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Épisode 12 - L'artisan de l'écriture, Martin Winckler cover
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Assez parlé, le podcast qui donne envie d'écrire de l'école Les Mots

Épisode 12 - L'artisan de l'écriture, Martin Winckler

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23min |03/11/2020
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23min |03/11/2020
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Description

 Selon Martin Winckler, il faut concevoir l’écriture comme un jeu de construction, un “artisanat artistique”. Dans ce podcast, il nous raconte la façon dont il a découvert, vers l’âge de 18 ans, “ses” vocations : la médecine, l’engagement politique et l’écriture.

Médecin, romancier et essayiste militant, Martin Winckler se dit avant tout “artisan de l’écriture” et considère que rien ne peut se faire sans un travail minutieux, sincère et patient. Depuis son premier roman en 1989, “La vacation” jusqu’à ses plus récents en passant par “Le Choeur des femmes”, “Abraham et fils”, ses essais engagés sur la santé ou encore son best-seller “La maladie de Sachs”, (POL), tous ses livres sont régulièrement applaudis par la critique et le public dans le monde entier. 

Depuis 2018, il anime à l’école Les Mots un atelier d’écriture sur le thème “Écrire : de l’expérience à la fiction”. A travers cet atelier mené à distance depuis Montréal, où il est installé, il accompagne, en ligne, des “artisans écrivants”, comme il les appelle, dans l’accouchement de leurs textes. 

Dans ce podcast, il nous raconte son premier souvenir d’écriture à 10 ans, son rapport particulier aux journaux intimes et surtout la façon dont il a découvert, vers l’âge de 18 ans, “ses” vocations : la médecine, l’engagement politique et l’écriture. Non pas chacune leur tour, mais toutes en même temps en tirant de ses révoltes d’étudiant le sel de son inspiration. Influencé par la littérature américaine mais surtout par son maître français George Perec, Martin Winckler insiste dans ce podcast sur l’amusement dont il faut savoir faire preuve pour concevoir l’écriture comme un jeu de construction, un “artisanat artistique”. 

En septembre 2020, il a publié deux livres simultanément : “C’est mon corps“ (L’Iconoclaste), qui dénonce la médecine actuelle, en particulier pour ce qui concerne la santé des femmes ; et “Atelier d’écriture” (POL), qui réunit ses réflexions et conseils sur la fabrique de “l’écrivant”. Il y évoque bien sûr, pour notre plus grand plaisir, son expérience à l’école Les Mots. 


Création et réalisation : Lauren Malka. Musique : “Machine à écrire” Paroles : Louise Pressager / Musique Ferdinand Identité graphique : Nina Jovanovic. Direction générale : Elise Nebout.  


Extrait lu dans l’épisode

“Ateliers d’écriture. De l’expérience à la fiction” suivi de “Histoires en l’air Martin Winckler (POL, septembre 2020) (pages 120, 121)


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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 Selon Martin Winckler, il faut concevoir l’écriture comme un jeu de construction, un “artisanat artistique”. Dans ce podcast, il nous raconte la façon dont il a découvert, vers l’âge de 18 ans, “ses” vocations : la médecine, l’engagement politique et l’écriture.

Médecin, romancier et essayiste militant, Martin Winckler se dit avant tout “artisan de l’écriture” et considère que rien ne peut se faire sans un travail minutieux, sincère et patient. Depuis son premier roman en 1989, “La vacation” jusqu’à ses plus récents en passant par “Le Choeur des femmes”, “Abraham et fils”, ses essais engagés sur la santé ou encore son best-seller “La maladie de Sachs”, (POL), tous ses livres sont régulièrement applaudis par la critique et le public dans le monde entier. 

Depuis 2018, il anime à l’école Les Mots un atelier d’écriture sur le thème “Écrire : de l’expérience à la fiction”. A travers cet atelier mené à distance depuis Montréal, où il est installé, il accompagne, en ligne, des “artisans écrivants”, comme il les appelle, dans l’accouchement de leurs textes. 

Dans ce podcast, il nous raconte son premier souvenir d’écriture à 10 ans, son rapport particulier aux journaux intimes et surtout la façon dont il a découvert, vers l’âge de 18 ans, “ses” vocations : la médecine, l’engagement politique et l’écriture. Non pas chacune leur tour, mais toutes en même temps en tirant de ses révoltes d’étudiant le sel de son inspiration. Influencé par la littérature américaine mais surtout par son maître français George Perec, Martin Winckler insiste dans ce podcast sur l’amusement dont il faut savoir faire preuve pour concevoir l’écriture comme un jeu de construction, un “artisanat artistique”. 

En septembre 2020, il a publié deux livres simultanément : “C’est mon corps“ (L’Iconoclaste), qui dénonce la médecine actuelle, en particulier pour ce qui concerne la santé des femmes ; et “Atelier d’écriture” (POL), qui réunit ses réflexions et conseils sur la fabrique de “l’écrivant”. Il y évoque bien sûr, pour notre plus grand plaisir, son expérience à l’école Les Mots. 


Création et réalisation : Lauren Malka. Musique : “Machine à écrire” Paroles : Louise Pressager / Musique Ferdinand Identité graphique : Nina Jovanovic. Direction générale : Elise Nebout.  


Extrait lu dans l’épisode

“Ateliers d’écriture. De l’expérience à la fiction” suivi de “Histoires en l’air Martin Winckler (POL, septembre 2020) (pages 120, 121)


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Médecin, romancier et essayiste militant, Martin Winckler se dit avant tout “artisan de l’écriture” et considère que rien ne peut se faire sans un travail minutieux, sincère et patient. Depuis son premier roman en 1989, “La vacation” jusqu’à ses plus récents en passant par “Le Choeur des femmes”, “Abraham et fils”, ses essais engagés sur la santé ou encore son best-seller “La maladie de Sachs”, (POL), tous ses livres sont régulièrement applaudis par la critique et le public dans le monde entier. 

Depuis 2018, il anime à l’école Les Mots un atelier d’écriture sur le thème “Écrire : de l’expérience à la fiction”. A travers cet atelier mené à distance depuis Montréal, où il est installé, il accompagne, en ligne, des “artisans écrivants”, comme il les appelle, dans l’accouchement de leurs textes. 

Dans ce podcast, il nous raconte son premier souvenir d’écriture à 10 ans, son rapport particulier aux journaux intimes et surtout la façon dont il a découvert, vers l’âge de 18 ans, “ses” vocations : la médecine, l’engagement politique et l’écriture. Non pas chacune leur tour, mais toutes en même temps en tirant de ses révoltes d’étudiant le sel de son inspiration. Influencé par la littérature américaine mais surtout par son maître français George Perec, Martin Winckler insiste dans ce podcast sur l’amusement dont il faut savoir faire preuve pour concevoir l’écriture comme un jeu de construction, un “artisanat artistique”. 

En septembre 2020, il a publié deux livres simultanément : “C’est mon corps“ (L’Iconoclaste), qui dénonce la médecine actuelle, en particulier pour ce qui concerne la santé des femmes ; et “Atelier d’écriture” (POL), qui réunit ses réflexions et conseils sur la fabrique de “l’écrivant”. Il y évoque bien sûr, pour notre plus grand plaisir, son expérience à l’école Les Mots. 


Création et réalisation : Lauren Malka. Musique : “Machine à écrire” Paroles : Louise Pressager / Musique Ferdinand Identité graphique : Nina Jovanovic. Direction générale : Elise Nebout.  


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 Selon Martin Winckler, il faut concevoir l’écriture comme un jeu de construction, un “artisanat artistique”. Dans ce podcast, il nous raconte la façon dont il a découvert, vers l’âge de 18 ans, “ses” vocations : la médecine, l’engagement politique et l’écriture.

Médecin, romancier et essayiste militant, Martin Winckler se dit avant tout “artisan de l’écriture” et considère que rien ne peut se faire sans un travail minutieux, sincère et patient. Depuis son premier roman en 1989, “La vacation” jusqu’à ses plus récents en passant par “Le Choeur des femmes”, “Abraham et fils”, ses essais engagés sur la santé ou encore son best-seller “La maladie de Sachs”, (POL), tous ses livres sont régulièrement applaudis par la critique et le public dans le monde entier. 

Depuis 2018, il anime à l’école Les Mots un atelier d’écriture sur le thème “Écrire : de l’expérience à la fiction”. A travers cet atelier mené à distance depuis Montréal, où il est installé, il accompagne, en ligne, des “artisans écrivants”, comme il les appelle, dans l’accouchement de leurs textes. 

Dans ce podcast, il nous raconte son premier souvenir d’écriture à 10 ans, son rapport particulier aux journaux intimes et surtout la façon dont il a découvert, vers l’âge de 18 ans, “ses” vocations : la médecine, l’engagement politique et l’écriture. Non pas chacune leur tour, mais toutes en même temps en tirant de ses révoltes d’étudiant le sel de son inspiration. Influencé par la littérature américaine mais surtout par son maître français George Perec, Martin Winckler insiste dans ce podcast sur l’amusement dont il faut savoir faire preuve pour concevoir l’écriture comme un jeu de construction, un “artisanat artistique”. 

En septembre 2020, il a publié deux livres simultanément : “C’est mon corps“ (L’Iconoclaste), qui dénonce la médecine actuelle, en particulier pour ce qui concerne la santé des femmes ; et “Atelier d’écriture” (POL), qui réunit ses réflexions et conseils sur la fabrique de “l’écrivant”. Il y évoque bien sûr, pour notre plus grand plaisir, son expérience à l’école Les Mots. 


Création et réalisation : Lauren Malka. Musique : “Machine à écrire” Paroles : Louise Pressager / Musique Ferdinand Identité graphique : Nina Jovanovic. Direction générale : Elise Nebout.  


Extrait lu dans l’épisode

“Ateliers d’écriture. De l’expérience à la fiction” suivi de “Histoires en l’air Martin Winckler (POL, septembre 2020) (pages 120, 121)


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