Moi, ce que j'aime, c'est les monstres T2 [ComicsDiscovery S09E10] cover
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Moi, ce que j'aime, c'est les monstres T2 [ComicsDiscovery S09E10]

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1h08 |08/11/2024
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Description

Avec la sortie du Tome 2 de Moi ce que j'aime, c'est les monstres, nous souhaitons à nouveau partager notre coup de cœur pour l'œuvre d'Emil Ferris.

Moi ce que j'aime, c'est les monstres

Karen Reyes, une petite fille imaginative, adore les monstres et se voit en loup-garou. À travers son carnet de dessins, elle dévoile son quotidien dans le Chicago des années 60, où elle vit avec sa mère et son frère. Un jour, une voisine, Anka, est retrouvée morte dans des circonstances étranges, incitant Karen à enquêter et découvrir les secrets d’Anka ainsi que ceux de sa propre famille.

L’incroyable résilience d’Emil Ferris

Emil Ferris est une autrice inspirante et résiliente. En 2001, elle contracte le virus du Nil occidental, qui la paralyse partiellement. Son parcours aurait pu s’arrêter là, mais motivée par ses proches, elle se bat pour réapprendre à dessiner. Durant cette période, elle imagine Moi ce que j'aime, c'est les monstres, en s’inspirant de sa jeunesse et de sa fascination pour les créatures comme les vampires et loups-garous.

Un récit touchant et poignant

Ce comics aborde la survie des outsiders dans une société marquée par le racisme, la violence et l'homophobie des années 60. Karen, se voyant comme un monstre, tente de survivre face au rejet de son homosexualité par sa mère et la société. Cette vision est aussi un moyen de se protéger quand les émotions deviennent trop lourdes.

Une riche palette artistique

Emil Ferris utilise l’art pour raconter, avec des références à Manet, Goya, Frida Kahlo, et à l’univers des films de monstres de la Universal et de la Hammer. Ces styles et références traduisent la complexité et l’innocence de Karen. L’art reflète aussi les tensions psychologiques et la violence cachée de certains personnages.

Moi ce que j'aime, c'est les monstres est une œuvre sensible et intelligente, que nous recommandons fortement, surtout dans la belle édition de Monsieur Toussaint Louverture.

Le mot de la fin

Nous vous invitons à partager vos avis avec nous, que vous soyez d’accord ou non. Si vous souhaitez nous écouter en direct, retrouvez-nous chaque mardi soir à 21h sur notre chaîne Twitch.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Avec la sortie du Tome 2 de Moi ce que j'aime, c'est les monstres, nous souhaitons à nouveau partager notre coup de cœur pour l'œuvre d'Emil Ferris.

Moi ce que j'aime, c'est les monstres

Karen Reyes, une petite fille imaginative, adore les monstres et se voit en loup-garou. À travers son carnet de dessins, elle dévoile son quotidien dans le Chicago des années 60, où elle vit avec sa mère et son frère. Un jour, une voisine, Anka, est retrouvée morte dans des circonstances étranges, incitant Karen à enquêter et découvrir les secrets d’Anka ainsi que ceux de sa propre famille.

L’incroyable résilience d’Emil Ferris

Emil Ferris est une autrice inspirante et résiliente. En 2001, elle contracte le virus du Nil occidental, qui la paralyse partiellement. Son parcours aurait pu s’arrêter là, mais motivée par ses proches, elle se bat pour réapprendre à dessiner. Durant cette période, elle imagine Moi ce que j'aime, c'est les monstres, en s’inspirant de sa jeunesse et de sa fascination pour les créatures comme les vampires et loups-garous.

Un récit touchant et poignant

Ce comics aborde la survie des outsiders dans une société marquée par le racisme, la violence et l'homophobie des années 60. Karen, se voyant comme un monstre, tente de survivre face au rejet de son homosexualité par sa mère et la société. Cette vision est aussi un moyen de se protéger quand les émotions deviennent trop lourdes.

Une riche palette artistique

Emil Ferris utilise l’art pour raconter, avec des références à Manet, Goya, Frida Kahlo, et à l’univers des films de monstres de la Universal et de la Hammer. Ces styles et références traduisent la complexité et l’innocence de Karen. L’art reflète aussi les tensions psychologiques et la violence cachée de certains personnages.

Moi ce que j'aime, c'est les monstres est une œuvre sensible et intelligente, que nous recommandons fortement, surtout dans la belle édition de Monsieur Toussaint Louverture.

Le mot de la fin

Nous vous invitons à partager vos avis avec nous, que vous soyez d’accord ou non. Si vous souhaitez nous écouter en direct, retrouvez-nous chaque mardi soir à 21h sur notre chaîne Twitch.


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Avec la sortie du Tome 2 de Moi ce que j'aime, c'est les monstres, nous souhaitons à nouveau partager notre coup de cœur pour l'œuvre d'Emil Ferris.

Moi ce que j'aime, c'est les monstres

Karen Reyes, une petite fille imaginative, adore les monstres et se voit en loup-garou. À travers son carnet de dessins, elle dévoile son quotidien dans le Chicago des années 60, où elle vit avec sa mère et son frère. Un jour, une voisine, Anka, est retrouvée morte dans des circonstances étranges, incitant Karen à enquêter et découvrir les secrets d’Anka ainsi que ceux de sa propre famille.

L’incroyable résilience d’Emil Ferris

Emil Ferris est une autrice inspirante et résiliente. En 2001, elle contracte le virus du Nil occidental, qui la paralyse partiellement. Son parcours aurait pu s’arrêter là, mais motivée par ses proches, elle se bat pour réapprendre à dessiner. Durant cette période, elle imagine Moi ce que j'aime, c'est les monstres, en s’inspirant de sa jeunesse et de sa fascination pour les créatures comme les vampires et loups-garous.

Un récit touchant et poignant

Ce comics aborde la survie des outsiders dans une société marquée par le racisme, la violence et l'homophobie des années 60. Karen, se voyant comme un monstre, tente de survivre face au rejet de son homosexualité par sa mère et la société. Cette vision est aussi un moyen de se protéger quand les émotions deviennent trop lourdes.

Une riche palette artistique

Emil Ferris utilise l’art pour raconter, avec des références à Manet, Goya, Frida Kahlo, et à l’univers des films de monstres de la Universal et de la Hammer. Ces styles et références traduisent la complexité et l’innocence de Karen. L’art reflète aussi les tensions psychologiques et la violence cachée de certains personnages.

Moi ce que j'aime, c'est les monstres est une œuvre sensible et intelligente, que nous recommandons fortement, surtout dans la belle édition de Monsieur Toussaint Louverture.

Le mot de la fin

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Avec la sortie du Tome 2 de Moi ce que j'aime, c'est les monstres, nous souhaitons à nouveau partager notre coup de cœur pour l'œuvre d'Emil Ferris.

Moi ce que j'aime, c'est les monstres

Karen Reyes, une petite fille imaginative, adore les monstres et se voit en loup-garou. À travers son carnet de dessins, elle dévoile son quotidien dans le Chicago des années 60, où elle vit avec sa mère et son frère. Un jour, une voisine, Anka, est retrouvée morte dans des circonstances étranges, incitant Karen à enquêter et découvrir les secrets d’Anka ainsi que ceux de sa propre famille.

L’incroyable résilience d’Emil Ferris

Emil Ferris est une autrice inspirante et résiliente. En 2001, elle contracte le virus du Nil occidental, qui la paralyse partiellement. Son parcours aurait pu s’arrêter là, mais motivée par ses proches, elle se bat pour réapprendre à dessiner. Durant cette période, elle imagine Moi ce que j'aime, c'est les monstres, en s’inspirant de sa jeunesse et de sa fascination pour les créatures comme les vampires et loups-garous.

Un récit touchant et poignant

Ce comics aborde la survie des outsiders dans une société marquée par le racisme, la violence et l'homophobie des années 60. Karen, se voyant comme un monstre, tente de survivre face au rejet de son homosexualité par sa mère et la société. Cette vision est aussi un moyen de se protéger quand les émotions deviennent trop lourdes.

Une riche palette artistique

Emil Ferris utilise l’art pour raconter, avec des références à Manet, Goya, Frida Kahlo, et à l’univers des films de monstres de la Universal et de la Hammer. Ces styles et références traduisent la complexité et l’innocence de Karen. L’art reflète aussi les tensions psychologiques et la violence cachée de certains personnages.

Moi ce que j'aime, c'est les monstres est une œuvre sensible et intelligente, que nous recommandons fortement, surtout dans la belle édition de Monsieur Toussaint Louverture.

Le mot de la fin

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