Description
DAM 2025 - Conseil Activo - Service Patrimoine
Avec Malika Kechich et Isabelle Roy
https://www.activo-consulting.com/fr
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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DAM 2025 - Conseil Activo - Service Patrimoine
Avec Malika Kechich et Isabelle Roy
https://www.activo-consulting.com/fr
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Bienvenue sur le podcast Activo. Dans cet épisode, Malika Kéchiche et Isabelle Roy vous présentent l'offre de services patrimoine d'Activo.
Alors d'où est venue notre idée, Malika, de vouloir lancer ce service patrimoine d'Activo ? Je crois que c'est comme une passion commune.
Depuis une paire d'années.
Voilà.
Une paire d'années où on s'est retrouvés sur des projets d'âme. Mais d'âme dans l'entreprise, c'est aussi la mémoire de l'entreprise. Et le d'âme, on a... depuis des années ensemble, ouvrer pour que cette mémoire de l'entreprise, elle intègre le DAM, mais elle l'intègre comment ? Et surtout, l'intégrer dans le DAM, c'est pour la restituer. La restituer à qui et comment ?
Souvent, on a constaté que les marques s'intéressent à leur patrimoine quand elles ont un anniversaire de marque. Un événement particulier qui va célébrer une marque, une innovation, et en fait, ce n'est pas juste à ce moment-là qu'il faut le faire. Alors c'est bien de le faire à ce moment-là, parce que ça veut dire qu'on le prend en compte, mais En fait, il faut avoir vraiment une stratégie de gestion de son patrimoine et pas le faire simplement quand on a un événement où en plus on se retrouve avec un tempo un petit peu réduit.
Et moi, je compléterais, c'est qu'on a vécu, et toi et moi, sur des anniversaires et des dates anniversaires des entreprises où c'est branle-bas de combat. On va chercher les contenus qui sont dans des formats, des supports physiques, mettre des points rouges dans ces numérisations et mettre à disposition ces contenus pour la communication autour de cet anniversaire. Ok, mais on rencontre aujourd'hui, on s'aperçoit que ces contenus-là, quand ils ont été numérisés, qu'ils ont été utilisés pour les anniversaires en question, ils sont un peu cachés, ils sont oubliés des fois. Alors que là, justement, on peut les faire revivre, leur donner une nouvelle vie et des nouveaux usages. Et alors, je reviendrai toujours, mais je reviens encore sur mon dame durable en fait. Parce que quand on met, on intègre ces contenus sur une plateforme d'âme et qu'on les réutilise, ben voilà, ça évite de recréer peut-être certains contenus et de partir sur du vrai, sur des choses qui ramènent en fait à la racine de l'entreprise.
Et en fait, dans cette offre patrimoine d'Activo que nous avons présentée à Ondam, l'idée, ça se présente un peu en trois axes. Le premier axe, il va être vraiment... C'est un peu ce qu'a dit Malika sur comment aujourd'hui je m'assure de préserver et de sauvegarder le patrimoine que j'ai.
On dit toujours que toute nouvelle production, elle fait déjà partie des archives de l'entreprise. Quand on parle patrimoine, on parle contenu, on parle archives, et pas archives où je mets sur un espace glacé et qu'on n'utilise plus du tout et qu'on ne sait plus que ça existe.
Donc en fait, on a cet enjeu de préservation et de sauvegarde qui va, par exemple, passer par des politiques de numérisation, de support physique, que nous, on va mener avec les partenaires, par exemple. Elle va, c'est ce que vient de dire Malika, passer par un deuxième volet qui va être justement d'anticiper la construction du patrimoine de demain. Donc, ça veut dire effectivement, aujourd'hui, j'ai un asset qui rentre dans la base. Quel est son cycle de vie ? À quel moment on l'archive ? Selon quels critères ? Et à quel moment il va passer d'une archive encore chaude, on va dire ? à vraiment une archive patrimoniale. C'est-à-dire, qu'est-ce qu'on va mettre en place comme règle, comme charte ? Comment on va décider qu'à un moment donné, un asset reste dans le patrimoine d'une marque ? Ça, c'est des réflexions qu'il faut avoir dès maintenant, quand on constitue son patrimoine aujourd'hui. Parce que l'idée, ce n'est pas forcément de tout garder. Il faut aussi savoir supprimer quand on est dans ces problématiques.
Et aujourd'hui, quand on intègre des assets sur une plateforme d'âme, il y a une dimension d'IP right, des droits qui sont associés. Il est vrai que les contenus patrimoine, les archives, les droits, c'est quelque chose qui est quand même plus sensible, parce que c'est des contenus anciens. On n'a en général plus les droits. Donc qui va accéder sur la plateforme d'âme à ces contenus ? Dans quelles conditions ? Dans quel format ? Et quand on veut les réutiliser, dans quelles conditions on peut les réutiliser ? Donc le d'âme qu'on met en place d'une manière globale, oui. Mais effectivement, l'intégration de ces contenus est accompagnée d'une vraie politique de cycle de vie de la STET et de la gestion des droits associés et des restrictions.
Et puis, je crois que le troisième volet qu'on peut aborder dans cette offre... d'âme patrimoine, c'est l'enjeu de la valorisation, qui est un enjeu extrêmement important et qu'on peut adresser de différentes manières. Il y a déjà un enjeu, ou une prestation plutôt, que nous pouvons faire, qui est d'aider les marques à identifier un peu les pépites, les trésors d'archives qu'elles ont dans leur fonds, avec des documentalistes qui vont cartographier un peu le fonds et savoir identifier quels sont les contenus qui vont peut-être générer le plus de valeur. les choses qu'on peut proposer. Comme a dit Malika, aider aussi au cleaning des droits, à la recherche des droits. Aider aussi à aller chercher des ressources à l'extérieur des fonds propres des entreprises, puisqu'il y a aussi des archives qui existent dans d'autres fonds, mais qui peuvent intéresser quand même une marque. Et puis, c'est tout un accompagnement éditorial, parce que qui dit patrimoine, dit valoriser ce patrimoine, le faire connaître. Et pour le faire connaître, on a souvent besoin de mettre en place une stratégie éditoriale. qui va s'exprimer à travers des dispositifs print ou digitaux. Donc ça peut être des newsletters, ça peut être utiliser le réseau social de l'entreprise pour faire connaître des archives par des postes, ça peut être des expositions, des beaux livres qui mettent en avant des archives. Mais au bout du compte, il y a cet aspect de montrer et de faire connaître, que ce soit en interne ou externe, les assets patrimoniaux d'une marque.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur activoconsulting.com
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Bienvenue sur le podcast Activo. Dans cet épisode, Malika Kéchiche et Isabelle Roy vous présentent l'offre de services patrimoine d'Activo.
Alors d'où est venue notre idée, Malika, de vouloir lancer ce service patrimoine d'Activo ? Je crois que c'est comme une passion commune.
Depuis une paire d'années.
Voilà.
Une paire d'années où on s'est retrouvés sur des projets d'âme. Mais d'âme dans l'entreprise, c'est aussi la mémoire de l'entreprise. Et le d'âme, on a... depuis des années ensemble, ouvrer pour que cette mémoire de l'entreprise, elle intègre le DAM, mais elle l'intègre comment ? Et surtout, l'intégrer dans le DAM, c'est pour la restituer. La restituer à qui et comment ?
Souvent, on a constaté que les marques s'intéressent à leur patrimoine quand elles ont un anniversaire de marque. Un événement particulier qui va célébrer une marque, une innovation, et en fait, ce n'est pas juste à ce moment-là qu'il faut le faire. Alors c'est bien de le faire à ce moment-là, parce que ça veut dire qu'on le prend en compte, mais En fait, il faut avoir vraiment une stratégie de gestion de son patrimoine et pas le faire simplement quand on a un événement où en plus on se retrouve avec un tempo un petit peu réduit.
Et moi, je compléterais, c'est qu'on a vécu, et toi et moi, sur des anniversaires et des dates anniversaires des entreprises où c'est branle-bas de combat. On va chercher les contenus qui sont dans des formats, des supports physiques, mettre des points rouges dans ces numérisations et mettre à disposition ces contenus pour la communication autour de cet anniversaire. Ok, mais on rencontre aujourd'hui, on s'aperçoit que ces contenus-là, quand ils ont été numérisés, qu'ils ont été utilisés pour les anniversaires en question, ils sont un peu cachés, ils sont oubliés des fois. Alors que là, justement, on peut les faire revivre, leur donner une nouvelle vie et des nouveaux usages. Et alors, je reviendrai toujours, mais je reviens encore sur mon dame durable en fait. Parce que quand on met, on intègre ces contenus sur une plateforme d'âme et qu'on les réutilise, ben voilà, ça évite de recréer peut-être certains contenus et de partir sur du vrai, sur des choses qui ramènent en fait à la racine de l'entreprise.
Et en fait, dans cette offre patrimoine d'Activo que nous avons présentée à Ondam, l'idée, ça se présente un peu en trois axes. Le premier axe, il va être vraiment... C'est un peu ce qu'a dit Malika sur comment aujourd'hui je m'assure de préserver et de sauvegarder le patrimoine que j'ai.
On dit toujours que toute nouvelle production, elle fait déjà partie des archives de l'entreprise. Quand on parle patrimoine, on parle contenu, on parle archives, et pas archives où je mets sur un espace glacé et qu'on n'utilise plus du tout et qu'on ne sait plus que ça existe.
Donc en fait, on a cet enjeu de préservation et de sauvegarde qui va, par exemple, passer par des politiques de numérisation, de support physique, que nous, on va mener avec les partenaires, par exemple. Elle va, c'est ce que vient de dire Malika, passer par un deuxième volet qui va être justement d'anticiper la construction du patrimoine de demain. Donc, ça veut dire effectivement, aujourd'hui, j'ai un asset qui rentre dans la base. Quel est son cycle de vie ? À quel moment on l'archive ? Selon quels critères ? Et à quel moment il va passer d'une archive encore chaude, on va dire ? à vraiment une archive patrimoniale. C'est-à-dire, qu'est-ce qu'on va mettre en place comme règle, comme charte ? Comment on va décider qu'à un moment donné, un asset reste dans le patrimoine d'une marque ? Ça, c'est des réflexions qu'il faut avoir dès maintenant, quand on constitue son patrimoine aujourd'hui. Parce que l'idée, ce n'est pas forcément de tout garder. Il faut aussi savoir supprimer quand on est dans ces problématiques.
Et aujourd'hui, quand on intègre des assets sur une plateforme d'âme, il y a une dimension d'IP right, des droits qui sont associés. Il est vrai que les contenus patrimoine, les archives, les droits, c'est quelque chose qui est quand même plus sensible, parce que c'est des contenus anciens. On n'a en général plus les droits. Donc qui va accéder sur la plateforme d'âme à ces contenus ? Dans quelles conditions ? Dans quel format ? Et quand on veut les réutiliser, dans quelles conditions on peut les réutiliser ? Donc le d'âme qu'on met en place d'une manière globale, oui. Mais effectivement, l'intégration de ces contenus est accompagnée d'une vraie politique de cycle de vie de la STET et de la gestion des droits associés et des restrictions.
Et puis, je crois que le troisième volet qu'on peut aborder dans cette offre... d'âme patrimoine, c'est l'enjeu de la valorisation, qui est un enjeu extrêmement important et qu'on peut adresser de différentes manières. Il y a déjà un enjeu, ou une prestation plutôt, que nous pouvons faire, qui est d'aider les marques à identifier un peu les pépites, les trésors d'archives qu'elles ont dans leur fonds, avec des documentalistes qui vont cartographier un peu le fonds et savoir identifier quels sont les contenus qui vont peut-être générer le plus de valeur. les choses qu'on peut proposer. Comme a dit Malika, aider aussi au cleaning des droits, à la recherche des droits. Aider aussi à aller chercher des ressources à l'extérieur des fonds propres des entreprises, puisqu'il y a aussi des archives qui existent dans d'autres fonds, mais qui peuvent intéresser quand même une marque. Et puis, c'est tout un accompagnement éditorial, parce que qui dit patrimoine, dit valoriser ce patrimoine, le faire connaître. Et pour le faire connaître, on a souvent besoin de mettre en place une stratégie éditoriale. qui va s'exprimer à travers des dispositifs print ou digitaux. Donc ça peut être des newsletters, ça peut être utiliser le réseau social de l'entreprise pour faire connaître des archives par des postes, ça peut être des expositions, des beaux livres qui mettent en avant des archives. Mais au bout du compte, il y a cet aspect de montrer et de faire connaître, que ce soit en interne ou externe, les assets patrimoniaux d'une marque.
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Bienvenue sur le podcast Activo. Dans cet épisode, Malika Kéchiche et Isabelle Roy vous présentent l'offre de services patrimoine d'Activo.
Alors d'où est venue notre idée, Malika, de vouloir lancer ce service patrimoine d'Activo ? Je crois que c'est comme une passion commune.
Depuis une paire d'années.
Voilà.
Une paire d'années où on s'est retrouvés sur des projets d'âme. Mais d'âme dans l'entreprise, c'est aussi la mémoire de l'entreprise. Et le d'âme, on a... depuis des années ensemble, ouvrer pour que cette mémoire de l'entreprise, elle intègre le DAM, mais elle l'intègre comment ? Et surtout, l'intégrer dans le DAM, c'est pour la restituer. La restituer à qui et comment ?
Souvent, on a constaté que les marques s'intéressent à leur patrimoine quand elles ont un anniversaire de marque. Un événement particulier qui va célébrer une marque, une innovation, et en fait, ce n'est pas juste à ce moment-là qu'il faut le faire. Alors c'est bien de le faire à ce moment-là, parce que ça veut dire qu'on le prend en compte, mais En fait, il faut avoir vraiment une stratégie de gestion de son patrimoine et pas le faire simplement quand on a un événement où en plus on se retrouve avec un tempo un petit peu réduit.
Et moi, je compléterais, c'est qu'on a vécu, et toi et moi, sur des anniversaires et des dates anniversaires des entreprises où c'est branle-bas de combat. On va chercher les contenus qui sont dans des formats, des supports physiques, mettre des points rouges dans ces numérisations et mettre à disposition ces contenus pour la communication autour de cet anniversaire. Ok, mais on rencontre aujourd'hui, on s'aperçoit que ces contenus-là, quand ils ont été numérisés, qu'ils ont été utilisés pour les anniversaires en question, ils sont un peu cachés, ils sont oubliés des fois. Alors que là, justement, on peut les faire revivre, leur donner une nouvelle vie et des nouveaux usages. Et alors, je reviendrai toujours, mais je reviens encore sur mon dame durable en fait. Parce que quand on met, on intègre ces contenus sur une plateforme d'âme et qu'on les réutilise, ben voilà, ça évite de recréer peut-être certains contenus et de partir sur du vrai, sur des choses qui ramènent en fait à la racine de l'entreprise.
Et en fait, dans cette offre patrimoine d'Activo que nous avons présentée à Ondam, l'idée, ça se présente un peu en trois axes. Le premier axe, il va être vraiment... C'est un peu ce qu'a dit Malika sur comment aujourd'hui je m'assure de préserver et de sauvegarder le patrimoine que j'ai.
On dit toujours que toute nouvelle production, elle fait déjà partie des archives de l'entreprise. Quand on parle patrimoine, on parle contenu, on parle archives, et pas archives où je mets sur un espace glacé et qu'on n'utilise plus du tout et qu'on ne sait plus que ça existe.
Donc en fait, on a cet enjeu de préservation et de sauvegarde qui va, par exemple, passer par des politiques de numérisation, de support physique, que nous, on va mener avec les partenaires, par exemple. Elle va, c'est ce que vient de dire Malika, passer par un deuxième volet qui va être justement d'anticiper la construction du patrimoine de demain. Donc, ça veut dire effectivement, aujourd'hui, j'ai un asset qui rentre dans la base. Quel est son cycle de vie ? À quel moment on l'archive ? Selon quels critères ? Et à quel moment il va passer d'une archive encore chaude, on va dire ? à vraiment une archive patrimoniale. C'est-à-dire, qu'est-ce qu'on va mettre en place comme règle, comme charte ? Comment on va décider qu'à un moment donné, un asset reste dans le patrimoine d'une marque ? Ça, c'est des réflexions qu'il faut avoir dès maintenant, quand on constitue son patrimoine aujourd'hui. Parce que l'idée, ce n'est pas forcément de tout garder. Il faut aussi savoir supprimer quand on est dans ces problématiques.
Et aujourd'hui, quand on intègre des assets sur une plateforme d'âme, il y a une dimension d'IP right, des droits qui sont associés. Il est vrai que les contenus patrimoine, les archives, les droits, c'est quelque chose qui est quand même plus sensible, parce que c'est des contenus anciens. On n'a en général plus les droits. Donc qui va accéder sur la plateforme d'âme à ces contenus ? Dans quelles conditions ? Dans quel format ? Et quand on veut les réutiliser, dans quelles conditions on peut les réutiliser ? Donc le d'âme qu'on met en place d'une manière globale, oui. Mais effectivement, l'intégration de ces contenus est accompagnée d'une vraie politique de cycle de vie de la STET et de la gestion des droits associés et des restrictions.
Et puis, je crois que le troisième volet qu'on peut aborder dans cette offre... d'âme patrimoine, c'est l'enjeu de la valorisation, qui est un enjeu extrêmement important et qu'on peut adresser de différentes manières. Il y a déjà un enjeu, ou une prestation plutôt, que nous pouvons faire, qui est d'aider les marques à identifier un peu les pépites, les trésors d'archives qu'elles ont dans leur fonds, avec des documentalistes qui vont cartographier un peu le fonds et savoir identifier quels sont les contenus qui vont peut-être générer le plus de valeur. les choses qu'on peut proposer. Comme a dit Malika, aider aussi au cleaning des droits, à la recherche des droits. Aider aussi à aller chercher des ressources à l'extérieur des fonds propres des entreprises, puisqu'il y a aussi des archives qui existent dans d'autres fonds, mais qui peuvent intéresser quand même une marque. Et puis, c'est tout un accompagnement éditorial, parce que qui dit patrimoine, dit valoriser ce patrimoine, le faire connaître. Et pour le faire connaître, on a souvent besoin de mettre en place une stratégie éditoriale. qui va s'exprimer à travers des dispositifs print ou digitaux. Donc ça peut être des newsletters, ça peut être utiliser le réseau social de l'entreprise pour faire connaître des archives par des postes, ça peut être des expositions, des beaux livres qui mettent en avant des archives. Mais au bout du compte, il y a cet aspect de montrer et de faire connaître, que ce soit en interne ou externe, les assets patrimoniaux d'une marque.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur activoconsulting.com
Description
DAM 2025 - Conseil Activo - Service Patrimoine
Avec Malika Kechich et Isabelle Roy
https://www.activo-consulting.com/fr
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Bienvenue sur le podcast Activo. Dans cet épisode, Malika Kéchiche et Isabelle Roy vous présentent l'offre de services patrimoine d'Activo.
Alors d'où est venue notre idée, Malika, de vouloir lancer ce service patrimoine d'Activo ? Je crois que c'est comme une passion commune.
Depuis une paire d'années.
Voilà.
Une paire d'années où on s'est retrouvés sur des projets d'âme. Mais d'âme dans l'entreprise, c'est aussi la mémoire de l'entreprise. Et le d'âme, on a... depuis des années ensemble, ouvrer pour que cette mémoire de l'entreprise, elle intègre le DAM, mais elle l'intègre comment ? Et surtout, l'intégrer dans le DAM, c'est pour la restituer. La restituer à qui et comment ?
Souvent, on a constaté que les marques s'intéressent à leur patrimoine quand elles ont un anniversaire de marque. Un événement particulier qui va célébrer une marque, une innovation, et en fait, ce n'est pas juste à ce moment-là qu'il faut le faire. Alors c'est bien de le faire à ce moment-là, parce que ça veut dire qu'on le prend en compte, mais En fait, il faut avoir vraiment une stratégie de gestion de son patrimoine et pas le faire simplement quand on a un événement où en plus on se retrouve avec un tempo un petit peu réduit.
Et moi, je compléterais, c'est qu'on a vécu, et toi et moi, sur des anniversaires et des dates anniversaires des entreprises où c'est branle-bas de combat. On va chercher les contenus qui sont dans des formats, des supports physiques, mettre des points rouges dans ces numérisations et mettre à disposition ces contenus pour la communication autour de cet anniversaire. Ok, mais on rencontre aujourd'hui, on s'aperçoit que ces contenus-là, quand ils ont été numérisés, qu'ils ont été utilisés pour les anniversaires en question, ils sont un peu cachés, ils sont oubliés des fois. Alors que là, justement, on peut les faire revivre, leur donner une nouvelle vie et des nouveaux usages. Et alors, je reviendrai toujours, mais je reviens encore sur mon dame durable en fait. Parce que quand on met, on intègre ces contenus sur une plateforme d'âme et qu'on les réutilise, ben voilà, ça évite de recréer peut-être certains contenus et de partir sur du vrai, sur des choses qui ramènent en fait à la racine de l'entreprise.
Et en fait, dans cette offre patrimoine d'Activo que nous avons présentée à Ondam, l'idée, ça se présente un peu en trois axes. Le premier axe, il va être vraiment... C'est un peu ce qu'a dit Malika sur comment aujourd'hui je m'assure de préserver et de sauvegarder le patrimoine que j'ai.
On dit toujours que toute nouvelle production, elle fait déjà partie des archives de l'entreprise. Quand on parle patrimoine, on parle contenu, on parle archives, et pas archives où je mets sur un espace glacé et qu'on n'utilise plus du tout et qu'on ne sait plus que ça existe.
Donc en fait, on a cet enjeu de préservation et de sauvegarde qui va, par exemple, passer par des politiques de numérisation, de support physique, que nous, on va mener avec les partenaires, par exemple. Elle va, c'est ce que vient de dire Malika, passer par un deuxième volet qui va être justement d'anticiper la construction du patrimoine de demain. Donc, ça veut dire effectivement, aujourd'hui, j'ai un asset qui rentre dans la base. Quel est son cycle de vie ? À quel moment on l'archive ? Selon quels critères ? Et à quel moment il va passer d'une archive encore chaude, on va dire ? à vraiment une archive patrimoniale. C'est-à-dire, qu'est-ce qu'on va mettre en place comme règle, comme charte ? Comment on va décider qu'à un moment donné, un asset reste dans le patrimoine d'une marque ? Ça, c'est des réflexions qu'il faut avoir dès maintenant, quand on constitue son patrimoine aujourd'hui. Parce que l'idée, ce n'est pas forcément de tout garder. Il faut aussi savoir supprimer quand on est dans ces problématiques.
Et aujourd'hui, quand on intègre des assets sur une plateforme d'âme, il y a une dimension d'IP right, des droits qui sont associés. Il est vrai que les contenus patrimoine, les archives, les droits, c'est quelque chose qui est quand même plus sensible, parce que c'est des contenus anciens. On n'a en général plus les droits. Donc qui va accéder sur la plateforme d'âme à ces contenus ? Dans quelles conditions ? Dans quel format ? Et quand on veut les réutiliser, dans quelles conditions on peut les réutiliser ? Donc le d'âme qu'on met en place d'une manière globale, oui. Mais effectivement, l'intégration de ces contenus est accompagnée d'une vraie politique de cycle de vie de la STET et de la gestion des droits associés et des restrictions.
Et puis, je crois que le troisième volet qu'on peut aborder dans cette offre... d'âme patrimoine, c'est l'enjeu de la valorisation, qui est un enjeu extrêmement important et qu'on peut adresser de différentes manières. Il y a déjà un enjeu, ou une prestation plutôt, que nous pouvons faire, qui est d'aider les marques à identifier un peu les pépites, les trésors d'archives qu'elles ont dans leur fonds, avec des documentalistes qui vont cartographier un peu le fonds et savoir identifier quels sont les contenus qui vont peut-être générer le plus de valeur. les choses qu'on peut proposer. Comme a dit Malika, aider aussi au cleaning des droits, à la recherche des droits. Aider aussi à aller chercher des ressources à l'extérieur des fonds propres des entreprises, puisqu'il y a aussi des archives qui existent dans d'autres fonds, mais qui peuvent intéresser quand même une marque. Et puis, c'est tout un accompagnement éditorial, parce que qui dit patrimoine, dit valoriser ce patrimoine, le faire connaître. Et pour le faire connaître, on a souvent besoin de mettre en place une stratégie éditoriale. qui va s'exprimer à travers des dispositifs print ou digitaux. Donc ça peut être des newsletters, ça peut être utiliser le réseau social de l'entreprise pour faire connaître des archives par des postes, ça peut être des expositions, des beaux livres qui mettent en avant des archives. Mais au bout du compte, il y a cet aspect de montrer et de faire connaître, que ce soit en interne ou externe, les assets patrimoniaux d'une marque.
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