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Comme en passant

Chroniques du Parafutur - Épisode 1 : Le Miroir de Vaugirard

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01min |04/07/2025|

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Description

Paris, 1897. Sous les réverbères au gaz de la rue de Vaugirard, un vent doux charriait des parfums de tabac blond, de croissants tièdes… et d’électricité statique.

Le docteur Émile Varnier, professeur de physique à la Sorbonne, marchait à grands pas, tenant sous son bras une valise en cuivre gravée à l’acide. À l’intérieur : un miroir. Mais pas un miroir ordinaire. Un miroir fabriqué dans une boucle de quartz polymorphe, récupéré lors d’un accident ferroviaire… qui n’avait pas encore eu lieu.

C’est dans son salon tapissé de velours grenat, entouré de fioles lumineuses et de horloges en apnée, qu’il ouvrit enfin la valise. Il déposa le miroir sur un trépied d’onyx et murmura :
"Montre-moi demain."


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Paris, 1897. Sous les réverbères au gaz de la rue de Vaugirard, un vent doux charriait des parfums de tabac blond, de croissants tièdes… et d’électricité statique.

Le docteur Émile Varnier, professeur de physique à la Sorbonne, marchait à grands pas, tenant sous son bras une valise en cuivre gravée à l’acide. À l’intérieur : un miroir. Mais pas un miroir ordinaire. Un miroir fabriqué dans une boucle de quartz polymorphe, récupéré lors d’un accident ferroviaire… qui n’avait pas encore eu lieu.

C’est dans son salon tapissé de velours grenat, entouré de fioles lumineuses et de horloges en apnée, qu’il ouvrit enfin la valise. Il déposa le miroir sur un trépied d’onyx et murmura :
"Montre-moi demain."


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Paris, 1897. Sous les réverbères au gaz de la rue de Vaugirard, un vent doux charriait des parfums de tabac blond, de croissants tièdes… et d’électricité statique.

Le docteur Émile Varnier, professeur de physique à la Sorbonne, marchait à grands pas, tenant sous son bras une valise en cuivre gravée à l’acide. À l’intérieur : un miroir. Mais pas un miroir ordinaire. Un miroir fabriqué dans une boucle de quartz polymorphe, récupéré lors d’un accident ferroviaire… qui n’avait pas encore eu lieu.

C’est dans son salon tapissé de velours grenat, entouré de fioles lumineuses et de horloges en apnée, qu’il ouvrit enfin la valise. Il déposa le miroir sur un trépied d’onyx et murmura :
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Paris, 1897. Sous les réverbères au gaz de la rue de Vaugirard, un vent doux charriait des parfums de tabac blond, de croissants tièdes… et d’électricité statique.

Le docteur Émile Varnier, professeur de physique à la Sorbonne, marchait à grands pas, tenant sous son bras une valise en cuivre gravée à l’acide. À l’intérieur : un miroir. Mais pas un miroir ordinaire. Un miroir fabriqué dans une boucle de quartz polymorphe, récupéré lors d’un accident ferroviaire… qui n’avait pas encore eu lieu.

C’est dans son salon tapissé de velours grenat, entouré de fioles lumineuses et de horloges en apnée, qu’il ouvrit enfin la valise. Il déposa le miroir sur un trépied d’onyx et murmura :
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