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Voyage avec Baba Minca, la tête dans les roses - Bulgarie cover
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Autochtone

Voyage avec Baba Minca, la tête dans les roses - Bulgarie

Voyage avec Baba Minca, la tête dans les roses - Bulgarie

17min |10/06/2025
Play
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Description

Dans cet épisode d’autochtone, direction la Bulgarie, au cœur de la vallée des roses. Chaque année, cette région vit au rythme d’une récolte millénaire, réputée dans le monde entier pour son huile essentielle précieuse. C’est là que je rencontre Baba Minca, 75 ans, cueilleuse de roses. Elle vit dans le village d’Asen, non loin de Kazanlak, capitale de la rose et ville connue pour son grand festival annuel. La Bulgarie en exporte des centaines de kilos chaque année vers plus de trente pays, mais la cueillette reste un travail exigeant et peu rémunéré.


Grâce à Louiza, une hôte rencontrée via le couchsurfing, j’accède à une petite exploitation familiale. Ici, la culture locale se mêle au lien social : les retraités se retrouvent à l’aube pour cueillir ensemble, avant que la rosée ne sèche et que la teneur en huile ne diminue. Dans le champ, les gestes sont précis : pincer doucement sous les pétales, remplir les sacs de fleurs encore fraîches.


Baba Minca raconte sa vie simplement. Avant, elle travaillait dans l’armement à Kazanlak. À la retraite, elle est revenue à la terre, cultivant la rose de Damas comme complément de revenu et surtout pour le plaisir. Membre d’une coopérative, elle vend sa récolte à la distillerie locale, où l’or liquide prend forme. Entre deux saisons, elle préside un club de retraités, organise des voyages et chante dans un groupe traditionnel.

À travers ce voyage en Bulgarie, cet épisode mêle rencontre et récits de vie, témoignages d’une génération marquée par le socialisme et la transformation du pays. Au-delà des chiffres et des marchés, il parle d’attachement à la terre, de plaisir simple et de transmission. Une immersion au parfum de roses, où chaque geste compte, et où la beauté du matin se cueille avant que le soleil ne monte.


Merci à Baba Minca évidemment, Luiza Toteva pour avoir grandement facilité la réalisation de cet épisode un peu complexe et à Marie Salinier pour le prêt de sa voix.


Autochone, c'est le podcast voyage reportage qui part à la rencontre du monde.


Logo : Romain Didier


Crédit musique :

Arecife by espacio negativo

Awamamba, AMbeef

Trying To Get Closer, Kearns Lord

Wholesome, Kevin Mac Load



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans cet épisode d’autochtone, direction la Bulgarie, au cœur de la vallée des roses. Chaque année, cette région vit au rythme d’une récolte millénaire, réputée dans le monde entier pour son huile essentielle précieuse. C’est là que je rencontre Baba Minca, 75 ans, cueilleuse de roses. Elle vit dans le village d’Asen, non loin de Kazanlak, capitale de la rose et ville connue pour son grand festival annuel. La Bulgarie en exporte des centaines de kilos chaque année vers plus de trente pays, mais la cueillette reste un travail exigeant et peu rémunéré.


Grâce à Louiza, une hôte rencontrée via le couchsurfing, j’accède à une petite exploitation familiale. Ici, la culture locale se mêle au lien social : les retraités se retrouvent à l’aube pour cueillir ensemble, avant que la rosée ne sèche et que la teneur en huile ne diminue. Dans le champ, les gestes sont précis : pincer doucement sous les pétales, remplir les sacs de fleurs encore fraîches.


Baba Minca raconte sa vie simplement. Avant, elle travaillait dans l’armement à Kazanlak. À la retraite, elle est revenue à la terre, cultivant la rose de Damas comme complément de revenu et surtout pour le plaisir. Membre d’une coopérative, elle vend sa récolte à la distillerie locale, où l’or liquide prend forme. Entre deux saisons, elle préside un club de retraités, organise des voyages et chante dans un groupe traditionnel.

À travers ce voyage en Bulgarie, cet épisode mêle rencontre et récits de vie, témoignages d’une génération marquée par le socialisme et la transformation du pays. Au-delà des chiffres et des marchés, il parle d’attachement à la terre, de plaisir simple et de transmission. Une immersion au parfum de roses, où chaque geste compte, et où la beauté du matin se cueille avant que le soleil ne monte.


Merci à Baba Minca évidemment, Luiza Toteva pour avoir grandement facilité la réalisation de cet épisode un peu complexe et à Marie Salinier pour le prêt de sa voix.


Autochone, c'est le podcast voyage reportage qui part à la rencontre du monde.


Logo : Romain Didier


Crédit musique :

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Dans cet épisode d’autochtone, direction la Bulgarie, au cœur de la vallée des roses. Chaque année, cette région vit au rythme d’une récolte millénaire, réputée dans le monde entier pour son huile essentielle précieuse. C’est là que je rencontre Baba Minca, 75 ans, cueilleuse de roses. Elle vit dans le village d’Asen, non loin de Kazanlak, capitale de la rose et ville connue pour son grand festival annuel. La Bulgarie en exporte des centaines de kilos chaque année vers plus de trente pays, mais la cueillette reste un travail exigeant et peu rémunéré.


Grâce à Louiza, une hôte rencontrée via le couchsurfing, j’accède à une petite exploitation familiale. Ici, la culture locale se mêle au lien social : les retraités se retrouvent à l’aube pour cueillir ensemble, avant que la rosée ne sèche et que la teneur en huile ne diminue. Dans le champ, les gestes sont précis : pincer doucement sous les pétales, remplir les sacs de fleurs encore fraîches.


Baba Minca raconte sa vie simplement. Avant, elle travaillait dans l’armement à Kazanlak. À la retraite, elle est revenue à la terre, cultivant la rose de Damas comme complément de revenu et surtout pour le plaisir. Membre d’une coopérative, elle vend sa récolte à la distillerie locale, où l’or liquide prend forme. Entre deux saisons, elle préside un club de retraités, organise des voyages et chante dans un groupe traditionnel.

À travers ce voyage en Bulgarie, cet épisode mêle rencontre et récits de vie, témoignages d’une génération marquée par le socialisme et la transformation du pays. Au-delà des chiffres et des marchés, il parle d’attachement à la terre, de plaisir simple et de transmission. Une immersion au parfum de roses, où chaque geste compte, et où la beauté du matin se cueille avant que le soleil ne monte.


Merci à Baba Minca évidemment, Luiza Toteva pour avoir grandement facilité la réalisation de cet épisode un peu complexe et à Marie Salinier pour le prêt de sa voix.


Autochone, c'est le podcast voyage reportage qui part à la rencontre du monde.


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Dans cet épisode d’autochtone, direction la Bulgarie, au cœur de la vallée des roses. Chaque année, cette région vit au rythme d’une récolte millénaire, réputée dans le monde entier pour son huile essentielle précieuse. C’est là que je rencontre Baba Minca, 75 ans, cueilleuse de roses. Elle vit dans le village d’Asen, non loin de Kazanlak, capitale de la rose et ville connue pour son grand festival annuel. La Bulgarie en exporte des centaines de kilos chaque année vers plus de trente pays, mais la cueillette reste un travail exigeant et peu rémunéré.


Grâce à Louiza, une hôte rencontrée via le couchsurfing, j’accède à une petite exploitation familiale. Ici, la culture locale se mêle au lien social : les retraités se retrouvent à l’aube pour cueillir ensemble, avant que la rosée ne sèche et que la teneur en huile ne diminue. Dans le champ, les gestes sont précis : pincer doucement sous les pétales, remplir les sacs de fleurs encore fraîches.


Baba Minca raconte sa vie simplement. Avant, elle travaillait dans l’armement à Kazanlak. À la retraite, elle est revenue à la terre, cultivant la rose de Damas comme complément de revenu et surtout pour le plaisir. Membre d’une coopérative, elle vend sa récolte à la distillerie locale, où l’or liquide prend forme. Entre deux saisons, elle préside un club de retraités, organise des voyages et chante dans un groupe traditionnel.

À travers ce voyage en Bulgarie, cet épisode mêle rencontre et récits de vie, témoignages d’une génération marquée par le socialisme et la transformation du pays. Au-delà des chiffres et des marchés, il parle d’attachement à la terre, de plaisir simple et de transmission. Une immersion au parfum de roses, où chaque geste compte, et où la beauté du matin se cueille avant que le soleil ne monte.


Merci à Baba Minca évidemment, Luiza Toteva pour avoir grandement facilité la réalisation de cet épisode un peu complexe et à Marie Salinier pour le prêt de sa voix.


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