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Assez parlé, le podcast qui donne envie d'écrire de l'école Les Mots

Épisode 28 - hors-série - L'écriture comme un acte de désir avec Nina Bouraoui

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47min |15/05/2024
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47min |15/05/2024
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Description

Cet épisode consacré à Nina Bouraoui a été enregistré en public sur la grande scène du Centre Pompidou dans le cadre du festival “Effractions”. Pour sa 5e édition, du 6 au 10 mars 2024, ce festival consacré aux littératures contemporaines sur le thème du “Réel”, a réuni son équipe et celle de l’école Les Mots pour choisir un ou une invitée. Le nom de Nina Bouraoui a tout de suite été prononcé.


D’abord parce qu’elle vient de publier l’un de ses récits les plus personnels, « Grand Seigneur », chez JC Lattès, dans lequel elle raconte les derniers jours de la vie de son père admis en soins palliatifs à la maison médicale Jeanne-Garnier en mai 2022. Elle dit dans ce livre les mystères qu’elle sait de lui et la façon dont elle l’a regardé, admiré, depuis toute petite jusqu’à ses derniers jours.


Aussi, parce qu’en parallèle de ce livre d’une grande ampleur littéraire, elle publie « Le désir d’un roman sans fin », recueil de chroniques et de textes intimes sur le réel de notre société et sur la façon dont une écrivaine parvient à le traduire, parfois à le transformer. Et surtout, parce que les écrits de Nina Bouraoui questionnent l’écriture comme acte de désir, de sensualité, un feu tendu vers l’autre qui cherche à être vue, à être aimée, qui cherche l’invention comme source même de la vérité.


Lire ces deux livres en parallèle permet d’avoir une perspective précise de la place de l’écriture dans la vie de cette romancière. « Écrire est un acte, lit-on chez Nina Bouraoui. Le livre est le résultat d’une liaison, d’un désir, d’un rapport. Il ne s’agit pas de naissance, un livre n’est pas un enfant. Il s’agit de sexualité ».


Livres mentionnés et cités dans l’épisode

  • “Grand seigneur” (Lattès, 2024)

  • “Le désir d’un roman sans fin” (Lattès, 2024)


Crédits pour l’épisode 28

Création et réalisation : Lauren Malka.

Montage : Lauren Malka

Mixage : avec la collaboration de Thomas Aguettaz

Musique : “Machine à écrire” Paroles : Louise Pressager / Musique Ferdinand

Identité graphique : Nina Jovanovic.

Direction générale : Elise Nebout. 

Crédit photo Nina Bouraoui : © Patrice Normand 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Cet épisode consacré à Nina Bouraoui a été enregistré en public sur la grande scène du Centre Pompidou dans le cadre du festival “Effractions”. Pour sa 5e édition, du 6 au 10 mars 2024, ce festival consacré aux littératures contemporaines sur le thème du “Réel”, a réuni son équipe et celle de l’école Les Mots pour choisir un ou une invitée. Le nom de Nina Bouraoui a tout de suite été prononcé.


D’abord parce qu’elle vient de publier l’un de ses récits les plus personnels, « Grand Seigneur », chez JC Lattès, dans lequel elle raconte les derniers jours de la vie de son père admis en soins palliatifs à la maison médicale Jeanne-Garnier en mai 2022. Elle dit dans ce livre les mystères qu’elle sait de lui et la façon dont elle l’a regardé, admiré, depuis toute petite jusqu’à ses derniers jours.


Aussi, parce qu’en parallèle de ce livre d’une grande ampleur littéraire, elle publie « Le désir d’un roman sans fin », recueil de chroniques et de textes intimes sur le réel de notre société et sur la façon dont une écrivaine parvient à le traduire, parfois à le transformer. Et surtout, parce que les écrits de Nina Bouraoui questionnent l’écriture comme acte de désir, de sensualité, un feu tendu vers l’autre qui cherche à être vue, à être aimée, qui cherche l’invention comme source même de la vérité.


Lire ces deux livres en parallèle permet d’avoir une perspective précise de la place de l’écriture dans la vie de cette romancière. « Écrire est un acte, lit-on chez Nina Bouraoui. Le livre est le résultat d’une liaison, d’un désir, d’un rapport. Il ne s’agit pas de naissance, un livre n’est pas un enfant. Il s’agit de sexualité ».


Livres mentionnés et cités dans l’épisode

  • “Grand seigneur” (Lattès, 2024)

  • “Le désir d’un roman sans fin” (Lattès, 2024)


Crédits pour l’épisode 28

Création et réalisation : Lauren Malka.

Montage : Lauren Malka

Mixage : avec la collaboration de Thomas Aguettaz

Musique : “Machine à écrire” Paroles : Louise Pressager / Musique Ferdinand

Identité graphique : Nina Jovanovic.

Direction générale : Elise Nebout. 

Crédit photo Nina Bouraoui : © Patrice Normand 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Cet épisode consacré à Nina Bouraoui a été enregistré en public sur la grande scène du Centre Pompidou dans le cadre du festival “Effractions”. Pour sa 5e édition, du 6 au 10 mars 2024, ce festival consacré aux littératures contemporaines sur le thème du “Réel”, a réuni son équipe et celle de l’école Les Mots pour choisir un ou une invitée. Le nom de Nina Bouraoui a tout de suite été prononcé.


D’abord parce qu’elle vient de publier l’un de ses récits les plus personnels, « Grand Seigneur », chez JC Lattès, dans lequel elle raconte les derniers jours de la vie de son père admis en soins palliatifs à la maison médicale Jeanne-Garnier en mai 2022. Elle dit dans ce livre les mystères qu’elle sait de lui et la façon dont elle l’a regardé, admiré, depuis toute petite jusqu’à ses derniers jours.


Aussi, parce qu’en parallèle de ce livre d’une grande ampleur littéraire, elle publie « Le désir d’un roman sans fin », recueil de chroniques et de textes intimes sur le réel de notre société et sur la façon dont une écrivaine parvient à le traduire, parfois à le transformer. Et surtout, parce que les écrits de Nina Bouraoui questionnent l’écriture comme acte de désir, de sensualité, un feu tendu vers l’autre qui cherche à être vue, à être aimée, qui cherche l’invention comme source même de la vérité.


Lire ces deux livres en parallèle permet d’avoir une perspective précise de la place de l’écriture dans la vie de cette romancière. « Écrire est un acte, lit-on chez Nina Bouraoui. Le livre est le résultat d’une liaison, d’un désir, d’un rapport. Il ne s’agit pas de naissance, un livre n’est pas un enfant. Il s’agit de sexualité ».


Livres mentionnés et cités dans l’épisode

  • “Grand seigneur” (Lattès, 2024)

  • “Le désir d’un roman sans fin” (Lattès, 2024)


Crédits pour l’épisode 28

Création et réalisation : Lauren Malka.

Montage : Lauren Malka

Mixage : avec la collaboration de Thomas Aguettaz

Musique : “Machine à écrire” Paroles : Louise Pressager / Musique Ferdinand

Identité graphique : Nina Jovanovic.

Direction générale : Elise Nebout. 

Crédit photo Nina Bouraoui : © Patrice Normand 


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Cet épisode consacré à Nina Bouraoui a été enregistré en public sur la grande scène du Centre Pompidou dans le cadre du festival “Effractions”. Pour sa 5e édition, du 6 au 10 mars 2024, ce festival consacré aux littératures contemporaines sur le thème du “Réel”, a réuni son équipe et celle de l’école Les Mots pour choisir un ou une invitée. Le nom de Nina Bouraoui a tout de suite été prononcé.


D’abord parce qu’elle vient de publier l’un de ses récits les plus personnels, « Grand Seigneur », chez JC Lattès, dans lequel elle raconte les derniers jours de la vie de son père admis en soins palliatifs à la maison médicale Jeanne-Garnier en mai 2022. Elle dit dans ce livre les mystères qu’elle sait de lui et la façon dont elle l’a regardé, admiré, depuis toute petite jusqu’à ses derniers jours.


Aussi, parce qu’en parallèle de ce livre d’une grande ampleur littéraire, elle publie « Le désir d’un roman sans fin », recueil de chroniques et de textes intimes sur le réel de notre société et sur la façon dont une écrivaine parvient à le traduire, parfois à le transformer. Et surtout, parce que les écrits de Nina Bouraoui questionnent l’écriture comme acte de désir, de sensualité, un feu tendu vers l’autre qui cherche à être vue, à être aimée, qui cherche l’invention comme source même de la vérité.


Lire ces deux livres en parallèle permet d’avoir une perspective précise de la place de l’écriture dans la vie de cette romancière. « Écrire est un acte, lit-on chez Nina Bouraoui. Le livre est le résultat d’une liaison, d’un désir, d’un rapport. Il ne s’agit pas de naissance, un livre n’est pas un enfant. Il s’agit de sexualité ».


Livres mentionnés et cités dans l’épisode

  • “Grand seigneur” (Lattès, 2024)

  • “Le désir d’un roman sans fin” (Lattès, 2024)


Crédits pour l’épisode 28

Création et réalisation : Lauren Malka.

Montage : Lauren Malka

Mixage : avec la collaboration de Thomas Aguettaz

Musique : “Machine à écrire” Paroles : Louise Pressager / Musique Ferdinand

Identité graphique : Nina Jovanovic.

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