Speaker #0Musique Bonjour et bienvenue dans un nouvel épisode de Je suis super... contente de reprendre le micro ce matin. Ça me fait trop plaisir. Et j'aimerais tellement que ce soit le cas, en tout cas, je travaille pour ce que ce soit le cas à chaque fois que j'enregistre un épisode. Alors ça ne veut pas dire que les épisodes précédents, je n'étais pas contente d'enregistrer puisqu'à chaque fois, je suis contente d'enregistrer. Mais il y a quelque chose de différent aujourd'hui. Et d'ailleurs, cet épisode va vraiment marquer un petit tournant ... sur le podcast parce que être dans la contrainte de dates et de fréquences que je peux m'imposer, ça coupe ma joie, ça coupe ma créativité et j'ai envie que ça cesse. Voilà, les bases sont un peu posées. Et d'ailleurs, je voulais vous en parler un petit peu avant de rentrer dans le vif du sujet de cet épisode. et en plus je trouve que le timing est parfait parce que... Le sujet dont j'ai envie de vous parler aujourd'hui est lié avec l'introduction que je suis en train de faire. Voilà, tout ça est un peu brouillon, mais vous allez vite comprendre mon propos. Donc je suis très contente d'enregistrer cet épisode ce matin. Et d'ailleurs, je suis tellement contente que j'ai pris quelques notes. Je n'avais rien préparé à la base. Et j'ai pris quelques notes là, juste avant d'ouvrir le micro. Et ça a été tellement fluide que je me suis dit, ok, là, t'es en train... de changer quelque chose, t'es en train de kiffer, et c'est ce que tu veux, et c'est génial, et voilà. C'est pour ça que je voulais vous indiquer ce qui allait changer en termes de fréquence de publication, que ce soit pour le podcast, que ce soit pour le blog, qui n'avait pas de fréquence pour l'instant, et que ce soit pour les réseaux sociaux, et surtout Instagram, là où je suis le plus présente. J'ai vraiment... En fait, ce qui va changer, c'est qu'il n'y aura pas de fréquence. Il n'y aura plus de fréquences. Je ne suis pas douée pour me fixer des dates. Je ne suis pas douée pour me fixer... Enfin, ce n'est pas que je ne suis pas douée, il faut que j'arrête de dire ça. C'est que ça ne me correspond pas de fixer des dates. Ça ne me correspond pas à toutes les stratégies de contenu qu'il faut publier. Tant de temps, tant de choses, pardon, à telle fréquence, et patati, et patata. Les personnes qui sont dans le business ou qui écoutent ça et qui vont... avoir les cheveux qui vont se dresser sur la tête, je suis désolée, mais c'est tellement pas pour moi et pourtant, combien de fois j'ai essayé, combien de fois j'ai été bornée à rentrer dans le moule, à essayer de suivre tout ça, et ça ne marche pas. En tout cas, ça ne marche pas pour moi. Donc, j'ai plus envie de me laisser étouffée par tout ça. J'ai vraiment envie de suivre mon rythme, j'ai vraiment envie de m'écouter et surtout, j'ai vraiment envie d'arrêter d'étouffer ma créativité, mes envies pour faire comme il faut faire parce que un tel a dit... Je sais pas, je suppose que un tel a dit qu'il y a eu des études où je ne sais pas comme quoi il fallait poster comme ça, comme quoi il fallait mettre un titre comment ou alors cinq étapes ou tout ça. Je n'y arrive pas, je sais pas, tant pis. Peut-être que... Peut-être que je vais droit dans le mur, peut-être que j'aurai plus d'écoutes, peut-être que j'aurai plus de vues sur Insta, peut-être que je n'en sais rien, mais je n'y arrive pas, je suis désolée pour toutes ces personnes qui ont créé ça, je n'y arrive pas. Voilà, donc toute cette grande introduction pour dire que je vais faire quelque chose qui me ressemble, je vais voir ce que ça donne, tout ce qui va être un peu pratico-pratique type petit 1, petit 2, petit 3. Je vais plutôt réserver ça à des articles de blog assez courts, assez faciles et rapides pour vous à lire. Et sur le podcast, je vais vraiment revenir à du partage plus fluide, plus inspirationnel, plus ce qui me ressemble. Et j'espère que ça vous plaira tout autant. Parce que je me suis aussi rendu compte que je prône... C'est pour ça que parfois les... « Cordonnier, on est les plus mal chaussés » , comme on dit l'expression là. Mais je prône le revenir à l'essentiel, je prône le revenir à soi, et c'est des choses que j'applique un maximum dans mon quotidien. Mais sur ce coup-là, j'avais l'impression d'être en décalage avec ce que je prônais, et ce que je faisais derrière, dans les coulisses de tout ça. Et pour vous donner un exemple hyper concret, pour illustrer un petit peu mon propos assez long, la semaine dernière j'ai créé l'une de mes prestations et en fait j'ai tellement kiffé je l'ai fait sur le moment, j'avais envie de la créer je sentais que c'était le bon moment pour la créer et j'ai tellement kiffé et c'est tellement ce que j'avais envie de faire à l'instant T que en deux journées de travail c'était plié et opérationnel et ça, ça m'a encore plus montré même si au fil des semaines j'ai vite compris que que je n'étais pas dans ce qui me correspondait. Mais en tout cas, ça m'a vraiment... Ça a terminé de me prouver que je voulais vraiment sortir de tout ce moule de création de contenu et toutes les règles qu'il y a autour de la création de contenu et de la création de manière générale et le business et la vie. Et on peut l'appliquer à tellement de domaines. Toutes ces injonctions, il faut, je dois, etc. Eh bien, j'ai eu la preuve du contraire que quand j'étais dans le flow, quand je suivais mon énergie, quand je suivais ma créativité, quand je me dis, voilà, aujourd'hui j'ai envie de quoi, et ben, ça marche. Ça marche et ça me provoque, ça me... Ouais, je ressens une joie immense, voilà. Et c'est une parfaite transition pour exprimer quand même qu'il faut un cadre, parce que, évidemment, que... C'est même pas qu'il faut un cadre, c'est que la vie en elle-même nous impose... Un cadre nous impose des contraintes parce qu'évidemment, il y a quand même des choses qu'on est « obligé » de faire. Alors, il n'y en a pas autant qu'on le croit parce que je prêche encore pour ma paroisse, mais on peut simplifier beaucoup de choses. Mais en tout cas, je vais donner des exemples hyper bateaux, mais il faut bien manger, il faut bien faire ses papiers administratifs, il faut bien dormir. faire quelques tâches ménagères pour vivre dans un environnement sain, etc. Donc la vie nous impose par elle-même un cadre que l'on peut simplifier à son maximum, en tout cas en fonction de ce qu'on a besoin aussi. Mais je trouve que c'est important d'avoir de la liberté dans le cadre, de se créer une liberté dans le cadre. Et notamment, du coup, se poser un idéal de vie, des envies, des objectifs. Et quand je parle d'objectifs, je parle bien... des nôtres et pas ceux du voisin. C'est pas parce que tout le monde fait ça que nous, on doit faire ça aussi. Et surtout, de toujours ajuster, adapter selon son énergie, sa créativité, ses envies, du moment, etc. Et je fais une petite parenthèse par rapport à, notamment, mon human design. Donc, si vous ne savez pas ce que c'est le human design, j'ai fait un épisode. à ce sujet, mais c'est de manière générale, au-delà du human design qui est un outil de connaissance de soi, c'est la connaissance de soi, du coup. Bien se connaître soi, bien savoir comment on fonctionne, et du coup, la petite parenthèse que je voulais faire à ce sujet est que j'ai pu vérifier en expérimentant, notamment, moi je suis projecteur, et si je donne un peu des exemples comme ça, c'est que on m'a enseigné, déjà en termes d'énergie, que je n'ai pas une énergie constante au fil de la journée, que j'ai des pôles Merci. des moments d'énergie où je vais être plus productive. Alors, je n'aime pas ce mot-là, mais je vais le dire quand même pour un souci de compréhension assez clair. Mais il y a des moments où je suis plus productive que d'autres. C'est sur une courte durée aussi. Et ça, je l'ai vraiment ressenti quand j'ai fait, quand j'ai travaillé la semaine dernière sur ma nouvelle prestation que je propose. D'ailleurs, je voulais en parler de cette nouvelle prestation que je propose. Et je suis tellement nulle en marketing que j'ai carrément zappé. Donc, je fais une petite parenthèse. Tout de suite, tout ça n'a ni queue ni tête, mais ça me ressemble tellement que j'en souris, j'ai le sourire jusqu'aux oreilles. J'ai créé enfin une prestation pour pouvoir vous accompagner dans vos besoins en termes de tri, de désencombrement, d'organisation, de rangement dans votre intérieur. En tout cas, c'est l'une des premières prestations que j'ai créées, les quelques autres arrivent après. Et du coup, si vous avez ces besoins-là... et que vous avez besoin d'aide, parce qu'on peut vraiment y arriver tout seul, mais parfois on a besoin d'aide et c'est ok, les deux sont ok, eh bien je peux vous accompagner. Je remettrai le lien en description, vous aurez tout le détail. Mon but ici n'est pas de faire quelconque publicité à rallonge et tout ça. En plus, ça ne me ressemble tellement pas. Mais en tout cas, je vous laisse aller voir et je referme cette parenthèse. Donc oui, j'ai pu expérimenter que je n'avais pas la même énergie toute la journée. J'ai pu apercevoir quels sont les moments où j'en avais le plus ou pas, etc. ce que j'ai pu aussi expérimenter par rapport aux enseignements que j'ai eu par rapport à mon human design, c'est que je dois faire confiance dans le fait que les choses seront faites au moment où elles doivent être faites, notamment au moment où j'aurai l'envie, l'énergie, la créativité pour les faire. Et ça, je l'expérimente en ce moment. Donc je trouve ça dingue et je trouve que ça me correspond vraiment. Et aussi, de manière générale, je pense que ça, ça peut s'appliquer pour tout le monde. C'est bien d'avoir une liste de choses à faire. Mais c'est bien aussi de lâcher prise et de se dire, ben voilà, aujourd'hui, qu'est-ce que j'ai envie ? Moi, je sais que j'ai du mal à me planifier genre une semaine entière de tâches et tout ça parce que peut-être que le lundi, je vais marquer que le vendredi, j'aimerais faire ça et qu'arriver au vendredi, ça ne marchera pas. et voilà mais je m'éloigne un peu du sujet du jour mais voilà c'est ça c'est tel que je suis mais je voulais vraiment insister sur le fait que La liberté dans le cadre, c'est vraiment, on a des envies, on a des objectifs et on se laisse de la liberté autour. Voilà, j'espère que mon propos sera assez facile à cerner. Donc aujourd'hui, comme écrit dans le titre, je voulais parler des routines. Alors les routines, je trouve que c'est un sacré sujet qui, selon moi, est repris à toutes les sauces et qui peut vraiment parfois nous faire... culpabilisé, du style « Coucou, le lever à 5h du matin, sinon tu rates ta vie ! » Moi, mon opinion n'est pas du tout celle-ci, je vais l'exprimer dans cet épisode. Je trouve vraiment ça très culpabilisant d'ailleurs, vraiment. En tout cas, en ce qui concerne les routines, j'ai longtemps cru que j'étais une nana sans routine et que c'était clairement pas pour moi. Bon, j'avais encore ce problème de ne pas vouloir rentrer dans les cases, mais en même temps, il n'y avait pas que ça parce que je trouvais que ça ne me correspondait pas en fait. J'ai expérimenté, moi je suis curieuse, j'expérimente beaucoup, je teste énormément d'organisations, énormément beaucoup de choses. Et donc j'ai expérimenté parce que je ne voulais pas rester sur des a priori, c'est un peu ma manière de fonctionner au quotidien pour tout, j'expérimente, je teste, je vois si ça fonctionne ou pas, mais en tout cas je voulais tester. Ça n'a pas marché. Voilà, grosse surprise, ça ne marche pas. En tout cas, comment on l'exprime dans les livres, par exemple, ou dans les articles ou sur les réseaux sociaux ? Il faut, par exemple, si on reprend la chose la plus célèbre qu'on peut entendre sur ça, c'est la morning routine. Et ce truc de lire, méditer, écrire, faire du sport, etc. Tout ça avant. de te lever, enfin, avant que le reste de ton foyer se lève, si jamais tu vis avec d'autres personnes, qui suppose, que cela suppose, par exemple, si tu as des enfants, qui se lèvent vers 7h30, je donne un exemple comme ça, ça suppose que toi, tu t'es levé 2h avant, parce qu'il faut que tu cales tout ça, enfin, j'extrapole la chose, on pourrait me dire que j'exagère, mais en tout cas, voilà, c'est mon style d'extrapoler tout ça, mais Moi, c'est pour vraiment exprimer ce qui ne me correspondait pas. Donc, je me suis dit, les routines, ce n'est pas pour moi. Je laisse de côté, je continue ma vie et je passe à autre chose. Et d'ailleurs, on peut très bien quand même vouloir se lever avant le reste de son foyer sans avoir besoin de le faire à 5h du matin. Bref. Mais très récemment, je me suis rendu compte qu'en fait, j'avais des routines. Et là, gros choc pour moi. Je suis comme tout le monde. Je rentre dans les cases, j'ai des routines. Je plaisante. Mais ce que je me suis rendu compte aussi, c'est que c'était les miennes. C'est-à-dire que c'était pas, je suis sûre que c'est pas, alors pas pour toutes, mais que peut-être l'enchaînement ou peut-être certaines de mes routines ne sont pas comme celles du voisin. Ce sont vraiment les miennes, celles qui me correspondent. Et en plus, le combo gagnant entre le fait que ce soit les miennes et le fait qu'elles sont naturelles. C'est-à-dire que c'est tellement ancré. dans mon quotidien, que je ne me rendais même pas compte. Et c'est vraiment de ça que j'aimerais parler aujourd'hui. Et d'ailleurs, j'ai lu récemment... Le bouquin « Simplifier sa vie » de Brooke McAllary. Je mettrai le lien en description. Alors, elle ne parle pas que de ça. Elle parle de beaucoup de sujets. Je vous conseille vraiment ce bouquin. Il est court à lire. Ça va à l'essentiel, mais ça ne parle pas que des routines. Mais en tout cas, j'ai adoré le fait qu'elle remplace le mot « routine » par le mot « rythme » . C'est d'ailleurs pour ça que je l'ai inclus dans le titre du podcast. en fait ça m'a tout de suite fait sens. Plus que le mot routine. En plus, je déteste la routine de manière générale. Enfin, disons que j'aime ces petites choses qui sécurisent dans le quotidien, mais j'aime tout autant l'aventure et l'expérimentation. C'est un peu comme quand je pars en vadrouille avec notre fourgon Charlie. J'adore. C'est un truc qui me fait kiffer dans mon quotidien, mais J'adore aussi retrouver mon chez-moi, le côté rassurant, le côté cocooning, le côté sécurisant et tout. Donc, je vais arrêter de parler de routine et je vais utiliser le mot rythme, rythme naturel. Et j'avais envie très simplement de vous expliquer, en tout cas de vous raconter quels étaient nos rythmes du matin. Alors quand je dis no, c'est parce que mon rythme... quand j'ai mon fils avec moi, il est lié à celui de mon fils. Il y a des choses qu'on fait tous les deux, des choses que je fais toute seule, donc c'est pour ça que je voulais vous parler de nos rythmes du matin, de nos rythmes du soir, également du rythme différent quand je suis toute seule, et aussi du rythme un peu plus global dans la semaine, ce qui peut revenir de façon en rythme en fait. Alors, le matin, je mets un réveil à 7h30. En ce moment, c'est vrai... que je me rends compte, le fait d'avoir une heure de coucher le soir assez tout le temps la même, on va dire assez régulière. Après, il y a des exceptions comme toujours, mais on va dire qu'en moyenne, j'ai toujours à peu près la même heure le soir à laquelle je me couche. Je me rends compte que le matin, j'ai pas tellement besoin de réveil. Alors, j'en mets un quand même parce que quand je suis fatiguée, j'ai pas envie d'être en panique et... Et d'être à la bourre, j'aime pas vraiment être en retard. Mais en tout cas, il m'arrive très souvent, du coup, de me réveiller naturellement sans le réveil. Et dans ces cas-là, ce que je fais, c'est que je prends du temps pour moi. Déjà, premier moment dans la journée où je prends du temps pour moi et je saute pas tout de suite sur mon téléphone, sur une tâche ménagère ou que sais-je. Je sais que mon fils, je vais le réveiller à 7h30. Donc, si je me lève avant, je vais prendre ce temps pour moi seule. Je vais lire. Le plus souvent, je vais lire de toute façon. Ça m'arrive rarement. J'allais continuer ma phrase en disant je vais lire ou je vais faire ceci, cela. Mais en fait, non. Je suis en train de m'inventer une vie. N'importe quoi. En fait, le plus souvent, je vais lire. Parce que j'adore. J'adore ça. Et je trouve que c'est un super moyen quand on a la possibilité de commencer par... une action, quelle qu'elle soit, pour soi, et qui n'a rien à voir avec se faire une to-do list ou je ne sais quoi, mais vraiment, une action bien-être, ça change tout de suite le tempo de la journée, la façon de commencer la journée, et je trouve ça génial. Donc, si je me réveille avant 5h30, même si 7h15, 7h10, 6h30, peu importe, même si c'est que 5 minutes, je vais lire. D'ailleurs, je parlais dans un post Instagram très récemment, qu'en 5 minutes, on peut faire vraiment beaucoup de... plus de choses qu'on ne pense. On a souvent tendance à dire « Ah bah non, je vais pas commencer ça parce que 5 minutes, c'est pas beaucoup de temps. » Franchement, 5 minutes, essayez. Expérimentez. Je vous assure que vous pouvez faire beaucoup plus de choses que vous ne le pensez. Donc à 7h30, je me réveille. J'ouvre les stores pour laisser entrer la lumière. Alors ce que je suis en train de vous raconter là, c'est vraiment naturel. C'est pour ça que parfois je vais peut-être sauter des étapes sans m'en rendre compte. Parce que je ne mets pas des mots, je ne mets pas des listes sur ce que je fais le matin. Mais j'ouvre les stores, je m'attache les cheveux. Non, je ne vais pas aller dans tout ce détail-là, mais en tout cas, je me lève tranquillement. J'ouvre les stores. Parfois, il m'arrive de sortir un petit peu les choses pour le petit déjeuner et tout ça. Soit je le fais avant de réveiller mon fils ou après. Je ne me mets pas tellement de règles, c'est selon le flot du matin. Lui, parfois, de faire tout ça, ça lui permet d'avoir quelques minutes en plus pour dormir. Et je m'en vais réveiller mon petit loulou. Et là, c'est le moment que j'adore, des bisous et des câlins. Alors en ce moment, c'est vrai que c'est moi qui va le réveiller. Il y a eu une période, beaucoup, où c'est lui qui était réveillé avant 7h30, et à ce moment-là, il venait tout seul dans mon lit, et c'était pareil, c'était bisous, câlins, moments hyper tendres et tout. Et en ce moment, c'est moi. C'est vrai que ça fait plusieurs semaines où il a beaucoup de fatigue, je pense. Et c'est pas grave, c'est moi qui va me glisser dans son lit pour lui faire des bisous et des câlins. Et on prend le temps de faire ça. Il faut savoir que, pour la petite parenthèse, Jules... Pour le moment, il commence à 9h l'école. Donc, j'ai estimé, en tout cas c'est comme ça que ça marche bien chez nous, mais voilà, à adapter en fonction de votre situation, que 7h30, un lever à 7h30, ça nous laissait du temps. Du temps pour chaque étape de notre rythme naturel du matin. Et du coup, on a le temps de faire des bisous et des câlins. Et ça c'est pareil, c'est vraiment une autre manière de commencer la journée qui est hyper sympa, hyper douce pour tout le monde. que de lever, ok, on fait juste un bisou, on réveille son enfant et on se dépêche, tac, tac, tac, tac, tac, et on enchaîne tout le rythme du matin sans avoir un seul moment de répit et à crier parce que les enfants ne sont pas prêts et ceci et cela jusqu'au moment où tout le monde quitte la maison et où c'est le début de la journée. Et moi, je ne veux pas de ça. Je ne peux pas. C'est hyper pas agréable du tout pour personne. Donc, si... Vous avez envie de changer ça, essayez de prévoir du temps, vraiment. Donc on se fait des papouilles, voilà. Et généralement, en moyenne, on se met à la table du petit déjeuner entre 7h45 et 8h, voilà. Bon, de toute façon, notre routine est très simple et on a vraiment beaucoup de marge, donc voilà. Donc après le lever, c'est le petit déjeuner. Et là, on prend le temps de petit déjeuner sans écran. Je n'ai pas mon téléphone pour ma part. La seule fois où je le prends, c'est pour lui raconter qu'est-ce qu'il va manger à la cantine ce midi. Et on fait notre petit déjeuner tranquillement. Avant de me mettre à débarrasser la table du petit déjeuner, je lui prépare ses habits pour qu'il puisse s'habiller tout seul le temps que je débarrasse la table du petit déjeuner et que j'aille m'habiller à mon tour. Alors moi, ça va très vite à m'habiller, je fais tout de suite la parenthèse. Donc je m'habille, ma douche est prise la veille au soir, donc je m'habille et un petit peu de parfum, un petit brossage de dents, les cheveux et voilà. C'est très minimaliste et très simple. Je ne suis pas très maquillage, je ne suis pas très produit de beauté, etc. Donc voilà. Donc en tout cas, il s'habille, je fais le petit déjeuner, je m'habille. Donc parfois, comme tout le monde, il n'a pas envie de s'habiller. Il ne faut pas croire, je casse encore le mythe. Je ne veux pas croire que tout est parfait chaque matin. Et une fois qu'on est tous les deux habillés, c'est le petit moment dans la salle de bain pour Jules. Donc là, c'est brossage de dents pour lui, ses petits médicaments, un petit débarbouillage s'il y a besoin, un petit mouchage de nez s'il y a besoin. Enfin voilà, c'est très rapide. On ne se prend pas la tête et tout ça. Et du coup, on est prêts tous les deux. On est prêts tous les deux. Et généralement, en fonction des matins, il nous reste en moyenne, on va dire, une vingtaine de minutes avant de partir à l'école. Ce que j'ai oublié aussi de préciser, c'est qu'à un moment donné, j'ouvre la fenêtre pour renouveler l'air dans les chambres, on fait les lits. Donc ça, pareil, je n'ai pas d'ordre établi. Je le fais toujours, je pense, plus ou moins au même moment, mais voilà. D'ailleurs, je vous avais dit que j'allais oublier de vous dire des choses. Et dans le temps qui reste, on fait des activités, le plus souvent. le plus souvent, oui, on fait des activités. Donc, on fait un petit jeu de société ou un petit coloriage. En tout cas, c'est ce qu'on aime bien faire le matin. Et j'ai toujours aussi quelques minutes où je prends le temps de débarrasser le lave-vaisselle ou d'étendre une lessive que j'aurais mise pendant la nuit. Et c'est pour ça que je réinsiste sur le fait que parfois, on a l'impression qu'on n'a pas le temps, alors qu'en fait, on a le temps de faire au moins quelques petites tâches et de... Surtout ce que j'aime, c'est que moi, je travaille de chez moi, sauf quand je suis en intervention en extérieur. Mais je sais que quand je reviens de l'école, ma maison est prête. J'ai plus de corvée sous les yeux et j'ai l'esprit serein pour débuter ma journée. Et je pense que si... Enfin, à l'époque où j'étais en salariat, j'aimais aussi rentrer. enfin je trouve que c'est plus agréable de rentrer dans une maison où Le strict minimum est fait, mais il est fait quand même. Et c'est agréable en fait. On ne voit pas quand on rentre d'une journée de boulot, complètement fatigué de la journée. Et là, tu rentres et tout de suite, visuellement, tu vois la vaisselle à faire. La machine de linge, le truc. Oh non, mais quelle catastrophe ! Quelle catastrophe ! Donc, je m'arrange toujours pour, en tout cas, visuellement, que majoritairement, ce qui doit être fait, doit être fait. Et ensuite, c'est le moment de se préparer pour partir à l'école. Donc pareil, le réveil sonne 10 minutes avant l'ouverture de l'école. En fait, je mets à 8h40 parce que l'école ouvre à 8h50. donc je sais qu'à 8h40 Il faut commencer à ranger ce qu'on est en train de faire, à se préparer pour aller à l'école et aller à l'école parce que nous, on est à trois minutes à pied de l'école. Et ensuite, on part pour l'école tranquillement. On arrive à l'ouverture de l'école et la journée commence. Donc ça, c'est vraiment pour notre rythme du matin. Notre rythme du soir, il commence à 16h30, à l'heure où je récupère Jules à l'école. Et là, on goûte. C'est l'heure du petit goûter. Donc c'est l'heure du petit goût. tranquillement on se raconte notre journée toujours sans écran toujours sans téléphone pour moi en tout cas j'essaye le plus possible je suis pas parfaite et on se raconte la journée chacun pendant qu'on a goûté pendant qu'on goûte et ensuite je cale quelques or c'est vraiment quelques tâches ménagères entre guillemets de la cuisine s'il ya besoin de cuisiner après comme comme j'expliquais dans l'épisode des repas. de notre organisation en termes de repas, je ne cuisine pas tous les jours. Je cuisine sur plusieurs jours, donc il y a des jours où je n'ai pas besoin de cuisiner. Mais quand j'ai besoin de cuisiner, je vais le caler là. En plus, Jules aime bien participer parfois, donc c'est un moment qu'on passe aussi ensemble. Je vais faire un petit coup de rangement ou quelques tâches ménagères qu'il y aurait à faire. Mais vraiment, j'ai tellement réduit au strict minimum, en tout cas à notre strict minimum pour nous en termes de tâches ménagères, donc je n'ai pas énormément de choses à faire. jusqu'à environ 6h du soir, on va jouer, on va profiter, on va aller en extérieur au stade de foot à côté. C'est vraiment un moment que je dédie à mon fils. C'est vraiment un moment jusqu'à 6h où, le plus possible, je profite de mon loulou. À 6h, on a le moment des douches. Donc, il prend sa douche. Moi, j'aime bien prendre la mienne aussi dans la foulée, comme ça. C'est vraiment la rupture entre la journée et le reste de la soirée qui nous attend. On met la table. Jules aide quand il a envie. Et on va s'installer à table vers 7h moins le quart, 7h. Voilà, c'est pas fixe à la minute près non plus. Et là, on mange tous les trois. On se raconte les trois choses, chacun à tour de rôle, qu'on a aimées dans notre journée. Ensuite vient le moment où on a terminé le repas. Et là, mon chéri, le plus souvent, il s'occupe de débarrasser la table, faire un petit peu de vaisselle s'il y a des choses qui ne passent pas au lave-vaisselle. Et pendant ce temps-là, moi, je vais avec Jules à la salle de bain. Donc on fait les dents, on fait ses médicaments, le petit passage aux toilettes et on se dirige dans sa chambre où là, ça va être le moment. câlins, le moment histoire, la petite histoire du soir, les gros bisous et... C'est là que lui commence sa nuit. Moi, je repasse à la salle de bain, petit brossage de dents, démêlage de cheveux quand j'y pense. Et ensuite, j'essaye vraiment... Alors, généralement, je les ai déjà abandonnés le plus souvent à partir de 4h30 quand je récupère Jules, mais en tout cas, au moins à partir du moment où je suis repassée à la salle de bain. Là, je lâche les écrans et je prends du temps pour lire. C'est là aussi que j'arrive à beaucoup lire. Et franchement, je vois la différence entre les soirs où je suis devant l'écran juste avant de m'endormir et les soirs où je prends un bouquin. C'est beaucoup plus facile de s'endormir. Les nuits sont beaucoup plus sereines. Et ça me change la vie. En tout cas, c'est ce qui me correspond le plus. Et d'ailleurs, j'aimerais bien tester aussi d'écrire. Alors pas d'écrire type journaling, parce que c'est quelque chose que j'ai déjà essayé Écœur. C'est pas quelque chose que je tiens dans la durée, donc ça m'arrive ponctuellement, mais j'en fais pas une routine, un rythme en tout cas. Mais j'aimerais bien essayer d'inclure un peu d'écriture, que ce soit pour vous écrire des articles de blog, que ce soit pour écrire des idées pour un épisode de podcast, etc. Sur un petit carnet, vraiment hors écran, prendre des notes et tout ça, c'est vraiment quelque chose que j'aimerais inclure le soir, au moment du coucher, soit de la lecture, soit de l'écriture. Donc c'est vrai que même en vous expliquant un petit peu... nos rythmes du matin, nos rythmes du soir, je trouve que c'est quelque chose de vraiment simple, de vraiment pas prise de tête. C'est quelque chose de naturel et quelque chose qui nous correspond, mais de fou, quoi. Et c'est pour ça que parfois... Alors, ma vie était comme ça il y a tellement d'années que j'ai du mal à m'en souvenir, mais c'est vrai que parfois, du coup, ça me fait mal au cœur pour les gens qui... où c'est tout le temps la course, en fait. C'est pour ça que je prône la simplicité. que j'encourage à simplifier tout ça parce que moi, je ne pourrais pas vivre une routine où tac, tac, tac, tac. Alors, je sais que déjà, on n'a pas tous la même vie. Vous pouvez très bien me dire « Oui, mais toi Clémence, c'est facile, tu es à ton compte. Et puis en plus, à 4h30, tu arrêtes ta journée. Et puis en plus, nanana » . Alors tout ça, je peux l'entendre, mais ne cherchez pas non plus d'excuses. Dans le sens où, même si vous terminez à 19h, qu'il y a les enfants... à s'occuper. Il y a plein de moyens de vous simplifier la vie. Je ne vais pas refaire tout le schmilblick parce que je n'ai pas envie de faire ça ici, mais je pourrais vraiment en reparler plus peut-être dans un article de blog. Mais il y a moyen de simplifier, il y a moyen de s'organiser pour se libérer du temps, pour faire des choses quand on a le temps de les faire et simplifier le soir, etc. J'ai déjà donné plein de tips dans des épisodes précédents, mais la simplicité, voilà. Je ne vais pas le faire que de répéter, même si c'est le nerf de la guerre, en tout cas de mon combat à moi. Je suppose en tout cas que ça peut en faire rêver plus d'un qui m'écoute les routines qu'on a. Mais c'est les nôtres. Encore une fois, c'est les nôtres et c'est à vous aussi de trouver celles qui vous correspondent. Mais la simplicité peut vraiment vous aider à les trouver. Quand je suis seule, c'est-à-dire quand mon fils est chez son papa et que le matin ou le soir... Je n'ai pas sa partie, en tout cas, qui est mêlée à la mienne. Mes routines, mes rythmes sont un petit peu différents. Même si j'essaye vraiment de garder la même base. En gros, ce que je ne fais pas pour la maison ou par exemple le petit déjeuner ou tout ça, le temps qui me le reste, je prends... Je n'essaye pas de me dire, ça y est, j'ai plus de temps, donc clac, clac, clac, je commence ma tout doux, je fais plein de tâches ménagères et tout. Non, je le remplace par du temps pour moi. Une petite vidéo YouTube inspirante. Une balade avec un épisode de podcast. D'ailleurs, j'ai oublié de vous dire dans ma routine du matin, une fois que j'ai déposé Jules à l'école, avant vraiment de commencer mon organisation de la journée, je me balade avant de rentrer. J'essaye de faire une petite balade, plus ou moins longue, en fonction du temps que je dispose, avec un podcast et tout, pour vraiment avoir un sas entre mon rythme du matin et le début de ma journée. Mais quand je suis seule, c'est vrai que du coup, j'essaye de rajouter encore plus de temps pour moi parce que c'est quelque chose que tout le monde oublie, de prendre du temps pour soi, moi la première. Et donc du coup, je prends le temps de faire des petites choses pour moi et pas pour les autres et pas pour la maison. Et pour vous parler un petit peu plus d'un rythme global dans la semaine, en tout cas, on va dire que je l'expérimente encore. et que tout n'est pas encore ancré, et je pense que de toute façon, peut-être que ça ne le sera jamais, je ne sais pas. C'est notamment, j'essaye de rétablir un équilibre pro et perso. Quand on est entrepreneur, en tout cas, ma vision à moi, c'est que j'ai choisi d'entreprendre pour faire quelque chose qui me plaît. Mais il y a un biais à ça, c'est qu'on est tellement dans la passion, on aime tellement faire ce qu'on fait, que ça empiète sur notre vie perso. Je m'explique. Avant, j'avais ce discours, « Ah ouais, mais c'est pas grave si je travaille le week-end, le soir, etc. » Et d'ailleurs, ça m'arrive toujours de le faire, c'est pour ça que je vous dis que j'expérimente. Mais j'avais ce discours de me dire, c'est pas grave, de toute façon, j'adore ce que je fais. Donc, pas l'impression de travailler, c'est pas grave si, en gros, je fais tout ça n'importe quand, n'importe comment, etc. Puisque je kiffe, je kiffe ce que je fais. Et ces dernières semaines, mon discours a changé à ce sujet. Parce que, ok, j'aime ce que je fais. Et encore aujourd'hui, il m'arrive de parfois bosser le soir, parfois ne pas savoir m'arrêter, le faire le week-end, etc. Mais j'ai expérimenté aussi... ce que c'était de bien compartimenter, enfin, d'essayer un maximum parce qu'on n'est pas là pour rigidifier, rigidifier, enfin, pour apporter de la rigidité à tout ça. Mais j'ai goûté à ce que c'était de dédier des créneaux au projet pro, on va dire, à la vie professionnelle et dédier du temps à la vie personnelle. Et, waouh, j'adore ! Je... Un exemple hyper récent, c'est que ce week-end, je devais enregistrer cet épisode de podcast parce que je me suis dit que je n'aurais pas le temps la semaine prochaine de le faire et ça m'embêtait autant pour vous que pour moi. Et puis finalement, le week-end s'est enchaîné et je n'ai fait que du perso. Et j'expliquais à mon chéri hier soir, une fois que le week-end était passé, je lui disais « Ah punaise, je suis trop trop contente parce que le dimanche, enfin le week-end, mais surtout le dimanche, qu'on venait de vivre et le week-end de manière générale, j'avais l'impression de ressentir à nouveau le bien-être que je ressentais quand j'étais en salariat. Où là, ton temps perso et pro est bien distingué. Et j'ai vraiment eu la sensation hier d'avoir vécu un dimanche comme ce qu'est un dimanche. C'est-à-dire prendre du temps pour soi, j'aime bien faire un petit peu de ménage très simplifié. pour bien après démarrer la semaine, prendre le temps de se poser, de souffler, d'arroser mes plantes. Bon là, on est sortis parce que c'était la fête des mamans, mais on a pris le temps de faire un pique-nique, de se balader. Et en fait, ça fait tellement de bien. Alors oui, j'aime ce que je fais, j'aime ce que j'entreprends dans ma vie professionnelle, qui est très liée à ma vie personnelle, puisque ce n'est que la continuité de mon mode de vie, de ma façon de voir les choses, de m'organiser, d'adorer l'organisation, etc. C'est un prolongement de ma vie personnelle, mais qu'est-ce que ça fait du bien de plus laisser empiéter, quand j'y arrive, le pro sur le perso. J'ai eu l'impression de respirer à nouveau, quoi. Donc, j'essaye de retrouver un rythme naturel où le pro, c'est dans la semaine, selon mes critères à moi, et le week-end, c'est le perso. Et ça, ça fait du bien. Un autre rythme dont j'avais envie de vous parler aussi, c'est dans la journée en tant que telle. Je sais, je sais que... Je suis plus productive. En tout cas, ma capacité de concentration et de productivité est plus importante pour moi le matin. Et l'après-midi, il ne faut pas trop que je m'en demande en fait. Je peux faire des choses, mais il ne faut pas que ça me demande un effort surhumain. Donc, j'essaye de suivre ça un maximum. Pourquoi aller à l'encontre de notre rythme naturel ? Quand c'est possible de le faire, faites-le ! Et même si vous êtes en salariat, parce qu'on pourrait dire « oui, mais toi, nanana, ok, j'ai compris » . Et c'est ok, vous avez le droit de penser ça, c'est tout à fait légitime. Mais essayez de le faire aussi dans votre boulot salarié. Le matin, concentrez-vous sur les tâches les plus grosses, celles qui vous demandent le plus de concentration, si vous êtes comme moi, évidemment si c'est l'après-midi inversé, mais je pourrais le faire en salariat. Le matin, je me focus sur ce qui me demande de la concentration, de la productivité, etc. Et l'après-midi, je fais toutes les micro-tâches, par exemple. Les mails, les appels, etc. Ça demande moins d'efforts. Enfin, voilà. Il y a vraiment moyen de s'adapter à son rythme naturel. J'ai beaucoup parlé. Je vois que j'en suis déjà à 46 minutes d'enregistrement. Après, il y a un peu la magie du montage et tout ça. Mais ça me faisait tellement plaisir. Et je retrouve tellement ma manière de faire qui me tient à cœur. Je suis désolée pour les personnes qui préfèrent des épisodes de podcast plus courts. Mais ça me ressemble. Et j'ai envie de kiffer, je vous assure. Je préfère kiffer que d'arrêter le podcast parce que ça ne me correspond plus. En tout cas, je vais terminer cet épisode. en essayant de vous donner quelques conseils en vrac qui me sont venus en expliquant ou en écrivant ce dont j'avais envie de vous parler ce matin. Se créer ou redécouvrir, on va dire, son rythme naturel, ça peut demander un petit peu d'adaptation au départ. Parce qu'il faut déconstruire des choses qui nous desservent pour reconstruire des choses qui vont nous aider et nous simplifier le quotidien et nous apporter un peu plus de sérénité. Donc au départ, ça peut demander un peu d'adaptation, ça peut être un peu plus compliqué, pas très naturel à installer. Mais ce qu'il faut retenir, c'est qu'à la fin, ça doit s'ancrer, ça doit devenir une habitude qui s'ancre facilement dans votre quotidien. Si au bout d'un certain temps, de plusieurs semaines, plusieurs mois, mais déjà au bout de plusieurs semaines, ça ne convient toujours pas, que ce soit votre rythme du matin, votre rythme du soir, votre rythme global de la semaine, etc. Si c'est toujours dans le forcing, c'est qu'il y a quelque chose qui cloche et qu'il faut réadapter tout ça. Deuxième conseil, que je n'arrête pas de répéter, qu'est-ce que ça peut être ? Pensez simplicité. Simple, simple, simple, simplifié s'il vous plaît, s'il vous plaît. Toujours penser à la simplicité et également se laisser une marge de manœuvre. Se laisser du temps entre chaque étape de votre routine. Se laisser du temps si jamais il y a des imprévus, parce qu'il y a toujours des imprévus. On ne peut pas parer à tous les imprévus, je casse un autre mythe. Autre conseil aussi, écoutez-vous. Observez votre mode de fonctionnement. Observez vos niveaux d'énergie aux différents moments de la journée. Ajustez en fonction de vous. Testez, expérimentez, s'adaptez et ajustez. S'il fallait retenir quelque chose de tout ça. Un autre point important. c'est de cesser de se comparer. Je suis comme tout le monde, j'essaye. Je regarde ce qu'un tel fait, je regarde ce que les réseaux sociaux me disent, les articles de blog, les podcasts, j'écoute plein de choses, j'essaye. Mais si ça ne me convient pas, eh ben c'est ok. Si un tel, ça lui convient, et que moi ça ne me convient pas, c'est ok. Et arrêtez de se comparer. Et je vous dis ça, et moi je suis pareil, j'apprends tous les jours à arrêter de me comparer. Et ça revient à ce que je vous disais par exemple avec tout ce qui était réseaux sociaux au début, c'est que j'arrive pas moi à publier cinq fois par semaine et à être régulière dans ma publication de contenu. Bouh ! Et comme je disais aussi, c'est bien de par exemple prendre une feuille ou tout autre moyen pour écrire son idéal, ses envies, qu'est-ce qu'on aimerait dans notre rythme du matin, qu'est-ce qu'on aimerait dans notre rythme du soir, dans notre rythme de la semaine. Et c'est un idéal. C'est-à-dire qu'il faut savoir lâcher prise sur le fait que ça ne se passera pas toujours comme ça, que c'est un peu comme une ligne directrice de ce qu'on aimerait, de ce qui nous fait du bien et tout ça, et que parfois, ça ne se passe pas comme ça et c'est OK, ce n'est pas grave. Voilà. Je vais arrêter là pour cet épisode que j'ai pris un plaisir fou à vous enregistrer. Je pense que ça s'entend, en tout cas, je l'espère. J'espère que je n'ai rien oublié. Sinon, tant pis. j'écrirai dans l'article de cet épisode les choses qui me reviendraient. Voilà. Ah, j'espère que ça vous plaît. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez, que ce soit sur Instagram, en commentaire sur le site, partout où vous pouvez me contacter. N'hésitez pas, ça me fait toujours plaisir d'avoir vos retours, d'échanger avec vous. Je kiffe cette partie-là. En tout cas, je vais continuer sur ma lancée de m'écouter, de revenir à un rythme qui me correspond plus calme au ralenti. comme j'ai envie. Voilà. Merci d'avoir pris le temps d'écouter cet épisode jusqu'au bout. N'hésitez pas à le partager autour de vous et à laisser votre avis sur Apple Podcast ou Spotify, ça aide vraiment le podcast à se faire connaître. Vous pouvez également suivre toute l'actualité du podcast sur mon site internet et sur le compte Instagram clemesseraine.podcast Tous les liens sont en barre d'infos. A très bientôt ! pour un nouvel épisode. Ciao, ciao !
