Salut la famille ! On est de retour avec un nouvel épisode de C’est comment ? qui, on l’espère, va autant vous inspirer qu’il nous a touchés.   Cette semaine, on reçoit Ruben, un jeune homme de 24 ans au parcours aussi atypique que fascinant. Ruben est né bègue, mais cela ne l’a pas empêché de rêver grand. Dès ses 13 ans, il se passionne pour la magie, un art qui deviendra une véritable échappatoire. À 16 ans, il monte sur scène pour la première fois et dévoile son talent au grand public. Mais c’est en 2020, pendant le confinement, que tout bascule : Ruben perce sur TikTok avec des vidéos qui allient magie et humour, notamment celle où il offre des donuts à la police.   Aujourd’hui, Ruben est créateur de contenu, podcasteur et nourrit un rêve fou : devenir animateur télé et remplir le dôme de Paris ; faire de son art un mode de vie. En effet, la magie et la création de contenu ne sont pas qu’une passion pour lui, ce sont aussi des moyens d’expression qui l’aident à surmonter son bégaiement. Sur scène ou face à la caméra, Ruben ne bégaie pas. Ces moments suspendus sont pour lui une véritable libération et une preuve que nos passions peuvent transformer nos vies.   Dans cet épisode, on revient avec lui sur son parcours, ses défis, et la manière dont il a appris à transformer ses "faiblesses" en force. Son histoire est une vraie leçon de résilience et de persévérance.   Alors, installez-vous bien et découvrez le parcours d’un magicien qui fait disparaître bien plus que des cartes… mais aussi les barrières de la vie !   Et comme toujours, n’oubliez pas : abonnez-vous, likez et partagez autour de vous. On est là pour vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Salut la famille ! Bienvenue sur la (déjà) saison 3 de C'est comment ? Avant toute chose, on tient à vous souhaiter une belle année 2025, que celle-ci vous apporte tout ce que vous espérez et vous donne la force d'affronter les moins hauts, qu'on connaît tous et qui font partie de la vie. Pour ce nouvel épisode, quoi de mieux que de commencer l'année avec LE sujet que Cassy souhaitait aborder depuis longtemps. On va parler de sexualité en banlieues. Et on voit vous venir avec la question "euh, mais pourquoi ?". Et bien, ça, on vous laisse le découvrir dans l'épisode directement. Notre invité, Anas, a trouvé la force et le courage de venir témoigner à visage découvert de son expérience et pour ça, on lui dit merci. À l'âge de tous les possibles, Anas, découvre peu à peu son attirance pour les hommes. Cependant, son environnement socio-culturel, sa famille sont un frein à la libre expression de sa sexualité. Il vit en banlieues. Ces milieux où la sexualité est très codifiée voire tabouisée et où la masculinité règne en maître. S'ajoute à cela, une violence non dissimulée à l'égard de ceux qui sortent des sentiers battus de la société hétéronormée. Anas, est victime de plusieurs agressions. Une atmosphère anxiogène dans laquelle il doit évoluer en permanence. Il trouve son réconfort dans les petits moments en dehors de la banlieue où il rencontre des gens ouverts d'esprit, accueillants, à l'écoute et compréhensifs. Mais cela n'est que de courte durée. Une fois de retour chez lui, ça recommence ! Il souffre d'une grande solitude, sans aucune figure de représentation, il plonge dans la dépression et pense même au s*icide. Sa famille, dont le poids culturel et religieux est fort, n'envisage en aucun cas cette possibilité. Ils tiennent des propos clairement censurables, voire homophobes. Conscient qu'il ne fait de mal à personne, Anas, décide de s'assumer et d'être qui il a envie d'être. Pour les autres, "tu prends tant mieux, tu ne prends pas, tant pis". Son partage d'expérience et son témoignage sont largement vecteurs d'espoir pour l'ensemble de la communauté LGBTQIA+. Avec C'est comment ? Vous n'êtes pas seuls. Nos épisodes sont là pour éteindre cette solitude dans laquelle on croit se fondre. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

À l'ère des réseaux sociaux où le monde semble parfait, où chacun est beau, fait un travail qu'il aime, pratique une activité sportive… Bref, un monde (presque) parfait, en théorie, au travers de l'objectif de notre appareil photo (aujourd'hui simplement remplacé par l'IPhone 362). Un peuple résiste et se revendique. Non, je ne parle pas de la génération 90, qui selon les sources non sourcées des réseaux sociaux, est la génération perdue. Non, je parle de tous ces gens, autour de vous ou même vous, qui se posent inlassablement la question de : mais en fait, je fous quoi là ? C'est quoi le sens de ma vie ? Hé bien, welcome to "la crise existentielle". Notre invité à qui je vous l'accorde "l'habit ne fait pas le moine" se pose ces questions depuis bien trop longtemps. Âgée de presque 30 ans, elle additionne les expériences professionnelles en tout genre. Une belle façon de savoir ce qu'elle veut et surtout ce qu'elle ne veut pas. Multi passionnée, Tricite, cherche sa voix. Grâce à la lecture de nombreux ouvrages de développement personnel, elle commence à tracer le chemin d'une réponse. Pourtant, elle nous le dit, ce n'est pas facile. Entre la pression de la société, celle de votre famille et celle de vos proches et la procrastination (le mal du XXIe siècle), parfois vous préférez vous murer dans le silence et feindre, comme beaucoup, que finalement, vous savez pourquoi vous êtes ici, pourquoi vous exercer cet emploi, pourquoi vous êtes avec cette personne… Bien que le Covid (il y a 5 ans maintenant) a permis de remettre en perspective nombre d'ambitions pour permettre à beaucoup de donner un réel sens à leur vie, d'autres bataillent encore. La réponse n'est pas donnée toute cru. Cependant, Tricite, le sait et elle le dit, la réponse est au fond d'elle. Aujourd'hui, animatrice du média "Welcome to the backstage", elle propulse sur le devant de la scène, les coulisses au travers d'échanges authentiques avec les personnes qu'elle rencontre. Elle aime faire ça, mais ne sait pas si c'est THE chemin. Des questions qui restent en suspens. Un témoignage aussi solaire que bouleversant. La venue de Tricite au micro de C'est comment ? Fait un bien fou à toutes les âmes qui se cherchent. Non, vous n'êtes pas seuls. Et puis se chercher, ce n'est pas si grave, car quand on cherche, on finit toujours par trouver ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Depuis 2001, le dispositif Convention Éducation Prioritaire (CEP) permet à des jeunes étudiants issus de milieux populaires d'intégrer Sciences Po Paris, LA prestigieuse institution française d'enseignement supérieur spécialisée dans les sciences sociales. En 2023, près de 24 %, des étudiants étaient issus de ces quartiers. Quelques années auparavant, notre invité Hamza, a lui aussi eu la chance (ou le travail acharné) d'intégrer cette école prestigieuse.   Bon élève dans un lycée conventionné, il entend parler de ce programme grâce à un professeur à qui il dit encore merci aujourd'hui, car sans lui, il n'aurait pas eu connaissance d'une telle opportunité. Il s'y intéresse, postule et est accepté. Un cri, littéralement, de joie se fait entendre le jour des résultats favorables. C'est le début d'une nouvelle vie, une vie d'étudiant avec ses bons et ses moins bons côtés. Une vie dans un milieu différent de celui dans lequel il a grandi à le Mée-sur-Seine. Et pourtant ! Il y trouve sa place, se forge un caractère et une mentalité empreints des deux cultures : la culture de la banlieue et la culture "Sciences Po". Contrairement à beaucoup, Hamza ne les oppose pas, mais les superpose. Son challenge réside dans sa capacité à épouser ses deux aspects de sa personne, sans abandonner l'un au détriment de l'autre.   Malheureusement, dès les premiers jours, il fait face à des remarques très inappropriées pour ne pas dire racistes. Mais Hamza progresse encore mieux dans l'adversité. Prouver, d'abord à lui, à ses parents, à sa famille et aux autres qu'il peut y arriver est son mantra, car "Entrer à Sciences Po est une chose, y rester en est une autre". Il décroche son Master puis entre dans la vie active.   Aujourd'hui âgé de 33 ans, il est adjoint chargé des finances auprès du Maire du Mée-sur-Seine. Ses ambitions sont multiples et sa vocation est tracée : il souhaite œuvrer pour sa communauté, les personnes avec qui il a grandi, les enfants des enfants des personnes qui l'ont entouré. Bref, vous l'aurez compris, son objectif est de rapporter le savoir qu'il a acquis pour le bien de sa ville.   Une révélation exclusive vous attend à la fin de cet épisode !   Plus qu'un exemple, Hamza est une véritable figure de représentation de ces jeunes parfois oubliés, mais qui sont de plus en plus nombreux et on en est les premiers ravis !   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Et si je vous donnais la possibilité d'abandonner votre travail pour faire de votre passion ? Que me diriez-vous ? Certainement un grand oui d'excitation, mais aussi un grand non car votre raison vous guide. Le cœur a ses raisons que la raison ignore, parait-il. Mais vous êtes vous déjà demandé pourquoi vous ne le feriez pas ? Nous sommes prêts à parier à 100% que cela est à cause de la moula, l'argent, la money, le cash. Bref, le vice de la Terre quoi ! Mais si on enlevait ce paramètre, qu'en serait-il ? Vous avez 4h ! Pour réfléchir sur votre vie, vos buts : votre chemin.   Du haut de ses 2m, notre invité, Florian, l'a fait ! Il a tout abandonné pour se consacrer à sa nouvelle passion : l'hypnose. Alors, dit comme ça, on admet que ça parait féerique. Mais ce virage est la conséquence d'un burn-out bien trop sévère pour ne pas laisser de marques. Lui, qui se pensait carriériste et dont toutes les étoiles professionnelles s'étaient alignées parfaitement, se retrouve à revoir le plan de base. Il démissionne et par le hasard tombe sur une personne qui fait de l'hypnose. Ça le frappe et l'intéresse bien plus que tout les autres sujets auparavant.   Il prend les devants et se forme. À force de persévérance et entraînement, il parvient à son objectif. Aujourd'hui, il exerce depuis quelques années, vit de sa passion et un réel animateur de son show qu'il veut avant tout éthique. Retirer les tabous et les peurs sur l'hypnose est un peu son mantra. Il propose ses services pour tout type d'événements. Et un jour, pourquoi pas, avoir son propre spectacle à l'instar de Messmer, la référence dans le milieu de l'hypnose.   De cet échange, nous en avons retenu une immense sympathie et une sensibilité palpable. Mais surtout une expérience incroyable où nous avons été nous-mêmes hypnotisés ! Alors si vous voulez en savoir plus, laissez vous guider jusqu'à la fin de cette vidéo. En-tout-cas, nous, on recommande ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Et si je vous demandais de me citer les phrases culte sur l'amour. On est d'accord, vous en trouverez à la pelle : l'amour dure 3 ans, l'amour rend aveugle, l'amour donne des ailes, l'amour toxique… Stop ! On va s'arrêter sur le dernier. Oui, parce que l'amour dure 3 ans ça fait déjà assez mal comme ça à lire, mais l'amour toxique, encore plus ! Mais finalement, c'est quoi un amour toxique ? Par opposition à un amour sain, le dictionnaire Larousse 2.0 soit ChatGPT, le définit comme : "Une relation amoureuse caractérisée par des dynamiques néfastes qui causent de la souffrance émotionnelle, psychologique ou physique à l’un ou aux deux partenaires." Alors, vous pouvez passer votre chemin si vous n'en avez jamais connu. Quoique, le côté "on sait jamais" l'emporte alors en fait, restez là et écoutez ce tout nouvel épisode avec notre invité Ilona. Une invitée qui malgré un sujet assez lourd et révélateur de nombreux traumas pour nombre d'entre nous, nous a donné le sourire et nous a diffusé une onde de bonnes énergies. De son histoire, elle s'est relevée encore plus forte. Marquée par une histoire d'amour toxique (toxic love for real !) où régnait violence psychologique, verbale pour finir en apothéose sur de la violence physique, elle dit NON, lâche tout, ne fait jamais retour arrière et avance. Son témoignage autour de l'un de nos sujets préférés nous a semblé être l'opportunité parfaite de mettre en avant un sujet bien trop minimisé. D'un mot presque valise "toxique", on ne mesure plus l'importance et les conséquences qui se cachent derrière. C'est une relation qui se détruit à petit feu, mais aussi et surtout, deux êtres humains dont le lien ne fait qu'entacher l'humanité de l'autre. On parle d'emprise, de manipulation, de dépendance, d'autodestruction, d'infidélité… Bref, vous l'aurez compris, on est bien loin du conte de fées Disney. Et pourtant, le happy ending existe, il est possible de s'en sortir : une question de volonté, de courage, d'opportunité ; appelez-le comme vous le souhaitez. Mais il faut savoir dire non, s'affranchir et garder le cap. La voie vers un amour sain est devant vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Un nouvel épisode où le rapport à soi est plus que jamais au centre de la conversation grâce à notre impactant invité, Shanone, qui vient nous livrer son histoire. Non, sans une certaine émotion, elle revient pour nous, sur les années sombres de sa vie où elle se blanchissait le teint. Son but ? Devenir blanche. D'une enfance aisée dans un milieu prédominé par les personnes blanches à son entrée à la fac, Shanone grandit en comparaison avec les autres. Elle ne comprend pas sa couleur de peau. Pire, elle ne l'accepte pas. Dès sa préadolescence, elle décide de se blanchir la peau en utilisant des produits grandement nocifs, plus communément appelés tchoko. Cette pratique, majoritairement utilisée par les Africains d'Afrique noire, tend à éclaircir le teint avec des conséquences désastreuses. Il détruit la peau causant démangeaisons, brûlures, etc. Cette période de sa vie va durer quelques années. Elle croit trouver au travers d'une peau plus claire, une paix intérieure et une reconnaissance. C'est en devenant une jeune adulte que Shanone se rend compte de son erreur. Elle entame un travail de déconstruction, mais aussi de connaissance sur ses origines. C'est en comprenant d'où l'on vient que l'on sait où l'on va. Elle décide d'arrêter net l'usage de ses produits toxiques. En parallèle, elle se forme à tout ce qui touche au bien-être et accroît sa connaissance des produits de beauté. Elle décide d'en faire son métier et accompagne depuis de nombreuses années maintenant sa clientèle sur toutes les thématiques de bien-être grâce au drainage lymphatique et à sa formation de facialiste. Elle n'hésite pas à faire part de son histoire pour sensibiliser à la cause et est l'auteur d'un livre qui retrace son histoire. Bientôt, disponible en février 2025. Bassiné par les standards de beauté caucasiens, cet épisode met en exergue l'importance et l'influence des modèles de représentations. Il convient de noter l'omnipotence qu'ont les médias, les publicités et plus généralement, les canons de beauté que l'on met en avant. Il est temps de prendre en main notre histoire et de faire grandir la diversité des représentations pour plus de tolérance envers les autres et envers soi-même. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

25 000. C'est le nombre de personnes, en 2023, en attente d'une greffe d'organe. Un chiffre qu'on découvre et dont on a souvent peu voire pas connaissance. Marion, notre invité, le dit elle-même, s'il ne lui était pas arrivé tout ça, peut-être qu'elle aussi n'en aurait pas conscience. Pourtant, la vie en a décidé autrement pour elle. À l'âge de 9 ans, après de multiples infections, le verdict tombe. Ses reins sont en piteux état et impossible d'y remédier. Elle doit subir une binéphrectomie, c'est-à-dire l'ablation de ses deux reins. Une nouvelle qui abasourdit la famille et plonge Marion dans le processus long et difficile de la dialyse. Cette machine qui vient remplacer les reins et qu'elle doit visiter trois fois par semaine. Fort heureusement, elle est bien accompagnée. Cela dure assez longtemps, plus d'un an et demi. Jusqu'à ce jour fatidique du 11 décembre 2011. Une journée que Marion ne pourra à jamais oublier tant ça l'a marqué. Une journée où les émotions se sont mélangées, des émotions aux antipodes. Elle apprend ce même jour, la mort de sa grand-mère et la disponibilité d'un rein. 18 heures. C'est le temps imparti entre le moment où le rein est disponible et le moment où il peut être greffé. Ainsi, le tic-tac sonne et il faut faire assez vite. Marion subit une intervention lourde de laquelle elle se remet. Aidée par ses antirejets, elle accepte bien la greffe. En 2024, ça fait 13 ans que Marion vit grâce à la mort de cette personne. Elle revient volontiers sur son parcours atypique et la force qu'elle a au quotidien pour prendre la vie comme elle vient. Elle se doit de vivre pour cette personne et est reconnaissante à jamais. Une jeune femme pleine d'ambitions qui veut faire entendre sa voix sur un sujet beaucoup trop laissé aux oubliettes. Pour toute information/question au regard du don d'organes, n'hésitez pas à vous rendre sur https://www.dondorganes.fr/ Parlez-en autour de vous, vous pouvez sauver des vies ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Novembre 2015, la France est endeuillée, meurtrie et accablée des traces qu'ont laissés les événements du Bataclan et de ce terrorisme glaçant qui s'est attaqué au peuple français. Trop nombreuses sont les victimes. Le pays, dans son intégralité, fait face à une période sombre, qu'on préfère oublier, mais qui, pourtant, fait bel et bien partie de notre Histoire désormais. Philippe est l'une de ces personnes miraculeusement rescapées. Une tragédie qui lui laissera des séquelles à jamais. Accompagné pendant 1 an d'un soutien psychologique, notre invité, doit affronter plusieurs épreuves qui se dressent devant lui pendant les 8 mois qui vont suivre les attentats. Lui, qui était dans une situation confortable jusqu'alors tant d'un point de vue professionnel, que personnel sans pour autant connaître un épanouissement ultime, va tout perdre. Il perd son travail et divorce de sa femme avec qui il est marié depuis 17 ans. Ces longues semaines, mois, difficiles moralement pour lui ont finalement été le déclic d'une nouvelle vie : une étape nécessaire à sa reconstruction. Il s'intéresse à la lithothérapie, le pendule puis se forme au magnétisme auprès de Florian Lucas. Une sensibilité aux énergies dans leur globalité, jusqu'alors méconnue, jaillie dès ses premières tentatives. Il semble avoir trouvé sa voie, un apaisement profond et nécessaire découle de cette succession d'événements tragiques. A ce jour, Philippe exerce "sa mission de vie" : il est énergéticien magnétiseur dans le 1er arrondissement de Paris. Il travaille en étroite collaboration avec un psychologue afin de vous éveiller sur vos traumatismes, chocs émotionnels qui sont à l'intérieur de vous. Une véritable d'introspection se fait grâce à lui. Il partage avec sagesse et apaisement, son parcours atypique qui l'a permis d'être là où il est aujourd'hui. Il y a toujours la lumière au bout du tunnel. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Alors qu'il est en âge de construire l'homme qu'il sera dans le futur, Antony, 15 ans, est témoin du divorce de ses parents. Une séparation à l'initiative de sa mère, qui pendant trop longtemps a subi une relation qui ne lui convenait plus. Elle acte et prend la décision ferme et définitive de divorcer. Cela n'est pas très bien accueilli par le père, qui se met en tête de s'accaparer la garde de ses enfants au détriment de la bienveillance passée qu'il pouvait porter à son ex-femme. Son jeu ne marchera pas et le jugement est rendu en faveur d'une garde exclusive pour la mère.   La nouvelle famille va alors entrer dans une phase compliquée, encore le marqueur d'une personnalité affirmée et combative de notre invité. Grand frère de son cadet de 7 ans de moins, il prend très vite à cœur un rôle important dans la famille. Il accueille et endosse des responsabilités qui ne devraient pas lui incomber. Pourtant, élevé depuis toujours dans les valeurs du travail et du sacrifice pour ceux qu'on aime, Antony n'y voit aucune dissonance et se fond à la perfection dans ce nouveau rôle. Il sait se montrer présent pour son frère dans son éducation scolaire mais aussi personnelle, tout comme pour sa mère où il se révèle être un réel soutien du quotidien. Une mère, encore aujourd'hui, fortement alourdie par le poids de la culpabilité de cette séparation.   Tout au long de cet échange, notre invité nous montre une certaine sensibilité palpable dans l'émotion qu'il met à choisir tous ces mots. On y aborde les notions de pardon, de culpabilité, de courage et bien sûr d'amour. Comment croire en l'amour quand nous sommes les premiers témoins à constater la scission d'une relation ? Cet échange autant vecteur de courage que d'espoir nous montre aussi les dommages collatéraux, mais surtout, et paradoxalement, l'amour et la bienveillance qui naissent de tout cela. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.