Speaker #0Si vous avez déjà ressenti ou si vous ressentez de l'éco-anxiété, vous vous êtes peut-être retrouvé paralysé, en perte de sens. Pourtant, l'éco-anxiété peut devenir le coup de boost de votre communication et c'est ce qu'on va voir dans l'épisode du jour. Si vous n'avez plus envie de faire de la com' et que vous voulez vraiment faire passer votre message, bienvenue dans Communiquer avec Sens, le podcast des entrepreneurs à impact qui veulent une communication juste, alignée et vraiment efficace. Je suis Émilie Lemaitre et chaque jeudi... Je vous aide à clarifier votre message, structurer votre communication et incarner votre engagement sans vous épuiser. C'est parti pour l'épisode du jour. En octobre 2022, j'ai ressenti ce qu'on appelle l'éco-anxiété. Ce moment où plus rien n'a de sens, où on a l'impression, en tout cas c'est comme ça vraiment que moi je l'ai vécu, que ça ne sert plus rien de continuer à vivre parce que tout est foutu. Je crois que je n'avais pas ressenti une détresse aussi intense. Et j'ai mis très longtemps à m'en remettre, en tout cas très longtemps à ne plus ressentir aussi fort cette détresse. Heureusement, à ce moment-là, j'avais choisi d'être accompagnée par une sophrologue et par une coach business. Et l'éco-anxiété a vraiment surgi en plein milieu de ces accompagnements-là. Et sûrement parce que j'avais accepté de jouer le jeu et que je m'étais délivrée de certaines couches d'oignons qui m'ont vraiment permis de me reconnecter à ma sensibilité. et ça a été vraiment une phase très très difficile et je ne voyais vraiment pas d'issue. Sauf qu'à un moment donné, je me suis dit ok, c'est la merde, j'ai deux enfants, est-ce que je veux vraiment leur montrer l'image d'une mère qui passe son temps à pleurer, qui n'arrive plus à se mettre en mouvement ou est-ce que je veux leur montrer la mère qui est ok. avec ses phases d'incertitude, avec ses émotions, et qui, par contre, décide de réagir, d'agir, et de redonner du sens à sa vie. Et donc j'ai choisi de réagir. Et je pense vraiment que sans les accompagnements que j'avais à ce moment-là, je n'aurais pas pu réagir de la même manière. Et je voulais faire cet épisode parce que je pense que je ne suis pas seule à vivre ça. Et je sais que moi, par contre, ça m'a profondément changé. Et ça m'a donné une énergie vraiment différente. Il y a vraiment eu un avant et un après. Cette phase d'éco-anxiété, cette phase de perte de sens. Des fois, on appelle ça aussi la nuit noire de l'âme. J'avais vraiment ce sentiment, en fait. J'étais complètement perdue, désespérée, sans envie, sans vision de l'après, sans motivation. J'étais une loque humaine. Et après avoir dépassé cette épreuve-là, c'est pour ça que je dis qu'il y a vraiment un avant et un après, c'est que j'ai vraiment ressenti une énergie différente, une motivation différente, et quelque chose qui venait vraiment du plus profond de mes tripes, de mon ventre, de mon cœur, et que ce n'était plus ma tête qui décidait en fait. Et pour moi qui suis très cérébrale, qui réfléchis beaucoup, qui suit beaucoup, beaucoup dans ma tête. Ça a été vraiment un avant et un après. Et cette énergie, elle m'a servi pour beaucoup de choses. Certes, j'aimerais réussir à avancer encore plus vite, mais je mesure le chemin parcouru. Surtout que depuis que j'ai ressenti cette éco-anxiété, j'ai vraiment reconnecté avec toute ma sensibilité, toutes mes émotions. Et c'est souvent des vagues, des grosses vagues. avec lesquelles il faut que je construise, sur lesquelles il faut que j'apprenne à naviguer. Mais en même temps, pour moi, c'est vraiment un cadeau de la vie. Moi qui m'étais vraiment déconnectée parce que trop d'émotions, parce que trop d'empathie, trop d'émotions. Je cherchais un autre mot, mais depuis que je suis petite, j'ai vraiment trop plein d'émotions à réfléchir, à me demander pourquoi j'ai la chance de vivre dans ce pays. d'avoir la vie que j'ai alors que d'autres n'ont pas cette chance et c'est quelque chose que je ressens depuis des années depuis que je suis petite et je pense qu'avec le temps je m'en suis déconnectée de cette partie émotionnelle parce que c'était trop à gérer et pour continuer dans la vie et peut-être pour prendre certains choix mon cerveau a décidé de déconnecter cette partie-là Donc c'est pour ça que je me suis pris vraiment une grosse grosse vague quand j'ai ressenti cette éco-anxiété parce que c'était aussi me reconnecter à toute cette phase émotionnelle. C'était important pour moi de reposer le cadre et de vous expliquer vraiment pourquoi est-ce que j'avais envie de vous partager cet épisode, qui est à la fois très personnel et en même temps, vous allez le voir, qui vous montre à quel point l'éco-anxiété, c'est difficile à ressentir et à vivre avec, mais quand on arrive à dépasser cette phase de paralysie, ça peut vraiment être une énergie immense. Et j'en viens vraiment au point crucial de cet épisode. c'est que l'éco-anxiété peut vraiment devenir un moteur, une énergie, un boost pour vous, pour votre entreprise. Et là, je vais faire un zoom plus spécifique sur votre communication. En première partie, vraiment, le point important, c'est de réussir à comprendre son éco-anxiété. Déjà, se dire qu'en fait, ressentir de l'éco-anxiété, ce n'est pas faire preuve de faiblesse. Au contraire, c'est d'avoir une lucidité, une conscience vraiment différente. Et quand on prend conscience de ça, l'objectif, c'est vraiment que ça vous donne encore plus de force et que ça vous permette de prendre encore plus votre place dans cette société qui a tant besoin des entrepreneurs à impact. Ensuite, l'éco-anxiété est encore plus difficile à vivre pour les entrepreneurs à impact, puisque grande conscience des choses, peut-être un peu de pression et en plus peur de mal faire, peur de faire du greenwashing alors que... on est vraiment à l'opposé de ces principes-là. Peur de dire des bêtises sur tout ce qui est les notions environnementales, écologie, respect du vivant, etc. Et toutes ces consciences-là, ce perfectionnisme, peut être vraiment paralysant. Et du coup, l'éco-anxiété appuie vraiment sur ça. Ensuite, il y a vraiment l'éco-anxiété qui nous paralyse. Et puis, il y a aussi la conscience que l'éco-anxiété est une chance. C'est une chance de la ressentir parce que c'est vraiment une prise de recul sur nos vies actuelles qui nous amène à réfléchir à peut-être des changements de vie, des changements de lieu de vie, des changements d'implication dans les associations, des changements d'implication politique, des changements dans l'éducation de nos enfants, des changements dans nos métiers, enfin énormément de choses, des changements forcément dans nos habitudes de consommation. Et donc, ressentir de l'éco-oxydé, ce n'est vraiment pas un sentiment, une émotion stérile, mais au contraire, c'est une prise de conscience qui nous mobilise vraiment de l'intérieur et qui nous permet ensuite d'agir. Et donc, certes, au tout départ, on peut vraiment être paralysé par ce qu'on ressent, parce qu'en fait, c'est tellement fort qu'on a du mal aussi à identifier, à comprendre pourquoi c'est si fort et à appréhender le fait qu'on va pouvoir dépasser ça. Donc déjà, il faut accepter. ce qu'on ressent, je pense, vraiment. C'est hyper important de ne pas vouloir aller trop vite si besoin de se faire aider. Une fois qu'on a compris ce qu'on vivait et qu'on est en mesure de dépasser ça et d'avoir envie d'agir, déjà, il faut gagner en précision sur ce sur quoi on a envie d'agir. Qu'est-ce que moi, je peux apporter à mon niveau ? Quel est mon niveau de contribution ? Quel est le rôle spécifique que je peux apporter dans la transformation nécessaire de la société ? Et accepter. qu'on ne peut pas tout faire ou tout dire parfaitement, mais que déjà être dans l'action et le faire, c'est 95% de ce que les autres ne font pas. Et si je fais un petit zoom ici, spécifiquement sur la communication dans cette partie de l'épisode, c'est que là, la communication, elle peut vraiment être un acte de contribution. Elle peut vraiment vous aider à faire passer votre message. Elle peut vous aider à transformer les récits. Et donc, on arrive à cette fameuse étape de transformation. où on va transformer l'anxiété, l'anxiété stérile même, parce que du coup, on ne sait pas trop quoi faire de ça, et elle nous reste vraiment, elle nous laisse à notre place en fait, elle nous laisse sur place plutôt, et donc de transformer cette anxiété en énergie créative. Par contre, je voudrais faire juste un petit aparté, que ce n'est pas l'urgence de la situation qui doit nous mettre en mouvement, mais c'est plutôt... la cohérence entre ce qu'on a ressenti et ce qu'on veut voir changer dans la société et s'en servir du coup comme un antidote à notre anxiété. Parce qu'en fait, rester dans l'urgence, c'est aussi rester dans le stress, la pression. Alors certes, je suis d'accord, la situation est quand même assez désastreuse. Mais si on agit dans l'urgence, on agira moins avec lucidité et espoir. On agira beaucoup plus dans la peur. Et la peur, je pense que ce n'est pas l'émotion. dont on a besoin pour transformer la société. Au contraire, on a plutôt besoin d'espoir, de positif, et surtout d'un cheminement qui n'est pas parfait, mais qui peut être inspirant. Et comme on l'a vu, l'éco-anxiété, c'est une peur qui nous paralyse. L'urgence va aussi nous paralyser. Donc je voulais vraiment aussi faire une petite différence, un petit ajustement de... de là où doit partir l'énergie. Et là où la communication joue un enjeu majeur dans ce processus d'action, c'est qu'à la fois on peut documenter notre transformation, donc notre transformation personnelle, la vulnérabilité qu'on va partager, elle crée vraiment un sentiment d'appartenance. Elle donne aussi la permission aux personnes qui vont nous lire d'être imparfaits, mais d'avancer quand même. En fait, ce n'est pas le « ou » , mais c'est le « et » . On peut être imparfait et agir. Oui, la situation est grave et on peut agir. Donc, dans cette phase-là de communication de son processus, je pense que se positionner en tant qu'être en chemin, c'est hyper important pour toutes les personnes qui vont nous rejoindre au fur et à mesure et qui, du coup, vont s'attacher à une partie de notre chemin et qui vont suivre, en fait. ce chemin aussi. C'est vraiment comme si on avait, nous, en tant que conscients, j'allais dire, une lumière, une frontale, et qu'en fait on débroussaille un petit peu et derrière les gens se disent qu'effectivement il y a déjà quelqu'un qui est passé par là. C'est plus facile de suivre et c'est plus facile aussi d'agir. Donc il y a la première phase du coup qui est plus communication personnelle, qu'on peut du coup faire entrer dans une stratégie de personal branding. Ensuite, il y a tout ce qu'on va mettre en place au niveau professionnel. Quels changements on apporte ? Par exemple, si on parle de communication, on peut plutôt axer nos contenus sur la sobriété éditoriale, le numérique responsable, plutôt que sur les derniers outils tendance de l'intelligence artificielle. Par exemple, on peut aussi se demander si le contenu qu'on va partager fait vraiment avancer la réflexion. Est-ce que ça fait avancer quelque chose ? pour éviter justement les contenus vides. Et là, c'est vraiment de prendre conscience aussi de la responsabilité de la communication, de ne pas être dans la surcommunication, mais dans la communication consciente, dans la communication utile et dans la communication qui a vraiment du sens. Et donc, on peut partager aussi des contenus qu'on va découvrir et qui ont vraiment du sens, à la fois peut-être sur des personnes qui ont créé des entreprises à impact, sur des personnes qui ont testé des nouvelles choses, et vraiment se sortir de ce truc de se dire il faut que je communique à fond, à fond, à fond, parce que c'est urgent. Non, en fait, la priorité principale, c'est la qualité. C'est qu'est-ce qu'on va apporter à notre audience, comment est-ce qu'on va les toucher, comment est-ce qu'on va leur faire comprendre pourquoi c'est important. et là je fais exprès de ne pas donner des sujets précis mais plutôt des questions pour qu'en fait chacun à votre niveau, chacun où vous en êtes vous puissiez vous poser les questions et réfléchir à ce qui peut être pertinent dans votre cas particulier et je pense que ce qui peut être aussi hyper inspirant quand on est à son compte ou quand on est indépendant, quand on est une entreprise, c'est de montrer ce qu'on transforme à l'intérieur de nos entreprises Quel choix on fait ? Pourquoi ? Qu'est-ce qu'on a décidé de mettre en place ? Où est-ce que c'est difficile ? Où est-ce que c'est plus facile ? Sur quoi on bloque ? Et vraiment, il y a ce côté vraiment authentique, cohérence avec qui on est, qui nous booste. Et au-delà de ça, moi, ce que je ressens vraiment depuis que j'ai vécu cette part d'éco-anxiété, c'est qu'en fait, j'ai plus le choix. J'ai plus le choix de montrer cette part de moi. J'ai plus le choix... de me rendre visible. Je n'ai plus le choix de communiquer. Je n'ai plus le choix d'aller vraiment chercher les personnes que je veux aider. Parce que si je ne le fais pas, je me sens complètement désalignée. Je me sens incohérente. Et à nouveau, je me sens inutile. Et c'est en ça que je dis que l'éco-anxiété peut vraiment être un boost pour votre communication. Parce qu'en fait, si vous vous connectez vraiment avec cette émotion de ce que vous avez ressenti, mais que vous avez ressenti aussi qu'il y avait encore tellement de choses possibles à faire et que c'était dans l'action que vous vous sentiez vivant. Moi, c'est vraiment ce que j'ai ressenti. Il n'y a que dans l'action où je me sens vivante, où je sens que j'ai ma place, où je sens que je suis utile. Et si je ne le fais pas, clairement, je n'ai plus de motivation. J'ai vraiment dépassé ce stade de travailler pour travailler. Je pense que c'est vraiment ce que je vivais, la vie que j'avais avant. de ressentir l'éco-anxiété. Et maintenant, il y a vraiment un sens beaucoup plus profond à chaque chose que je mets en place dans mon activité, à chaque choix que je fais, à chaque personne que je contacte, à chaque lien que je tisse. Et en ça, je trouve que c'est vraiment un cadeau de la vie, en fait. Le message vraiment que je veux passer dans cet épisode, c'est que ressentir de l'éco-anxiété, c'est une preuve qu'on est connecté au réel. Et c'est une force, en fait, de ressentir ça. Parce que c'est... Une preuve de conscience, de prise de responsabilité et une force de pouvoir être quelqu'un qui inspire quelqu'un d'autre. Et d'en avoir conscience, en fait, ça nous permet d'être au plus juste et ça nous permet vraiment de choisir la direction et de montrer la direction. J'allais dire, je ne souhaite pas à tout le monde que de ressentir l'égo-anxiété, parce que je sais que tout le monde ne pourra pas réagir... De la manière dont moi j'ai réagi, il y en a beaucoup qui peut-être se diront « Tout est foutu, ça ne sert à rien » . Et je trouve dommage en fait, cette réaction. Je crois qu'au contraire, on doit vraiment être porté par ça. Par ce qu'on ressent, par cette détresse qui nous pousse à transformer en fait tout ce qu'on nous dit dans les médias. Et en ça, je trouve que c'est un outil tellement puissant en fait. C'est un sentiment, une émotion tellement puissante. Je vais quand même finir cet épisode avec quelques étapes. Si vous passez par ce sentiment d'éco-anxiété. Première étape, accepter ce qu'on ressent. Moi j'ai beaucoup écrit. Je me suis beaucoup reconnectée à la nature à ce moment-là. Et surtout, accepter de se faire aider. Si vous ressentez que vous n'allez pas vous en sentir seule, vraiment accepter, c'est important. Deuxième étape, une fois qu'on arrive à dépasser Euh... Tout ça. Se connecter au plus fort à là où on est utile. Donc peut-être faire le point sur nos compétences, sur nos appétences, sur les thématiques vraiment sur lesquelles on a envie de contribuer. Et noter tout ça. Voilà. Quel sera vraiment votre rôle spécifique dans cette transformation, dans la transformation que vous voulez voir dans le monde ? Une fois que vous avez ça, c'est vous connecter à l'énergie créatrice. Donc qui vient de l'espoir et pas de l'urgence. puisque l'urgence, je le rappelle, c'est la panique. Et on veut éviter la panique, en fait. Au contraire, on veut mobiliser avec conscience, avec clarté, avec envie et avec joie. Donc, comment est-ce qu'on mobilise son énergie créatrice ? Eh bien, on réfléchit avec là où on a envie d'agir. Qu'est-ce qui est possible de faire ? Est-ce que moi, j'ai une entreprise et donc du coup, j'agis grâce aux clients que j'aide, donc avec des clients qui sont vraiment engagés aussi. Est-ce qu'au contraire, j'agis dans la transformation des entreprises ? Est-ce que j'agis plutôt d'un point de vue local ? Et donc, j'agis dans les associations qui sont proches de chez moi ? Est-ce que j'agis en quittant le salariat et en m'étant à mon compte ? Est-ce qu'au contraire, je pense que j'ai plus d'impact de passer de l'indépendance au salariat ? Il y a vraiment des choix différents. Et donc, cette énergie créatrice, elle se définit vraiment différemment en fonction de chacun. mais c'est seulement une fois qu'on a définit quel rôle on voulait avoir dans la transformation, qu'on peut mobiliser cette énergie créatrice. Et ensuite, là on communique dessus. Alors communiquer, ce n'est pas forcément communiquer parce qu'on a une entreprise, mais c'est aussi communiquer à ses proches, qu'est-ce qu'on a vécu, comment est-ce qu'on a transformé, c'est vraiment montrer aussi qu'est-ce qu'on change dans nos vies. Parce que même si vos proches au départ vont vous rironner, il y a quand même quelque chose qui se crée autour. Il y a quand même des petites graines qui sont plantées et qui petit à petit font leur chemin. Si le corps vous en dit, ça peut être vraiment aussi de communiquer sur les réseaux et de partager tout ça, ce cheminement. Et de cette manière-là, vous continuerez à avoir une communication qui est vraiment juste, qui est au plus juste pour vous en fait, de rester aligné. Et en même temps au plus juste du changement que vous voulez avoir sur le monde. J'espère que cet épisode vous aura... peut-être apaisé, si vous ressentez vous aussi l'éco-anxiété, et vous aura montré qu'un autre chemin, que la paralysie est possible. Et que l'éco-anxiété peut vraiment être un moteur pour communiquer, pour ne plus regarder en arrière, mais pour avoir beaucoup d'espoir sur l'avenir. Je vous dis à très vite dans un prochain épisode. Bye bye. Merci d'avoir écouté Communiquer avec Sens. 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