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Stéphane Raffalli

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1h00 |02/02/2024
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Pour @stéphanerafalli, Maire de @ris-orangis « Le ZAN nous oblige à être moins paresseux. C’est un changement de modèle qui nous oblige à repenser le projet de territoire »

Ris-Orangis, une ville du département de l’@Essonne, a donc fait le choix de se saisir du #ZAN comme d’une opportunité pour accélérer la dynamique de recyclage foncier historiquement portée par les responsables politiques locaux depuis @thierrymandon, comme le démontre la réalisation de l’emblématique écoquartier les Docks de Ris, lancée sous la forme d’une ZAC en 2005.

Mais au lieu de se focaliser sur la dimension surfacique de la règle ZAN et la délicate question du volume autorisé de consommation de terre, Stéphane Raffali a souhaité s’engager plus fortement sur l’objectif d’amélioration de la santé des sols, qui constitue l’esprit de la loi ZAN.

Aussi, lauréate de l’AMI T-ZAN lancé par l’@ADEME, la ville travaille avec le CEREMA et le cabinet Sol et paysage à la création d’un #référentiel qui vise à évaluer la qualité des sols à l’échelle du territoire et refonder toute la #stratégieurbaine à partir de cette connaissance des #sols. L’enjeu est bien d’établir une #cartographie de la santé des sols pour identifier les zones où il est préférable d’urbaniser et les zones où au contraire il est intéressant de stimuler la biodiversité. Un changement de perspective sur la manière de produire la ville qui impose de refonder le #projetdeterritoire mais aussi les outils de planification.

En effet, à terme, il sera par exemple nécessaire de rendre compatible la logique du zonage actuel dans les PLU avec une cartographie des propriétés des sols. L’enjeu est de faire coïncider les deux logiques pour articuler la mobilisation des sols-ressources, considérés comme des atouts pour la résilience urbaine, avec l’optimisation des sols-fonciers destinés à l’urbanisation nécessaire au développement de la ville.

En pleine crise du modèle agricole, Stéphane Raffali souhaite enfin utiliser le ZAN comme un outil de transition de l’agriculture, où les terres désartificialisées seraient mobilisées pour créer un modèle agricole local autosuffisant, capable de couvrir les besoins du territoire.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Pour @stéphanerafalli, Maire de @ris-orangis « Le ZAN nous oblige à être moins paresseux. C’est un changement de modèle qui nous oblige à repenser le projet de territoire »

Ris-Orangis, une ville du département de l’@Essonne, a donc fait le choix de se saisir du #ZAN comme d’une opportunité pour accélérer la dynamique de recyclage foncier historiquement portée par les responsables politiques locaux depuis @thierrymandon, comme le démontre la réalisation de l’emblématique écoquartier les Docks de Ris, lancée sous la forme d’une ZAC en 2005.

Mais au lieu de se focaliser sur la dimension surfacique de la règle ZAN et la délicate question du volume autorisé de consommation de terre, Stéphane Raffali a souhaité s’engager plus fortement sur l’objectif d’amélioration de la santé des sols, qui constitue l’esprit de la loi ZAN.

Aussi, lauréate de l’AMI T-ZAN lancé par l’@ADEME, la ville travaille avec le CEREMA et le cabinet Sol et paysage à la création d’un #référentiel qui vise à évaluer la qualité des sols à l’échelle du territoire et refonder toute la #stratégieurbaine à partir de cette connaissance des #sols. L’enjeu est bien d’établir une #cartographie de la santé des sols pour identifier les zones où il est préférable d’urbaniser et les zones où au contraire il est intéressant de stimuler la biodiversité. Un changement de perspective sur la manière de produire la ville qui impose de refonder le #projetdeterritoire mais aussi les outils de planification.

En effet, à terme, il sera par exemple nécessaire de rendre compatible la logique du zonage actuel dans les PLU avec une cartographie des propriétés des sols. L’enjeu est de faire coïncider les deux logiques pour articuler la mobilisation des sols-ressources, considérés comme des atouts pour la résilience urbaine, avec l’optimisation des sols-fonciers destinés à l’urbanisation nécessaire au développement de la ville.

En pleine crise du modèle agricole, Stéphane Raffali souhaite enfin utiliser le ZAN comme un outil de transition de l’agriculture, où les terres désartificialisées seraient mobilisées pour créer un modèle agricole local autosuffisant, capable de couvrir les besoins du territoire.


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Ris-Orangis, une ville du département de l’@Essonne, a donc fait le choix de se saisir du #ZAN comme d’une opportunité pour accélérer la dynamique de recyclage foncier historiquement portée par les responsables politiques locaux depuis @thierrymandon, comme le démontre la réalisation de l’emblématique écoquartier les Docks de Ris, lancée sous la forme d’une ZAC en 2005.

Mais au lieu de se focaliser sur la dimension surfacique de la règle ZAN et la délicate question du volume autorisé de consommation de terre, Stéphane Raffali a souhaité s’engager plus fortement sur l’objectif d’amélioration de la santé des sols, qui constitue l’esprit de la loi ZAN.

Aussi, lauréate de l’AMI T-ZAN lancé par l’@ADEME, la ville travaille avec le CEREMA et le cabinet Sol et paysage à la création d’un #référentiel qui vise à évaluer la qualité des sols à l’échelle du territoire et refonder toute la #stratégieurbaine à partir de cette connaissance des #sols. L’enjeu est bien d’établir une #cartographie de la santé des sols pour identifier les zones où il est préférable d’urbaniser et les zones où au contraire il est intéressant de stimuler la biodiversité. Un changement de perspective sur la manière de produire la ville qui impose de refonder le #projetdeterritoire mais aussi les outils de planification.

En effet, à terme, il sera par exemple nécessaire de rendre compatible la logique du zonage actuel dans les PLU avec une cartographie des propriétés des sols. L’enjeu est de faire coïncider les deux logiques pour articuler la mobilisation des sols-ressources, considérés comme des atouts pour la résilience urbaine, avec l’optimisation des sols-fonciers destinés à l’urbanisation nécessaire au développement de la ville.

En pleine crise du modèle agricole, Stéphane Raffali souhaite enfin utiliser le ZAN comme un outil de transition de l’agriculture, où les terres désartificialisées seraient mobilisées pour créer un modèle agricole local autosuffisant, capable de couvrir les besoins du territoire.


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Ris-Orangis, une ville du département de l’@Essonne, a donc fait le choix de se saisir du #ZAN comme d’une opportunité pour accélérer la dynamique de recyclage foncier historiquement portée par les responsables politiques locaux depuis @thierrymandon, comme le démontre la réalisation de l’emblématique écoquartier les Docks de Ris, lancée sous la forme d’une ZAC en 2005.

Mais au lieu de se focaliser sur la dimension surfacique de la règle ZAN et la délicate question du volume autorisé de consommation de terre, Stéphane Raffali a souhaité s’engager plus fortement sur l’objectif d’amélioration de la santé des sols, qui constitue l’esprit de la loi ZAN.

Aussi, lauréate de l’AMI T-ZAN lancé par l’@ADEME, la ville travaille avec le CEREMA et le cabinet Sol et paysage à la création d’un #référentiel qui vise à évaluer la qualité des sols à l’échelle du territoire et refonder toute la #stratégieurbaine à partir de cette connaissance des #sols. L’enjeu est bien d’établir une #cartographie de la santé des sols pour identifier les zones où il est préférable d’urbaniser et les zones où au contraire il est intéressant de stimuler la biodiversité. Un changement de perspective sur la manière de produire la ville qui impose de refonder le #projetdeterritoire mais aussi les outils de planification.

En effet, à terme, il sera par exemple nécessaire de rendre compatible la logique du zonage actuel dans les PLU avec une cartographie des propriétés des sols. L’enjeu est de faire coïncider les deux logiques pour articuler la mobilisation des sols-ressources, considérés comme des atouts pour la résilience urbaine, avec l’optimisation des sols-fonciers destinés à l’urbanisation nécessaire au développement de la ville.

En pleine crise du modèle agricole, Stéphane Raffali souhaite enfin utiliser le ZAN comme un outil de transition de l’agriculture, où les terres désartificialisées seraient mobilisées pour créer un modèle agricole local autosuffisant, capable de couvrir les besoins du territoire.


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