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Chroniques d'un side project | podcast entrepreneuriat, journaling de création d'entreprise, lancer sa marque artisanale en projet parallèle

Présentation de mon side project et objectifs de ce podcast entrepreneuriat

Présentation de mon side project et objectifs de ce podcast entrepreneuriat

09min |03/06/2025
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09min |03/06/2025
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Description

Je m’appelle Emma, et aujourd’hui, je me lance. Ça fait 1 an que mon side project Zoumi existe et en 1 an, il s'est passé tellement de choses que j'ai peur d'oublier.


Alors à partir de maintenant, je déposerai tout ici, à ce micro, comme un journal intime. Un journal d'entrepreneuse. Un journal de bord de mon aventure en création d’entreprise.


Zoumi, c’est une marque artisanale de tapis personnalisés pour animaux. 🐾


C’est un side business que je développe en parallèle de mon job salarié, sur mes soirées, mes week-ends, et les miettes de temps que je grappille entre mes deux vies. C’est aussi une aventure profondément personnelle, qui me transforme à chaque étape.


Dans cet épisode, je te raconte pourquoi j’ai créé ce podcast, ce que j’y cherche, et ce que je veux y déposer.

  • J’y parle de mon besoin de mémoire, de lenteur, de sens.

  • De ma volonté de créer une trace authentique de cette expérience entrepreneuriale. (pas de montage, aucune intro musicale, etc. À la Guillaume Moubeche).

  • De ma manière à moi de faire du journaling quand on entreprend.


Chronique d’un Side Project n’est pas un podcast business classique. Je ne viens pas t’expliquer comment scaler, comment réussir, ni comment atteindre tes objectifs entrepreneuriaux en 3 étapes, parce que moi-même je découvre.

C’est un témoignage brut. Un partage d’expérience sincère, avec ses galères, ses intuitions, ses erreurs et ses élans.


C’est un podcast sur l’entrepreneuriat créatif, sur la création de marque quand on est seule, sur la construction d’un side business aligné avec ses valeurs.


Un podcast qui explore ce que c’est que d’entreprendre en solo, quand on est une femme entrepreneur, qu’on n’a pas beaucoup de temps, pas de plan parfait, mais une vraie envie de faire quelque chose à soi.

Je parle de charge mentale, de joie simple, de doutes, d’intuitions, d’identité de marque, de communication, de stratégie artisanale, de rythme de production.


Je parle aussi de tout ce qu’on vit quand on tente de lancer sa marque à côté d’un CDI. Ce n’est pas linéaire. Ce n’est pas rapide. Mais je me sens vivante.


Si tu es toi-même dans une phase de développement de projet, si tu t’interroges sur comment créer ton entreprise, si tu rêves de te lancer sans savoir si tu es “légitime” ou prête, alors tu es au bon endroit. Peut-être que ce que je partage ici t’aidera à traverser certaines étapes.

Ce podcast s’adresse à celles et ceux qui :
– développent une activité artisanale à côté de leur job,
– portent un projet parallèle avec une forte dimension personnelle,
– cherchent un espace vrai pour parler d’entrepreneuriat au féminin,
– explorent une autre manière d’entreprendre, plus lente, plus incarnée,
– ont besoin d’un compagnon de route audio pour nourrir leur propre cheminement.


C’est le début d’une création d’entreprise. Une entreprise qui se fabrique, comme mes tapis, un point à la fois.


Bienvenue dans cette chronique d'un side project d’une entrepreneur au féminin.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Emma, on est le 2 juin 2025 et je lance mon podcast pour parler de mon aventure entrepreneuriale avec Zoomy. Alors c'est quelque chose que je vais faire de manière très spontanée, j'ai absolument pas de script, j'ai noté quelques mots comme ça devant moi. C'est très challengeant, moi qui ai du mal à faire de l'impro, mais bon, on va essayer. L'idée de ce podcast, c'est que je raconte un peu ce qui se passe dans les coulisses de Zoomy, pour pas oublier déjà. pour me rappeler des potentielles erreurs que j'ai faites au début, pour me replonger, si j'ai besoin, dans 3 ans, 5 ans, si Zoomie existe encore, pour me replonger dans les débuts, pour reconnecter un peu à l'essence de Zoomie. Mais voilà, c'est vraiment mon journal de bord, un peu comme Jack Sully dans Avatar, qui doit débriefer à chaque fois qu'il revient de chez les Navis. L'idée, c'est que je... poste un épisode toutes les semaines. J'ai vraiment envie de m'astreindre cette discipline, qu'il se passe un milliard de choses avec Gumi ou qu'il se passe vraiment très très peu de choses. Je veux absolument poster toutes les semaines. Parfois, ce sera juste mes pensées un peu en vrac, mes doutes, au contraire, mes idées, parce que j'en ai beaucoup à la minute. Que ce soit un débrief un peu de la semaine qui vient de se passer avec des choses plus ou moins cool qui se sont passées. Que ce soit aussi... revenir sur un qui m'a un peu marquée parce que finalement j'ai aussi eu un peu mon lot de... Alors pas de galère, mais j'ai essuyé les plâtres avec pas mal de trucs sur le vomi. Donc maintenant, je sais dire ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Et puis aussi les échanges que je peux avoir avec les gens autour de moi, notamment ma copine Sarah. Sarah, si tu m'écoutes. Avec qui on échange beaucoup, beaucoup de vocaux autour de l'entrepreneuriat. Mon mec aussi qui se lance à lui de son côté avec ses propres projets. on échange aussi beaucoup autour de Comment faire structifier comme ça notre petit business ? Il faut savoir aussi que Zoomy, c'est un side project pour l'instant. Je ne sais pas du tout si un jour je vais réussir à en vivre complètement. Vous allez voir que ça paraît compliqué sur plein d'aspects. Mais en tout cas, aujourd'hui, c'est un side project, ce qui apporte énormément de confort dans le développement de ce projet, puisque j'ai la sécurité financière, etc. Mais aussi énormément de frustration, puisque même si j'ai de l'attraction, si je vois que ça fonctionne, je ne peux pas non plus y passer toutes mes heures de toutes les journées, de toutes les semaines et de tous les mois. Donc voilà, je suis un peu tiraillée entre ces deux sentiments. J'aurais peut-être dû commencer par ça, mais je vous explique ce que c'est que Zoomy, mon aventure entrepreneuriale, mon side project. Zoomy, ce sont des tapis. créé dans la technique artisanale du tufting. Donc, c'est des tapis qui sont faits main. Et en fait, ma niche marketing, c'est que je m'adresse à des gens qui ont des animaux. En fait, je crée des tapis pour les Ausha, pour les chiens, pour les lapins. Même, je viens de faire des tapis pour les lapins. Et le fait, justement, de faire du tufting, mais avec un angle comme ça, très, très spécifique, eh bien, j'ai réussi à me créer une petite place dans la communauté des instapets. on va dire. Et donc, ça fonctionne vraiment plutôt pas mal du tout. Et je crée aussi en tufting des jouets, notamment là pour les Ausha, uniquement avec des jouets qui sont garnis d'herbes à chat. Et donc, j'ai créé Zumi il y a maintenant un an. J'ai vendu mon tout premier tapis en juin 2024 à mon voisin Abdou, là aussi, si tu passes par là. C'était une énorme patoune d'un mètre sur un mètre que j'ai vendue à l'époque très peu cher par rapport à ce que je fais aujourd'hui, mais bon, ça allait bien. Fallait bien tester le concept. Et en fait, depuis, j'ai toujours eu des commandes. Ça n'a jamais fléchi. Et en fait, j'ai été contactée par des gens. Moi, j'habite à Lille, mais des gens de Marseille, de Corse même. Vraiment des gens qui me trouvent comme ça via Instagram. Et depuis, ça n'a jamais... Les commandes ont toujours... Et alors, une grande nouvelle cette semaine, c'est qu'après un an de création de tapis, j'arrive enfin à l'équilibre au niveau du budget. Bon, pas de beaucoup, donc je ne veux pas non plus crier sur tous les toits. Il suffit que je fasse une grosse dépense le mois prochain pour que je retombe dans le rouge. Mais entre tout ce que j'ai dépensé depuis le tout, tout, tout début de la création de Zoomy et là, tout ce que j'ai gagné, encore une fois, depuis un an, eh bien, je suis à l'équilibre dans les comptes. Donc ça, c'est plutôt cool d'être rentable au bout d'un an. Encore une fois, moi, c'est un side project, ce n'est pas une énorme entreprise, ce n'est pas non plus une startup de fou. Mais je suis quand même assez fière de ça. Et une autre bonne nouvelle qui s'est passée cette semaine, puisque l'idée de ce journal de bord, c'est que je débriefe un peu, je vlog un peu ma semaine d'entrepreneur à mi-temps, on va dire. C'est que j'ai animé pour la première fois un atelier de tufting où j'aide les gens à créer leur... propres tapis pour leurs Ausha. Notamment, c'était deux personnes qui avaient des Ausha. Et j'ai trouvé ça génial. C'était un peu un objectif pour moi parce que j'ai une tante, Lolo, qui est artiste. J'adorais quand j'étais petite, la qualifier comme ça d'artiste. Mais je continue encore aujourd'hui à dire, tata Lolo, c'est une artiste. Alors, elle fait quelque chose qui n'a rien à voir avec le tissu, avec la laine ou le tufting. Elle crée des sculptures en papier mâché. Et elle fait du coup des ateliers aussi. Elle a mis des ateliers. Et en fait, quand j'étais petite, je la regardais vraiment avec des étoiles dans les yeux. Je trouvais ça génial de réussir à vivre de ça. Et donc, aujourd'hui, je n'en vis pas complètement, mais en tout cas, je touche un peu du bout du doigt ce qu'elle fait, elle et son quotidien. Et voilà, je trouvais ça trop chouette de tester, de faire mon atelier, de créer mon atelier Zoomie. Et ça m'a donné vraiment envie d'en refaire d'autres. Donc, j'espère que je pourrais en réanimer. Voilà, quoi vous dire d'autre cette semaine ? Il se passe pas mal de choses aussi sur Zoomie. J'ai pas mal de commandes qui sont rentrées. c'est marrant comme Dès qu'on n'a plus de commandes du tout, je suis en train de faire des commandes, je suis en train de terminer mes toiles, etc. Et je vois à peu près à un mois que je vais avoir un creux dans les commandes. Là, je n'ai plus rien qui rentre. Donc, je commence un tout petit peu à me dire, j'ai une petite alarme qui se met dans le coin de ma tête. Et d'un coup d'un seul, j'ai deux nouvelles commandes qui viennent de tomber et qui, du coup, m'emmènent jusqu'en out. Donc, c'est marrant de se dire, tiens, là, ça y est, je suis peut-être vraiment au creux de la vague au bout d'un an. et puis en fait, ça repart de plus belle sachant que je vais avoir un déménagement aussi à gérer entre-dents, donc ça va être sympa. Voilà, et du coup, dans cette idée aussi d'animer de nouveaux ateliers, j'aimerais bien aller démarcher de nouveaux lieux. Pour info, cet atelier, je l'ai fait en co-animation, on va dire, avec The Pose, Z-E et Pose, avec Julie. Elle organise des ateliers un peu partout en France et du coup, c'est elle qui était venue me proposer d'en animer un à Lille. Et du coup, j'aimerais bien en trouver d'autres lieux pour animer d'autres ateliers. Donc ça, c'est mon objectif, on va dire, de ces semaines-là, c'est d'aller toquer à la porte de lieux un peu sympas. pour leur proposer mes services. Maintenant que j'ai le matos, parce que j'ai dû acheter des tufting guns, tout ça, tout ça, pour pouvoir animer des ateliers avec plusieurs personnes, j'aimerais bien le rentrer viser. Donc voilà. Écoutez, on se verra la semaine prochaine. On verra comment ça a avancé aussi dans ce démarchage. Je ne fais pas ce podcast-là pour avoir un milliard d'écoutes. Je ne sais pas en même temps si je dis ça pour me protéger si j'ai deux écoutes ou si je le pense vraiment. J'ai l'impression que je le pense vraiment. Je le fais vraiment pour moi. pour ne pas oublier, pour partager peut-être à la moi du futur un peu toutes mes questions. J'ai un peu peur que les gens qui tombent sur ce podcast se disent « Pourquoi elle se prend, elle ? Elle a une start-up qui est un side project un peu tout pourri. » Enfin non, ce n'est pas tout pourri. Je suis assez contente de ce que je fais. Mais en tout cas, je ne suis pas en train de vouloir lever des millions. Et je ne sais même pas si je peux se caler. Justement, c'est un peu toute la question que j'ai en ce moment. Mais si je peux se caler un peu mon activité pour pouvoir en vivre, je n'en sais rien en fait. mais justement, je ne suis pas là pour partager. les choses absolument à faire ou les choses absolument à ne pas faire. J'en sais rien, j'apprends peut-être comme vous. Mais en tout cas, j'avais envie de laisser un peu une trace de tout ce par quoi je passe. En fait, j'ai eu l'idée par Marion Entreprendre et Chose, je crois. Marion Entreprendre sur Instagram, je ne sais plus. C'est une Instagrammeuse, une influenceuse d'entrepreneuriat un peu, qui est freelance et qui, en fait, note par écrit un peu tout ce qui se passe dans sa vie d'entrepreneur. Je ne sais pas si elle le fait tous les jours, mais en tout cas, semaine après semaine. Moi, je sais que si je commence à noter, à écrire, ça va me prendre trop de temps. Je vais le faire trois jours et après, je vais arrêter. Donc, je me dis tiens, mais en ayant un podcast, je trouve que c'est plus facile de parler comme ça à un micro. J'espère aussi que je vais un peu me dérouiller. On verra, sans non plus que ça parte trop en live. Mais en fait, je trouvais ça hyper intéressant. Puis elle, elle partageait justement que grâce à tous ces écrits-là, elle avait pu se rendre compte que sa santé mentale s'était un peu déclinée par rapport à tout ce qu'elle faisait en tant qu'entrepreneur. Alors moi, je ne suis pas du tout à plaindre de ce point de vue-là, mais je trouvais que c'était intéressant. d'avoir un peu ce recul parfois. Et puis aussi cette idée de faire des podcasts toutes les semaines, quoi qu'il en soit, même si j'ai un truc à dire, même si je n'ai rien à dire, même si j'ai un micro ou si c'est juste un message vocal sur WhatsApp. Ça, ça me vient de Fabien Olicard, je ne sais pas si vous connaissez Fabien Olicard, qui est un mentaliste, humoriste, je crois, je ne sais plus, mais mentaliste en tout cas, qui fait des super vidéos et qui avait un podcast aussi et qui disait que lui, ça se traînait à une discipline. Toutes les semaines, il publie un podcast, un épisode, qu'il soit encore une fois vraiment super bien monté, hyper léché, etc. Ou bien un jour, ça lui arrivait d'enregistrer un vocal dans les toilettes d'un restaurant parce qu'il n'avait pas eu le temps de le faire cette semaine. Et il s'en fiche, il a publié son podcast, il a trouvé son thème un peu en deux-deux. Il a fait un podcast de 10 minutes en parlant dans les toilettes du restaurant. Et j'ai trouvé que c'était assez... Déjà marrant et puis assez bold quoi. Donc voilà pour ce premier épisode et puis on se retrouve la semaine prochaine pour voir si je vais avancer justement dans ce démarchage de nouveaux lieux pour des ateliers et puis je vous raconterai tout ce qui s'est passé dans les coulisses de Zoomie cette semaine. A plus !

Chapters

  • Introduction au podcast

    00:00

  • Zoumi : un projet de tapis pour animaux

    02:40

  • État des lieux financier et premiers succès

    04:05

  • Animation d'un atelier de tufting

    04:50

  • Objectifs futurs et démarchage de nouveaux lieux

    06:24

  • Conclusion et perspectives pour le prochain épisode

    09:26

Description

Je m’appelle Emma, et aujourd’hui, je me lance. Ça fait 1 an que mon side project Zoumi existe et en 1 an, il s'est passé tellement de choses que j'ai peur d'oublier.


Alors à partir de maintenant, je déposerai tout ici, à ce micro, comme un journal intime. Un journal d'entrepreneuse. Un journal de bord de mon aventure en création d’entreprise.


Zoumi, c’est une marque artisanale de tapis personnalisés pour animaux. 🐾


C’est un side business que je développe en parallèle de mon job salarié, sur mes soirées, mes week-ends, et les miettes de temps que je grappille entre mes deux vies. C’est aussi une aventure profondément personnelle, qui me transforme à chaque étape.


Dans cet épisode, je te raconte pourquoi j’ai créé ce podcast, ce que j’y cherche, et ce que je veux y déposer.

  • J’y parle de mon besoin de mémoire, de lenteur, de sens.

  • De ma volonté de créer une trace authentique de cette expérience entrepreneuriale. (pas de montage, aucune intro musicale, etc. À la Guillaume Moubeche).

  • De ma manière à moi de faire du journaling quand on entreprend.


Chronique d’un Side Project n’est pas un podcast business classique. Je ne viens pas t’expliquer comment scaler, comment réussir, ni comment atteindre tes objectifs entrepreneuriaux en 3 étapes, parce que moi-même je découvre.

C’est un témoignage brut. Un partage d’expérience sincère, avec ses galères, ses intuitions, ses erreurs et ses élans.


C’est un podcast sur l’entrepreneuriat créatif, sur la création de marque quand on est seule, sur la construction d’un side business aligné avec ses valeurs.


Un podcast qui explore ce que c’est que d’entreprendre en solo, quand on est une femme entrepreneur, qu’on n’a pas beaucoup de temps, pas de plan parfait, mais une vraie envie de faire quelque chose à soi.

Je parle de charge mentale, de joie simple, de doutes, d’intuitions, d’identité de marque, de communication, de stratégie artisanale, de rythme de production.


Je parle aussi de tout ce qu’on vit quand on tente de lancer sa marque à côté d’un CDI. Ce n’est pas linéaire. Ce n’est pas rapide. Mais je me sens vivante.


Si tu es toi-même dans une phase de développement de projet, si tu t’interroges sur comment créer ton entreprise, si tu rêves de te lancer sans savoir si tu es “légitime” ou prête, alors tu es au bon endroit. Peut-être que ce que je partage ici t’aidera à traverser certaines étapes.

Ce podcast s’adresse à celles et ceux qui :
– développent une activité artisanale à côté de leur job,
– portent un projet parallèle avec une forte dimension personnelle,
– cherchent un espace vrai pour parler d’entrepreneuriat au féminin,
– explorent une autre manière d’entreprendre, plus lente, plus incarnée,
– ont besoin d’un compagnon de route audio pour nourrir leur propre cheminement.


C’est le début d’une création d’entreprise. Une entreprise qui se fabrique, comme mes tapis, un point à la fois.


Bienvenue dans cette chronique d'un side project d’une entrepreneur au féminin.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Emma, on est le 2 juin 2025 et je lance mon podcast pour parler de mon aventure entrepreneuriale avec Zoomy. Alors c'est quelque chose que je vais faire de manière très spontanée, j'ai absolument pas de script, j'ai noté quelques mots comme ça devant moi. C'est très challengeant, moi qui ai du mal à faire de l'impro, mais bon, on va essayer. L'idée de ce podcast, c'est que je raconte un peu ce qui se passe dans les coulisses de Zoomy, pour pas oublier déjà. pour me rappeler des potentielles erreurs que j'ai faites au début, pour me replonger, si j'ai besoin, dans 3 ans, 5 ans, si Zoomie existe encore, pour me replonger dans les débuts, pour reconnecter un peu à l'essence de Zoomie. Mais voilà, c'est vraiment mon journal de bord, un peu comme Jack Sully dans Avatar, qui doit débriefer à chaque fois qu'il revient de chez les Navis. L'idée, c'est que je... poste un épisode toutes les semaines. J'ai vraiment envie de m'astreindre cette discipline, qu'il se passe un milliard de choses avec Gumi ou qu'il se passe vraiment très très peu de choses. Je veux absolument poster toutes les semaines. Parfois, ce sera juste mes pensées un peu en vrac, mes doutes, au contraire, mes idées, parce que j'en ai beaucoup à la minute. Que ce soit un débrief un peu de la semaine qui vient de se passer avec des choses plus ou moins cool qui se sont passées. Que ce soit aussi... revenir sur un qui m'a un peu marquée parce que finalement j'ai aussi eu un peu mon lot de... Alors pas de galère, mais j'ai essuyé les plâtres avec pas mal de trucs sur le vomi. Donc maintenant, je sais dire ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Et puis aussi les échanges que je peux avoir avec les gens autour de moi, notamment ma copine Sarah. Sarah, si tu m'écoutes. Avec qui on échange beaucoup, beaucoup de vocaux autour de l'entrepreneuriat. Mon mec aussi qui se lance à lui de son côté avec ses propres projets. on échange aussi beaucoup autour de Comment faire structifier comme ça notre petit business ? Il faut savoir aussi que Zoomy, c'est un side project pour l'instant. Je ne sais pas du tout si un jour je vais réussir à en vivre complètement. Vous allez voir que ça paraît compliqué sur plein d'aspects. Mais en tout cas, aujourd'hui, c'est un side project, ce qui apporte énormément de confort dans le développement de ce projet, puisque j'ai la sécurité financière, etc. Mais aussi énormément de frustration, puisque même si j'ai de l'attraction, si je vois que ça fonctionne, je ne peux pas non plus y passer toutes mes heures de toutes les journées, de toutes les semaines et de tous les mois. Donc voilà, je suis un peu tiraillée entre ces deux sentiments. J'aurais peut-être dû commencer par ça, mais je vous explique ce que c'est que Zoomy, mon aventure entrepreneuriale, mon side project. Zoomy, ce sont des tapis. créé dans la technique artisanale du tufting. Donc, c'est des tapis qui sont faits main. Et en fait, ma niche marketing, c'est que je m'adresse à des gens qui ont des animaux. En fait, je crée des tapis pour les Ausha, pour les chiens, pour les lapins. Même, je viens de faire des tapis pour les lapins. Et le fait, justement, de faire du tufting, mais avec un angle comme ça, très, très spécifique, eh bien, j'ai réussi à me créer une petite place dans la communauté des instapets. on va dire. Et donc, ça fonctionne vraiment plutôt pas mal du tout. Et je crée aussi en tufting des jouets, notamment là pour les Ausha, uniquement avec des jouets qui sont garnis d'herbes à chat. Et donc, j'ai créé Zumi il y a maintenant un an. J'ai vendu mon tout premier tapis en juin 2024 à mon voisin Abdou, là aussi, si tu passes par là. C'était une énorme patoune d'un mètre sur un mètre que j'ai vendue à l'époque très peu cher par rapport à ce que je fais aujourd'hui, mais bon, ça allait bien. Fallait bien tester le concept. Et en fait, depuis, j'ai toujours eu des commandes. Ça n'a jamais fléchi. Et en fait, j'ai été contactée par des gens. Moi, j'habite à Lille, mais des gens de Marseille, de Corse même. Vraiment des gens qui me trouvent comme ça via Instagram. Et depuis, ça n'a jamais... Les commandes ont toujours... Et alors, une grande nouvelle cette semaine, c'est qu'après un an de création de tapis, j'arrive enfin à l'équilibre au niveau du budget. Bon, pas de beaucoup, donc je ne veux pas non plus crier sur tous les toits. Il suffit que je fasse une grosse dépense le mois prochain pour que je retombe dans le rouge. Mais entre tout ce que j'ai dépensé depuis le tout, tout, tout début de la création de Zoomy et là, tout ce que j'ai gagné, encore une fois, depuis un an, eh bien, je suis à l'équilibre dans les comptes. Donc ça, c'est plutôt cool d'être rentable au bout d'un an. Encore une fois, moi, c'est un side project, ce n'est pas une énorme entreprise, ce n'est pas non plus une startup de fou. Mais je suis quand même assez fière de ça. Et une autre bonne nouvelle qui s'est passée cette semaine, puisque l'idée de ce journal de bord, c'est que je débriefe un peu, je vlog un peu ma semaine d'entrepreneur à mi-temps, on va dire. C'est que j'ai animé pour la première fois un atelier de tufting où j'aide les gens à créer leur... propres tapis pour leurs Ausha. Notamment, c'était deux personnes qui avaient des Ausha. Et j'ai trouvé ça génial. C'était un peu un objectif pour moi parce que j'ai une tante, Lolo, qui est artiste. J'adorais quand j'étais petite, la qualifier comme ça d'artiste. Mais je continue encore aujourd'hui à dire, tata Lolo, c'est une artiste. Alors, elle fait quelque chose qui n'a rien à voir avec le tissu, avec la laine ou le tufting. Elle crée des sculptures en papier mâché. Et elle fait du coup des ateliers aussi. Elle a mis des ateliers. Et en fait, quand j'étais petite, je la regardais vraiment avec des étoiles dans les yeux. Je trouvais ça génial de réussir à vivre de ça. Et donc, aujourd'hui, je n'en vis pas complètement, mais en tout cas, je touche un peu du bout du doigt ce qu'elle fait, elle et son quotidien. Et voilà, je trouvais ça trop chouette de tester, de faire mon atelier, de créer mon atelier Zoomie. Et ça m'a donné vraiment envie d'en refaire d'autres. Donc, j'espère que je pourrais en réanimer. Voilà, quoi vous dire d'autre cette semaine ? Il se passe pas mal de choses aussi sur Zoomie. J'ai pas mal de commandes qui sont rentrées. c'est marrant comme Dès qu'on n'a plus de commandes du tout, je suis en train de faire des commandes, je suis en train de terminer mes toiles, etc. Et je vois à peu près à un mois que je vais avoir un creux dans les commandes. Là, je n'ai plus rien qui rentre. Donc, je commence un tout petit peu à me dire, j'ai une petite alarme qui se met dans le coin de ma tête. Et d'un coup d'un seul, j'ai deux nouvelles commandes qui viennent de tomber et qui, du coup, m'emmènent jusqu'en out. Donc, c'est marrant de se dire, tiens, là, ça y est, je suis peut-être vraiment au creux de la vague au bout d'un an. et puis en fait, ça repart de plus belle sachant que je vais avoir un déménagement aussi à gérer entre-dents, donc ça va être sympa. Voilà, et du coup, dans cette idée aussi d'animer de nouveaux ateliers, j'aimerais bien aller démarcher de nouveaux lieux. Pour info, cet atelier, je l'ai fait en co-animation, on va dire, avec The Pose, Z-E et Pose, avec Julie. Elle organise des ateliers un peu partout en France et du coup, c'est elle qui était venue me proposer d'en animer un à Lille. Et du coup, j'aimerais bien en trouver d'autres lieux pour animer d'autres ateliers. Donc ça, c'est mon objectif, on va dire, de ces semaines-là, c'est d'aller toquer à la porte de lieux un peu sympas. pour leur proposer mes services. Maintenant que j'ai le matos, parce que j'ai dû acheter des tufting guns, tout ça, tout ça, pour pouvoir animer des ateliers avec plusieurs personnes, j'aimerais bien le rentrer viser. Donc voilà. Écoutez, on se verra la semaine prochaine. On verra comment ça a avancé aussi dans ce démarchage. Je ne fais pas ce podcast-là pour avoir un milliard d'écoutes. Je ne sais pas en même temps si je dis ça pour me protéger si j'ai deux écoutes ou si je le pense vraiment. J'ai l'impression que je le pense vraiment. Je le fais vraiment pour moi. pour ne pas oublier, pour partager peut-être à la moi du futur un peu toutes mes questions. J'ai un peu peur que les gens qui tombent sur ce podcast se disent « Pourquoi elle se prend, elle ? Elle a une start-up qui est un side project un peu tout pourri. » Enfin non, ce n'est pas tout pourri. Je suis assez contente de ce que je fais. Mais en tout cas, je ne suis pas en train de vouloir lever des millions. Et je ne sais même pas si je peux se caler. Justement, c'est un peu toute la question que j'ai en ce moment. Mais si je peux se caler un peu mon activité pour pouvoir en vivre, je n'en sais rien en fait. mais justement, je ne suis pas là pour partager. les choses absolument à faire ou les choses absolument à ne pas faire. J'en sais rien, j'apprends peut-être comme vous. Mais en tout cas, j'avais envie de laisser un peu une trace de tout ce par quoi je passe. En fait, j'ai eu l'idée par Marion Entreprendre et Chose, je crois. Marion Entreprendre sur Instagram, je ne sais plus. C'est une Instagrammeuse, une influenceuse d'entrepreneuriat un peu, qui est freelance et qui, en fait, note par écrit un peu tout ce qui se passe dans sa vie d'entrepreneur. Je ne sais pas si elle le fait tous les jours, mais en tout cas, semaine après semaine. Moi, je sais que si je commence à noter, à écrire, ça va me prendre trop de temps. Je vais le faire trois jours et après, je vais arrêter. Donc, je me dis tiens, mais en ayant un podcast, je trouve que c'est plus facile de parler comme ça à un micro. J'espère aussi que je vais un peu me dérouiller. On verra, sans non plus que ça parte trop en live. Mais en fait, je trouvais ça hyper intéressant. Puis elle, elle partageait justement que grâce à tous ces écrits-là, elle avait pu se rendre compte que sa santé mentale s'était un peu déclinée par rapport à tout ce qu'elle faisait en tant qu'entrepreneur. Alors moi, je ne suis pas du tout à plaindre de ce point de vue-là, mais je trouvais que c'était intéressant. d'avoir un peu ce recul parfois. Et puis aussi cette idée de faire des podcasts toutes les semaines, quoi qu'il en soit, même si j'ai un truc à dire, même si je n'ai rien à dire, même si j'ai un micro ou si c'est juste un message vocal sur WhatsApp. Ça, ça me vient de Fabien Olicard, je ne sais pas si vous connaissez Fabien Olicard, qui est un mentaliste, humoriste, je crois, je ne sais plus, mais mentaliste en tout cas, qui fait des super vidéos et qui avait un podcast aussi et qui disait que lui, ça se traînait à une discipline. Toutes les semaines, il publie un podcast, un épisode, qu'il soit encore une fois vraiment super bien monté, hyper léché, etc. Ou bien un jour, ça lui arrivait d'enregistrer un vocal dans les toilettes d'un restaurant parce qu'il n'avait pas eu le temps de le faire cette semaine. Et il s'en fiche, il a publié son podcast, il a trouvé son thème un peu en deux-deux. Il a fait un podcast de 10 minutes en parlant dans les toilettes du restaurant. Et j'ai trouvé que c'était assez... Déjà marrant et puis assez bold quoi. Donc voilà pour ce premier épisode et puis on se retrouve la semaine prochaine pour voir si je vais avancer justement dans ce démarchage de nouveaux lieux pour des ateliers et puis je vous raconterai tout ce qui s'est passé dans les coulisses de Zoomie cette semaine. A plus !

Chapters

  • Introduction au podcast

    00:00

  • Zoumi : un projet de tapis pour animaux

    02:40

  • État des lieux financier et premiers succès

    04:05

  • Animation d'un atelier de tufting

    04:50

  • Objectifs futurs et démarchage de nouveaux lieux

    06:24

  • Conclusion et perspectives pour le prochain épisode

    09:26

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Description

Je m’appelle Emma, et aujourd’hui, je me lance. Ça fait 1 an que mon side project Zoumi existe et en 1 an, il s'est passé tellement de choses que j'ai peur d'oublier.


Alors à partir de maintenant, je déposerai tout ici, à ce micro, comme un journal intime. Un journal d'entrepreneuse. Un journal de bord de mon aventure en création d’entreprise.


Zoumi, c’est une marque artisanale de tapis personnalisés pour animaux. 🐾


C’est un side business que je développe en parallèle de mon job salarié, sur mes soirées, mes week-ends, et les miettes de temps que je grappille entre mes deux vies. C’est aussi une aventure profondément personnelle, qui me transforme à chaque étape.


Dans cet épisode, je te raconte pourquoi j’ai créé ce podcast, ce que j’y cherche, et ce que je veux y déposer.

  • J’y parle de mon besoin de mémoire, de lenteur, de sens.

  • De ma volonté de créer une trace authentique de cette expérience entrepreneuriale. (pas de montage, aucune intro musicale, etc. À la Guillaume Moubeche).

  • De ma manière à moi de faire du journaling quand on entreprend.


Chronique d’un Side Project n’est pas un podcast business classique. Je ne viens pas t’expliquer comment scaler, comment réussir, ni comment atteindre tes objectifs entrepreneuriaux en 3 étapes, parce que moi-même je découvre.

C’est un témoignage brut. Un partage d’expérience sincère, avec ses galères, ses intuitions, ses erreurs et ses élans.


C’est un podcast sur l’entrepreneuriat créatif, sur la création de marque quand on est seule, sur la construction d’un side business aligné avec ses valeurs.


Un podcast qui explore ce que c’est que d’entreprendre en solo, quand on est une femme entrepreneur, qu’on n’a pas beaucoup de temps, pas de plan parfait, mais une vraie envie de faire quelque chose à soi.

Je parle de charge mentale, de joie simple, de doutes, d’intuitions, d’identité de marque, de communication, de stratégie artisanale, de rythme de production.


Je parle aussi de tout ce qu’on vit quand on tente de lancer sa marque à côté d’un CDI. Ce n’est pas linéaire. Ce n’est pas rapide. Mais je me sens vivante.


Si tu es toi-même dans une phase de développement de projet, si tu t’interroges sur comment créer ton entreprise, si tu rêves de te lancer sans savoir si tu es “légitime” ou prête, alors tu es au bon endroit. Peut-être que ce que je partage ici t’aidera à traverser certaines étapes.

Ce podcast s’adresse à celles et ceux qui :
– développent une activité artisanale à côté de leur job,
– portent un projet parallèle avec une forte dimension personnelle,
– cherchent un espace vrai pour parler d’entrepreneuriat au féminin,
– explorent une autre manière d’entreprendre, plus lente, plus incarnée,
– ont besoin d’un compagnon de route audio pour nourrir leur propre cheminement.


C’est le début d’une création d’entreprise. Une entreprise qui se fabrique, comme mes tapis, un point à la fois.


Bienvenue dans cette chronique d'un side project d’une entrepreneur au féminin.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Emma, on est le 2 juin 2025 et je lance mon podcast pour parler de mon aventure entrepreneuriale avec Zoomy. Alors c'est quelque chose que je vais faire de manière très spontanée, j'ai absolument pas de script, j'ai noté quelques mots comme ça devant moi. C'est très challengeant, moi qui ai du mal à faire de l'impro, mais bon, on va essayer. L'idée de ce podcast, c'est que je raconte un peu ce qui se passe dans les coulisses de Zoomy, pour pas oublier déjà. pour me rappeler des potentielles erreurs que j'ai faites au début, pour me replonger, si j'ai besoin, dans 3 ans, 5 ans, si Zoomie existe encore, pour me replonger dans les débuts, pour reconnecter un peu à l'essence de Zoomie. Mais voilà, c'est vraiment mon journal de bord, un peu comme Jack Sully dans Avatar, qui doit débriefer à chaque fois qu'il revient de chez les Navis. L'idée, c'est que je... poste un épisode toutes les semaines. J'ai vraiment envie de m'astreindre cette discipline, qu'il se passe un milliard de choses avec Gumi ou qu'il se passe vraiment très très peu de choses. Je veux absolument poster toutes les semaines. Parfois, ce sera juste mes pensées un peu en vrac, mes doutes, au contraire, mes idées, parce que j'en ai beaucoup à la minute. Que ce soit un débrief un peu de la semaine qui vient de se passer avec des choses plus ou moins cool qui se sont passées. Que ce soit aussi... revenir sur un qui m'a un peu marquée parce que finalement j'ai aussi eu un peu mon lot de... Alors pas de galère, mais j'ai essuyé les plâtres avec pas mal de trucs sur le vomi. Donc maintenant, je sais dire ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Et puis aussi les échanges que je peux avoir avec les gens autour de moi, notamment ma copine Sarah. Sarah, si tu m'écoutes. Avec qui on échange beaucoup, beaucoup de vocaux autour de l'entrepreneuriat. Mon mec aussi qui se lance à lui de son côté avec ses propres projets. on échange aussi beaucoup autour de Comment faire structifier comme ça notre petit business ? Il faut savoir aussi que Zoomy, c'est un side project pour l'instant. Je ne sais pas du tout si un jour je vais réussir à en vivre complètement. Vous allez voir que ça paraît compliqué sur plein d'aspects. Mais en tout cas, aujourd'hui, c'est un side project, ce qui apporte énormément de confort dans le développement de ce projet, puisque j'ai la sécurité financière, etc. Mais aussi énormément de frustration, puisque même si j'ai de l'attraction, si je vois que ça fonctionne, je ne peux pas non plus y passer toutes mes heures de toutes les journées, de toutes les semaines et de tous les mois. Donc voilà, je suis un peu tiraillée entre ces deux sentiments. J'aurais peut-être dû commencer par ça, mais je vous explique ce que c'est que Zoomy, mon aventure entrepreneuriale, mon side project. Zoomy, ce sont des tapis. créé dans la technique artisanale du tufting. Donc, c'est des tapis qui sont faits main. Et en fait, ma niche marketing, c'est que je m'adresse à des gens qui ont des animaux. En fait, je crée des tapis pour les Ausha, pour les chiens, pour les lapins. Même, je viens de faire des tapis pour les lapins. Et le fait, justement, de faire du tufting, mais avec un angle comme ça, très, très spécifique, eh bien, j'ai réussi à me créer une petite place dans la communauté des instapets. on va dire. Et donc, ça fonctionne vraiment plutôt pas mal du tout. Et je crée aussi en tufting des jouets, notamment là pour les Ausha, uniquement avec des jouets qui sont garnis d'herbes à chat. Et donc, j'ai créé Zumi il y a maintenant un an. J'ai vendu mon tout premier tapis en juin 2024 à mon voisin Abdou, là aussi, si tu passes par là. C'était une énorme patoune d'un mètre sur un mètre que j'ai vendue à l'époque très peu cher par rapport à ce que je fais aujourd'hui, mais bon, ça allait bien. Fallait bien tester le concept. Et en fait, depuis, j'ai toujours eu des commandes. Ça n'a jamais fléchi. Et en fait, j'ai été contactée par des gens. Moi, j'habite à Lille, mais des gens de Marseille, de Corse même. Vraiment des gens qui me trouvent comme ça via Instagram. Et depuis, ça n'a jamais... Les commandes ont toujours... Et alors, une grande nouvelle cette semaine, c'est qu'après un an de création de tapis, j'arrive enfin à l'équilibre au niveau du budget. Bon, pas de beaucoup, donc je ne veux pas non plus crier sur tous les toits. Il suffit que je fasse une grosse dépense le mois prochain pour que je retombe dans le rouge. Mais entre tout ce que j'ai dépensé depuis le tout, tout, tout début de la création de Zoomy et là, tout ce que j'ai gagné, encore une fois, depuis un an, eh bien, je suis à l'équilibre dans les comptes. Donc ça, c'est plutôt cool d'être rentable au bout d'un an. Encore une fois, moi, c'est un side project, ce n'est pas une énorme entreprise, ce n'est pas non plus une startup de fou. Mais je suis quand même assez fière de ça. Et une autre bonne nouvelle qui s'est passée cette semaine, puisque l'idée de ce journal de bord, c'est que je débriefe un peu, je vlog un peu ma semaine d'entrepreneur à mi-temps, on va dire. C'est que j'ai animé pour la première fois un atelier de tufting où j'aide les gens à créer leur... propres tapis pour leurs Ausha. Notamment, c'était deux personnes qui avaient des Ausha. Et j'ai trouvé ça génial. C'était un peu un objectif pour moi parce que j'ai une tante, Lolo, qui est artiste. J'adorais quand j'étais petite, la qualifier comme ça d'artiste. Mais je continue encore aujourd'hui à dire, tata Lolo, c'est une artiste. Alors, elle fait quelque chose qui n'a rien à voir avec le tissu, avec la laine ou le tufting. Elle crée des sculptures en papier mâché. Et elle fait du coup des ateliers aussi. Elle a mis des ateliers. Et en fait, quand j'étais petite, je la regardais vraiment avec des étoiles dans les yeux. Je trouvais ça génial de réussir à vivre de ça. Et donc, aujourd'hui, je n'en vis pas complètement, mais en tout cas, je touche un peu du bout du doigt ce qu'elle fait, elle et son quotidien. Et voilà, je trouvais ça trop chouette de tester, de faire mon atelier, de créer mon atelier Zoomie. Et ça m'a donné vraiment envie d'en refaire d'autres. Donc, j'espère que je pourrais en réanimer. Voilà, quoi vous dire d'autre cette semaine ? Il se passe pas mal de choses aussi sur Zoomie. J'ai pas mal de commandes qui sont rentrées. c'est marrant comme Dès qu'on n'a plus de commandes du tout, je suis en train de faire des commandes, je suis en train de terminer mes toiles, etc. Et je vois à peu près à un mois que je vais avoir un creux dans les commandes. Là, je n'ai plus rien qui rentre. Donc, je commence un tout petit peu à me dire, j'ai une petite alarme qui se met dans le coin de ma tête. Et d'un coup d'un seul, j'ai deux nouvelles commandes qui viennent de tomber et qui, du coup, m'emmènent jusqu'en out. Donc, c'est marrant de se dire, tiens, là, ça y est, je suis peut-être vraiment au creux de la vague au bout d'un an. et puis en fait, ça repart de plus belle sachant que je vais avoir un déménagement aussi à gérer entre-dents, donc ça va être sympa. Voilà, et du coup, dans cette idée aussi d'animer de nouveaux ateliers, j'aimerais bien aller démarcher de nouveaux lieux. Pour info, cet atelier, je l'ai fait en co-animation, on va dire, avec The Pose, Z-E et Pose, avec Julie. Elle organise des ateliers un peu partout en France et du coup, c'est elle qui était venue me proposer d'en animer un à Lille. Et du coup, j'aimerais bien en trouver d'autres lieux pour animer d'autres ateliers. Donc ça, c'est mon objectif, on va dire, de ces semaines-là, c'est d'aller toquer à la porte de lieux un peu sympas. pour leur proposer mes services. Maintenant que j'ai le matos, parce que j'ai dû acheter des tufting guns, tout ça, tout ça, pour pouvoir animer des ateliers avec plusieurs personnes, j'aimerais bien le rentrer viser. Donc voilà. Écoutez, on se verra la semaine prochaine. On verra comment ça a avancé aussi dans ce démarchage. Je ne fais pas ce podcast-là pour avoir un milliard d'écoutes. Je ne sais pas en même temps si je dis ça pour me protéger si j'ai deux écoutes ou si je le pense vraiment. J'ai l'impression que je le pense vraiment. Je le fais vraiment pour moi. pour ne pas oublier, pour partager peut-être à la moi du futur un peu toutes mes questions. J'ai un peu peur que les gens qui tombent sur ce podcast se disent « Pourquoi elle se prend, elle ? Elle a une start-up qui est un side project un peu tout pourri. » Enfin non, ce n'est pas tout pourri. Je suis assez contente de ce que je fais. Mais en tout cas, je ne suis pas en train de vouloir lever des millions. Et je ne sais même pas si je peux se caler. Justement, c'est un peu toute la question que j'ai en ce moment. Mais si je peux se caler un peu mon activité pour pouvoir en vivre, je n'en sais rien en fait. mais justement, je ne suis pas là pour partager. les choses absolument à faire ou les choses absolument à ne pas faire. J'en sais rien, j'apprends peut-être comme vous. Mais en tout cas, j'avais envie de laisser un peu une trace de tout ce par quoi je passe. En fait, j'ai eu l'idée par Marion Entreprendre et Chose, je crois. Marion Entreprendre sur Instagram, je ne sais plus. C'est une Instagrammeuse, une influenceuse d'entrepreneuriat un peu, qui est freelance et qui, en fait, note par écrit un peu tout ce qui se passe dans sa vie d'entrepreneur. Je ne sais pas si elle le fait tous les jours, mais en tout cas, semaine après semaine. Moi, je sais que si je commence à noter, à écrire, ça va me prendre trop de temps. Je vais le faire trois jours et après, je vais arrêter. Donc, je me dis tiens, mais en ayant un podcast, je trouve que c'est plus facile de parler comme ça à un micro. J'espère aussi que je vais un peu me dérouiller. On verra, sans non plus que ça parte trop en live. Mais en fait, je trouvais ça hyper intéressant. Puis elle, elle partageait justement que grâce à tous ces écrits-là, elle avait pu se rendre compte que sa santé mentale s'était un peu déclinée par rapport à tout ce qu'elle faisait en tant qu'entrepreneur. Alors moi, je ne suis pas du tout à plaindre de ce point de vue-là, mais je trouvais que c'était intéressant. d'avoir un peu ce recul parfois. Et puis aussi cette idée de faire des podcasts toutes les semaines, quoi qu'il en soit, même si j'ai un truc à dire, même si je n'ai rien à dire, même si j'ai un micro ou si c'est juste un message vocal sur WhatsApp. Ça, ça me vient de Fabien Olicard, je ne sais pas si vous connaissez Fabien Olicard, qui est un mentaliste, humoriste, je crois, je ne sais plus, mais mentaliste en tout cas, qui fait des super vidéos et qui avait un podcast aussi et qui disait que lui, ça se traînait à une discipline. Toutes les semaines, il publie un podcast, un épisode, qu'il soit encore une fois vraiment super bien monté, hyper léché, etc. Ou bien un jour, ça lui arrivait d'enregistrer un vocal dans les toilettes d'un restaurant parce qu'il n'avait pas eu le temps de le faire cette semaine. Et il s'en fiche, il a publié son podcast, il a trouvé son thème un peu en deux-deux. Il a fait un podcast de 10 minutes en parlant dans les toilettes du restaurant. Et j'ai trouvé que c'était assez... Déjà marrant et puis assez bold quoi. Donc voilà pour ce premier épisode et puis on se retrouve la semaine prochaine pour voir si je vais avancer justement dans ce démarchage de nouveaux lieux pour des ateliers et puis je vous raconterai tout ce qui s'est passé dans les coulisses de Zoomie cette semaine. A plus !

Chapters

  • Introduction au podcast

    00:00

  • Zoumi : un projet de tapis pour animaux

    02:40

  • État des lieux financier et premiers succès

    04:05

  • Animation d'un atelier de tufting

    04:50

  • Objectifs futurs et démarchage de nouveaux lieux

    06:24

  • Conclusion et perspectives pour le prochain épisode

    09:26

Description

Je m’appelle Emma, et aujourd’hui, je me lance. Ça fait 1 an que mon side project Zoumi existe et en 1 an, il s'est passé tellement de choses que j'ai peur d'oublier.


Alors à partir de maintenant, je déposerai tout ici, à ce micro, comme un journal intime. Un journal d'entrepreneuse. Un journal de bord de mon aventure en création d’entreprise.


Zoumi, c’est une marque artisanale de tapis personnalisés pour animaux. 🐾


C’est un side business que je développe en parallèle de mon job salarié, sur mes soirées, mes week-ends, et les miettes de temps que je grappille entre mes deux vies. C’est aussi une aventure profondément personnelle, qui me transforme à chaque étape.


Dans cet épisode, je te raconte pourquoi j’ai créé ce podcast, ce que j’y cherche, et ce que je veux y déposer.

  • J’y parle de mon besoin de mémoire, de lenteur, de sens.

  • De ma volonté de créer une trace authentique de cette expérience entrepreneuriale. (pas de montage, aucune intro musicale, etc. À la Guillaume Moubeche).

  • De ma manière à moi de faire du journaling quand on entreprend.


Chronique d’un Side Project n’est pas un podcast business classique. Je ne viens pas t’expliquer comment scaler, comment réussir, ni comment atteindre tes objectifs entrepreneuriaux en 3 étapes, parce que moi-même je découvre.

C’est un témoignage brut. Un partage d’expérience sincère, avec ses galères, ses intuitions, ses erreurs et ses élans.


C’est un podcast sur l’entrepreneuriat créatif, sur la création de marque quand on est seule, sur la construction d’un side business aligné avec ses valeurs.


Un podcast qui explore ce que c’est que d’entreprendre en solo, quand on est une femme entrepreneur, qu’on n’a pas beaucoup de temps, pas de plan parfait, mais une vraie envie de faire quelque chose à soi.

Je parle de charge mentale, de joie simple, de doutes, d’intuitions, d’identité de marque, de communication, de stratégie artisanale, de rythme de production.


Je parle aussi de tout ce qu’on vit quand on tente de lancer sa marque à côté d’un CDI. Ce n’est pas linéaire. Ce n’est pas rapide. Mais je me sens vivante.


Si tu es toi-même dans une phase de développement de projet, si tu t’interroges sur comment créer ton entreprise, si tu rêves de te lancer sans savoir si tu es “légitime” ou prête, alors tu es au bon endroit. Peut-être que ce que je partage ici t’aidera à traverser certaines étapes.

Ce podcast s’adresse à celles et ceux qui :
– développent une activité artisanale à côté de leur job,
– portent un projet parallèle avec une forte dimension personnelle,
– cherchent un espace vrai pour parler d’entrepreneuriat au féminin,
– explorent une autre manière d’entreprendre, plus lente, plus incarnée,
– ont besoin d’un compagnon de route audio pour nourrir leur propre cheminement.


C’est le début d’une création d’entreprise. Une entreprise qui se fabrique, comme mes tapis, un point à la fois.


Bienvenue dans cette chronique d'un side project d’une entrepreneur au féminin.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Emma, on est le 2 juin 2025 et je lance mon podcast pour parler de mon aventure entrepreneuriale avec Zoomy. Alors c'est quelque chose que je vais faire de manière très spontanée, j'ai absolument pas de script, j'ai noté quelques mots comme ça devant moi. C'est très challengeant, moi qui ai du mal à faire de l'impro, mais bon, on va essayer. L'idée de ce podcast, c'est que je raconte un peu ce qui se passe dans les coulisses de Zoomy, pour pas oublier déjà. pour me rappeler des potentielles erreurs que j'ai faites au début, pour me replonger, si j'ai besoin, dans 3 ans, 5 ans, si Zoomie existe encore, pour me replonger dans les débuts, pour reconnecter un peu à l'essence de Zoomie. Mais voilà, c'est vraiment mon journal de bord, un peu comme Jack Sully dans Avatar, qui doit débriefer à chaque fois qu'il revient de chez les Navis. L'idée, c'est que je... poste un épisode toutes les semaines. J'ai vraiment envie de m'astreindre cette discipline, qu'il se passe un milliard de choses avec Gumi ou qu'il se passe vraiment très très peu de choses. Je veux absolument poster toutes les semaines. Parfois, ce sera juste mes pensées un peu en vrac, mes doutes, au contraire, mes idées, parce que j'en ai beaucoup à la minute. Que ce soit un débrief un peu de la semaine qui vient de se passer avec des choses plus ou moins cool qui se sont passées. Que ce soit aussi... revenir sur un qui m'a un peu marquée parce que finalement j'ai aussi eu un peu mon lot de... Alors pas de galère, mais j'ai essuyé les plâtres avec pas mal de trucs sur le vomi. Donc maintenant, je sais dire ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Et puis aussi les échanges que je peux avoir avec les gens autour de moi, notamment ma copine Sarah. Sarah, si tu m'écoutes. Avec qui on échange beaucoup, beaucoup de vocaux autour de l'entrepreneuriat. Mon mec aussi qui se lance à lui de son côté avec ses propres projets. on échange aussi beaucoup autour de Comment faire structifier comme ça notre petit business ? Il faut savoir aussi que Zoomy, c'est un side project pour l'instant. Je ne sais pas du tout si un jour je vais réussir à en vivre complètement. Vous allez voir que ça paraît compliqué sur plein d'aspects. Mais en tout cas, aujourd'hui, c'est un side project, ce qui apporte énormément de confort dans le développement de ce projet, puisque j'ai la sécurité financière, etc. Mais aussi énormément de frustration, puisque même si j'ai de l'attraction, si je vois que ça fonctionne, je ne peux pas non plus y passer toutes mes heures de toutes les journées, de toutes les semaines et de tous les mois. Donc voilà, je suis un peu tiraillée entre ces deux sentiments. J'aurais peut-être dû commencer par ça, mais je vous explique ce que c'est que Zoomy, mon aventure entrepreneuriale, mon side project. Zoomy, ce sont des tapis. créé dans la technique artisanale du tufting. Donc, c'est des tapis qui sont faits main. Et en fait, ma niche marketing, c'est que je m'adresse à des gens qui ont des animaux. En fait, je crée des tapis pour les Ausha, pour les chiens, pour les lapins. Même, je viens de faire des tapis pour les lapins. Et le fait, justement, de faire du tufting, mais avec un angle comme ça, très, très spécifique, eh bien, j'ai réussi à me créer une petite place dans la communauté des instapets. on va dire. Et donc, ça fonctionne vraiment plutôt pas mal du tout. Et je crée aussi en tufting des jouets, notamment là pour les Ausha, uniquement avec des jouets qui sont garnis d'herbes à chat. Et donc, j'ai créé Zumi il y a maintenant un an. J'ai vendu mon tout premier tapis en juin 2024 à mon voisin Abdou, là aussi, si tu passes par là. C'était une énorme patoune d'un mètre sur un mètre que j'ai vendue à l'époque très peu cher par rapport à ce que je fais aujourd'hui, mais bon, ça allait bien. Fallait bien tester le concept. Et en fait, depuis, j'ai toujours eu des commandes. Ça n'a jamais fléchi. Et en fait, j'ai été contactée par des gens. Moi, j'habite à Lille, mais des gens de Marseille, de Corse même. Vraiment des gens qui me trouvent comme ça via Instagram. Et depuis, ça n'a jamais... Les commandes ont toujours... Et alors, une grande nouvelle cette semaine, c'est qu'après un an de création de tapis, j'arrive enfin à l'équilibre au niveau du budget. Bon, pas de beaucoup, donc je ne veux pas non plus crier sur tous les toits. Il suffit que je fasse une grosse dépense le mois prochain pour que je retombe dans le rouge. Mais entre tout ce que j'ai dépensé depuis le tout, tout, tout début de la création de Zoomy et là, tout ce que j'ai gagné, encore une fois, depuis un an, eh bien, je suis à l'équilibre dans les comptes. Donc ça, c'est plutôt cool d'être rentable au bout d'un an. Encore une fois, moi, c'est un side project, ce n'est pas une énorme entreprise, ce n'est pas non plus une startup de fou. Mais je suis quand même assez fière de ça. Et une autre bonne nouvelle qui s'est passée cette semaine, puisque l'idée de ce journal de bord, c'est que je débriefe un peu, je vlog un peu ma semaine d'entrepreneur à mi-temps, on va dire. C'est que j'ai animé pour la première fois un atelier de tufting où j'aide les gens à créer leur... propres tapis pour leurs Ausha. Notamment, c'était deux personnes qui avaient des Ausha. Et j'ai trouvé ça génial. C'était un peu un objectif pour moi parce que j'ai une tante, Lolo, qui est artiste. J'adorais quand j'étais petite, la qualifier comme ça d'artiste. Mais je continue encore aujourd'hui à dire, tata Lolo, c'est une artiste. Alors, elle fait quelque chose qui n'a rien à voir avec le tissu, avec la laine ou le tufting. Elle crée des sculptures en papier mâché. Et elle fait du coup des ateliers aussi. Elle a mis des ateliers. Et en fait, quand j'étais petite, je la regardais vraiment avec des étoiles dans les yeux. Je trouvais ça génial de réussir à vivre de ça. Et donc, aujourd'hui, je n'en vis pas complètement, mais en tout cas, je touche un peu du bout du doigt ce qu'elle fait, elle et son quotidien. Et voilà, je trouvais ça trop chouette de tester, de faire mon atelier, de créer mon atelier Zoomie. Et ça m'a donné vraiment envie d'en refaire d'autres. Donc, j'espère que je pourrais en réanimer. Voilà, quoi vous dire d'autre cette semaine ? Il se passe pas mal de choses aussi sur Zoomie. J'ai pas mal de commandes qui sont rentrées. c'est marrant comme Dès qu'on n'a plus de commandes du tout, je suis en train de faire des commandes, je suis en train de terminer mes toiles, etc. Et je vois à peu près à un mois que je vais avoir un creux dans les commandes. Là, je n'ai plus rien qui rentre. Donc, je commence un tout petit peu à me dire, j'ai une petite alarme qui se met dans le coin de ma tête. Et d'un coup d'un seul, j'ai deux nouvelles commandes qui viennent de tomber et qui, du coup, m'emmènent jusqu'en out. Donc, c'est marrant de se dire, tiens, là, ça y est, je suis peut-être vraiment au creux de la vague au bout d'un an. et puis en fait, ça repart de plus belle sachant que je vais avoir un déménagement aussi à gérer entre-dents, donc ça va être sympa. Voilà, et du coup, dans cette idée aussi d'animer de nouveaux ateliers, j'aimerais bien aller démarcher de nouveaux lieux. Pour info, cet atelier, je l'ai fait en co-animation, on va dire, avec The Pose, Z-E et Pose, avec Julie. Elle organise des ateliers un peu partout en France et du coup, c'est elle qui était venue me proposer d'en animer un à Lille. Et du coup, j'aimerais bien en trouver d'autres lieux pour animer d'autres ateliers. Donc ça, c'est mon objectif, on va dire, de ces semaines-là, c'est d'aller toquer à la porte de lieux un peu sympas. pour leur proposer mes services. Maintenant que j'ai le matos, parce que j'ai dû acheter des tufting guns, tout ça, tout ça, pour pouvoir animer des ateliers avec plusieurs personnes, j'aimerais bien le rentrer viser. Donc voilà. Écoutez, on se verra la semaine prochaine. On verra comment ça a avancé aussi dans ce démarchage. Je ne fais pas ce podcast-là pour avoir un milliard d'écoutes. Je ne sais pas en même temps si je dis ça pour me protéger si j'ai deux écoutes ou si je le pense vraiment. J'ai l'impression que je le pense vraiment. Je le fais vraiment pour moi. pour ne pas oublier, pour partager peut-être à la moi du futur un peu toutes mes questions. J'ai un peu peur que les gens qui tombent sur ce podcast se disent « Pourquoi elle se prend, elle ? Elle a une start-up qui est un side project un peu tout pourri. » Enfin non, ce n'est pas tout pourri. Je suis assez contente de ce que je fais. Mais en tout cas, je ne suis pas en train de vouloir lever des millions. Et je ne sais même pas si je peux se caler. Justement, c'est un peu toute la question que j'ai en ce moment. Mais si je peux se caler un peu mon activité pour pouvoir en vivre, je n'en sais rien en fait. mais justement, je ne suis pas là pour partager. les choses absolument à faire ou les choses absolument à ne pas faire. J'en sais rien, j'apprends peut-être comme vous. Mais en tout cas, j'avais envie de laisser un peu une trace de tout ce par quoi je passe. En fait, j'ai eu l'idée par Marion Entreprendre et Chose, je crois. Marion Entreprendre sur Instagram, je ne sais plus. C'est une Instagrammeuse, une influenceuse d'entrepreneuriat un peu, qui est freelance et qui, en fait, note par écrit un peu tout ce qui se passe dans sa vie d'entrepreneur. Je ne sais pas si elle le fait tous les jours, mais en tout cas, semaine après semaine. Moi, je sais que si je commence à noter, à écrire, ça va me prendre trop de temps. Je vais le faire trois jours et après, je vais arrêter. Donc, je me dis tiens, mais en ayant un podcast, je trouve que c'est plus facile de parler comme ça à un micro. J'espère aussi que je vais un peu me dérouiller. On verra, sans non plus que ça parte trop en live. Mais en fait, je trouvais ça hyper intéressant. Puis elle, elle partageait justement que grâce à tous ces écrits-là, elle avait pu se rendre compte que sa santé mentale s'était un peu déclinée par rapport à tout ce qu'elle faisait en tant qu'entrepreneur. Alors moi, je ne suis pas du tout à plaindre de ce point de vue-là, mais je trouvais que c'était intéressant. d'avoir un peu ce recul parfois. Et puis aussi cette idée de faire des podcasts toutes les semaines, quoi qu'il en soit, même si j'ai un truc à dire, même si je n'ai rien à dire, même si j'ai un micro ou si c'est juste un message vocal sur WhatsApp. Ça, ça me vient de Fabien Olicard, je ne sais pas si vous connaissez Fabien Olicard, qui est un mentaliste, humoriste, je crois, je ne sais plus, mais mentaliste en tout cas, qui fait des super vidéos et qui avait un podcast aussi et qui disait que lui, ça se traînait à une discipline. Toutes les semaines, il publie un podcast, un épisode, qu'il soit encore une fois vraiment super bien monté, hyper léché, etc. Ou bien un jour, ça lui arrivait d'enregistrer un vocal dans les toilettes d'un restaurant parce qu'il n'avait pas eu le temps de le faire cette semaine. Et il s'en fiche, il a publié son podcast, il a trouvé son thème un peu en deux-deux. Il a fait un podcast de 10 minutes en parlant dans les toilettes du restaurant. Et j'ai trouvé que c'était assez... Déjà marrant et puis assez bold quoi. Donc voilà pour ce premier épisode et puis on se retrouve la semaine prochaine pour voir si je vais avancer justement dans ce démarchage de nouveaux lieux pour des ateliers et puis je vous raconterai tout ce qui s'est passé dans les coulisses de Zoomie cette semaine. A plus !

Chapters

  • Introduction au podcast

    00:00

  • Zoumi : un projet de tapis pour animaux

    02:40

  • État des lieux financier et premiers succès

    04:05

  • Animation d'un atelier de tufting

    04:50

  • Objectifs futurs et démarchage de nouveaux lieux

    06:24

  • Conclusion et perspectives pour le prochain épisode

    09:26

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