- Speaker #0
Bonjour, je suis Bruno Malthor et aujourd'hui je vous emmène en Ouzbékistan avec Selectour.
- Speaker #1
Bonjour à toutes et à tous, je suis Dylan et je suis ravi de vous accueillir dans ce cockpit pour parler voyage à travers le monde. Dans chaque épisode, on découvrira une destination au travers d'un itinéraire, de récits de voyages, d'anecdotes et de conseils aux voyageurs. Aujourd'hui, je vous emmène en Ouzbékistan. L'Ouzbékistan, au cœur de l'Asie centrale, est une terre chargée d'histoire, célèbre pour ses villes mythiques sur la route de la soie. Samarkand, Bukhara et Kiva dévoilent des trésors architecturaux exceptionnels avec leurs mosquées, madrasas et mausolées ornées de mosaïques éclatantes. Le pays séduit par son riche patrimoine culturel, mêlant influences persanes, arabes, et mongoles. Les marchés traditionnels offrent un aperçu de l'artisanat local et une cuisine savoureuse, dominée par le plov, plat national. L'Ouzbékistan, avec ses stèpes infinies, ses déserts et ses montagnes, est aussi un paradis pour les amateurs de paysages variés. Accueillant et chaleureux, le pays invite à une immersion dans l'histoire et les traditions d'un carrefour millénaire entre Orient et Occident, une destination incontournable pour les passionnés de culture et d'aventure. Bruno Malthor, connu en France pour être. influenceur voyage et créateur de contenu depuis de nombreuses années, collabore de nouveau avec Selectour après son voyage en Namibie l'an passé. Il est avec nous aujourd'hui pour nous parler de son voyage en Ouzbékistan organisé par Selectour. Bonjour Bruno, merci d'être avec nous aujourd'hui. Tu reviens d'un voyage en Ouzbékistan que tu as co-créé avec Selectour. Pour commencer, peux-tu nous partager ton ressenti sur cette destination et nous en dire un peu plus sur Ouzbékistan ?
- Speaker #0
Oui, alors effectivement, je suis rentré il y a quelques jours à peine de ce magnifique périple au cœur de l'Asie centrale. L'Ouzbékistan, c'est un pays qui m'a toujours un peu intrigué, notamment parce qu'il est sur la fameuse route de la soie. La route de la soie, c'était une route légendaire qui reliait l'Asie à l'Europe à une époque où justement le matériel le plus cher qui était transporté, notamment c'était la fameuse soie. C'est une époque qui a permis à l'Ouzbékistan de prospérer, de se développer. Et j'étais hyper curieux de découvrir ça de mes propres yeux. Donc je dirais en quelques mots que l'Ouzbékistan, c'est un pays qui va te mettre une claque culturelle. Un pays où il y a quand même aussi deux tiers de désert et des petits paysages à découvrir avec des montagnes, avec vraiment plein de choses à découvrir. C'est un pays où il faut aimer quand même un peu prendre la voiture ou le train, parce qu'il y a le TGV, il y a le train de nuit qui permettent de se balader en Ouzbékistan. Bref, c'est un pays qui ne laissera probablement pas indifférent, peu importe qui y va. Et surtout, c'est un pays où il faut aller maintenant, parce que, si je ne dis pas de bêtises, il y a à peine 10 à 15 000 Français qui y vont chaque année pour le moment, on va dire. Donc c'est le bon moment pour découvrir cette destination.
- Speaker #1
Durant cet itinéraire de 12 jours, tu as parcouru le pays et découvert ses merveilles. Peux-tu nous parler de ton voyage ?
- Speaker #0
Mon voyage, il a commencé dans une ville qui a été un immense coup de cœur pour moi, qui est Kiva. donc Kiva c'est l'endroit parfait pour débuter son périple c'est une ville qui parfois est oubliée d'ailleurs par les voyageurs lors d'un périple en Ouzbékistan parce qu'elle est un peu loin des classiques un peu plus classiques en tout cas qui sont par exemple Samarkand ou Bukhara où je suis allé aussi mais en tout cas je trouve c'est très bien de commencer par Kiva c'est vraiment la perle du désert c'est son surnom c'est juste c'est sublime avec son minaret on prend déjà des grosses claques d'un point de vue couleur Tout y est un peu bleu, même si c'est un peu moins bleu qu'à Samarkand, par exemple. J'ai commencé par Kiva, où l'ambiance y est vraiment incroyable, comme je le disais. Et ensuite, on est allé vers un autre endroit qui est totalement différent, mais hyper intéressant et impactant, on va dire aussi, à savoir la mer d'Aral. Je pense que pas mal de gens doivent connaître de nom, au moins. Mais pour la faire assez courte, la mer d'Aral, c'est... Une ancienne mer qui était le quatrième plus grand lac au monde. On parle quand même de deux fois la superficie de la Belgique. Donc c'était vraiment immense. Et malheureusement, lors de l'URSS, en fait, l'URSS avait décidé à l'époque de détourner les fleuves qui allaient jusqu'à la mer d'Aral pour pouvoir développer la culture de coton qui demande une consommation d'eau assez importante. Donc la mer d'Aral aujourd'hui c'est plus que 10% de la mer d'Aral d'origine entre guillemets dans les années 50, 60 etc. Il n'en reste plus grand chose si ce n'est un immense désert mais c'est hyper intéressant d'y aller pour comprendre, pour voir des villages de pêcheurs qui existaient avant. Maintenant il n'y a plus qu'un cimetière de bateaux donc c'est quand même assez impressionnant. Donc c'est vraiment au nord de l'Ouzbékistan, parce que la mer d'Aral est partagée entre l'Ouzbékistan et le Kazakhstan. C'est assez impressionnant à voir, comme je le disais. Et après, on est redescendu plus vers le sud du pays, où il y a des villes incroyables comme Bukhara, comme Samarkand et la capitale qui est un peu plus atypique, un peu plus insolite, qui est Tashkent. Tout ça, ça fait un bon compromis entre découvertes culturelles. C'est aussi pour ça qu'on va quand même en Ouzbékistan découvrir ces villes qui étaient sur la fameuse route de la soie comme je le disais. Mais aussi le côté intéressant et en tout cas je dirais un peu plus impactant, intriguant de la mer d'Aral. Tout ça je l'ai fait en une douzaine de jours si je ne dis pas de bêtises effectivement. Et je trouve que c'est un bon compromis entre rager, entre découverte et entre temps sur place. Chaque jour est bien optimisé. Et chaque jour est l'occasion de faire de belles découvertes.
- Speaker #1
Y a-t-il un moment ou une expérience de ce voyage qui restera gravée dans ta mémoire, qui t'a marqué, qui a retenu ton attention ?
- Speaker #0
Honnêtement, je pense que le moment qui va être le plus marquant pour moi, c'est l'arrivée à Kiva. Parce que c'est vraiment, tout de suite, t'es largué dans une ville qui est juste hors du temps. On va dire que c'est une ville qui a près de 2000 ans d'histoire. où tout semble s'être arrêté dans les années des routes de la soie. Il y a quelque chose d'assez magique là-bas. Son minaret est aussi assez insolite, il est immense. C'était à une époque, d'ailleurs si je ne dis pas de bêtises, aussi utilisé pour pouvoir observer. Et même, il y avait des histoires de prison à une époque, comme à Bukhara. Vraiment, je dirais que Kiva, c'était la ville qui a été mon premier gros coup de cœur. Et ça tombe bien, parce que c'est là où, ou à commencer mon périple.
- Speaker #1
Au niveau du climat, comment tu l'as vécu ? Est-ce que tu as des conseils à nous donner ?
- Speaker #0
Le climat, avec l'Ouzbékistan, effectivement, il faut y faire un peu attention. L'hiver peut y être très froid et l'été très chaud. Moi, ce que je conseillerais aux gens qui souhaitent aller en Ouzbékistan, c'est d'y aller par exemple plutôt au printemps ou en automne. Perso, j'ai fait le choix de l'automne. Il y a des fois les couleurs qui sont assez sympas sur la route. D'ailleurs, on peut retrouver des beaux arbres avec des belles couleurs d'automne. Mais c'est surtout que là-bas, il va faire un petit 15 degrés en octobre. Et je trouve que c'est le bon compromis. Honnêtement, je pense qu'il faut faire attention à l'été où ça peut être très, très chaud, plus de 40 degrés. Et l'hiver, très, très froid. Et en ce sens, l'automne sera le meilleur compromis, comme je le disais. Après, voilà, franchement, j'ai eu du soleil quasiment tous les jours. Avec un... Comme je disais, un bon 15 degrés. Donc oui, le soir, il peut faire un petit peu frais, mais ça reste largement supportable. Et en jour, il fait bon. Pour le coup, je n'ai pas eu de pluie particulièrement. Je n'ai pas eu de grosses galères.
- Speaker #1
Quel a été ton ressenti vis-à-vis de la population locale ? Est-ce que tu as trouvé les habitants accueillants ? Et quelles interactions as-tu pu avoir avec eux malgré la barrière de la langue ?
- Speaker #0
Ça, ça a été vraiment la bonne surprise pour moi. On va dire que tous les moins de 30 ans parlent plutôt bien anglais. Donc tu peux assez facilement échanger avec, on va dire, la jeune population ouzbek. Après, c'est vrai que les gens qui ont un peu plus de 40 ans, etc., eux ne parlent pas forcément anglais, voire pas du tout, très peu. Mais on s'en sort toujours. Les ouzbeks sont des gens qui sont hyper chaleureux, hyper accueillants. D'ailleurs, j'ai un souvenir. À un moment, je me perdais un peu dans la ville de Tashkent, qui est la capitale de l'Ouzbékistan. Et en fait, vraiment, j'avais vu une vieille voiture garée sur le bas côté et j'aimais beaucoup la scène. Donc, j'ai pris quelques photos. Et en fait, il y a le propriétaire de cette voiture qui était un homme qui avait la cinquantaine qui est sorti de chez lui pile à ce moment-là. Et il était un peu curieux de me voir prendre des photos de sa vieille caisse. Et en fait, il a commencé à essayer de me parler en ouzbek. Évidemment, moi, je ne parlais pas vraiment, voire pas du tout ouzbek. J'ai appris quelques mots, mais pas de quoi soutenir entièrement une conversation. Et en fait, on a commencé à échanger via Google Translate, via des outils de traduction. Et il m'a même invité à boire le thé et à manger un pain qui avait été fait par sa femme chez lui. Et sa fille, qui avait 12-13 ans à peine, elle, elle parlait couramment le coréen. Ça n'a aucun sens, mais c'est vrai. Et elle parlait un petit peu l'anglais. Donc en fait, on peut toujours s'en sortir. Et quoi qu'il arrive, même si vous tombez sur des gens qui ne parlent pas forcément bien l'anglais, Ils auront le sourire, ils seront... Il y aura, je dirais, la langue des gestes, la langue gestuelle. On s'en sort toujours un petit peu. Mais sachez que tous les gens qui ont la vingtaine, etc. peuvent parler anglais, parlent bien anglais et pourront vous aider.
- Speaker #1
As-tu des conseils pratiques à partager sur les méthodes de paiement ? Peut-on payer par carte ? Faut-il prévoir des retraits d'argent ?
- Speaker #0
Oui, alors pour les méthodes de paiement, ça va vraiment dépendre de là où on va. Mais c'est vrai qu'on est quand même dans un pays où idéalement, il faut avoir un peu de cash sur soi. Le mieux, c'est de retirer dès que tu arrives sur place, on va dire une centaine d'euros. Ça dépend à combien tu voyages, etc. Mais une centaine d'euros, ça va être un bon début. Parce qu'au moins, tu vas pouvoir toujours t'en sortir dans les endroits où il y a potentiellement... pas de méthode de paiement acceptée, si ce n'est le cash. Donc, retirer un peu d'argent, ça me paraît être nécessaire, parce que sinon, vous risquez d'avoir quelques petites galères.
- Speaker #1
Durant ton périple, est-ce que tu trouvais facilement de l'eau ou à manger ? Ou est-ce qu'il fallait anticiper et s'organiser ?
- Speaker #0
Alors, il faut savoir que moi, je suis végétarien depuis bientôt 10 ans. Donc, c'était une de mes craintes niveau nourriture pour l'Ouzbékistan. Il y a... Finalement plein de choses qu'on peut manger là-bas qui étaient vraiment très bonnes. Le plov c'est le plat principal qui est à base de riz, de légumes et de viande. Mais on peut totalement enlever la viande et en faire une option végétarienne. Pour l'eau j'avouerais que même si l'eau peut être potable dans pas mal d'endroits, j'ai pas pris trop de risques et je dirais qu'il vaut mieux acheter de l'eau en bouteille. Évidemment vérifier que l'eau en bouteille était vraiment fermée avant qu'on l'achète pour éviter à... quelconque souci au niveau de ton estomac et après honnêtement c'est vrai que il ya plein de bons restos on peut s'arrêter un peu partout sur la route il n'y a pas de problème particulier j'ai pas eu de galère de devoir anticiper à tout va si ce n'est peut-être dans la mer d'aral ou là tu vas faire de la route pendant six ou sept heures potentiellement pour traverser toute la mer est arrivé à ce qu'il reste comme je disais un peu plus tôt de la fameuse mer d'aral mais honnêtement on s'en sort toujours c'est vrai que la plupart des gens quand ils m'ont posé des questions par rapport à l'Ouzbékistan c'était plus aussi sur la sécurité et pareil, l'Ouzbékistan même si c'est un pays qui se termine en ce temps et que ça peut faire un peu peur à premier abord, en réalité c'est hyper safe, comme je le disais un peu plus tôt les gens ils sont chaleureux, ils sont là pour t'aider, que tu voyages en solo, féminin ou avec un guide ou que sais-je franchement les gens sont là pour être serviable, t'aider et ça va dans tous les sens que ça soit pour t'aider à trouver le bon restaurant que ce soit pour t'aider à te trouver le bon vendeur de sneakers de petites gourmandises ou même d'eau on s'en sort toujours prévoyez juste une bouteille d'eau je dirais d'un litre environ pour pouvoir être tranquille sur une journée Mais pour la nourriture, etc., vous vous en sortirez toujours dans les restaurants ou que sais-je.
- Speaker #1
Est-ce que tu voudrais ajouter une dernière chose pour convaincre les auditeurs de partir en Ouzbékistan ?
- Speaker #0
En tout cas, je pense que l'Ouzbékistan, c'est la destination parfaite pour tous les gens qui sont curieux de découvrir une culture, une civilisation totalement différente de la nôtre. L'Ouzbékistan, c'est un pays qui est riche en histoire, que ce soit par rapport à l'URSS ou même bien avant. Je trouve que perso, ça a été une belle claque d'un point de vue découvertes culturelles, d'un point de vue, je ne sais pas, la couleur des villes, le côté chaleureux des Ouzbeks ou toutes les découvertes que tu pourras faire au quotidien. Ça faisait longtemps que je n'avais pas découvert un pays qui était aussi différent de ce qu'on connaît en France et en Europe ou même, je dirais, en Amérique du Nord parce qu'on a quand même une culture un peu liée. dans un sens avec les américains etc on trouve les mêmes restaurants etc etc les fameux starbucks les mcdo et tout l'ousbéquistan c'est rien de tout ça l'ousbéquistan c'est des découvertes au quotidien et c'est un peu tous ces sens qui sont émerveillés donc en ce sens si vous souhaitez découvrir un pays qui risque d'être une grosse justement nouveauté pour vous qui vous permettra de voir le monde un peu différemment je trouve que l'ousbéquistan c'est une belle idée
- Speaker #1
Tu as effectué ce voyage avec une agence Selectour, quelle a été la valeur ajoutée pour toi et est-ce que le voyage aurait été le même si tu l'avais réservé tout seul sur internet ?
- Speaker #0
Ouais, comme je disais au tout début, je suis parti en Ouzbékistan avec Selectour. Et en fait, typiquement, je trouve que c'est le genre de voyage qui est utile avec une agence. Parce que l'Ouzbékistan, c'est encore d'un point de vue touristique, vraiment en voie de développement. Il y a plein d'adresses qui ne sont pas forcément bien référencées sur Internet. Ça évolue assez vite, etc. Et en passant via Selectour, j'étais sûr de pouvoir être bien accompagné sur mon périple. Je le dis vraiment en toute sincérité. Il y a plein de restaurants que j'ai pu découvrir. grâce à mon guide qui m'accompagnait, Chaudlick, s'il nous entend, qui était incroyable, qui était un guide en puce francophone qui avait vécu en France pendant quelques années. Donc, il y avait vraiment ce côté double culture qui était hyper intéressant sur tout le périple. Il connaissait la culture française, mais il savait justement quelles étaient les vraies différences avec l'Ouzbékistan, etc. Et en ce sens, j'ai trouvé ça assez fou et ça m'a permis de vraiment mieux m'imprégner, mieux comprendre. la culture Ouzbék que j'aurais eu beaucoup de mal à vraiment comprendre si j'avais été tout seul. Donc franchement, voyager avec l'agence Electro, ça m'a permis d'avoir les belles adresses, aux bons endroits et surtout d'avoir le bon accompagnement. Vraiment, d'être accompagné par un guide, c'est pas quelque chose que je fais tout le temps sur mes voyages. J'aime beaucoup être en autonomie. Mais là, l'Ouzbékistan, c'est une culture et une histoire tellement différentes de la nôtre que je trouvais ça important d'avoir un accompagnement au quotidien. Et pour ça, je trouve que ça a été trop cool. Aussi, il m'a sauvé de beaucoup de... de petites galères. Tu vois, par exemple, il m'a pris une petite carte SIM dès mon arrivée. Enfin, tu sais, c'est des petits trucs tout bêtes qui te permettent d'être un peu plus serein sur tout ton périple. Et pour ça, je suis trop content d'être parti avec Selectour et j'espère que je repartirai d'ailleurs avec Selectour une prochaine fois parce qu'on a déjà voyagé ensemble en Namibie. Là, c'était à l'Ouzbékistan, mais il y a d'autres pays dans le monde qui méritent d'être accompagnés par Selectour et j'espère qu'on continuera d'écrire une belle histoire ensemble dans le futur.
- Speaker #1
Merci beaucoup Bruno de nous avoir partagé ton expertise sur l'Ouzbékistan.
- Speaker #0
Merci à vous et à bientôt autour du monde.
- Speaker #1
A bientôt. C'était Cockpit, le podcast de Selectour. Merci beaucoup pour votre écoute. J'espère que ça vous a inspiré et fait voyager autant que nous. Et si vous voulez écouter d'autres aventures autour du globe, abonnez-vous à notre chaîne de podcast sur votre appli d'écoute préférée ou suivez-nous sur nos réseaux sociaux Facebook, Instagram, Twitter et TikTok. A bientôt dans le cockpit. Ici votre commandant de bord, nous venons bien d'atterrir en Ouzbékistan et la température extérieure est de 5°C.
- Speaker #0
Merci d'avoir regardé le copie, pour un progrès géniaux,
- Speaker #1
passez à votre point de vol à destination.
