Speaker #0Disclaimer, ce podcast peut contenir des discussions autour de l'alcool. Je précise que l'habit d'alcool est dangereux pour la santé et que ça consomme avec modération. Si vous avez des questions ou des soucis liés à l'alcool, vous pouvez contacter Alcool Info Service au 0 980 980 930. C'est confidentiel, anonyme et disponible tous les jours. Ouais, c'est moi. Hello guys ! Bienvenue pour un nouvel épisode, je suis trop content et excité. Donc du coup les guys, ici, pas besoin de trinquer pour s'écouter, on rigole. Est-ce que ça t'est déjà arrivé en soirée de pas vouloir boire une seule goutte ? Et que d'un coup, genre t'as l'impression de plus être dans la même pièce que les autres. En gros genre t'as un peu genre raté ta vie. Et maintenant ma chérie, t'as pas raté ta vie. Ou peut-être que si. Parler un peu genre de pression sociale, de fausse liberté, de lâcher prise. Et surtout, une question, est-ce qu'on peut vraiment kiffer une soirée en étant juste soi-même quoi ? et que si j'ai pas envie de sortir, est-ce que j'ai raté ma vie ? Bon, intro finie les guys, comme je dis à chaque fois, take your little coffee and let's go. Alors, faut savoir que moi, je suis plus tendance chill, calme, que quelqu'un fun fiesta et tout. Alors, peut-être que ça vient de mon éducation, parce que c'est vrai que j'ai une éducation quand même assez stricte, assez ordonnée de la part de mes parents. Je ne dis pas que c'est pas une bonne éducation. Attention, parce que je sais que ça ne vient pas forcément de... Si on va un peu dans la profondeur de la spiritualité, on peut comprendre que c'est un conditionnement de vie. Ça peut être des croyances qui sont peut-être parfois limitantes. Sauf que quand j'étais au collège ou au lycée, il y en avait déjà de ma classe ou d'autres classes, ils sortaient, ils allaient tout le temps dans la rue, ils allaient faire des soirées chez des potes, chez l'un, chez l'autre. Je pense que mes parents m'ont peut-être un peu trop coucouné et peut-être un peu trop surprotégé. Ça craint ce que je suis en train de dire. En fait, je suis en train de dire que j'ai clairement l'impression que tout ça, c'est à cause de mes parents. Sans rire. Par contre, je suis désolé, la qualité de son, c'est vraiment de la merde. J'ai l'impression que quand je parle, on dirait un robot. Alors, ça va être très simple, vous allez très vite comprendre. J'ai acheté... Non, j'ai même pas acheté, c'est Madaron qui me l'avait offert à Noël il y a quelques années. C'est un... D'ailleurs, je ne vous... Cette marque est bien, mais cela, je ne vous le recommande pas du tout. C'est un Tonor 7CV, je ne sais plus quoi. Bon, après, elle a fait comme on a dû le expliquer en magasin, je pense. Elle a dû écouter ce qu'elle a dû lui conseiller. Mais il y a mal, je pense qu'il a du mal à conseiller parce que quand je le branche sur mon ordi, ce son est de la pure merde. On ne m'entend pas. Ensuite, deuxième chose, j'ai acheté, moi, à l'époque, quand Wish existait encore, un micro dessus. Je l'avais acheté à 10 euros, je crois. Son est moyen. carrément décidé d'acheter un micro cravate SmartLav Plus de chez la marque Rode, qui est une marque qui est presque une des meilleures marques d'enregistrement, de caméra, de perche à selfie et tout. C'est de la merde, c'est de la merde. Je l'ai payé 45 euros, c'est de la merde. Le truc, on entend, ça fait frrrr, frrrr, frrrr. Ah non, c'est de la merde. Donc du coup, j'enregistre avec mon téléphone, sans rien, comme ça. Donc ça fait un peu une fois de robot. Écoutez, on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a, sorry. Bref, on s'en fout. Alors, anecdote. Je ne sais même pas si c'est une anecdote, ça fait partie de mon fil conducteur. Moi, mes darons, surtout ma mère, enfin ma mère en gros c'est un peu une working girl, genre c'est une girl boss. Bientôt, non elle n'a pas encore 50 ans, mais elle ne s'arrête jamais. Elle ne s'arrête jamais. Et quand j'étais petit, elle m'a toujours dit, tu vas à l'école pour taffer et pas pour te faire des amis. Ou genre tes devoirs passent avant tes activités sportives et je ne suis pas ta copine. Bonjour, je suis pas ton ami, je suis ta mère. Sur les réflexions de Daon. En gros, Madarone n'a jamais été une vraie festive, à part si je me trompe, mais tout l'inverse de mon père. Et par contre, j'ai un peu hérité du côté un peu foufou rigolo de mon père, mais j'ai hérité du côté calme de ma mère en termes de soirée. Enfin, vous voyez, j'ai piqué un peu dans tous les gènes, quoi. Sauf que, à m'avoir un peu trop coucouné, un peu trop surprotégé, même si les deux ont un gros caractère comme moi, Je veux dire, faut pas me chercher. Mais bon, ça, c'est autre chose. Je me rappelle, comme si c'était hier, et c'est ça l'anecdote. Il y avait un gala. C'était à l'école primaire. Et du coup, c'était un gala de danse. Donc j'avais fait les tests et donc j'avais été pris. Sauf que j'ai pas prévenu mes darons. Enfin, j'ai pas prévenu mes parents. Donc j'ai fait des répétitions à l'école toute la semaine, entre midi et deux, dans la récréation et tout. Et le vendredi, j'ai vu voir mes parents. Et j'ai dit, oui, j'ai un gala, machin et tout, est-ce que je peux y aller ? Ils se sont clairement rejetés la balle. Pourquoi ? Je sais pas. Va voir ta mère, machin et tout, peut-être que oui, peut-être que non. Donc du coup, j'ai bravé l'interdit. Je suis allé, j'ai pris mes petites gambas, j'ai sauté la boîte aux lettres ou le mur, je sais plus ce que j'avais sauté. La boîte aux lettres, je crois. Bord de rire. Et je suis allé faire mon gala, j'ai dansé devant tout mon ancien village, j'étais une vraie queen. J'avais dansé sur... à l'époque c'était... je sais pas. Britney Spears je crois et William des Black and Peas Enfin bref, j'avais tout fait péter Et en rentrant je me suis fait déglinguer Mais vous allez voir où je vais en venir dans tout ça Mais finalement, merci de m'avoir surprotégé Vous allez voir pourquoi Parce qu'avec du recul finalement, merci papa et maman quoi, clairement Attention les guys, je ne dis pas qu'il faut faire le mur C'est pas la bonne solution Alors faut savoir que moi durant mes années étudiantes C'est là où j'ai vraiment genre fait la fête quoi Parce qu'en fait, de savoir que merci Parcoursup, voilà, après tu demandes un truc, ils t'envoient à l'autre bout de la France, ils t'envoient à la limite en Corse ou au States, le truc complètement à l'opposé. J'avais un... Bon, j'avais pas un énorme dossier, mais j'avais quoi ? 12,5, 13 de moyenne. J'avais de la moyenne presque partout, sauf en maths et en physique chimie. Et après, j'ai eu des bonnes notes, donc je sais même pas pourquoi Parcoursup m'a envoyé là-bas. Mais bon, je me suis dit, allez, au bullshit, on prend, et voilà. Donc il m'a envoyé Amande en Lauser. Donc du coup j'ai pris à mes 17 ans parce que je suis né en septembre. Donc j'ai un décalage d'année à année. Enfin bref vous m'avez compris. Donc j'ai dû prendre mon appartement à mes 17 ans. Donc début d'indépendance. Mais après attention de manière générale je ne suis pas un fétarde et je l'assume. Mais pendant cette année là de mes années post-bac j'ai fait la teuf comme j'ai déjà. Mais moi il y a un truc qui me dérange. J'ai l'impression qu'il y a personne qui en parle. Là il y a des copines quand même mais... Mais j'ai l'impression que si on refuse de boire un verre, si on refuse d'aller en boîte, si on refuse de faire un soirée jeu de cartes, si on refuse carrément une soirée pyjama en mode pilou-pilou, ça y est, on va nous prendre pour un traîné, on va dire qu'on est dégain, on va dire que ça y est, je me prends pour un Marseillais. Le mec qui se prend pour un Marseillais, n'importe quoi. Alors, premier grand chapitre de cet audio, qui est, je pense, le plus important. C'est un stéréotype de 18 ans à 30 ans, et ça, c'est un truc qui... Il me saoule un peu quand même, j'avoue. J'entends tellement dire qu'arrivés à 25, 28, 30 ans, ils regrettent tous leurs 20 ans. Pourquoi ? Parce que déjà, ils ne tiennent plus l'alcool. Voilà, après, chacun fait ce qu'il veut. Deux, maintenant, ils ont plus de mal à se remettre d'une soirée. Il leur faut peut-être plusieurs jours pour se remettre d'une soirée. Voilà, ils ne vont peut-être plus vouloir rentrer à 5h du matin. Ils vont rentrer à 2h du matin. Ils se posent la question, bizarrement, comment je faisais à ma vingtaine pour enchaîner trois soirées de suite ? Maintenant, je ne peux plus. Et une remarque qu'on m'a fait il n'y a pas longtemps, il y a quelques jours, on m'a dit que si je ne le faisais pas avant mes 20 à 30 ans, après, it's too late. C'était genre trop tard. Et quand le mec m'a carrément dit, le mec avait 45 piges avec des meufs à côté de 25-30 ans, genre qu'il fallait que je le fasse maintenant pour profiter de ma jeunesse, parce qu'après, c'était trop tard. Ouais, dans le mood de la soirée, j'ai fait oui, ok, pas de problème. Mais ça m'est resté dans la tête. Et c'est pour ça que je faisais cet audio parce que ça m'a donné des idées en fait. Et en réfléchissant, je me suis dit en fait c'est vrai, c'est dans mes années post-bac. Tout ça on me l'avait déjà dit aussi. Ça m'a remémoré plein de choses et les arguments qui reviennent à chaque fois, mais de partout, vraiment de partout. C'est que genre arrivé à la trentaine, on commence à se poser et tout. On a une certaine réflexion sur sa vie. On se dit ok c'est bon j'ai assez profité, maintenant je vais me poser, je vais trouver une meuf ou un mec. Je vais acheter une baraque, un crédit à 250 000 euros. Je vais acheter un SUV, une Mercedes. Les deux gosses, le bois foif, le petit chat. Après, attention, chacun fait ce qu'il veut et chacun a ses projets. Mais ce genre de discours, je le vois et j'entends partout, que ce soit sur les réseaux sociaux, même à la radio aussi, dans les magazines, que les magazines, je ne peux pas dire les noms, parce que je ne veux pas qu'on m'attaque pour diffamation, même si je pourrais sortir les preuves, parce que j'ai acheté un magazine au tabac il n'y a pas longtemps. Il y avait carrément presque un article qui parlait de ça, mais qui l'affirmait A plus B en plus. Et j'ai même des collègues aussi au taf, pendant la pause repas entre midi et deux, où ça peut arriver qu'on parle de ce sujet. Et je ne comprends pas que chacun, que tout le monde a le même discours. C'est dérangeant, enfin c'est dérangeant. Après attention, je vous le dis, j'arrive à dormir quand même. Pourquoi ? En fait, j'ai l'impression qu'on banalise le fait qu'on est obligé de faire la fête avant ses 30 ans. Comme si en fait, c'était genre un devoir, une nécessité. Que si tu n'as pas fait ça, en gros, tu as raté une partie de ta vie. Et que si tu ne fais pas ça, en gros, ta jeunesse, tu n'en as pas profité, tu es mort, tu as raté ta vie. Et que si tu ne sors pas, tu es nul. T'es une mauvaise, t'es un faible C'est une croyance que beaucoup de personnes ont Et le problème c'est que beaucoup de personnes le disent Sans réfléchir réellement A l'impact que ça peut avoir Le discours inverse, personne ne le dit Et ça c'est quelque chose qui me dérange Enfin qui me dérange, ça me dérange pas réellement Mais c'est que j'ai l'impression que tous les gens qu'il y a autour de moi Et j'essaie de chercher, j'essaie de chercher sur Youtube Et même, bon j'ai plus regardé la France Que les autres pays Parce que je me centralise plus sur les avis français Mais que ce soit dans les podcasts, les radios, les machins J'attends. très très peu de gens qui parlent de ça alors que c'est un sujet important pourquoi nous inciter à faire la fête qu'on nous incite à boire qu'on nous inciter à dire qu'il faut aller tourner en soirée machin et tout qu'il fallait boire de la jet de la vodka et tout et c'est ça la vie c'est ça profiter de la vie avait franchement on n'a pas de même valeur chez et voilà je vais continuer je pense que c'est vraiment un vrai sujet de société mais qui mélange en fait plusieurs problématiques oula Oula, attention. 1-2, 1-2. En même temps, je ne suis pas très bien positionné ici. Je suis à moitié affalé sur le canapé là. Je vais essayer de me repositionner droit. Ce sera peut-être mieux. Ce sujet, je pense, est quand même assez important. Il mélange plusieurs problématiques. Déjà, un, les standards de la société. Deux, l'image que reflète peut-être pour certains influenceurs inconsciemment, mais pour d'autres, je pense que voilà. En gros, l'image que reflètent les médias et les réseaux sociaux. Trois, vous allez voir parce qu'on va en parler. Le culte de l'appartenance. Le cercle familial et le vécu personnel aussi. Parce que je peux comprendre que quelqu'un qui est en dépression, va peut-être vouloir aller faire la fête ou machin, ou boire un peu d'alcool, même si je sais que c'est pas la solution. Et attention que je répète, l'habit d'alcool est dangereux pour la santé et à consommer avec modération. Je le dis, je le répète, parce que je vais pas avoir les associations sur le dos. Et surtout que moi je suis pas du tout alcool, donc... Mais bon, la prévention, ça fait toujours pas de mal. C'est toujours ça de dit, au moins, on est carré. Et du coup, il n'y a pas que ça. Il y a aussi les amitiés un peu toxiques en soirée. Il y a aussi les dérives de l'alcool qui y sont forcément. Parce qu'on est obligé de parler de ça, ou en tout cas d'y faire un lien. Mais moi, là où je veux en venir, ce n'est pas réellement tout ça. Même s'il faut quand même en parler. Moi, ce que je veux en venir, c'est plus le regard des autres. Le regard des autres quand ils voient ou apprennent. Genre qu'on n'est pas trop dans les bails. On n'est pas trop dans les bails à aller en discothèque tous les soirs. Aller au bar après le taf ou les cours. qu'on n'a pas envie de... de participer, même si on nous le propose, qu'on n'a pas envie de faire l'after ou le before. Alors, qu'est-ce qu'un before-after ? Qu'est-ce qu'un after-before ? Un exemple. Le before, on va au bar avec mes collègues, on boit, voilà, on rigole et tout. On va en boîte de nuit. Et l'after, l'after, c'est l'après. Genre, on continue la fête, mais chez les potes, en rentrant de boîte de nuit. Mais faire ça tout le temps, franchement, il faut avoir un gros foie et un gros intestin. Alors, anecdote. Comme je vous disais tout à l'heure, moi, pendant mes années étudiante post-bac, c'était de mes 17 à mes 20 ans. Je le dis, hein. Et j'assume mentuellement que j'ai fait la fête, comme Jean-Jean. Bon, après, comme Jean-Jean, après que c'était pas trop dans l'extrême, mais ça m'est arrivé quand même d'aller en boîte, j'allais en terrasse boire des verres, après les cours, je faisais le fameux jeu de beer pong. Si vous connaissez pas, je vous laisse aller chercher sur Internet. J'ai fait aussi les jeux de cartes, les soirées étudiantes, chez l'un, chez l'autre, dans les résidences étudiantes et tout. Le jeudi, la fameuse journée où on envoie le tout, on allait dans la grande rue principale, il y avait tous les bars. Pourquoi le jeudi ? I don't know. C'était en, bah du coup, comme je vous ai dit tout à l'heure, en gros les guys, c'était en Lauser. Donc en Lauser, c'était Armand. Là-bas, je vous jure que là-bas, il y a une vraie ambiance familiale, genre cocooning. Tout le monde se connaît, voilà, machin. La teinte de Jackie, la sœur de Michou, enfin bref. Mais il faut savoir qu'eux, ils font pas la fête à moitié. Et eux, les bars, le verre de vodka, c'est pas un petit verre de merde. J'ai même pas eu le choix de l'envenir Ah oui Donc du coup j'ai fait mes études à Mande Mande qui est pour moi la capitale de la Lozère C'est une région Je sais pas si la Lozère c'est une région La géographie Thomas Retourne au collège Mais ouais Et puis ce qu'il faut savoir c'est que Mande c'est une ville Qui est de plus en plus étudiante Étudiante pardon Il y a plusieurs BTS Il y a plusieurs poils universitaires Et il y a aussi plusieurs bac pro Du style bac pro sécurité C'est un peu mécanique et tout En passant par tous les titres de licence Plus bac plus 4 à bac plus 5 Donc le jeudi Il y avait une énorme vibe sur toute la lignée Il y avait tous les bars, il y avait tous les étudiants C'était un truc de fou Et on aura peut-être l'occasion d'en reparler Donc moi je ne suis pas trop alcool Ça m'est arrivé Ça m'arrive encore de temps en temps mais rarement De boire de la vodka Du jet aussi Et j'aime bien surtout aussi les moritos Les moritos spécialité Attention je répète encore une fois L'habit d'alcool est dangereux pour la santé A consommer avec modération Merci Allez, attention. déclaration, je suis obligé de les dire le mec complètement l'inverse de tout ce que je viens de dire depuis 20 minutes c'est pas grave, je suis allé en teuf en boîte de nuit il y a 2 jours avant de faire mon podcast, avant de faire mon audio pourquoi vous allez me dire mais pourquoi t'as fait ça, tu nous as trahi non en fait je devais Je me devais, c'était un devoir et une nécessité pour moi de revivre la vibes pour que ça me remémore tous mes souvenirs. Et du coup, je suis à peine entré dans la boîte que ça y est, je me suis rappelé de tout ce qui s'était passé. Et on en reparlera tout à l'heure, mais c'est vrai que quand on est en boîte, c'est vrai que quand on ne boit pas, parce que je vous avoue, j'ai bu un verre de vodka et après, j'ai bu que du coca. D'ailleurs, le coca m'a plus détruit le ventre que les verres de vodka pomme. D'ailleurs le verre de coca comptait plus cher que le verre de vodka pomme Allez comprendre I don't know Mais c'est vrai que quand on boit pas forcément Je trouve qu'on est déjà plus conscient de tout ce qui se passe autour de nous On a plus de réflexes physiques, mentales Et c'est à ce test putain Ouais mais c'est ça que je voulais vous dire En fait il y a deux jours c'est ça C'est là qu'on m'a dit A la sortie j'étais avec, je me suis fait des copines Parce que moi j'ai une facilité de parler Donc je me suis fait des copines Enfin des copines Des copines vite fait quoi Merci. et j'ai parlé à la source avec des mecs et avec d'autres meufs et ils m'ont dit ils m'ont demandé mon âge, donc j'ai 22 ans j'ai bientôt à avoir 23 et ils m'ont dit oui profite maintenant et tout parce qu'après dépasser tes 25 ans 30 ans, tu seras fatigué tu n'arriveras plus à tenir, c'est maintenant qu'il faut profiter de la vie et tout après 30 ans tu vas peut-être vouloir te poser exactement tous les clichés que ce que je vous ai dit tout à l'heure, le mec et les meufs qui étaient à côté m'ont tout répété donc mes croyances que je pensais de mes années étudiantes ... Ça en revient en deux secondes, mais je vous jure, ça me rend fou parce que personne ne parle de ça. Ça, c'est le genre de sujet que personne n'en parle, que ce soit dans les podcasts ou sur YouTube ou dans la radio. On parle toujours des mêmes sujets, toujours. La relation homme-femme, la place de la femme dans la société, comment avoir confiance en soi, les cinq étapes pour devenir la meilleure version de soi-même ou comment faire partie des 1% et devenir millionnaire en une semaine ou en 30 jours. Allez guys ces sujets même si je je dis attention je ne dis pas qu'il faut pas les aborder parce que c'est des sujets qui sont quand même intéressants qui sont entre guillemets actuels mais les guys il existe des dizaines et des milliers et des centaines de vidéos et de livres dans toutes les langues confondues sur ce type de sujet et en gros genre le reste on le banalise quoi en gros le reste on en parle pas parler au quotidien avec mes enfin au quotidien Merci. de temps en temps, parce que j'ai pas non plus des millions d'amis, avec des copines, avec des potes sur Snap, ou même avec des abonnés sur Instagram, en DM, ou même des collègues au taf, entre la pause repas, il y a vraiment des sujets que personne n'ose aborder, mais qui sont des sujets de société. Tout confondu, que ce soit pour les politiciens, que ce soit les administrations, que ce soit peut-être même dans le pôle familial, parce que j'avais carrément une collègue qui m'a dit qu'elle avait quelqu'un qui l'avait dit, de tente de la tente de la tente de la tente, que c'était un sujet qu'ils avaient du mal à évoquer. et et qu'elle ne trouvait nulle part ce type de sujet, sauf aller dans une association. Tous ces types de sujets, je ne sais pas, moi, les violences conjugales, le harcèlement, les MST, les gars, personne n'en parle. J'allais voir ma dermatologue il y a quoi, il y a un mois, elle m'a dit, protégez-vous, monsieur, parce que les MST, c'est quand même important. Malheureusement, il n'y a que les médecins qui font de la prévention, en tout cas, qui en parlent. Et je me suis dit, mais elle a raison, en fait, elle a raison. Et ouais, elle m'a fait comprendre que malheureusement... personne n'en parle assez, même dans les écoles, bon attention, pas en maternelle ou en primaire, mais au lycée ou à la fin du collège 3ème, il y a malheureusement encore pas assez de prévention, et on parle pas assez sur les réseaux, tous ces types de sujets, personne n'en parle réellement, quoi, genre en gros c'est tabou, mais non c'est pas tabou, c'est un sujet comme un autre, après oui, il faut vouloir en parler, je peux comprendre que des fois, certaines personnes ne voudront peut-être pas le dire, je peux comprendre, mais c'est un sujet comme un autre, quoi, ou je sais pas, genre le maquillage pour les hommes en France. J'ai l'impression que c'est encore vraiment tabou. Alors que pas du tout. Le mec, il fait le journal de TF1. Vous croyez, on lui fout du fond de teint quand même. On lui fout du fond de teint, on lui fout un peu d'highlighter. Mais personne ne le voit. Mais moi, je le vois. Les gens qui connaissent le maquillage, ils le voient. Voilà, donc le maquillage, ce n'est pas fait que pour les femmes. Même genre moi, d'ailleurs, ça va faire aussi bien tituler sur mon danojo. Il peut m'arriver de temps en temps de porter des bottes à talons. J'ai l'impression que quand je porte ça, tout de suite, c'est symbole de vulgarité. On me l'a déjà dit en plus. On m'a dit que quand je portais ça, c'était pour attirer le regard des hommes et tout, machin. Mais non, en fait. Enfin, bref. Tout ça, c'est des sujets hyper vastes. Je vous jure. J'ai tellement d'idées, les guys. J'ai... Inspirations is here. Mais tous ces types de sujets, pourquoi personne n'en parle ? Pourquoi tout le monde parle toujours des mêmes choses, des mêmes sujets ? De l'homme dans le couple, de la femme Jupiter et le machin Vénus, Bidouchnok, de la femme au foyer. C'est toujours les mêmes sujets. Après, c'est intéressant d'en parler. Mais finalement, c'est toujours les mêmes sujets, c'est toujours les mêmes discours qui reviennent. Les gars, dans le monde, il existe tellement d'autres sujets qui sont peut-être même plus importants que ceux-là, quoi. Enfin, vraiment. Bon, je me suis un peu éparpillé. On va revenir à nos moutons. Gros autre chapitre, gros c'est la pression sociale, parce que la pression sociale, faut arrêter de... comment expliquer ? J'ai l'impression que quand on pense alcool, on pense directement genre sociabilité et on pense acceptation. Vous allez voir où je veux en venir, souvent j'ai l'impression qu'un peu le genre le besoin de sortir, et enfin je dis pas souvent parce que moi c'est un peu le ressenti que j'ai eu quand j'étais dans mes années d'études post-bac, ouais j'avais le fait de sortir, bah ça venait un peu du désir d'appartenance, parce qu'en fait on voulait faire partie du groupe. On voulait se faire accepter Et on voulait faire bonne image quoi Faire bonne impression On voulait renvoyer une bonne image aussi en soirée Anecdote story time Moi il m'est arrivé des fois Où je voulais pas boire de l'alcool Où je prenais quoi Je sais pas moi je prenais des jus Je prenais du sirop Du coca Devinez ce qui s'est passé Ça a déclenché quoi A chaque fois on me chariait Gentiment Mais à répétition A répétition Ça devenait lourd quoi Ou on se moquait de moi Et on m'a forcé à boire Attendez On m'a pas forcé à boire Je dis n'importe quoi On m'a incité à boire Personne ne m'a forcé à boire On ne m'a pas mis le couteau sur la gorge On m'a incité à boire Et hashtag cercle d'appartenance Moi je me suis dit Pour me faire accepter dans la soirée Allez Thomas, Toto Porte tes couronnes Bois le verre de cul sec Au moins ils seront contents Tu passeras une bonne soirée Ce sera tes potes pour l'année On n'en parle plus Mais non en fait les guys Non et c'est vraiment un sujet qui me tient à coeur Même si je le prends peut-être un peu à la rigolade de temps en temps Mais tient à coeur Il faut tenir tête ... Il faut tenir tête. Et il y a des fois, j'ai dit non. Les mecs, je vous jure, je ne veux pas boire d'alcool. Je veux juste mon jus d'orange. Et même s'il y a du jugement, même si on me dit ça y est, tu es un mauvais joueur. Ça y est, tu casses l'ambiance. Tu t'en fous en fait. Tu t'en fiches. Non, je ne veux pas boire. Point. À cause de ça, pendant mes années d'étudiant, certains me considéraient comme un mec qui était lâche, qui n'était pas fun. Donc, on m'a vite mis de côté. C'est n'importe quoi, on peut clairement sortir faire la fête sans devoir boire, ou sans forcer à faire des choses pour accepter que Pipi Kaka nous parle. Maintenant les guys, je vais vous faire une énorme story time, et vous allez voir où je veux en venir. Voilà donc, cette histoire c'est une fiction, mais elle est inspirée de faits réels. Donc du coup, il y a trois personnages, on va l'appeler Mathieu, Lola et Marius. Donc ils sont tous étudiants. Mathieu c'est genre le bon pote, le BFF. Donc BFF pour ceux qui n'ont pas la ref. Best Friends Forever de Lola. Mathieu et Lola c'est... C'est le duo de choc. Et donc Lola est étudiante en fac de médecine. Elle sort avec le beau gosse nommé Marius. Et je précise que Mathieu et Marius se connaissent. De par leur activité extrascolaire. Ils ont déjà fait la fête ensemble à plusieurs reprises. Voilà au passage. Et du coup cette fois-ci Marius décide de faire une soirée étudiante avec plusieurs personnes. Notamment Lola qui est sa petite copine. Parce que forcément elle est invitée à la soirée. Et Lola prévient par messagerie à Mathieu. Qu'elle se sent pas bien pendant la soirée. Et qu'on l'a forcé à boire indirectement. Sachant que Mathieu, son BFF, habite à moins de 100 mètres de Marius. Lola décide de faire plusieurs allers-retours. Pour échanger avec son BFF. Pour discuter de la soirée, parce qu'elle ne se sent pas bien, etc. Et arrive à 2h du matin. Mathieu est en train de dormir. Et là, Mathieu entend quelqu'un qui frappe à la porte. Intrigué, il se lève et demande qui c'est. C'est Lola qui demande si elle peut rentrer. Donc stupéfait, Mathieu, son BFF, il ouvre la porte. Et Lola qui tombe à moitié dans ses bras, étonnée. Donc en amont, Mathieu, très technique dans sa tête, avait déjà prévu d'ouvrir un deuxième lit. Au cas où il y aurait un souci ou quoi pendant la soirée. Ou s'il y avait des potes ou des collègues à lui qui étaient à la fête de Marius, ils voulaient dormir pour arrêter de prendre le volant. Donc du coup, c'est Lola qui toque à la porte. Et voilà, enfin bref, en gros, elle est défoncée, elle est bourrée quoi. Et le pire du pire, c'est que Mathieu aide Lola à se coucher tranquillement, lui donne un verre d'eau, tout ce qu'il faut. Et après, quand le temps passe, au bout de deux heures qui passent, vers 3h30, 4h du matin, on entend encore toquer à la porte. Et qui c'est derrière la porte ? C'est Marius. Marius décide de venir voir pour voir comment va sa copine. Et il a le culot de venir la voir pour voir comment elle va bien et tout. Donc Lola décide de ne pas lui répondre. Elle le repousse. Donc du coup, Marius repart à sa soirée. Et chacun dort dans son côté. Et le lendemain, Lola et Mathieu, donc les PFF, décident d'aller marcher tranquillement et tout, dans la rue, dans la campagne et tout. Et il s'avère que Lola dit, du coup, elle décide de s'échanger, parce que c'est les meilleurs amis. Donc ils se disent un peu tout. Quand en fait, pendant la soirée, on l'aurait forcé, ou en tout cas incité à boire, que vu qu'elle voulait faire plaisir. à son mec. Du coup, elle a bu. Elle a carrément dit à son BFF que pendant la soirée, personne n'a réagi. sauf deux filles parce que dans la soirée il y avait des filles enfin il y avait plein de monde quoi donc tous les mecs qui étaient autour qui étaient tous des camarades c'était tous des étudiants la personne qui a réagi même marius n'a même pas réagi il trouvait ça marrant il a rigolé il y a juste deux filles qui ont réagi c'est une histoire après vous en pensez ce que vous voulez mais je vais vous dire après ce que moi j'en pense de ce type d'histoire une ou deux filles personne n'a réagi tout le monde l'a vu mais c'est pas vraiment forcé c'est Plutôt, on lui a pas mis le couteau sous la gorge, donc c'est pas forcé, c'est plutôt incité à boire, mais elle voulait pas déçoir son mec, donc... Parce qu'en fait, c'est à lui de réagir et serait à lui de dire OK, tu veux pas boire ma chérie, tu bois pas. Non, le mec a fait tout l'inverse. Voilà, pour montrer à tous ses potes que sa meuf était dans l'ambiance, dans la soirée. Il a incité à boire, forcé à boire et des soirées, des jeux et tout. Et ça, c'est un bref. C'était la grosse story time de cet audio. Pendant mes années étudiantes, j'étais un peu, j'étais encore un peu naïf. Maintenant, je le suis beaucoup moins, mais j'étais encore un peu naïf. Je me suis un peu fait bouffer aussi un petit peu par des connards. Non mais là où je voulais en venir C'est qu'en fait Il faut pas se forcer quoi Si on veut pas on veut pas C'est comme ça Et basta Et on s'en compte trop fou en fait De faire plaisir à sa BFF A sa best friend forever Ou à son petit copain Non il faut savoir dire non Les autres ils acceptent ou non Basta je comprends Après par contre je peux comprendre aussi Je me mets à la place de Lola Je comprends qu'elle voulait faire plaisir à son homme A son mec Qu'elle voulait pas le décevoir et tout ... Mais là, c'était sa santé qui était en jeu. Elle sentait mental, physique, ça craint. Et je vais rebondir sur un truc. Moi, pendant ma première année d'études, vers la fin de ma première année d'études, même la deuxième année d'ailleurs, je me suis remis plus en fond en question. Et je me suis carrément dit si moi, j'étais normal et si je n'avais pas un problème. Parce que vu que tout le monde buvait dans la salle ou en boîte ou quoi, j'étais le seul. à pas vouloir boire, pas tout le temps, mais des fois j'étais le seul à pas vouloir boire et j'avais l'impression du coup que j'étais un problème, que je dérangeais et que je cassais la vibe. Et la première chose que je pensais et que c'est faux, mais que j'ai rejeté la faute sur quelqu'un, donc il faut rejeter la faute sur qui ? Sur mes parents. Et c'est pour ça que tout à l'heure je vous ai dit que mes parents m'ont surprotégé, j'ai rejeté tout le temps la faute sur eux, alors que pas du tout. Autre grand chapitre, la vibes de soirée. J'ai une question qui m'est quand même traversée l'esprit. Comment dire ? Est-ce que la vibe, elle peut changer si on boit ou si on ne boit pas ? La question est... Oui et non, c'est bon sujet de philosophie, ça, quand même. Peut-être un bac de philo 2026, 2025. Mais il faut se le dire, et je me répète, qu'en en soirée, que si on boit ou si on ne boit pas, la logique veut que l'effet n'est pas le même. Et non, je suis désolé, les guys. Et si vous n'êtes pas contents, vous pouvez quitter la page. et partir de cet audio. Et non, je suis désolé, mais ce n'est pas parce que je décide de refuser de boire un verre de vodka ou de boire une bière que je vais venir casser l'ambiance. L'ambiance, je la casse toi-même parce que tu m'incites à boire et à faire quelque chose que moi, je ne veux pas faire. Là est le problème. Donc le problème ne vient pas réellement. Il vient peut-être de moi parce que je vais me forcer, je m'incite à boire. Mais le problème vient aussi peut-être de toi parce que toi, tu incites les gens à boire et tu incites les gens à être mis mal à l'aise et à faire des choses qu'eux ne veulent pas faire. Puis c'est facile de jouer aussi avec la faiblesse des gens quand ils se sentent pas à l'aise et qu'ils sont facilement manipulables, qu'ils sont très naïfs. Voilà, c'est la manipulation, peut-être inconsciente, peut-être que l'alcool pousse des choses, tous ces trucs-là. Et j'ai l'impression aussi qu'un peu que, en soirée, genre l'alcool synchronise un peu les esprits, les corps. C'est même pas j'ai l'impression, c'est que oui, parce que oui, je l'ai vu, je l'ai même ressenti. Quand j'ai bu trop de verre de vodka, enfin, je me sens plus, quoi. Et honnêtement, c'est... pas quelque chose que je kiffe. C'est pas quelque chose... Après, chacun fait ce qu'il veut, hein. Attention. Chacun fait ce qu'il veut et je sais qu'il y en a beaucoup qui aiment bien ça. Il y en a beaucoup qui aiment bien se sentir... se sentir dans un... Comment dire ? D'avoir une certaine sensation même quand ils fument. Quand ils fument, peu importe de quoi ils... Peu importe ce qu'ils fument. D'avoir une certaine sensation de planer, de moins t'oublier tes idées, voilà, t'oublier tes problèmes, machin. Quand on est dans une soirée qu'on boit pas, on a l'impression qu'on a que des obus autour de nous. Et au fil des minutes et des heures qui passent, ça se propage. Le virus se propage. Et du coup, tu as de plus en plus de personnes à qui tu n'arrives pas à parler réellement parce qu'ils ne sont pas réellement conscients. Et sinon, ils te répondent, mais ils te répondent sans vraiment te répondre. Au lendemain, Blackout Total va même plus se rappeler de la soirée. Ils vont embrasser telle meuf, ma cheville. Bref, après, chacun fait ce qu'il veut. Moi, je dis haut et fort, ce n'est pas trop mon bail tout ça. Moi, je veux plus faire une soirée en mode... chill, en mode je vais inviter des copines ou des copains à la maison, on va peut-être boire un coup, mais pas à l'extrême. De toute façon, je vais être caché, parce que l'extrême avec moi, c'est pas possible, parce que le mec, il perd conscience, il fait n'importe quoi, ça, non, en fait, clairement pas. Après, attention, comme je le redis, chacun son kiff, chacun fait ce qu'il veut, mais voilà, moi, c'est pas mon truc. Après, attention, parce que ce fameux Marius était un habitué de l'alcool, donc lui, il avait beau boire 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 20 verres, Le mec était toujours... On voyait qu'il y avait une différence, mais il était quand même réactif. Parce que son corps était habitué, il était quand même réactif. Il avait stratégie, il pouvait rigoler avec toi. Tu lui parlais d'un sujet, même profond, il arrive à te répondre, il arrive à rebondir. Il y a des gens comme ça. Tant mieux, franchement, tant mieux pour vous. Tant mieux. Tant mieux pour eux, pour vous. Alors dans ce podcast, je tutoie et je vous vois. Ça, il faut le savoir. Je mélange le tutoiement et je vous vois, vous voyez. Vous m'avez compris. Mais ouais, c'est très étrange. Les houche-bêles, pardon. C'est pas une règle. Donc le dernier chapitre les guys, c'est reprendre le pouvoir. Je pense que les guys, il est temps de reprendre le pouvoir et d'arrêter d'être soumis à cette société de consommation et à ces standards de fucking society. Je pense qu'il est temps de reprendre le pouvoir, qu'on choisisse nous-mêmes nos propres sorties, qu'on choisisse nous-mêmes nos propres ambiances, qu'on choisisse nous-mêmes nos propres timings et que si on n'est pas en adéquation avec le reste du groupe, qu'on n'a pas les mêmes énergies, que la... pas les mêmes vibes, il faut réussir à apporter ses corolles, même si je sais que c'est pas toujours facile, parce qu'on a peur de se retrouver tout seul, mais comme on dit, il vaut mieux être seul que mal accompagné, et voilà, je préfère être le lion que être le berger, des moutons, de machins, enfin vous m'avez compris, un loup solitaire. Après, comme je dis, c'est facile à dire, mais c'est pas forcément facile à faire, parce qu'on veut pas déçoir des gens, surtout si c'est son mec, je peux comprendre. mais faut prendre du recul et penser quand même que c'est sa santé qui est en jeu. Mais attention, c'est pas parce que je sors pas ou que je refuse de faire une soirée que je suis quelqu'un de nul, que j'ai raté ma vie et que je suis un claqué au sol. Si monsieur ou madame n'est pas content parce que j'ai pas pris tel ou tel verre ou parce que je passe à aller à la soirée avec telle ou telle personne, c'est comme ça, il est pas content ou elle est pas contente, c'est qu'on est pas censé être amis, on a pas les mêmes vibes, on a pas les mêmes auras, on a pas les mêmes énergies, tu me comprends pas, je te comprends pas, on s'arrête là. C'est pas eux les gars, je vous jure, c'est pas eux qui payent les factures, c'est pas eux qui payent le loyer, c'est pas eux qui remplissent le frigo. Donc je vais pas perdre de l'énergie. Mais là je vais pas, comme si j'étais étudiant il y a deux ans, je vais pas perdre de l'énergie avec des gens qui me prennent la tête parce que je vais pas en soirée avec eux. Et non, j'ai pas raté ma vie, j'ai réussi mes études, j'ai eu mon diplôme, là je travaille, là j'ai eu mon CDI, voilà j'ai pas raté ma vie. Puis les gars, si je veux partir à l'étranger et aller en boîte à partir de 35 ans, bah je fais ce que je veux en fait. C'est quoi ces standards de société qui nous obligent à sortir entre 20 et 30 ans ? Et qu'entre 30 ans et 40 ans, il faut obligatoirement faire un gosse pour les femmes. Parce que si elles font un gosse à partir de 40 ans, ils seront obligatoirement déformés. Ce sera trop tard. Les gens font ce qu'ils veulent avec leur corps, avec leur pensée, avec leur cerveau. Et ces standards de société, je trouve ça inadmissible en fait. Et que personne n'en parle, personne n'ose casser les standards de société. Ça me rend pas fou, mais ça me saoule un peu. Et une dernière chose, il faut se détacher aussi de ce qu'on peut voir sur les réseaux. Notamment le podcast d'une influenceuse que j'aimais bien. que j'aime encore. Et si jamais vous arrivez à faire le lien, ben, à la rigueur, je m'en fous. Mais c'est triste parce que, en plus, elle a un bon contenu, elle a un bon parler, elle sait dire les choses, c'est une femme, elle sait dire les choses quand il faut, elle sait placer le mot là où il faut. Mais le problème, c'est que, quand les gens parlent, la problématique, en plus, c'est que... Bon, je le dis, après, les gens sont pas contents, c'est pareil. C'est des gens qui sont influenceurs et ils ont quoi, 400, 500, 200 000, 4 millions d'abonnés. Ils font peut-être même pas leur montage eux-mêmes. Donc ils enregistrent. Ils ne réécoutent même pas. Ils envoient au montage. Et après, c'est le mec qui travaille avec elle ou avec lui qui fait le montage. Sauf que des fois, je pense qu'il faut réagir. Attention, je ne suis pas parfait. Moi, je ne suis pas parfait. J'ai plein de défauts aussi. Peut-être que des fois, je dis des conneries. Peut-être que des fois, je me trompe. C'est possible aussi. Mais de dire qu'il faut profiter entre ses 20 et 30 ans parce qu'après, c'est trop tard. Après, il faut se poser et tout. Non, en fait. Et peut-être pas forcément ce discours-là. mais de dire je pense que j'ai assez profité pendant mes années étudiantes de mes 20 à 25 ans, maintenant je vais me poser, j'ai assez fait la fête, maintenant j'ai 29, 30, 33 ans, ben j'arrive plus à tenir comme avant, vous détachez-vous de tout ça, c'est pas grave, si vous avez moins de 30 ans ou moins de 25 ans, que vous avez pas encore fait la fête, que vous êtes pas un fêtarde, c'est pas grave, c'est pas grave, et si vous avez l'impression que vous passez à côté de quelque chose, ben essayez, tentez. Et vous verrez. Mais c'est que c'est peut-être pas fait pour vous. Que voilà, après, essayez, vous verrez bien. Vous aurez eu l'expérience, et après, vous pourrez faire votre propre avis. Mais ne vous fiez pas à ce que les gens disent. Faut vivre ses propres expériences et faire son propre avis. Je me suis remis en question, comme je me répète. Je me suis remis en question plein de fois par rapport à ce sujet. Et bon, maintenant, je suis carré sur ça, je sais où je vais, je sais ma pensée. Je connais mon fil rouge, mon fil conducteur, je sais là où je veux aller. Sur ce sujet-là, ça me saoule. Ça me saoule parce que c'est toujours les mêmes trucs qui reviennent, toujours les mêmes standards de société qui reviennent et c'est lourd quoi. Non, je suis désolé, non, je n'ai pas raté ma vie. Si je ne suis pas allé au Spring Break à Miami, si je ne suis pas allé au festival Tom Roland, non, peut-être que moi je préfère aller à Bali. Peut-être que je préfère même rester en France et créer mon business, devenir millionnaire et après profiter après mes 40 ans. Donc ok, je n'aurai peut-être pas la même énergie, ok, je ne pourrai peut-être pas tenir trois jours d'affilée. au moment où j'aurais peut-être plus de sensations et je pourrais peut-être même plus ce qu'il fait, parce que j'aurais peut-être investi dans l'immobilier, dans la bourse, dans le bitcoin pendant mes 20 à 30 ans justement au lieu de foutre de la thune dans de la merde, dans des soirées je sais pas, je vous parle avec le coeur j'aurais foutu de la thune dans des formations, dans des investissements dans des trucs qui ont un vrai sens et après ça sera rentabilité j'aurai une rentabilité économique donc j'aurai de la thune, et après dans Dans 10 ans, je pourrais vraiment décider de profiter de la vie, et peut-être pas autant que pendant ma jeunesse, mais ce sera peut-être plus kiffant. Voilà, c'est un peu ce que je me dis. Et il n'y aura pas de ce truc dans ma tête de « Oh, mes 30 ans, maintenant, j'ai dépassé les 40 ans. » Je ne sais pas si vous arrivez à me suivre, je me perds un peu. Enfin, je me comprends, mais bon, le but, c'est que vous me compreniez aussi. Ce qu'il faut retenir, c'est faites-vous votre propre avis, écoutez les gens. parler, faut en prendre et en laisser. Comme on dit, ça sort d'une oreille, une partie reste dans le cerveau, mais l'autre elle ressort parce qu'on s'en fout. Et puis, il y a tellement de manières de profiter de la vie. Voyez, on peut aller voir un match de rugby. Là, j'ai commandé des places pour aller voir Nash. Elle s'appelle Nash, je crois. Celle qui parle comme ça, elle fait Sandrine. C'est Sandrine. Bonjour. Bonjour. Enfin bref, vous devez avoir la ref. D'accord, merci. Vous avez besoin de quelque chose, monsieur l'enchar ? Enfin bref, trop drôle. Voilà, j'ai commandé une place, je suis allé avec une collègue de taf. Voilà, on va rigoler, on va passer un bon moment. Avant, on va aller manger au restaurant. Il y a tellement de manières de profiter de la vie, de lire un bon livre, d'aller faire les magasins, d'aller marcher à la plage, de boire un petit sirop. Voilà, tout le temps, pourquoi toujours boire de l'alcool et pourquoi toujours associer l'alcool à quelque chose de relaxant ? Moi, je vous jure, la dernière fois, je suis allé en terrasse. J'ai bu un verre de jus d'abricot, ça m'a détendu, ça m'a relaxé, voilà. J'étais au soleil, tranquille, j'ai pas besoin de prendre une bière pour me relaxer. Moi, un verre de jus d'abricot me suffit amplement. Et non, c'est pas parce que je prends un jus d'abricot et pas une bière que je suis un lâche. Bah non, je suis désolé. Et si ça vous plaît pas, c'est comme ça. On revient à ce que je vous disais tout à l'heure, je me répète, mais malheureusement c'est comme ça. Je casse les codes de la société. Après, voilà. Alors, par contre, attention. Et oui, si en plus sortir, ça coûte cher. Quand tu vois le prix du verre, merci, quoi. Il faut avoir des sous aussi. Franchement, sortir, être un fêtarde, pour moi, il faut avoir de la thune pour sortir en soirée. Déjà, il faut payer les verres et tout. Des fois, il faut payer l'entrée. Il faut conduire aussi. Il faut l'essence. Il faut faire attention parce qu'il faut... Comment il s'appelle ? Le mec, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas. Enfin, organisation, machin et tout. Si tu fais des soirées chez toi, il faut aller acheter de l'alcool. L'alcool, ça coûte super cher. Une bouteille de vodka, tu as le moins pour plus de 15 à 20 balles. Enfin, tout ça, c'est de l'argent, quoi, aussi. Donc, d'un côté, tu te dis, OK, tu profites et tout, mais tu dépenses de l'argent et tout. Ce podcast, c'est peut-être un peu trop loin, mais je pense que vous me comprenez. Je pense qu'il y a d'autres manières de profiter de la vie que de... que d'aller en soirée, que en gros, genre, si je vais pas en soirée, je vais rater ma vie, non. Je suis allé voir un match de rugby il y a pas longtemps, j'ai kiffé ma journée, j'étais super content, voilà. Mais c'est pas pour autant que j'ai pas bu un verre ou une bière, que ça y est, oh là là, maman, t'es pas fun, t'es pas machin. Moi, pas fun, moi, pas fun. Alors, y'a pas plus fun que moi, y'a pas plus extravagant que moi. D'ailleurs, je suis peut-être même un peu trop extravagant. Mais par contre, moi, j'ai pas la fête tout le temps, parce que là, si j'ai fait la fête il y a quelques jours... Je vais danser comme une vraie folasse. Je vais bouger mon cul dans tous les sens. En bref, moi, c'est soit tout, soit rien. Mais ouais, je ne le fais pas comme avant parce que ça ne me plaît pas, en fait. Mais j'ai fait mon expérience, j'ai fait mon truc et voilà. Oui, je pense que j'ai fait le tour un peu du sujet. Après, c'est vrai que pour l'instant, il n'y a que des podcasts. Il n'y a que des audios en solo. Mais c'est vrai que tous ces types de sujets, ça aurait été mieux de parler avec d'autres personnes. D'autres personnes qui sont peut-être un peu plus addictes à l'alcool ou à d'autres types de substances. et d'avoir plusieurs avis, je pense que ça aurait été peut-être plus intéressant de se mettre autour d'une table et d'avoir les avis différents de différentes personnes pour combattre un peu les sujets, les avis, pour voir un peu ce que pensent les autres. Ça aurait peut-être été un peu plus intéressant. Peut-être que si jamais mon podcast marche et fonctionne, peut-être que plus tard... Je ferai un podcast, un audio en tout cas numéro 2, avec plusieurs personnes autour d'une table, plusieurs micros, et on pourra reparler du sujet, avoir les avis, débattre. Je pense que ça peut être hyper intéressant. Mais oui, je voulais vraiment rassurer les gens que si vous n'avez pas fait la fête, parce que vous ne sortez pas en soirée, on dit que vous avez raté votre vie, ne vous inquiétez pas, je vous rassure. Vous n'êtes pas la seule, vous n'êtes pas le seul. On est des milliards sur Terre. C'est juste qu'il y a une majorité qui pense ça, mais ne vous inquiétez pas, il y a une autre majorité qui pense autre chose. Et voilà. Faites votre vie, faites votre expérience. S'il y a des personnes qui ne sont pas en adéquation avec vous, c'est qu'elles ne sont peut-être pas en accord avec votre aura. Je me répète encore et encore, mais c'est vraiment pour que je bien accentuer, pour que vraiment vous compreniez. Prenez confiance en vous. Si c'est en soirée que vous ne voulez pas boire, c'est peut-être l'occasion justement de dire stop en fait. Soit t'acceptes comme je suis et tu m'acceptes parce que je veux boire juste un Schweppes et du Coca ou un jus. Si t'es pas d'accord, la soirée s'arrête là ou ciao, basta. On n'est pas fait pour être amis en gros. Wally Wally les amis ! Je vous jure j'adore tellement les podcasts que je pourrais parler avec vous pendant des heures et des heures. Je pense que j'ai fait le tour du sujet et après sinon si je continue à parler ça sera peut-être que me répéter et me répéter. Voilà les loulous. Donc du coup, n'hésitez pas à mettre une petite note, une petite étoile sur 5. Ce que vous en pensez. Par contre, n'hésitez pas à vous abonner à mon compte Instagram. C'est Timcos2909. Allez voir mon contenu parce que je suis quand même assez réactif sur Instagram. Enfin, en tout cas, j'essaye. Du coup, vous allez voir ma tête aussi. Logique. Et à la semaine prochaine pour le prochain podcast. Allez, la peace.