Ce numéro de l'Eco Business du 13-10-2025," présente une analyse approfondie des prévisions budgétaires et macroéconomiques pour 2026. Le thème central est la promesse du gouvernement de ramener le déficit budgétaire à 3% du PIB, un objectif ambitieux qui repose sur une stricte discipline d'exécution des dépenses et une croissance attendue de 4,5%. Les analyses détaillent les hypothèses de croissance, notamment une récolte céréalière « moyenne » et une demande intérieure comme principal moteur économique, tout en examinant la structure de la dette publique et la politique monétaire. Le podcast insiste sur la nécessité d'une sobriété obligatoire dans les dépenses publiques courantes et sur une meilleure traçabilité fiscale pour garantir la crédibilité des objectifs. Enfin, l'utilisation de « financements innovants » et le déficit croissant des Comptes spéciaux du Trésor (CST), notamment pour les fonds sociaux et la reconstruction post-séisme, sont identifiés comme des défis de soutenabilité.

Quelles mesures concrètes de sobriété obligatoire et de discipline budgétaire sont décisives pour garantir la crédibilité de la trajectoire visant un déficit à 3 % du PIB dès 2026 ?

Quelles hypothèses macroéconomiques serrées sous-tendent la prévision d'une croissance de 4,5 % en 2026 et dans quelle mesure cette cible est-elle vulnérable à la volatilité agricole ou énergétique ?

Comment le cadrage budgétaire 2026 entend-il s’assurer de l’efficacité de chaque dirham investi et du bon déroulement de la chaîne d’exécution des projets publics ?

Que signifie le basculement dans le rouge des Comptes Spéciaux du Trésor en 2024 en termes de soutenabilité budgétaire, et quelles stratégies de gouvernance doivent être mises en place ?

Quelle condition essentielle permettrait à la détente monétaire de Bank Al-Maghrib de se transmettre efficacement à l’économie réelle ?

Quelles exigences de gouvernance sont nécessaires pour encadrer les financements innovants afin d’éviter qu’ils ne créent des déséquilibres budgétaires futurs ?

Quel est l’enjeu majeur du ciblage social en 2026 après la décompensation partielle du butane, notamment pour préserver le pouvoir d’achat des ménages tout en libérant de l’espace budgétaire ?

Quelles mesures de la réforme fiscale et douanière 2026 visent à renforcer la traçabilité et à préparer l’adaptation climatique, notamment avec la future taxe carbone ?

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