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ACTIVO - DAM ( Digital Asset Management) - FR

DAM 2025 - Webinaire DAM avec Wedia et Archimag

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47min |08/06/2025|

4

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Transcription

  • Speaker #0

    Nous avons le plaisir de recevoir Malika Keshish et Frédéric Sanuy d'Activo. Bonjour à tous les deux.

  • Speaker #1

    Bonjour. Bonjour Fabien, bonjour à tous.

  • Speaker #0

    Bien entendu, Sébastien Bardos du groupe Vedia. Bonjour Sébastien.

  • Speaker #2

    Bonjour Fabien, bonjour à tous.

  • Speaker #1

    Bonjour Sébastien.

  • Speaker #0

    Alors je vous donne la parole peut-être pour présenter un petit peu vos sociétés respectives et je crois qu'on peut commencer avec toi Sébastien.

  • Speaker #2

    Oui, donc Vedia, c'est un éditeur de logiciels d'âme qui fournit une interface intuitive d'énorme capacité de personnalisation. On est sur le marché du dame depuis une dizaine d'années et on travaille avec des clients de grands comptes et de taille intermédiaire. sur tout secteur d'activité, allant du retail à la banque, en passant par l'industrie. Quelques références, Decathlon, Crédit Agricole, Cofeld pour les matelas, par exemple. Pour ce qui est de ma part, je suis Sébastien Bardos, je suis directeur commercial chez Vedia, où je travaille depuis environ 9 ans.

  • Speaker #0

    Et vous continuez peut-être avec Activo ?

  • Speaker #1

    Parfait. Activo est un cabinet de conseil en transformation digitale avec une spécificité où on travaille vraiment autour du flux photo et vidéo des entreprises. Donc, on est expert sur la recherche de solutions, sur le déploiement de solutions et sur la gestion au quotidien de plateformes PIMDAM et CMS. Et on est ravi de participer à ce webinaire.

  • Speaker #0

    Et on est ravis, bien entendu, de vous recevoir. Je crois que vous vouliez aussi nous parler un petit peu d'autres sujets, de plateformes. Oui.

  • Speaker #3

    Frédéric ? Oui. Encore à tous, effectivement. Et puis, je rajouterais un petit peu, c'est un peu le leitmotiv aujourd'hui, c'est qu'on a une approche agnostique, puisqu'on le dit souvent, il n'y a pas des clients, mais il n'y a pas une solution, mais des solutions. Et en fait, finalement, quand on essaie de... de retracer le parcours client. Le parcours client, il démarre par, effectivement, la requête de la recherche des besoins, l'écriture de ces besoins autour d'ateliers de coworking, trouver une solution, qu'elle soit Damping, CMS, et on verra un petit peu le pourquoi de ces trois besoins et quelle est leur implication à l'échelle de l'entreprise. Et puis, dans tout ce qui est aussi déploiement, parce que là aussi, on aime accompagner les clients dans la réalisation de ces beaux projets Damp, notamment. avec de la gestion de contenu. On va parler d'IA, mais effectivement, l'IA, elle a aussi beaucoup d'humains pour contrôler le vocabulaire. Et ce slide, finalement, résume relativement bien un petit peu notre approche. Le bilan de santé, parce que là aussi, peut-être souvent un petit peu à tort, en France, on est à vouloir remplacer la solution au gré de mutations d'équipes, etc. Donc là aussi, notre adage, il est véritablement 95% de process et people et 5% de technologie. Avant de changer, on prend le temps, on examine, on regarde un petit peu les souffrances possibles. Et puis après, vous avez toute une série de services qui vont, comme je le disais, du RSI, la gestion de projet, la migration de vos médias, s'occuper des droits et des usages, gérer du patrimoine, et le tout avec une politique, un accompagnement dédié et personnalisé.

  • Speaker #1

    Actibo, c'est une quinzaine de personnes. Aujourd'hui avec des profils différents, on a des experts, on a des chefs de projet, on a des content managers et c'est cet ensemble aujourd'hui qui arrive à répondre aux besoins de nos différents clients qui sont multi secteurs d'activité.

  • Speaker #3

    Alors DAMNEWS là aussi c'est important, c'est une étape dans la vie d'Activo à l'acquisition du site il y a deux ans avec un site qui était anglo-saxon avec la publication d'un livre référent qui est l'entreprise DAMNGuide. qui référence à 516 solutions sur le marché, 500 pages. Donc là, vous pouvez aller sur le site précédent et qui est marqué en dessous avec un QR code, mais je crois que vous aurez une agrégation de liens par la suite. Et puis, on est en France, et puis en France, c'est le pays des lumières et aussi des idées. Donc, il nous paraissait indispensable, en tout cas, de faire une déclinaison française qui vient d'être lancée, d'amnews.fr. Donc là, c'est très simple dans l'URL. Et là, vous allez pouvoir retrouver notamment une présentation d'une quinzaine d'éditeurs qui ont une solution qui est en français avec des équipes en français. Donc du coup, on est dans un cadre plus restreint. Et là aussi, c'est une affaire de contenu avec un ensemble de contenus aussi bien d'articles, de fonds, de vidéos, de témoignages. Voilà, donc ça, c'est notre grand projet d'année qui vient de s'être lancé.

  • Speaker #0

    Super, merci à tous pour ces présentations. Alors, je vous propose effectivement qu'on se lance vraiment dans le vif du sujet. Avant ça, je vais lancer un petit sondage auquel nos participants vont pouvoir répondre pour nous indiquer un petit peu si aujourd'hui ils sont équipés ou pas d'une solution de DANE et si oui, de plus. combien de temps et pendant que je fais ça je me tourne vers toi Sébastien au hasard peut-être pour poser quelques bases autour du DAM qu'est ce que c'est concrètement et à quoi ça sert ?

  • Speaker #2

    En effet merci merci Fabien de poser la question c'est essentiel de revenir sur les basiques donc l'objectif d'un DAM c'est naturellement de gérer les médias alors quand on parle de médias on parle de plusieurs choses des images des vidéos des photos des médias plus modernes type 3d 360 Donc l'objectif du DAM, c'est de pouvoir être en capacité de stocker, partager de manière sécurisée l'ensemble de ses assets, quels qu'ils soient, et s'intégrer à un écosystème qui est l'écosystème d'entreprise et les différents outils qui s'y trouvent. On verra ça un peu plus tard dans la présentation. L'autre enjeu du DAM, c'est essentiel aujourd'hui, c'est tout ce qui a trait à la sobriété digitale, donc faire en sorte que les bons médias soient utilisés et... et qu'on ne rentre pas dans une situation où on dispose de trop de médias qui sont inutiles et qui génèrent une empreinte écologique qui soit néfaste pour la planète. Donc le DAM, c'est finalement un outil qui est multi-objectif, la gestion des assets, la diffusion, le partage, et puis l'optimisation de ces différents contenus.

  • Speaker #1

    Alors il y a une phrase qui résume le DAM, et qui est de dire que le DAM permet de distribuer le bon asset. aux bonnes personnes, au bon moment, dans le bon format et sur le bon support. Donc ça résume le fait de dire, quand on a des assets et qu'on a besoin de les centraliser, n'importe solution, oui, on peut avoir un dossier, on peut le déposer quelque part, on peut le déposer sur des dossiers partagés, pour autant, ce n'est pas une solution d'âme. Et je pense que ce que j'aime bien aussi sur la slide précédente de Sébastien, c'est cette sobriété numérique, en fait. Parce qu'une des fonctionnalités aujourd'hui qu'on retrouve au niveau du d'âme, c'est justement de distribuer le bon format de mon asset sur le bon support en adéquation. Je ne charge pas un fichier type qui pèse 2 gigas sur un PowerPoint, ça n'a pas de sens et ça n'apportera pas plus. Donc ça, c'est des choses qui sont vraiment très importantes à mentionner et c'est vraiment des spécificités aujourd'hui. Nous, en tous les cas, on voit côté besoin utilisateur et côté éditeur de solutions. Donc là, c'est un schéma qui résume aussi, parce que le DAM, c'est aussi la gestion du cycle de vie des médias. Il ne s'agit pas de prendre tous ces assets et pendant 5 ans, 10 ans, 20 ans, 30 ans, alimenter tout sur même plateforme. À un moment donné, je gère le cycle de vie de l'asset. Le DAM permet de centraliser et d'importer des assets, Sébastien l'a très bien dit, de tout type de format, la photo, la vidéo, les artworks, les objets 3D de plus en plus, etc. de les centraliser, de les cataloguer, de les indexer, de les classer avec des métadonnées, de faire appel à l'IA par rapport à ça qui peut aider, et de connecter cette plateforme pour pouvoir redistribuer ses assets sur les fameux bons supports. Donc ça peut être du web, des sites internet, des réseaux sociaux, du print, de la télé, des mobiles, des applications dans les boutiques, etc. Mais tout ça, c'est aussi la gestion du cycle de vie. À un moment donné, quand l'asset n'est plus actif, quand le produit qui est représenté par les assets n'est plus actif, qu'est-ce qu'on fait de ces assets au niveau de l'entreprise ? Évidemment, la solution, ce n'est pas juste de dire je les supprime, ce n'est pas le sujet, mais c'est de penser justement à ce cycle de vie et cette sobriété de demain.

  • Speaker #0

    Merci à tous les deux pour… Pour ces fondations, je l'ai dit, effectivement, cette matinée, elle est consacrée aux Dames et aux PIM. Donc, évidemment, je vous pose la question, quelles sont un petit peu les complémentarités entre ces deux technologies ? Je reviens peut-être vers toi, Sébastien.

  • Speaker #2

    En effet, c'est une question importante et intéressante. Certains de nos auditeurs pourraient se poser la question de ne prendre qu'un PIM pour gérer à la fois les médias et les données produits, ou inversement, qu'un seul Dame. en fait dans la plupart des cas La décision se résume simplement au fait que chacun a son objectif principal. Comme je le disais juste avant, l'objectif du DAM, c'est de pouvoir gérer de manière performante l'ensemble des assets, qu'ils soient associés à des produits ou qu'ils aillent au-delà de ces produits, des assets qui peuvent être de communication, des assets de marque. Donc, c'est essentiel d'avoir une solution qui permette d'avoir cette vue multidimensionnelle sur les assets. À côté de ça, il y a le PIM qui va lui gérer les aspects purement produits. cycle de vie des produits, informations produits et qui va s'intégrer très généralement au site web pour publier ces informations produites sur les sites web et notamment sur les sites e-commerce. Donc dans le scénario idéal on intégrerait ces deux technologies pour obtenir finalement chacun sa meilleure performance. Quand on parle d'intégration c'est évident qu'il faut faire des choix et donc il y aura des informations qui seront partagées entre les deux systèmes d'information. Les métadonnées, par exemple, l'architecture produit avec tous les SKUs, pourront être synchronisées avec le DAM pour associer des images produits aux produits disponibles dans le PIM. Et puis inversement, certains médias, comme les images principales ou Hero Image, on va les pousser vers le PIM de manière à ce qu'elles soient disponibles et ensuite diffusées sur les différents canaux. Donc l'enjeu, ça va être une intégration forte et puis aussi de l'automatisation parce que lorsqu'on a des millions de références produits, on ne peut pas se permettre de manuellement associer des produits et des images. On ne peut pas, quand on a des millions d'assets, s'amuser à copier ces assets-là sur le PIM ou sur le CMS de manière manuelle.

  • Speaker #1

    C'est tout à fait ça. Nous, on dit toujours un PIM est un PIM et un DAM est un DAM et chacun a son rôle. et sa force. Et en fait, ils sont complètement complémentaires. Le DAM va gérer au-delà des assets, des produits, donc ce qu'on disait, ça gère aussi tout ce qui est les éléments de la marque, les logos, les chartes, etc., des choses qu'on ne va pas forcément pousser directement sur le PIM, en lien avec les produits. Et le gros avantage, c'est qu'en termes d'architecture, et je crois qu'en fait, Sébastien, tu as un schéma ensuite par rapport à ça, c'est de dire j'ai un PIM, j'ai un DAM, j'ai un CMS, ça permet aussi quelque part de faire évoluer les systèmes au niveau de l'entreprise selon la volonté de l'entreprise et son évolution à elle-même, sans pour autant tout casser et tout remettre en difficulté. Je vais laisser Frédéric peut-être recommander.

  • Speaker #3

    Je pense que vous avez dit licenciage. En fait, ce schéma d'Akeneo est assez parlant à lui-même. En fait, l'UDAM a vraiment pour objet d'être la fondation de la distribution des contenus dans l'entreprise. Il faut savoir qu'aujourd'hui, on a des contenus qui sont… riches qui sont en très haute définition. Alors évidemment on a aussi beaucoup de cas clients, quand on investit dans les solutions il y a aussi des contraintes budgétaires. Donc on peut être tenté effectivement à faire d'âme et pime en même temps. Je pense qu'il faut avoir essayé d'avoir une vision et une stratégie. Ça aussi c'est le rôle de l'éditeur à un moment donné de se projeter, d'accompagner les clients, en tout cas c'est ce que nous on essaye de faire. et que finalement on peut très bien éventuellement, possiblement commencer avec un PIM qui fait un peu d'âme. Il faut savoir que si vous avez des EPS un peu lourds, des larges chiffres, la base de données même d'un PIM, elle n'est pas faite pour processer ce type de fichier. On a nombre de clients qui se retrouvent avec 100 000, voire plus d'assets dans un PIM, et puis tout ça, ça rame un peu. Et je pense qu'il y a une intelligence collective à avoir dans cette relation entre d'âme et PIM. Et ce schéma est une parfaite expression, même s'il est un petit, il date de quelques années, et vous voyez que l'expression de besoin client En tout cas, elle n'a pas vraiment évolué de ce sens-là. C'est-à-dire qu'on a une gestion de la data. Et le PIM est un petit peu entre DAM et MDM. Le MDM, ce Master Data Management qui peut prendre diverses formes. Et le PIM et cet SOS, les Américains l'appellent le Glue Software. C'est véritablement cette capacité finalement à relier, à clarifier la donnée, à la syndiquer. C'est très important. Mais le DAM, à travers la distribution de ses URL, comme on va le voir, a un rôle clé justement dans l'optimisation du parcours client et de la distribution des médias.

  • Speaker #0

    Merci à tous. Et en matière de sécurité, parce qu'on sait que c'est un enjeu majeur pour les entreprises.

  • Speaker #3

    C'est pour Mélanie. Alors,

  • Speaker #1

    je démarre Fabien. Effectivement, aujourd'hui quand on met en place un DAM, on a des utilisateurs qui récupèrent des contenus à droite à gauche et qui disent « ah bah tiens c'est super, je charge et je mets mes photos, j'ai tout récupéré, je mets mes photos sur le DAM » . Et en fait, il y a une phrase qui est vraiment super importante et que je répète à chaque fois que je forme des utilisateurs sur des solutions DAM. durant mes cours, c'est nos contrats, nos photos. On pourrait l'étendre à nos contrats, nos assets dans le DAM. Je n'importe pas des assets sur un DAM sans savoir qui peut les utiliser. comment ils peuvent les utiliser et comment ils peuvent les partager et à qui ils peuvent les partager. Donc ça, c'est important, c'est de dire que même quand on dépose des assets, on a une notion de responsabilité et ces informations-là, elles sont directement liées au contrat des auteurs. Donc on parle de plus en plus d'auteurs liés aux images et on fait très attention aujourd'hui par rapport à ces droits-là. Toutes les solutions d'âme aujourd'hui permettent de gérer, de suivre ces données-là. Tout à l'heure, j'ai parlé du cycle de vie des assets, ça en fait partie. Quand on n'a plus les droits par rapport aux assets, on a aujourd'hui des applications qui permettent d'automatiser des alertes, des suivis, de l'archivage, de la mise à disposition ou pas à certains des fichiers hauts définitions, quand le fichier n'a plus les droits. Donc ça, c'est une partie qui est très importante dans le DAM. Et les solutions DAM permettent de gérer justement ce niveau très précis d'accès aux images.

  • Speaker #3

    Merci, Mélika. Je crois que je dois avoir un petit... Il y a un petit point que je rajouterais, il y a le mot IPTC. Je ne sais pas si tout le monde sait ce que c'est que l'IPTC. Vous pouvez aller voir sur IPTC.org. C'est pour International Press Telecommunication Council. C'est une métadonnée qui accompagne les fichiers. Ça, c'est extrêmement important. On va dire deux choses. Ça permet en tout cas de suivre l'information avec le fichier et aussi en termes de SEO. Depuis 2020, Google vient parser ses éléments dans la distribution. Merci.

  • Speaker #2

    Merci Frédéric. Alors en effet, tout ça c'est la base et les grands principes qui régissent la sécurité et les droits d'accès. Et tout ça, ça doit avoir une certaine corrélation ou un corollaire côté outils. Donc l'outil doit disposer des fonctionnalités qui permettent aux administrateurs et aux utilisateurs, d'une part de bien gérer le cycle de vie ou workflow des assets à chaque étape de sa vie. être en capacité de fournir des outils de sécurisation pour que les assets puissent être accédés uniquement dans les conditions qui sont définies par les droits d'auteur, notamment, et s'assurer que lorsque ces assets sont publiés, ils puissent être dépubliés automatiquement. Ça permet également de sécuriser la diffusion dans quelques cas, notamment permettre que les vidéos soient vues que sur certains sites web, parce que c'est des vidéos privées à certaines entreprises. On a ressorti quelques exemples. L'objectif, ce n'est pas d'entrer dans le détail, mais dans une solution comme Vedia ou un DAM moderne, on doit être en possibilité de gérer soi-même l'ensemble de ces informations de type structure, cycle de vie et droit d'accès et d'usage des différents médias en fonction du contexte et des rôles des utilisateurs qui existent.

  • Speaker #3

    Je pense que ce qui est très important, Sébastien, c'est En 2025, vous devez avoir les clés du camion, comme on dit souvent, parce qu'aujourd'hui, on est assujetti à faire des modifications. On le verra, mais on a aussi un vrai challenge avec des plateformes cloud. Manika le précisait, Dropbox n'était pas un cloud, mais aujourd'hui, il y a des investissements énormes sur ces plateformes cloud qui font qu'elles sont très en avance technologiquement, avec des coûts qui défient toute concurrence, ce qui fait qu'à un moment donné, les clients ont cette expérience-là. Donc c'est important dans le DAM, en tout cas, d'avoir cette... cette capacité de gérer son outil sonal.

  • Speaker #0

    Et justement, dans ces conditions, Frédéric, dans ce contexte, comment le DAM contribue à centraliser les assets plutôt que Dropbox, par exemple ?

  • Speaker #3

    Il y a un exemple très simple. Je vous parlais du PTC. Vous verrez que si vous allez chercher le CaptionWriter dans un asset qui est dans Dropbox, vous ne le trouverez pas. Parce que simplement, il n'y a pas une complétude de l'information à Steam aussi. Après une structuration, maintenant, c'est un vrai challenge aussi parce qu'aujourd'hui, il faut parler, évidemment, on parle de réussite dans un projet, mais il y a aussi quelquefois des échecs. Et il y a une chose qui est fondamentale que très souvent, les éditeurs un petit peu oublient, c'est comme disait Steve Jobs il y a 25 ans, c'est comment on travaille les clients. Et aujourd'hui, si vous regardez au quotidien, ils ont un PC, ils ont un Mac, ils ont des dossiers. Donc très souvent, ils vont trouver beaucoup plus facilement un contenu avec des dossiers. On a des exemples de grosses agences américaines qui sont passées de DAMA à Box, par exemple. Tout simplement, ils ne retrouvaient pas leurs assets. Donc, c'est vrai que l'intégration à l'échelle de l'entreprise, ce n'est jamais évident. C'est un travail du quotidien. C'est pour ça que chez Activo, on a cette passion de l'humain, du collectif et de la vision et de la stratégie pour justement amener le client à une étape supplémentaire. On ne le laisse pas dans la nature comme ça, c'est extrêmement important. Quant à l'intégration, on va dire, plus technologique du DAM, aujourd'hui, un DAM moderne permet quasiment à toutes les capacités de diffuser, de partager à travers ce qu'on appelle les services web. Vous avez sans doute entendu parler d'API. Évidemment, c'est une question d'architecture, et le schéma qu'on vous a montré précédemment, la dacéno, est une représentation d'une architecture, on va dire, plus marketing, mais il y a une vraie réflexion, et nous, chez tous les clients, avant de démarrer un projet, on se pose autour de la table, on définit ce qu'on appelle une architecture cible, et la position du DAM, parce que quelquefois, le DAM peut être mal positionné. Avec Manika, on a un cas d'usage actuellement, le DAM, il est dans une architecture où finalement, il n'est pas exposé. Là, on fait un gros travail finalement pour repositionner le DAM en front qui va venir agréger les contenus qui arrivent dans l'entreprise.

  • Speaker #1

    Ça permettra justement d'exploiter et de réutiliser les assets au bon moment, parce que quand ils arrivent dans le DAM trop tard, en fait, on fait autrement. Je voulais juste compléter là, quand je vois effectivement l'écosystème du DAM. Vous l'aurez compris, ça fait quand même quelques années qu'on fait du DAM. Et au tout début, le DAM était tout seul. Il avait sa vie tout seul. Et plus on est allé dans les architectures et ce qui se passe aujourd'hui en termes de technologie, le DAM sert vraiment d'entrepôt de médias pour des applications tierces. Et ça, c'est ce qu'on essaie de mettre en place. Ça fait aussi écho à la sobriété d'une manière générale, puisqu'on ne va pas faire des copies, mais il va alimenter le PIM. pour illustrer les produits dont on a parlé, les produits d'entreprise, mais il va aussi alimenter les back-office de sites Internet pour justement illustrer les sites Internet. La tendance aujourd'hui, c'est qu'on parle marque, on parle produit, on parle collaborateur, à l'aide de la photo et de la vidéo. Donc, les médias sont très présents sur cette partie-là.

  • Speaker #2

    Merci. Et en effet, ce qui est important d'avoir, c'est… C'est une interaction entre les différents outils. Et moi, j'aurais aimé illustrer ça sur un cas particulier, qui est l'aspect diffusion sur les sites de marques et les sites e-commerce. Aujourd'hui, c'est un enjeu majeur pour les entreprises de s'assurer que la diffusion se passe correctement, parce que souvent, le digital est une source importante de revenus et de propagation de l'image de marque. Donc, s'assurer que les médias sont... les médias les plus à jour, les médias les plus performants sur les différents canaux détenus par les marques, c'est vraiment clé. Donc le DAM aujourd'hui devra s'intégrer, doit nécessairement s'intégrer à cet environnement, aux différents sites qui sont disponibles dans l'entreprise. Ce n'est pas rare d'avoir divers sites qui sont spécialisés pour chaque marque de l'entreprise, mais aussi parfois dans différentes langues. Donc s'assurer qu'on a un seul point de centralisation de l'asset et une diffusion globale de l'asset. de la bonne asset la plus performante sur chacun de ces canaux, c'est vraiment clé. Je prends l'exemple d'un de nos clients qui est Decathlon, qui a plusieurs dizaines de sites e-commerce dans le monde et qui s'appuie sur la technologie Vedia pour diffuser l'ensemble des assets sur ces différents sites, quel que soit l'emplacement dans le monde. Et bien sûr, on voit dans chaque site, il y a ses enjeux particuliers. Chaque site va être vraiment différent avec ses stratégies propres. Mais ce qu'il se cache derrière, c'est toujours les médias les plus performants. qui sont choisis de manière singulière par chaque équipe locale en fonction de ce qui est disponible, auprès des millions d'assets disponibles sur le DAM et stockés sur le DAM. L'autre enjeu, c'est évidemment les API, parce qu'en fonction du contexte, du device utilisé, du site web et peut-être de l'emplacement dans le monde, on va vouloir retravailler l'image, lui donner un format particulier, une certaine qualité, un chargement progressif quand c'est nécessaire. Donc tout ça, ça nécessite que l'outil DAM embarque aussi un certain nombre d'APIs et de fonctionnalités qui permettent de retravailler l'image de manière automatique et directe, je dirais, sans attendre, pour optimiser le travail des webmasters qui vont consommer ces images finalement et les publier sur les différents canaux.

  • Speaker #3

    Ton exemple est bon, puisqu'on a travaillé ensemble sur ce cas d'Hécathlon, effectivement. Je vais vous donner un exemple très pragmatique, par exemple d'un fichier issu d'un fichier TIFF qui fait autour de 350 mégas avec une résolution de 40 millions de pixels. On en fait un JPEG de 3 mégas et la visuelle que vous voyez, c'est un AVIF qui fait 50 kilos avec une largeur de 250 pixels. Et ça, c'est le même asset. De l'asset haute définition, on arrive à une optimisation notamment avec l'AVIF. Cette distribution worldwide de l'électricité en est pas évidente parce que ça passe à travers ce qu'on appelle des CDN. notamment avec ce qu'on appelle le DXM chez WIDIA, basé sur la technologie Akamai. Et c'est un vrai challenge parce qu'évidemment, aujourd'hui, le parcours client, si votre fiche s'affiche en plus de trois secondes, le client va ailleurs. Donc, il y a tout un travail d'architecture et d'optimisation là-dessus qui n'est pas évident. Et de la même manière que votre téléphone, quelquefois, il capte sur les Champs-Élysées, puis 300 mètres plus loin, il ne capte plus, on a la même problématique sur les CDN suivant que la marque se trouve aux États-Unis, en Asie ou en Afrique.

  • Speaker #0

    Merci à tous les deux pour cet exemple concret. Et pour continuer dans le concret, justement, comment aujourd'hui on peut gérer concrètement ces assets de marque grâce aux dames. Peut-être Frédéric pour continuer.

  • Speaker #3

    En fait, on est toujours dans cette problématique à un moment donné, c'est qu'on va essayer de produire, comme disait Malika, le bon contenu à la bonne personne, au bon moment, etc. Évidemment, aujourd'hui, on est dans la personnalisation extrême. Il faut savoir qu'un acteur de la grande distribution, à partir d'un produit, peut facilement avoir dans la distribution, ce qu'on appelle des marketplaces et des divers sites web et e-commerce, avoir pratiquement plus d'une centaine de canaux. Et regarde ces différents canaux, forcément, on a ce qu'on appelle une personnalisation. Il faut savoir qu'un branding en Europe, l'approche peut être différente aux États-Unis comme elle peut être différente en Asie. Donc, à un moment donné, il va falloir apporter une certaine personnalisation de ce contenu. Alors, avec différentes technologies, dans le cas de Weedir, on est par exemple sur ce qu'on appelle du DMM basé sur des lignes d'un serveur et donc de l'édition en ligne, donc qui va partir des éléments graphiques de l'agence pour pouvoir les mettre en ligne d'un point de vue digital. Alors, il y a un certain nombre de technologies, évidemment, je pense que vous connaissez tous Canva. Il y a la version un peu grand public des choses pour vous donner un ordre d'idée de ce que peut faire l'outil côté Wadia. Et puis après, il y a la localisation, parce que forcément, il y a des langues. C'est-à-dire qu'on va produire des contenus différents. Et une chose qui n'est pas évidente à gérer, mais forcément, la même phrase en français, elle est un peu plus longue qu'en anglais. Et puis en néerlandais, elle peut être encore un petit peu plus longue. Donc, vous voyez qu'il y a une gestion de la traduction. Alors aujourd'hui, qui va se faire de plus en plus par des moyens automatique mais de contrôle. Je crois d'ailleurs que Sébastien pourra vous parler de l'intégration typiquement DeepL et pourquoi pas de chat GPT typiquement, mais on a besoin de personnaliser dans la langue du client l'ensemble de ce contenu, d'un point de vue design que d'un point de vue traduction.

  • Speaker #2

    En effet, ça se matérialise dans l'outil avec des fonctions qui permettent finalement cette diffusion ou ce partage des contenus de marques sur des pages dédiées qui permettent de mettre en lumière ces marques dans le contexte avec l'identité qui lui correspond en quelque sorte. Donc ça, c'est un élément clé.

  • Speaker #0

    Ok. Frédéric et Sébastien d'ailleurs également, vous mentionnez tous les deux la capacité effectivement à localiser ou personnaliser justement... les assets, comment là encore le DAM peut y contribuer ?

  • Speaker #3

    On l'a vu un petit peu là, on l'a vu sur l'écran en fait, on est de plus en plus, et c'est un peu une tendance qu'on a depuis un an, dans ce qu'on appelle la mise à disposition de portails, de guidelines. Globalement, on va retrouver chez un certain nombre d'éditeurs de DAM, et vous dire en particulier, une espèce d'habillage CMS, parce que finalement là aussi, quand vous distribuez les contenus de marque, Tout ça se base sur une charte graphique, cette charte graphique peut être différente d'un pays à l'autre, et on l'a très bien vu d'ailleurs sur les exemples de sites web de Décathlon. Une fois c'est bleu, une fois c'est jaune, il y a des mises en avant qui peuvent être un peu différentes. Je dirais qu'il y a 7-8 ans, il y a même 5-6 ans, on ne le faisait pas. Alors si, vous le faisiez dans un CMS à côté, on faisait des connexions, etc. Et là, finalement, la tendance que l'on voit depuis un an sur un certain nombre d'éditeurs, c'est que finalement, c'est de donner cette capacité très simple. sans être ingénieur chez SpaceX, c'est la capacité à pouvoir, de toute façon très modulaire, aller rajouter un composant par-ci, mes dernières collections, après un petit menu qui va permettre de naviguer, par exemple, dans une hiérarchie de facettes ou de métadonnées. Donc voilà, c'est ce qu'on appelle un petit peu cette personnalisation qui est importante, qui aujourd'hui n'est pas encore vraiment gouvernée par l'IA, mais on peut imaginer qu'il y a aussi un champ d'investigation énorme qui peut être fait. Et là, les dames sont souvent un peu en retard, depuis un an, versus notamment les PIM. traçabilité du parcours client et l'adaptabilité en fait à travers aussi bien des workflows prédictifs que de l'interface prédictive.

  • Speaker #1

    Moi je voudrais juste compléter en donnant des exemples concrets. Vous avez des équipes marketing qui présentent, il y a un nouveau produit qui sort, il y a une description du produit et il y a eu 300 photos qui ont été prises par rapport à une campagne ou par rapport à un produit. Aujourd'hui techniquement il se passe quoi en fait ? On est dans les trois quarts. On produit des PowerPoints ou des PDFs en incluant toutes les photos, en mettant tous les textes et en le traduisant comme on peut, en fait, dans plusieurs langues. Et on pousse ça sur le DAM et on demande aux personnes de venir télécharger des fichiers qui, d'une part, sont très lourds. Et en même temps, on n'a plus le suivi des modifications qui sont apportées. Donc, en fait, ce qu'on dit, c'est que ces outils de Brand Guidelines permettent à des utilisateurs qui ne sont pas des développeurs, qui sont dans des équipes marketing, commerciales, etc., de proposer de... très vite monter une page, voire décliner des pages et les mettre à disposition de leurs consommateurs, des assets et des textes qui vont avec.

  • Speaker #0

    Oui, alors c'est intéressant parce que ces enjeux de mise à disposition des assets dans le cadre de campagne, effectivement, ça doit être régi par, aujourd'hui, dans certains dames comme le nôtre, des pages qui permettent de les mettre en lumière, les mettre en avant, de décrire les raisons d'être des contenus et les cas d'usage. Et puis, immédiatement après, se pose la question de ces assets qui sont dans un format que je pourrais appeler ou qualifier de master. qui donne le « là » en quelque sorte sur la campagne et les images ou les vidéos et les documents sources, comment les traduire ou les localiser en fonction du contexte local de chaque entité. Et donc là, on rentre dans un processus de localisation et il est nécessaire d'avoir des solutions et des outils qui permettent d'accompagner cette localisation de manière simple. Par le passé, c'était assez logique de… de fournir ce package de contenu source aux agences locales qui produisaient à la chaîne des contenus localisés en fonction des besoins locaux. L'inconvénient de ça, c'est essentiellement un problème de coût et de réactivité, de contrôle évidemment et d'aller-retour, mais de coût et de rapidité de diffusion, parce que ça nécessite des contrats, des relations avec l'agence, des allers-retours. Et puis finalement, les équipes locales perdent un petit peu le pouvoir de... de créer ces contenus. Il y a eu une grande tendance depuis maintenant 5-6 ans où les entreprises souhaiteraient embarquer les actions des agences en interne, réintégrer les agences en quelque sorte, une partie des activités. Et en fait, c'est dans cette problématique-là ou dans cette tendance-là qu'on va s'insérer et s'inscrire pour pouvoir fournir aux équipes locales la capacité de traduire et localiser directement leurs contenus à partir de masters créés au niveau central. Et bien sûr, tout ça, ça va être accompagné d'outils du type IA qui vont faciliter cette phase-là. Donc, tout à l'heure, tu en parlais, Frédéric, la capacité de la traduction. Aujourd'hui, on le voit bien avec tout ce qui est LLM, chat GPT et autres. On a l'impression qu'en quelques clics de bouton, on va pouvoir avoir de la traduction. Alors, ce n'est pas toujours qualitatif, malheureusement. C'est pour ça que chez Vedia, nous, on a fait ces études. étudier différentes solutions qui permettaient de faire la traduction avec des clients de référence, notamment ChatGPT versus Dipple. La conclusion de ces études nous a mené à sélectionner une brique type Dipple qui permet, en complément d'une traduction assez précise, d'avoir une mémoire de traduction qui va permettre de stocker le langage métier de l'entreprise et donc faciliter... cette localisation des contenus sans utiliser des mots qui sont soit réservés à l'entreprise ou spécifiques au cas d'usage de l'entreprise. Donc ça, c'est vraiment clé parce que sinon, immédiatement, on se retrouve avec de la traduction qui n'est pas pertinente et qui doit être de toute façon retravaillée manuellement. Donc, on perd le bénéfice de lire. Et donc, ça s'illustre en fait par quelques exemples avec un de nos clients qu'on a aux États-Unis, qui est Harley Davidson. Donc, ils utilisent la plateforme pour fournir des masters à l'ensemble des revendeurs partout dans le monde. Donc, ils créent des templates qui seront localisés en fonction du contexte. Alors, soit des templates digitaux comme on le voit ici, soit des templates qui sont plutôt orientés print. Et là, c'est typiquement les feuillets qui se trouvent sur les véhicules dans chaque concession. Alors, on commence à reconnaître un petit peu quelque chose qu'on a évoqué un peu plus tôt, qui est le lien avec le PIV. parce qu'évidemment... Quand on présente un modèle de véhicule, il faut être en capacité de ressortir les informations associées au véhicule qui, elles, proviennent du PIM. Et donc, on va associer images, prix qui viennent de l'ERP et puis informations de produits qui viennent du PIM.

  • Speaker #1

    Merci Sébastien. On a évidemment parlé un peu, déjà, vous venez de le faire, en matière de traduction, en matière de personnalisation. Mais au-delà de ça, quels sont un petit peu les apports de l'IA au DAM ? Marika pour répondre à cette question.

  • Speaker #2

    Alors ça c'est une très bonne question. Alors nous en tant que conseil, on a des clients qui nous appellent en disant « ben voilà en fait moi j'ai envie de changer de dame, on a un problème, on cherche, on ne trouve pas » . Donc la première question c'est de dire « le dame ne fait pas son job parce que nos utilisateurs ne retrouvent pas les contenus quand ils cherchent » . Donc là évidemment nous on a une fonction de bilan de santé de regarder pourquoi on ne retrouve pas, mais là typiquement… l'IA peut aider déjà sur la recherche, peut aider via de la recherche par similarité. De plus en plus, on retrouve de la recherche en langage naturel. Voilà, donc ça peut être un complément et un peu un petit copilote de recherche pour les utilisateurs. Mais avant d'arriver là et avant de passer sur la partie traduction, on a ce qu'on appelle aujourd'hui un peu les smart tags et l'auto-tagging. Et donc, effectivement, on peut avoir des IA qui peuvent aider. à compléter l'indexation qui est faite sur les assets. Alors, je n'aurais tendance à dire que pour des assets aujourd'hui qui sont de type photos d'illustration, c'est bien rodé. Maintenant, il faut faire attention à les mots-clés qui sont aujourd'hui attendus dans les entreprises. Ce sont des mots-clés qui sont aussi spécifiques sur des sujets spécifiques par rapport à l'entreprise. Et donc là, en fait, ça se complète et ça rejoint ce que Sébastien disait. C'est-à-dire que si on continue d'entraîner, on lui dit ça. tel modèle de sac, tel modèle de jupe ou une bouteille de champagne mais dans une bouteille sombre et donc il va bien vérifier il va bien comprendre que c'est pas une bouteille de vin on n'en est pas tout à fait là mais il y a des débuts et moi je trouve que déjà répondre à la problématique on trouve pas nos assets donc on est pas dans une réutilisation donc on reproduit et donc on est pas content du dam ça apporte Merci. apporte beaucoup à ce niveau-là, en fait, avec la reconnaissance sur les images, la reconnaissance faciale, toute cette partie qui favorise la recherche et qui accompagne la recherche.

  • Speaker #0

    Alors, moi, pardon.

  • Speaker #2

    Je vais rajouter quelque chose,

  • Speaker #0

    peut-être c'est le cas. Oui, voilà. En fait, la vision que nous avons chez Vedia, elle est complémentaire à ça, c'est de se dire que sur les cas d'usage liés à l'IA, il y a une... Il y a une IA qui va être plutôt générique pour la catégorisation dont tu parlais, qui est assez intéressante pour un niveau basique de catégorisation. Effectivement, on va reconnaître s'il y a des personnes, des enfants, des adultes, s'il y a des voitures sur les images ou dans les vidéos. On va éventuellement faire du speech-to-text, donc transcription et puis de la traduction. mais finalement ça va avoir assez peu de valeur ajoutée ou une valeur ajoutée assez limitée parce que dès qu'on rentre dans un contexte d'entreprise, on va être bloqué. Le fait que chez BMW, il n'y a que des voitures sur l'ensemble des images ou chez Michelin, il n'y a que des pneus. Donc, l'IA ne va pas catégoriser de manière suffisamment précise. Donc, on va rentrer dans une étape où ça va nécessiter un apprentissage. Et là, on rentre dans des complexités qui sont… importante pour l'utilisateur si on n'est pas expert en apprentissage.

  • Speaker #3

    Le point que tu soulignes est important. Et puis, si je reprends le propos de Luc Julia, qu'on avait encore sur Andam cette année, fin d'année dernière, c'est comment rendre intelligente l'intelligence artificielle et qu'est-ce qui marche vraiment. Donc, tout ce qu'on a dit, c'est juste. Mais toi, effectivement, la CBCA nous montre un écran qui est intéressant, qui est une vue de filtre avec un ordonnancement de métadonnées et de dépendance. Ça, c'est ce qu'on appelle du vocabulaire contrôlé. Et aujourd'hui, ce qui serait bien, on parle un petit peu comme une wishlist pour l'éditeur, c'est que cette distribution, quelquefois qui peut être aléatoire de mots-clés, il faudrait pouvoir leur donner du sens et la recoller finalement à une taxonomie ou à un thésauriste qui gère ce vocabulaire contrôlé. C'est là où, effectivement, on peut encore améliorer l'expérience utilisateur. Le chemin, on n'est qu'au début de l'histoire. Mais ne jamais oublier que l'IA, c'est bien. C'est un outil qui peut accélérer Merci. me disait Malika, la gestion de l'enrichissement du contenu. Mais voilà, il faut toujours penser aux bénéfices pour l'utilisateur final.

  • Speaker #0

    Et en complément de cette IA, je dirais classique, standard ou historique, en quelque sorte, sont arrivés l'ensemble des LLM, et l'IAG, les relatives, qui apportent de nouveaux cas d'usage et de nouveaux bénéfices. Donc Malika, tu en parlais tout à l'heure, la recherche. capacité de recherche avancée type vectoriel, la capacité de faire du légendage. Nous, par exemple, chez Vedia, on a fait aussi des études sur différents fournisseurs. D'ailleurs, on utilise plusieurs fournisseurs de briques technologiques en fonction des cas d'usage. Un coup DeepL pour la traduction, un coup AWS et Azure pour la catégorisation. On utilise aussi, via notre partenariat avec Anthropy, Cloud pour générer les légendes. En fonction du cas d'usage, on va s'appuyer sur un LLM qui est le plus performant dans son cas d'usage. On utilise aussi DAL-I pour la génération d'images en particulier. Donc en fait, chaque cas d'usage va nécessiter une brique particulière. La vraie contrainte et l'apport d'un bon éditeur, c'est de présélectionner les bons fournisseurs d'IA en fonction du contexte, de manière prouvée, avec des cas d'usage clients qui éprouvent la solution. en fonction du besoin et de la spécificité du cas d'usage. Et donc, fournir une intégration sur étagère permet d'aller plus vite pour nos clients.

  • Speaker #2

    Moi, je voudrais juste rajouter un point dont on n'a pas parlé, en fait. C'est la partie en amont au niveau du DAM. Là aussi, on a des clients qui nous disent, notre DAM, ça ne va pas, on met n'importe quoi dedans. Et donc, en fait, quand on étudie avec les utilisateurs, on s'aperçoit que beaucoup de pain points à ce niveau-là peuvent se régler sur un workflow dès le départ au niveau de la production des contenus. C'est-à-dire qu'on gère et qu'on… on automatise, on contrôle, on affine, on valide le contenu dès la production de ces contenus-là. Et là aussi, l'IA peut faire quelque chose, parce qu'en fait, on peut définir des règles en disant, voilà, moi, mes contenus, je les attends comme ça, j'attends le produit placé là, etc. Et ça peut aider dans la validation de cette fameuse production d'assets en amont qui va jusqu'à importer les assets sur la plateforme. Donc ça aussi, c'est un sujet... voilà qui est très important alors je vois et c'est bien si on a parlé de l'IAGN alors je pense qu'en fait on se pose toujours la question c'est est-ce que vraiment le DAM son rôle est de générer et de permettre de générer des contenus voilà donc moi aujourd'hui alors c'est vrai de part je pense un peu nos expériences on travaille avec des marques qui produisent des produits les visuels il y a des visuels qu'on peut produire et qu'on peut faire produire par l'IA et il y a d'autres produits où l'IA ne va pas ne répondra pas en IAGN j'entends sur la production donc je pense qu'on y va doucement mais on y va ça c'est sûr il ne faut pas avoir peur d'y aller mais

  • Speaker #3

    sur quel type de contenu en fait il faut que je me lance et tester C'est comme ça qu'on arrive à innover, parce qu'il faut toujours avoir un leitmotiv derrière de l'innovation. On est dans un monde qui a changé, avec des GAFA qui investissent des centaines de millions de dollars. Donc évidemment, il faut aller pour un éditeur de dames, c'est primordial. Je pense que ce que Sébastien vient de nous exposer est la parfaite représentation. Ne pas oublier les notions de droit également, parce que là aussi, à partir du moment où on crée du contenu, il y a une histoire de confiance. Là aussi, sur Endame, on est revenu. nombreuses fois sur ce trust, en fait, et en tout cas de matière, la pérennité du droit d'auteur dans tout ça, parce qu'à un moment donné, on va prendre des images par-ci, par-là. Donc, il faut avoir une traçabilité aussi parfaite de ces contenus.

  • Speaker #0

    Oui, et puis sur le côté...

  • Speaker #2

    Au niveau des DAM, on a bien aussi cette information, on a parlé d'IPTC, on a parlé de métadonnées. Il y a aujourd'hui une règle et une norme qui fait que faisons attention, et quand on a des contenus qui sont importés sur le DAM et qui proviennent de l'IA. bien le mentionner et que quand on ne veut pas que nos contenus entraînent une IA, aussi bien le mentionner à travers ces IPTC qui sont des données encapsulées dans l'image. Et donc, tout le monde peut y accéder et le lire, même quand la set est en dehors du DAM.

  • Speaker #1

    C'est très bien.

  • Speaker #0

    Non, non, simplement, en fait… Oui, j'abondais dans ton sens. C'est essentiel de pouvoir s'assurer que les images du DAM des entreprises ne soient pas utilisées pour entraîner une IA généraliste. Donc, l'objectif de l'éditeur, comme je vais dire, c'est de s'en assurer. Et donc, au travers de ces partenariats, faire en sorte que l'information ne transite que dans un sens, en quelque sorte. Donc, pour ce qui est du LLM et du légendage... l'image soit analysée, mais ne soit pas envoyée en quelque sorte au fournisseur et à l'éditeur d'IA pour entraîner ces modèles. Donc, s'assurer d'une bonne confidentialité de ces informations. C'est d'autant plus essentiel qu'il y a beaucoup d'acteurs qui se lancent régulièrement. On a vu il y a quelques jours ou semaines DeepSeek qui a fait grand bruit. C'est un terrain qui est très mouvant et donc, effectivement, il faut tester, il faut évoluer. Il faut analyser le marché qui bouge beaucoup ces derniers temps.

  • Speaker #1

    Il va falloir conclure tout doucement. On arrive enfin de cesser.

  • Speaker #2

    Déjà.

  • Speaker #1

    Déjà.

  • Speaker #0

    Donc, je vous ai partagé un petit lien pour ceux que ça intéresse. En fait, Forrester, qui est une des maisons de recherche américaines sur le DAM, entre autres, a fait une étude sur… une sélection de quatre de nos clients sur l'impact de la technologie Vedia, DAM, en quelque sorte le ROI qu'il a procuré sur ces quatre clients majeurs. Donc je vous recommande d'aller télécharger l'étude, c'est assez intéressant. ça met en lumière vraiment les bénéfices que peuvent apporter une solution d'âme comme Vedia sur des clients réels au travers d'une étude de différents cas d'usage utilisés dans le contexte du d'âme.

  • Speaker #1

    Malika, Frédéric, si vous voulez nous parler un petit peu...

  • Speaker #3

    Pour la première fois l'année dernière, on a lancé le premier magazine activo pendant OnDam. Donc là, vous pouvez scanner ce QR code, vous retrouvez le lien qu'on vous partage sur le chat. L'idée là aussi, c'est de revenir globalement, surtout par co-client, depuis l'expression de besoin, le choix de la solution, les services, la gestion de contenu, et la distribution. donc là c'est tout un... avec 5 clients très intéressants qui sont partis, avec qui on travaille, sur lequel... Et avec des solutions différentes, pour montrer toute notre agnosticité à ce niveau-là, donc ça, c'est important. Et là aussi, vous allez retrouver un certain nombre aussi d'informations autour des marques. Alors, chez Activo, alors évidemment, toute chose étant égale par ailleurs, on ne va pas se comparer à Forrester, etc., mais cette approche agnostique, elle est importante, parce que finalement... Quand on audite un éditeur, on ne lui demande rien de spécifique, ça ne coûte pas d'argent. Et on fait en tout cas une introspection extrêmement profonde, extrêmement détaillée, notamment à travers notre équipe Danews. Et vous pouvez retrouver d'ailleurs l'étude complète de tout ça sur le site Danews, digitalsetmanagement.org et danews.fr en téléchargement. Donc en tout cas, n'hésitez pas si vous avez des questions. et la version française va arriver d'ici le mois prochain avec beaucoup de complétion et de comparatif des solutions.

  • Speaker #2

    Voilà, merci Frédéric. Moi, je voulais juste rajouter une chose. Donc, effectivement, retour sur Rundam 2024, là aussi, vous pouvez flasher le code et retrouver l'événement, la quatrième édition, qui a eu lieu le 19 et le 20 novembre passé. Archimald est en partenaire, Wedia est en sponsor Gold. Une chose qui est importante, on a parlé tech, on a parlé outils, on a parlé interface, intégration, IA, etc. N'oubliez pas, tout projet de transformation digitale, c'est people, process et tech. Donc, choisissez la meilleure technologie qui vous correspond le mieux, c'est sûr, c'est important. Par contre, n'oubliez pas vos métiers, n'oubliez pas vos équipes et les process et le travail collaboratif ensemble.

Transcription

  • Speaker #0

    Nous avons le plaisir de recevoir Malika Keshish et Frédéric Sanuy d'Activo. Bonjour à tous les deux.

  • Speaker #1

    Bonjour. Bonjour Fabien, bonjour à tous.

  • Speaker #0

    Bien entendu, Sébastien Bardos du groupe Vedia. Bonjour Sébastien.

  • Speaker #2

    Bonjour Fabien, bonjour à tous.

  • Speaker #1

    Bonjour Sébastien.

  • Speaker #0

    Alors je vous donne la parole peut-être pour présenter un petit peu vos sociétés respectives et je crois qu'on peut commencer avec toi Sébastien.

  • Speaker #2

    Oui, donc Vedia, c'est un éditeur de logiciels d'âme qui fournit une interface intuitive d'énorme capacité de personnalisation. On est sur le marché du dame depuis une dizaine d'années et on travaille avec des clients de grands comptes et de taille intermédiaire. sur tout secteur d'activité, allant du retail à la banque, en passant par l'industrie. Quelques références, Decathlon, Crédit Agricole, Cofeld pour les matelas, par exemple. Pour ce qui est de ma part, je suis Sébastien Bardos, je suis directeur commercial chez Vedia, où je travaille depuis environ 9 ans.

  • Speaker #0

    Et vous continuez peut-être avec Activo ?

  • Speaker #1

    Parfait. Activo est un cabinet de conseil en transformation digitale avec une spécificité où on travaille vraiment autour du flux photo et vidéo des entreprises. Donc, on est expert sur la recherche de solutions, sur le déploiement de solutions et sur la gestion au quotidien de plateformes PIMDAM et CMS. Et on est ravi de participer à ce webinaire.

  • Speaker #0

    Et on est ravis, bien entendu, de vous recevoir. Je crois que vous vouliez aussi nous parler un petit peu d'autres sujets, de plateformes. Oui.

  • Speaker #3

    Frédéric ? Oui. Encore à tous, effectivement. Et puis, je rajouterais un petit peu, c'est un peu le leitmotiv aujourd'hui, c'est qu'on a une approche agnostique, puisqu'on le dit souvent, il n'y a pas des clients, mais il n'y a pas une solution, mais des solutions. Et en fait, finalement, quand on essaie de... de retracer le parcours client. Le parcours client, il démarre par, effectivement, la requête de la recherche des besoins, l'écriture de ces besoins autour d'ateliers de coworking, trouver une solution, qu'elle soit Damping, CMS, et on verra un petit peu le pourquoi de ces trois besoins et quelle est leur implication à l'échelle de l'entreprise. Et puis, dans tout ce qui est aussi déploiement, parce que là aussi, on aime accompagner les clients dans la réalisation de ces beaux projets Damp, notamment. avec de la gestion de contenu. On va parler d'IA, mais effectivement, l'IA, elle a aussi beaucoup d'humains pour contrôler le vocabulaire. Et ce slide, finalement, résume relativement bien un petit peu notre approche. Le bilan de santé, parce que là aussi, peut-être souvent un petit peu à tort, en France, on est à vouloir remplacer la solution au gré de mutations d'équipes, etc. Donc là aussi, notre adage, il est véritablement 95% de process et people et 5% de technologie. Avant de changer, on prend le temps, on examine, on regarde un petit peu les souffrances possibles. Et puis après, vous avez toute une série de services qui vont, comme je le disais, du RSI, la gestion de projet, la migration de vos médias, s'occuper des droits et des usages, gérer du patrimoine, et le tout avec une politique, un accompagnement dédié et personnalisé.

  • Speaker #1

    Actibo, c'est une quinzaine de personnes. Aujourd'hui avec des profils différents, on a des experts, on a des chefs de projet, on a des content managers et c'est cet ensemble aujourd'hui qui arrive à répondre aux besoins de nos différents clients qui sont multi secteurs d'activité.

  • Speaker #3

    Alors DAMNEWS là aussi c'est important, c'est une étape dans la vie d'Activo à l'acquisition du site il y a deux ans avec un site qui était anglo-saxon avec la publication d'un livre référent qui est l'entreprise DAMNGuide. qui référence à 516 solutions sur le marché, 500 pages. Donc là, vous pouvez aller sur le site précédent et qui est marqué en dessous avec un QR code, mais je crois que vous aurez une agrégation de liens par la suite. Et puis, on est en France, et puis en France, c'est le pays des lumières et aussi des idées. Donc, il nous paraissait indispensable, en tout cas, de faire une déclinaison française qui vient d'être lancée, d'amnews.fr. Donc là, c'est très simple dans l'URL. Et là, vous allez pouvoir retrouver notamment une présentation d'une quinzaine d'éditeurs qui ont une solution qui est en français avec des équipes en français. Donc du coup, on est dans un cadre plus restreint. Et là aussi, c'est une affaire de contenu avec un ensemble de contenus aussi bien d'articles, de fonds, de vidéos, de témoignages. Voilà, donc ça, c'est notre grand projet d'année qui vient de s'être lancé.

  • Speaker #0

    Super, merci à tous pour ces présentations. Alors, je vous propose effectivement qu'on se lance vraiment dans le vif du sujet. Avant ça, je vais lancer un petit sondage auquel nos participants vont pouvoir répondre pour nous indiquer un petit peu si aujourd'hui ils sont équipés ou pas d'une solution de DANE et si oui, de plus. combien de temps et pendant que je fais ça je me tourne vers toi Sébastien au hasard peut-être pour poser quelques bases autour du DAM qu'est ce que c'est concrètement et à quoi ça sert ?

  • Speaker #2

    En effet merci merci Fabien de poser la question c'est essentiel de revenir sur les basiques donc l'objectif d'un DAM c'est naturellement de gérer les médias alors quand on parle de médias on parle de plusieurs choses des images des vidéos des photos des médias plus modernes type 3d 360 Donc l'objectif du DAM, c'est de pouvoir être en capacité de stocker, partager de manière sécurisée l'ensemble de ses assets, quels qu'ils soient, et s'intégrer à un écosystème qui est l'écosystème d'entreprise et les différents outils qui s'y trouvent. On verra ça un peu plus tard dans la présentation. L'autre enjeu du DAM, c'est essentiel aujourd'hui, c'est tout ce qui a trait à la sobriété digitale, donc faire en sorte que les bons médias soient utilisés et... et qu'on ne rentre pas dans une situation où on dispose de trop de médias qui sont inutiles et qui génèrent une empreinte écologique qui soit néfaste pour la planète. Donc le DAM, c'est finalement un outil qui est multi-objectif, la gestion des assets, la diffusion, le partage, et puis l'optimisation de ces différents contenus.

  • Speaker #1

    Alors il y a une phrase qui résume le DAM, et qui est de dire que le DAM permet de distribuer le bon asset. aux bonnes personnes, au bon moment, dans le bon format et sur le bon support. Donc ça résume le fait de dire, quand on a des assets et qu'on a besoin de les centraliser, n'importe solution, oui, on peut avoir un dossier, on peut le déposer quelque part, on peut le déposer sur des dossiers partagés, pour autant, ce n'est pas une solution d'âme. Et je pense que ce que j'aime bien aussi sur la slide précédente de Sébastien, c'est cette sobriété numérique, en fait. Parce qu'une des fonctionnalités aujourd'hui qu'on retrouve au niveau du d'âme, c'est justement de distribuer le bon format de mon asset sur le bon support en adéquation. Je ne charge pas un fichier type qui pèse 2 gigas sur un PowerPoint, ça n'a pas de sens et ça n'apportera pas plus. Donc ça, c'est des choses qui sont vraiment très importantes à mentionner et c'est vraiment des spécificités aujourd'hui. Nous, en tous les cas, on voit côté besoin utilisateur et côté éditeur de solutions. Donc là, c'est un schéma qui résume aussi, parce que le DAM, c'est aussi la gestion du cycle de vie des médias. Il ne s'agit pas de prendre tous ces assets et pendant 5 ans, 10 ans, 20 ans, 30 ans, alimenter tout sur même plateforme. À un moment donné, je gère le cycle de vie de l'asset. Le DAM permet de centraliser et d'importer des assets, Sébastien l'a très bien dit, de tout type de format, la photo, la vidéo, les artworks, les objets 3D de plus en plus, etc. de les centraliser, de les cataloguer, de les indexer, de les classer avec des métadonnées, de faire appel à l'IA par rapport à ça qui peut aider, et de connecter cette plateforme pour pouvoir redistribuer ses assets sur les fameux bons supports. Donc ça peut être du web, des sites internet, des réseaux sociaux, du print, de la télé, des mobiles, des applications dans les boutiques, etc. Mais tout ça, c'est aussi la gestion du cycle de vie. À un moment donné, quand l'asset n'est plus actif, quand le produit qui est représenté par les assets n'est plus actif, qu'est-ce qu'on fait de ces assets au niveau de l'entreprise ? Évidemment, la solution, ce n'est pas juste de dire je les supprime, ce n'est pas le sujet, mais c'est de penser justement à ce cycle de vie et cette sobriété de demain.

  • Speaker #0

    Merci à tous les deux pour… Pour ces fondations, je l'ai dit, effectivement, cette matinée, elle est consacrée aux Dames et aux PIM. Donc, évidemment, je vous pose la question, quelles sont un petit peu les complémentarités entre ces deux technologies ? Je reviens peut-être vers toi, Sébastien.

  • Speaker #2

    En effet, c'est une question importante et intéressante. Certains de nos auditeurs pourraient se poser la question de ne prendre qu'un PIM pour gérer à la fois les médias et les données produits, ou inversement, qu'un seul Dame. en fait dans la plupart des cas La décision se résume simplement au fait que chacun a son objectif principal. Comme je le disais juste avant, l'objectif du DAM, c'est de pouvoir gérer de manière performante l'ensemble des assets, qu'ils soient associés à des produits ou qu'ils aillent au-delà de ces produits, des assets qui peuvent être de communication, des assets de marque. Donc, c'est essentiel d'avoir une solution qui permette d'avoir cette vue multidimensionnelle sur les assets. À côté de ça, il y a le PIM qui va lui gérer les aspects purement produits. cycle de vie des produits, informations produits et qui va s'intégrer très généralement au site web pour publier ces informations produites sur les sites web et notamment sur les sites e-commerce. Donc dans le scénario idéal on intégrerait ces deux technologies pour obtenir finalement chacun sa meilleure performance. Quand on parle d'intégration c'est évident qu'il faut faire des choix et donc il y aura des informations qui seront partagées entre les deux systèmes d'information. Les métadonnées, par exemple, l'architecture produit avec tous les SKUs, pourront être synchronisées avec le DAM pour associer des images produits aux produits disponibles dans le PIM. Et puis inversement, certains médias, comme les images principales ou Hero Image, on va les pousser vers le PIM de manière à ce qu'elles soient disponibles et ensuite diffusées sur les différents canaux. Donc l'enjeu, ça va être une intégration forte et puis aussi de l'automatisation parce que lorsqu'on a des millions de références produits, on ne peut pas se permettre de manuellement associer des produits et des images. On ne peut pas, quand on a des millions d'assets, s'amuser à copier ces assets-là sur le PIM ou sur le CMS de manière manuelle.

  • Speaker #1

    C'est tout à fait ça. Nous, on dit toujours un PIM est un PIM et un DAM est un DAM et chacun a son rôle. et sa force. Et en fait, ils sont complètement complémentaires. Le DAM va gérer au-delà des assets, des produits, donc ce qu'on disait, ça gère aussi tout ce qui est les éléments de la marque, les logos, les chartes, etc., des choses qu'on ne va pas forcément pousser directement sur le PIM, en lien avec les produits. Et le gros avantage, c'est qu'en termes d'architecture, et je crois qu'en fait, Sébastien, tu as un schéma ensuite par rapport à ça, c'est de dire j'ai un PIM, j'ai un DAM, j'ai un CMS, ça permet aussi quelque part de faire évoluer les systèmes au niveau de l'entreprise selon la volonté de l'entreprise et son évolution à elle-même, sans pour autant tout casser et tout remettre en difficulté. Je vais laisser Frédéric peut-être recommander.

  • Speaker #3

    Je pense que vous avez dit licenciage. En fait, ce schéma d'Akeneo est assez parlant à lui-même. En fait, l'UDAM a vraiment pour objet d'être la fondation de la distribution des contenus dans l'entreprise. Il faut savoir qu'aujourd'hui, on a des contenus qui sont… riches qui sont en très haute définition. Alors évidemment on a aussi beaucoup de cas clients, quand on investit dans les solutions il y a aussi des contraintes budgétaires. Donc on peut être tenté effectivement à faire d'âme et pime en même temps. Je pense qu'il faut avoir essayé d'avoir une vision et une stratégie. Ça aussi c'est le rôle de l'éditeur à un moment donné de se projeter, d'accompagner les clients, en tout cas c'est ce que nous on essaye de faire. et que finalement on peut très bien éventuellement, possiblement commencer avec un PIM qui fait un peu d'âme. Il faut savoir que si vous avez des EPS un peu lourds, des larges chiffres, la base de données même d'un PIM, elle n'est pas faite pour processer ce type de fichier. On a nombre de clients qui se retrouvent avec 100 000, voire plus d'assets dans un PIM, et puis tout ça, ça rame un peu. Et je pense qu'il y a une intelligence collective à avoir dans cette relation entre d'âme et PIM. Et ce schéma est une parfaite expression, même s'il est un petit, il date de quelques années, et vous voyez que l'expression de besoin client En tout cas, elle n'a pas vraiment évolué de ce sens-là. C'est-à-dire qu'on a une gestion de la data. Et le PIM est un petit peu entre DAM et MDM. Le MDM, ce Master Data Management qui peut prendre diverses formes. Et le PIM et cet SOS, les Américains l'appellent le Glue Software. C'est véritablement cette capacité finalement à relier, à clarifier la donnée, à la syndiquer. C'est très important. Mais le DAM, à travers la distribution de ses URL, comme on va le voir, a un rôle clé justement dans l'optimisation du parcours client et de la distribution des médias.

  • Speaker #0

    Merci à tous. Et en matière de sécurité, parce qu'on sait que c'est un enjeu majeur pour les entreprises.

  • Speaker #3

    C'est pour Mélanie. Alors,

  • Speaker #1

    je démarre Fabien. Effectivement, aujourd'hui quand on met en place un DAM, on a des utilisateurs qui récupèrent des contenus à droite à gauche et qui disent « ah bah tiens c'est super, je charge et je mets mes photos, j'ai tout récupéré, je mets mes photos sur le DAM » . Et en fait, il y a une phrase qui est vraiment super importante et que je répète à chaque fois que je forme des utilisateurs sur des solutions DAM. durant mes cours, c'est nos contrats, nos photos. On pourrait l'étendre à nos contrats, nos assets dans le DAM. Je n'importe pas des assets sur un DAM sans savoir qui peut les utiliser. comment ils peuvent les utiliser et comment ils peuvent les partager et à qui ils peuvent les partager. Donc ça, c'est important, c'est de dire que même quand on dépose des assets, on a une notion de responsabilité et ces informations-là, elles sont directement liées au contrat des auteurs. Donc on parle de plus en plus d'auteurs liés aux images et on fait très attention aujourd'hui par rapport à ces droits-là. Toutes les solutions d'âme aujourd'hui permettent de gérer, de suivre ces données-là. Tout à l'heure, j'ai parlé du cycle de vie des assets, ça en fait partie. Quand on n'a plus les droits par rapport aux assets, on a aujourd'hui des applications qui permettent d'automatiser des alertes, des suivis, de l'archivage, de la mise à disposition ou pas à certains des fichiers hauts définitions, quand le fichier n'a plus les droits. Donc ça, c'est une partie qui est très importante dans le DAM. Et les solutions DAM permettent de gérer justement ce niveau très précis d'accès aux images.

  • Speaker #3

    Merci, Mélika. Je crois que je dois avoir un petit... Il y a un petit point que je rajouterais, il y a le mot IPTC. Je ne sais pas si tout le monde sait ce que c'est que l'IPTC. Vous pouvez aller voir sur IPTC.org. C'est pour International Press Telecommunication Council. C'est une métadonnée qui accompagne les fichiers. Ça, c'est extrêmement important. On va dire deux choses. Ça permet en tout cas de suivre l'information avec le fichier et aussi en termes de SEO. Depuis 2020, Google vient parser ses éléments dans la distribution. Merci.

  • Speaker #2

    Merci Frédéric. Alors en effet, tout ça c'est la base et les grands principes qui régissent la sécurité et les droits d'accès. Et tout ça, ça doit avoir une certaine corrélation ou un corollaire côté outils. Donc l'outil doit disposer des fonctionnalités qui permettent aux administrateurs et aux utilisateurs, d'une part de bien gérer le cycle de vie ou workflow des assets à chaque étape de sa vie. être en capacité de fournir des outils de sécurisation pour que les assets puissent être accédés uniquement dans les conditions qui sont définies par les droits d'auteur, notamment, et s'assurer que lorsque ces assets sont publiés, ils puissent être dépubliés automatiquement. Ça permet également de sécuriser la diffusion dans quelques cas, notamment permettre que les vidéos soient vues que sur certains sites web, parce que c'est des vidéos privées à certaines entreprises. On a ressorti quelques exemples. L'objectif, ce n'est pas d'entrer dans le détail, mais dans une solution comme Vedia ou un DAM moderne, on doit être en possibilité de gérer soi-même l'ensemble de ces informations de type structure, cycle de vie et droit d'accès et d'usage des différents médias en fonction du contexte et des rôles des utilisateurs qui existent.

  • Speaker #3

    Je pense que ce qui est très important, Sébastien, c'est En 2025, vous devez avoir les clés du camion, comme on dit souvent, parce qu'aujourd'hui, on est assujetti à faire des modifications. On le verra, mais on a aussi un vrai challenge avec des plateformes cloud. Manika le précisait, Dropbox n'était pas un cloud, mais aujourd'hui, il y a des investissements énormes sur ces plateformes cloud qui font qu'elles sont très en avance technologiquement, avec des coûts qui défient toute concurrence, ce qui fait qu'à un moment donné, les clients ont cette expérience-là. Donc c'est important dans le DAM, en tout cas, d'avoir cette... cette capacité de gérer son outil sonal.

  • Speaker #0

    Et justement, dans ces conditions, Frédéric, dans ce contexte, comment le DAM contribue à centraliser les assets plutôt que Dropbox, par exemple ?

  • Speaker #3

    Il y a un exemple très simple. Je vous parlais du PTC. Vous verrez que si vous allez chercher le CaptionWriter dans un asset qui est dans Dropbox, vous ne le trouverez pas. Parce que simplement, il n'y a pas une complétude de l'information à Steam aussi. Après une structuration, maintenant, c'est un vrai challenge aussi parce qu'aujourd'hui, il faut parler, évidemment, on parle de réussite dans un projet, mais il y a aussi quelquefois des échecs. Et il y a une chose qui est fondamentale que très souvent, les éditeurs un petit peu oublient, c'est comme disait Steve Jobs il y a 25 ans, c'est comment on travaille les clients. Et aujourd'hui, si vous regardez au quotidien, ils ont un PC, ils ont un Mac, ils ont des dossiers. Donc très souvent, ils vont trouver beaucoup plus facilement un contenu avec des dossiers. On a des exemples de grosses agences américaines qui sont passées de DAMA à Box, par exemple. Tout simplement, ils ne retrouvaient pas leurs assets. Donc, c'est vrai que l'intégration à l'échelle de l'entreprise, ce n'est jamais évident. C'est un travail du quotidien. C'est pour ça que chez Activo, on a cette passion de l'humain, du collectif et de la vision et de la stratégie pour justement amener le client à une étape supplémentaire. On ne le laisse pas dans la nature comme ça, c'est extrêmement important. Quant à l'intégration, on va dire, plus technologique du DAM, aujourd'hui, un DAM moderne permet quasiment à toutes les capacités de diffuser, de partager à travers ce qu'on appelle les services web. Vous avez sans doute entendu parler d'API. Évidemment, c'est une question d'architecture, et le schéma qu'on vous a montré précédemment, la dacéno, est une représentation d'une architecture, on va dire, plus marketing, mais il y a une vraie réflexion, et nous, chez tous les clients, avant de démarrer un projet, on se pose autour de la table, on définit ce qu'on appelle une architecture cible, et la position du DAM, parce que quelquefois, le DAM peut être mal positionné. Avec Manika, on a un cas d'usage actuellement, le DAM, il est dans une architecture où finalement, il n'est pas exposé. Là, on fait un gros travail finalement pour repositionner le DAM en front qui va venir agréger les contenus qui arrivent dans l'entreprise.

  • Speaker #1

    Ça permettra justement d'exploiter et de réutiliser les assets au bon moment, parce que quand ils arrivent dans le DAM trop tard, en fait, on fait autrement. Je voulais juste compléter là, quand je vois effectivement l'écosystème du DAM. Vous l'aurez compris, ça fait quand même quelques années qu'on fait du DAM. Et au tout début, le DAM était tout seul. Il avait sa vie tout seul. Et plus on est allé dans les architectures et ce qui se passe aujourd'hui en termes de technologie, le DAM sert vraiment d'entrepôt de médias pour des applications tierces. Et ça, c'est ce qu'on essaie de mettre en place. Ça fait aussi écho à la sobriété d'une manière générale, puisqu'on ne va pas faire des copies, mais il va alimenter le PIM. pour illustrer les produits dont on a parlé, les produits d'entreprise, mais il va aussi alimenter les back-office de sites Internet pour justement illustrer les sites Internet. La tendance aujourd'hui, c'est qu'on parle marque, on parle produit, on parle collaborateur, à l'aide de la photo et de la vidéo. Donc, les médias sont très présents sur cette partie-là.

  • Speaker #2

    Merci. Et en effet, ce qui est important d'avoir, c'est… C'est une interaction entre les différents outils. Et moi, j'aurais aimé illustrer ça sur un cas particulier, qui est l'aspect diffusion sur les sites de marques et les sites e-commerce. Aujourd'hui, c'est un enjeu majeur pour les entreprises de s'assurer que la diffusion se passe correctement, parce que souvent, le digital est une source importante de revenus et de propagation de l'image de marque. Donc, s'assurer que les médias sont... les médias les plus à jour, les médias les plus performants sur les différents canaux détenus par les marques, c'est vraiment clé. Donc le DAM aujourd'hui devra s'intégrer, doit nécessairement s'intégrer à cet environnement, aux différents sites qui sont disponibles dans l'entreprise. Ce n'est pas rare d'avoir divers sites qui sont spécialisés pour chaque marque de l'entreprise, mais aussi parfois dans différentes langues. Donc s'assurer qu'on a un seul point de centralisation de l'asset et une diffusion globale de l'asset. de la bonne asset la plus performante sur chacun de ces canaux, c'est vraiment clé. Je prends l'exemple d'un de nos clients qui est Decathlon, qui a plusieurs dizaines de sites e-commerce dans le monde et qui s'appuie sur la technologie Vedia pour diffuser l'ensemble des assets sur ces différents sites, quel que soit l'emplacement dans le monde. Et bien sûr, on voit dans chaque site, il y a ses enjeux particuliers. Chaque site va être vraiment différent avec ses stratégies propres. Mais ce qu'il se cache derrière, c'est toujours les médias les plus performants. qui sont choisis de manière singulière par chaque équipe locale en fonction de ce qui est disponible, auprès des millions d'assets disponibles sur le DAM et stockés sur le DAM. L'autre enjeu, c'est évidemment les API, parce qu'en fonction du contexte, du device utilisé, du site web et peut-être de l'emplacement dans le monde, on va vouloir retravailler l'image, lui donner un format particulier, une certaine qualité, un chargement progressif quand c'est nécessaire. Donc tout ça, ça nécessite que l'outil DAM embarque aussi un certain nombre d'APIs et de fonctionnalités qui permettent de retravailler l'image de manière automatique et directe, je dirais, sans attendre, pour optimiser le travail des webmasters qui vont consommer ces images finalement et les publier sur les différents canaux.

  • Speaker #3

    Ton exemple est bon, puisqu'on a travaillé ensemble sur ce cas d'Hécathlon, effectivement. Je vais vous donner un exemple très pragmatique, par exemple d'un fichier issu d'un fichier TIFF qui fait autour de 350 mégas avec une résolution de 40 millions de pixels. On en fait un JPEG de 3 mégas et la visuelle que vous voyez, c'est un AVIF qui fait 50 kilos avec une largeur de 250 pixels. Et ça, c'est le même asset. De l'asset haute définition, on arrive à une optimisation notamment avec l'AVIF. Cette distribution worldwide de l'électricité en est pas évidente parce que ça passe à travers ce qu'on appelle des CDN. notamment avec ce qu'on appelle le DXM chez WIDIA, basé sur la technologie Akamai. Et c'est un vrai challenge parce qu'évidemment, aujourd'hui, le parcours client, si votre fiche s'affiche en plus de trois secondes, le client va ailleurs. Donc, il y a tout un travail d'architecture et d'optimisation là-dessus qui n'est pas évident. Et de la même manière que votre téléphone, quelquefois, il capte sur les Champs-Élysées, puis 300 mètres plus loin, il ne capte plus, on a la même problématique sur les CDN suivant que la marque se trouve aux États-Unis, en Asie ou en Afrique.

  • Speaker #0

    Merci à tous les deux pour cet exemple concret. Et pour continuer dans le concret, justement, comment aujourd'hui on peut gérer concrètement ces assets de marque grâce aux dames. Peut-être Frédéric pour continuer.

  • Speaker #3

    En fait, on est toujours dans cette problématique à un moment donné, c'est qu'on va essayer de produire, comme disait Malika, le bon contenu à la bonne personne, au bon moment, etc. Évidemment, aujourd'hui, on est dans la personnalisation extrême. Il faut savoir qu'un acteur de la grande distribution, à partir d'un produit, peut facilement avoir dans la distribution, ce qu'on appelle des marketplaces et des divers sites web et e-commerce, avoir pratiquement plus d'une centaine de canaux. Et regarde ces différents canaux, forcément, on a ce qu'on appelle une personnalisation. Il faut savoir qu'un branding en Europe, l'approche peut être différente aux États-Unis comme elle peut être différente en Asie. Donc, à un moment donné, il va falloir apporter une certaine personnalisation de ce contenu. Alors, avec différentes technologies, dans le cas de Weedir, on est par exemple sur ce qu'on appelle du DMM basé sur des lignes d'un serveur et donc de l'édition en ligne, donc qui va partir des éléments graphiques de l'agence pour pouvoir les mettre en ligne d'un point de vue digital. Alors, il y a un certain nombre de technologies, évidemment, je pense que vous connaissez tous Canva. Il y a la version un peu grand public des choses pour vous donner un ordre d'idée de ce que peut faire l'outil côté Wadia. Et puis après, il y a la localisation, parce que forcément, il y a des langues. C'est-à-dire qu'on va produire des contenus différents. Et une chose qui n'est pas évidente à gérer, mais forcément, la même phrase en français, elle est un peu plus longue qu'en anglais. Et puis en néerlandais, elle peut être encore un petit peu plus longue. Donc, vous voyez qu'il y a une gestion de la traduction. Alors aujourd'hui, qui va se faire de plus en plus par des moyens automatique mais de contrôle. Je crois d'ailleurs que Sébastien pourra vous parler de l'intégration typiquement DeepL et pourquoi pas de chat GPT typiquement, mais on a besoin de personnaliser dans la langue du client l'ensemble de ce contenu, d'un point de vue design que d'un point de vue traduction.

  • Speaker #2

    En effet, ça se matérialise dans l'outil avec des fonctions qui permettent finalement cette diffusion ou ce partage des contenus de marques sur des pages dédiées qui permettent de mettre en lumière ces marques dans le contexte avec l'identité qui lui correspond en quelque sorte. Donc ça, c'est un élément clé.

  • Speaker #0

    Ok. Frédéric et Sébastien d'ailleurs également, vous mentionnez tous les deux la capacité effectivement à localiser ou personnaliser justement... les assets, comment là encore le DAM peut y contribuer ?

  • Speaker #3

    On l'a vu un petit peu là, on l'a vu sur l'écran en fait, on est de plus en plus, et c'est un peu une tendance qu'on a depuis un an, dans ce qu'on appelle la mise à disposition de portails, de guidelines. Globalement, on va retrouver chez un certain nombre d'éditeurs de DAM, et vous dire en particulier, une espèce d'habillage CMS, parce que finalement là aussi, quand vous distribuez les contenus de marque, Tout ça se base sur une charte graphique, cette charte graphique peut être différente d'un pays à l'autre, et on l'a très bien vu d'ailleurs sur les exemples de sites web de Décathlon. Une fois c'est bleu, une fois c'est jaune, il y a des mises en avant qui peuvent être un peu différentes. Je dirais qu'il y a 7-8 ans, il y a même 5-6 ans, on ne le faisait pas. Alors si, vous le faisiez dans un CMS à côté, on faisait des connexions, etc. Et là, finalement, la tendance que l'on voit depuis un an sur un certain nombre d'éditeurs, c'est que finalement, c'est de donner cette capacité très simple. sans être ingénieur chez SpaceX, c'est la capacité à pouvoir, de toute façon très modulaire, aller rajouter un composant par-ci, mes dernières collections, après un petit menu qui va permettre de naviguer, par exemple, dans une hiérarchie de facettes ou de métadonnées. Donc voilà, c'est ce qu'on appelle un petit peu cette personnalisation qui est importante, qui aujourd'hui n'est pas encore vraiment gouvernée par l'IA, mais on peut imaginer qu'il y a aussi un champ d'investigation énorme qui peut être fait. Et là, les dames sont souvent un peu en retard, depuis un an, versus notamment les PIM. traçabilité du parcours client et l'adaptabilité en fait à travers aussi bien des workflows prédictifs que de l'interface prédictive.

  • Speaker #1

    Moi je voudrais juste compléter en donnant des exemples concrets. Vous avez des équipes marketing qui présentent, il y a un nouveau produit qui sort, il y a une description du produit et il y a eu 300 photos qui ont été prises par rapport à une campagne ou par rapport à un produit. Aujourd'hui techniquement il se passe quoi en fait ? On est dans les trois quarts. On produit des PowerPoints ou des PDFs en incluant toutes les photos, en mettant tous les textes et en le traduisant comme on peut, en fait, dans plusieurs langues. Et on pousse ça sur le DAM et on demande aux personnes de venir télécharger des fichiers qui, d'une part, sont très lourds. Et en même temps, on n'a plus le suivi des modifications qui sont apportées. Donc, en fait, ce qu'on dit, c'est que ces outils de Brand Guidelines permettent à des utilisateurs qui ne sont pas des développeurs, qui sont dans des équipes marketing, commerciales, etc., de proposer de... très vite monter une page, voire décliner des pages et les mettre à disposition de leurs consommateurs, des assets et des textes qui vont avec.

  • Speaker #0

    Oui, alors c'est intéressant parce que ces enjeux de mise à disposition des assets dans le cadre de campagne, effectivement, ça doit être régi par, aujourd'hui, dans certains dames comme le nôtre, des pages qui permettent de les mettre en lumière, les mettre en avant, de décrire les raisons d'être des contenus et les cas d'usage. Et puis, immédiatement après, se pose la question de ces assets qui sont dans un format que je pourrais appeler ou qualifier de master. qui donne le « là » en quelque sorte sur la campagne et les images ou les vidéos et les documents sources, comment les traduire ou les localiser en fonction du contexte local de chaque entité. Et donc là, on rentre dans un processus de localisation et il est nécessaire d'avoir des solutions et des outils qui permettent d'accompagner cette localisation de manière simple. Par le passé, c'était assez logique de… de fournir ce package de contenu source aux agences locales qui produisaient à la chaîne des contenus localisés en fonction des besoins locaux. L'inconvénient de ça, c'est essentiellement un problème de coût et de réactivité, de contrôle évidemment et d'aller-retour, mais de coût et de rapidité de diffusion, parce que ça nécessite des contrats, des relations avec l'agence, des allers-retours. Et puis finalement, les équipes locales perdent un petit peu le pouvoir de... de créer ces contenus. Il y a eu une grande tendance depuis maintenant 5-6 ans où les entreprises souhaiteraient embarquer les actions des agences en interne, réintégrer les agences en quelque sorte, une partie des activités. Et en fait, c'est dans cette problématique-là ou dans cette tendance-là qu'on va s'insérer et s'inscrire pour pouvoir fournir aux équipes locales la capacité de traduire et localiser directement leurs contenus à partir de masters créés au niveau central. Et bien sûr, tout ça, ça va être accompagné d'outils du type IA qui vont faciliter cette phase-là. Donc, tout à l'heure, tu en parlais, Frédéric, la capacité de la traduction. Aujourd'hui, on le voit bien avec tout ce qui est LLM, chat GPT et autres. On a l'impression qu'en quelques clics de bouton, on va pouvoir avoir de la traduction. Alors, ce n'est pas toujours qualitatif, malheureusement. C'est pour ça que chez Vedia, nous, on a fait ces études. étudier différentes solutions qui permettaient de faire la traduction avec des clients de référence, notamment ChatGPT versus Dipple. La conclusion de ces études nous a mené à sélectionner une brique type Dipple qui permet, en complément d'une traduction assez précise, d'avoir une mémoire de traduction qui va permettre de stocker le langage métier de l'entreprise et donc faciliter... cette localisation des contenus sans utiliser des mots qui sont soit réservés à l'entreprise ou spécifiques au cas d'usage de l'entreprise. Donc ça, c'est vraiment clé parce que sinon, immédiatement, on se retrouve avec de la traduction qui n'est pas pertinente et qui doit être de toute façon retravaillée manuellement. Donc, on perd le bénéfice de lire. Et donc, ça s'illustre en fait par quelques exemples avec un de nos clients qu'on a aux États-Unis, qui est Harley Davidson. Donc, ils utilisent la plateforme pour fournir des masters à l'ensemble des revendeurs partout dans le monde. Donc, ils créent des templates qui seront localisés en fonction du contexte. Alors, soit des templates digitaux comme on le voit ici, soit des templates qui sont plutôt orientés print. Et là, c'est typiquement les feuillets qui se trouvent sur les véhicules dans chaque concession. Alors, on commence à reconnaître un petit peu quelque chose qu'on a évoqué un peu plus tôt, qui est le lien avec le PIV. parce qu'évidemment... Quand on présente un modèle de véhicule, il faut être en capacité de ressortir les informations associées au véhicule qui, elles, proviennent du PIM. Et donc, on va associer images, prix qui viennent de l'ERP et puis informations de produits qui viennent du PIM.

  • Speaker #1

    Merci Sébastien. On a évidemment parlé un peu, déjà, vous venez de le faire, en matière de traduction, en matière de personnalisation. Mais au-delà de ça, quels sont un petit peu les apports de l'IA au DAM ? Marika pour répondre à cette question.

  • Speaker #2

    Alors ça c'est une très bonne question. Alors nous en tant que conseil, on a des clients qui nous appellent en disant « ben voilà en fait moi j'ai envie de changer de dame, on a un problème, on cherche, on ne trouve pas » . Donc la première question c'est de dire « le dame ne fait pas son job parce que nos utilisateurs ne retrouvent pas les contenus quand ils cherchent » . Donc là évidemment nous on a une fonction de bilan de santé de regarder pourquoi on ne retrouve pas, mais là typiquement… l'IA peut aider déjà sur la recherche, peut aider via de la recherche par similarité. De plus en plus, on retrouve de la recherche en langage naturel. Voilà, donc ça peut être un complément et un peu un petit copilote de recherche pour les utilisateurs. Mais avant d'arriver là et avant de passer sur la partie traduction, on a ce qu'on appelle aujourd'hui un peu les smart tags et l'auto-tagging. Et donc, effectivement, on peut avoir des IA qui peuvent aider. à compléter l'indexation qui est faite sur les assets. Alors, je n'aurais tendance à dire que pour des assets aujourd'hui qui sont de type photos d'illustration, c'est bien rodé. Maintenant, il faut faire attention à les mots-clés qui sont aujourd'hui attendus dans les entreprises. Ce sont des mots-clés qui sont aussi spécifiques sur des sujets spécifiques par rapport à l'entreprise. Et donc là, en fait, ça se complète et ça rejoint ce que Sébastien disait. C'est-à-dire que si on continue d'entraîner, on lui dit ça. tel modèle de sac, tel modèle de jupe ou une bouteille de champagne mais dans une bouteille sombre et donc il va bien vérifier il va bien comprendre que c'est pas une bouteille de vin on n'en est pas tout à fait là mais il y a des débuts et moi je trouve que déjà répondre à la problématique on trouve pas nos assets donc on est pas dans une réutilisation donc on reproduit et donc on est pas content du dam ça apporte Merci. apporte beaucoup à ce niveau-là, en fait, avec la reconnaissance sur les images, la reconnaissance faciale, toute cette partie qui favorise la recherche et qui accompagne la recherche.

  • Speaker #0

    Alors, moi, pardon.

  • Speaker #2

    Je vais rajouter quelque chose,

  • Speaker #0

    peut-être c'est le cas. Oui, voilà. En fait, la vision que nous avons chez Vedia, elle est complémentaire à ça, c'est de se dire que sur les cas d'usage liés à l'IA, il y a une... Il y a une IA qui va être plutôt générique pour la catégorisation dont tu parlais, qui est assez intéressante pour un niveau basique de catégorisation. Effectivement, on va reconnaître s'il y a des personnes, des enfants, des adultes, s'il y a des voitures sur les images ou dans les vidéos. On va éventuellement faire du speech-to-text, donc transcription et puis de la traduction. mais finalement ça va avoir assez peu de valeur ajoutée ou une valeur ajoutée assez limitée parce que dès qu'on rentre dans un contexte d'entreprise, on va être bloqué. Le fait que chez BMW, il n'y a que des voitures sur l'ensemble des images ou chez Michelin, il n'y a que des pneus. Donc, l'IA ne va pas catégoriser de manière suffisamment précise. Donc, on va rentrer dans une étape où ça va nécessiter un apprentissage. Et là, on rentre dans des complexités qui sont… importante pour l'utilisateur si on n'est pas expert en apprentissage.

  • Speaker #3

    Le point que tu soulignes est important. Et puis, si je reprends le propos de Luc Julia, qu'on avait encore sur Andam cette année, fin d'année dernière, c'est comment rendre intelligente l'intelligence artificielle et qu'est-ce qui marche vraiment. Donc, tout ce qu'on a dit, c'est juste. Mais toi, effectivement, la CBCA nous montre un écran qui est intéressant, qui est une vue de filtre avec un ordonnancement de métadonnées et de dépendance. Ça, c'est ce qu'on appelle du vocabulaire contrôlé. Et aujourd'hui, ce qui serait bien, on parle un petit peu comme une wishlist pour l'éditeur, c'est que cette distribution, quelquefois qui peut être aléatoire de mots-clés, il faudrait pouvoir leur donner du sens et la recoller finalement à une taxonomie ou à un thésauriste qui gère ce vocabulaire contrôlé. C'est là où, effectivement, on peut encore améliorer l'expérience utilisateur. Le chemin, on n'est qu'au début de l'histoire. Mais ne jamais oublier que l'IA, c'est bien. C'est un outil qui peut accélérer Merci. me disait Malika, la gestion de l'enrichissement du contenu. Mais voilà, il faut toujours penser aux bénéfices pour l'utilisateur final.

  • Speaker #0

    Et en complément de cette IA, je dirais classique, standard ou historique, en quelque sorte, sont arrivés l'ensemble des LLM, et l'IAG, les relatives, qui apportent de nouveaux cas d'usage et de nouveaux bénéfices. Donc Malika, tu en parlais tout à l'heure, la recherche. capacité de recherche avancée type vectoriel, la capacité de faire du légendage. Nous, par exemple, chez Vedia, on a fait aussi des études sur différents fournisseurs. D'ailleurs, on utilise plusieurs fournisseurs de briques technologiques en fonction des cas d'usage. Un coup DeepL pour la traduction, un coup AWS et Azure pour la catégorisation. On utilise aussi, via notre partenariat avec Anthropy, Cloud pour générer les légendes. En fonction du cas d'usage, on va s'appuyer sur un LLM qui est le plus performant dans son cas d'usage. On utilise aussi DAL-I pour la génération d'images en particulier. Donc en fait, chaque cas d'usage va nécessiter une brique particulière. La vraie contrainte et l'apport d'un bon éditeur, c'est de présélectionner les bons fournisseurs d'IA en fonction du contexte, de manière prouvée, avec des cas d'usage clients qui éprouvent la solution. en fonction du besoin et de la spécificité du cas d'usage. Et donc, fournir une intégration sur étagère permet d'aller plus vite pour nos clients.

  • Speaker #2

    Moi, je voudrais juste rajouter un point dont on n'a pas parlé, en fait. C'est la partie en amont au niveau du DAM. Là aussi, on a des clients qui nous disent, notre DAM, ça ne va pas, on met n'importe quoi dedans. Et donc, en fait, quand on étudie avec les utilisateurs, on s'aperçoit que beaucoup de pain points à ce niveau-là peuvent se régler sur un workflow dès le départ au niveau de la production des contenus. C'est-à-dire qu'on gère et qu'on… on automatise, on contrôle, on affine, on valide le contenu dès la production de ces contenus-là. Et là aussi, l'IA peut faire quelque chose, parce qu'en fait, on peut définir des règles en disant, voilà, moi, mes contenus, je les attends comme ça, j'attends le produit placé là, etc. Et ça peut aider dans la validation de cette fameuse production d'assets en amont qui va jusqu'à importer les assets sur la plateforme. Donc ça aussi, c'est un sujet... voilà qui est très important alors je vois et c'est bien si on a parlé de l'IAGN alors je pense qu'en fait on se pose toujours la question c'est est-ce que vraiment le DAM son rôle est de générer et de permettre de générer des contenus voilà donc moi aujourd'hui alors c'est vrai de part je pense un peu nos expériences on travaille avec des marques qui produisent des produits les visuels il y a des visuels qu'on peut produire et qu'on peut faire produire par l'IA et il y a d'autres produits où l'IA ne va pas ne répondra pas en IAGN j'entends sur la production donc je pense qu'on y va doucement mais on y va ça c'est sûr il ne faut pas avoir peur d'y aller mais

  • Speaker #3

    sur quel type de contenu en fait il faut que je me lance et tester C'est comme ça qu'on arrive à innover, parce qu'il faut toujours avoir un leitmotiv derrière de l'innovation. On est dans un monde qui a changé, avec des GAFA qui investissent des centaines de millions de dollars. Donc évidemment, il faut aller pour un éditeur de dames, c'est primordial. Je pense que ce que Sébastien vient de nous exposer est la parfaite représentation. Ne pas oublier les notions de droit également, parce que là aussi, à partir du moment où on crée du contenu, il y a une histoire de confiance. Là aussi, sur Endame, on est revenu. nombreuses fois sur ce trust, en fait, et en tout cas de matière, la pérennité du droit d'auteur dans tout ça, parce qu'à un moment donné, on va prendre des images par-ci, par-là. Donc, il faut avoir une traçabilité aussi parfaite de ces contenus.

  • Speaker #0

    Oui, et puis sur le côté...

  • Speaker #2

    Au niveau des DAM, on a bien aussi cette information, on a parlé d'IPTC, on a parlé de métadonnées. Il y a aujourd'hui une règle et une norme qui fait que faisons attention, et quand on a des contenus qui sont importés sur le DAM et qui proviennent de l'IA. bien le mentionner et que quand on ne veut pas que nos contenus entraînent une IA, aussi bien le mentionner à travers ces IPTC qui sont des données encapsulées dans l'image. Et donc, tout le monde peut y accéder et le lire, même quand la set est en dehors du DAM.

  • Speaker #1

    C'est très bien.

  • Speaker #0

    Non, non, simplement, en fait… Oui, j'abondais dans ton sens. C'est essentiel de pouvoir s'assurer que les images du DAM des entreprises ne soient pas utilisées pour entraîner une IA généraliste. Donc, l'objectif de l'éditeur, comme je vais dire, c'est de s'en assurer. Et donc, au travers de ces partenariats, faire en sorte que l'information ne transite que dans un sens, en quelque sorte. Donc, pour ce qui est du LLM et du légendage... l'image soit analysée, mais ne soit pas envoyée en quelque sorte au fournisseur et à l'éditeur d'IA pour entraîner ces modèles. Donc, s'assurer d'une bonne confidentialité de ces informations. C'est d'autant plus essentiel qu'il y a beaucoup d'acteurs qui se lancent régulièrement. On a vu il y a quelques jours ou semaines DeepSeek qui a fait grand bruit. C'est un terrain qui est très mouvant et donc, effectivement, il faut tester, il faut évoluer. Il faut analyser le marché qui bouge beaucoup ces derniers temps.

  • Speaker #1

    Il va falloir conclure tout doucement. On arrive enfin de cesser.

  • Speaker #2

    Déjà.

  • Speaker #1

    Déjà.

  • Speaker #0

    Donc, je vous ai partagé un petit lien pour ceux que ça intéresse. En fait, Forrester, qui est une des maisons de recherche américaines sur le DAM, entre autres, a fait une étude sur… une sélection de quatre de nos clients sur l'impact de la technologie Vedia, DAM, en quelque sorte le ROI qu'il a procuré sur ces quatre clients majeurs. Donc je vous recommande d'aller télécharger l'étude, c'est assez intéressant. ça met en lumière vraiment les bénéfices que peuvent apporter une solution d'âme comme Vedia sur des clients réels au travers d'une étude de différents cas d'usage utilisés dans le contexte du d'âme.

  • Speaker #1

    Malika, Frédéric, si vous voulez nous parler un petit peu...

  • Speaker #3

    Pour la première fois l'année dernière, on a lancé le premier magazine activo pendant OnDam. Donc là, vous pouvez scanner ce QR code, vous retrouvez le lien qu'on vous partage sur le chat. L'idée là aussi, c'est de revenir globalement, surtout par co-client, depuis l'expression de besoin, le choix de la solution, les services, la gestion de contenu, et la distribution. donc là c'est tout un... avec 5 clients très intéressants qui sont partis, avec qui on travaille, sur lequel... Et avec des solutions différentes, pour montrer toute notre agnosticité à ce niveau-là, donc ça, c'est important. Et là aussi, vous allez retrouver un certain nombre aussi d'informations autour des marques. Alors, chez Activo, alors évidemment, toute chose étant égale par ailleurs, on ne va pas se comparer à Forrester, etc., mais cette approche agnostique, elle est importante, parce que finalement... Quand on audite un éditeur, on ne lui demande rien de spécifique, ça ne coûte pas d'argent. Et on fait en tout cas une introspection extrêmement profonde, extrêmement détaillée, notamment à travers notre équipe Danews. Et vous pouvez retrouver d'ailleurs l'étude complète de tout ça sur le site Danews, digitalsetmanagement.org et danews.fr en téléchargement. Donc en tout cas, n'hésitez pas si vous avez des questions. et la version française va arriver d'ici le mois prochain avec beaucoup de complétion et de comparatif des solutions.

  • Speaker #2

    Voilà, merci Frédéric. Moi, je voulais juste rajouter une chose. Donc, effectivement, retour sur Rundam 2024, là aussi, vous pouvez flasher le code et retrouver l'événement, la quatrième édition, qui a eu lieu le 19 et le 20 novembre passé. Archimald est en partenaire, Wedia est en sponsor Gold. Une chose qui est importante, on a parlé tech, on a parlé outils, on a parlé interface, intégration, IA, etc. N'oubliez pas, tout projet de transformation digitale, c'est people, process et tech. Donc, choisissez la meilleure technologie qui vous correspond le mieux, c'est sûr, c'est important. Par contre, n'oubliez pas vos métiers, n'oubliez pas vos équipes et les process et le travail collaboratif ensemble.

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Transcription

  • Speaker #0

    Nous avons le plaisir de recevoir Malika Keshish et Frédéric Sanuy d'Activo. Bonjour à tous les deux.

  • Speaker #1

    Bonjour. Bonjour Fabien, bonjour à tous.

  • Speaker #0

    Bien entendu, Sébastien Bardos du groupe Vedia. Bonjour Sébastien.

  • Speaker #2

    Bonjour Fabien, bonjour à tous.

  • Speaker #1

    Bonjour Sébastien.

  • Speaker #0

    Alors je vous donne la parole peut-être pour présenter un petit peu vos sociétés respectives et je crois qu'on peut commencer avec toi Sébastien.

  • Speaker #2

    Oui, donc Vedia, c'est un éditeur de logiciels d'âme qui fournit une interface intuitive d'énorme capacité de personnalisation. On est sur le marché du dame depuis une dizaine d'années et on travaille avec des clients de grands comptes et de taille intermédiaire. sur tout secteur d'activité, allant du retail à la banque, en passant par l'industrie. Quelques références, Decathlon, Crédit Agricole, Cofeld pour les matelas, par exemple. Pour ce qui est de ma part, je suis Sébastien Bardos, je suis directeur commercial chez Vedia, où je travaille depuis environ 9 ans.

  • Speaker #0

    Et vous continuez peut-être avec Activo ?

  • Speaker #1

    Parfait. Activo est un cabinet de conseil en transformation digitale avec une spécificité où on travaille vraiment autour du flux photo et vidéo des entreprises. Donc, on est expert sur la recherche de solutions, sur le déploiement de solutions et sur la gestion au quotidien de plateformes PIMDAM et CMS. Et on est ravi de participer à ce webinaire.

  • Speaker #0

    Et on est ravis, bien entendu, de vous recevoir. Je crois que vous vouliez aussi nous parler un petit peu d'autres sujets, de plateformes. Oui.

  • Speaker #3

    Frédéric ? Oui. Encore à tous, effectivement. Et puis, je rajouterais un petit peu, c'est un peu le leitmotiv aujourd'hui, c'est qu'on a une approche agnostique, puisqu'on le dit souvent, il n'y a pas des clients, mais il n'y a pas une solution, mais des solutions. Et en fait, finalement, quand on essaie de... de retracer le parcours client. Le parcours client, il démarre par, effectivement, la requête de la recherche des besoins, l'écriture de ces besoins autour d'ateliers de coworking, trouver une solution, qu'elle soit Damping, CMS, et on verra un petit peu le pourquoi de ces trois besoins et quelle est leur implication à l'échelle de l'entreprise. Et puis, dans tout ce qui est aussi déploiement, parce que là aussi, on aime accompagner les clients dans la réalisation de ces beaux projets Damp, notamment. avec de la gestion de contenu. On va parler d'IA, mais effectivement, l'IA, elle a aussi beaucoup d'humains pour contrôler le vocabulaire. Et ce slide, finalement, résume relativement bien un petit peu notre approche. Le bilan de santé, parce que là aussi, peut-être souvent un petit peu à tort, en France, on est à vouloir remplacer la solution au gré de mutations d'équipes, etc. Donc là aussi, notre adage, il est véritablement 95% de process et people et 5% de technologie. Avant de changer, on prend le temps, on examine, on regarde un petit peu les souffrances possibles. Et puis après, vous avez toute une série de services qui vont, comme je le disais, du RSI, la gestion de projet, la migration de vos médias, s'occuper des droits et des usages, gérer du patrimoine, et le tout avec une politique, un accompagnement dédié et personnalisé.

  • Speaker #1

    Actibo, c'est une quinzaine de personnes. Aujourd'hui avec des profils différents, on a des experts, on a des chefs de projet, on a des content managers et c'est cet ensemble aujourd'hui qui arrive à répondre aux besoins de nos différents clients qui sont multi secteurs d'activité.

  • Speaker #3

    Alors DAMNEWS là aussi c'est important, c'est une étape dans la vie d'Activo à l'acquisition du site il y a deux ans avec un site qui était anglo-saxon avec la publication d'un livre référent qui est l'entreprise DAMNGuide. qui référence à 516 solutions sur le marché, 500 pages. Donc là, vous pouvez aller sur le site précédent et qui est marqué en dessous avec un QR code, mais je crois que vous aurez une agrégation de liens par la suite. Et puis, on est en France, et puis en France, c'est le pays des lumières et aussi des idées. Donc, il nous paraissait indispensable, en tout cas, de faire une déclinaison française qui vient d'être lancée, d'amnews.fr. Donc là, c'est très simple dans l'URL. Et là, vous allez pouvoir retrouver notamment une présentation d'une quinzaine d'éditeurs qui ont une solution qui est en français avec des équipes en français. Donc du coup, on est dans un cadre plus restreint. Et là aussi, c'est une affaire de contenu avec un ensemble de contenus aussi bien d'articles, de fonds, de vidéos, de témoignages. Voilà, donc ça, c'est notre grand projet d'année qui vient de s'être lancé.

  • Speaker #0

    Super, merci à tous pour ces présentations. Alors, je vous propose effectivement qu'on se lance vraiment dans le vif du sujet. Avant ça, je vais lancer un petit sondage auquel nos participants vont pouvoir répondre pour nous indiquer un petit peu si aujourd'hui ils sont équipés ou pas d'une solution de DANE et si oui, de plus. combien de temps et pendant que je fais ça je me tourne vers toi Sébastien au hasard peut-être pour poser quelques bases autour du DAM qu'est ce que c'est concrètement et à quoi ça sert ?

  • Speaker #2

    En effet merci merci Fabien de poser la question c'est essentiel de revenir sur les basiques donc l'objectif d'un DAM c'est naturellement de gérer les médias alors quand on parle de médias on parle de plusieurs choses des images des vidéos des photos des médias plus modernes type 3d 360 Donc l'objectif du DAM, c'est de pouvoir être en capacité de stocker, partager de manière sécurisée l'ensemble de ses assets, quels qu'ils soient, et s'intégrer à un écosystème qui est l'écosystème d'entreprise et les différents outils qui s'y trouvent. On verra ça un peu plus tard dans la présentation. L'autre enjeu du DAM, c'est essentiel aujourd'hui, c'est tout ce qui a trait à la sobriété digitale, donc faire en sorte que les bons médias soient utilisés et... et qu'on ne rentre pas dans une situation où on dispose de trop de médias qui sont inutiles et qui génèrent une empreinte écologique qui soit néfaste pour la planète. Donc le DAM, c'est finalement un outil qui est multi-objectif, la gestion des assets, la diffusion, le partage, et puis l'optimisation de ces différents contenus.

  • Speaker #1

    Alors il y a une phrase qui résume le DAM, et qui est de dire que le DAM permet de distribuer le bon asset. aux bonnes personnes, au bon moment, dans le bon format et sur le bon support. Donc ça résume le fait de dire, quand on a des assets et qu'on a besoin de les centraliser, n'importe solution, oui, on peut avoir un dossier, on peut le déposer quelque part, on peut le déposer sur des dossiers partagés, pour autant, ce n'est pas une solution d'âme. Et je pense que ce que j'aime bien aussi sur la slide précédente de Sébastien, c'est cette sobriété numérique, en fait. Parce qu'une des fonctionnalités aujourd'hui qu'on retrouve au niveau du d'âme, c'est justement de distribuer le bon format de mon asset sur le bon support en adéquation. Je ne charge pas un fichier type qui pèse 2 gigas sur un PowerPoint, ça n'a pas de sens et ça n'apportera pas plus. Donc ça, c'est des choses qui sont vraiment très importantes à mentionner et c'est vraiment des spécificités aujourd'hui. Nous, en tous les cas, on voit côté besoin utilisateur et côté éditeur de solutions. Donc là, c'est un schéma qui résume aussi, parce que le DAM, c'est aussi la gestion du cycle de vie des médias. Il ne s'agit pas de prendre tous ces assets et pendant 5 ans, 10 ans, 20 ans, 30 ans, alimenter tout sur même plateforme. À un moment donné, je gère le cycle de vie de l'asset. Le DAM permet de centraliser et d'importer des assets, Sébastien l'a très bien dit, de tout type de format, la photo, la vidéo, les artworks, les objets 3D de plus en plus, etc. de les centraliser, de les cataloguer, de les indexer, de les classer avec des métadonnées, de faire appel à l'IA par rapport à ça qui peut aider, et de connecter cette plateforme pour pouvoir redistribuer ses assets sur les fameux bons supports. Donc ça peut être du web, des sites internet, des réseaux sociaux, du print, de la télé, des mobiles, des applications dans les boutiques, etc. Mais tout ça, c'est aussi la gestion du cycle de vie. À un moment donné, quand l'asset n'est plus actif, quand le produit qui est représenté par les assets n'est plus actif, qu'est-ce qu'on fait de ces assets au niveau de l'entreprise ? Évidemment, la solution, ce n'est pas juste de dire je les supprime, ce n'est pas le sujet, mais c'est de penser justement à ce cycle de vie et cette sobriété de demain.

  • Speaker #0

    Merci à tous les deux pour… Pour ces fondations, je l'ai dit, effectivement, cette matinée, elle est consacrée aux Dames et aux PIM. Donc, évidemment, je vous pose la question, quelles sont un petit peu les complémentarités entre ces deux technologies ? Je reviens peut-être vers toi, Sébastien.

  • Speaker #2

    En effet, c'est une question importante et intéressante. Certains de nos auditeurs pourraient se poser la question de ne prendre qu'un PIM pour gérer à la fois les médias et les données produits, ou inversement, qu'un seul Dame. en fait dans la plupart des cas La décision se résume simplement au fait que chacun a son objectif principal. Comme je le disais juste avant, l'objectif du DAM, c'est de pouvoir gérer de manière performante l'ensemble des assets, qu'ils soient associés à des produits ou qu'ils aillent au-delà de ces produits, des assets qui peuvent être de communication, des assets de marque. Donc, c'est essentiel d'avoir une solution qui permette d'avoir cette vue multidimensionnelle sur les assets. À côté de ça, il y a le PIM qui va lui gérer les aspects purement produits. cycle de vie des produits, informations produits et qui va s'intégrer très généralement au site web pour publier ces informations produites sur les sites web et notamment sur les sites e-commerce. Donc dans le scénario idéal on intégrerait ces deux technologies pour obtenir finalement chacun sa meilleure performance. Quand on parle d'intégration c'est évident qu'il faut faire des choix et donc il y aura des informations qui seront partagées entre les deux systèmes d'information. Les métadonnées, par exemple, l'architecture produit avec tous les SKUs, pourront être synchronisées avec le DAM pour associer des images produits aux produits disponibles dans le PIM. Et puis inversement, certains médias, comme les images principales ou Hero Image, on va les pousser vers le PIM de manière à ce qu'elles soient disponibles et ensuite diffusées sur les différents canaux. Donc l'enjeu, ça va être une intégration forte et puis aussi de l'automatisation parce que lorsqu'on a des millions de références produits, on ne peut pas se permettre de manuellement associer des produits et des images. On ne peut pas, quand on a des millions d'assets, s'amuser à copier ces assets-là sur le PIM ou sur le CMS de manière manuelle.

  • Speaker #1

    C'est tout à fait ça. Nous, on dit toujours un PIM est un PIM et un DAM est un DAM et chacun a son rôle. et sa force. Et en fait, ils sont complètement complémentaires. Le DAM va gérer au-delà des assets, des produits, donc ce qu'on disait, ça gère aussi tout ce qui est les éléments de la marque, les logos, les chartes, etc., des choses qu'on ne va pas forcément pousser directement sur le PIM, en lien avec les produits. Et le gros avantage, c'est qu'en termes d'architecture, et je crois qu'en fait, Sébastien, tu as un schéma ensuite par rapport à ça, c'est de dire j'ai un PIM, j'ai un DAM, j'ai un CMS, ça permet aussi quelque part de faire évoluer les systèmes au niveau de l'entreprise selon la volonté de l'entreprise et son évolution à elle-même, sans pour autant tout casser et tout remettre en difficulté. Je vais laisser Frédéric peut-être recommander.

  • Speaker #3

    Je pense que vous avez dit licenciage. En fait, ce schéma d'Akeneo est assez parlant à lui-même. En fait, l'UDAM a vraiment pour objet d'être la fondation de la distribution des contenus dans l'entreprise. Il faut savoir qu'aujourd'hui, on a des contenus qui sont… riches qui sont en très haute définition. Alors évidemment on a aussi beaucoup de cas clients, quand on investit dans les solutions il y a aussi des contraintes budgétaires. Donc on peut être tenté effectivement à faire d'âme et pime en même temps. Je pense qu'il faut avoir essayé d'avoir une vision et une stratégie. Ça aussi c'est le rôle de l'éditeur à un moment donné de se projeter, d'accompagner les clients, en tout cas c'est ce que nous on essaye de faire. et que finalement on peut très bien éventuellement, possiblement commencer avec un PIM qui fait un peu d'âme. Il faut savoir que si vous avez des EPS un peu lourds, des larges chiffres, la base de données même d'un PIM, elle n'est pas faite pour processer ce type de fichier. On a nombre de clients qui se retrouvent avec 100 000, voire plus d'assets dans un PIM, et puis tout ça, ça rame un peu. Et je pense qu'il y a une intelligence collective à avoir dans cette relation entre d'âme et PIM. Et ce schéma est une parfaite expression, même s'il est un petit, il date de quelques années, et vous voyez que l'expression de besoin client En tout cas, elle n'a pas vraiment évolué de ce sens-là. C'est-à-dire qu'on a une gestion de la data. Et le PIM est un petit peu entre DAM et MDM. Le MDM, ce Master Data Management qui peut prendre diverses formes. Et le PIM et cet SOS, les Américains l'appellent le Glue Software. C'est véritablement cette capacité finalement à relier, à clarifier la donnée, à la syndiquer. C'est très important. Mais le DAM, à travers la distribution de ses URL, comme on va le voir, a un rôle clé justement dans l'optimisation du parcours client et de la distribution des médias.

  • Speaker #0

    Merci à tous. Et en matière de sécurité, parce qu'on sait que c'est un enjeu majeur pour les entreprises.

  • Speaker #3

    C'est pour Mélanie. Alors,

  • Speaker #1

    je démarre Fabien. Effectivement, aujourd'hui quand on met en place un DAM, on a des utilisateurs qui récupèrent des contenus à droite à gauche et qui disent « ah bah tiens c'est super, je charge et je mets mes photos, j'ai tout récupéré, je mets mes photos sur le DAM » . Et en fait, il y a une phrase qui est vraiment super importante et que je répète à chaque fois que je forme des utilisateurs sur des solutions DAM. durant mes cours, c'est nos contrats, nos photos. On pourrait l'étendre à nos contrats, nos assets dans le DAM. Je n'importe pas des assets sur un DAM sans savoir qui peut les utiliser. comment ils peuvent les utiliser et comment ils peuvent les partager et à qui ils peuvent les partager. Donc ça, c'est important, c'est de dire que même quand on dépose des assets, on a une notion de responsabilité et ces informations-là, elles sont directement liées au contrat des auteurs. Donc on parle de plus en plus d'auteurs liés aux images et on fait très attention aujourd'hui par rapport à ces droits-là. Toutes les solutions d'âme aujourd'hui permettent de gérer, de suivre ces données-là. Tout à l'heure, j'ai parlé du cycle de vie des assets, ça en fait partie. Quand on n'a plus les droits par rapport aux assets, on a aujourd'hui des applications qui permettent d'automatiser des alertes, des suivis, de l'archivage, de la mise à disposition ou pas à certains des fichiers hauts définitions, quand le fichier n'a plus les droits. Donc ça, c'est une partie qui est très importante dans le DAM. Et les solutions DAM permettent de gérer justement ce niveau très précis d'accès aux images.

  • Speaker #3

    Merci, Mélika. Je crois que je dois avoir un petit... Il y a un petit point que je rajouterais, il y a le mot IPTC. Je ne sais pas si tout le monde sait ce que c'est que l'IPTC. Vous pouvez aller voir sur IPTC.org. C'est pour International Press Telecommunication Council. C'est une métadonnée qui accompagne les fichiers. Ça, c'est extrêmement important. On va dire deux choses. Ça permet en tout cas de suivre l'information avec le fichier et aussi en termes de SEO. Depuis 2020, Google vient parser ses éléments dans la distribution. Merci.

  • Speaker #2

    Merci Frédéric. Alors en effet, tout ça c'est la base et les grands principes qui régissent la sécurité et les droits d'accès. Et tout ça, ça doit avoir une certaine corrélation ou un corollaire côté outils. Donc l'outil doit disposer des fonctionnalités qui permettent aux administrateurs et aux utilisateurs, d'une part de bien gérer le cycle de vie ou workflow des assets à chaque étape de sa vie. être en capacité de fournir des outils de sécurisation pour que les assets puissent être accédés uniquement dans les conditions qui sont définies par les droits d'auteur, notamment, et s'assurer que lorsque ces assets sont publiés, ils puissent être dépubliés automatiquement. Ça permet également de sécuriser la diffusion dans quelques cas, notamment permettre que les vidéos soient vues que sur certains sites web, parce que c'est des vidéos privées à certaines entreprises. On a ressorti quelques exemples. L'objectif, ce n'est pas d'entrer dans le détail, mais dans une solution comme Vedia ou un DAM moderne, on doit être en possibilité de gérer soi-même l'ensemble de ces informations de type structure, cycle de vie et droit d'accès et d'usage des différents médias en fonction du contexte et des rôles des utilisateurs qui existent.

  • Speaker #3

    Je pense que ce qui est très important, Sébastien, c'est En 2025, vous devez avoir les clés du camion, comme on dit souvent, parce qu'aujourd'hui, on est assujetti à faire des modifications. On le verra, mais on a aussi un vrai challenge avec des plateformes cloud. Manika le précisait, Dropbox n'était pas un cloud, mais aujourd'hui, il y a des investissements énormes sur ces plateformes cloud qui font qu'elles sont très en avance technologiquement, avec des coûts qui défient toute concurrence, ce qui fait qu'à un moment donné, les clients ont cette expérience-là. Donc c'est important dans le DAM, en tout cas, d'avoir cette... cette capacité de gérer son outil sonal.

  • Speaker #0

    Et justement, dans ces conditions, Frédéric, dans ce contexte, comment le DAM contribue à centraliser les assets plutôt que Dropbox, par exemple ?

  • Speaker #3

    Il y a un exemple très simple. Je vous parlais du PTC. Vous verrez que si vous allez chercher le CaptionWriter dans un asset qui est dans Dropbox, vous ne le trouverez pas. Parce que simplement, il n'y a pas une complétude de l'information à Steam aussi. Après une structuration, maintenant, c'est un vrai challenge aussi parce qu'aujourd'hui, il faut parler, évidemment, on parle de réussite dans un projet, mais il y a aussi quelquefois des échecs. Et il y a une chose qui est fondamentale que très souvent, les éditeurs un petit peu oublient, c'est comme disait Steve Jobs il y a 25 ans, c'est comment on travaille les clients. Et aujourd'hui, si vous regardez au quotidien, ils ont un PC, ils ont un Mac, ils ont des dossiers. Donc très souvent, ils vont trouver beaucoup plus facilement un contenu avec des dossiers. On a des exemples de grosses agences américaines qui sont passées de DAMA à Box, par exemple. Tout simplement, ils ne retrouvaient pas leurs assets. Donc, c'est vrai que l'intégration à l'échelle de l'entreprise, ce n'est jamais évident. C'est un travail du quotidien. C'est pour ça que chez Activo, on a cette passion de l'humain, du collectif et de la vision et de la stratégie pour justement amener le client à une étape supplémentaire. On ne le laisse pas dans la nature comme ça, c'est extrêmement important. Quant à l'intégration, on va dire, plus technologique du DAM, aujourd'hui, un DAM moderne permet quasiment à toutes les capacités de diffuser, de partager à travers ce qu'on appelle les services web. Vous avez sans doute entendu parler d'API. Évidemment, c'est une question d'architecture, et le schéma qu'on vous a montré précédemment, la dacéno, est une représentation d'une architecture, on va dire, plus marketing, mais il y a une vraie réflexion, et nous, chez tous les clients, avant de démarrer un projet, on se pose autour de la table, on définit ce qu'on appelle une architecture cible, et la position du DAM, parce que quelquefois, le DAM peut être mal positionné. Avec Manika, on a un cas d'usage actuellement, le DAM, il est dans une architecture où finalement, il n'est pas exposé. Là, on fait un gros travail finalement pour repositionner le DAM en front qui va venir agréger les contenus qui arrivent dans l'entreprise.

  • Speaker #1

    Ça permettra justement d'exploiter et de réutiliser les assets au bon moment, parce que quand ils arrivent dans le DAM trop tard, en fait, on fait autrement. Je voulais juste compléter là, quand je vois effectivement l'écosystème du DAM. Vous l'aurez compris, ça fait quand même quelques années qu'on fait du DAM. Et au tout début, le DAM était tout seul. Il avait sa vie tout seul. Et plus on est allé dans les architectures et ce qui se passe aujourd'hui en termes de technologie, le DAM sert vraiment d'entrepôt de médias pour des applications tierces. Et ça, c'est ce qu'on essaie de mettre en place. Ça fait aussi écho à la sobriété d'une manière générale, puisqu'on ne va pas faire des copies, mais il va alimenter le PIM. pour illustrer les produits dont on a parlé, les produits d'entreprise, mais il va aussi alimenter les back-office de sites Internet pour justement illustrer les sites Internet. La tendance aujourd'hui, c'est qu'on parle marque, on parle produit, on parle collaborateur, à l'aide de la photo et de la vidéo. Donc, les médias sont très présents sur cette partie-là.

  • Speaker #2

    Merci. Et en effet, ce qui est important d'avoir, c'est… C'est une interaction entre les différents outils. Et moi, j'aurais aimé illustrer ça sur un cas particulier, qui est l'aspect diffusion sur les sites de marques et les sites e-commerce. Aujourd'hui, c'est un enjeu majeur pour les entreprises de s'assurer que la diffusion se passe correctement, parce que souvent, le digital est une source importante de revenus et de propagation de l'image de marque. Donc, s'assurer que les médias sont... les médias les plus à jour, les médias les plus performants sur les différents canaux détenus par les marques, c'est vraiment clé. Donc le DAM aujourd'hui devra s'intégrer, doit nécessairement s'intégrer à cet environnement, aux différents sites qui sont disponibles dans l'entreprise. Ce n'est pas rare d'avoir divers sites qui sont spécialisés pour chaque marque de l'entreprise, mais aussi parfois dans différentes langues. Donc s'assurer qu'on a un seul point de centralisation de l'asset et une diffusion globale de l'asset. de la bonne asset la plus performante sur chacun de ces canaux, c'est vraiment clé. Je prends l'exemple d'un de nos clients qui est Decathlon, qui a plusieurs dizaines de sites e-commerce dans le monde et qui s'appuie sur la technologie Vedia pour diffuser l'ensemble des assets sur ces différents sites, quel que soit l'emplacement dans le monde. Et bien sûr, on voit dans chaque site, il y a ses enjeux particuliers. Chaque site va être vraiment différent avec ses stratégies propres. Mais ce qu'il se cache derrière, c'est toujours les médias les plus performants. qui sont choisis de manière singulière par chaque équipe locale en fonction de ce qui est disponible, auprès des millions d'assets disponibles sur le DAM et stockés sur le DAM. L'autre enjeu, c'est évidemment les API, parce qu'en fonction du contexte, du device utilisé, du site web et peut-être de l'emplacement dans le monde, on va vouloir retravailler l'image, lui donner un format particulier, une certaine qualité, un chargement progressif quand c'est nécessaire. Donc tout ça, ça nécessite que l'outil DAM embarque aussi un certain nombre d'APIs et de fonctionnalités qui permettent de retravailler l'image de manière automatique et directe, je dirais, sans attendre, pour optimiser le travail des webmasters qui vont consommer ces images finalement et les publier sur les différents canaux.

  • Speaker #3

    Ton exemple est bon, puisqu'on a travaillé ensemble sur ce cas d'Hécathlon, effectivement. Je vais vous donner un exemple très pragmatique, par exemple d'un fichier issu d'un fichier TIFF qui fait autour de 350 mégas avec une résolution de 40 millions de pixels. On en fait un JPEG de 3 mégas et la visuelle que vous voyez, c'est un AVIF qui fait 50 kilos avec une largeur de 250 pixels. Et ça, c'est le même asset. De l'asset haute définition, on arrive à une optimisation notamment avec l'AVIF. Cette distribution worldwide de l'électricité en est pas évidente parce que ça passe à travers ce qu'on appelle des CDN. notamment avec ce qu'on appelle le DXM chez WIDIA, basé sur la technologie Akamai. Et c'est un vrai challenge parce qu'évidemment, aujourd'hui, le parcours client, si votre fiche s'affiche en plus de trois secondes, le client va ailleurs. Donc, il y a tout un travail d'architecture et d'optimisation là-dessus qui n'est pas évident. Et de la même manière que votre téléphone, quelquefois, il capte sur les Champs-Élysées, puis 300 mètres plus loin, il ne capte plus, on a la même problématique sur les CDN suivant que la marque se trouve aux États-Unis, en Asie ou en Afrique.

  • Speaker #0

    Merci à tous les deux pour cet exemple concret. Et pour continuer dans le concret, justement, comment aujourd'hui on peut gérer concrètement ces assets de marque grâce aux dames. Peut-être Frédéric pour continuer.

  • Speaker #3

    En fait, on est toujours dans cette problématique à un moment donné, c'est qu'on va essayer de produire, comme disait Malika, le bon contenu à la bonne personne, au bon moment, etc. Évidemment, aujourd'hui, on est dans la personnalisation extrême. Il faut savoir qu'un acteur de la grande distribution, à partir d'un produit, peut facilement avoir dans la distribution, ce qu'on appelle des marketplaces et des divers sites web et e-commerce, avoir pratiquement plus d'une centaine de canaux. Et regarde ces différents canaux, forcément, on a ce qu'on appelle une personnalisation. Il faut savoir qu'un branding en Europe, l'approche peut être différente aux États-Unis comme elle peut être différente en Asie. Donc, à un moment donné, il va falloir apporter une certaine personnalisation de ce contenu. Alors, avec différentes technologies, dans le cas de Weedir, on est par exemple sur ce qu'on appelle du DMM basé sur des lignes d'un serveur et donc de l'édition en ligne, donc qui va partir des éléments graphiques de l'agence pour pouvoir les mettre en ligne d'un point de vue digital. Alors, il y a un certain nombre de technologies, évidemment, je pense que vous connaissez tous Canva. Il y a la version un peu grand public des choses pour vous donner un ordre d'idée de ce que peut faire l'outil côté Wadia. Et puis après, il y a la localisation, parce que forcément, il y a des langues. C'est-à-dire qu'on va produire des contenus différents. Et une chose qui n'est pas évidente à gérer, mais forcément, la même phrase en français, elle est un peu plus longue qu'en anglais. Et puis en néerlandais, elle peut être encore un petit peu plus longue. Donc, vous voyez qu'il y a une gestion de la traduction. Alors aujourd'hui, qui va se faire de plus en plus par des moyens automatique mais de contrôle. Je crois d'ailleurs que Sébastien pourra vous parler de l'intégration typiquement DeepL et pourquoi pas de chat GPT typiquement, mais on a besoin de personnaliser dans la langue du client l'ensemble de ce contenu, d'un point de vue design que d'un point de vue traduction.

  • Speaker #2

    En effet, ça se matérialise dans l'outil avec des fonctions qui permettent finalement cette diffusion ou ce partage des contenus de marques sur des pages dédiées qui permettent de mettre en lumière ces marques dans le contexte avec l'identité qui lui correspond en quelque sorte. Donc ça, c'est un élément clé.

  • Speaker #0

    Ok. Frédéric et Sébastien d'ailleurs également, vous mentionnez tous les deux la capacité effectivement à localiser ou personnaliser justement... les assets, comment là encore le DAM peut y contribuer ?

  • Speaker #3

    On l'a vu un petit peu là, on l'a vu sur l'écran en fait, on est de plus en plus, et c'est un peu une tendance qu'on a depuis un an, dans ce qu'on appelle la mise à disposition de portails, de guidelines. Globalement, on va retrouver chez un certain nombre d'éditeurs de DAM, et vous dire en particulier, une espèce d'habillage CMS, parce que finalement là aussi, quand vous distribuez les contenus de marque, Tout ça se base sur une charte graphique, cette charte graphique peut être différente d'un pays à l'autre, et on l'a très bien vu d'ailleurs sur les exemples de sites web de Décathlon. Une fois c'est bleu, une fois c'est jaune, il y a des mises en avant qui peuvent être un peu différentes. Je dirais qu'il y a 7-8 ans, il y a même 5-6 ans, on ne le faisait pas. Alors si, vous le faisiez dans un CMS à côté, on faisait des connexions, etc. Et là, finalement, la tendance que l'on voit depuis un an sur un certain nombre d'éditeurs, c'est que finalement, c'est de donner cette capacité très simple. sans être ingénieur chez SpaceX, c'est la capacité à pouvoir, de toute façon très modulaire, aller rajouter un composant par-ci, mes dernières collections, après un petit menu qui va permettre de naviguer, par exemple, dans une hiérarchie de facettes ou de métadonnées. Donc voilà, c'est ce qu'on appelle un petit peu cette personnalisation qui est importante, qui aujourd'hui n'est pas encore vraiment gouvernée par l'IA, mais on peut imaginer qu'il y a aussi un champ d'investigation énorme qui peut être fait. Et là, les dames sont souvent un peu en retard, depuis un an, versus notamment les PIM. traçabilité du parcours client et l'adaptabilité en fait à travers aussi bien des workflows prédictifs que de l'interface prédictive.

  • Speaker #1

    Moi je voudrais juste compléter en donnant des exemples concrets. Vous avez des équipes marketing qui présentent, il y a un nouveau produit qui sort, il y a une description du produit et il y a eu 300 photos qui ont été prises par rapport à une campagne ou par rapport à un produit. Aujourd'hui techniquement il se passe quoi en fait ? On est dans les trois quarts. On produit des PowerPoints ou des PDFs en incluant toutes les photos, en mettant tous les textes et en le traduisant comme on peut, en fait, dans plusieurs langues. Et on pousse ça sur le DAM et on demande aux personnes de venir télécharger des fichiers qui, d'une part, sont très lourds. Et en même temps, on n'a plus le suivi des modifications qui sont apportées. Donc, en fait, ce qu'on dit, c'est que ces outils de Brand Guidelines permettent à des utilisateurs qui ne sont pas des développeurs, qui sont dans des équipes marketing, commerciales, etc., de proposer de... très vite monter une page, voire décliner des pages et les mettre à disposition de leurs consommateurs, des assets et des textes qui vont avec.

  • Speaker #0

    Oui, alors c'est intéressant parce que ces enjeux de mise à disposition des assets dans le cadre de campagne, effectivement, ça doit être régi par, aujourd'hui, dans certains dames comme le nôtre, des pages qui permettent de les mettre en lumière, les mettre en avant, de décrire les raisons d'être des contenus et les cas d'usage. Et puis, immédiatement après, se pose la question de ces assets qui sont dans un format que je pourrais appeler ou qualifier de master. qui donne le « là » en quelque sorte sur la campagne et les images ou les vidéos et les documents sources, comment les traduire ou les localiser en fonction du contexte local de chaque entité. Et donc là, on rentre dans un processus de localisation et il est nécessaire d'avoir des solutions et des outils qui permettent d'accompagner cette localisation de manière simple. Par le passé, c'était assez logique de… de fournir ce package de contenu source aux agences locales qui produisaient à la chaîne des contenus localisés en fonction des besoins locaux. L'inconvénient de ça, c'est essentiellement un problème de coût et de réactivité, de contrôle évidemment et d'aller-retour, mais de coût et de rapidité de diffusion, parce que ça nécessite des contrats, des relations avec l'agence, des allers-retours. Et puis finalement, les équipes locales perdent un petit peu le pouvoir de... de créer ces contenus. Il y a eu une grande tendance depuis maintenant 5-6 ans où les entreprises souhaiteraient embarquer les actions des agences en interne, réintégrer les agences en quelque sorte, une partie des activités. Et en fait, c'est dans cette problématique-là ou dans cette tendance-là qu'on va s'insérer et s'inscrire pour pouvoir fournir aux équipes locales la capacité de traduire et localiser directement leurs contenus à partir de masters créés au niveau central. Et bien sûr, tout ça, ça va être accompagné d'outils du type IA qui vont faciliter cette phase-là. Donc, tout à l'heure, tu en parlais, Frédéric, la capacité de la traduction. Aujourd'hui, on le voit bien avec tout ce qui est LLM, chat GPT et autres. On a l'impression qu'en quelques clics de bouton, on va pouvoir avoir de la traduction. Alors, ce n'est pas toujours qualitatif, malheureusement. C'est pour ça que chez Vedia, nous, on a fait ces études. étudier différentes solutions qui permettaient de faire la traduction avec des clients de référence, notamment ChatGPT versus Dipple. La conclusion de ces études nous a mené à sélectionner une brique type Dipple qui permet, en complément d'une traduction assez précise, d'avoir une mémoire de traduction qui va permettre de stocker le langage métier de l'entreprise et donc faciliter... cette localisation des contenus sans utiliser des mots qui sont soit réservés à l'entreprise ou spécifiques au cas d'usage de l'entreprise. Donc ça, c'est vraiment clé parce que sinon, immédiatement, on se retrouve avec de la traduction qui n'est pas pertinente et qui doit être de toute façon retravaillée manuellement. Donc, on perd le bénéfice de lire. Et donc, ça s'illustre en fait par quelques exemples avec un de nos clients qu'on a aux États-Unis, qui est Harley Davidson. Donc, ils utilisent la plateforme pour fournir des masters à l'ensemble des revendeurs partout dans le monde. Donc, ils créent des templates qui seront localisés en fonction du contexte. Alors, soit des templates digitaux comme on le voit ici, soit des templates qui sont plutôt orientés print. Et là, c'est typiquement les feuillets qui se trouvent sur les véhicules dans chaque concession. Alors, on commence à reconnaître un petit peu quelque chose qu'on a évoqué un peu plus tôt, qui est le lien avec le PIV. parce qu'évidemment... Quand on présente un modèle de véhicule, il faut être en capacité de ressortir les informations associées au véhicule qui, elles, proviennent du PIM. Et donc, on va associer images, prix qui viennent de l'ERP et puis informations de produits qui viennent du PIM.

  • Speaker #1

    Merci Sébastien. On a évidemment parlé un peu, déjà, vous venez de le faire, en matière de traduction, en matière de personnalisation. Mais au-delà de ça, quels sont un petit peu les apports de l'IA au DAM ? Marika pour répondre à cette question.

  • Speaker #2

    Alors ça c'est une très bonne question. Alors nous en tant que conseil, on a des clients qui nous appellent en disant « ben voilà en fait moi j'ai envie de changer de dame, on a un problème, on cherche, on ne trouve pas » . Donc la première question c'est de dire « le dame ne fait pas son job parce que nos utilisateurs ne retrouvent pas les contenus quand ils cherchent » . Donc là évidemment nous on a une fonction de bilan de santé de regarder pourquoi on ne retrouve pas, mais là typiquement… l'IA peut aider déjà sur la recherche, peut aider via de la recherche par similarité. De plus en plus, on retrouve de la recherche en langage naturel. Voilà, donc ça peut être un complément et un peu un petit copilote de recherche pour les utilisateurs. Mais avant d'arriver là et avant de passer sur la partie traduction, on a ce qu'on appelle aujourd'hui un peu les smart tags et l'auto-tagging. Et donc, effectivement, on peut avoir des IA qui peuvent aider. à compléter l'indexation qui est faite sur les assets. Alors, je n'aurais tendance à dire que pour des assets aujourd'hui qui sont de type photos d'illustration, c'est bien rodé. Maintenant, il faut faire attention à les mots-clés qui sont aujourd'hui attendus dans les entreprises. Ce sont des mots-clés qui sont aussi spécifiques sur des sujets spécifiques par rapport à l'entreprise. Et donc là, en fait, ça se complète et ça rejoint ce que Sébastien disait. C'est-à-dire que si on continue d'entraîner, on lui dit ça. tel modèle de sac, tel modèle de jupe ou une bouteille de champagne mais dans une bouteille sombre et donc il va bien vérifier il va bien comprendre que c'est pas une bouteille de vin on n'en est pas tout à fait là mais il y a des débuts et moi je trouve que déjà répondre à la problématique on trouve pas nos assets donc on est pas dans une réutilisation donc on reproduit et donc on est pas content du dam ça apporte Merci. apporte beaucoup à ce niveau-là, en fait, avec la reconnaissance sur les images, la reconnaissance faciale, toute cette partie qui favorise la recherche et qui accompagne la recherche.

  • Speaker #0

    Alors, moi, pardon.

  • Speaker #2

    Je vais rajouter quelque chose,

  • Speaker #0

    peut-être c'est le cas. Oui, voilà. En fait, la vision que nous avons chez Vedia, elle est complémentaire à ça, c'est de se dire que sur les cas d'usage liés à l'IA, il y a une... Il y a une IA qui va être plutôt générique pour la catégorisation dont tu parlais, qui est assez intéressante pour un niveau basique de catégorisation. Effectivement, on va reconnaître s'il y a des personnes, des enfants, des adultes, s'il y a des voitures sur les images ou dans les vidéos. On va éventuellement faire du speech-to-text, donc transcription et puis de la traduction. mais finalement ça va avoir assez peu de valeur ajoutée ou une valeur ajoutée assez limitée parce que dès qu'on rentre dans un contexte d'entreprise, on va être bloqué. Le fait que chez BMW, il n'y a que des voitures sur l'ensemble des images ou chez Michelin, il n'y a que des pneus. Donc, l'IA ne va pas catégoriser de manière suffisamment précise. Donc, on va rentrer dans une étape où ça va nécessiter un apprentissage. Et là, on rentre dans des complexités qui sont… importante pour l'utilisateur si on n'est pas expert en apprentissage.

  • Speaker #3

    Le point que tu soulignes est important. Et puis, si je reprends le propos de Luc Julia, qu'on avait encore sur Andam cette année, fin d'année dernière, c'est comment rendre intelligente l'intelligence artificielle et qu'est-ce qui marche vraiment. Donc, tout ce qu'on a dit, c'est juste. Mais toi, effectivement, la CBCA nous montre un écran qui est intéressant, qui est une vue de filtre avec un ordonnancement de métadonnées et de dépendance. Ça, c'est ce qu'on appelle du vocabulaire contrôlé. Et aujourd'hui, ce qui serait bien, on parle un petit peu comme une wishlist pour l'éditeur, c'est que cette distribution, quelquefois qui peut être aléatoire de mots-clés, il faudrait pouvoir leur donner du sens et la recoller finalement à une taxonomie ou à un thésauriste qui gère ce vocabulaire contrôlé. C'est là où, effectivement, on peut encore améliorer l'expérience utilisateur. Le chemin, on n'est qu'au début de l'histoire. Mais ne jamais oublier que l'IA, c'est bien. C'est un outil qui peut accélérer Merci. me disait Malika, la gestion de l'enrichissement du contenu. Mais voilà, il faut toujours penser aux bénéfices pour l'utilisateur final.

  • Speaker #0

    Et en complément de cette IA, je dirais classique, standard ou historique, en quelque sorte, sont arrivés l'ensemble des LLM, et l'IAG, les relatives, qui apportent de nouveaux cas d'usage et de nouveaux bénéfices. Donc Malika, tu en parlais tout à l'heure, la recherche. capacité de recherche avancée type vectoriel, la capacité de faire du légendage. Nous, par exemple, chez Vedia, on a fait aussi des études sur différents fournisseurs. D'ailleurs, on utilise plusieurs fournisseurs de briques technologiques en fonction des cas d'usage. Un coup DeepL pour la traduction, un coup AWS et Azure pour la catégorisation. On utilise aussi, via notre partenariat avec Anthropy, Cloud pour générer les légendes. En fonction du cas d'usage, on va s'appuyer sur un LLM qui est le plus performant dans son cas d'usage. On utilise aussi DAL-I pour la génération d'images en particulier. Donc en fait, chaque cas d'usage va nécessiter une brique particulière. La vraie contrainte et l'apport d'un bon éditeur, c'est de présélectionner les bons fournisseurs d'IA en fonction du contexte, de manière prouvée, avec des cas d'usage clients qui éprouvent la solution. en fonction du besoin et de la spécificité du cas d'usage. Et donc, fournir une intégration sur étagère permet d'aller plus vite pour nos clients.

  • Speaker #2

    Moi, je voudrais juste rajouter un point dont on n'a pas parlé, en fait. C'est la partie en amont au niveau du DAM. Là aussi, on a des clients qui nous disent, notre DAM, ça ne va pas, on met n'importe quoi dedans. Et donc, en fait, quand on étudie avec les utilisateurs, on s'aperçoit que beaucoup de pain points à ce niveau-là peuvent se régler sur un workflow dès le départ au niveau de la production des contenus. C'est-à-dire qu'on gère et qu'on… on automatise, on contrôle, on affine, on valide le contenu dès la production de ces contenus-là. Et là aussi, l'IA peut faire quelque chose, parce qu'en fait, on peut définir des règles en disant, voilà, moi, mes contenus, je les attends comme ça, j'attends le produit placé là, etc. Et ça peut aider dans la validation de cette fameuse production d'assets en amont qui va jusqu'à importer les assets sur la plateforme. Donc ça aussi, c'est un sujet... voilà qui est très important alors je vois et c'est bien si on a parlé de l'IAGN alors je pense qu'en fait on se pose toujours la question c'est est-ce que vraiment le DAM son rôle est de générer et de permettre de générer des contenus voilà donc moi aujourd'hui alors c'est vrai de part je pense un peu nos expériences on travaille avec des marques qui produisent des produits les visuels il y a des visuels qu'on peut produire et qu'on peut faire produire par l'IA et il y a d'autres produits où l'IA ne va pas ne répondra pas en IAGN j'entends sur la production donc je pense qu'on y va doucement mais on y va ça c'est sûr il ne faut pas avoir peur d'y aller mais

  • Speaker #3

    sur quel type de contenu en fait il faut que je me lance et tester C'est comme ça qu'on arrive à innover, parce qu'il faut toujours avoir un leitmotiv derrière de l'innovation. On est dans un monde qui a changé, avec des GAFA qui investissent des centaines de millions de dollars. Donc évidemment, il faut aller pour un éditeur de dames, c'est primordial. Je pense que ce que Sébastien vient de nous exposer est la parfaite représentation. Ne pas oublier les notions de droit également, parce que là aussi, à partir du moment où on crée du contenu, il y a une histoire de confiance. Là aussi, sur Endame, on est revenu. nombreuses fois sur ce trust, en fait, et en tout cas de matière, la pérennité du droit d'auteur dans tout ça, parce qu'à un moment donné, on va prendre des images par-ci, par-là. Donc, il faut avoir une traçabilité aussi parfaite de ces contenus.

  • Speaker #0

    Oui, et puis sur le côté...

  • Speaker #2

    Au niveau des DAM, on a bien aussi cette information, on a parlé d'IPTC, on a parlé de métadonnées. Il y a aujourd'hui une règle et une norme qui fait que faisons attention, et quand on a des contenus qui sont importés sur le DAM et qui proviennent de l'IA. bien le mentionner et que quand on ne veut pas que nos contenus entraînent une IA, aussi bien le mentionner à travers ces IPTC qui sont des données encapsulées dans l'image. Et donc, tout le monde peut y accéder et le lire, même quand la set est en dehors du DAM.

  • Speaker #1

    C'est très bien.

  • Speaker #0

    Non, non, simplement, en fait… Oui, j'abondais dans ton sens. C'est essentiel de pouvoir s'assurer que les images du DAM des entreprises ne soient pas utilisées pour entraîner une IA généraliste. Donc, l'objectif de l'éditeur, comme je vais dire, c'est de s'en assurer. Et donc, au travers de ces partenariats, faire en sorte que l'information ne transite que dans un sens, en quelque sorte. Donc, pour ce qui est du LLM et du légendage... l'image soit analysée, mais ne soit pas envoyée en quelque sorte au fournisseur et à l'éditeur d'IA pour entraîner ces modèles. Donc, s'assurer d'une bonne confidentialité de ces informations. C'est d'autant plus essentiel qu'il y a beaucoup d'acteurs qui se lancent régulièrement. On a vu il y a quelques jours ou semaines DeepSeek qui a fait grand bruit. C'est un terrain qui est très mouvant et donc, effectivement, il faut tester, il faut évoluer. Il faut analyser le marché qui bouge beaucoup ces derniers temps.

  • Speaker #1

    Il va falloir conclure tout doucement. On arrive enfin de cesser.

  • Speaker #2

    Déjà.

  • Speaker #1

    Déjà.

  • Speaker #0

    Donc, je vous ai partagé un petit lien pour ceux que ça intéresse. En fait, Forrester, qui est une des maisons de recherche américaines sur le DAM, entre autres, a fait une étude sur… une sélection de quatre de nos clients sur l'impact de la technologie Vedia, DAM, en quelque sorte le ROI qu'il a procuré sur ces quatre clients majeurs. Donc je vous recommande d'aller télécharger l'étude, c'est assez intéressant. ça met en lumière vraiment les bénéfices que peuvent apporter une solution d'âme comme Vedia sur des clients réels au travers d'une étude de différents cas d'usage utilisés dans le contexte du d'âme.

  • Speaker #1

    Malika, Frédéric, si vous voulez nous parler un petit peu...

  • Speaker #3

    Pour la première fois l'année dernière, on a lancé le premier magazine activo pendant OnDam. Donc là, vous pouvez scanner ce QR code, vous retrouvez le lien qu'on vous partage sur le chat. L'idée là aussi, c'est de revenir globalement, surtout par co-client, depuis l'expression de besoin, le choix de la solution, les services, la gestion de contenu, et la distribution. donc là c'est tout un... avec 5 clients très intéressants qui sont partis, avec qui on travaille, sur lequel... Et avec des solutions différentes, pour montrer toute notre agnosticité à ce niveau-là, donc ça, c'est important. Et là aussi, vous allez retrouver un certain nombre aussi d'informations autour des marques. Alors, chez Activo, alors évidemment, toute chose étant égale par ailleurs, on ne va pas se comparer à Forrester, etc., mais cette approche agnostique, elle est importante, parce que finalement... Quand on audite un éditeur, on ne lui demande rien de spécifique, ça ne coûte pas d'argent. Et on fait en tout cas une introspection extrêmement profonde, extrêmement détaillée, notamment à travers notre équipe Danews. Et vous pouvez retrouver d'ailleurs l'étude complète de tout ça sur le site Danews, digitalsetmanagement.org et danews.fr en téléchargement. Donc en tout cas, n'hésitez pas si vous avez des questions. et la version française va arriver d'ici le mois prochain avec beaucoup de complétion et de comparatif des solutions.

  • Speaker #2

    Voilà, merci Frédéric. Moi, je voulais juste rajouter une chose. Donc, effectivement, retour sur Rundam 2024, là aussi, vous pouvez flasher le code et retrouver l'événement, la quatrième édition, qui a eu lieu le 19 et le 20 novembre passé. Archimald est en partenaire, Wedia est en sponsor Gold. Une chose qui est importante, on a parlé tech, on a parlé outils, on a parlé interface, intégration, IA, etc. N'oubliez pas, tout projet de transformation digitale, c'est people, process et tech. Donc, choisissez la meilleure technologie qui vous correspond le mieux, c'est sûr, c'est important. Par contre, n'oubliez pas vos métiers, n'oubliez pas vos équipes et les process et le travail collaboratif ensemble.

Transcription

  • Speaker #0

    Nous avons le plaisir de recevoir Malika Keshish et Frédéric Sanuy d'Activo. Bonjour à tous les deux.

  • Speaker #1

    Bonjour. Bonjour Fabien, bonjour à tous.

  • Speaker #0

    Bien entendu, Sébastien Bardos du groupe Vedia. Bonjour Sébastien.

  • Speaker #2

    Bonjour Fabien, bonjour à tous.

  • Speaker #1

    Bonjour Sébastien.

  • Speaker #0

    Alors je vous donne la parole peut-être pour présenter un petit peu vos sociétés respectives et je crois qu'on peut commencer avec toi Sébastien.

  • Speaker #2

    Oui, donc Vedia, c'est un éditeur de logiciels d'âme qui fournit une interface intuitive d'énorme capacité de personnalisation. On est sur le marché du dame depuis une dizaine d'années et on travaille avec des clients de grands comptes et de taille intermédiaire. sur tout secteur d'activité, allant du retail à la banque, en passant par l'industrie. Quelques références, Decathlon, Crédit Agricole, Cofeld pour les matelas, par exemple. Pour ce qui est de ma part, je suis Sébastien Bardos, je suis directeur commercial chez Vedia, où je travaille depuis environ 9 ans.

  • Speaker #0

    Et vous continuez peut-être avec Activo ?

  • Speaker #1

    Parfait. Activo est un cabinet de conseil en transformation digitale avec une spécificité où on travaille vraiment autour du flux photo et vidéo des entreprises. Donc, on est expert sur la recherche de solutions, sur le déploiement de solutions et sur la gestion au quotidien de plateformes PIMDAM et CMS. Et on est ravi de participer à ce webinaire.

  • Speaker #0

    Et on est ravis, bien entendu, de vous recevoir. Je crois que vous vouliez aussi nous parler un petit peu d'autres sujets, de plateformes. Oui.

  • Speaker #3

    Frédéric ? Oui. Encore à tous, effectivement. Et puis, je rajouterais un petit peu, c'est un peu le leitmotiv aujourd'hui, c'est qu'on a une approche agnostique, puisqu'on le dit souvent, il n'y a pas des clients, mais il n'y a pas une solution, mais des solutions. Et en fait, finalement, quand on essaie de... de retracer le parcours client. Le parcours client, il démarre par, effectivement, la requête de la recherche des besoins, l'écriture de ces besoins autour d'ateliers de coworking, trouver une solution, qu'elle soit Damping, CMS, et on verra un petit peu le pourquoi de ces trois besoins et quelle est leur implication à l'échelle de l'entreprise. Et puis, dans tout ce qui est aussi déploiement, parce que là aussi, on aime accompagner les clients dans la réalisation de ces beaux projets Damp, notamment. avec de la gestion de contenu. On va parler d'IA, mais effectivement, l'IA, elle a aussi beaucoup d'humains pour contrôler le vocabulaire. Et ce slide, finalement, résume relativement bien un petit peu notre approche. Le bilan de santé, parce que là aussi, peut-être souvent un petit peu à tort, en France, on est à vouloir remplacer la solution au gré de mutations d'équipes, etc. Donc là aussi, notre adage, il est véritablement 95% de process et people et 5% de technologie. Avant de changer, on prend le temps, on examine, on regarde un petit peu les souffrances possibles. Et puis après, vous avez toute une série de services qui vont, comme je le disais, du RSI, la gestion de projet, la migration de vos médias, s'occuper des droits et des usages, gérer du patrimoine, et le tout avec une politique, un accompagnement dédié et personnalisé.

  • Speaker #1

    Actibo, c'est une quinzaine de personnes. Aujourd'hui avec des profils différents, on a des experts, on a des chefs de projet, on a des content managers et c'est cet ensemble aujourd'hui qui arrive à répondre aux besoins de nos différents clients qui sont multi secteurs d'activité.

  • Speaker #3

    Alors DAMNEWS là aussi c'est important, c'est une étape dans la vie d'Activo à l'acquisition du site il y a deux ans avec un site qui était anglo-saxon avec la publication d'un livre référent qui est l'entreprise DAMNGuide. qui référence à 516 solutions sur le marché, 500 pages. Donc là, vous pouvez aller sur le site précédent et qui est marqué en dessous avec un QR code, mais je crois que vous aurez une agrégation de liens par la suite. Et puis, on est en France, et puis en France, c'est le pays des lumières et aussi des idées. Donc, il nous paraissait indispensable, en tout cas, de faire une déclinaison française qui vient d'être lancée, d'amnews.fr. Donc là, c'est très simple dans l'URL. Et là, vous allez pouvoir retrouver notamment une présentation d'une quinzaine d'éditeurs qui ont une solution qui est en français avec des équipes en français. Donc du coup, on est dans un cadre plus restreint. Et là aussi, c'est une affaire de contenu avec un ensemble de contenus aussi bien d'articles, de fonds, de vidéos, de témoignages. Voilà, donc ça, c'est notre grand projet d'année qui vient de s'être lancé.

  • Speaker #0

    Super, merci à tous pour ces présentations. Alors, je vous propose effectivement qu'on se lance vraiment dans le vif du sujet. Avant ça, je vais lancer un petit sondage auquel nos participants vont pouvoir répondre pour nous indiquer un petit peu si aujourd'hui ils sont équipés ou pas d'une solution de DANE et si oui, de plus. combien de temps et pendant que je fais ça je me tourne vers toi Sébastien au hasard peut-être pour poser quelques bases autour du DAM qu'est ce que c'est concrètement et à quoi ça sert ?

  • Speaker #2

    En effet merci merci Fabien de poser la question c'est essentiel de revenir sur les basiques donc l'objectif d'un DAM c'est naturellement de gérer les médias alors quand on parle de médias on parle de plusieurs choses des images des vidéos des photos des médias plus modernes type 3d 360 Donc l'objectif du DAM, c'est de pouvoir être en capacité de stocker, partager de manière sécurisée l'ensemble de ses assets, quels qu'ils soient, et s'intégrer à un écosystème qui est l'écosystème d'entreprise et les différents outils qui s'y trouvent. On verra ça un peu plus tard dans la présentation. L'autre enjeu du DAM, c'est essentiel aujourd'hui, c'est tout ce qui a trait à la sobriété digitale, donc faire en sorte que les bons médias soient utilisés et... et qu'on ne rentre pas dans une situation où on dispose de trop de médias qui sont inutiles et qui génèrent une empreinte écologique qui soit néfaste pour la planète. Donc le DAM, c'est finalement un outil qui est multi-objectif, la gestion des assets, la diffusion, le partage, et puis l'optimisation de ces différents contenus.

  • Speaker #1

    Alors il y a une phrase qui résume le DAM, et qui est de dire que le DAM permet de distribuer le bon asset. aux bonnes personnes, au bon moment, dans le bon format et sur le bon support. Donc ça résume le fait de dire, quand on a des assets et qu'on a besoin de les centraliser, n'importe solution, oui, on peut avoir un dossier, on peut le déposer quelque part, on peut le déposer sur des dossiers partagés, pour autant, ce n'est pas une solution d'âme. Et je pense que ce que j'aime bien aussi sur la slide précédente de Sébastien, c'est cette sobriété numérique, en fait. Parce qu'une des fonctionnalités aujourd'hui qu'on retrouve au niveau du d'âme, c'est justement de distribuer le bon format de mon asset sur le bon support en adéquation. Je ne charge pas un fichier type qui pèse 2 gigas sur un PowerPoint, ça n'a pas de sens et ça n'apportera pas plus. Donc ça, c'est des choses qui sont vraiment très importantes à mentionner et c'est vraiment des spécificités aujourd'hui. Nous, en tous les cas, on voit côté besoin utilisateur et côté éditeur de solutions. Donc là, c'est un schéma qui résume aussi, parce que le DAM, c'est aussi la gestion du cycle de vie des médias. Il ne s'agit pas de prendre tous ces assets et pendant 5 ans, 10 ans, 20 ans, 30 ans, alimenter tout sur même plateforme. À un moment donné, je gère le cycle de vie de l'asset. Le DAM permet de centraliser et d'importer des assets, Sébastien l'a très bien dit, de tout type de format, la photo, la vidéo, les artworks, les objets 3D de plus en plus, etc. de les centraliser, de les cataloguer, de les indexer, de les classer avec des métadonnées, de faire appel à l'IA par rapport à ça qui peut aider, et de connecter cette plateforme pour pouvoir redistribuer ses assets sur les fameux bons supports. Donc ça peut être du web, des sites internet, des réseaux sociaux, du print, de la télé, des mobiles, des applications dans les boutiques, etc. Mais tout ça, c'est aussi la gestion du cycle de vie. À un moment donné, quand l'asset n'est plus actif, quand le produit qui est représenté par les assets n'est plus actif, qu'est-ce qu'on fait de ces assets au niveau de l'entreprise ? Évidemment, la solution, ce n'est pas juste de dire je les supprime, ce n'est pas le sujet, mais c'est de penser justement à ce cycle de vie et cette sobriété de demain.

  • Speaker #0

    Merci à tous les deux pour… Pour ces fondations, je l'ai dit, effectivement, cette matinée, elle est consacrée aux Dames et aux PIM. Donc, évidemment, je vous pose la question, quelles sont un petit peu les complémentarités entre ces deux technologies ? Je reviens peut-être vers toi, Sébastien.

  • Speaker #2

    En effet, c'est une question importante et intéressante. Certains de nos auditeurs pourraient se poser la question de ne prendre qu'un PIM pour gérer à la fois les médias et les données produits, ou inversement, qu'un seul Dame. en fait dans la plupart des cas La décision se résume simplement au fait que chacun a son objectif principal. Comme je le disais juste avant, l'objectif du DAM, c'est de pouvoir gérer de manière performante l'ensemble des assets, qu'ils soient associés à des produits ou qu'ils aillent au-delà de ces produits, des assets qui peuvent être de communication, des assets de marque. Donc, c'est essentiel d'avoir une solution qui permette d'avoir cette vue multidimensionnelle sur les assets. À côté de ça, il y a le PIM qui va lui gérer les aspects purement produits. cycle de vie des produits, informations produits et qui va s'intégrer très généralement au site web pour publier ces informations produites sur les sites web et notamment sur les sites e-commerce. Donc dans le scénario idéal on intégrerait ces deux technologies pour obtenir finalement chacun sa meilleure performance. Quand on parle d'intégration c'est évident qu'il faut faire des choix et donc il y aura des informations qui seront partagées entre les deux systèmes d'information. Les métadonnées, par exemple, l'architecture produit avec tous les SKUs, pourront être synchronisées avec le DAM pour associer des images produits aux produits disponibles dans le PIM. Et puis inversement, certains médias, comme les images principales ou Hero Image, on va les pousser vers le PIM de manière à ce qu'elles soient disponibles et ensuite diffusées sur les différents canaux. Donc l'enjeu, ça va être une intégration forte et puis aussi de l'automatisation parce que lorsqu'on a des millions de références produits, on ne peut pas se permettre de manuellement associer des produits et des images. On ne peut pas, quand on a des millions d'assets, s'amuser à copier ces assets-là sur le PIM ou sur le CMS de manière manuelle.

  • Speaker #1

    C'est tout à fait ça. Nous, on dit toujours un PIM est un PIM et un DAM est un DAM et chacun a son rôle. et sa force. Et en fait, ils sont complètement complémentaires. Le DAM va gérer au-delà des assets, des produits, donc ce qu'on disait, ça gère aussi tout ce qui est les éléments de la marque, les logos, les chartes, etc., des choses qu'on ne va pas forcément pousser directement sur le PIM, en lien avec les produits. Et le gros avantage, c'est qu'en termes d'architecture, et je crois qu'en fait, Sébastien, tu as un schéma ensuite par rapport à ça, c'est de dire j'ai un PIM, j'ai un DAM, j'ai un CMS, ça permet aussi quelque part de faire évoluer les systèmes au niveau de l'entreprise selon la volonté de l'entreprise et son évolution à elle-même, sans pour autant tout casser et tout remettre en difficulté. Je vais laisser Frédéric peut-être recommander.

  • Speaker #3

    Je pense que vous avez dit licenciage. En fait, ce schéma d'Akeneo est assez parlant à lui-même. En fait, l'UDAM a vraiment pour objet d'être la fondation de la distribution des contenus dans l'entreprise. Il faut savoir qu'aujourd'hui, on a des contenus qui sont… riches qui sont en très haute définition. Alors évidemment on a aussi beaucoup de cas clients, quand on investit dans les solutions il y a aussi des contraintes budgétaires. Donc on peut être tenté effectivement à faire d'âme et pime en même temps. Je pense qu'il faut avoir essayé d'avoir une vision et une stratégie. Ça aussi c'est le rôle de l'éditeur à un moment donné de se projeter, d'accompagner les clients, en tout cas c'est ce que nous on essaye de faire. et que finalement on peut très bien éventuellement, possiblement commencer avec un PIM qui fait un peu d'âme. Il faut savoir que si vous avez des EPS un peu lourds, des larges chiffres, la base de données même d'un PIM, elle n'est pas faite pour processer ce type de fichier. On a nombre de clients qui se retrouvent avec 100 000, voire plus d'assets dans un PIM, et puis tout ça, ça rame un peu. Et je pense qu'il y a une intelligence collective à avoir dans cette relation entre d'âme et PIM. Et ce schéma est une parfaite expression, même s'il est un petit, il date de quelques années, et vous voyez que l'expression de besoin client En tout cas, elle n'a pas vraiment évolué de ce sens-là. C'est-à-dire qu'on a une gestion de la data. Et le PIM est un petit peu entre DAM et MDM. Le MDM, ce Master Data Management qui peut prendre diverses formes. Et le PIM et cet SOS, les Américains l'appellent le Glue Software. C'est véritablement cette capacité finalement à relier, à clarifier la donnée, à la syndiquer. C'est très important. Mais le DAM, à travers la distribution de ses URL, comme on va le voir, a un rôle clé justement dans l'optimisation du parcours client et de la distribution des médias.

  • Speaker #0

    Merci à tous. Et en matière de sécurité, parce qu'on sait que c'est un enjeu majeur pour les entreprises.

  • Speaker #3

    C'est pour Mélanie. Alors,

  • Speaker #1

    je démarre Fabien. Effectivement, aujourd'hui quand on met en place un DAM, on a des utilisateurs qui récupèrent des contenus à droite à gauche et qui disent « ah bah tiens c'est super, je charge et je mets mes photos, j'ai tout récupéré, je mets mes photos sur le DAM » . Et en fait, il y a une phrase qui est vraiment super importante et que je répète à chaque fois que je forme des utilisateurs sur des solutions DAM. durant mes cours, c'est nos contrats, nos photos. On pourrait l'étendre à nos contrats, nos assets dans le DAM. Je n'importe pas des assets sur un DAM sans savoir qui peut les utiliser. comment ils peuvent les utiliser et comment ils peuvent les partager et à qui ils peuvent les partager. Donc ça, c'est important, c'est de dire que même quand on dépose des assets, on a une notion de responsabilité et ces informations-là, elles sont directement liées au contrat des auteurs. Donc on parle de plus en plus d'auteurs liés aux images et on fait très attention aujourd'hui par rapport à ces droits-là. Toutes les solutions d'âme aujourd'hui permettent de gérer, de suivre ces données-là. Tout à l'heure, j'ai parlé du cycle de vie des assets, ça en fait partie. Quand on n'a plus les droits par rapport aux assets, on a aujourd'hui des applications qui permettent d'automatiser des alertes, des suivis, de l'archivage, de la mise à disposition ou pas à certains des fichiers hauts définitions, quand le fichier n'a plus les droits. Donc ça, c'est une partie qui est très importante dans le DAM. Et les solutions DAM permettent de gérer justement ce niveau très précis d'accès aux images.

  • Speaker #3

    Merci, Mélika. Je crois que je dois avoir un petit... Il y a un petit point que je rajouterais, il y a le mot IPTC. Je ne sais pas si tout le monde sait ce que c'est que l'IPTC. Vous pouvez aller voir sur IPTC.org. C'est pour International Press Telecommunication Council. C'est une métadonnée qui accompagne les fichiers. Ça, c'est extrêmement important. On va dire deux choses. Ça permet en tout cas de suivre l'information avec le fichier et aussi en termes de SEO. Depuis 2020, Google vient parser ses éléments dans la distribution. Merci.

  • Speaker #2

    Merci Frédéric. Alors en effet, tout ça c'est la base et les grands principes qui régissent la sécurité et les droits d'accès. Et tout ça, ça doit avoir une certaine corrélation ou un corollaire côté outils. Donc l'outil doit disposer des fonctionnalités qui permettent aux administrateurs et aux utilisateurs, d'une part de bien gérer le cycle de vie ou workflow des assets à chaque étape de sa vie. être en capacité de fournir des outils de sécurisation pour que les assets puissent être accédés uniquement dans les conditions qui sont définies par les droits d'auteur, notamment, et s'assurer que lorsque ces assets sont publiés, ils puissent être dépubliés automatiquement. Ça permet également de sécuriser la diffusion dans quelques cas, notamment permettre que les vidéos soient vues que sur certains sites web, parce que c'est des vidéos privées à certaines entreprises. On a ressorti quelques exemples. L'objectif, ce n'est pas d'entrer dans le détail, mais dans une solution comme Vedia ou un DAM moderne, on doit être en possibilité de gérer soi-même l'ensemble de ces informations de type structure, cycle de vie et droit d'accès et d'usage des différents médias en fonction du contexte et des rôles des utilisateurs qui existent.

  • Speaker #3

    Je pense que ce qui est très important, Sébastien, c'est En 2025, vous devez avoir les clés du camion, comme on dit souvent, parce qu'aujourd'hui, on est assujetti à faire des modifications. On le verra, mais on a aussi un vrai challenge avec des plateformes cloud. Manika le précisait, Dropbox n'était pas un cloud, mais aujourd'hui, il y a des investissements énormes sur ces plateformes cloud qui font qu'elles sont très en avance technologiquement, avec des coûts qui défient toute concurrence, ce qui fait qu'à un moment donné, les clients ont cette expérience-là. Donc c'est important dans le DAM, en tout cas, d'avoir cette... cette capacité de gérer son outil sonal.

  • Speaker #0

    Et justement, dans ces conditions, Frédéric, dans ce contexte, comment le DAM contribue à centraliser les assets plutôt que Dropbox, par exemple ?

  • Speaker #3

    Il y a un exemple très simple. Je vous parlais du PTC. Vous verrez que si vous allez chercher le CaptionWriter dans un asset qui est dans Dropbox, vous ne le trouverez pas. Parce que simplement, il n'y a pas une complétude de l'information à Steam aussi. Après une structuration, maintenant, c'est un vrai challenge aussi parce qu'aujourd'hui, il faut parler, évidemment, on parle de réussite dans un projet, mais il y a aussi quelquefois des échecs. Et il y a une chose qui est fondamentale que très souvent, les éditeurs un petit peu oublient, c'est comme disait Steve Jobs il y a 25 ans, c'est comment on travaille les clients. Et aujourd'hui, si vous regardez au quotidien, ils ont un PC, ils ont un Mac, ils ont des dossiers. Donc très souvent, ils vont trouver beaucoup plus facilement un contenu avec des dossiers. On a des exemples de grosses agences américaines qui sont passées de DAMA à Box, par exemple. Tout simplement, ils ne retrouvaient pas leurs assets. Donc, c'est vrai que l'intégration à l'échelle de l'entreprise, ce n'est jamais évident. C'est un travail du quotidien. C'est pour ça que chez Activo, on a cette passion de l'humain, du collectif et de la vision et de la stratégie pour justement amener le client à une étape supplémentaire. On ne le laisse pas dans la nature comme ça, c'est extrêmement important. Quant à l'intégration, on va dire, plus technologique du DAM, aujourd'hui, un DAM moderne permet quasiment à toutes les capacités de diffuser, de partager à travers ce qu'on appelle les services web. Vous avez sans doute entendu parler d'API. Évidemment, c'est une question d'architecture, et le schéma qu'on vous a montré précédemment, la dacéno, est une représentation d'une architecture, on va dire, plus marketing, mais il y a une vraie réflexion, et nous, chez tous les clients, avant de démarrer un projet, on se pose autour de la table, on définit ce qu'on appelle une architecture cible, et la position du DAM, parce que quelquefois, le DAM peut être mal positionné. Avec Manika, on a un cas d'usage actuellement, le DAM, il est dans une architecture où finalement, il n'est pas exposé. Là, on fait un gros travail finalement pour repositionner le DAM en front qui va venir agréger les contenus qui arrivent dans l'entreprise.

  • Speaker #1

    Ça permettra justement d'exploiter et de réutiliser les assets au bon moment, parce que quand ils arrivent dans le DAM trop tard, en fait, on fait autrement. Je voulais juste compléter là, quand je vois effectivement l'écosystème du DAM. Vous l'aurez compris, ça fait quand même quelques années qu'on fait du DAM. Et au tout début, le DAM était tout seul. Il avait sa vie tout seul. Et plus on est allé dans les architectures et ce qui se passe aujourd'hui en termes de technologie, le DAM sert vraiment d'entrepôt de médias pour des applications tierces. Et ça, c'est ce qu'on essaie de mettre en place. Ça fait aussi écho à la sobriété d'une manière générale, puisqu'on ne va pas faire des copies, mais il va alimenter le PIM. pour illustrer les produits dont on a parlé, les produits d'entreprise, mais il va aussi alimenter les back-office de sites Internet pour justement illustrer les sites Internet. La tendance aujourd'hui, c'est qu'on parle marque, on parle produit, on parle collaborateur, à l'aide de la photo et de la vidéo. Donc, les médias sont très présents sur cette partie-là.

  • Speaker #2

    Merci. Et en effet, ce qui est important d'avoir, c'est… C'est une interaction entre les différents outils. Et moi, j'aurais aimé illustrer ça sur un cas particulier, qui est l'aspect diffusion sur les sites de marques et les sites e-commerce. Aujourd'hui, c'est un enjeu majeur pour les entreprises de s'assurer que la diffusion se passe correctement, parce que souvent, le digital est une source importante de revenus et de propagation de l'image de marque. Donc, s'assurer que les médias sont... les médias les plus à jour, les médias les plus performants sur les différents canaux détenus par les marques, c'est vraiment clé. Donc le DAM aujourd'hui devra s'intégrer, doit nécessairement s'intégrer à cet environnement, aux différents sites qui sont disponibles dans l'entreprise. Ce n'est pas rare d'avoir divers sites qui sont spécialisés pour chaque marque de l'entreprise, mais aussi parfois dans différentes langues. Donc s'assurer qu'on a un seul point de centralisation de l'asset et une diffusion globale de l'asset. de la bonne asset la plus performante sur chacun de ces canaux, c'est vraiment clé. Je prends l'exemple d'un de nos clients qui est Decathlon, qui a plusieurs dizaines de sites e-commerce dans le monde et qui s'appuie sur la technologie Vedia pour diffuser l'ensemble des assets sur ces différents sites, quel que soit l'emplacement dans le monde. Et bien sûr, on voit dans chaque site, il y a ses enjeux particuliers. Chaque site va être vraiment différent avec ses stratégies propres. Mais ce qu'il se cache derrière, c'est toujours les médias les plus performants. qui sont choisis de manière singulière par chaque équipe locale en fonction de ce qui est disponible, auprès des millions d'assets disponibles sur le DAM et stockés sur le DAM. L'autre enjeu, c'est évidemment les API, parce qu'en fonction du contexte, du device utilisé, du site web et peut-être de l'emplacement dans le monde, on va vouloir retravailler l'image, lui donner un format particulier, une certaine qualité, un chargement progressif quand c'est nécessaire. Donc tout ça, ça nécessite que l'outil DAM embarque aussi un certain nombre d'APIs et de fonctionnalités qui permettent de retravailler l'image de manière automatique et directe, je dirais, sans attendre, pour optimiser le travail des webmasters qui vont consommer ces images finalement et les publier sur les différents canaux.

  • Speaker #3

    Ton exemple est bon, puisqu'on a travaillé ensemble sur ce cas d'Hécathlon, effectivement. Je vais vous donner un exemple très pragmatique, par exemple d'un fichier issu d'un fichier TIFF qui fait autour de 350 mégas avec une résolution de 40 millions de pixels. On en fait un JPEG de 3 mégas et la visuelle que vous voyez, c'est un AVIF qui fait 50 kilos avec une largeur de 250 pixels. Et ça, c'est le même asset. De l'asset haute définition, on arrive à une optimisation notamment avec l'AVIF. Cette distribution worldwide de l'électricité en est pas évidente parce que ça passe à travers ce qu'on appelle des CDN. notamment avec ce qu'on appelle le DXM chez WIDIA, basé sur la technologie Akamai. Et c'est un vrai challenge parce qu'évidemment, aujourd'hui, le parcours client, si votre fiche s'affiche en plus de trois secondes, le client va ailleurs. Donc, il y a tout un travail d'architecture et d'optimisation là-dessus qui n'est pas évident. Et de la même manière que votre téléphone, quelquefois, il capte sur les Champs-Élysées, puis 300 mètres plus loin, il ne capte plus, on a la même problématique sur les CDN suivant que la marque se trouve aux États-Unis, en Asie ou en Afrique.

  • Speaker #0

    Merci à tous les deux pour cet exemple concret. Et pour continuer dans le concret, justement, comment aujourd'hui on peut gérer concrètement ces assets de marque grâce aux dames. Peut-être Frédéric pour continuer.

  • Speaker #3

    En fait, on est toujours dans cette problématique à un moment donné, c'est qu'on va essayer de produire, comme disait Malika, le bon contenu à la bonne personne, au bon moment, etc. Évidemment, aujourd'hui, on est dans la personnalisation extrême. Il faut savoir qu'un acteur de la grande distribution, à partir d'un produit, peut facilement avoir dans la distribution, ce qu'on appelle des marketplaces et des divers sites web et e-commerce, avoir pratiquement plus d'une centaine de canaux. Et regarde ces différents canaux, forcément, on a ce qu'on appelle une personnalisation. Il faut savoir qu'un branding en Europe, l'approche peut être différente aux États-Unis comme elle peut être différente en Asie. Donc, à un moment donné, il va falloir apporter une certaine personnalisation de ce contenu. Alors, avec différentes technologies, dans le cas de Weedir, on est par exemple sur ce qu'on appelle du DMM basé sur des lignes d'un serveur et donc de l'édition en ligne, donc qui va partir des éléments graphiques de l'agence pour pouvoir les mettre en ligne d'un point de vue digital. Alors, il y a un certain nombre de technologies, évidemment, je pense que vous connaissez tous Canva. Il y a la version un peu grand public des choses pour vous donner un ordre d'idée de ce que peut faire l'outil côté Wadia. Et puis après, il y a la localisation, parce que forcément, il y a des langues. C'est-à-dire qu'on va produire des contenus différents. Et une chose qui n'est pas évidente à gérer, mais forcément, la même phrase en français, elle est un peu plus longue qu'en anglais. Et puis en néerlandais, elle peut être encore un petit peu plus longue. Donc, vous voyez qu'il y a une gestion de la traduction. Alors aujourd'hui, qui va se faire de plus en plus par des moyens automatique mais de contrôle. Je crois d'ailleurs que Sébastien pourra vous parler de l'intégration typiquement DeepL et pourquoi pas de chat GPT typiquement, mais on a besoin de personnaliser dans la langue du client l'ensemble de ce contenu, d'un point de vue design que d'un point de vue traduction.

  • Speaker #2

    En effet, ça se matérialise dans l'outil avec des fonctions qui permettent finalement cette diffusion ou ce partage des contenus de marques sur des pages dédiées qui permettent de mettre en lumière ces marques dans le contexte avec l'identité qui lui correspond en quelque sorte. Donc ça, c'est un élément clé.

  • Speaker #0

    Ok. Frédéric et Sébastien d'ailleurs également, vous mentionnez tous les deux la capacité effectivement à localiser ou personnaliser justement... les assets, comment là encore le DAM peut y contribuer ?

  • Speaker #3

    On l'a vu un petit peu là, on l'a vu sur l'écran en fait, on est de plus en plus, et c'est un peu une tendance qu'on a depuis un an, dans ce qu'on appelle la mise à disposition de portails, de guidelines. Globalement, on va retrouver chez un certain nombre d'éditeurs de DAM, et vous dire en particulier, une espèce d'habillage CMS, parce que finalement là aussi, quand vous distribuez les contenus de marque, Tout ça se base sur une charte graphique, cette charte graphique peut être différente d'un pays à l'autre, et on l'a très bien vu d'ailleurs sur les exemples de sites web de Décathlon. Une fois c'est bleu, une fois c'est jaune, il y a des mises en avant qui peuvent être un peu différentes. Je dirais qu'il y a 7-8 ans, il y a même 5-6 ans, on ne le faisait pas. Alors si, vous le faisiez dans un CMS à côté, on faisait des connexions, etc. Et là, finalement, la tendance que l'on voit depuis un an sur un certain nombre d'éditeurs, c'est que finalement, c'est de donner cette capacité très simple. sans être ingénieur chez SpaceX, c'est la capacité à pouvoir, de toute façon très modulaire, aller rajouter un composant par-ci, mes dernières collections, après un petit menu qui va permettre de naviguer, par exemple, dans une hiérarchie de facettes ou de métadonnées. Donc voilà, c'est ce qu'on appelle un petit peu cette personnalisation qui est importante, qui aujourd'hui n'est pas encore vraiment gouvernée par l'IA, mais on peut imaginer qu'il y a aussi un champ d'investigation énorme qui peut être fait. Et là, les dames sont souvent un peu en retard, depuis un an, versus notamment les PIM. traçabilité du parcours client et l'adaptabilité en fait à travers aussi bien des workflows prédictifs que de l'interface prédictive.

  • Speaker #1

    Moi je voudrais juste compléter en donnant des exemples concrets. Vous avez des équipes marketing qui présentent, il y a un nouveau produit qui sort, il y a une description du produit et il y a eu 300 photos qui ont été prises par rapport à une campagne ou par rapport à un produit. Aujourd'hui techniquement il se passe quoi en fait ? On est dans les trois quarts. On produit des PowerPoints ou des PDFs en incluant toutes les photos, en mettant tous les textes et en le traduisant comme on peut, en fait, dans plusieurs langues. Et on pousse ça sur le DAM et on demande aux personnes de venir télécharger des fichiers qui, d'une part, sont très lourds. Et en même temps, on n'a plus le suivi des modifications qui sont apportées. Donc, en fait, ce qu'on dit, c'est que ces outils de Brand Guidelines permettent à des utilisateurs qui ne sont pas des développeurs, qui sont dans des équipes marketing, commerciales, etc., de proposer de... très vite monter une page, voire décliner des pages et les mettre à disposition de leurs consommateurs, des assets et des textes qui vont avec.

  • Speaker #0

    Oui, alors c'est intéressant parce que ces enjeux de mise à disposition des assets dans le cadre de campagne, effectivement, ça doit être régi par, aujourd'hui, dans certains dames comme le nôtre, des pages qui permettent de les mettre en lumière, les mettre en avant, de décrire les raisons d'être des contenus et les cas d'usage. Et puis, immédiatement après, se pose la question de ces assets qui sont dans un format que je pourrais appeler ou qualifier de master. qui donne le « là » en quelque sorte sur la campagne et les images ou les vidéos et les documents sources, comment les traduire ou les localiser en fonction du contexte local de chaque entité. Et donc là, on rentre dans un processus de localisation et il est nécessaire d'avoir des solutions et des outils qui permettent d'accompagner cette localisation de manière simple. Par le passé, c'était assez logique de… de fournir ce package de contenu source aux agences locales qui produisaient à la chaîne des contenus localisés en fonction des besoins locaux. L'inconvénient de ça, c'est essentiellement un problème de coût et de réactivité, de contrôle évidemment et d'aller-retour, mais de coût et de rapidité de diffusion, parce que ça nécessite des contrats, des relations avec l'agence, des allers-retours. Et puis finalement, les équipes locales perdent un petit peu le pouvoir de... de créer ces contenus. Il y a eu une grande tendance depuis maintenant 5-6 ans où les entreprises souhaiteraient embarquer les actions des agences en interne, réintégrer les agences en quelque sorte, une partie des activités. Et en fait, c'est dans cette problématique-là ou dans cette tendance-là qu'on va s'insérer et s'inscrire pour pouvoir fournir aux équipes locales la capacité de traduire et localiser directement leurs contenus à partir de masters créés au niveau central. Et bien sûr, tout ça, ça va être accompagné d'outils du type IA qui vont faciliter cette phase-là. Donc, tout à l'heure, tu en parlais, Frédéric, la capacité de la traduction. Aujourd'hui, on le voit bien avec tout ce qui est LLM, chat GPT et autres. On a l'impression qu'en quelques clics de bouton, on va pouvoir avoir de la traduction. Alors, ce n'est pas toujours qualitatif, malheureusement. C'est pour ça que chez Vedia, nous, on a fait ces études. étudier différentes solutions qui permettaient de faire la traduction avec des clients de référence, notamment ChatGPT versus Dipple. La conclusion de ces études nous a mené à sélectionner une brique type Dipple qui permet, en complément d'une traduction assez précise, d'avoir une mémoire de traduction qui va permettre de stocker le langage métier de l'entreprise et donc faciliter... cette localisation des contenus sans utiliser des mots qui sont soit réservés à l'entreprise ou spécifiques au cas d'usage de l'entreprise. Donc ça, c'est vraiment clé parce que sinon, immédiatement, on se retrouve avec de la traduction qui n'est pas pertinente et qui doit être de toute façon retravaillée manuellement. Donc, on perd le bénéfice de lire. Et donc, ça s'illustre en fait par quelques exemples avec un de nos clients qu'on a aux États-Unis, qui est Harley Davidson. Donc, ils utilisent la plateforme pour fournir des masters à l'ensemble des revendeurs partout dans le monde. Donc, ils créent des templates qui seront localisés en fonction du contexte. Alors, soit des templates digitaux comme on le voit ici, soit des templates qui sont plutôt orientés print. Et là, c'est typiquement les feuillets qui se trouvent sur les véhicules dans chaque concession. Alors, on commence à reconnaître un petit peu quelque chose qu'on a évoqué un peu plus tôt, qui est le lien avec le PIV. parce qu'évidemment... Quand on présente un modèle de véhicule, il faut être en capacité de ressortir les informations associées au véhicule qui, elles, proviennent du PIM. Et donc, on va associer images, prix qui viennent de l'ERP et puis informations de produits qui viennent du PIM.

  • Speaker #1

    Merci Sébastien. On a évidemment parlé un peu, déjà, vous venez de le faire, en matière de traduction, en matière de personnalisation. Mais au-delà de ça, quels sont un petit peu les apports de l'IA au DAM ? Marika pour répondre à cette question.

  • Speaker #2

    Alors ça c'est une très bonne question. Alors nous en tant que conseil, on a des clients qui nous appellent en disant « ben voilà en fait moi j'ai envie de changer de dame, on a un problème, on cherche, on ne trouve pas » . Donc la première question c'est de dire « le dame ne fait pas son job parce que nos utilisateurs ne retrouvent pas les contenus quand ils cherchent » . Donc là évidemment nous on a une fonction de bilan de santé de regarder pourquoi on ne retrouve pas, mais là typiquement… l'IA peut aider déjà sur la recherche, peut aider via de la recherche par similarité. De plus en plus, on retrouve de la recherche en langage naturel. Voilà, donc ça peut être un complément et un peu un petit copilote de recherche pour les utilisateurs. Mais avant d'arriver là et avant de passer sur la partie traduction, on a ce qu'on appelle aujourd'hui un peu les smart tags et l'auto-tagging. Et donc, effectivement, on peut avoir des IA qui peuvent aider. à compléter l'indexation qui est faite sur les assets. Alors, je n'aurais tendance à dire que pour des assets aujourd'hui qui sont de type photos d'illustration, c'est bien rodé. Maintenant, il faut faire attention à les mots-clés qui sont aujourd'hui attendus dans les entreprises. Ce sont des mots-clés qui sont aussi spécifiques sur des sujets spécifiques par rapport à l'entreprise. Et donc là, en fait, ça se complète et ça rejoint ce que Sébastien disait. C'est-à-dire que si on continue d'entraîner, on lui dit ça. tel modèle de sac, tel modèle de jupe ou une bouteille de champagne mais dans une bouteille sombre et donc il va bien vérifier il va bien comprendre que c'est pas une bouteille de vin on n'en est pas tout à fait là mais il y a des débuts et moi je trouve que déjà répondre à la problématique on trouve pas nos assets donc on est pas dans une réutilisation donc on reproduit et donc on est pas content du dam ça apporte Merci. apporte beaucoup à ce niveau-là, en fait, avec la reconnaissance sur les images, la reconnaissance faciale, toute cette partie qui favorise la recherche et qui accompagne la recherche.

  • Speaker #0

    Alors, moi, pardon.

  • Speaker #2

    Je vais rajouter quelque chose,

  • Speaker #0

    peut-être c'est le cas. Oui, voilà. En fait, la vision que nous avons chez Vedia, elle est complémentaire à ça, c'est de se dire que sur les cas d'usage liés à l'IA, il y a une... Il y a une IA qui va être plutôt générique pour la catégorisation dont tu parlais, qui est assez intéressante pour un niveau basique de catégorisation. Effectivement, on va reconnaître s'il y a des personnes, des enfants, des adultes, s'il y a des voitures sur les images ou dans les vidéos. On va éventuellement faire du speech-to-text, donc transcription et puis de la traduction. mais finalement ça va avoir assez peu de valeur ajoutée ou une valeur ajoutée assez limitée parce que dès qu'on rentre dans un contexte d'entreprise, on va être bloqué. Le fait que chez BMW, il n'y a que des voitures sur l'ensemble des images ou chez Michelin, il n'y a que des pneus. Donc, l'IA ne va pas catégoriser de manière suffisamment précise. Donc, on va rentrer dans une étape où ça va nécessiter un apprentissage. Et là, on rentre dans des complexités qui sont… importante pour l'utilisateur si on n'est pas expert en apprentissage.

  • Speaker #3

    Le point que tu soulignes est important. Et puis, si je reprends le propos de Luc Julia, qu'on avait encore sur Andam cette année, fin d'année dernière, c'est comment rendre intelligente l'intelligence artificielle et qu'est-ce qui marche vraiment. Donc, tout ce qu'on a dit, c'est juste. Mais toi, effectivement, la CBCA nous montre un écran qui est intéressant, qui est une vue de filtre avec un ordonnancement de métadonnées et de dépendance. Ça, c'est ce qu'on appelle du vocabulaire contrôlé. Et aujourd'hui, ce qui serait bien, on parle un petit peu comme une wishlist pour l'éditeur, c'est que cette distribution, quelquefois qui peut être aléatoire de mots-clés, il faudrait pouvoir leur donner du sens et la recoller finalement à une taxonomie ou à un thésauriste qui gère ce vocabulaire contrôlé. C'est là où, effectivement, on peut encore améliorer l'expérience utilisateur. Le chemin, on n'est qu'au début de l'histoire. Mais ne jamais oublier que l'IA, c'est bien. C'est un outil qui peut accélérer Merci. me disait Malika, la gestion de l'enrichissement du contenu. Mais voilà, il faut toujours penser aux bénéfices pour l'utilisateur final.

  • Speaker #0

    Et en complément de cette IA, je dirais classique, standard ou historique, en quelque sorte, sont arrivés l'ensemble des LLM, et l'IAG, les relatives, qui apportent de nouveaux cas d'usage et de nouveaux bénéfices. Donc Malika, tu en parlais tout à l'heure, la recherche. capacité de recherche avancée type vectoriel, la capacité de faire du légendage. Nous, par exemple, chez Vedia, on a fait aussi des études sur différents fournisseurs. D'ailleurs, on utilise plusieurs fournisseurs de briques technologiques en fonction des cas d'usage. Un coup DeepL pour la traduction, un coup AWS et Azure pour la catégorisation. On utilise aussi, via notre partenariat avec Anthropy, Cloud pour générer les légendes. En fonction du cas d'usage, on va s'appuyer sur un LLM qui est le plus performant dans son cas d'usage. On utilise aussi DAL-I pour la génération d'images en particulier. Donc en fait, chaque cas d'usage va nécessiter une brique particulière. La vraie contrainte et l'apport d'un bon éditeur, c'est de présélectionner les bons fournisseurs d'IA en fonction du contexte, de manière prouvée, avec des cas d'usage clients qui éprouvent la solution. en fonction du besoin et de la spécificité du cas d'usage. Et donc, fournir une intégration sur étagère permet d'aller plus vite pour nos clients.

  • Speaker #2

    Moi, je voudrais juste rajouter un point dont on n'a pas parlé, en fait. C'est la partie en amont au niveau du DAM. Là aussi, on a des clients qui nous disent, notre DAM, ça ne va pas, on met n'importe quoi dedans. Et donc, en fait, quand on étudie avec les utilisateurs, on s'aperçoit que beaucoup de pain points à ce niveau-là peuvent se régler sur un workflow dès le départ au niveau de la production des contenus. C'est-à-dire qu'on gère et qu'on… on automatise, on contrôle, on affine, on valide le contenu dès la production de ces contenus-là. Et là aussi, l'IA peut faire quelque chose, parce qu'en fait, on peut définir des règles en disant, voilà, moi, mes contenus, je les attends comme ça, j'attends le produit placé là, etc. Et ça peut aider dans la validation de cette fameuse production d'assets en amont qui va jusqu'à importer les assets sur la plateforme. Donc ça aussi, c'est un sujet... voilà qui est très important alors je vois et c'est bien si on a parlé de l'IAGN alors je pense qu'en fait on se pose toujours la question c'est est-ce que vraiment le DAM son rôle est de générer et de permettre de générer des contenus voilà donc moi aujourd'hui alors c'est vrai de part je pense un peu nos expériences on travaille avec des marques qui produisent des produits les visuels il y a des visuels qu'on peut produire et qu'on peut faire produire par l'IA et il y a d'autres produits où l'IA ne va pas ne répondra pas en IAGN j'entends sur la production donc je pense qu'on y va doucement mais on y va ça c'est sûr il ne faut pas avoir peur d'y aller mais

  • Speaker #3

    sur quel type de contenu en fait il faut que je me lance et tester C'est comme ça qu'on arrive à innover, parce qu'il faut toujours avoir un leitmotiv derrière de l'innovation. On est dans un monde qui a changé, avec des GAFA qui investissent des centaines de millions de dollars. Donc évidemment, il faut aller pour un éditeur de dames, c'est primordial. Je pense que ce que Sébastien vient de nous exposer est la parfaite représentation. Ne pas oublier les notions de droit également, parce que là aussi, à partir du moment où on crée du contenu, il y a une histoire de confiance. Là aussi, sur Endame, on est revenu. nombreuses fois sur ce trust, en fait, et en tout cas de matière, la pérennité du droit d'auteur dans tout ça, parce qu'à un moment donné, on va prendre des images par-ci, par-là. Donc, il faut avoir une traçabilité aussi parfaite de ces contenus.

  • Speaker #0

    Oui, et puis sur le côté...

  • Speaker #2

    Au niveau des DAM, on a bien aussi cette information, on a parlé d'IPTC, on a parlé de métadonnées. Il y a aujourd'hui une règle et une norme qui fait que faisons attention, et quand on a des contenus qui sont importés sur le DAM et qui proviennent de l'IA. bien le mentionner et que quand on ne veut pas que nos contenus entraînent une IA, aussi bien le mentionner à travers ces IPTC qui sont des données encapsulées dans l'image. Et donc, tout le monde peut y accéder et le lire, même quand la set est en dehors du DAM.

  • Speaker #1

    C'est très bien.

  • Speaker #0

    Non, non, simplement, en fait… Oui, j'abondais dans ton sens. C'est essentiel de pouvoir s'assurer que les images du DAM des entreprises ne soient pas utilisées pour entraîner une IA généraliste. Donc, l'objectif de l'éditeur, comme je vais dire, c'est de s'en assurer. Et donc, au travers de ces partenariats, faire en sorte que l'information ne transite que dans un sens, en quelque sorte. Donc, pour ce qui est du LLM et du légendage... l'image soit analysée, mais ne soit pas envoyée en quelque sorte au fournisseur et à l'éditeur d'IA pour entraîner ces modèles. Donc, s'assurer d'une bonne confidentialité de ces informations. C'est d'autant plus essentiel qu'il y a beaucoup d'acteurs qui se lancent régulièrement. On a vu il y a quelques jours ou semaines DeepSeek qui a fait grand bruit. C'est un terrain qui est très mouvant et donc, effectivement, il faut tester, il faut évoluer. Il faut analyser le marché qui bouge beaucoup ces derniers temps.

  • Speaker #1

    Il va falloir conclure tout doucement. On arrive enfin de cesser.

  • Speaker #2

    Déjà.

  • Speaker #1

    Déjà.

  • Speaker #0

    Donc, je vous ai partagé un petit lien pour ceux que ça intéresse. En fait, Forrester, qui est une des maisons de recherche américaines sur le DAM, entre autres, a fait une étude sur… une sélection de quatre de nos clients sur l'impact de la technologie Vedia, DAM, en quelque sorte le ROI qu'il a procuré sur ces quatre clients majeurs. Donc je vous recommande d'aller télécharger l'étude, c'est assez intéressant. ça met en lumière vraiment les bénéfices que peuvent apporter une solution d'âme comme Vedia sur des clients réels au travers d'une étude de différents cas d'usage utilisés dans le contexte du d'âme.

  • Speaker #1

    Malika, Frédéric, si vous voulez nous parler un petit peu...

  • Speaker #3

    Pour la première fois l'année dernière, on a lancé le premier magazine activo pendant OnDam. Donc là, vous pouvez scanner ce QR code, vous retrouvez le lien qu'on vous partage sur le chat. L'idée là aussi, c'est de revenir globalement, surtout par co-client, depuis l'expression de besoin, le choix de la solution, les services, la gestion de contenu, et la distribution. donc là c'est tout un... avec 5 clients très intéressants qui sont partis, avec qui on travaille, sur lequel... Et avec des solutions différentes, pour montrer toute notre agnosticité à ce niveau-là, donc ça, c'est important. Et là aussi, vous allez retrouver un certain nombre aussi d'informations autour des marques. Alors, chez Activo, alors évidemment, toute chose étant égale par ailleurs, on ne va pas se comparer à Forrester, etc., mais cette approche agnostique, elle est importante, parce que finalement... Quand on audite un éditeur, on ne lui demande rien de spécifique, ça ne coûte pas d'argent. Et on fait en tout cas une introspection extrêmement profonde, extrêmement détaillée, notamment à travers notre équipe Danews. Et vous pouvez retrouver d'ailleurs l'étude complète de tout ça sur le site Danews, digitalsetmanagement.org et danews.fr en téléchargement. Donc en tout cas, n'hésitez pas si vous avez des questions. et la version française va arriver d'ici le mois prochain avec beaucoup de complétion et de comparatif des solutions.

  • Speaker #2

    Voilà, merci Frédéric. Moi, je voulais juste rajouter une chose. Donc, effectivement, retour sur Rundam 2024, là aussi, vous pouvez flasher le code et retrouver l'événement, la quatrième édition, qui a eu lieu le 19 et le 20 novembre passé. Archimald est en partenaire, Wedia est en sponsor Gold. Une chose qui est importante, on a parlé tech, on a parlé outils, on a parlé interface, intégration, IA, etc. N'oubliez pas, tout projet de transformation digitale, c'est people, process et tech. Donc, choisissez la meilleure technologie qui vous correspond le mieux, c'est sûr, c'est important. Par contre, n'oubliez pas vos métiers, n'oubliez pas vos équipes et les process et le travail collaboratif ensemble.

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