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Amanaska Bali Le Podcast

25- Les volcans indonésiens : comprendre leur force, respecter leur esprit

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20min |21/07/2025
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Description

L’Indonésie abrite plus de 120 volcans actifs, faisant de l’archipel le cœur brûlant de la ceinture de feu du Pacifique. Dans cet épisode, on vous emmène à la rencontre de ces géants de lave : leur origine, leurs types d’éruptions, les bénéfices qu’ils offrent… mais aussi la manière dont les peuples les vénèrent, les craignent, et les intègrent à leur vie spirituelle.

Des rizières fertiles aux cérémonies sacrées, entre grondements et offrandes, découvrez pourquoi les volcans indonésiens sont bien plus que des montagnes — ce sont des temples vivants, où la nature et le sacré se rencontrent.

Amanaska Bali est le podcast voyage en famille qui vous permet de préparer une organisation de voyage à bali qui vous ressemble.

Vous avez envie de partir à bali et vous avez besoin de conseils de voyage bali, des informations pratiques sur bali ou de partager des expériences à bali, pour une découverte de bali authentique. Partir en voyage en famille à Bali pour découvrir bali et ses îles, Amanaska vous propose de préparer son voyage à bali et  un accompagnement à bali à travers des histoires, des anecdotes, des conseils voyage car nous vivons là où vous avez envie de partir à la découverte de bali.

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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur le podcast d'Amanaska, le premier compagnon de voyage à vous proposer de découvrir Bali et les îles indonésiennes tout en partageant avec vous des conseils, des informations pratiques, de l'actualité pour préparer votre voyage et le vivre autrement. A travers nos expériences, nos coups de cœur, les histoires d'hommes et de femmes inspirants, nous allons vous raconter ce pays que nous aimons, où nous vivons, vous faire découvrir des traditions millénaires,

  • Speaker #1

    des cultures ancestrales et un quotidien que nous partageons avec le peuple qui vit sur l'île au mieux le temps en prise.

  • Speaker #2

    Bienvenue sur le podcast d'Amanaska Bali. Je vous rappelle que si vous le souhaitez, nous pouvons écrire pour vous des programmes, nous pouvons vous accompagner dans cette grande aventure que peut être la découverte de Bali et les îles indonésiennes. Il suffit d'aller sur notre site internet, de nous rejoindre sur Facebook, de faire votre demande et nous serons là pour vous accompagner dans cette découverte. Et aujourd'hui, une découverte un peu particulière. Vous savez sans doute qu'il y a beaucoup de volcans à Bali et nous allons parler des volcans. Alors c'est un sujet quand même qui est très précis, mais qui peut éventuellement vous intéresser. En tout cas, on avait envie de vous en parler, voilà, de ces volcans indonésiens. Et pour cela, on va d'abord aborder les volcans en général. Vous allez devenir spécialiste des volcans, c'est moi qui vous le dis. Vous allez voir, c'est particulier comme podcast. On y va Allez, c'est parti. Les volcans indonésiens. Donc l'archipel indonésien se compose de plus de 17 000 îles qui sont réparties sur un territoire équivalent à la partie continentale des États-Unis. Vous voyez, voilà. Ce pays, de par sa position sur le globe terrestre, enregistre la plus forte densité des volcans actifs sur la Terre. C'est donc la raison pour laquelle nous vous en parlons aujourd'hui. Au nombre de 147, il y a 147 volcans, dont 129 actifs. La majorité des volcans indonésiens se situent sur plus de 3000 km, qui représentent l'arc volcanique de la sonde. Il est donc légitime de considérer que l'Indonésie détient le record du nombre de volcans dans le monde. Pour apprécier... mesurer la puissance de la Terre, faire un bond dans le passé ou assister à des spectacles exceptionnels, il faut d'abord comprendre le volcan, écouter son histoire. Il est légitime d'avoir une certaine appréhension face à ces colloques de lave et de pierre, dont les coulées pour certaines finissent parfois dans l'océan, comme à Ahmed, sur Bali. Pour créer un véritable écosystème sous l'eau, pour voir la lave avec des coraux, avec des poissons multicolores, ça en fait partie, effectivement, cette lave. de l'écosystème. Alors avant de vous présenter les plus célèbres, qui seront d'ailleurs proposés dans différents podcasts, différents épisodes de podcasts, nous allons revenir sur l'origine du volcan et après nous rentrerons dans les détails de chaque volcan. Pas forcément sur ce podcast là, mais sur les podcasts qui vont arriver par la suite. J'espère que j'ai été clair. Donc l'origine des volcans en général. La naissance d'un volcan vient d'une fusion de roches au cœur de la Terre qui conduit à une formation d'un liquide qui s'appelle le magma. Quand celui-ci atteint la surface, soit il se refroidit, donnant naissance à des roches volcaniques, soit, sous la pression, devient alors de la lave. Si le magma reste sous la Terre, on l'appelle alors de la roche plutonique. Bon, c'est un petit détail. Et donc ça crée une éruption volcanique. Pendant cette éruption, le volcan expulse donc de la lave liquide à une température entre 700°C et 1200°C. De quoi faire des bonnes merguez, mais aussi de la matière solide. La masse visqueuse et les matériaux fusionnent, créant ainsi des édifices monumentaux, donnant au fil du temps la forme du volcan que nous connaissons, en perpétuelle transformation suivant l'activité de celui-ci. Les volcans éteints, comme en France, vous savez, par exemple en Auvergne, témoignent d'une activité volcanique très ancienne. On continue. On peut distinguer deux formes d'éruptions volcaniques, les effusives et les explosives. Les éruptions effusives ou laviques, donc il y a deux types de lave effusive, les premières coulent le long du flanc des volcans, on a vu ça à la télé ou peut-être vous l'avez vécu en direct, donc ça sort du long du flanc des volcans et ça s'étend très rapidement pour recouvrir plusieurs dizaines de kilomètres, puis ça ralentit. Les secondes sont en un trajet plus court, elles restent souvent dans des réseaux de tunnels et parfois s'agglutinent dans le cratère des volcans lui-même pour former une lave. Donc le premier... ils se diffusent et s'étendent sur plusieurs kilomètres et les autres restent au cœur ou à proximité du volcan. Nous avons une deuxième forme d'éruption volcanique, c'est l'éruption volcanique explosive. Alors là, c'est une autre limonade. Elles font partie des catastrophes naturelles, à la fois les plus spectaculaires, mais aussi les plus dangereuses. Elles se caractérisent par la projection de lave fragmentée et de matériaux solides appelés tephras dans l'atmosphère. Elles se produisent quand la pression dans la chambre magmatique est trop intense et se traduit par l'expulsion brutale de magma et de roches en fusion à 350 mètres par seconde. Ok C'est pas trop... On est dans les volcans, là. Le panache volcanique peut aller jusqu'à 50 km d'altitude et les nuées ardentes sortent d'aérosols volcaniques portés à des températures extrêmes composées de gaz, de cendres et de roches. pouvant carrément atteindre la taille d'une maison, sont capables d'atteindre une vingtaine de kilomètres. Il y a différents types, pour nous, pour avoir les mots, pour les sortir dans une soirée, il y a différents types de volcaniques explosifs, il y a le strombolien, le vulcanien, le plinien, le péléen et le surtessien. Bon, ça, on peut l'oublier rapidement, ce n'est pas forcément ce qui nous intéresse le plus. On ne retient souvent que la partie sensationnelle. Je ne sais pas si vous entendez le chien derrière moi. qui est en train de face à un gecko, c'est un gros lézard, il est en train d'aboyer pour lui faire peur, je pense pas qu'il le mange mais en tout cas pour lui faire peur. Ça c'est ce que nous avons à Bali, nous avons beaucoup de lézards qui mesurent environ 20-25 cm, qui sont assez gros et qui font des bruits particuliers. On en parlera, tiens, dans un autre épisode de Manasca Bali. Donc on est toujours sur les volcans, on ne retient souvent que la partie sensationnelle, voire destructive des volcans. à savoir les éruptions. Pourtant, ces géants intemporels, très souvent vénérés par la population locale, sont sources de vie et offrent de nombreux bienfaits pour l'homme. Dans le monde, c'est en effet plus de 300 millions de personnes qui habitent au flanc des volcans, profitant ainsi directement des ressources naturelles que celui-ci propose. La terre volcanique, par exemple, composée de cendres nutritives, est très fertile. Et c'est ainsi que les locaux peuvent faire pousser du riz, en Indonésie bien sûr, des légumes, des tomates, par exemple au Canary, du café. à Hawaï, de la vigne en Italie et à Lanzarote, où j'ai pu visiter sur des roches volcaniques des vignes poussées directement sur la roche volcanique. Ça fait du très bon vin. À travers une agriculture facilitée par une terre nourricière. Dans la préhistoire, la roche volcanique l'obstidienne permettait de tailler des outils tranchants. Dans le temps, on retrouve même cette roche dans la fabrication de matériaux de construction pour les bâtiments, les routes, les temples. Quand l'eau s'infiltre à travers la terre, pour rejoindre le magma, elle se réchauffe et rejaillit en geyser, ou sous la forme de sources d'eau chaude, permettant par exemple à l'Islande d'exploiter la géothermie et de chauffer des milliers d'habitations et de produire de l'électricité. Donc on voit bien que d'un côté, oui, le volcan est impressionnant, oui, il peut faire beaucoup de dégâts, mais il apporte aussi beaucoup à l'homme à travers sa terre et à travers son pouvoir thermique. Si les redoutables volcans ont leur caractère, ils font donc partie d'un écosystème. La possibilité de pouvoir les découvrir, de les gravir, nous rappelle la place de l'homme dans la nature et l'intemporalité de ces géants de pierre. Ils sont sans doute là pour nous rappeler que tout est impermanent, c'est qu'il faut parfois accepter la violence d'une tragédie, d'être tout simplement plus humble pour voir naître et grandir une meilleure version de nous-mêmes. Ça fait un petit peu de développement personnel, je vous l'accorde, mais c'est ce que peut nous faire... nous apporter, nous faire réfléchir par rapport aux volcans. En découvrant les volcans intonésiens, nous abordons également l'identité religieuse et spirituelle de chacun, la culture qui l'entoure. En effet, si nous avons besoin de comprendre de façon pragmatique, on vient de le voir, la forme d'un volcan, sa puissance, sa hauteur, les difficultés pour atteindre le sommet, les peuples qui vivent dans la région voient en eux le témoignage d'une ou plusieurs forces divines qui sont indissociables du volcan lui-même. N'oublions pas que pour chaque histoire racontée, une grande partie vient de la transmission orale, qui a souvent pour origine une véritable expérience et des bases historiques. Et ça, on va le voir dans les prochains épisodes. On va parler du Moagoon, par exemple, du Merapi, de volcans particuliers. Il va y avoir derrière, effectivement, des légendes, des histoires qui se transmettent de père en fils, de mère en fille, et de génération en génération. Au fil du temps, certains passages seront adaptés. Certaines histoires sont adaptées en fonction des circonstances pour transmettre des leçons de vie, servir d'exemple. Le passage du temps n'effaçant rien les premiers pas de l'homme et sa rencontre avec ces géants de l'âve, leur incroyable source de pouvoir, et qu'elle soit positive ou négative. Eh bien, elles existent, ces histoires, pour nous raconter l'histoire du volcan en particulier, comme le Kawaïdjien ou comme le Montbatour. De nos jours, les cérémonies, incantations et sacrifices sont toujours d'actualité. Et il est impossible de ne pas prendre en compte les croyances des peuples de la région ou de l'île en vous présentant les volcans d'Indonésie, comme on va les voir dans les prochains épisodes. Nos conseils, nos conseils, nos conseils pour l'ascension des volcans, et non pas l'association, l'ascension des volcans indonésiens. Alors on a toujours l'impression qu'on peut le faire, que c'est facile, qu'on peut le gravir facilement, qu'on peut peut-être même voir des volcans en activité, ati-ati, comme on dit en indonésien, donc attention. Pour la grande majorité des volcans, pour ne pas dire tous, l'ascension se prépare d'abord en amont, avec une bonne condition physique, mais aussi une bonne appréhension du terrain qui vous attend. Ça comprend la température, le brouillard et la topologie spécifique aux volcans. En règle générale, la personne la moins expérimentée va donner le rythme au reste du groupe. Si elle s'arrête tous les 5 mètres, les autres compagnons vont certainement s'arrêter pour l'attendre. Il vaut mieux quand même. On ne va pas l'oublier, on ne va pas l'abandonner. Cela va faire culpabiliser la première personne qui vous dira alors, certainement avec un léger trémor dans la voix, Non, laissez-moi mourir ici Et pour ceux qui ont plus en forme et qui commencent à ressentir un agacement, ça peut rapidement se transformer en Ok, ben, tu sais quoi, meurs ici Donc, afin d'éviter les abandons intempestifs et la sortie de vieux dossiers, A la fin de cette expérience, qui aurait pu être inoubliable, organisez-vous dès le départ afin que chacun puisse monter suivant ses capacités, sans faire culpabiliser les autres. C'est un peu comme la pressie de la montagne aussi, comme vous faites le Mont Blanc par exemple, évitez de faire culpabiliser les autres, mais en sachant que personne ne pourra rester seul, jamais. Constituez des binômes et même en famille, constituez là aussi des couples pour être sûr que chacun a son binôme. Si vous souhaitez aller plus vite, plus haut et courir au lieu de marcher, prévenez le groupe et en aucun cas ne le faites seul. Aucun cas ne le faites seul. Si personne ne peut ou ne veut vous accompagner, restez systématiquement à la vue des autres. Avant de partir, prenez le temps de faire de grandes balles en famille ou avec vos compagnons de voyage et de vous entraîner sur les pentes plus ou moins grandes. Cela vous permet de vous habituer à évoluer ensemble, de connaître les limites de chacun et d'anticiper le matériel dont vous aurez besoin. Les sentiers et chemins pour gravir les volcans sont tous différents. Certaines parties peuvent demander des efforts particuliers. Habituez-vous à différents terrains. La forêt, c'est bien, les carrières avec des montées et des descentes sur les terres rocailleuses, c'est aussi une autre possibilité. Vous avez peut-être des carrières autour de chez vous, n'hésitez pas à y aller. Si vous êtes un véritable chamois et que vous n'avez pas le vertige, et que gravir des rochers ne vous fait pas peur, partagez votre expérience avec vos compagnons de voyage au lieu de passer pour le professionnel de l'équipe. Ce qui n'apportera rien à l'ensemble de l'équipe. Plus ils seront préparés, et psychologiquement aussi, donc physiquement et psychologiquement, moins ils rentreront le groupe, et c'était votre souhait, car il aura acquis les fondamentaux grâce à vous. Alors qu'est-ce qu'on dit Avec ou sans guide Dans de nombreux forums de voyage ou des blogs, on peut lire que certains volcans peuvent être réalisés sans guide. Il est très important pour nous de bien faire la différence entre un guide qui va vous faire visiter la cathédrale Notre-Dame de Paris, et un guide qui va encadrer l'ascension d'un volcan indonésien. Oui, il est possible de gravir le mont Batur, volcan à Bali, seul, en tongs, comme le font certains locaux qui vivent sur place. Comme pour le reste du voyage, il est possible de faire moins cher, plus vite, sans passer par les intermédiaires. Attention, ce n'est pas ce qu'on vous conseille, de le faire en tongs, parce que c'est sans compter sur la dangerosité que pourrait monter un volcan en activité, car ils sont en activité. au risque éventuel, si vous vous trouvez dans une situation délicate, et aux négociations sans fin que vous allez devoir entamer avant de pouvoir faire l'ascension. Sans avoir véritablement l'assurance d'avoir bien saisi ce que, si vous avez compris, et si ce n'est pas le cas, on ne part tout simplement pas ici de la partie pécuniaire. Mais il faut savoir quand même, quand vous faites un volcan, que ce soit le Mont Batour, le Moagoun, mais ça on va en parler dans un épisode spécifique. En bas, il y a des guides qui vont être là pour vous accompagner. Il va falloir parler avec eux, négocier avec eux. Si vous ne parlez pas l'indonésia, ça va être un petit peu compliqué. Et surtout, vous n'avez pas le droit de monter seul sur un volcan, même si des balinés, eux, le font en tongs et en sarongs. Vous devez automatiquement avoir un guide avec vous. Une différence fondamentale entre un guide professionnel et un guide local, puisqu'il y a d'un côté des guides professionnels et de l'autre côté des guides locaux qui habitent sur place, C'est aussi pour X raisons l'ascension n'est pas possible. Le guide professionnel qui travaille avec une agence comme Amalaska vous déconseillera, voire annulera celle-ci. Vous arrivez en bas d'un volcan, il y a trop de brouillard, ça glisse, c'est dangereux. Là aussi, je vous encourage à écouter le... L'épisode sur le Mont Agoun, le guide professionnel vous dira non, on ne va pas le faire. Il n'hésitera pas, il n'aura pas peur de vous dire non, on ne va pas le faire, ça ne va pas être possible, c'est effectivement trop dangereux. Contrairement à un guide de la région qui, lui, travaille sur place et vous fera monter coûte que coûte à vos risques et périls, car son salaire est engagé, et ce qui peut éventuellement se comprendre, et c'est le cas sur beaucoup d'activités. Donc lui, du moment qu'il monte et qu'il gagne l'argent, c'est un business, c'est normal, c'est son métier, il ne prendra pas en compte votre sécurité. Donc nous vous conseillons de bien choisir votre guide et par là même l'agence avec laquelle vous allez partir découvrir les volcans. On va se dire qu'on préférera Manaska, ça fait un petit moment qu'on écoute les podcasts maintenant. Ce guide doit vous connaître, parler votre langue ou au minimum l'anglais, à condition que vous parliez vous-même anglais. Celui-ci doit être un professionnel, il doit avoir une carte professionnelle, connaître le volcan et être accompagné par un guide de la région. Ah oui, parce que... ces deux guides n'ont pas la même fonction le premier connaît l'encadrement d'un groupe occidental c'est le guide professionnel il veille à votre confort et à votre sécurité il est en relation avec l'agence donc avec un manaska qui a organisé votre voyage afin de parer à toute éventualité oui, si vous avez un claquage si vous pétez la cheville, il va falloir vous ramener donc là, effectivement vous avez besoin de quelqu'un qui soit présent même si vous avez la condition physique le second, donc le guide local lui est un spécialiste de la réconciliation région attention ce n'est pas un vulcanologue connaît la région il connaît les chemins il évite en règle générale ceux qui sont impraticables anticipent la météo on vient de le voir il préfère quand même faire la montée dans les conditions extrêmes parfois parce que il a besoin de ramener de l'argent il va vous montrer des animaux ou des végétaux particuliers et vous aider à grimper si vous en ressentez besoin vous voyez bien que vous allez avoir besoin de deux guides un guide professionnel et un guide local Je tiens à préciser, avant d'arriver au pied de ce volcan, que chaque volcan a ses spécificités. Le Moagou ne se grimpe pas de la même façon que le Mérapi, par exemple. Ça demande une condition physique particulière. Ils ont tous leurs spécificités, donc ne pensez pas qu'un volcan envoie un autre. Chacun a des particularités qu'il va falloir prendre en compte. Nous voici arrivés au pied du volcan ou des volcans. Sur place, prenez le temps de vous échauffer. Reproduisez les gestes que vous allez déjà réaliser quand vous avez... était à l'entraînement en France, en Suisse, en Belgique, je ne sais où. Ça va vous rassurer et ça rassurera surtout les plus anxieux. Profitez-en pour rappeler les règles de sécurité. Vous ne connaissez pas le terrain, alors restons prudents. Personne ne court, surtout à la descente. Si vous êtes fatigué, reposez-vous, ce n'est pas une compétition. Si vous ne vous sentez pas bien, dites-le. On va alors décider ensemble si on arrête et si on redescend. Restez aimable et courtois avec les locaux, mais aussi avec les autres grimpeurs. Un petit clin d'œil, un bonjour. Comme on dit, ça ne mange pas de pain et c'est toujours agréable. On ne jette rien. Que ce soit recyclable ou pas, le moindre bout de papier va dans un sac prévu à cet effet. Et c'est une vraie lutte sur les volcans, parce qu'on peut retrouver parfois des endroits pollués parce que des locaux ou des grimpeurs n'ont pas respecté cela. On écoute le guide local, mais on juge également par nous-mêmes de la pertinence de ses recommandations. Ce n'est pas parce qu'il vous dit de sauter qu'il faut automatiquement le faire. À moins bien sûr qu'il en aille de votre survie. Merci. Mais sinon, on pèse le pour et le contre. On ne jette pas de pierre, ni même un caillou, parce qu'il peut y avoir des gens qui n'habitent pas loin. Et cela peut provoquer un éboulement. Voilà, on a vu dans les grandes règles, on a vu d'abord les volcans, ce que c'était. Alors là, vous êtes devenu spécialiste. Là, pour le coup, vous êtes pratiquement volcanologue. Et puis ensuite, derrière, on a vu comment se comporter par rapport à l'ascension d'un volcan, comment se préparer. Et puis, on a vu également l'encadrement avec un guide professionnel, un guide local. On a vu également comment être... se préparer au pied du volcan. Parfois, c'est très tôt le matin, 3h, 4h du matin, que tous les volcans ne se valent pas en termes de dangerosité, en termes de difficulté à faire l'ascension. Donc, soyez très prudents. Bien sûr, à Madagascar, notre agence vous indiquera la difficulté pour monter ce volcan. Et puis, nous allons voir au fur et à mesure différents volcans, différents volcans avec aussi, bien sûr, leur culture, ce que ça représente, les traditions qu'il peut y avoir par rapport à la tradition. rapport à un volcan en particulier, parce que derrière, il y a beaucoup d'histoires à raconter sur ces volcans indonésiens. Merci de nous avoir écoutés. N'hésitez pas à nous contacter. sur notre site internet amalaska-bali.com à nous poser des questions, à rentrer en contact avec nous si vous souhaitez découvrir l'ensemble des volcans mais aussi qu'on vous écrive un programme parce que nous sommes là pour vous accompagner tout le long de notre découverte de Bali et de l'Indonésie et nous nous retrouvons très bientôt pour un nouvel épisode d'Amalaska Bali

Description

L’Indonésie abrite plus de 120 volcans actifs, faisant de l’archipel le cœur brûlant de la ceinture de feu du Pacifique. Dans cet épisode, on vous emmène à la rencontre de ces géants de lave : leur origine, leurs types d’éruptions, les bénéfices qu’ils offrent… mais aussi la manière dont les peuples les vénèrent, les craignent, et les intègrent à leur vie spirituelle.

Des rizières fertiles aux cérémonies sacrées, entre grondements et offrandes, découvrez pourquoi les volcans indonésiens sont bien plus que des montagnes — ce sont des temples vivants, où la nature et le sacré se rencontrent.

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Vous avez envie de partir à bali et vous avez besoin de conseils de voyage bali, des informations pratiques sur bali ou de partager des expériences à bali, pour une découverte de bali authentique. Partir en voyage en famille à Bali pour découvrir bali et ses îles, Amanaska vous propose de préparer son voyage à bali et  un accompagnement à bali à travers des histoires, des anecdotes, des conseils voyage car nous vivons là où vous avez envie de partir à la découverte de bali.

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  • Speaker #0

    Bienvenue sur le podcast d'Amanaska, le premier compagnon de voyage à vous proposer de découvrir Bali et les îles indonésiennes tout en partageant avec vous des conseils, des informations pratiques, de l'actualité pour préparer votre voyage et le vivre autrement. A travers nos expériences, nos coups de cœur, les histoires d'hommes et de femmes inspirants, nous allons vous raconter ce pays que nous aimons, où nous vivons, vous faire découvrir des traditions millénaires,

  • Speaker #1

    des cultures ancestrales et un quotidien que nous partageons avec le peuple qui vit sur l'île au mieux le temps en prise.

  • Speaker #2

    Bienvenue sur le podcast d'Amanaska Bali. Je vous rappelle que si vous le souhaitez, nous pouvons écrire pour vous des programmes, nous pouvons vous accompagner dans cette grande aventure que peut être la découverte de Bali et les îles indonésiennes. Il suffit d'aller sur notre site internet, de nous rejoindre sur Facebook, de faire votre demande et nous serons là pour vous accompagner dans cette découverte. Et aujourd'hui, une découverte un peu particulière. Vous savez sans doute qu'il y a beaucoup de volcans à Bali et nous allons parler des volcans. Alors c'est un sujet quand même qui est très précis, mais qui peut éventuellement vous intéresser. En tout cas, on avait envie de vous en parler, voilà, de ces volcans indonésiens. Et pour cela, on va d'abord aborder les volcans en général. Vous allez devenir spécialiste des volcans, c'est moi qui vous le dis. Vous allez voir, c'est particulier comme podcast. On y va Allez, c'est parti. Les volcans indonésiens. Donc l'archipel indonésien se compose de plus de 17 000 îles qui sont réparties sur un territoire équivalent à la partie continentale des États-Unis. Vous voyez, voilà. Ce pays, de par sa position sur le globe terrestre, enregistre la plus forte densité des volcans actifs sur la Terre. C'est donc la raison pour laquelle nous vous en parlons aujourd'hui. Au nombre de 147, il y a 147 volcans, dont 129 actifs. La majorité des volcans indonésiens se situent sur plus de 3000 km, qui représentent l'arc volcanique de la sonde. Il est donc légitime de considérer que l'Indonésie détient le record du nombre de volcans dans le monde. Pour apprécier... mesurer la puissance de la Terre, faire un bond dans le passé ou assister à des spectacles exceptionnels, il faut d'abord comprendre le volcan, écouter son histoire. Il est légitime d'avoir une certaine appréhension face à ces colloques de lave et de pierre, dont les coulées pour certaines finissent parfois dans l'océan, comme à Ahmed, sur Bali. Pour créer un véritable écosystème sous l'eau, pour voir la lave avec des coraux, avec des poissons multicolores, ça en fait partie, effectivement, cette lave. de l'écosystème. Alors avant de vous présenter les plus célèbres, qui seront d'ailleurs proposés dans différents podcasts, différents épisodes de podcasts, nous allons revenir sur l'origine du volcan et après nous rentrerons dans les détails de chaque volcan. Pas forcément sur ce podcast là, mais sur les podcasts qui vont arriver par la suite. J'espère que j'ai été clair. Donc l'origine des volcans en général. La naissance d'un volcan vient d'une fusion de roches au cœur de la Terre qui conduit à une formation d'un liquide qui s'appelle le magma. Quand celui-ci atteint la surface, soit il se refroidit, donnant naissance à des roches volcaniques, soit, sous la pression, devient alors de la lave. Si le magma reste sous la Terre, on l'appelle alors de la roche plutonique. Bon, c'est un petit détail. Et donc ça crée une éruption volcanique. Pendant cette éruption, le volcan expulse donc de la lave liquide à une température entre 700°C et 1200°C. De quoi faire des bonnes merguez, mais aussi de la matière solide. La masse visqueuse et les matériaux fusionnent, créant ainsi des édifices monumentaux, donnant au fil du temps la forme du volcan que nous connaissons, en perpétuelle transformation suivant l'activité de celui-ci. Les volcans éteints, comme en France, vous savez, par exemple en Auvergne, témoignent d'une activité volcanique très ancienne. On continue. On peut distinguer deux formes d'éruptions volcaniques, les effusives et les explosives. Les éruptions effusives ou laviques, donc il y a deux types de lave effusive, les premières coulent le long du flanc des volcans, on a vu ça à la télé ou peut-être vous l'avez vécu en direct, donc ça sort du long du flanc des volcans et ça s'étend très rapidement pour recouvrir plusieurs dizaines de kilomètres, puis ça ralentit. Les secondes sont en un trajet plus court, elles restent souvent dans des réseaux de tunnels et parfois s'agglutinent dans le cratère des volcans lui-même pour former une lave. Donc le premier... ils se diffusent et s'étendent sur plusieurs kilomètres et les autres restent au cœur ou à proximité du volcan. Nous avons une deuxième forme d'éruption volcanique, c'est l'éruption volcanique explosive. Alors là, c'est une autre limonade. Elles font partie des catastrophes naturelles, à la fois les plus spectaculaires, mais aussi les plus dangereuses. Elles se caractérisent par la projection de lave fragmentée et de matériaux solides appelés tephras dans l'atmosphère. Elles se produisent quand la pression dans la chambre magmatique est trop intense et se traduit par l'expulsion brutale de magma et de roches en fusion à 350 mètres par seconde. Ok C'est pas trop... On est dans les volcans, là. Le panache volcanique peut aller jusqu'à 50 km d'altitude et les nuées ardentes sortent d'aérosols volcaniques portés à des températures extrêmes composées de gaz, de cendres et de roches. pouvant carrément atteindre la taille d'une maison, sont capables d'atteindre une vingtaine de kilomètres. Il y a différents types, pour nous, pour avoir les mots, pour les sortir dans une soirée, il y a différents types de volcaniques explosifs, il y a le strombolien, le vulcanien, le plinien, le péléen et le surtessien. Bon, ça, on peut l'oublier rapidement, ce n'est pas forcément ce qui nous intéresse le plus. On ne retient souvent que la partie sensationnelle. Je ne sais pas si vous entendez le chien derrière moi. qui est en train de face à un gecko, c'est un gros lézard, il est en train d'aboyer pour lui faire peur, je pense pas qu'il le mange mais en tout cas pour lui faire peur. Ça c'est ce que nous avons à Bali, nous avons beaucoup de lézards qui mesurent environ 20-25 cm, qui sont assez gros et qui font des bruits particuliers. On en parlera, tiens, dans un autre épisode de Manasca Bali. Donc on est toujours sur les volcans, on ne retient souvent que la partie sensationnelle, voire destructive des volcans. à savoir les éruptions. Pourtant, ces géants intemporels, très souvent vénérés par la population locale, sont sources de vie et offrent de nombreux bienfaits pour l'homme. Dans le monde, c'est en effet plus de 300 millions de personnes qui habitent au flanc des volcans, profitant ainsi directement des ressources naturelles que celui-ci propose. La terre volcanique, par exemple, composée de cendres nutritives, est très fertile. Et c'est ainsi que les locaux peuvent faire pousser du riz, en Indonésie bien sûr, des légumes, des tomates, par exemple au Canary, du café. à Hawaï, de la vigne en Italie et à Lanzarote, où j'ai pu visiter sur des roches volcaniques des vignes poussées directement sur la roche volcanique. Ça fait du très bon vin. À travers une agriculture facilitée par une terre nourricière. Dans la préhistoire, la roche volcanique l'obstidienne permettait de tailler des outils tranchants. Dans le temps, on retrouve même cette roche dans la fabrication de matériaux de construction pour les bâtiments, les routes, les temples. Quand l'eau s'infiltre à travers la terre, pour rejoindre le magma, elle se réchauffe et rejaillit en geyser, ou sous la forme de sources d'eau chaude, permettant par exemple à l'Islande d'exploiter la géothermie et de chauffer des milliers d'habitations et de produire de l'électricité. Donc on voit bien que d'un côté, oui, le volcan est impressionnant, oui, il peut faire beaucoup de dégâts, mais il apporte aussi beaucoup à l'homme à travers sa terre et à travers son pouvoir thermique. Si les redoutables volcans ont leur caractère, ils font donc partie d'un écosystème. La possibilité de pouvoir les découvrir, de les gravir, nous rappelle la place de l'homme dans la nature et l'intemporalité de ces géants de pierre. Ils sont sans doute là pour nous rappeler que tout est impermanent, c'est qu'il faut parfois accepter la violence d'une tragédie, d'être tout simplement plus humble pour voir naître et grandir une meilleure version de nous-mêmes. Ça fait un petit peu de développement personnel, je vous l'accorde, mais c'est ce que peut nous faire... nous apporter, nous faire réfléchir par rapport aux volcans. En découvrant les volcans intonésiens, nous abordons également l'identité religieuse et spirituelle de chacun, la culture qui l'entoure. En effet, si nous avons besoin de comprendre de façon pragmatique, on vient de le voir, la forme d'un volcan, sa puissance, sa hauteur, les difficultés pour atteindre le sommet, les peuples qui vivent dans la région voient en eux le témoignage d'une ou plusieurs forces divines qui sont indissociables du volcan lui-même. N'oublions pas que pour chaque histoire racontée, une grande partie vient de la transmission orale, qui a souvent pour origine une véritable expérience et des bases historiques. Et ça, on va le voir dans les prochains épisodes. On va parler du Moagoon, par exemple, du Merapi, de volcans particuliers. Il va y avoir derrière, effectivement, des légendes, des histoires qui se transmettent de père en fils, de mère en fille, et de génération en génération. Au fil du temps, certains passages seront adaptés. Certaines histoires sont adaptées en fonction des circonstances pour transmettre des leçons de vie, servir d'exemple. Le passage du temps n'effaçant rien les premiers pas de l'homme et sa rencontre avec ces géants de l'âve, leur incroyable source de pouvoir, et qu'elle soit positive ou négative. Eh bien, elles existent, ces histoires, pour nous raconter l'histoire du volcan en particulier, comme le Kawaïdjien ou comme le Montbatour. De nos jours, les cérémonies, incantations et sacrifices sont toujours d'actualité. Et il est impossible de ne pas prendre en compte les croyances des peuples de la région ou de l'île en vous présentant les volcans d'Indonésie, comme on va les voir dans les prochains épisodes. Nos conseils, nos conseils, nos conseils pour l'ascension des volcans, et non pas l'association, l'ascension des volcans indonésiens. Alors on a toujours l'impression qu'on peut le faire, que c'est facile, qu'on peut le gravir facilement, qu'on peut peut-être même voir des volcans en activité, ati-ati, comme on dit en indonésien, donc attention. Pour la grande majorité des volcans, pour ne pas dire tous, l'ascension se prépare d'abord en amont, avec une bonne condition physique, mais aussi une bonne appréhension du terrain qui vous attend. Ça comprend la température, le brouillard et la topologie spécifique aux volcans. En règle générale, la personne la moins expérimentée va donner le rythme au reste du groupe. Si elle s'arrête tous les 5 mètres, les autres compagnons vont certainement s'arrêter pour l'attendre. Il vaut mieux quand même. On ne va pas l'oublier, on ne va pas l'abandonner. Cela va faire culpabiliser la première personne qui vous dira alors, certainement avec un léger trémor dans la voix, Non, laissez-moi mourir ici Et pour ceux qui ont plus en forme et qui commencent à ressentir un agacement, ça peut rapidement se transformer en Ok, ben, tu sais quoi, meurs ici Donc, afin d'éviter les abandons intempestifs et la sortie de vieux dossiers, A la fin de cette expérience, qui aurait pu être inoubliable, organisez-vous dès le départ afin que chacun puisse monter suivant ses capacités, sans faire culpabiliser les autres. C'est un peu comme la pressie de la montagne aussi, comme vous faites le Mont Blanc par exemple, évitez de faire culpabiliser les autres, mais en sachant que personne ne pourra rester seul, jamais. Constituez des binômes et même en famille, constituez là aussi des couples pour être sûr que chacun a son binôme. Si vous souhaitez aller plus vite, plus haut et courir au lieu de marcher, prévenez le groupe et en aucun cas ne le faites seul. Aucun cas ne le faites seul. Si personne ne peut ou ne veut vous accompagner, restez systématiquement à la vue des autres. Avant de partir, prenez le temps de faire de grandes balles en famille ou avec vos compagnons de voyage et de vous entraîner sur les pentes plus ou moins grandes. Cela vous permet de vous habituer à évoluer ensemble, de connaître les limites de chacun et d'anticiper le matériel dont vous aurez besoin. Les sentiers et chemins pour gravir les volcans sont tous différents. Certaines parties peuvent demander des efforts particuliers. Habituez-vous à différents terrains. La forêt, c'est bien, les carrières avec des montées et des descentes sur les terres rocailleuses, c'est aussi une autre possibilité. Vous avez peut-être des carrières autour de chez vous, n'hésitez pas à y aller. Si vous êtes un véritable chamois et que vous n'avez pas le vertige, et que gravir des rochers ne vous fait pas peur, partagez votre expérience avec vos compagnons de voyage au lieu de passer pour le professionnel de l'équipe. Ce qui n'apportera rien à l'ensemble de l'équipe. Plus ils seront préparés, et psychologiquement aussi, donc physiquement et psychologiquement, moins ils rentreront le groupe, et c'était votre souhait, car il aura acquis les fondamentaux grâce à vous. Alors qu'est-ce qu'on dit Avec ou sans guide Dans de nombreux forums de voyage ou des blogs, on peut lire que certains volcans peuvent être réalisés sans guide. Il est très important pour nous de bien faire la différence entre un guide qui va vous faire visiter la cathédrale Notre-Dame de Paris, et un guide qui va encadrer l'ascension d'un volcan indonésien. Oui, il est possible de gravir le mont Batur, volcan à Bali, seul, en tongs, comme le font certains locaux qui vivent sur place. Comme pour le reste du voyage, il est possible de faire moins cher, plus vite, sans passer par les intermédiaires. Attention, ce n'est pas ce qu'on vous conseille, de le faire en tongs, parce que c'est sans compter sur la dangerosité que pourrait monter un volcan en activité, car ils sont en activité. au risque éventuel, si vous vous trouvez dans une situation délicate, et aux négociations sans fin que vous allez devoir entamer avant de pouvoir faire l'ascension. Sans avoir véritablement l'assurance d'avoir bien saisi ce que, si vous avez compris, et si ce n'est pas le cas, on ne part tout simplement pas ici de la partie pécuniaire. Mais il faut savoir quand même, quand vous faites un volcan, que ce soit le Mont Batour, le Moagoun, mais ça on va en parler dans un épisode spécifique. En bas, il y a des guides qui vont être là pour vous accompagner. Il va falloir parler avec eux, négocier avec eux. Si vous ne parlez pas l'indonésia, ça va être un petit peu compliqué. Et surtout, vous n'avez pas le droit de monter seul sur un volcan, même si des balinés, eux, le font en tongs et en sarongs. Vous devez automatiquement avoir un guide avec vous. Une différence fondamentale entre un guide professionnel et un guide local, puisqu'il y a d'un côté des guides professionnels et de l'autre côté des guides locaux qui habitent sur place, C'est aussi pour X raisons l'ascension n'est pas possible. Le guide professionnel qui travaille avec une agence comme Amalaska vous déconseillera, voire annulera celle-ci. Vous arrivez en bas d'un volcan, il y a trop de brouillard, ça glisse, c'est dangereux. Là aussi, je vous encourage à écouter le... L'épisode sur le Mont Agoun, le guide professionnel vous dira non, on ne va pas le faire. Il n'hésitera pas, il n'aura pas peur de vous dire non, on ne va pas le faire, ça ne va pas être possible, c'est effectivement trop dangereux. Contrairement à un guide de la région qui, lui, travaille sur place et vous fera monter coûte que coûte à vos risques et périls, car son salaire est engagé, et ce qui peut éventuellement se comprendre, et c'est le cas sur beaucoup d'activités. Donc lui, du moment qu'il monte et qu'il gagne l'argent, c'est un business, c'est normal, c'est son métier, il ne prendra pas en compte votre sécurité. Donc nous vous conseillons de bien choisir votre guide et par là même l'agence avec laquelle vous allez partir découvrir les volcans. On va se dire qu'on préférera Manaska, ça fait un petit moment qu'on écoute les podcasts maintenant. Ce guide doit vous connaître, parler votre langue ou au minimum l'anglais, à condition que vous parliez vous-même anglais. Celui-ci doit être un professionnel, il doit avoir une carte professionnelle, connaître le volcan et être accompagné par un guide de la région. Ah oui, parce que... ces deux guides n'ont pas la même fonction le premier connaît l'encadrement d'un groupe occidental c'est le guide professionnel il veille à votre confort et à votre sécurité il est en relation avec l'agence donc avec un manaska qui a organisé votre voyage afin de parer à toute éventualité oui, si vous avez un claquage si vous pétez la cheville, il va falloir vous ramener donc là, effectivement vous avez besoin de quelqu'un qui soit présent même si vous avez la condition physique le second, donc le guide local lui est un spécialiste de la réconciliation région attention ce n'est pas un vulcanologue connaît la région il connaît les chemins il évite en règle générale ceux qui sont impraticables anticipent la météo on vient de le voir il préfère quand même faire la montée dans les conditions extrêmes parfois parce que il a besoin de ramener de l'argent il va vous montrer des animaux ou des végétaux particuliers et vous aider à grimper si vous en ressentez besoin vous voyez bien que vous allez avoir besoin de deux guides un guide professionnel et un guide local Je tiens à préciser, avant d'arriver au pied de ce volcan, que chaque volcan a ses spécificités. Le Moagou ne se grimpe pas de la même façon que le Mérapi, par exemple. Ça demande une condition physique particulière. Ils ont tous leurs spécificités, donc ne pensez pas qu'un volcan envoie un autre. Chacun a des particularités qu'il va falloir prendre en compte. Nous voici arrivés au pied du volcan ou des volcans. Sur place, prenez le temps de vous échauffer. Reproduisez les gestes que vous allez déjà réaliser quand vous avez... était à l'entraînement en France, en Suisse, en Belgique, je ne sais où. Ça va vous rassurer et ça rassurera surtout les plus anxieux. Profitez-en pour rappeler les règles de sécurité. Vous ne connaissez pas le terrain, alors restons prudents. Personne ne court, surtout à la descente. Si vous êtes fatigué, reposez-vous, ce n'est pas une compétition. Si vous ne vous sentez pas bien, dites-le. On va alors décider ensemble si on arrête et si on redescend. Restez aimable et courtois avec les locaux, mais aussi avec les autres grimpeurs. Un petit clin d'œil, un bonjour. Comme on dit, ça ne mange pas de pain et c'est toujours agréable. On ne jette rien. Que ce soit recyclable ou pas, le moindre bout de papier va dans un sac prévu à cet effet. Et c'est une vraie lutte sur les volcans, parce qu'on peut retrouver parfois des endroits pollués parce que des locaux ou des grimpeurs n'ont pas respecté cela. On écoute le guide local, mais on juge également par nous-mêmes de la pertinence de ses recommandations. Ce n'est pas parce qu'il vous dit de sauter qu'il faut automatiquement le faire. À moins bien sûr qu'il en aille de votre survie. Merci. Mais sinon, on pèse le pour et le contre. On ne jette pas de pierre, ni même un caillou, parce qu'il peut y avoir des gens qui n'habitent pas loin. Et cela peut provoquer un éboulement. Voilà, on a vu dans les grandes règles, on a vu d'abord les volcans, ce que c'était. Alors là, vous êtes devenu spécialiste. Là, pour le coup, vous êtes pratiquement volcanologue. Et puis ensuite, derrière, on a vu comment se comporter par rapport à l'ascension d'un volcan, comment se préparer. Et puis, on a vu également l'encadrement avec un guide professionnel, un guide local. On a vu également comment être... se préparer au pied du volcan. Parfois, c'est très tôt le matin, 3h, 4h du matin, que tous les volcans ne se valent pas en termes de dangerosité, en termes de difficulté à faire l'ascension. Donc, soyez très prudents. Bien sûr, à Madagascar, notre agence vous indiquera la difficulté pour monter ce volcan. Et puis, nous allons voir au fur et à mesure différents volcans, différents volcans avec aussi, bien sûr, leur culture, ce que ça représente, les traditions qu'il peut y avoir par rapport à la tradition. rapport à un volcan en particulier, parce que derrière, il y a beaucoup d'histoires à raconter sur ces volcans indonésiens. Merci de nous avoir écoutés. N'hésitez pas à nous contacter. sur notre site internet amalaska-bali.com à nous poser des questions, à rentrer en contact avec nous si vous souhaitez découvrir l'ensemble des volcans mais aussi qu'on vous écrive un programme parce que nous sommes là pour vous accompagner tout le long de notre découverte de Bali et de l'Indonésie et nous nous retrouvons très bientôt pour un nouvel épisode d'Amalaska Bali

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L’Indonésie abrite plus de 120 volcans actifs, faisant de l’archipel le cœur brûlant de la ceinture de feu du Pacifique. Dans cet épisode, on vous emmène à la rencontre de ces géants de lave : leur origine, leurs types d’éruptions, les bénéfices qu’ils offrent… mais aussi la manière dont les peuples les vénèrent, les craignent, et les intègrent à leur vie spirituelle.

Des rizières fertiles aux cérémonies sacrées, entre grondements et offrandes, découvrez pourquoi les volcans indonésiens sont bien plus que des montagnes — ce sont des temples vivants, où la nature et le sacré se rencontrent.

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  • Speaker #0

    Bienvenue sur le podcast d'Amanaska, le premier compagnon de voyage à vous proposer de découvrir Bali et les îles indonésiennes tout en partageant avec vous des conseils, des informations pratiques, de l'actualité pour préparer votre voyage et le vivre autrement. A travers nos expériences, nos coups de cœur, les histoires d'hommes et de femmes inspirants, nous allons vous raconter ce pays que nous aimons, où nous vivons, vous faire découvrir des traditions millénaires,

  • Speaker #1

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    Bienvenue sur le podcast d'Amanaska Bali. Je vous rappelle que si vous le souhaitez, nous pouvons écrire pour vous des programmes, nous pouvons vous accompagner dans cette grande aventure que peut être la découverte de Bali et les îles indonésiennes. Il suffit d'aller sur notre site internet, de nous rejoindre sur Facebook, de faire votre demande et nous serons là pour vous accompagner dans cette découverte. Et aujourd'hui, une découverte un peu particulière. Vous savez sans doute qu'il y a beaucoup de volcans à Bali et nous allons parler des volcans. Alors c'est un sujet quand même qui est très précis, mais qui peut éventuellement vous intéresser. En tout cas, on avait envie de vous en parler, voilà, de ces volcans indonésiens. Et pour cela, on va d'abord aborder les volcans en général. Vous allez devenir spécialiste des volcans, c'est moi qui vous le dis. Vous allez voir, c'est particulier comme podcast. On y va Allez, c'est parti. Les volcans indonésiens. Donc l'archipel indonésien se compose de plus de 17 000 îles qui sont réparties sur un territoire équivalent à la partie continentale des États-Unis. Vous voyez, voilà. Ce pays, de par sa position sur le globe terrestre, enregistre la plus forte densité des volcans actifs sur la Terre. C'est donc la raison pour laquelle nous vous en parlons aujourd'hui. Au nombre de 147, il y a 147 volcans, dont 129 actifs. La majorité des volcans indonésiens se situent sur plus de 3000 km, qui représentent l'arc volcanique de la sonde. Il est donc légitime de considérer que l'Indonésie détient le record du nombre de volcans dans le monde. Pour apprécier... mesurer la puissance de la Terre, faire un bond dans le passé ou assister à des spectacles exceptionnels, il faut d'abord comprendre le volcan, écouter son histoire. Il est légitime d'avoir une certaine appréhension face à ces colloques de lave et de pierre, dont les coulées pour certaines finissent parfois dans l'océan, comme à Ahmed, sur Bali. Pour créer un véritable écosystème sous l'eau, pour voir la lave avec des coraux, avec des poissons multicolores, ça en fait partie, effectivement, cette lave. de l'écosystème. Alors avant de vous présenter les plus célèbres, qui seront d'ailleurs proposés dans différents podcasts, différents épisodes de podcasts, nous allons revenir sur l'origine du volcan et après nous rentrerons dans les détails de chaque volcan. Pas forcément sur ce podcast là, mais sur les podcasts qui vont arriver par la suite. J'espère que j'ai été clair. Donc l'origine des volcans en général. La naissance d'un volcan vient d'une fusion de roches au cœur de la Terre qui conduit à une formation d'un liquide qui s'appelle le magma. Quand celui-ci atteint la surface, soit il se refroidit, donnant naissance à des roches volcaniques, soit, sous la pression, devient alors de la lave. Si le magma reste sous la Terre, on l'appelle alors de la roche plutonique. Bon, c'est un petit détail. Et donc ça crée une éruption volcanique. Pendant cette éruption, le volcan expulse donc de la lave liquide à une température entre 700°C et 1200°C. De quoi faire des bonnes merguez, mais aussi de la matière solide. La masse visqueuse et les matériaux fusionnent, créant ainsi des édifices monumentaux, donnant au fil du temps la forme du volcan que nous connaissons, en perpétuelle transformation suivant l'activité de celui-ci. Les volcans éteints, comme en France, vous savez, par exemple en Auvergne, témoignent d'une activité volcanique très ancienne. On continue. On peut distinguer deux formes d'éruptions volcaniques, les effusives et les explosives. Les éruptions effusives ou laviques, donc il y a deux types de lave effusive, les premières coulent le long du flanc des volcans, on a vu ça à la télé ou peut-être vous l'avez vécu en direct, donc ça sort du long du flanc des volcans et ça s'étend très rapidement pour recouvrir plusieurs dizaines de kilomètres, puis ça ralentit. Les secondes sont en un trajet plus court, elles restent souvent dans des réseaux de tunnels et parfois s'agglutinent dans le cratère des volcans lui-même pour former une lave. Donc le premier... ils se diffusent et s'étendent sur plusieurs kilomètres et les autres restent au cœur ou à proximité du volcan. Nous avons une deuxième forme d'éruption volcanique, c'est l'éruption volcanique explosive. Alors là, c'est une autre limonade. Elles font partie des catastrophes naturelles, à la fois les plus spectaculaires, mais aussi les plus dangereuses. Elles se caractérisent par la projection de lave fragmentée et de matériaux solides appelés tephras dans l'atmosphère. Elles se produisent quand la pression dans la chambre magmatique est trop intense et se traduit par l'expulsion brutale de magma et de roches en fusion à 350 mètres par seconde. Ok C'est pas trop... On est dans les volcans, là. Le panache volcanique peut aller jusqu'à 50 km d'altitude et les nuées ardentes sortent d'aérosols volcaniques portés à des températures extrêmes composées de gaz, de cendres et de roches. pouvant carrément atteindre la taille d'une maison, sont capables d'atteindre une vingtaine de kilomètres. Il y a différents types, pour nous, pour avoir les mots, pour les sortir dans une soirée, il y a différents types de volcaniques explosifs, il y a le strombolien, le vulcanien, le plinien, le péléen et le surtessien. Bon, ça, on peut l'oublier rapidement, ce n'est pas forcément ce qui nous intéresse le plus. On ne retient souvent que la partie sensationnelle. Je ne sais pas si vous entendez le chien derrière moi. qui est en train de face à un gecko, c'est un gros lézard, il est en train d'aboyer pour lui faire peur, je pense pas qu'il le mange mais en tout cas pour lui faire peur. Ça c'est ce que nous avons à Bali, nous avons beaucoup de lézards qui mesurent environ 20-25 cm, qui sont assez gros et qui font des bruits particuliers. On en parlera, tiens, dans un autre épisode de Manasca Bali. Donc on est toujours sur les volcans, on ne retient souvent que la partie sensationnelle, voire destructive des volcans. à savoir les éruptions. Pourtant, ces géants intemporels, très souvent vénérés par la population locale, sont sources de vie et offrent de nombreux bienfaits pour l'homme. Dans le monde, c'est en effet plus de 300 millions de personnes qui habitent au flanc des volcans, profitant ainsi directement des ressources naturelles que celui-ci propose. La terre volcanique, par exemple, composée de cendres nutritives, est très fertile. Et c'est ainsi que les locaux peuvent faire pousser du riz, en Indonésie bien sûr, des légumes, des tomates, par exemple au Canary, du café. à Hawaï, de la vigne en Italie et à Lanzarote, où j'ai pu visiter sur des roches volcaniques des vignes poussées directement sur la roche volcanique. Ça fait du très bon vin. À travers une agriculture facilitée par une terre nourricière. Dans la préhistoire, la roche volcanique l'obstidienne permettait de tailler des outils tranchants. Dans le temps, on retrouve même cette roche dans la fabrication de matériaux de construction pour les bâtiments, les routes, les temples. Quand l'eau s'infiltre à travers la terre, pour rejoindre le magma, elle se réchauffe et rejaillit en geyser, ou sous la forme de sources d'eau chaude, permettant par exemple à l'Islande d'exploiter la géothermie et de chauffer des milliers d'habitations et de produire de l'électricité. Donc on voit bien que d'un côté, oui, le volcan est impressionnant, oui, il peut faire beaucoup de dégâts, mais il apporte aussi beaucoup à l'homme à travers sa terre et à travers son pouvoir thermique. Si les redoutables volcans ont leur caractère, ils font donc partie d'un écosystème. La possibilité de pouvoir les découvrir, de les gravir, nous rappelle la place de l'homme dans la nature et l'intemporalité de ces géants de pierre. Ils sont sans doute là pour nous rappeler que tout est impermanent, c'est qu'il faut parfois accepter la violence d'une tragédie, d'être tout simplement plus humble pour voir naître et grandir une meilleure version de nous-mêmes. Ça fait un petit peu de développement personnel, je vous l'accorde, mais c'est ce que peut nous faire... nous apporter, nous faire réfléchir par rapport aux volcans. En découvrant les volcans intonésiens, nous abordons également l'identité religieuse et spirituelle de chacun, la culture qui l'entoure. En effet, si nous avons besoin de comprendre de façon pragmatique, on vient de le voir, la forme d'un volcan, sa puissance, sa hauteur, les difficultés pour atteindre le sommet, les peuples qui vivent dans la région voient en eux le témoignage d'une ou plusieurs forces divines qui sont indissociables du volcan lui-même. N'oublions pas que pour chaque histoire racontée, une grande partie vient de la transmission orale, qui a souvent pour origine une véritable expérience et des bases historiques. Et ça, on va le voir dans les prochains épisodes. On va parler du Moagoon, par exemple, du Merapi, de volcans particuliers. Il va y avoir derrière, effectivement, des légendes, des histoires qui se transmettent de père en fils, de mère en fille, et de génération en génération. Au fil du temps, certains passages seront adaptés. Certaines histoires sont adaptées en fonction des circonstances pour transmettre des leçons de vie, servir d'exemple. Le passage du temps n'effaçant rien les premiers pas de l'homme et sa rencontre avec ces géants de l'âve, leur incroyable source de pouvoir, et qu'elle soit positive ou négative. Eh bien, elles existent, ces histoires, pour nous raconter l'histoire du volcan en particulier, comme le Kawaïdjien ou comme le Montbatour. De nos jours, les cérémonies, incantations et sacrifices sont toujours d'actualité. Et il est impossible de ne pas prendre en compte les croyances des peuples de la région ou de l'île en vous présentant les volcans d'Indonésie, comme on va les voir dans les prochains épisodes. Nos conseils, nos conseils, nos conseils pour l'ascension des volcans, et non pas l'association, l'ascension des volcans indonésiens. Alors on a toujours l'impression qu'on peut le faire, que c'est facile, qu'on peut le gravir facilement, qu'on peut peut-être même voir des volcans en activité, ati-ati, comme on dit en indonésien, donc attention. Pour la grande majorité des volcans, pour ne pas dire tous, l'ascension se prépare d'abord en amont, avec une bonne condition physique, mais aussi une bonne appréhension du terrain qui vous attend. Ça comprend la température, le brouillard et la topologie spécifique aux volcans. En règle générale, la personne la moins expérimentée va donner le rythme au reste du groupe. Si elle s'arrête tous les 5 mètres, les autres compagnons vont certainement s'arrêter pour l'attendre. Il vaut mieux quand même. On ne va pas l'oublier, on ne va pas l'abandonner. Cela va faire culpabiliser la première personne qui vous dira alors, certainement avec un léger trémor dans la voix, Non, laissez-moi mourir ici Et pour ceux qui ont plus en forme et qui commencent à ressentir un agacement, ça peut rapidement se transformer en Ok, ben, tu sais quoi, meurs ici Donc, afin d'éviter les abandons intempestifs et la sortie de vieux dossiers, A la fin de cette expérience, qui aurait pu être inoubliable, organisez-vous dès le départ afin que chacun puisse monter suivant ses capacités, sans faire culpabiliser les autres. C'est un peu comme la pressie de la montagne aussi, comme vous faites le Mont Blanc par exemple, évitez de faire culpabiliser les autres, mais en sachant que personne ne pourra rester seul, jamais. Constituez des binômes et même en famille, constituez là aussi des couples pour être sûr que chacun a son binôme. Si vous souhaitez aller plus vite, plus haut et courir au lieu de marcher, prévenez le groupe et en aucun cas ne le faites seul. Aucun cas ne le faites seul. Si personne ne peut ou ne veut vous accompagner, restez systématiquement à la vue des autres. Avant de partir, prenez le temps de faire de grandes balles en famille ou avec vos compagnons de voyage et de vous entraîner sur les pentes plus ou moins grandes. Cela vous permet de vous habituer à évoluer ensemble, de connaître les limites de chacun et d'anticiper le matériel dont vous aurez besoin. Les sentiers et chemins pour gravir les volcans sont tous différents. Certaines parties peuvent demander des efforts particuliers. Habituez-vous à différents terrains. La forêt, c'est bien, les carrières avec des montées et des descentes sur les terres rocailleuses, c'est aussi une autre possibilité. Vous avez peut-être des carrières autour de chez vous, n'hésitez pas à y aller. Si vous êtes un véritable chamois et que vous n'avez pas le vertige, et que gravir des rochers ne vous fait pas peur, partagez votre expérience avec vos compagnons de voyage au lieu de passer pour le professionnel de l'équipe. Ce qui n'apportera rien à l'ensemble de l'équipe. Plus ils seront préparés, et psychologiquement aussi, donc physiquement et psychologiquement, moins ils rentreront le groupe, et c'était votre souhait, car il aura acquis les fondamentaux grâce à vous. Alors qu'est-ce qu'on dit Avec ou sans guide Dans de nombreux forums de voyage ou des blogs, on peut lire que certains volcans peuvent être réalisés sans guide. Il est très important pour nous de bien faire la différence entre un guide qui va vous faire visiter la cathédrale Notre-Dame de Paris, et un guide qui va encadrer l'ascension d'un volcan indonésien. Oui, il est possible de gravir le mont Batur, volcan à Bali, seul, en tongs, comme le font certains locaux qui vivent sur place. Comme pour le reste du voyage, il est possible de faire moins cher, plus vite, sans passer par les intermédiaires. Attention, ce n'est pas ce qu'on vous conseille, de le faire en tongs, parce que c'est sans compter sur la dangerosité que pourrait monter un volcan en activité, car ils sont en activité. au risque éventuel, si vous vous trouvez dans une situation délicate, et aux négociations sans fin que vous allez devoir entamer avant de pouvoir faire l'ascension. Sans avoir véritablement l'assurance d'avoir bien saisi ce que, si vous avez compris, et si ce n'est pas le cas, on ne part tout simplement pas ici de la partie pécuniaire. Mais il faut savoir quand même, quand vous faites un volcan, que ce soit le Mont Batour, le Moagoun, mais ça on va en parler dans un épisode spécifique. En bas, il y a des guides qui vont être là pour vous accompagner. Il va falloir parler avec eux, négocier avec eux. Si vous ne parlez pas l'indonésia, ça va être un petit peu compliqué. Et surtout, vous n'avez pas le droit de monter seul sur un volcan, même si des balinés, eux, le font en tongs et en sarongs. Vous devez automatiquement avoir un guide avec vous. Une différence fondamentale entre un guide professionnel et un guide local, puisqu'il y a d'un côté des guides professionnels et de l'autre côté des guides locaux qui habitent sur place, C'est aussi pour X raisons l'ascension n'est pas possible. Le guide professionnel qui travaille avec une agence comme Amalaska vous déconseillera, voire annulera celle-ci. Vous arrivez en bas d'un volcan, il y a trop de brouillard, ça glisse, c'est dangereux. Là aussi, je vous encourage à écouter le... L'épisode sur le Mont Agoun, le guide professionnel vous dira non, on ne va pas le faire. Il n'hésitera pas, il n'aura pas peur de vous dire non, on ne va pas le faire, ça ne va pas être possible, c'est effectivement trop dangereux. Contrairement à un guide de la région qui, lui, travaille sur place et vous fera monter coûte que coûte à vos risques et périls, car son salaire est engagé, et ce qui peut éventuellement se comprendre, et c'est le cas sur beaucoup d'activités. Donc lui, du moment qu'il monte et qu'il gagne l'argent, c'est un business, c'est normal, c'est son métier, il ne prendra pas en compte votre sécurité. Donc nous vous conseillons de bien choisir votre guide et par là même l'agence avec laquelle vous allez partir découvrir les volcans. On va se dire qu'on préférera Manaska, ça fait un petit moment qu'on écoute les podcasts maintenant. Ce guide doit vous connaître, parler votre langue ou au minimum l'anglais, à condition que vous parliez vous-même anglais. Celui-ci doit être un professionnel, il doit avoir une carte professionnelle, connaître le volcan et être accompagné par un guide de la région. Ah oui, parce que... ces deux guides n'ont pas la même fonction le premier connaît l'encadrement d'un groupe occidental c'est le guide professionnel il veille à votre confort et à votre sécurité il est en relation avec l'agence donc avec un manaska qui a organisé votre voyage afin de parer à toute éventualité oui, si vous avez un claquage si vous pétez la cheville, il va falloir vous ramener donc là, effectivement vous avez besoin de quelqu'un qui soit présent même si vous avez la condition physique le second, donc le guide local lui est un spécialiste de la réconciliation région attention ce n'est pas un vulcanologue connaît la région il connaît les chemins il évite en règle générale ceux qui sont impraticables anticipent la météo on vient de le voir il préfère quand même faire la montée dans les conditions extrêmes parfois parce que il a besoin de ramener de l'argent il va vous montrer des animaux ou des végétaux particuliers et vous aider à grimper si vous en ressentez besoin vous voyez bien que vous allez avoir besoin de deux guides un guide professionnel et un guide local Je tiens à préciser, avant d'arriver au pied de ce volcan, que chaque volcan a ses spécificités. Le Moagou ne se grimpe pas de la même façon que le Mérapi, par exemple. Ça demande une condition physique particulière. Ils ont tous leurs spécificités, donc ne pensez pas qu'un volcan envoie un autre. Chacun a des particularités qu'il va falloir prendre en compte. Nous voici arrivés au pied du volcan ou des volcans. Sur place, prenez le temps de vous échauffer. Reproduisez les gestes que vous allez déjà réaliser quand vous avez... était à l'entraînement en France, en Suisse, en Belgique, je ne sais où. Ça va vous rassurer et ça rassurera surtout les plus anxieux. Profitez-en pour rappeler les règles de sécurité. Vous ne connaissez pas le terrain, alors restons prudents. Personne ne court, surtout à la descente. Si vous êtes fatigué, reposez-vous, ce n'est pas une compétition. Si vous ne vous sentez pas bien, dites-le. On va alors décider ensemble si on arrête et si on redescend. Restez aimable et courtois avec les locaux, mais aussi avec les autres grimpeurs. Un petit clin d'œil, un bonjour. Comme on dit, ça ne mange pas de pain et c'est toujours agréable. On ne jette rien. Que ce soit recyclable ou pas, le moindre bout de papier va dans un sac prévu à cet effet. Et c'est une vraie lutte sur les volcans, parce qu'on peut retrouver parfois des endroits pollués parce que des locaux ou des grimpeurs n'ont pas respecté cela. On écoute le guide local, mais on juge également par nous-mêmes de la pertinence de ses recommandations. Ce n'est pas parce qu'il vous dit de sauter qu'il faut automatiquement le faire. À moins bien sûr qu'il en aille de votre survie. Merci. Mais sinon, on pèse le pour et le contre. On ne jette pas de pierre, ni même un caillou, parce qu'il peut y avoir des gens qui n'habitent pas loin. Et cela peut provoquer un éboulement. Voilà, on a vu dans les grandes règles, on a vu d'abord les volcans, ce que c'était. Alors là, vous êtes devenu spécialiste. Là, pour le coup, vous êtes pratiquement volcanologue. Et puis ensuite, derrière, on a vu comment se comporter par rapport à l'ascension d'un volcan, comment se préparer. Et puis, on a vu également l'encadrement avec un guide professionnel, un guide local. On a vu également comment être... se préparer au pied du volcan. Parfois, c'est très tôt le matin, 3h, 4h du matin, que tous les volcans ne se valent pas en termes de dangerosité, en termes de difficulté à faire l'ascension. Donc, soyez très prudents. Bien sûr, à Madagascar, notre agence vous indiquera la difficulté pour monter ce volcan. Et puis, nous allons voir au fur et à mesure différents volcans, différents volcans avec aussi, bien sûr, leur culture, ce que ça représente, les traditions qu'il peut y avoir par rapport à la tradition. rapport à un volcan en particulier, parce que derrière, il y a beaucoup d'histoires à raconter sur ces volcans indonésiens. Merci de nous avoir écoutés. N'hésitez pas à nous contacter. sur notre site internet amalaska-bali.com à nous poser des questions, à rentrer en contact avec nous si vous souhaitez découvrir l'ensemble des volcans mais aussi qu'on vous écrive un programme parce que nous sommes là pour vous accompagner tout le long de notre découverte de Bali et de l'Indonésie et nous nous retrouvons très bientôt pour un nouvel épisode d'Amalaska Bali

Description

L’Indonésie abrite plus de 120 volcans actifs, faisant de l’archipel le cœur brûlant de la ceinture de feu du Pacifique. Dans cet épisode, on vous emmène à la rencontre de ces géants de lave : leur origine, leurs types d’éruptions, les bénéfices qu’ils offrent… mais aussi la manière dont les peuples les vénèrent, les craignent, et les intègrent à leur vie spirituelle.

Des rizières fertiles aux cérémonies sacrées, entre grondements et offrandes, découvrez pourquoi les volcans indonésiens sont bien plus que des montagnes — ce sont des temples vivants, où la nature et le sacré se rencontrent.

Amanaska Bali est le podcast voyage en famille qui vous permet de préparer une organisation de voyage à bali qui vous ressemble.

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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur le podcast d'Amanaska, le premier compagnon de voyage à vous proposer de découvrir Bali et les îles indonésiennes tout en partageant avec vous des conseils, des informations pratiques, de l'actualité pour préparer votre voyage et le vivre autrement. A travers nos expériences, nos coups de cœur, les histoires d'hommes et de femmes inspirants, nous allons vous raconter ce pays que nous aimons, où nous vivons, vous faire découvrir des traditions millénaires,

  • Speaker #1

    des cultures ancestrales et un quotidien que nous partageons avec le peuple qui vit sur l'île au mieux le temps en prise.

  • Speaker #2

    Bienvenue sur le podcast d'Amanaska Bali. Je vous rappelle que si vous le souhaitez, nous pouvons écrire pour vous des programmes, nous pouvons vous accompagner dans cette grande aventure que peut être la découverte de Bali et les îles indonésiennes. Il suffit d'aller sur notre site internet, de nous rejoindre sur Facebook, de faire votre demande et nous serons là pour vous accompagner dans cette découverte. Et aujourd'hui, une découverte un peu particulière. Vous savez sans doute qu'il y a beaucoup de volcans à Bali et nous allons parler des volcans. Alors c'est un sujet quand même qui est très précis, mais qui peut éventuellement vous intéresser. En tout cas, on avait envie de vous en parler, voilà, de ces volcans indonésiens. Et pour cela, on va d'abord aborder les volcans en général. Vous allez devenir spécialiste des volcans, c'est moi qui vous le dis. Vous allez voir, c'est particulier comme podcast. On y va Allez, c'est parti. Les volcans indonésiens. Donc l'archipel indonésien se compose de plus de 17 000 îles qui sont réparties sur un territoire équivalent à la partie continentale des États-Unis. Vous voyez, voilà. Ce pays, de par sa position sur le globe terrestre, enregistre la plus forte densité des volcans actifs sur la Terre. C'est donc la raison pour laquelle nous vous en parlons aujourd'hui. Au nombre de 147, il y a 147 volcans, dont 129 actifs. La majorité des volcans indonésiens se situent sur plus de 3000 km, qui représentent l'arc volcanique de la sonde. Il est donc légitime de considérer que l'Indonésie détient le record du nombre de volcans dans le monde. Pour apprécier... mesurer la puissance de la Terre, faire un bond dans le passé ou assister à des spectacles exceptionnels, il faut d'abord comprendre le volcan, écouter son histoire. Il est légitime d'avoir une certaine appréhension face à ces colloques de lave et de pierre, dont les coulées pour certaines finissent parfois dans l'océan, comme à Ahmed, sur Bali. Pour créer un véritable écosystème sous l'eau, pour voir la lave avec des coraux, avec des poissons multicolores, ça en fait partie, effectivement, cette lave. de l'écosystème. Alors avant de vous présenter les plus célèbres, qui seront d'ailleurs proposés dans différents podcasts, différents épisodes de podcasts, nous allons revenir sur l'origine du volcan et après nous rentrerons dans les détails de chaque volcan. Pas forcément sur ce podcast là, mais sur les podcasts qui vont arriver par la suite. J'espère que j'ai été clair. Donc l'origine des volcans en général. La naissance d'un volcan vient d'une fusion de roches au cœur de la Terre qui conduit à une formation d'un liquide qui s'appelle le magma. Quand celui-ci atteint la surface, soit il se refroidit, donnant naissance à des roches volcaniques, soit, sous la pression, devient alors de la lave. Si le magma reste sous la Terre, on l'appelle alors de la roche plutonique. Bon, c'est un petit détail. Et donc ça crée une éruption volcanique. Pendant cette éruption, le volcan expulse donc de la lave liquide à une température entre 700°C et 1200°C. De quoi faire des bonnes merguez, mais aussi de la matière solide. La masse visqueuse et les matériaux fusionnent, créant ainsi des édifices monumentaux, donnant au fil du temps la forme du volcan que nous connaissons, en perpétuelle transformation suivant l'activité de celui-ci. Les volcans éteints, comme en France, vous savez, par exemple en Auvergne, témoignent d'une activité volcanique très ancienne. On continue. On peut distinguer deux formes d'éruptions volcaniques, les effusives et les explosives. Les éruptions effusives ou laviques, donc il y a deux types de lave effusive, les premières coulent le long du flanc des volcans, on a vu ça à la télé ou peut-être vous l'avez vécu en direct, donc ça sort du long du flanc des volcans et ça s'étend très rapidement pour recouvrir plusieurs dizaines de kilomètres, puis ça ralentit. Les secondes sont en un trajet plus court, elles restent souvent dans des réseaux de tunnels et parfois s'agglutinent dans le cratère des volcans lui-même pour former une lave. Donc le premier... ils se diffusent et s'étendent sur plusieurs kilomètres et les autres restent au cœur ou à proximité du volcan. Nous avons une deuxième forme d'éruption volcanique, c'est l'éruption volcanique explosive. Alors là, c'est une autre limonade. Elles font partie des catastrophes naturelles, à la fois les plus spectaculaires, mais aussi les plus dangereuses. Elles se caractérisent par la projection de lave fragmentée et de matériaux solides appelés tephras dans l'atmosphère. Elles se produisent quand la pression dans la chambre magmatique est trop intense et se traduit par l'expulsion brutale de magma et de roches en fusion à 350 mètres par seconde. Ok C'est pas trop... On est dans les volcans, là. Le panache volcanique peut aller jusqu'à 50 km d'altitude et les nuées ardentes sortent d'aérosols volcaniques portés à des températures extrêmes composées de gaz, de cendres et de roches. pouvant carrément atteindre la taille d'une maison, sont capables d'atteindre une vingtaine de kilomètres. Il y a différents types, pour nous, pour avoir les mots, pour les sortir dans une soirée, il y a différents types de volcaniques explosifs, il y a le strombolien, le vulcanien, le plinien, le péléen et le surtessien. Bon, ça, on peut l'oublier rapidement, ce n'est pas forcément ce qui nous intéresse le plus. On ne retient souvent que la partie sensationnelle. Je ne sais pas si vous entendez le chien derrière moi. qui est en train de face à un gecko, c'est un gros lézard, il est en train d'aboyer pour lui faire peur, je pense pas qu'il le mange mais en tout cas pour lui faire peur. Ça c'est ce que nous avons à Bali, nous avons beaucoup de lézards qui mesurent environ 20-25 cm, qui sont assez gros et qui font des bruits particuliers. On en parlera, tiens, dans un autre épisode de Manasca Bali. Donc on est toujours sur les volcans, on ne retient souvent que la partie sensationnelle, voire destructive des volcans. à savoir les éruptions. Pourtant, ces géants intemporels, très souvent vénérés par la population locale, sont sources de vie et offrent de nombreux bienfaits pour l'homme. Dans le monde, c'est en effet plus de 300 millions de personnes qui habitent au flanc des volcans, profitant ainsi directement des ressources naturelles que celui-ci propose. La terre volcanique, par exemple, composée de cendres nutritives, est très fertile. Et c'est ainsi que les locaux peuvent faire pousser du riz, en Indonésie bien sûr, des légumes, des tomates, par exemple au Canary, du café. à Hawaï, de la vigne en Italie et à Lanzarote, où j'ai pu visiter sur des roches volcaniques des vignes poussées directement sur la roche volcanique. Ça fait du très bon vin. À travers une agriculture facilitée par une terre nourricière. Dans la préhistoire, la roche volcanique l'obstidienne permettait de tailler des outils tranchants. Dans le temps, on retrouve même cette roche dans la fabrication de matériaux de construction pour les bâtiments, les routes, les temples. Quand l'eau s'infiltre à travers la terre, pour rejoindre le magma, elle se réchauffe et rejaillit en geyser, ou sous la forme de sources d'eau chaude, permettant par exemple à l'Islande d'exploiter la géothermie et de chauffer des milliers d'habitations et de produire de l'électricité. Donc on voit bien que d'un côté, oui, le volcan est impressionnant, oui, il peut faire beaucoup de dégâts, mais il apporte aussi beaucoup à l'homme à travers sa terre et à travers son pouvoir thermique. Si les redoutables volcans ont leur caractère, ils font donc partie d'un écosystème. La possibilité de pouvoir les découvrir, de les gravir, nous rappelle la place de l'homme dans la nature et l'intemporalité de ces géants de pierre. Ils sont sans doute là pour nous rappeler que tout est impermanent, c'est qu'il faut parfois accepter la violence d'une tragédie, d'être tout simplement plus humble pour voir naître et grandir une meilleure version de nous-mêmes. Ça fait un petit peu de développement personnel, je vous l'accorde, mais c'est ce que peut nous faire... nous apporter, nous faire réfléchir par rapport aux volcans. En découvrant les volcans intonésiens, nous abordons également l'identité religieuse et spirituelle de chacun, la culture qui l'entoure. En effet, si nous avons besoin de comprendre de façon pragmatique, on vient de le voir, la forme d'un volcan, sa puissance, sa hauteur, les difficultés pour atteindre le sommet, les peuples qui vivent dans la région voient en eux le témoignage d'une ou plusieurs forces divines qui sont indissociables du volcan lui-même. N'oublions pas que pour chaque histoire racontée, une grande partie vient de la transmission orale, qui a souvent pour origine une véritable expérience et des bases historiques. Et ça, on va le voir dans les prochains épisodes. On va parler du Moagoon, par exemple, du Merapi, de volcans particuliers. Il va y avoir derrière, effectivement, des légendes, des histoires qui se transmettent de père en fils, de mère en fille, et de génération en génération. Au fil du temps, certains passages seront adaptés. Certaines histoires sont adaptées en fonction des circonstances pour transmettre des leçons de vie, servir d'exemple. Le passage du temps n'effaçant rien les premiers pas de l'homme et sa rencontre avec ces géants de l'âve, leur incroyable source de pouvoir, et qu'elle soit positive ou négative. Eh bien, elles existent, ces histoires, pour nous raconter l'histoire du volcan en particulier, comme le Kawaïdjien ou comme le Montbatour. De nos jours, les cérémonies, incantations et sacrifices sont toujours d'actualité. Et il est impossible de ne pas prendre en compte les croyances des peuples de la région ou de l'île en vous présentant les volcans d'Indonésie, comme on va les voir dans les prochains épisodes. Nos conseils, nos conseils, nos conseils pour l'ascension des volcans, et non pas l'association, l'ascension des volcans indonésiens. Alors on a toujours l'impression qu'on peut le faire, que c'est facile, qu'on peut le gravir facilement, qu'on peut peut-être même voir des volcans en activité, ati-ati, comme on dit en indonésien, donc attention. Pour la grande majorité des volcans, pour ne pas dire tous, l'ascension se prépare d'abord en amont, avec une bonne condition physique, mais aussi une bonne appréhension du terrain qui vous attend. Ça comprend la température, le brouillard et la topologie spécifique aux volcans. En règle générale, la personne la moins expérimentée va donner le rythme au reste du groupe. Si elle s'arrête tous les 5 mètres, les autres compagnons vont certainement s'arrêter pour l'attendre. Il vaut mieux quand même. On ne va pas l'oublier, on ne va pas l'abandonner. Cela va faire culpabiliser la première personne qui vous dira alors, certainement avec un léger trémor dans la voix, Non, laissez-moi mourir ici Et pour ceux qui ont plus en forme et qui commencent à ressentir un agacement, ça peut rapidement se transformer en Ok, ben, tu sais quoi, meurs ici Donc, afin d'éviter les abandons intempestifs et la sortie de vieux dossiers, A la fin de cette expérience, qui aurait pu être inoubliable, organisez-vous dès le départ afin que chacun puisse monter suivant ses capacités, sans faire culpabiliser les autres. C'est un peu comme la pressie de la montagne aussi, comme vous faites le Mont Blanc par exemple, évitez de faire culpabiliser les autres, mais en sachant que personne ne pourra rester seul, jamais. Constituez des binômes et même en famille, constituez là aussi des couples pour être sûr que chacun a son binôme. Si vous souhaitez aller plus vite, plus haut et courir au lieu de marcher, prévenez le groupe et en aucun cas ne le faites seul. Aucun cas ne le faites seul. Si personne ne peut ou ne veut vous accompagner, restez systématiquement à la vue des autres. Avant de partir, prenez le temps de faire de grandes balles en famille ou avec vos compagnons de voyage et de vous entraîner sur les pentes plus ou moins grandes. Cela vous permet de vous habituer à évoluer ensemble, de connaître les limites de chacun et d'anticiper le matériel dont vous aurez besoin. Les sentiers et chemins pour gravir les volcans sont tous différents. Certaines parties peuvent demander des efforts particuliers. Habituez-vous à différents terrains. La forêt, c'est bien, les carrières avec des montées et des descentes sur les terres rocailleuses, c'est aussi une autre possibilité. Vous avez peut-être des carrières autour de chez vous, n'hésitez pas à y aller. Si vous êtes un véritable chamois et que vous n'avez pas le vertige, et que gravir des rochers ne vous fait pas peur, partagez votre expérience avec vos compagnons de voyage au lieu de passer pour le professionnel de l'équipe. Ce qui n'apportera rien à l'ensemble de l'équipe. Plus ils seront préparés, et psychologiquement aussi, donc physiquement et psychologiquement, moins ils rentreront le groupe, et c'était votre souhait, car il aura acquis les fondamentaux grâce à vous. Alors qu'est-ce qu'on dit Avec ou sans guide Dans de nombreux forums de voyage ou des blogs, on peut lire que certains volcans peuvent être réalisés sans guide. Il est très important pour nous de bien faire la différence entre un guide qui va vous faire visiter la cathédrale Notre-Dame de Paris, et un guide qui va encadrer l'ascension d'un volcan indonésien. Oui, il est possible de gravir le mont Batur, volcan à Bali, seul, en tongs, comme le font certains locaux qui vivent sur place. Comme pour le reste du voyage, il est possible de faire moins cher, plus vite, sans passer par les intermédiaires. Attention, ce n'est pas ce qu'on vous conseille, de le faire en tongs, parce que c'est sans compter sur la dangerosité que pourrait monter un volcan en activité, car ils sont en activité. au risque éventuel, si vous vous trouvez dans une situation délicate, et aux négociations sans fin que vous allez devoir entamer avant de pouvoir faire l'ascension. Sans avoir véritablement l'assurance d'avoir bien saisi ce que, si vous avez compris, et si ce n'est pas le cas, on ne part tout simplement pas ici de la partie pécuniaire. Mais il faut savoir quand même, quand vous faites un volcan, que ce soit le Mont Batour, le Moagoun, mais ça on va en parler dans un épisode spécifique. En bas, il y a des guides qui vont être là pour vous accompagner. Il va falloir parler avec eux, négocier avec eux. Si vous ne parlez pas l'indonésia, ça va être un petit peu compliqué. Et surtout, vous n'avez pas le droit de monter seul sur un volcan, même si des balinés, eux, le font en tongs et en sarongs. Vous devez automatiquement avoir un guide avec vous. Une différence fondamentale entre un guide professionnel et un guide local, puisqu'il y a d'un côté des guides professionnels et de l'autre côté des guides locaux qui habitent sur place, C'est aussi pour X raisons l'ascension n'est pas possible. Le guide professionnel qui travaille avec une agence comme Amalaska vous déconseillera, voire annulera celle-ci. Vous arrivez en bas d'un volcan, il y a trop de brouillard, ça glisse, c'est dangereux. Là aussi, je vous encourage à écouter le... L'épisode sur le Mont Agoun, le guide professionnel vous dira non, on ne va pas le faire. Il n'hésitera pas, il n'aura pas peur de vous dire non, on ne va pas le faire, ça ne va pas être possible, c'est effectivement trop dangereux. Contrairement à un guide de la région qui, lui, travaille sur place et vous fera monter coûte que coûte à vos risques et périls, car son salaire est engagé, et ce qui peut éventuellement se comprendre, et c'est le cas sur beaucoup d'activités. Donc lui, du moment qu'il monte et qu'il gagne l'argent, c'est un business, c'est normal, c'est son métier, il ne prendra pas en compte votre sécurité. Donc nous vous conseillons de bien choisir votre guide et par là même l'agence avec laquelle vous allez partir découvrir les volcans. On va se dire qu'on préférera Manaska, ça fait un petit moment qu'on écoute les podcasts maintenant. Ce guide doit vous connaître, parler votre langue ou au minimum l'anglais, à condition que vous parliez vous-même anglais. Celui-ci doit être un professionnel, il doit avoir une carte professionnelle, connaître le volcan et être accompagné par un guide de la région. Ah oui, parce que... ces deux guides n'ont pas la même fonction le premier connaît l'encadrement d'un groupe occidental c'est le guide professionnel il veille à votre confort et à votre sécurité il est en relation avec l'agence donc avec un manaska qui a organisé votre voyage afin de parer à toute éventualité oui, si vous avez un claquage si vous pétez la cheville, il va falloir vous ramener donc là, effectivement vous avez besoin de quelqu'un qui soit présent même si vous avez la condition physique le second, donc le guide local lui est un spécialiste de la réconciliation région attention ce n'est pas un vulcanologue connaît la région il connaît les chemins il évite en règle générale ceux qui sont impraticables anticipent la météo on vient de le voir il préfère quand même faire la montée dans les conditions extrêmes parfois parce que il a besoin de ramener de l'argent il va vous montrer des animaux ou des végétaux particuliers et vous aider à grimper si vous en ressentez besoin vous voyez bien que vous allez avoir besoin de deux guides un guide professionnel et un guide local Je tiens à préciser, avant d'arriver au pied de ce volcan, que chaque volcan a ses spécificités. Le Moagou ne se grimpe pas de la même façon que le Mérapi, par exemple. Ça demande une condition physique particulière. Ils ont tous leurs spécificités, donc ne pensez pas qu'un volcan envoie un autre. Chacun a des particularités qu'il va falloir prendre en compte. Nous voici arrivés au pied du volcan ou des volcans. Sur place, prenez le temps de vous échauffer. Reproduisez les gestes que vous allez déjà réaliser quand vous avez... était à l'entraînement en France, en Suisse, en Belgique, je ne sais où. Ça va vous rassurer et ça rassurera surtout les plus anxieux. Profitez-en pour rappeler les règles de sécurité. Vous ne connaissez pas le terrain, alors restons prudents. Personne ne court, surtout à la descente. Si vous êtes fatigué, reposez-vous, ce n'est pas une compétition. Si vous ne vous sentez pas bien, dites-le. On va alors décider ensemble si on arrête et si on redescend. Restez aimable et courtois avec les locaux, mais aussi avec les autres grimpeurs. Un petit clin d'œil, un bonjour. Comme on dit, ça ne mange pas de pain et c'est toujours agréable. On ne jette rien. Que ce soit recyclable ou pas, le moindre bout de papier va dans un sac prévu à cet effet. Et c'est une vraie lutte sur les volcans, parce qu'on peut retrouver parfois des endroits pollués parce que des locaux ou des grimpeurs n'ont pas respecté cela. On écoute le guide local, mais on juge également par nous-mêmes de la pertinence de ses recommandations. Ce n'est pas parce qu'il vous dit de sauter qu'il faut automatiquement le faire. À moins bien sûr qu'il en aille de votre survie. Merci. Mais sinon, on pèse le pour et le contre. On ne jette pas de pierre, ni même un caillou, parce qu'il peut y avoir des gens qui n'habitent pas loin. Et cela peut provoquer un éboulement. Voilà, on a vu dans les grandes règles, on a vu d'abord les volcans, ce que c'était. Alors là, vous êtes devenu spécialiste. Là, pour le coup, vous êtes pratiquement volcanologue. Et puis ensuite, derrière, on a vu comment se comporter par rapport à l'ascension d'un volcan, comment se préparer. Et puis, on a vu également l'encadrement avec un guide professionnel, un guide local. On a vu également comment être... se préparer au pied du volcan. Parfois, c'est très tôt le matin, 3h, 4h du matin, que tous les volcans ne se valent pas en termes de dangerosité, en termes de difficulté à faire l'ascension. Donc, soyez très prudents. Bien sûr, à Madagascar, notre agence vous indiquera la difficulté pour monter ce volcan. Et puis, nous allons voir au fur et à mesure différents volcans, différents volcans avec aussi, bien sûr, leur culture, ce que ça représente, les traditions qu'il peut y avoir par rapport à la tradition. rapport à un volcan en particulier, parce que derrière, il y a beaucoup d'histoires à raconter sur ces volcans indonésiens. Merci de nous avoir écoutés. N'hésitez pas à nous contacter. sur notre site internet amalaska-bali.com à nous poser des questions, à rentrer en contact avec nous si vous souhaitez découvrir l'ensemble des volcans mais aussi qu'on vous écrive un programme parce que nous sommes là pour vous accompagner tout le long de notre découverte de Bali et de l'Indonésie et nous nous retrouvons très bientôt pour un nouvel épisode d'Amalaska Bali

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