Speaker #0Hello ! Dans l'épisode du jour, on va parler d'un sujet un peu chill. L'idée c'est vraiment de se poser et d'ouvrir un petit peu vos réflexions. Donc aujourd'hui, je me suis demandé si j'avais envie de bosser plus pour gagner plus. Vraiment le slogan, la travailler plus pour gagner plus. Et en fait, il s'avère que pas vraiment. Je pense que moi ce que j'ai envie c'est de travailler moins pour gagner plus, d'avoir plus de temps personnel. Et je voulais un petit peu avoir votre avis là-dessus, vous partager mes réflexions autour de ce sujet. Donc j'espère que c'est un épisode qui va vous plaire. Bisous ! Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode. J'espère que vous allez bien. Écoutez, moi ça va très bien. On fait toujours le défi d'un podcast par jour. Donc j'espère que ça va vous plaire. Aujourd'hui j'avais envie de parler d'un sujet... que j'ai déjà abordé sur TikTok, mais pas en podcast. Donc, c'est un sujet assez léger. Je n'ai pas de notes. C'est vraiment là ma réflexion et mon flot qui va faire cet épisode. Mais j'avais envie de parler de salaire ou en tout cas de revenu. Et à partir de quel moment, en fait, vous vous dites, c'est bon, je n'ai pas forcément envie de travailler plus pour gagner plus. Vous voyez ce fameux slogan de Sarko à l'époque qui disait, voilà, si tu veux gagner plus, il faut travailler plus. Et en fait, moi, je me suis beaucoup posé cette question cette année parce que quand je suis revenue de congé maternité, j'ai pu faire un congé parental partiel, c'est-à-dire que j'ai pu imposer à mon employeur de me prendre à 80% et d'avoir une journée off. ce qui a engendré une perte de salaire de 20% pour moi, mais également pour mon conjoint qui a fait le même choix que moi. C'était une décision commune, on a discuté ensemble pendant que j'étais enceinte. C'est vrai qu'on a une vision du travail qui est différente lui et moi, mais on a ce truc en commun où on pense quand même que les moments passés ensemble sont très importants et que le travail, ce n'est pas toute notre vie. Donc là-dessus, on est raccord. Moi, je pense que j'ai une valeur sur le travail qui est plus, j'ai besoin de me sentir occupée, j'ai besoin de faire des choses. C'est quelque chose qui me plaît quand même de faire des actions dans ma journée. Ce n'est pas que ce n'est pas le cas de mon mari, mais mon mari, lui, il pourrait lire toute la journée ou jardiner toute la journée. Ça lui irait très bien. Il n'a pas forcément cette envie d'être productif, en tout cas de créer quelque chose ou d'avoir son propre business. Ce n'est pas son truc. Moi, je ne pense pas que je pourrais ne pas travailler. Vous voyez ce que je veux dire ? Sur ça, on ne se ressemble pas trop, mais sur le côté, voilà, on voulait profiter légalement dans le cadre du droit français de ce congé parental et de tester, en fait, le 4-5e sans que notre employeur ait le choix. Et donc, on a fait cette expérimentation pendant 6 mois, il me semble. 6 mois où on ne travaille plus le vendredi. Et c'est vrai que... Truc de fou. Enfin, franchement... Je sais qu'il y a plein de gens qui m'ont dit que c'était un peu leur rêve et tout d'être en 4-5ème. Moi, je peux vous dire que, franchement, rêve devenu réalité, c'est incroyable. Concrètement, si financièrement, on peut se le permettre, nous, ça nous a quand même fait une grosse chute de revenus, d'autant plus que j'avais un salaire élevé. Et en plus, parallèlement à ça, on avait des nouveaux frais liés à la naissance de notre fille qui étaient apparus, les frais de crèche, etc. Donc, on avait à la fois une baisse de revenus. plus des frais supplémentaires. Donc, au global, ça représentait quand même une sacrée somme de manque à gagner, entre guillemets. Mais vous voyez, on a réfléchi, on a discuté ensemble et on s'est dit, mais en fait, si aujourd'hui, on n'est pas capable d'avoir le choix du temps qu'on peut... Enfin, comment on attend, enfin, comment on alloue notre temps ? Est-ce qu'on est vraiment libre, en fait ? Est-ce qu'on est vraiment, entre guillemets, riche ? Est-ce qu'on est vraiment... Est-ce que cette épargne, elle sert à quelque chose ? Est-ce que nos investissements, ils servent à quelque chose ? Et moi, j'ai toujours dit que l'investissement, l'épargne, etc., c'était une sorte de fin. C'est s'offrir de la liberté. Moi, je le vois vraiment comme ça. Je le vois comme un moyen et pas une fin. Je le vois vraiment comme un truc qui va m'amener à ce qu'on appelle la liberté financière, c'est-à-dire ne plus dépendre, en tout cas, d'un salaire pour vivre. Ça peut être aussi de l'indépendance financière, c'est-à-dire ne plus dépendre. patron, mais que ce soit moi qui génère ces revenus. Mais petit à petit, voilà, je vois en fait tout ce chemin financier à travers ce prisme qui est m'offrir plus de liberté. Et c'est vrai qu'à un moment, je me suis dit, mais si aujourd'hui, j'ai un bon salaire, clairement, dans ce job, j'ai gagné en net, avant impôt, je crois que j'étais à 3 700 euros avant impôt. Donc après impôt, j'étais aux alentours de 3 500, un peu moins. C'est un très bon salaire. C'est un très très bon salaire, clairement, quand on se le dise. Voilà, moi, j'en parle souvent autour de moi, mais même actuellement, je donne des cours à la fac à des étudiants en insertion professionnelle, et on parle d'argent, notamment au travail. Et quand je leur demande, c'est quoi pour vous un salaire, vous dites, c'est OK, je suis bien, ça va de 2 000 balles à 3 500, enfin, clairement, donc quand je suis à 3 500, voire 3 700 avant impôt, Je fais partie des gens qui gagnent le mieux leur vie en France, etc. Donc, c'est sûr que partant de ce salaire-là, pour moi, le choix a été vidé. Je me suis dit, je préfère perdre 20% de ce salaire et gagner une journée de temps libre, donc le vendredi, qui en plus est une super journée parce qu'on enchaîne avec le week-end. plutôt que de me faire plus d'heures sup ou de me défoncer encore plus pour essayer d'avoir une promotion ou en tout cas d'avoir un meilleur salaire. En fait, ce n'est pas que j'ai gagné le jeu, vous voyez, mais j'étais un peu en mode à quoi bon, en fait ? À quoi bon vouloir encore augmenter en salaire ? Là, ce que je veux, ce n'est pas d'argent en plus. Ce que je veux, c'est plus de temps. Et je ne sais pas si vous, vous avez eu la même... Enfin, si parfois, ça vous traverse l'esprit, ce genre de truc, genre... Ce que vous avez envie, c'est de temps. Aujourd'hui, le rapport au travail, c'est vraiment, je monétise mon temps pour te faire de la production, tu te fais de la marge sur la production que je te donne, qui te crée un profit, et c'est comme ça que l'économie fonctionne. Donc, c'est un échange de temps contre de l'argent. Sauf que je me suis dit, en fait, tes cadres, tes directrices, au bout d'un moment, si tu ne peux pas faire ce choix aujourd'hui, ça va être quoi demain ? Est-ce que ça va toujours être la course folle au plus, au plus, au plus ? Je ne pense pas qu'il y ait de bonnes ou de mauvaises solutions. Ce n'est pas un jugement de valeur quand je dis ça. Moi, c'est ma vision personnelle. Ce que j'avais envie, c'était d'avoir plus de temps. J'ai toujours dit, il n'y a pas mes potes sur ce podcast, mais les gens autour de moi le savent, j'ai toujours dit que moi, je voulais être 4-5e. Vraiment, ce n'était pas mon rêve, parce que j'ai des rêves plus grands peut-être, mais limite même le 3-5e. Le 3-5ème, vraiment, c'est mon goal. Genre, si je pouvais bosser que 3 jours, le reste du temps, faire autre chose, qui n'a pas forcément un impact financier, je pense que je serais très épanouie dans ma vie. Donc voilà, des étapes. J'étais au 4-5ème, c'était une première étape vers ce chemin-là. Mais c'est vrai que ça a été un sacrifice financier et en fait, ça a valé le coup. Vraiment, au bout de ces 6 mois... On s'est dit avec mon mari, mais ça vaut grave le coup. Ça vaut grave le coup d'être en congé parental, d'avoir cette journée off. On sent que sans cette journée, on se serait moins retrouvés, même sur nos passions personnelles. Mon mari, il a un Instagram sur la BD et les mangas. C'est un truc qui le passionne vraiment. Il a besoin de temps de lecture. Il a besoin d'aller chiner chez Jiber. Il a besoin de faire ses chroniques. Moi, j'avais besoin de temps pour le podcast. Et comme je vous l'ai dit dans les épisodes précédents, j'ai eu un manque de temps où je me suis dit que même le 4-5e, ça ne me suffisait plus. Et donc, quand on est arrivé au bout de ces six mois, je me suis vraiment dit est-ce que je veux continuer à avoir ce temps libre ou est-ce que j'ai besoin d'argent ? Ça a été un gros dilemme pour moi. Mon mari, lui, il reste au 4-5e. Et s'est posé la question de mon cas personnel, parce que je gagnais bien ma vie et je gagnais plus que mon mari, donc le plus gros impact financier, c'était mon salaire. Et il s'avère que je n'ai pas renouvelé mon congé parental. Je suis repassée à plein temps. Alors vous allez me dire, mais Sophie, ça rentre en totale contradiction avec ce que tu viens de dire avant. Alors, il y a des raisons au fait que je suis repassée à plein temps. Je pense que je peux le dire aujourd'hui. c'est que j'ai quitté mon job. J'ai quitté mon job via une rupture conventionnelle. Donc, je ne sais pas quand est-ce que cet épisode sortira, mais il sortira bien un jour. Et donc, vous aurez cette révélation que j'ai décidé de me consacrer pleinement. au podcast, à la création de contenu, au coaching budget. J'ai décidé que ça allait devenir mon travail. Et donc, c'est vrai que quand cette négociation s'est effectuée, je me suis dit, ça s'est tombé pile au moment où je devais renouveler mon congé parental. Je me suis dit, Sophie, pour les derniers mois de ton job, parce qu'il y a quand même un préavis à faire, pas pour la rupture conventionnelle, mais j'avais besoin encore de rester quelques mois dans mon job. Je ne pouvais pas juste du jour au lendemain partir. J'allais me marier, j'avais des gros frais qui allaient arriver. Je n'ai pas pris cette décision sur un coup de tête, je l'ai préparée. Avec mon employeur, ça a été fait en toute transparence. On a préparé mon départ, ils ont eu le temps de recruter mon remplaçant. Ils m'ont bien accompagnée dans ce changement de vie. Étant entrepreneur eux-mêmes, ils savent que c'est quand même un avantage de partir avec une rupture conventionnelle pour se lancer. sereinement dans son nouveau business. Et donc, du coup, sur les derniers mois de mon job, je suis repassée à plein temps pour engranger le max de moula. Et pour du coup avoir fait chemin inverse de je repasse à plein temps, non mais vraiment ma phobie, ma phobie, c'est... Non mais vraiment, je savais que le retour en arrière serait difficile, mais alors là, je peux vous... confirmer que plus jamais je bosse à plein temps. Enfin, en tout cas, si j'ai l'opportunité de ne pas le faire, je ne le ferai plus. C'est... Enfin, en fait, je n'avais plus le temps. Et quand je vous disais que je n'avais plus le temps à vous consacrer notamment pour le podcast, ça fait partie des raisons. C'est que je n'avais plus mon vendredi. Et en fait, à partir de ce moment-là, ma vie est devenue un tourbillon. Je n'avais plus le temps pour moi, je n'avais plus le temps pour mes passions, j'avais plus le temps pour organiser mon mariage parce que je le faisais le vendredi. Enfin, bref. C'était une horreur. J'étais très, très heureuse à la fin de ne plus travailler dans mon boulot parce que maintenant, je peux complètement organiser mes journées et je suis beaucoup plus sereine là-dessus. Mais voilà, tout ça pour dire que c'est pour ça que je suis revenue à plein temps. Et donc, du coup, ouais, j'avais plus d'argent. J'avais plus d'argent. Est-ce que j'étais plus heureuse ? Non. Je pense que c'est les mois où j'ai été le moins heureuse de ma vie. Parce qu'en fait, je le faisais à contre-cœur. J'avais envie d'être chez moi et de créer du contenu et je ne pouvais pas. Donc, je l'ai fait parce que c'était les circonstances et qu'il fallait le faire. C'était la chose raisonnable et c'est ce qui me permet aujourd'hui d'être plus sereine, d'avoir encore plus d'argent de côté, etc. Pour cette aventure entrepreneuriale. Mais c'est vrai que... Au bout d'un moment, je me suis dit, en fait, je n'ai pas envie de cet argent. J'ai juste envie d'être chez moi et j'ai envie de me faire kiffer. Et voilà, ce 4-5e, en fait, il a tout changé dans ma vie parce qu'il m'a vraiment fait me rendre compte de quelles étaient mes priorités, qu'est-ce qui m'intéressait, qu'est-ce qui, pour moi, était la réussite. Et pour moi, la réussite, c'est d'avoir la liberté. C'est d'avoir la liberté de son temps. Et vraiment, voilà. Pour moi, la réussite, ce n'est pas de faire du 70 heures par semaine et de s'en vanter et de dire putain, j'ai trop bossé cette semaine, vraiment un truc de ouf Ce n'est pas ma vision de la réussite. Je peux comprendre que certains se réalisent par le travail comme ça, de cette manière. Et encore une fois, ce n'est pas un jugement de valeur. Mais c'est vrai que de mon côté, j'ai atteint le salaire que je trouve fine. Je m'étais dit bon, qu'est-ce que je peux faire de plus haut, plus loin ? En fait, ce qui était plus haut et plus loin, C'était de monter ma boîte et d'essayer d'atteindre le même niveau de vie. Voilà, c'était ça ma consécration supplémentaire, entre guillemets, ce que je pouvais faire de plus. Parce que oui, j'ai eu des propositions pour travailler dans d'autres jobs et être mieux payée. Même tout en gardant un 4-5ème. J'ai même réussi, il y a un moment, je faisais des entretiens et ils acceptaient que je garde mon 4-5ème. Vraiment, j'étais en mode genre, waouh, vraiment, girl boss, je mets mes conditions, vous voyez. Et en fait, je me suis dit non. non, là, ça va être l'occasion de monter mon truc. Donc, j'aimerais bien avoir votre avis. Vous, si à un moment, il y a un niveau de salaire où vous vous dites, ma promotion, ce serait d'avoir plus de temps et pas d'avoir plus d'argent. Est-ce que vous, vous êtes vraiment en mode, non mais plus, plus, plus, j'ai envie toujours de gagner plus, plus, plus. Est-ce que pour vous, travailler plus et gagner plus ou pas ? Et est-ce que c'est un modèle de réussite ? Parce que pour moi, le vrai modèle de réussite, c'est travailler moins et gagner plus. Alors ça, si tu arrives à travailler moins et à gagner plus, tu as tout gagné. tu es vraiment en mode, tu es au top. Donc, voilà. Moi, je ne suis pas cette cosy. Moi, mon nouveau slogan, c'est Travaillez moins pour gagner plus J'ai une ex-collègue avec qui on en parle souvent du côté freelance, etc. Et c'est sûr que parfois, en freelance, on est amené à gagner plus, mais on a aussi beaucoup de charges. Tout n'est pas rose. La pression de la rentrée d'argent est sur ses épaules. C'est complètement un autre mood. Mais, Mais c'est vrai que je me dis aussi que là, c'est une opportunité pour moi de me lancer, pour voir ce que ça donne. Si ça ne fonctionne pas, je retournerai dans le salariat et c'est comme ça. Et j'ai la chance de pouvoir le faire parce que ce n'est pas le cas de tout le monde. C'est un épisode un peu particulier parce que là, je pars vraiment de trucs, je pars dans ma pensée sur ce flot-là de qu'est-ce qu'elle a réussi vraiment et est-ce que c'est travailler plus pour gagner plus. Voilà. comme vous l'avez vu c'est pas trop mon cas moi vraiment je suis plutôt en mode chill chill enfin c'est plus chill parce que j'ai vraiment envie de me défoncer dans ce projet de coaching budget de développer mon podcast etc vraiment j'ai envie de me donner à fond vous voyez donc je vais plus chill je pense que je vais plus bosser qu'avant mais la grosse différence c'est que je vais bosser pour moi que je vais bosser sur un sujet qui me passionne un truc sur lequel je peux parler pendant des heures et le nombre d'épisodes de podcast le prouve. Mais c'est vrai que ouais, en fait, je suis curieuse de savoir, vous, est-ce qu'il y a un montant où vous vous dites vraiment Ouais, j'ai pas envie de bosser plus, mais là, j'ai envie de bosser moins. Est-ce que vous avez trouvé des solutions pour bosser moins ? Est-ce qu'il y en a certains, je sais pas, qui ont plusieurs sources de revenus, pour pas être dépendant d'une chose ? Voilà. Comment vous arrivez vers votre liberté, en fait, financière ? Parce que je pense qu'au tout début du podcast, moi, j'avais vraiment ce truc d'objectif de assez linéaire, je vais faire des investissements et petit à petit, je vais avoir des revenus passifs et après, je ne serai plus obligée de travailler. Et ma vision a beaucoup changé aujourd'hui. Et comme je vous ai dit, moi, j'ai envie de bosser. En fait, je n'ai pas envie d'arrêter de travailler. Par contre, je n'ai plus envie de dépendre d'une seule source de revenus. Je n'ai plus envie d'avoir l'angoisse de perdre mon job, même si je ne l'ai vraiment jamais eu. Et c'est un privilège, encore une fois. Je pense que j'étais dans un secteur assez niche et... Dans le sens où des gens passionnés de finance, en marketing, il n'y en a pas 50. Donc du coup, dans le secteur financier, j'arrivais à trouver des jobs que je trouvais quand même un petit peu intéressants et sur lesquels j'arrivais à créer de la valeur. Mais c'est vrai que je suis arrivée un petit peu au bout du système et je pense qu'aujourd'hui, j'avais envie de lancer mon propre projet. Donc voilà, vous savez tout. Vous savez le secret que je ne sors pas sur les réseaux. qui est que je change totalement de vie, je suis en totale reconversion, et que bientôt, je vais vous proposer mes services de coaching. Je suis trop contente, il n'y aura pas que ça. J'ai envie d'écrire un livre, j'ai envie de faire des carnets. Vraiment, j'ai 10 milliards d'idées à la tête, et j'ai décidé que cette année, je serai Martine à la plage. Je vais tout faire. Je vais faire Martine à la plage, Martine à la montagne. Je vais tout tester. Parce qu'en fait, j'ai envie, c'est une super opportunité de faire ça. on n'a pas l'occasion dix mille fois dans sa vie. Je vous fais un épisode dédié, je pense, à ma conversion pour vous en rentrer un peu plus en détail. Mais voilà, si vous avez des commentaires sur cet épisode, n'hésitez pas à les faire. Si vous aimez le podcast, n'hésitez pas à mettre une petite note sur votre plateforme. Et puis, je vous dis à très vite. Salut ! pas où je vais avec ce petit jingle bon voilà c'est la fin bisous