Description
Mes années collège, j’habitais à Pontoise, ma meilleure pote s’appelait Fatou, c’était la bonne copine avec qui je faisais les 400 coups, la meuf avec qui je pouvais parler des heures et des nuits sans jamais m’ennuyer !
Quand Fatou Guinea a franchi la porte du studio, c’est comme si j’avais retrouvé ma meilleure pote, à l’aise, le regard espiègle, elle a commencé à chambrer M. Franck et « L’invisible » 👻 , on tape la discute, je l’écoute d’un air amusé, elle est simple (et funky), pertinente dans ses propos, je suis immédiatement touchée par son franc parler, génération MSN et Caramail, y’a pas grand chose qui nous différencie à la finale (à part quelques années lol).
Fatou la guinéenne, qui a toujours le Smile, a pu compter sur le soutien de ses parents, pas encore la trentaine, originaire d’Auber (93, Tu peux pas test !), fière de ses origines (sociales et raciales), fière de son éducation, fière d’être qui elle est.
En gros, elle s’assume.
Ensemble, on revient sur son enfance, son éducation, ses préoccupations de jeune femme évoluant dans ce monde qui en 2023 ne ressemble plus vraiment à celui qu’elle a connu, mais la “tanti” ne se pose jamais en victime, plutôt en femme qui maitrise son destin, et qui sait où elle va (surement parce qu’elle sait d’où elle vient). Engagée socialement, Fatou, comme beaucoup de jeunes filles noires de sa génération, a dû trouver ses propres repères car à la tv ou dans les magazines, personne ne lui ressemblait.
Curieuse, entrepreneuse, déterminée, à force de courage et de ténacité, celle qui a grandi sans véritable modèle a fini par en devenir un en signant chez L’Oréal . Merci Fatou pour ton passage éclair dans #Confidentielles , et rendez-vous vers l’infini et au-delà ! 🚀🚀🚀
🎙️ @fatouguineaa 🎥 @valyu.media
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