c'est quelque chose qui bloque quelque part et il faut investiguer son signe.
- Speaker #0
Un déséquilibre quelque part. Et concernant le cardio ? notre ami le cardio, que je ne sais pas si beaucoup de personnes aiment. Toi, tu conseillerais également de moduler un petit peu l'intensité ? Ou est-ce que s'il y a des phases du cycle où, au lieu de faire un cardio modéré, d'un coup, on a envie de courir à 12 km sur le tapis, de sprinter ? Ou si, au contraire, on a envie de préférer plutôt de la marche, tu conseilles d'adapter un petit peu aussi ?
- Speaker #1
Alors, en fait, je reprends l'histoire de la fameuse courbe. Donc, en fait, dans la courbe qu'on en est justement au sommet, donc ça correspond… tout ce qui est, on va dire, périovulatoire, tout ce qui est autour de l'ovulation, en général, c'est là où les femmes sont à leur maximum et là, on peut faire des activités type HIIT, la haute intensité. Alors que sur les extrêmes, on va être peut-être sur du lisse, de la basse intensité, voire de la moyenne intensité. Ça dépend justement de chacune, après. Mais voilà, pour moi, c'est vraiment ça, on va dire, lisse et misse. Plus on va se rapprocher du sucre, plus on peut aller sur de la haute intensité. Et dès qu'on redescend, on commence à baisser d'intensité même sur le cardio.
- Speaker #0
Donc finalement, plus ou moins les mêmes consignes que pour la musculation.
- Speaker #1
C'est les mêmes, exactement. Parce que tout est lié justement à ce que vous allez ressentir dans ces phases-là. Rien n'empêche de pouvoir faire du HIIT à d'autres moments parce que vous aimez ça. Après, je pense que c'est aussi une question de modérance. et aussi le côté de s'écouter, de se dire, voilà, est-ce que c'est important ? Mais voilà, la théorie, vous voyez que ça se passe plutôt de cette façon-là, si on voulait, on va dire, se calquer sur la théorie.
- Speaker #0
Ok. Bon, on a déjà pas mal d'infos. Toi, pour, on va dire, récapituler, du coup, qu'est-ce que tu conseillerais à une femme qui voudrait adapter sa programmation à son cycle menstruel ? Je dirais déjà… bien se pencher sur son cycle menstruel, sur les différentes phases, pour vraiment savoir où on en est, pour bien le connaître. Et ça, ça ne se fait pas en un cycle. Mesdames, à mon avis, il vous faut peut-être 3, 4, 5, 6 cycles. Si vous ne le suivez pas du tout actuellement, il vous faudra plusieurs cycles pour vous rendre compte que telle phase chez vous correspond à plus ou moins tant de jours, plus ou moins telle humeur exacerbée, tel mood dans lequel vous vous trouvez. avant de vous rendre compte vraiment de tout ce qui varie. Pour reprendre aussi, on regarde en bas, on regarde les sécrétions, voilà. Il y a aussi la température qui peut être prise, on ne l'a pas énoncé. On peut prendre la température aussi. Donc voilà, vous pouvez commencer par suivre votre cycle comme ça, avec les différentes phases. Et ensuite, tout ce qu'a conseillé Thiago, en fonction de la phase du coup. augmenter votre intensité mais surtout comme il disait s'écouter, s'écouter premièrement donc une fois que vous savez à peu près où vous vous situez dans la phase de votre cycle, écoutez vos envies vos éventuelles douleurs qu'est ce qu'on peut ajouter pour récapituler un peu tout ça.
- Speaker #1
Donc par rapport justement à la température effectivement c'est une bonne méthode parce que justement il y a une élévation de la progestérone, la température temporelle va augmenter, en général c'est de 0,5 degrés, ça peut être une méthode, il faut avoir un thermomètre aussi qui soit précis, qui puisse tenir ce genre de réaction. Donc le thermomètre à 9 cures, c'est peut-être pas utilisé dans ce genre de situation, mais effectivement c'est super important de ne pas aussi... Beaucoup de femmes, beaucoup de clientes, je ne me trompe, elles utilisent ces fameuses applications, je fais de leur cycle, mais ça fait le lien avec ce que j'expliquais auparavant, ça reste des applications, c'est des calculs, c'est beaucoup de théorie.
- Speaker #0
La théorie.
- Speaker #1
Rien n'est mieux de ce que vous faites au quotidien. Et après, quelque chose de très juste que tu as dit. Justement, on retient cette conclusion. C'est important que les femmes, si elles veulent tirer bénéfice de leur cycle, justement, commencent déjà à le suivre, commencent déjà à le comprendre, de savoir, OK, dans cette phase-là, on va supposer que je suis dans ma phase folliculaire, effectivement, comment je me sens ? Comment mes charges évoluent dans cette phase ? En fait, il faut vraiment créer un peu un historique, avoir un suivi quand même qui soit multiculé. C'est comme nous, en fait. On ne peut pas juste... prendre le cycle en tant que tel, puis tirer des conclusions. Non, il faut plusieurs cycles et voir à plusieurs cycles, ok. Pendant ma phase folliculaire, je me suis senti comme ça, et moi, chaque fois, mon rythme commence à monter. Je suis arrivé dans ma phase glu-téale, là vers la fin, j'ai vu que ça a diminué, peut-être que je commence à avoir plus de douleurs, je suis plus trop tiré, peut-être que là, j'adapterais un bon volume temporaire à la baisse, peut-être que j'augmenterais mes répétitions. Donc je pense qu'il faut vraiment construire un peu cette connaissance de soi, ou soit demander aussi à votre coach de vous aider dans cette démarche. Il est aussi là, il comprend les phases du cycle, il est aussi là pour vous aider à vous guider. Parce que le but dans tout ça, c'est que vous continuez à performer, que vous restez en sécurité aussi, vous ne pas vous blesser, et que vous arrivez derrière votre plan. C'est important de prendre ces maîtrises, de vraiment vous méticuler, surtout pour quelqu'un qui veut faire de la compétition, je pense que c'est important d'avoir aussi une maîtrise sur son cycle. Parce que de nouveau, votre cycle, c'est à la place de votre féminité et de votre santé. Je suis d'accord. C'est super. C'est vraiment un pilier. Vous comprenez par ça que si votre cycle n'est pas de qualité, ces deux éléments-là vont être impactés. Donc, pour moi, le conseil que je donnerais, c'est vraiment de mesurer vos cycles. Vous prenez comme tu disais, Colline, c'est très bien, 4 à 6 cycles. Et vous évaluez à chaque fois comment vous étiez au niveau de votre humain. Justement, c'est de dire, comme tu faisais parler avec des auto-entrepreneuses, qu'ils étaient dans une phase folliculaire. Là, je vais faire du brainstorming, je vais sortir du projet, je vais mettre une idée dessus sur la table. Et je vais profiter de ma phase de théâtre, justement, pour en recevoir plus de recul via... une sérotonine, vous dire ok, ça me priorise, là c'est un peu le choc, peut-être qu'on peut pas attendre, mais je pense que c'est tiré parti de son cycle, mais il faut le connaître.
- Speaker #0
Et du coup, j'ajouterais que ça peut être, pour bien vous familiariser avec votre cycle, ça peut être une bonne astuce de tenir un petit journal, où vous notez telle date, j'ai ressenti ça, j'ai ressenti ça, j'ai ressenti ça, sans forcément tout classer par… Ma performance était telle ? Mon ressenti était tel ? Mais juste vous pouvez vous dire, aujourd'hui, je me suis sentie hyper productive. J'étais de très bonne humeur. J'avais envie de sourire à tout le monde. Ça peut être des petits indices qui, mis bout à bout, cycle après cycle, vous allez pouvoir vous dire, OK, là, c'est vrai que ça, ça ressemble à peu près à la même phase du cycle. J'avais plus ou moins les mêmes, on va dire, des points communs à chaque fois. Ou je vous dis n'importe quoi, au jour 5, j'avais à chaque fois plus ou moins ces ressentis-là. tenir un petit journal pour suivre vos variations d'humeur, vos variations de poids, vos variations de sécrétion vaginale, etc. Tout ça, ça peut être la température aussi. Tout ça, ça peut être un bon point de démarrage pour suivre vos cycles. Et je pense qu'aussi, mine de rien, ça va vous aider à comprendre pas mal de choses parce qu'il y a des fois où on s'est dit... je ne comprends pas, je suis déprimée, et puis 15 jours après, franchement j'ai trop la pêche, je fais des pertes de fou. Ça vous permet aussi de conscientiser et de réaliser à quel point votre cycle va impacter votre vie, à quel point du coup quand on en prend, je ne vais pas dire le contrôle, mais quand on agit avec notre cycle et pas contre lui, mais quand on agit au gré de notre cycle, on peut vraiment être performante dans tous nos domaines de vie. Et alors, par là, je n'entends pas que la performance sportive, mais on peut adapter nos idées, on peut adapter notre productivité, notre travail, on peut adapter les sorties aussi. Il y a des moments du cycle où on a trop envie de sortir, des moments où laissez-moi tranquille, je veux rester chez moi en fait. Donc voilà, il y a toute votre vie qui peut s'articuler autour de votre cycle si vous y prêtez vraiment attention. Mais ça ne se fait pas en 15 jours, ça ne se fait pas en un cycle ou deux, il faut prendre le temps. Petite spécificité pour les filles qui sont sous pilule, vous avez un cycle artificiel. Donc malheureusement, il y a des choses dans lesquelles vous n'allez peut-être pas vous connaître. Et après sur ça, je te laisse la parole Thibault, parce que moi je pense que je n'ai pas les connaissances suffisantes pour en parler davantage, mais le cycle sous pilule du coup est complètement différent d'un vrai cycle en gros.
- Speaker #1
Complètement. Donc ce qui se passe sous pilule, c'est que vous avez un changement, enfin vous avez un chamboulement sur vos hormones, les oestrogènes et le progestérone. Donc on voit, en bilançant bien le progestérone typiquement, alors... proche de zéro, hyper basse, et les oestrogènes vont aussi baisser par la même occasion, mais en général, ils ont tendance à être hauts, donc ce sont des dominances, même des effets oestrogènes qui restent quand même présentes. Mais voilà, pour la pilule, ça peut être un sujet d'un autre podcast, de tout ce que va enjamber la pilule, les carences qu'elle peut enjamber. des pansements qu'elle peut faire sur certains troubles, souvent la pilule, et donner à des femmes pour mettre des pansements sur des problématiques, mais pas que des problématiques, ça peut être un sujet, ça peut être l'idée d'un autre podcast, si on voit qu'il y a beaucoup d'engouement par rapport à ce sujet de la pilule, parce qu'il y a plein d'impacts négatifs, aussi pour la femme. Et comme tu l'as dit, effectivement, quand on prend une pilule, il n'y a pas de cycle. En fait, les saignements que vous pouvez avoir, c'est des saignements de privation hormonale. Mais en aucun cas, ce sont des saignements liés à un cycle normal. Donc ça, c'est super important de mentionner ça. Et comme tu l'as dit, effectivement, une femme qui prend une pilule, elle ne va pas forcément se refléter dans tout ce que j'ai pu expliquer, de ressenti qu'on peut avoir.
- Speaker #0
Et du coup, par rapport aussi aux fonctions protectrices du cycle menstruel, la pilule va même impacter ça aussi. Donc, peut-être que ce podcast sèmera une petite graine chez certaines d'entre vous pour éventuellement arrêter la pilule. Et j'en profite aussi pour dire que le stérilet hormonal, c'est également quelque chose d'un peu... artificielle donc voilà si vous avez la possibilité d'arrêter les hormones je pense que ça ne sera que mieux vous pouvez aussi vous faire accompagner pour ça et je pense qu'il ya pas mal de filles aussi qui vont se reconnaître dans tout ce qu'on a dit déjà par de par le fait qu'elles ont un cycle naturel mais aussi de par le fait qu'elles ont comme moi ça a été mon cas et la pilule pendant des années puis arrêter la pilule et découvert tout ça, découvert toute cette vie en fait, toutes ces variations, toutes ces fluctuations, sans pouvoir les expliquer pendant des années, parce qu'elles n'étaient pas forcément au courant. Donc pour conclure, n'oubliez pas que chacune est unique, comme disait Thiago, il y a la théorie et puis il y a la réalité, on n'a pas tout un cycle de 28 jours, on n'a pas tout le pic d'ovulation au 14ème jour, on n'a pas tout le pic de LH au 21ème, enfin voilà, ou je ne sais pas quel jour est-ce. de Project Lerone au 21ème. Donc voilà, il faut garder à l'esprit que le cycle mensuel réagit énormément de choses chez la femme, qui vont se refléter sur son quotidien, sur sa vie, sur sa performance, sur son humeur, sur la façon dont elle se perçoit, sur ses interactions, et que vous avez tout à gagner à apprendre à vivre et à évoluer autour de votre cycle, en apprenant, comme disait Thiago, à le connaître un maximum, en apprenant à vous connaître. à déceler dans quelle phase du cycle vous vous trouvez, ça vous permettra aussi d'être parfois un peu plus compatissante envers vous même parce que moi des fois j'ai certaines clientes qui me disent voilà c'est bon j'ai eu trop la flemme je suis allée à la salle j'avais des perfs pourris je me suis sentie minable je suis rentrée chez moi j'étais dégoûtée je me sentais grosse je me sentais dégueulasse voilà ça permet aussi de déculpabiliser de décompresser et de prendre du recul vis-à-vis de ça donc voilà on ne peut que vous conseiller de vous de vous intéresser de près à votre cycle. Et comme disait Thiago, si vous avez envie qu'on évoque plus tard, que ce soit Thiago tout seul en vous parlant de la pilule, ou avec soit moi, soit éventuellement peut-être une intervenante qui aurait arrêté la pilule et qui a envie d'en parler aussi, n'hésitez pas à nous faire un maximum de retours. Pareil, si vous avez des questions, n'hésitez pas à venir nous les poser sur le Instagram de la team ou sur nos Instagram respectifs. Je pense que toutes les questions un peu techniques concerneront Thiago parce que c'est son domaine d'expertise. On attend vos retours avec hâte en espérant que ça vous... ça vous aide à y voir plus clair, que ça vous donne envie de vous intéresser de plus près à votre cycle et que ça donne aussi quelques réponses à des coachs qui coachent des femmes. Parce qu'au début du podcast, j'ai parlé d'athlètes, mais je voulais dire des femmes en fait, des femmes qui font coacher, des femmes qui font du sport, des femmes qui font attention à leur alimentation. Et éventuellement, si vous voulez aussi qu'on discute peut-être plus tard de l'alimentation autour du cycle justement, car on a touché quelques mots au début du podcast, mais ça peut être aussi intéressant de... de s'y pencher de plus près. Donc voilà, n'hésitez pas à nous dire et puis on espère que ça vous aura plu.
- Speaker #1
Nous, on a eu en tout cas beaucoup de plaisir d'en parler ensemble et je pense que c'est un sujet qui était super important d'évoquer en podcast parce que c'est vrai que ce ne sont pas des sujets qu'on trouve communément et je pense que pour toutes les femmes et même moi, parce qu'il y a aussi des préparateurs dans la loupe, je pense que comprendre le cycle féminin d'un point de vue préparateur ou... d'athlète, c'est important, c'est super important, c'est ce qui va driver beaucoup de votre perception future, de mieux comprendre, quand vous agissez de la sorte, donc voilà, ça permet de mieux comprendre aussi peut-être votre campagne, des fois, pour nous les hommes, ça peut être un avantage de comprendre le psychologisme par rapport à ça, parce qu'effectivement il y a un rationnel derrière tout ça, et pas toutes les femmes, voilà. Ma femme, elle est spéciale, elle est comme ça. Il y a quand même une certaine femme, on va dire, que je suis une de toutes les femmes qui sont bien réglées. Et c'est important de le connaître. Donc voilà, en tout cas, c'était un plaisir d'en parler, de se souvenir. Je pense que ça va vous apporter plein d'éléments. Et comme l'a dit Féline, n'hésitez pas à poser vos questions. Pour les choses plus techniques, je peux y répondre sans souci. Donc n'hésitez surtout pas.
- Speaker #0
Merci beaucoup à toi, c'était hyper intéressant. Moi, j'ai appris encore plein de choses et ça me donne encore plus envie d'en savoir dessus. J'espère que ça aura éveillé aussi quelque chose chez vous, les filles et les mecs qui veulent un peu mieux comprendre. N'oubliez pas que le corps est bien fait. Donc, si il y a toutes ces phases du cycle menstruel, ce n'est pas pour rien. Écoutez, très bonne journée à toutes et à tous. On se retrouve pour un prochain podcast. En attendant, n'hésitez pas à nous faire vos retours sur celui-là, à venir nous poser vos questions.