Transcription

• Speaker #0

  Voilà tout le monde, j'espère que vous allez bien, que vous passez une merveilleuse journée, une bonne nuit, une bonne soirée, je sais pas trop à quelle heure vous allez écouter cette introduction, mais en tout cas j'espère que vous êtes au top et que vous êtes prêts et prêtes à m'accorder 5 petites minutes, un peu plus, ça dépend, mais je pense que 5 minutes ça devrait suffire pour une intro, parce qu'on va papoter un petit peu de ce podcast. Par contre je sais pas du tout si c'est quelque chose de classique ou pas de... j'en perds ma voix, c'est dingue, de faire une introduction pour un podcast. Mais je sais pas, ça me paraissait essentiel, déjà juste pour me présenter à vous, pour vous présenter le podcast, ce qui va arriver dans les semaines à venir, etc. Qu'est-ce qu'on va y faire, de quoi on va parler ? Bref, ça me paraissait normal. Mais je vais commencer quand même par me présenter à moi. Donc moi c'est Sonia, j'ai 28 ans, je suis actuellement à Bordeaux. Pas originaire de Bordeaux, j'ai quand même vécu la... majeure partie de ma vie à côté de nos amis belges là-haut. Donc voilà, ensuite je suis partie à Clermont-Ferrand pour finir ma fac de droit, enfin faire ma fac de droit, finir ma fac de droit, et j'ai débarqué à Bordeaux il y a à peu près 4-5 ans. Voilà, très très belle ville Bordeaux, j'aime beaucoup, il y a beaucoup de choses à faire, les gens sont sympas en général, mais ouais, très très belle ville. Et je dois avouer que depuis que je suis à Bordeaux, je fais énormément de choses, je rencontre... énormément de gens différents, j'ai une vie plutôt active et je me suis découvert plein de passions, de centres d'intérêts que je n'avais pas avant donc c'est hyper cool et récemment le podcast est arrivé comme une idée comme une autre, vraiment je m'étais dit ok pourquoi pas un podcast ça peut être cool etc je me rends compte bien évidemment que faire un podcast, c'est beaucoup plus que prendre un micro, parler et mettre en ligne. Il y a tellement de choses derrière, du montage, etc. Enfin bref. Mais l'idée d'un podcast, elle m'est venue aussi naturellement parce que chez mes amis, j'ai cette image de la bonne copine qui a une bonne épaule, qui écoute, qui a une ouverture d'esprit plutôt large. Et j'avais vraiment envie de retranscrire toute cette bienveillance et ce mood de ouais, viens, on... on parle, on discute, on se pose, on va parler de la vie, etc. et de toutes les problématiques que ça pose dans un podcast. Donc ça, c'était vraiment le point de départ. Autre chose qui est très très important pour moi, et je suis obligée de le mentionner, c'est quelque chose qui fait partie de ma vie, de mon éducation, de ma culture, c'est le partage, tout simplement. J'ai une maman algérienne, un papa espagnol, et c'est vrai qu'en Méditerranée, on est très dans le partage, donc ça aussi, c'est quelque chose qui fait que... J'avais envie de monter un podcast et vous verrez sur les épisodes, je serai très régulièrement accompagnée parce que j'ai pas du tout envie de prendre un micro et de parler toute seule. Et même si c'est pour vous le partager à vous ensuite et que je sais qu'il y aura une écoute derrière, j'ai vraiment envie de partager l'expérience. Donc voilà un petit peu le pourquoi du comment de ce podcast et je pense que maintenant je vais vous parler de la création du podcast et surtout de la recherche du nom. du podcast qui a été une vraie croisade. Je sais pas si certains d'entre vous ont un podcast ou comptent créer un podcast, mais vous pourrez témoigner du fait que trouver, chercher un nom pour un podcast c'est juste un enfer. Et pourtant, je partais pleine de bonnes intentions. Je m'étais dit le nom du podcast, c'est vraiment le truc le plus facile que j'ai à faire dans la création de mon truc. Et ben non, je me suis complètement foirée parce que Et je sais pas pourquoi jusqu'à aujourd'hui, j'arrive pas à comprendre pourquoi c'est si dur. Peut-être parce qu'on a envie de pérenniser le truc et qu'on se dit ouais, il faut trouver un truc cool, qui parle à tout le monde, mais qui me parle à moi aussi, qui va avec ce que je veux donner, en fait, l'image simplement de mon podcast. Bref, un calvaire. Du coup, très naturellement, je suis passée par plein de noms de podcasts. Je vais pas vous les citer parce que j'en ai trop honte. Mais bref, je suis passée par plein de trucs, des noms composés, des trucs... Bref. Et je suis revenue un peu à l'essentiel, parce que mon podcast s'appelle Babylone, et que Babylone, c'est une très longue histoire que je vais vous expliquer maintenant. Babylone, c'est le surnom que j'ai sur les réseaux sociaux depuis une dizaine d'années à peu près, je sais pas pourquoi, me demandez pas pourquoi, mais je pense que j'étais dans ma période un peu cringe de je veux être mystérieuse sur les réseaux sociaux je devais pas mettre mon nom sur les réseaux sociaux, et du coup je me suis cherché un... un surnom que j'ai trouvé dans une musique d'une de mes artistes préférées of all time que je suis depuis 2014. C'est pour vous dire à la pop-up là, il y a quelques années. Et cet artiste, c'est Césa. Alors je ne sais pas si vous la connaissez, peut-être que oui, sûrement que oui même. Mais si jamais vous ne connaissez pas Césa, je vous invite à l'écouter. Ses musiques qui sont juste top, son univers est top. Et elle, bon ben voilà, je ne vous fais pas de... Vous verrez. C'est une juicy mamacita quoi. Et du coup, en 2014, César a fait une musique qui s'appelait, et qui s'appelle toujours d'ailleurs, Babylone. Et je me souviens très bien avoir écouté cette musique en 2014 et m'être pris une espèce de clacasse dans la figure, parce que c'était juste, artistiquement parlant, une nouveauté. Enfin, comment vous expliquer ? À l'époque, on n'écoutait pas du tout ça. Moi, quand je fais le parallèle avec ce que j'écoutais, c'était... pas du tout similaire, et elle arrivait avec son univers, avec son physique hyper atypique qui fait d'elle une femme incroyable. Le clip était fou, les paroles étaient folles, enfin, bref, une claque. Et à partir de là, du coup, Babylone, je l'ai gardé un peu pour tout, pour mes réseaux sociaux, et c'était principalement pour mes réseaux sociaux. Mais voilà, je trouvais que ça se souvenait bien en plus, Babylone, c'est doux, c'est... je sais pas. Bon bref, et j'ai gardé, et voilà pourquoi je suis un petit peu revenue à l'essentiel, parce que c'est quand même mon surnom depuis une dizaine d'années, tiré d'une musique que j'adore, d'une artiste que je soutiens de fou. Donc voilà, donc bienvenue sur Babylone les gars, et les filles, bien sûr, enfin les gars, bref. Vous m'avez compris quoi. Et sur Babylone, on va parler de plein plein de choses. Ça va être des sujets pour la plupart du temps universels, qui nous touchent toutes et tous. Voilà, donc on va parler de beaucoup de choses, et c'est pour ça que j'ai envie d'inviter des gens aussi sur ce podcast, parce que j'ai envie d'avoir des retours d'expérience. Je sais qu'on n'a pas tous les mêmes bagages, je sais qu'on n'a pas tous vécu les mêmes choses, et j'ai envie qu'on partage ça. Donc... Donc si vous êtes prêts à écouter un petit peu des choses qui vont vous concerner sûrement, parce que ce sera des sujets de la vie, ce sera des problématiques de la vie, et bien vous êtes au bon endroit. Et n'hésitez pas à venir aussi sur les réseaux sociaux, notamment sur Instagram, où je vais partager quand même pas mal d'actu du podcast. Et vous pourrez venir aussi partager votre avis, nous dire ce que vous en avez pensé, venir blablater un peu avec nous. Alors attention dans la limite du raisonnable, parce que je sais qu'on va aborder des sujets plutôt durs, plutôt... profond parfois, mais on n'est pas psy, on n'est pas médecin, on est là vraiment pour partager, pour se donner de la force et beaucoup de love. Donc voilà, si vous êtes prêts à partager ça, c'est cool. Je pense qu'on arrive sur la fin de cette introduction, je pense et j'espère vous avoir dit tout ce que j'avais à dire. Si jamais j'ai raté des choses importantes, vous les retrouverez sur les réseaux sociaux, comme je vous ai dit, donc je ne me fais pas de soucis. J'avais dit 5 minutes, je ne sais pas trop où j'en suis en termes de timing, mais bref. j'espère que vous avez passé un bon moment et que vous êtes prêtes et prêts pour la suite qui va arriver très très vite, en attendant je vous fais plein de gros bisous, je vous souhaite une très bonne journée une bonne nuit, je sais toujours pas où vous en êtes mais bref, peu importe où vous êtes, je vous souhaite de passer un bon moment et je vous dis à très vite, voilà des gros bisous, bye