undefined cover
undefined cover
Episode 68 : Vaincre son syndrome de la bonne élève avec Chloé Hermary (Ada Tech School) cover
Episode 68 : Vaincre son syndrome de la bonne élève avec Chloé Hermary (Ada Tech School) cover
C'est qui la boss ?

Episode 68 : Vaincre son syndrome de la bonne élève avec Chloé Hermary (Ada Tech School)

Episode 68 : Vaincre son syndrome de la bonne élève avec Chloé Hermary (Ada Tech School)

53min |26/05/2023
Play
undefined cover
undefined cover
Episode 68 : Vaincre son syndrome de la bonne élève avec Chloé Hermary (Ada Tech School) cover
Episode 68 : Vaincre son syndrome de la bonne élève avec Chloé Hermary (Ada Tech School) cover
C'est qui la boss ?

Episode 68 : Vaincre son syndrome de la bonne élève avec Chloé Hermary (Ada Tech School)

Episode 68 : Vaincre son syndrome de la bonne élève avec Chloé Hermary (Ada Tech School)

53min |26/05/2023
Play

Description

Dans cet épisode, j’ai eu la chance de recevoir l’entrepreneuse audacieuse Chloé Hermary, qui n’avait que 25 ans lorsqu’elle a fondé Ada Tech School, la première école d’informatique se basant sur une pédagogie alternative afin de rendre plus inclusive les métiers de la tech.


Pourtant, elle n’était pas destinée à l’entrepreneuriat, ni à l’informatique d’ailleurs. Passionnée de mode à la base, telle une bonne élève et un peu par mimétisme aussi, elle suit les recommandations de ses parents et se dirige vers une classe prépa puis une école de commerce. Un parcours quasi-parfait, pourtant c’est là qu’elle prend conscience de la dissociation et du fossé qu’il existe entre le sens que l’on a envie de donner à notre vie, le marché du travail et ce que l’on apprend réellement pendant nos études.


D’où l’envie et l’idée de créer Ada, qu’elle qualifie comme « école Montessori de la tech ». Dans cette école, elle propose à ses élèves de devenir acteurs et actrices de leur apprentissage en développant aussi bien les softs skills et que les hard skills. Une façon certainement pour elle de casser aussi son « syndrome de la bonne élève », qui consiste à se conformer aux attentes de la réussite, à atteindre la perfection et à satisfaire les attentes des autres, souvent au prix de son bien-être personnel. Justement avec Ada, elle démystifie et désacralise aussi beaucoup l’échec et travaille énormément sur la confiance en soi par la pratique… Finalement, elle repense totalement le chemin de l’apprentissage, et c’est sans aucun doute ce qui fait qu’elle réussit à attirer aussi beaucoup de femmes dans un milieu qui est principalement dominé par des hommes. En effet, plus de 70% de ses élèves sont des femmes.


Découvrez alors son parcours inspirant et cette discussion passionnante pour comprendre le syndrome de la bonne élève et comment réussir à s’en détacher, où du moins à vivre avec et l’atténuer !


Belle écoute à vous,


Melody


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans cet épisode, j’ai eu la chance de recevoir l’entrepreneuse audacieuse Chloé Hermary, qui n’avait que 25 ans lorsqu’elle a fondé Ada Tech School, la première école d’informatique se basant sur une pédagogie alternative afin de rendre plus inclusive les métiers de la tech.


Pourtant, elle n’était pas destinée à l’entrepreneuriat, ni à l’informatique d’ailleurs. Passionnée de mode à la base, telle une bonne élève et un peu par mimétisme aussi, elle suit les recommandations de ses parents et se dirige vers une classe prépa puis une école de commerce. Un parcours quasi-parfait, pourtant c’est là qu’elle prend conscience de la dissociation et du fossé qu’il existe entre le sens que l’on a envie de donner à notre vie, le marché du travail et ce que l’on apprend réellement pendant nos études.


D’où l’envie et l’idée de créer Ada, qu’elle qualifie comme « école Montessori de la tech ». Dans cette école, elle propose à ses élèves de devenir acteurs et actrices de leur apprentissage en développant aussi bien les softs skills et que les hard skills. Une façon certainement pour elle de casser aussi son « syndrome de la bonne élève », qui consiste à se conformer aux attentes de la réussite, à atteindre la perfection et à satisfaire les attentes des autres, souvent au prix de son bien-être personnel. Justement avec Ada, elle démystifie et désacralise aussi beaucoup l’échec et travaille énormément sur la confiance en soi par la pratique… Finalement, elle repense totalement le chemin de l’apprentissage, et c’est sans aucun doute ce qui fait qu’elle réussit à attirer aussi beaucoup de femmes dans un milieu qui est principalement dominé par des hommes. En effet, plus de 70% de ses élèves sont des femmes.


Découvrez alors son parcours inspirant et cette discussion passionnante pour comprendre le syndrome de la bonne élève et comment réussir à s’en détacher, où du moins à vivre avec et l’atténuer !


Belle écoute à vous,


Melody


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like

Description

Dans cet épisode, j’ai eu la chance de recevoir l’entrepreneuse audacieuse Chloé Hermary, qui n’avait que 25 ans lorsqu’elle a fondé Ada Tech School, la première école d’informatique se basant sur une pédagogie alternative afin de rendre plus inclusive les métiers de la tech.


Pourtant, elle n’était pas destinée à l’entrepreneuriat, ni à l’informatique d’ailleurs. Passionnée de mode à la base, telle une bonne élève et un peu par mimétisme aussi, elle suit les recommandations de ses parents et se dirige vers une classe prépa puis une école de commerce. Un parcours quasi-parfait, pourtant c’est là qu’elle prend conscience de la dissociation et du fossé qu’il existe entre le sens que l’on a envie de donner à notre vie, le marché du travail et ce que l’on apprend réellement pendant nos études.


D’où l’envie et l’idée de créer Ada, qu’elle qualifie comme « école Montessori de la tech ». Dans cette école, elle propose à ses élèves de devenir acteurs et actrices de leur apprentissage en développant aussi bien les softs skills et que les hard skills. Une façon certainement pour elle de casser aussi son « syndrome de la bonne élève », qui consiste à se conformer aux attentes de la réussite, à atteindre la perfection et à satisfaire les attentes des autres, souvent au prix de son bien-être personnel. Justement avec Ada, elle démystifie et désacralise aussi beaucoup l’échec et travaille énormément sur la confiance en soi par la pratique… Finalement, elle repense totalement le chemin de l’apprentissage, et c’est sans aucun doute ce qui fait qu’elle réussit à attirer aussi beaucoup de femmes dans un milieu qui est principalement dominé par des hommes. En effet, plus de 70% de ses élèves sont des femmes.


Découvrez alors son parcours inspirant et cette discussion passionnante pour comprendre le syndrome de la bonne élève et comment réussir à s’en détacher, où du moins à vivre avec et l’atténuer !


Belle écoute à vous,


Melody


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans cet épisode, j’ai eu la chance de recevoir l’entrepreneuse audacieuse Chloé Hermary, qui n’avait que 25 ans lorsqu’elle a fondé Ada Tech School, la première école d’informatique se basant sur une pédagogie alternative afin de rendre plus inclusive les métiers de la tech.


Pourtant, elle n’était pas destinée à l’entrepreneuriat, ni à l’informatique d’ailleurs. Passionnée de mode à la base, telle une bonne élève et un peu par mimétisme aussi, elle suit les recommandations de ses parents et se dirige vers une classe prépa puis une école de commerce. Un parcours quasi-parfait, pourtant c’est là qu’elle prend conscience de la dissociation et du fossé qu’il existe entre le sens que l’on a envie de donner à notre vie, le marché du travail et ce que l’on apprend réellement pendant nos études.


D’où l’envie et l’idée de créer Ada, qu’elle qualifie comme « école Montessori de la tech ». Dans cette école, elle propose à ses élèves de devenir acteurs et actrices de leur apprentissage en développant aussi bien les softs skills et que les hard skills. Une façon certainement pour elle de casser aussi son « syndrome de la bonne élève », qui consiste à se conformer aux attentes de la réussite, à atteindre la perfection et à satisfaire les attentes des autres, souvent au prix de son bien-être personnel. Justement avec Ada, elle démystifie et désacralise aussi beaucoup l’échec et travaille énormément sur la confiance en soi par la pratique… Finalement, elle repense totalement le chemin de l’apprentissage, et c’est sans aucun doute ce qui fait qu’elle réussit à attirer aussi beaucoup de femmes dans un milieu qui est principalement dominé par des hommes. En effet, plus de 70% de ses élèves sont des femmes.


Découvrez alors son parcours inspirant et cette discussion passionnante pour comprendre le syndrome de la bonne élève et comment réussir à s’en détacher, où du moins à vivre avec et l’atténuer !


Belle écoute à vous,


Melody


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like