Description
DAM 2025 - Conseils Activo - Gestion de Contenu
avec Heloise Verstraete
https://www.activo-consulting.com/fr
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Description
DAM 2025 - Conseils Activo - Gestion de Contenu
avec Heloise Verstraete
https://www.activo-consulting.com/fr
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Bienvenue sur le podcast Activo. Vous écoutez une interview avec Héloïse, chef de projet d'âme du cabinet de conseil Activo autour du service de gestion de contenu.
Le service de gestion de contenu proposé par Activo, c'est la garantie de la centralisation, de l'enrichissement et de la distribution de vos assets numériques tout en garantissant la fiabilité des données et le partage au sein de votre organisation.
Pourquoi j'ai besoin de ce service alors que j'ai déjà un d'âme ? qui gère mon contenu ?
On a forcément besoin d'un documentaliste, surtout qu'aujourd'hui, on produit de plus en plus de contenu et le contenu a besoin d'être distribué de plus en plus rapidement. Donc, il faut forcément quelqu'un qui soit la référente, le référent de la plateforme du DAM et qui soit présent pour enrichir le DAM, qui soit là pour déposer du contenu, enrichir les métadonnées, publier les assets numériques en temps voulu. qui soit là pour répondre aux questions des utilisateurs, une personne qui soit là durant tout le cycle de vie de l'asset, de son dépôt sur le DAM jusqu'à son archivage, pour garantir que l'asset soit distribué tant que les droits sont encore en cours.
En quoi l'offre de services d'Activo se distingue-t-elle ?
La force de l'offre de services d'Activo, c'est que vous pouvez avoir besoin parfois d'un documentaliste sur un temps, par exemple, deux jours par semaine, une fois par mois. ou aussi pour un temps précis, pendant trois mois, pendant un an, sur place, en télétravail. Donc ça, c'est un peu la flexibilité qu'Activo peut proposer. Et surtout que nous, on a des équipes de documentalistes expérimentés qui ont l'habitude de travailler sur plusieurs systèmes d'âmes différents, dans plusieurs types d'entreprises, types d'organisations, avec des assets aussi, des typologies d'assets numériques différents.
Comment la gestion de contenu évolue-t-elle avec l'intelligence artificielle ?
L'intelligence artificielle, elle avance pour le DAM, mais il reste encore beaucoup de choses à challenger. Et c'est un peu le rôle du documentaliste, justement, de challenger cette intelligence artificielle. Il va pouvoir voir ce qui fonctionne sur le DAM, mais ce qui ne fonctionne pas, alerter quand ça ne fonctionne pas pour pouvoir toujours garantir l'information, la véracité de l'information. Aujourd'hui, l'intelligence artificielle aide le documentaliste dans son travail, elle peut aider. Il sera toujours important qu'il y ait un œil et une rigueur humaine qui s'adaptent à un contexte d'entreprise.
Tu peux nous donner un exemple des limites de l'intelligence artificielle dans la gestion des contenus ?
C'était super important pour un cas concret qu'on ait une équipe de documentalistes pour un client. qui travaillent dans le domaine maritime, etc. On avait utilisé l'intelligence artificielle pour de l'auto-tagging. Et en fait, ça n'a pas du tout fonctionné parce que l'intelligence artificielle n'arrivait pas à s'adapter au vocabulaire métier. Donc, je vous donne un exemple tout bête. L'intelligence artificielle taguait bridge en anglais pour parler d'un pont. Sauf que nous, on parlait d'un pont, d'un navire. Donc, ce n'était pas le même mot. C'était le mot deck. L'intelligence artificielle n'arrivait pas à faire la différence entre un pont de navire et un pont classique. Et du coup, la documentaliste, elle, elle était là pour déjà détecter l'erreur, alerter à ce niveau-là et reprendre l'information quand elle était fausse.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur activo-consulting.com
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Pourquoi j'ai besoin de ce service alors que j'ai déjà un d'âme ? qui gère mon contenu ?
On a forcément besoin d'un documentaliste, surtout qu'aujourd'hui, on produit de plus en plus de contenu et le contenu a besoin d'être distribué de plus en plus rapidement. Donc, il faut forcément quelqu'un qui soit la référente, le référent de la plateforme du DAM et qui soit présent pour enrichir le DAM, qui soit là pour déposer du contenu, enrichir les métadonnées, publier les assets numériques en temps voulu. qui soit là pour répondre aux questions des utilisateurs, une personne qui soit là durant tout le cycle de vie de l'asset, de son dépôt sur le DAM jusqu'à son archivage, pour garantir que l'asset soit distribué tant que les droits sont encore en cours.
En quoi l'offre de services d'Activo se distingue-t-elle ?
La force de l'offre de services d'Activo, c'est que vous pouvez avoir besoin parfois d'un documentaliste sur un temps, par exemple, deux jours par semaine, une fois par mois. ou aussi pour un temps précis, pendant trois mois, pendant un an, sur place, en télétravail. Donc ça, c'est un peu la flexibilité qu'Activo peut proposer. Et surtout que nous, on a des équipes de documentalistes expérimentés qui ont l'habitude de travailler sur plusieurs systèmes d'âmes différents, dans plusieurs types d'entreprises, types d'organisations, avec des assets aussi, des typologies d'assets numériques différents.
Comment la gestion de contenu évolue-t-elle avec l'intelligence artificielle ?
L'intelligence artificielle, elle avance pour le DAM, mais il reste encore beaucoup de choses à challenger. Et c'est un peu le rôle du documentaliste, justement, de challenger cette intelligence artificielle. Il va pouvoir voir ce qui fonctionne sur le DAM, mais ce qui ne fonctionne pas, alerter quand ça ne fonctionne pas pour pouvoir toujours garantir l'information, la véracité de l'information. Aujourd'hui, l'intelligence artificielle aide le documentaliste dans son travail, elle peut aider. Il sera toujours important qu'il y ait un œil et une rigueur humaine qui s'adaptent à un contexte d'entreprise.
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C'était super important pour un cas concret qu'on ait une équipe de documentalistes pour un client. qui travaillent dans le domaine maritime, etc. On avait utilisé l'intelligence artificielle pour de l'auto-tagging. Et en fait, ça n'a pas du tout fonctionné parce que l'intelligence artificielle n'arrivait pas à s'adapter au vocabulaire métier. Donc, je vous donne un exemple tout bête. L'intelligence artificielle taguait bridge en anglais pour parler d'un pont. Sauf que nous, on parlait d'un pont, d'un navire. Donc, ce n'était pas le même mot. C'était le mot deck. L'intelligence artificielle n'arrivait pas à faire la différence entre un pont de navire et un pont classique. Et du coup, la documentaliste, elle, elle était là pour déjà détecter l'erreur, alerter à ce niveau-là et reprendre l'information quand elle était fausse.
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Pourquoi j'ai besoin de ce service alors que j'ai déjà un d'âme ? qui gère mon contenu ?
On a forcément besoin d'un documentaliste, surtout qu'aujourd'hui, on produit de plus en plus de contenu et le contenu a besoin d'être distribué de plus en plus rapidement. Donc, il faut forcément quelqu'un qui soit la référente, le référent de la plateforme du DAM et qui soit présent pour enrichir le DAM, qui soit là pour déposer du contenu, enrichir les métadonnées, publier les assets numériques en temps voulu. qui soit là pour répondre aux questions des utilisateurs, une personne qui soit là durant tout le cycle de vie de l'asset, de son dépôt sur le DAM jusqu'à son archivage, pour garantir que l'asset soit distribué tant que les droits sont encore en cours.
En quoi l'offre de services d'Activo se distingue-t-elle ?
La force de l'offre de services d'Activo, c'est que vous pouvez avoir besoin parfois d'un documentaliste sur un temps, par exemple, deux jours par semaine, une fois par mois. ou aussi pour un temps précis, pendant trois mois, pendant un an, sur place, en télétravail. Donc ça, c'est un peu la flexibilité qu'Activo peut proposer. Et surtout que nous, on a des équipes de documentalistes expérimentés qui ont l'habitude de travailler sur plusieurs systèmes d'âmes différents, dans plusieurs types d'entreprises, types d'organisations, avec des assets aussi, des typologies d'assets numériques différents.
Comment la gestion de contenu évolue-t-elle avec l'intelligence artificielle ?
L'intelligence artificielle, elle avance pour le DAM, mais il reste encore beaucoup de choses à challenger. Et c'est un peu le rôle du documentaliste, justement, de challenger cette intelligence artificielle. Il va pouvoir voir ce qui fonctionne sur le DAM, mais ce qui ne fonctionne pas, alerter quand ça ne fonctionne pas pour pouvoir toujours garantir l'information, la véracité de l'information. Aujourd'hui, l'intelligence artificielle aide le documentaliste dans son travail, elle peut aider. Il sera toujours important qu'il y ait un œil et une rigueur humaine qui s'adaptent à un contexte d'entreprise.
Tu peux nous donner un exemple des limites de l'intelligence artificielle dans la gestion des contenus ?
C'était super important pour un cas concret qu'on ait une équipe de documentalistes pour un client. qui travaillent dans le domaine maritime, etc. On avait utilisé l'intelligence artificielle pour de l'auto-tagging. Et en fait, ça n'a pas du tout fonctionné parce que l'intelligence artificielle n'arrivait pas à s'adapter au vocabulaire métier. Donc, je vous donne un exemple tout bête. L'intelligence artificielle taguait bridge en anglais pour parler d'un pont. Sauf que nous, on parlait d'un pont, d'un navire. Donc, ce n'était pas le même mot. C'était le mot deck. L'intelligence artificielle n'arrivait pas à faire la différence entre un pont de navire et un pont classique. Et du coup, la documentaliste, elle, elle était là pour déjà détecter l'erreur, alerter à ce niveau-là et reprendre l'information quand elle était fausse.
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Pourquoi j'ai besoin de ce service alors que j'ai déjà un d'âme ? qui gère mon contenu ?
On a forcément besoin d'un documentaliste, surtout qu'aujourd'hui, on produit de plus en plus de contenu et le contenu a besoin d'être distribué de plus en plus rapidement. Donc, il faut forcément quelqu'un qui soit la référente, le référent de la plateforme du DAM et qui soit présent pour enrichir le DAM, qui soit là pour déposer du contenu, enrichir les métadonnées, publier les assets numériques en temps voulu. qui soit là pour répondre aux questions des utilisateurs, une personne qui soit là durant tout le cycle de vie de l'asset, de son dépôt sur le DAM jusqu'à son archivage, pour garantir que l'asset soit distribué tant que les droits sont encore en cours.
En quoi l'offre de services d'Activo se distingue-t-elle ?
La force de l'offre de services d'Activo, c'est que vous pouvez avoir besoin parfois d'un documentaliste sur un temps, par exemple, deux jours par semaine, une fois par mois. ou aussi pour un temps précis, pendant trois mois, pendant un an, sur place, en télétravail. Donc ça, c'est un peu la flexibilité qu'Activo peut proposer. Et surtout que nous, on a des équipes de documentalistes expérimentés qui ont l'habitude de travailler sur plusieurs systèmes d'âmes différents, dans plusieurs types d'entreprises, types d'organisations, avec des assets aussi, des typologies d'assets numériques différents.
Comment la gestion de contenu évolue-t-elle avec l'intelligence artificielle ?
L'intelligence artificielle, elle avance pour le DAM, mais il reste encore beaucoup de choses à challenger. Et c'est un peu le rôle du documentaliste, justement, de challenger cette intelligence artificielle. Il va pouvoir voir ce qui fonctionne sur le DAM, mais ce qui ne fonctionne pas, alerter quand ça ne fonctionne pas pour pouvoir toujours garantir l'information, la véracité de l'information. Aujourd'hui, l'intelligence artificielle aide le documentaliste dans son travail, elle peut aider. Il sera toujours important qu'il y ait un œil et une rigueur humaine qui s'adaptent à un contexte d'entreprise.
Tu peux nous donner un exemple des limites de l'intelligence artificielle dans la gestion des contenus ?
C'était super important pour un cas concret qu'on ait une équipe de documentalistes pour un client. qui travaillent dans le domaine maritime, etc. On avait utilisé l'intelligence artificielle pour de l'auto-tagging. Et en fait, ça n'a pas du tout fonctionné parce que l'intelligence artificielle n'arrivait pas à s'adapter au vocabulaire métier. Donc, je vous donne un exemple tout bête. L'intelligence artificielle taguait bridge en anglais pour parler d'un pont. Sauf que nous, on parlait d'un pont, d'un navire. Donc, ce n'était pas le même mot. C'était le mot deck. L'intelligence artificielle n'arrivait pas à faire la différence entre un pont de navire et un pont classique. Et du coup, la documentaliste, elle, elle était là pour déjà détecter l'erreur, alerter à ce niveau-là et reprendre l'information quand elle était fausse.
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