Description

Sujets traités :

• De drôles de colocataires à Sélestat. Depuis 5 ans, les habitants d’une maison sélestadienne partagent leur toit avec une famille de faucons crécerelle. Bien que surprenante, cette cohabitation est répandue dans le Grand Est. D’une trentaine de centimètres à l’âge adulte, le faucon crécerelle se nourrit à 95% de rongeurs et n’a aucun impact nocif pour l’homme. Plusieurs individus ont également pu être observés à la mairie de Neuve-Eglise dans la vallée de Villé. Si vous repérez chez vous ces petits rapaces ou d’autres animaux, vous pouvez les signaler sur le site faune-alsace.org. En cas d’animal blessé, n’hésitez pas à contacter la Ligue pour la protection des oiseaux. 

• Les jours de l’Euro-mir ne sont plus vraiment comptés. Alors que de nombreuses rumeurs sur une démolition de l'attraction vieille de presque 30 ans couraient depuis plusieurs mois, Michael Mack, co-gérant de Europa-Park, a confié à nos confrères du quotidien allemand Badische Zeitung, que l’attraction sera remaniée et bénéficiera d’un nouveau tracé. En plus de cela le concept global sera également modifié, arborant un design 360° basé sur le Voltron Nevera. 

• Faits divers avec de la prison pour un harceleur récidiviste. Un homme âgé d’une trentaine d'années connu de la justice pour des faits de harcèlement sur mineur a une nouvelle fois été placé en garde à vue en fin de semaine dernière. Déjà condamné à deux reprises, l’accusé était sous bracelet électronique lors des faits les plus récents. L’homme originaire d’Orbey était entré en contact via le réseau social Snapchat, avec la fille de sa collègue âgée de 13 ans. Jugé lundi, le parquet l’a condamné à 9 mois de prison, une interdiction d'exercer une activité en contact avec des mineurs pendant 10 ans, et à la suppression de son compte Snapchat pendant un an.

• De la prison aussi pour un compagnon violent. Originaire de Soultz, le jeune de 24 avait été interpellé le 20 juin dernier après un appel des voisins. Placé en détention provisoire, il a été déféré devant le tribunal en début de semaine. Jugé pour des coups, morsures et étranglement, ainsi que des violences psychologiques et sociales sur sa compagne âgée de 20 ans, le prévenu a été condamné à 3 ans de prison, dont un avec sursis probatoire pendant 2 ans, une obligation de soins pour son impulsivité et l’interdiction d’entrer en contact avec la victime et à une amende de 400 euros. Il devra indemniser la jeune femme à hauteur de 3 200 euros.

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