Description
Après cet incroyable dénouement et la victoire 5-0 du PSG, voici la chronique "Champion's Express avec New World" de ce dimanche 1er juin 2025. Retour sur le match vu du bord terrain, ambiance, émotions du sacre parisien et réactions à notre micro.
De quoi conclure cette première saison de nos chroniques en beauté.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Champions Express avec New World, Karim Baldi. Un nouveau jour se lève sur Munich. En ce 1er juin 2025, l'Europe du football a changé de visage. Le Paris Saint-Germain fait partie... désormais de la cour des grands longtemps convoité, cette coupe aux grandes oreilles avait échappé aux hommes de la capitale française, ces choses faites depuis cette fameuse finale et cette victoire 5 à 0 contre Lille-Bruns Au coup de sifflet final les joueurs du PSG peuvent enfin fendre l'armure. Jean Neves, les yeux embués, Ousmane Dembélé qui saute dans tous les sens, Luis Campos, le conseiller sportif qui prend les joueurs les uns après les autres dans ses bras. Des scènes incroyables, presque irréelles, résumées par le président du Paris Saint-Germain en personne, Nasser Al-Khelaifi, avec des mots très touchants. On ne lui connaissait pas ce ton-là. Il a eu cette réaction en zone d'interview.
Je veux dire cette victoire aussi pour... Ma mère, parce qu'avant de décider, avant d'être mort, fait la prière tous les soirs pour nous, pour gagner. C'était sa rêve pour gagner ce trophée, c'est pour elle aussi.
C'est dans une très chaude ambiance, et je ne parle pas que de la température, que ce PSG Inter Milan démarrait. Nous étions juste devant la courbe, la tribune réservée aux supporters. reporter Nerazzurri. Malheureusement, ces derniers ont rapidement compris que cela allait se transformer en cauchemar. Dès les 20 premières minutes, Paris n'a laissé aucune chance à son adversaire. Et ce qu'on peut noter sur les deux premiers buts signés d'Ashraf Hakimi, le latéral marocain, et de Desiré Doué, auteur plus tard d'un doublé, c'est que les hommes de Luis Enrique ont maintenu une pression, un pressing de tous les instants. Et ça a étouffé les partenaires de Jan Sommer. On a vu des défenseurs, les bras sur les hanches, Al-Sharbi très fatigué déjà au bout de 30 minutes. Preuve que le physique de l'Inter a flanché face à une équipe parisienne qui était au top de sa forme. Pour revenir sur le match, on écoute le défenseur portugais d'origine capverdienne, Nuno Mendes.
C'est un match qu'on avait parlé avant le match. On était trop concentrés. On savait qu'ils étaient un bon équipe, un équipe qui ne prend pas beaucoup de buts. Mais je pense qu'on a fait tout ce qu'on a entraîné dans l'entraînement. Je pense que devant le but, on n'a pas hésité. On a fait cinq buts, on pouvait faire plus.
Un plan tactique parisien qui a marché à la perfection. Le PSG déroule en seconde période. Kvara Srelja marque le quatrième but à l'entame du dernier quart d'heure. Lui qui a été l'un des hommes du match et l'un des hommes de cette saison du côté du club de la capitale française. Petit clin d'œil à Senni Mayoulou, rendez-vous compte, 19 ans, symbole de cette formation parisienne qui est revenue au premier plan. Le Titi a réussi à marquer son but en finale de Ligue des Champions et ça c'est un souvenir pour l'éternité, pour le restant de ses jours. Un souvenir bien sûr aussi pour Martignos au moment de saisir cette coupe aux grandes oreilles et de la soulever aux côtés de ses coéquipiers. Et Martinoz qui a une pensée pour tous ces moments. de galères, tous ces moments de remontada, tous ces moments négatifs qui ont pesé sur le Paris Saint-Germain. Aujourd'hui, c'est oublié.
Des fois, on venait ici, on devait expliquer des choses qui n'avaient pas d'explication. Après une défaite, après perdre un match qu'il ne fallait pas perdre. Aujourd'hui, on est là, des joies, avec le sourire, avec l'émotion. On peut citer le Tournament qui célébrait, c'était le plus bon moment. de ma vie sportive je pense et c'était incroyable vraiment.
Maintenant place aux célébrations du côté de la célèbre avenue des Champs-Elysées puis au Parc des Princes, point final de la parade des héros. Voilà qui conclut ce dernier Champions Express de la saison depuis Munich. Merci de votre fidélité et à très vite pour de nouvelles aventures avec New World TV et le réseau radio Bal des Productions.
J'ai vivé l'expérience Nippe des Shampoo en première classe seulement sur Neurospore.
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Après cet incroyable dénouement et la victoire 5-0 du PSG, voici la chronique "Champion's Express avec New World" de ce dimanche 1er juin 2025. Retour sur le match vu du bord terrain, ambiance, émotions du sacre parisien et réactions à notre micro.
De quoi conclure cette première saison de nos chroniques en beauté.
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Champions Express avec New World, Karim Baldi. Un nouveau jour se lève sur Munich. En ce 1er juin 2025, l'Europe du football a changé de visage. Le Paris Saint-Germain fait partie... désormais de la cour des grands longtemps convoité, cette coupe aux grandes oreilles avait échappé aux hommes de la capitale française, ces choses faites depuis cette fameuse finale et cette victoire 5 à 0 contre Lille-Bruns Au coup de sifflet final les joueurs du PSG peuvent enfin fendre l'armure. Jean Neves, les yeux embués, Ousmane Dembélé qui saute dans tous les sens, Luis Campos, le conseiller sportif qui prend les joueurs les uns après les autres dans ses bras. Des scènes incroyables, presque irréelles, résumées par le président du Paris Saint-Germain en personne, Nasser Al-Khelaifi, avec des mots très touchants. On ne lui connaissait pas ce ton-là. Il a eu cette réaction en zone d'interview.
Je veux dire cette victoire aussi pour... Ma mère, parce qu'avant de décider, avant d'être mort, fait la prière tous les soirs pour nous, pour gagner. C'était sa rêve pour gagner ce trophée, c'est pour elle aussi.
C'est dans une très chaude ambiance, et je ne parle pas que de la température, que ce PSG Inter Milan démarrait. Nous étions juste devant la courbe, la tribune réservée aux supporters. reporter Nerazzurri. Malheureusement, ces derniers ont rapidement compris que cela allait se transformer en cauchemar. Dès les 20 premières minutes, Paris n'a laissé aucune chance à son adversaire. Et ce qu'on peut noter sur les deux premiers buts signés d'Ashraf Hakimi, le latéral marocain, et de Desiré Doué, auteur plus tard d'un doublé, c'est que les hommes de Luis Enrique ont maintenu une pression, un pressing de tous les instants. Et ça a étouffé les partenaires de Jan Sommer. On a vu des défenseurs, les bras sur les hanches, Al-Sharbi très fatigué déjà au bout de 30 minutes. Preuve que le physique de l'Inter a flanché face à une équipe parisienne qui était au top de sa forme. Pour revenir sur le match, on écoute le défenseur portugais d'origine capverdienne, Nuno Mendes.
C'est un match qu'on avait parlé avant le match. On était trop concentrés. On savait qu'ils étaient un bon équipe, un équipe qui ne prend pas beaucoup de buts. Mais je pense qu'on a fait tout ce qu'on a entraîné dans l'entraînement. Je pense que devant le but, on n'a pas hésité. On a fait cinq buts, on pouvait faire plus.
Un plan tactique parisien qui a marché à la perfection. Le PSG déroule en seconde période. Kvara Srelja marque le quatrième but à l'entame du dernier quart d'heure. Lui qui a été l'un des hommes du match et l'un des hommes de cette saison du côté du club de la capitale française. Petit clin d'œil à Senni Mayoulou, rendez-vous compte, 19 ans, symbole de cette formation parisienne qui est revenue au premier plan. Le Titi a réussi à marquer son but en finale de Ligue des Champions et ça c'est un souvenir pour l'éternité, pour le restant de ses jours. Un souvenir bien sûr aussi pour Martignos au moment de saisir cette coupe aux grandes oreilles et de la soulever aux côtés de ses coéquipiers. Et Martinoz qui a une pensée pour tous ces moments. de galères, tous ces moments de remontada, tous ces moments négatifs qui ont pesé sur le Paris Saint-Germain. Aujourd'hui, c'est oublié.
Des fois, on venait ici, on devait expliquer des choses qui n'avaient pas d'explication. Après une défaite, après perdre un match qu'il ne fallait pas perdre. Aujourd'hui, on est là, des joies, avec le sourire, avec l'émotion. On peut citer le Tournament qui célébrait, c'était le plus bon moment. de ma vie sportive je pense et c'était incroyable vraiment.
Maintenant place aux célébrations du côté de la célèbre avenue des Champs-Elysées puis au Parc des Princes, point final de la parade des héros. Voilà qui conclut ce dernier Champions Express de la saison depuis Munich. Merci de votre fidélité et à très vite pour de nouvelles aventures avec New World TV et le réseau radio Bal des Productions.
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Après cet incroyable dénouement et la victoire 5-0 du PSG, voici la chronique "Champion's Express avec New World" de ce dimanche 1er juin 2025. Retour sur le match vu du bord terrain, ambiance, émotions du sacre parisien et réactions à notre micro.
De quoi conclure cette première saison de nos chroniques en beauté.
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Champions Express avec New World, Karim Baldi. Un nouveau jour se lève sur Munich. En ce 1er juin 2025, l'Europe du football a changé de visage. Le Paris Saint-Germain fait partie... désormais de la cour des grands longtemps convoité, cette coupe aux grandes oreilles avait échappé aux hommes de la capitale française, ces choses faites depuis cette fameuse finale et cette victoire 5 à 0 contre Lille-Bruns Au coup de sifflet final les joueurs du PSG peuvent enfin fendre l'armure. Jean Neves, les yeux embués, Ousmane Dembélé qui saute dans tous les sens, Luis Campos, le conseiller sportif qui prend les joueurs les uns après les autres dans ses bras. Des scènes incroyables, presque irréelles, résumées par le président du Paris Saint-Germain en personne, Nasser Al-Khelaifi, avec des mots très touchants. On ne lui connaissait pas ce ton-là. Il a eu cette réaction en zone d'interview.
Je veux dire cette victoire aussi pour... Ma mère, parce qu'avant de décider, avant d'être mort, fait la prière tous les soirs pour nous, pour gagner. C'était sa rêve pour gagner ce trophée, c'est pour elle aussi.
C'est dans une très chaude ambiance, et je ne parle pas que de la température, que ce PSG Inter Milan démarrait. Nous étions juste devant la courbe, la tribune réservée aux supporters. reporter Nerazzurri. Malheureusement, ces derniers ont rapidement compris que cela allait se transformer en cauchemar. Dès les 20 premières minutes, Paris n'a laissé aucune chance à son adversaire. Et ce qu'on peut noter sur les deux premiers buts signés d'Ashraf Hakimi, le latéral marocain, et de Desiré Doué, auteur plus tard d'un doublé, c'est que les hommes de Luis Enrique ont maintenu une pression, un pressing de tous les instants. Et ça a étouffé les partenaires de Jan Sommer. On a vu des défenseurs, les bras sur les hanches, Al-Sharbi très fatigué déjà au bout de 30 minutes. Preuve que le physique de l'Inter a flanché face à une équipe parisienne qui était au top de sa forme. Pour revenir sur le match, on écoute le défenseur portugais d'origine capverdienne, Nuno Mendes.
C'est un match qu'on avait parlé avant le match. On était trop concentrés. On savait qu'ils étaient un bon équipe, un équipe qui ne prend pas beaucoup de buts. Mais je pense qu'on a fait tout ce qu'on a entraîné dans l'entraînement. Je pense que devant le but, on n'a pas hésité. On a fait cinq buts, on pouvait faire plus.
Un plan tactique parisien qui a marché à la perfection. Le PSG déroule en seconde période. Kvara Srelja marque le quatrième but à l'entame du dernier quart d'heure. Lui qui a été l'un des hommes du match et l'un des hommes de cette saison du côté du club de la capitale française. Petit clin d'œil à Senni Mayoulou, rendez-vous compte, 19 ans, symbole de cette formation parisienne qui est revenue au premier plan. Le Titi a réussi à marquer son but en finale de Ligue des Champions et ça c'est un souvenir pour l'éternité, pour le restant de ses jours. Un souvenir bien sûr aussi pour Martignos au moment de saisir cette coupe aux grandes oreilles et de la soulever aux côtés de ses coéquipiers. Et Martinoz qui a une pensée pour tous ces moments. de galères, tous ces moments de remontada, tous ces moments négatifs qui ont pesé sur le Paris Saint-Germain. Aujourd'hui, c'est oublié.
Des fois, on venait ici, on devait expliquer des choses qui n'avaient pas d'explication. Après une défaite, après perdre un match qu'il ne fallait pas perdre. Aujourd'hui, on est là, des joies, avec le sourire, avec l'émotion. On peut citer le Tournament qui célébrait, c'était le plus bon moment. de ma vie sportive je pense et c'était incroyable vraiment.
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Je veux dire cette victoire aussi pour... Ma mère, parce qu'avant de décider, avant d'être mort, fait la prière tous les soirs pour nous, pour gagner. C'était sa rêve pour gagner ce trophée, c'est pour elle aussi.
C'est dans une très chaude ambiance, et je ne parle pas que de la température, que ce PSG Inter Milan démarrait. Nous étions juste devant la courbe, la tribune réservée aux supporters. reporter Nerazzurri. Malheureusement, ces derniers ont rapidement compris que cela allait se transformer en cauchemar. Dès les 20 premières minutes, Paris n'a laissé aucune chance à son adversaire. Et ce qu'on peut noter sur les deux premiers buts signés d'Ashraf Hakimi, le latéral marocain, et de Desiré Doué, auteur plus tard d'un doublé, c'est que les hommes de Luis Enrique ont maintenu une pression, un pressing de tous les instants. Et ça a étouffé les partenaires de Jan Sommer. On a vu des défenseurs, les bras sur les hanches, Al-Sharbi très fatigué déjà au bout de 30 minutes. Preuve que le physique de l'Inter a flanché face à une équipe parisienne qui était au top de sa forme. Pour revenir sur le match, on écoute le défenseur portugais d'origine capverdienne, Nuno Mendes.
C'est un match qu'on avait parlé avant le match. On était trop concentrés. On savait qu'ils étaient un bon équipe, un équipe qui ne prend pas beaucoup de buts. Mais je pense qu'on a fait tout ce qu'on a entraîné dans l'entraînement. Je pense que devant le but, on n'a pas hésité. On a fait cinq buts, on pouvait faire plus.
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Des fois, on venait ici, on devait expliquer des choses qui n'avaient pas d'explication. Après une défaite, après perdre un match qu'il ne fallait pas perdre. Aujourd'hui, on est là, des joies, avec le sourire, avec l'émotion. On peut citer le Tournament qui célébrait, c'était le plus bon moment. de ma vie sportive je pense et c'était incroyable vraiment.
Maintenant place aux célébrations du côté de la célèbre avenue des Champs-Elysées puis au Parc des Princes, point final de la parade des héros. Voilà qui conclut ce dernier Champions Express de la saison depuis Munich. Merci de votre fidélité et à très vite pour de nouvelles aventures avec New World TV et le réseau radio Bal des Productions.
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